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[RP] MARIAGE DE LIZ ET KILLIJO

Atthenaiss
La jeune fille se demanda qui était cette pimprenelle qui osait officier un mariage alors qu'elle ne semblait pas du tout avoir l'âme d'une religieuse. Les religieux étaient sensés respecter tout le monde même les gueux, les pauvres.

De plus comme dans tout mariage, la question d'opposition était une obligation. Alors pourquoi criait elle comme une charretière alors que trois oppositions se dressaient pour ce mariage.

Atthénais n'avait rien contre Liz. Elle la trouvait gentille et elle aurait pu devenir amies. Mais voilà toutes leurs confidences qu'elles s'étaient faites s'étaient passées avant qu'elle ne sache que son père allait l'épouser. Ce qu'elle reprochait à son père c'était de l'avoir induite en erreur en la présentant comme une cousine tout simplement. Pour Atthé au début elle était contente de trouver un autre membre de la famille. Elle ne connaissait que peu les autres membres de la grande famille Dénéré ainsi que toutes les branches.

Encore une fois son père n'ayant rien fait dans les formes, en lui mentant dés le début avait une nouvelle fois raté ce qui devait être le plus beau jour de sa vie. S'il avait agi dans la normalité, c'est -à-dire :
-faire une réunion de famille dans son domaine
-inviter toute sa famille c'est-à-dire toutes ses femmes comme il aime à les appeler
-et enfin présenter celle qu'il voulait épouser à TOUS les membres de la famille

tout ce serait passé autrement...

Mais bon pour l'heure la soit disant cureton de pacotille continuait à s'embrouiller elle-même. Atthé rit un bon coup car là ça devenait franchement une cérémonie de patachons et en plus celle qui avait commencé à pousser des cris de charretiers n'étaient autres que la curé ou la diacre. Amusée par le manque de professionnalisme évident, la jeune fille parla plus calmement.


Vous dites que la phrase de l'opposition est obligatoire mais... quand on décide de s'opposer vous nous fichez à la porte sans attendre de savoir POURQUOI on s 'oppose.

Vous voulez faire votre travail alors faites le correctement.

La phrase que vous auriez du dire ensuite était celle-ci :

"Veuillez dire à cette assemblée pourquoi vous vous opposez à ce mariage ?"

Mais voilà vous préférez jeter dehors une noble famille.

Mais non ça dérange votre labeur que vous voulez finir rapidement. Si vous n'avez pas la patience, vous devriez changer de vocation.


Sa sœur exigeait des excuses, elle faisait bien et espérait également que son père, là, agir en conséquence...
Lanaelle.du.chastel
Lanaelle reconnaissait qu’elle avait été un peu trop loin, elle ne s’emporait jamais dans l’église, mais elle n’aimait pas qu’on fasse du mal à son amie, celle-ci n’avait pas à payer pour les erreurs de cet homme. Ce n’était pas sa faute à elle si celui-ci avait manqué de respect à sa mère et avait fait du mal à ses filles.
Elle connaissait très bien Liz et elle savait que la jeune femme n’avait jamais voulu tout ca.


Oh mais attendez une minute , j’estime que les raisons donnés ne sont pas bonnes ,
si je résume bien vos griefs, vous reprochez toutes les trois au marié :
ne pas avoir présenter sa future épouse à toute la famille
ne pas avoir envoyé une invitation dans les normes

Je peux comprendre que votre grand-mère, si j’ai bien compris, soit vexée et en veuille au marié,
Je peux comprendre que vous ses filles soyez, comment dire, blessée parce que votre père épouse une jeune femme qui a plus ou moins le même âge que vous, bien que votre réaction me fasse penser à la réaction de jeunes filles jalouses de partager leur père, ce que je peux comprendre aussi.

Mais ici personne ne connait la vie de votre père et fils, donc ce que nous voyons c’est l’humiliation d’une jeune femme le jour de son mariage.

