Killijo_de_denere
- L'mait' va m'tuer... L'mait' va m'tuer... Cette regaine sonne à ses oreilles. Mais ne doit-il point obéir à sa dame ? Il se comporte comme un automate bien réglé. Il darde les alentours pour voir si quelqu'un les voit. Protection de la nudité de sa dame? Instinct de survie aussi. Même s'il ne donne pas cher de sa peau si le coq l'apprend. Tout excuse sera refusée. Niée. Révoquée. Sa dame est une idole. Personne ne peut la toucher. Encore moins la sécher ou autre
- Suis fou mais d'toute manière, suis déjà mort.
Il attrape le drap et en enroule la dame. Ce fessier arrondi, que ne rêve-t-il de le parcourir de ses mains à défaut de baisers comme son mari le faisait. Heureux homme. Fut-il fou pour la rendre si malheureuse ? Elle est faite pour l'amour. Elle le sait. Il voit ses yeux qui cherchent à vérifier l'effet de sa nudité sur son anatomie tendue à rompre le tissu des braies. Il se tient bien droit lui aussi, tendu comme la corde d'un arc. Il passe sa main dans son dos délicatement et, prenant son attitude pour une invitation à aller plus loin, il dépose un baiser un peu brusque, enfantin sur son épaule. N'a point l'habitude d'les embrasser. D'habitude, il arrive, elles son prêtes et hop ! L'affaire est faite. Il continue de caresser son dos plus qu'il ne l'essuie, son souffle devenant de plus en plus court. Comment qu'c'est dans une noble ? Est-ce c'est aussi bon qu'dans une catin ? Il descend la main dans le creux de son dos avec délicatesse, admirant la courbe de ses épaules et son cou délicat. Il hésite. Il s'agit tout de même de la femme de son maître, celui qu'il sert depuis l'enfance. Il est comme un père pour lui. Il est même devenu un modèle depuis qu'il a découvert l'amour physique avec Hildegarde, la belle Prussienne blonde comme les blés. Blonde comme la dame qu'il sert actuellement. Sa main descend sur le fessier presque malgré lui. Il doit l'essuyer partout sinon, elle va avoir des crevasses.
Elle sent les lèvres fébriles du valet se poser sur son epaule mais ne bronche pas.. Il l'essuie doucement mais elle n'est pas dupe et sait bien qu'il en profite pour la caresser ... La jeune femme n'en éprouve pas vraiment de plaisir si ce n'est que celui de savoir qu'elle le tient en son pouvoir. Décidée à le mettre au suplice elle lui fait face subitement ...
- Il faut m'essuyer partout ....
- ma dame... Sais pas... C'pas sérieux...
Il pose les mains sur ses hanches fines, hésitant.
-tu ne voudrais pas que j'ai la peau d'habimee Alois ...
Elle le regarde
- nan mais bon, c'est ouvrage de servante. L'mait' va m'tuer. Voulez pas qu'j'aille chercher une fille ?
- il n'y a pas de raison que ton maître s'amuse et pas moi ... mais si tu ne veux pas m'obéir je vais bien trouver un autre homme qui acceptera de me sécher par...tout !
Il promène ses yeux sur elle, serrant les poings pour retenir ses mains.
- non dame, j'vais faire! Promettez qu'y le saura jamais?
Elle lui offre un doux sourire ...
- tout comme il m'a "promis" qu'il n'etait pas le père de l'enfant d'aldegonde ...
Elle se positionne afin qu'il puisse à pleine vue .. profiter du "spectacle"
Tout en essuyant avec des effleurements ciblés, il continue.
- Savez, d'puis qu'y est marié avec vous, l'est bien pu sage. C'pas lui l'pere. Une catin c'te gamine. J'l'ai prise aussi. On peut pas dire qui qu'est l'pere dans l'bande
Elle ne l'ecoute pas vraiment se concentrant pour rester face à lui et pas fuir ...
- Alois je le connais
Ses yeux brillent, sa bouche bave. Il ne sait plus quel jour on est. L'essuyage continue même si tout est sec.
- y est sincère
- moi aussi ... je le suis .. Essuie un peu là je sens encore des gouttes .
Elle lui indique un sein. Aloïs se met à trembler
- oh dame... Non...
Il tapote doucement le sein en jetant des regards inquiets autour de lui
Z'allez vous rhabiller hein. Pis on va oublier ça. Faut vous réconcilier, l'est trop malheureux. Y vit même pu dans sa maison
Un sourire se dessine sur les lèvres de Liz...
- passe moi mon corsage et lace le s'il te plait ... ah oui ? Il a troivé refuge chez une de ses poules je presume
Aloïs l'aide a enfiler son corsage et lui fait tenir le corset.
- chez la maréchale. Elle veut pas qu'j'viens chez elle.
Liz de Dragoste deglutit lentement essayant de garder son calme
- passe moi ma houppelande ...
Aloïs lui donne sa houppelande et l'aide à l'enfiler.
- L'a une chambre' pour lui, qu'y m'a dit. Elle lui fait à manger et lui prête des vêtements, qu'y m'a dit, mais y va pas rester pour par faire d'histoires
Liz ne relève pas et lisse sa robe ... parfait ...elle est prête ... Elle regarde le valet et lui donne un petit baiser ... histoire de le remercier de sa peine ...
- Allons à la taverne veux tu ... on ne sait jamais sur qui on va tomber ici ...
