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[RP] Un coq et ses poulettes en deuil

Aislin_mckorky
Le Plan était simple, comme d'habitude, Kiliane agit, Aisline surveille les affaires.
Depuis peu, elles avaient un nouveau but dans leur vie, les jumelles.
Complices et brouilleuses de cartes, souples comme des lianes, elles allaient de l'avant, sans plus se retourner sur le passé.
Mais ce soir, Aisline avait une furieuse envie de dégourdir ses jambes.
Il n'était pas certains qu'elle tienne bien sagement jusqu'au retour de sa sœur tant la curiosité la taraudait .
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Killijo_de_denere
Killi parlait avec sa fille de Joffrey. Ils s'amusaient à expliquer à Liz des souvenirs qu'ils avaient en commun. Killi n'avait pas eu beaucoup l'occasion de parler de sa mère à sa femme, surtout dans les circonstances de leur première cérémonie de mariage ratée. Mais sa mère était femme de pardon. Si elle était fâchée de la manière dont il lui avait annoncé leur mariage, le fait de lui rendre les Rosiers pour épouser sa belle, elle savait qu'il était vraiment décidé pour franchir un tel cap. Elle lui avait donné sa bénédiction de mère et de suzeraine. Ils devaient contacter la hérauderie pour qu'il redevienne officiellement seigneur des Rosiers et sa dame aussi, par la même occasion. Mais le temps leur avait manqué. Il ne s'était point occupé du chien qui était rentré dans la taverne, encore moins de la rousse qui l'avait amené. Lorsque l'homme avait apporté les assiettes, une pour le bestiau, une pour la maîtresse, Killi l'avait interpellé pour qu'il leur apporte une nouvelle bouteille de vin. L'alcool lui permettait d'exorciser la douleur.

Lorsque les verres furent à nouveau remplis, il prit les mains de ses femmes et leur dit d'une voix plus basse.

- mes chéries, j'ai eu le temps de réfléchir en attendant mon Atthé. Je vais organiser une chasse aux brigands. Je vais demander à Mely-ania où cela s'est produit et je tuerais tous les brigands que je trouverais.

Il regarda sa fille et Liz dans les yeux.


- vous êtes les bienvenues bien sûr. Je vais envoyer quelques pigeons pour contacter des amies qui nous aideront certainement.

Il se redressa quelque peu et vida son verre.

- Ce sera ma priorité ces prochaines semaines.
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Chez moi
Kilianedemarenvielle
Kiliane mangeait avec appétit, le regard posé sur son dos, attentive à ce qu'il disait.

Elle ne comprit pas tout mais jugea que le moment était venu.

Par la fenêtre, elle fit des signes à sa soeur. Se servant de leur code, elle lui "dit" d'entrer dans la taverne. De s'asseoir à la table libre , face à lui et de se sustenter.

Son assiette vidée, Nours s'étira avant de se recoucher.

Bon chien lui dit elle il est tant de s'abreuver , maintenant.

Tavernier , un godet de chouchenn ou de whisky irlandais .... et pour Nours , de l'eau
continua t elle , jetant sur la table quelques écus.
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Atthenais
Parler de sa grand-mère avec son père faisait un bien fou à la jeune fille. Elle avait l'impression que sa grand-mamou était près d'eux. Elle raconta quelques anecdotes à Lys. Elle narra que petite elle entrait dans la chambre de sa grand-mère pour essayer ses robes et mettre son parfum. La duchesse était toujours très belle même en braies. Elle était un modèle pour Atthé et celle-ci avait toujours choisi le même chemin.

La Tornade but plusieurs verres de vin. Cela lui réchauffa le coeur.

Elle regarda son père avec une grande attention en l'entendant parler de venger la mort de Joffrey. Elle lui répondit du même ton que son père, en murmurant.

Tu peux être certain que j'en serai, rien ne m'arrêtera. Ils vont le payer très cher !

La jeune fille avait hâte de partir. Elle regarda son père.

Tu devrais peut-être avant te procurer de nouveaux vêtements et prendre un bon bain. As tu pris tes armes ? Il va falloir bien nous organiser et prendre de quoi tenir un bon moment.