J’ai peut être été trop loin dans mes propos , et ce ne sont pas des excuses sachez le bien, mais comme je vous l’ai dit ce n’est pas à votre père que je pense mais à la jeune fille qui est là, je n’aime pas qu’on humilie les gens, je n’aime pas l’injustice.

Qu’est ce qu’elle vous a fait cette jeune femme, rien, strictement rien, elle aime votre père plus que tout, elle est prête à se sacrifier pour éviter à cet homme de faire un choix entre sa mère et ses filles et celle qu’il aime parce qu’elle sait que c’est important pour lui d’avoir sa famille auprès de lui.
Comment pouvez vous lui faire payer le mal ou les erreurs de votre père et fils vous a fait.

Vous ne pensez qu’à vous qu'à vos petites personnes, parce que en agissant ainsi vous voulez punir votre père sans réaliser que vous punissez une jeune femme dont la seule erreur, si on peut appeler ça une erreur, est d’être tombé amoureuse de votre père

Et je m’excuserais auprès du Très Haut pour mon comportement quand cette cérémonie sera finie, et que l’église sera vide.

Et sachez que je ne suis pas pressée du tout, mais je trouve votre réaction mesdemoiselles puériles,
Et la votre madame même si je peux la comprendre injuste pour cette jeune femme qui ne vous a rien fait.


_________________
--Killi
Killi vit sa fiancée le réunir à sa mère pour partir. Non, ça ne doit pas se passer comme ça, la seule qu'il veut mener à l'autel, celle qui le comprend, avec qui il n'a point besoin de parler pour savoir qu'elle devine déjà sa pensée... Voilà que la diaconnesse elle aussi s'opposait aux oppositions. La dentelle n'était plus de mise, apparemment. Il regarda ses filles qui s'emportaient à leur tour, ne comprenant point une réaction si virulente. Eh ben mes aïeux... Que faire ? Il voulait reprendre la main de Liz pour lui dire qu'il n'était point question d'annuler ce mariage, car il était toujours prêt à l'épouser, et qu'il savait que ses femmes voulaient juste qu'il leur parle. Que dire ? Qu'il était tombé amoureux de sa jeune cousine, alors qu'il voulait simplement la protéger des hommes et l'empêcher de souffrir à cause d'eux ? Voilà la cérémonie qu'il lui offrait maintenant. Il en était désolé. Voilà ce qu'il pourrait faire, lui prendre la main, les laisser se hurler dessus et aller se faire pardonner de tout ça dans un coin. Juste elle et lui. En amoureux. Mais tout allait trop loin. L'état nerveux des femmes devenait bien trop tendu, comme un arc prêt à rompre. Il alla déjà récupérer sa fiancée, qui s'était réfugiée près de son témoin. Chaque personne à sa place, sa future près de lui. Le témoin, il témoigne, il pourrait soutenir aussi, mais ils n'avaient point besoin de lui pour le moment, Killi la voulait près de lui et il le leur montrait. A tous, présents dans l'assemblée.

Mes chéries, Consoeur, doucement. L'heure n'est point à la dispute mais à l'union, et à l'union des esprits, aussi, accessoirement, dans nos différences.

Il s'approcha comme on s'approche d'une bête prête à mordre, chacune semblant vouloir défendre son morceau de viande. Il regarda d'abord sa consoeur, ben oui, même s'il n'en avait point l'air, il était diacre. Sa main tenant celle de sa fiancée, devant l'autel, il commença à parler, pour remettre un peu l'église au milieu du village. C'est le cas de le dire... En tentant de précher la tempérance, même s'il ne connaissait ce mot que du dictionnaire, point dans l'application.

Les femmes qui sont présentes ici sont ma mère et mes filles comme vous l'avez compris. Elles assisteront à cette cérémonie car elles y ont leur place. Je comprends que vous soyiez fâchée de cette réaction et qu'elles puissent vous destabiliser quelque peu, mais je vous remercie de continuer à officier dans la tempérance qui est la nôtre, dans cette religion. Il n'est point question pour moi de renoncer ni à Liz, ni à ce mariage. Vous pouvez continuer à officier. Lorsque nous serons tous prêts.

