Yris_
...Je te suivrai dans les mondes imaginaires. On s'en va de l'ombre à la lumière. Pour que rien ne se fige, Je te suivrai jusqu'au vertige. Suis-moi jusqu'au bout de l'avenir, Dans les ciels d'espace où tout chavire.
De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Tu n'auras plus jamais peur de la nuit.
Si tu me donnes la main aujourd'hui, Fais-moi confiance, j'ouvrirai les portes. Ferme les yeux, je t'emporte. Viens me chercher d'un regard Ou d'un sourire, Viens me chercher, viens me voir.
J'veux plus mourir .Viens me donner tout de toi Et, sur la terre, Montre-moi, Où est la lumière...*
Il est beau, violent, passionné, tendre, déchirant, étriqué entre rires et larmes, entre bonheur et désarroi, entre solidité et instabilité. Le premier amour est fort, intouchable, impérissable, indestructible. Il nous fait passer par des émotions prenantes, nous chatouille le cur, nous illumine les yeux, donne un sens à notre vie. Et puis il seffondre. Dun coup.
Un bel après-midi dautomne. Tout sarrête. Des brigands, une bataille, un enlèvement. Plus rien.
Et puis une sortie dun bois, une lumière. Une nouvelle vie. Mais les souvenirs restent encore plus profonds. On les garde, on les cache.
Elle marchait ce jour sur les routes de Franche Comté avec ses souvenirs, ses douleurs en pensant à un homme quelle navait pas oublié. Oh non elle navait pas oublié ce soir- là , cette nuit-là. Un an et rien n'est oublié.
Son odeur, sa peau, son corps chaque trait de son visage. Cette nuit. La plus belle quelle n'ait eu. Elle l'aimait. Il était tout pour elle. Deux êtres audacieux, presque victorieux par leur acte de cette nuit là. Deux vagues, qu'une violence tel un tsunami, avaient osé.
Elle existait, elle était à l'abri. Ce n'était pas de la luxure mais bien de l'Amour entre eux deux.
Sur ce chemin, elle eut limpression de lentendre, une étrange sensation dêtre suivie mais elle navait pas peur
* François Feldman, suis moi et viens me chercher. https://www.youtube.com/watch?v=iYZXarpCn_w
De démons et merveilles. Suis-moi jusqu'au soleil. Tu n'auras plus jamais peur de la nuit.
Si tu me donnes la main aujourd'hui, Fais-moi confiance, j'ouvrirai les portes. Ferme les yeux, je t'emporte. Viens me chercher d'un regard Ou d'un sourire, Viens me chercher, viens me voir.
J'veux plus mourir .Viens me donner tout de toi Et, sur la terre, Montre-moi, Où est la lumière...*
Il est beau, violent, passionné, tendre, déchirant, étriqué entre rires et larmes, entre bonheur et désarroi, entre solidité et instabilité. Le premier amour est fort, intouchable, impérissable, indestructible. Il nous fait passer par des émotions prenantes, nous chatouille le cur, nous illumine les yeux, donne un sens à notre vie. Et puis il seffondre. Dun coup.
Un bel après-midi dautomne. Tout sarrête. Des brigands, une bataille, un enlèvement. Plus rien.
Et puis une sortie dun bois, une lumière. Une nouvelle vie. Mais les souvenirs restent encore plus profonds. On les garde, on les cache.
Elle marchait ce jour sur les routes de Franche Comté avec ses souvenirs, ses douleurs en pensant à un homme quelle navait pas oublié. Oh non elle navait pas oublié ce soir- là , cette nuit-là. Un an et rien n'est oublié.
Son odeur, sa peau, son corps chaque trait de son visage. Cette nuit. La plus belle quelle n'ait eu. Elle l'aimait. Il était tout pour elle. Deux êtres audacieux, presque victorieux par leur acte de cette nuit là. Deux vagues, qu'une violence tel un tsunami, avaient osé.
Elle existait, elle était à l'abri. Ce n'était pas de la luxure mais bien de l'Amour entre eux deux.
Sur ce chemin, elle eut limpression de lentendre, une étrange sensation dêtre suivie mais elle navait pas peur
* François Feldman, suis moi et viens me chercher. https://www.youtube.com/watch?v=iYZXarpCn_w