Atthenais repoussa la mèche rebelle de son front puis sourit.

Je pense que j'ai besoin d'une bonne toilette moi aussi.

La blondine était toujours triste bien sûr mais ils avaient un objectif à présent et ça allait les occuper un bon moment et quel objectif ! Ils allaient massacrer ceux qui avaient osé leur prendre leur mère et grand-mère adorée.
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Aislin_mckorky
La haie dans laquelle Aislin avait pris place depuis le début de la soirée ne maquait pas d'animation.
Il y circulait une foule incroyable d'insectes, des petits rongeurs, quelques escargots étaient collés sur des pierres, y laissant leurs traînées brillantes.

Toute absorbée dans sa contemplation récréative, Aislin n'aperçu les signes de sa soeur que brièvement.
Elle en déduit qu'il lui fallait maintenant agir.

Aiïeeeeee

dit-elle en étirant ses membres endoloris par la position.
Puis, lentement, elle se redressa pour ne pas attirer l'attention, tout en continuant à grimacer au réveil une à une de ses courbatures.

Elle décida que son pipeau serait son meilleur atout une fois dans la taverne.
En jouer pour gagner quelques piécettes puis s’attabler et manger, voilà ce qu'elle allait faire n'ayant pas tout compris du message de sa soeur.

Elle pris un pas assuré emboucha son pipeau, et entra tout en jouant une jigue irlandaise pleine de vie.
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Kilianedemarenvielle
Au son du pipeau, Kiliane se redressa et se positionna le dos raide , les bras légèrement tendus vers l'arrière, poings fermés et se lança dans une jigue. Elle démarra du fond de la salle et ses pas la rapprochèrent du Coq.

Visage impassible, son regard planté dans celui de sa soeur, Kiliane continuait sa danse.

Petit sourire carnassier . Et alors que son double continuait à jouer du pipeau, elle se tourna vers la table du poulailler.

D'un geste brusque, elle lança devant lui un écusson. Ce dernier représentait un blason bien connu du Coq. C'était le sien.

- Hèè , le Chapon futur, n'auriez vous pas perdu ceci , il y a 16 ans.
Perdu ou oublié dans une de vos fuites réputées dès que consommation est faite

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Liz52
Ils sont là à évoquer des souvenirs que Liz ne peut que partiellement partager n'ayant rencontré Joffrey que lors de son mariage "raté "..
Les lumières dans les yeux de Killi et d'Atthenais trahissent l’émotion qui les tenaille.
Connaissant très bien le Dénéré, elle se doutait qu'il envisagerait un projet de vengeance.


Elle regarde le "manège" des deux jeunes filles rousses dans la taverne mais n'y prete pas attention plus que cela, préoccupée par la suite.
Les accompagner ?
Elle aimerait les soutenir mais cela lui sera impossible, elle ne peut quitter la Bretagne avant 2 mois au mieux.

- Killi ... j'aurai aimé être là mais tu sais que je ne le pourrai pas ... interdiction de quitte le sol breton pour moi avant au moins 2 mois.. Mais .... même si je comprends tout à fait ce qui vous anime tous les deux ...

elle craint pour leur vie mais comment leur faire entendre sans qu'ils s'offusquent ...

- vous partez sans savoir rien ... c'est dangereux ... vous pouvez pas partir comme ca juste parce que la colère est grande ... faut vous préparez ... je sais pas moi !

Elle voit bien que ses paroles sont veines et que de toute façon ils partiront quand même... elle boit une gorgée d'alcool qui lui brule la gorge.
Les paroles de la rousse viennent alors frapper à ses oreilles et elle regarde killi interdite .

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Merci JD Amarante pour la banniere et l'avatar
Killijo_de_denere
Atthenais a écrit:
Tu devrais peut-être avant te procurer de nouveaux vêtements et prendre un bon bain. As tu pris tes armes ? Il va falloir bien nous organiser et prendre de quoi tenir un bon moment.


Killijo sourit à sa fille lorsqu'elle parle de nouveaux vêtements. Elle a raison, il commence à avoir plus de tâches que d'endroits propres sur sa tunique, et le reste de son état général laisse tout autant à désirer. Le deuil lui va mal, tout comme le chagrin.