Il prit la main de sa douce et l'embrassa tendrementen la regardant dans les yeux. Il regarda ensuite ses femmes, les femmes de sa vie qu'il avait fait souffrir plus qu'à leur tour, même s'il les adorait et qu'il voulait les rendre heureuses à sa manière. Eh oui, un coq aussi n'est pas toujours infaillible. Les regardant toutes trois, en ligne, il descendit vers elles et les embrassa chacune sur le front.

Mes chéries, je sais que je n'ai rien fait dans les règles habituelles. Mais comprenez-moi aussi, même si vous allez me dire que je vous le demande sans arrêt.

Il parla à voix plus basse, après tout, l'assemblée et les autres n'avaient point besoin d'entendre tout, encore moins l'explication de gravure entre le marié et ses femmes.

Je sais que je vous ai annoncé des mariages qui étaient finalement rompus avant même la publication des bans. Dernièrement encore, mes fiançailles ont été rompues. Je sais que vous avez toutes souffert de ma vie amoureuse mouvementée, même si j'ai tenté de vous en protéger autant que possible. Liz est aussi notre cousine, à tous, elle est bien plus jeune que moi. Je le sais tout cela, mais j'en suis tombé amoureux. Elle n'est point femme avec qui l'on joue et que l'on abandonne. Je vous l'ai présentée comme membre de notre famille, car c'est ce qu'elle est et qu'à ce moment-là, notre relation n'était point clairement définie.

Il les regarda tour à tour.

Je ne voulais point la blesser, j'ai voulu la protéger en la conseillant sur les hommes. Et vous êtes bien placées pour savoir que j'en connais un rayon sur le sujet. Mais voilà, nous nous sommes rapprochés. Nos soirées devenaient des moments entre un homme et une femme et non plus uniquement entre membres d'une même famille. Je l'épouse non parce qu'elle est enceinte ou parce que je veux rattraper une erreur quelquonque, mais parce que je l'aime. Je sais que vous allez douter de mon sérieux vis à vis d'elle sur la durée, mais laissez-moi au moins la chance de vivre avec elle selon les liens que le Très-Haut a établis. Elle le mérite. J'ai précipité ce mariage pour ne point avoir des fiançailles à rallonge, avec des problèmes qui s'ajouteraient, multiples et variés comme vous en avez vu tant. Je veux m'engager envers elle, fonder une famille dont vous ferez toutes partie.

Il leur prit les mains et continua à leur parler, tour à tour, pour autant qu'il réussissait à leur tenir les mains et à capter leur attention.

Je suis heureux que vous soyiez présentes, toutes les trois, même si je n'ai réussi à vous réunir que lors de cette cérémonie, en bloc contre moi, parce que je n'ai point su organiser les choses dans l'ordre. J'en suis conscient. Nous en parlerons plus tard, chez les Dénéré si vous le voulez bien.

Il les regarda à nouveau avec un demi-sourire.

Laissez-nous terminer la cérémonie dans le calme, pour nous, pour Liz.

Il ne voulait plus envenimer la situation. Chacune devait y mettre du sien. Il retourna à sa place, fit un clin d'oeil à Fibi, regarda Bahia et hocha la tête. Il reprit la main de Liz et regarda la diaconnesse.

Je vous confesserais plus tard pour expier si vous le souhaitez. Dans les règles habituelles. L'heure n'est plus aux explications, mais à la cérémonie. Vous pouvez continuer à la célébrer avec l'accord de ma douce fiancée, bien sûr.

Il serra la main de sa douce.
Lanaelle.du.chastel
La diaconesse assistait à la confession publique de l'homme qui apparemment adorait les remous qu'il causait, sans doute pour se sentir important et irremplaçable comme tout bon coq qui passe d'une patte à l'autre pour faire admirer à sa basse cours la couleur de son plumage.