- 'fin, j'vous dis ça... Savez rien,hein !C't'entre nous ! Euh... Euh... Oui, m'dame
Il se demande encore ce qu'il lui est arrivé et la devance vers la taverne pour lui faire place.
** Ecrit à 4 mains avec JD Liz pour pas perdre les saveurs d'un RP en live**
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Chez moi
- Suis fou mais d'toute manière, suis déjà mort.
Il attrape le drap et en enroule la dame. Ce fessier arrondi, que ne rêve-t-il de le parcourir de ses mains à défaut de baisers comme son mari le faisait. Heureux homme. Fut-il fou pour la rendre si malheureuse ? Elle est faite pour l'amour. Elle le sait. Il voit ses yeux qui cherchent à vérifier l'effet de sa nudité sur son anatomie tendue à rompre le tissu des braies. Il se tient bien droit lui aussi, tendu comme la corde d'un arc. Il passe sa main dans son dos délicatement et, prenant son attitude pour une invitation à aller plus loin, il dépose un baiser un peu brusque, enfantin sur son épaule. N'a point l'habitude d'les embrasser. D'habitude, il arrive, elles son prêtes et hop ! L'affaire est faite. Il continue de caresser son dos plus qu'il ne l'essuie, son souffle devenant de plus en plus court. Comment qu'c'est dans une noble ? Est-ce c'est aussi bon qu'dans une catin ? Il descend la main dans le creux de son dos avec délicatesse, admirant la courbe de ses épaules et son cou délicat. Il hésite. Il s'agit tout de même de la femme de son maître, celui qu'il sert depuis l'enfance. Il est comme un père pour lui. Il est même devenu un modèle depuis qu'il a découvert l'amour physique avec Hildegarde, la belle Prussienne blonde comme les blés. Blonde comme la dame qu'il sert actuellement. Sa main descend sur le fessier presque malgré lui. Il doit l'essuyer partout sinon, elle va avoir des crevasses.
Elle sent les lèvres fébriles du valet se poser sur son epaule mais ne bronche pas.. Il l'essuie doucement mais elle n'est pas dupe et sait bien qu'il en profite pour la caresser ... La jeune femme n'en éprouve pas vraiment de plaisir si ce n'est que celui de savoir qu'elle le tient en son pouvoir. Décidée à le mettre au suplice elle lui fait face subitement ...
- Il faut m'essuyer partout ....
- ma dame... Sais pas... C'pas sérieux...
Il pose les mains sur ses hanches fines, hésitant.
-tu ne voudrais pas que j'ai la peau d'habimee Alois ...
Elle le regarde
- nan mais bon, c'est ouvrage de servante. L'mait' va m'tuer. Voulez pas qu'j'aille chercher une fille ?
- il n'y a pas de raison que ton maître s'amuse et pas moi ... mais si tu ne veux pas m'obéir je vais bien trouver un autre homme qui acceptera de me sécher par...tout !
Il promène ses yeux sur elle, serrant les poings pour retenir ses mains.
- non dame, j'vais faire! Promettez qu'y le saura jamais?
Elle lui offre un doux sourire ...
- tout comme il m'a "promis" qu'il n'etait pas le père de l'enfant d'aldegonde ...
Elle se positionne afin qu'il puisse à pleine vue .. profiter du "spectacle"
Tout en essuyant avec des effleurements ciblés, il continue.
- Savez, d'puis qu'y est marié avec vous, l'est bien pu sage. C'pas lui l'pere. Une catin c'te gamine. J'l'ai prise aussi. On peut pas dire qui qu'est l'pere dans l'bande
Elle ne l'ecoute pas vraiment se concentrant pour rester face à lui et pas fuir ...
- Alois je le connais
Ses yeux brillent, sa bouche bave. Il ne sait plus quel jour on est. L'essuyage continue même si tout est sec.
- y est sincère
- moi aussi ... je le suis .. Essuie un peu là je sens encore des gouttes .
Elle lui indique un sein. Aloïs se met à trembler
- oh dame... Non...
Il tapote doucement le sein en jetant des regards inquiets autour de lui
Z'allez vous rhabiller hein. Pis on va oublier ça. Faut vous réconcilier, l'est trop malheureux. Y vit même pu dans sa maison
Un sourire se dessine sur les lèvres de Liz...
- passe moi mon corsage et lace le s'il te plait ... ah oui ? Il a troivé refuge chez une de ses poules je presume
Aloïs l'aide a enfiler son corsage et lui fait tenir le corset.
- chez la maréchale. Elle veut pas qu'j'viens chez elle.
Liz de Dragoste deglutit lentement essayant de garder son calme
- passe moi ma houppelande ...
Aloïs lui donne sa houppelande et l'aide à l'enfiler.
- L'a une chambre' pour lui, qu'y m'a dit. Elle lui fait à manger et lui prête des vêtements, qu'y m'a dit, mais y va pas rester pour par faire d'histoires
Liz ne relève pas et lisse sa robe ... parfait ...elle est prête ... Elle regarde le valet et lui donne un petit baiser ... histoire de le remercier de sa peine ...
- Allons à la taverne veux tu ... on ne sait jamais sur qui on va tomber ici ...
- 'fin, j'vous dis ça... Savez rien,hein !C't'entre nous ! Euh... Euh... Oui, m'dame
Il se demande encore ce qu'il lui est arrivé et la devance vers la taverne pour lui faire place.
** Ecrit à 4 mains avec JD Liz pour pas perdre les saveurs d'un RP en live**
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Chez moi