Je n'ai rien pris ma chérie, je suis parti comme j'étais pour l'Armagnac. Nous allons devoir organiser un peu cette expédition, tu sais.

Il lui fait un clin d'oeil, connaissant l'énergie de sa fille. Il sait qu'elle serait prête à partir le soir-même. Sa femme aussi s'inquiéte de toute cette affaire. Elle ne dit rien, mais il voit bien qu'elle n'est pas aussi emballée que sa fille à l'idée de les savoir sur les routes à poutrer du brigand.

Liz52 a écrit:
- Killi ... j'aurai aimé être là mais tu sais que je ne le pourrai pas ... interdiction de quitter le sol breton pour moi avant au moins 2 mois.. Mais .... même si je comprends tout à fait ce qui vous anime tous les deux ...


Il prend la main de sa chérie et lui sourit tendrement.

Ne t'inquiète pas ma douce, nous ne partirons point trop légers. Et je compte bien emmener ma bande avec nous. Il ne nous arrivera rien. Ce sont des guerriers expérimentés qui nous aideront et nous protègeront des dangers, je n'emmènerais point ma fille dans une expédition risquée sans un minimum de précautions.

Il tourne la tête lorsque la porte s'ouvre sur une autre arrivante. Il croit voir double. Deux rousses flamboyantes ? Comment est-ce possible ? Elles sont identiques. La nouvelle se met subitement à jouer du pipeau, il regarde la danse de la jeune fille qui se comporte comme si elles étaient seules au monde. Elles semblent connectées, comme si elles n'avaient point besoin de parler. Le coq les regarde comme s'il allait lui tomber quelque chose sur la tête.

Kiliane_mc_korty a écrit:
- Hèè , le Chapon futur, n'auriez vous pas perdu ceci , il y a 16 ans. Perdu ou oublié dans une de vos fuites réputées dès que consommation est faite


Une rousse ? Killi en a culbuté des rousses. Mais aussi des brunes, des blondes, des jeunes, des vieilles, des grandes, des peti... Bref !
D'où viennent-elles les gamines ? Depuis 16 ans ? Euh... Non, pas possible, il ne se rappelle point. L'époque où il se baladait les braies en bas des pieds n'est pas si loin. Sa pauvre mère, si elle voyait ça, une fois de plus... Enfin, il ne peut pas être responsable non plus de tous les enfants dont les mères ont été perdues. Il était généreux, mais il y a des limites aux capacités d'un coq. Il toise la gamine et regarde l'objet sans le prendre en main. Liz le regarde, surprise de ce qui vient d'être annoncé. Il l'est tout autant.


D'où tenez-vous cet objet jeune fille ? Je vous rappelle que nous n'avons point élevé les cochons ensemble alors doucement.

Il prend la main de Liz pour la rassurer. Ils sont séparés à sa demande, mais il continue à lui rendre régulièrement compte de sa vie. Antérieure et actuelle. Même si aujourd'hui, il ne sait rien lui expliquer. Pas plus qu'à sa fille qui n'a pas besoin d'entendre encore d'autres mauvaises nouvelles pour cette journée. il prend aussi la main de sa fille pour la rassurer aussi, bien que chacune d'entre elles savent déjà que leur coq a semé à tout va et qu'il est bien probable que ces deux rouquines soient le fruit de ses amours avec une rousse. Elles connaissent toutes deux sa grand passion pour les rousses. Il veut protéger ses poulettes de l'attaque des nouvelles arrivées, mais il ne sait qu'ajouter. Murphy ou sa loi de l'emmer*** maximum est en marche. Il aime pas trop beaucoup ce qui va suivre. Il redoute encore plus la colère des poulettes, les blondes comme les rousses.
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Chez moi
Atthenais
Liz à première vue devait toujours être dans la politique. Ce qui expliquait la raison pour laquelle elle ne les accompagnerait pas.

A la remarque de son père qu'il allait falloir bien se préparer et attendre du monde, Atthé soupira. C'était maintenant qu'elle avait envie d'en découdre, maintenant qu'elle avait envie de partir par monts et par vaux, maintenant qu'elle avait envie d'action. Au moins en étant occupée elle pouvait éviter de penser à la grande perte qu'ils subissaient.