Elle souriait amusé par son manège qui ne trompait personne. Comment son amie avait pu faire confiance à un homme de cette trempe la, fusse-t-l de la même famille qu'elle mais cela ne la regardait pas et les mystères de l'amour sont impénétrables.
Attendant qu'il termine son petit numéro de drôle, les bras croisés calmement sur sa poitrine, elle prit enfin la parole quand la pseudo scène dramato-comique prit fin.

Mon enfant et néanmoins collègue, et oui enfant lui allait très bien comme petit nom, s'agissant de confession, vous me permettrez d'applaudir la prestation publique que vous venez de faire bien que d'habitude on fasse ça entre quatre yeux ou plutôt oreilles‏.

S’agissant de votre cas qui semble bien plus préoccupant que le mien, je pense établir un abonnement qui vous servira rapidement puisque pour vous la confession devrait s'opérer comme un médicastre vous l'ordonnerait, matin midi et soir‏. je réfléchis à un réveil nocturne par quelques cloches bien pendues pour une quatrième confession de nuit, ce qui j'en suis sure ne vous fera aucun mal‏.

je tiens à signaler qu’il n’y a nul autre fautif que vous dans cette affaire et ce n'est ni à vos filles ni à votre mère que je pourrais en tenir rigueur mais à la seule personne qui ici a fait venir le vent de la discorde en entachant le plus beau jour de la vie de la mariée.

je profite de cette interruption pour vous signaler que vous n'êtes pas doué en invitation apparemment et vous en avez omise une d'importance : Douchka. Vous venez vous marier dans sa ville et même si elle est absente pour le moment, vous auriez pu au moins la tenir au courant que vous veniez faire spectacle à Fougères.

A présent si votre famille veut bien faire silence et accepter que la cérémonie continue comme elle aurait dû commencer, je me ferais un plaisir de continuer l'office dans le calme‏.


La diaconesse regarda la mère et les filles du marié pour voir si enfin, elles acceptaient d’assister à ce mariage dans le calme.
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--Killi
Killi n'avait point fait de confession publique, puisqu'il avait murmuré, mais apparemment, la diaconnesse avait bien tendu l'oreille pour écouter ce qu'il avait à dire à ses femmes.

En effet, chère collègue, il insista sur le mot, je vois que votre ouie est très fine pour avoir entendu ce que je disais aux femmes de ma famille, à moins que cette église ne résonne plus que je ne le pensais. Occupez-vous déjà du respect des personnes et de leurs préoccupations sans leur hurler dessus comme poissonnière. Quand à Douchka, je ne vois point en quoi elle aurait dû être invitée, conviée à mon mariage.

Il se dressa devant elle, sentant la moutarde lui monter au nez fortement.

Est-ce à vous de me dicter la liste d'invités ? Que devez-vous encore commander ? Déjà, je vous signale que vous avez manqué de respect à une duchesse Royale. Que vous soyiez Bretonne, je m'en moque, lorsque l'on est dans l'église, l'appartenance locale ne compte point, il me semble.

Il prit le bras de Liz, descendit rapidement sans lui laisser le temps de réagir.


Fibi, Bahia, nous partons. Ce mariage ne se fera point ici.

Il regarda ses femmes.

Point d'excuses à attendre d'une telle personne, elle ne comprend rien. Allons-y, nous organiserons un mariage en bonne et due forme avec la famille.

Il descendit la nef avec sa fiancée au bras, se demandant comment elle pouvait être amie avec telle charretière. Il lui dit.


Je suis désolé mon ange, je ne puis continuer avec telle personne qui ne reste point dans son rôle et qui se permet d'insulter ma famille malgré mes demandes au calme.
Chimera..


Et l'Aubépine de se lever, puisque l'heure y est, et qu'importe la destination. Elle adresse un regard à Bahia, témoin à tous les sens du terme, qui ce jour, de toute évidence, ne pourrait pas attester qu'il avait assisté à l'union de deux êtres. Ce fiasco était-il donc un pied de nez du destin, faveur des amants par la nécessité du temps séparés, qui leur permettrait, au prochain essai, de remonter la nef au bras l'un de l'autre? Elle n'ose le croire, et n'avait osé, en s'opposant elle aussi, forcer
Chimera râle, au point que beaucoup ont fusionné ces deux mots, Chimera dénonce et peste, Chimera boude, mais rarement elle n'entrave. Ce jour donc, elle se ferait saule, et non soutien du NON ayant déjà par trop pour l'heure retenti. S'approchant de l'attroupement échauffé, elle intervient.


- Que d'incompréhensions, dues à ta seule précipitation, mon cousin. Vois, les dégâts que peuvent causer les indélicatesses de la hâte. Le soutien et la réjouissance d'autrui ne se commandent pas, et à trop vouloir les forcer, fils des faits accomplis, tu t'es attiré les réticences de celles qui te sont chères. Ton bonheur, pour être complet et englober ceux de ton entourage, devait attendre. Avais-tu peur que cet engagement fane comme tant d'autres si tu laissais ce projet patienter quelques temps? Cela aurait été là une manière d'éprouver vos volontés à tous deux, et de consolider, avec l'aval familial progressivement obtenu, les fondations de ce bel ouvrage. Il n'est pas trop tard. Rien n'est jamais perdu pour l'âme résolue.

Se tournant vers Lanaelle, officiante zélée et impulsive:

- La jeune fille n'a pas tort, Lanaelle. Demander à l'audience si elle s'oppose à l'union avant de la consacrer, c'est permettre l'opposition. Il faut l'accepter si elle survient, chercher à la comprendre et à la résoudre. En sus, Douchka n'a rien à faire ici. Elle n'a aucun droit de propriété sur cette ville ou cette église, moins encore depuis les événements qui ont conduit à son départ, et aucun lien avec les époux qui sont libres de convier qui ils le désirent. Les âmes passantes, je le crois, ne sont pas exclues, et peuvent ici pénétrer si elles le désirent. Si, du reste, vous aviez tenu à ce qu'elle soit conviée, c'était lors de la préparation de cette cérémonie qu'il fallait le signaler aux candidats aux noces, et non une fois la cérémonie en cours, sous un air de reproche. J'espère que vous le comprenez.

Elle inspire doucement, et termine, haussant une épaule. Le constat est triste à faire. Allons bon, on dit souvent qu'il faut parfois reculer pour mieux sauter.

- S'il faut ajourner ces noces, sortir d'ici et prendre le temps pour les uns de s'expliquer, pour les autres de s'excuser, pour tous de pouvoir se connaître pour mieux y revenir ensuite, ici ou ailleurs, et dans de meilleurs dispositions, afin que chacun se rappelle ce qui nous a tous conduits ici, à savoir le soucis du bonheur des deux êtres à l'honneur, alors c'est ainsi que cela doit être.

Tournant les yeux vers les candidats aux épousailles:

- J'ose espérer, si c'est le choix que vous faites, que vous convierez Lanaelle, Killijo, pour lui permettre de réaffirmer par sa simple présence que les réactions d'aujourd'hui n'étaient issues que du soucis d'accomplir la mission que vous lui aviez confiée.

Ceci étant dit, elle se déporte de quelques pas, allant se loger contre le flanc aimant du Comte de Ménéac.

Lanaelle.du.chastel
Elle écouta, dame Chimera, mais ne réagit pas, facile de tout lui mettre sur le dos, si le marié s’était comporté comme un homme et pas comme un gamin capricieux rien de tout ça ne serait arrivé.

Elle se demanda si chimera ne perdait pas la tête, être invité oh que nenni, finit les Dénéré, elle les avait assez vu et ne voulait plus rien à voir avec eux ni de près ni de loin,
dommage pour son amie, mais c’était la dernière fois qu’elle la voyait, elle lui souhaitait juste d’être heureuse et d’avoir une vie remplie de bonheur avec sa nouvelle famille, elle le méritait mais elle devrait se trouver un autre témoin.

Elle regarda les gens quitter l’église puis s’agenouilla devant l’autel et se mit à prier pensant à son parrain qui lui manquait tant.
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