La blondine avait bien vu la rouquine assise avec un chien à ses pieds. Elle avait longuement admiré le beau canin. Du coup c'était le bel animal qu'elle avait le plus regardé.

Quand l'inconnu rousse se leva et jeta un écusson sur la table, la poulette dorée crut voir double. Elle avait sans doute trop bu car la belle rousse s'était dédoublée.

Elle reposa son énième verre vide et se frotta les yeux. Mais en vain il y avait toujours deux rousses devant elle.


Son regard fixa ensuite le blason. Et oui on ne savait jamais, peut-être était il en double aussi. Mais non, il était tout seul donc... deux jumelles se tenaient devant elles.

Elle détailla à nouveau l'objet sur la table. C'était bien l'emblème de son père.

Elle ne put dire un mot, éberluée. Le coq lui prit la main à nouveau, pas bon signe ça. Elle avait l'impression de revivre encore et encore ce qui lui était arrivé à elle. Voir débarquer un jour un homme se disant son père, un homme qui avait aimé sa mère qui servait dans son château, un homme qui l'avait enlevé du monde campagnard où elle se sentait bien. Elle n'avait que cinq ans. A présent elle en était heureuse car elle avait pu connaitre sa magnifique grand-mère.

Elle fixa les deux soeurs, cherchant des ressemblances avec eux. Difficile avec leur chevelure rousse de trouver des traits familiaux. Après tout c'était peut-être des usurpatrices.

Elle regarda Liz et haussa les épaules en soupirant, ne sachant quoi en penser là.

De plus là c'était trop de nouvelles à digérer. Et si ces filles faisaient partie des brigands qui avaient tué sa grand-mère. Elle mit sa main sur le pommeau de son épée prête à tout.

Son père demanda aux rouquines comment elles avaient eu l'écusson.

Atthé se pencha vers lui et lui murmura :

Méfie toi papa ! Peut-être l'ont elle trouvé sur le corps de grand-mamou... Elles font peut-être parties de la bande de brigands qui veut détruire notre famille.

Dans les circonstances actuelles mieux valait se méfier.
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Guilhemme
La route devant lui n'en finissait plus, mais sa mission passait avant tout.

Galopant de relais en relais, posant chaque fois la même question en montrant les armes décorant le cuir de sa selle :

Avez vous vu passer ici un homme portant ce blason Je dois le retrouver au plus vite ?

et reprenant sa course dans une direction ou une autre au gré des réponses,

il arrivait maintenant en vue d'un coquet relais, où plusieurs chevaux étaient maintenus par leur longe aux anneaux de la cour .

Un peu de repos ne lui ferai pas de mal, son dos commençait à lui rappeler qu'il n'avait plus quinze ans ,et son estomac criait " à la soupe" maintenant que le soleil était moins haut dans le ciel.

C'est d'un pas lourd qu'il entra dans la salle commune, enlevant son couvre chef pour y voir plus clair, et releva une mèche de cheveux un peu trop longue qui lui obscurcissait la salle.

Il cru avoir la berlue, laissa tomber son chapeau à terre et poussa un gémissement bizarre, peu habituel dans la bouche d'un homme de sa trempe.
Kilianedemarenvielle
Kiliane regarda sa soeur. Elle savait qu'elle répondrait au Coq. Mais avant , elle reporta son regard sur le trio.

La dame semblait s'être raidie, interdite .. Lui...arrogant , comme tous les hommes... et la plus jeune .... hum méfiante.

Voyant cette dernière porter la main à son épée, Kiliane siffla Nours.

Nonchalamment , le danois se leva et vint se poster aux cotés des jumelles.

Alors que sa soeur allait répondre , un vieux valet entra et regarda vers leur groupe .

- hèè ;Msieu , ça va pas? on dirait que vous avez vu un fantôme!! lui dit elle.
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Guilhemme
Citation:
- hèè ;Msieu , ça va pas? on dirait que vous avez vu un fantôme!!


Ces paroles sortirent Guilhemme de sa stupeur. Il reprts prestement ses esprits.
Impossible, dans les terribles circonstances qui accablaient la famille de faire passer ses sentiments avant.

Il se redressa, écarta d'un geste la demoiselle qui venait de parler, puis s'adressa directement au neveu de sa maitresse

    Messire Killijo, j'ai une information d'importance à vous communiquer, mais je souhaiterai vivement le faire en l'absence d'étrangers à la famille.

Son regard soutint un moment celui du seul homme en présence au milieu de cette basse-cour, attendant les ordres de ce dernier .
Killijo_de_denere
Killi se pencha vers sa fille et l'écouta attentivement. Elle n'avait peut être pas tort. Les Dénéré n'étaient pas une famille des plus appréciées toujours. Il avait une réputation qui le précédait et qui permettait facilement de l'attaquer sur un plan public et évident. Il lui chuchota

Tu as raison, ma chérie, je ne vais pas gober facilement la couleuvre qu'elles essaient de me faire avaler.

Il regarda le valet de sa tatie Rose arriver, surpris. Que faisait-il ici ? L'homme sembla connaître les jeunes filles ou il se trompait ? Il le connaissait peu, car il ne s'était jamais occupé du bonhomme. Un valet... Rien à faire. Il était trop occupé à d'autres fréquentations que la valetaille de sa tante. La jeune danseuse l'interpella, surprise qu'il réagisse ainsi. Il vint lui demander de lui parler. Il le toisa froidement et répondit.

Nous sommes en famille ici, puisque je suis assis avec ma fille et ma femme. Installe-toi ici pour que nous puissions parler entre nous.

Il claque des doigts pour que l'aubergiste leur apporte un nouveau pichet de vin car le pauvre homme semblait avoir besoin d'un remontant.
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Chez moi
Guilhemme
A l'invite, Guilhemme sentant à la voix ferme du Maître, qu'il n'avait pas intérêt à refuser, s'approcha de la table.

Je vous présente mes excuses Messire, c'est que, vous conviendrez que je ne connais pas votre Dame, et la demoiselle Athénaïs, à peine mieux, puisque je ne l'ai aperçu qu'une ou deux fois pour lui prendre des mains son poney et le conduire à son box, tandis que la jeune demoiselle filait aussi vite que lui permettait ses petites jambes.

Puis tortillant un instant les cordons de sa blouse, il fit un grimace avant de reprendre.

    Voilà, plus vite c'est dit, mieux c'est, votre Tante Rose, n'a pas supporté la disparition de Madame la Duchesse votre mère, et elle est partie du château sur un coup de tête disant qu'elle trouverait les brigands, qu'il fallait qu'elle prenne de l'avance, et que je devais venir vous trouver pour vous prévenir, qu'elle se débrouillera pour vous faire parvenir toutes les informations qu'elle découvrira à leur sujet. Elle tient à vous préciser qu'elle les a aperçu et pense pouvoir les confondre si elle les croise à nouveau.


Ayant débiter ce discoure d'une traite presque sans respirer, il tendit le bras, prit le verre demandé par Killijo, et l'avala tout d'une traite .
Killijo_de_denere
Killijo soupira. Voilà que sa tante s'y mettait maintenant. Il laissa l'homme finir son verre.

Ah, tatie Rose va s'occuper d'eux seule, la belle affaire ! Et tu l'as laissée partir ainsi, bougre d'âne ! Pourquoi ne l'as-tu pas accompagnée ? La vois-tu les arrêter seule ? Es-tu tombé sur la tête ?

Son point frappait sur la table à chaque parole. Ses yeux lançaient des éclairs. Il passait un savon au valet comme il le faisait souvent, se contenant en présence de ses poulettes. Il se leva et s'approcha de l'homme pour lui parler au plus près et le menacer.

Tu as intérêt à la retrouver et à me la ramener intacte et le plus rapidement possible.

Il attendit pour que l'homme puisse intégrer ses paroles.

Ou je m'occupe personnellement de ton cas. Crois-moi, les brigands te paraîtront des enfants de choeur. Et ne crois pas m'échapper.

Il se rassit, son regard croisa les jumelles. Il les avait oubliées celles-là.

Mais au fait, dis-moi, tu connais ces deux donzelles ? D'où viennent-elles ?
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Chez moi
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