Cmyrille
Toi tu es la seule.
Quelques années auparavant, alors en pleine visite en Bretagne, une femme disparut, sans prévenir, sans laisser d'adresse, sans même un au-revoir. Et certaines choses qui n'auraient pas dû être oubliées furent perdues. Car le cur des hommes est aisément corruptible, et l'appel de la route prit notre héros par la main pour ne plus le ramener dans cette partie du monde. Pendant presque mille jours il arpenta le Royaume de France, sans attaches, sans relâche.
Mais une ombre à l'Ouest engendra une rumeur portée par les vents marins, murmure d'une peur sans nom. Dans les terres de Bretagne, un fléau s'est à nouveau levé, ravageant d'abord la ville de Fougères. Un cataclysme rose et dandinant.
Notre héros, alors de retour en sa propriété périgourdine, eu vent de ce bruit qui s'élevait toujours plus haut et plus loin, semant la peur dans le cur des habitants. Il s'était fait soldat pendant quelques semaines, aussi le souvenir vivace des atrocités de la guerre lui permit de passer outre la terreur banale ressentie par ses compatriotes. Bien que beaucoup affirment qu'il n'y ai pas de fumée sans feu, pour sa part il est surtout convaincu d'une invention des bretons pour éviter une invasion armées par leurs voisins. Ou pour couvrir leurs propres opérations militaires agressives. La peur. Une grande arme pour qui sait la manier. Aussi, quand sa capitaine lui apprit qu'elle envoyait son armée en exploration en Bretagne pour trouver l'origine de cette rumeur et y mettre fin, il se permit un haussement d'épaule et une réponse laconique. "J'préfèrerai me couper une jambe que d'y aller."
Mais techniquement il préférait surtout aller au tournoi de Genève plutôt que d'aller trainer ses guêtres en Bretagne à la recherche vaine d'une précieuse qui l'a abandonné à son triste sort. Mais le temps est venu où les pigeons vont influer sur l'histoire du monde... Ou au moins sur la sienne.
Quelques années auparavant, alors en pleine visite en Bretagne, une femme disparut, sans prévenir, sans laisser d'adresse, sans même un au-revoir. Et certaines choses qui n'auraient pas dû être oubliées furent perdues. Car le cur des hommes est aisément corruptible, et l'appel de la route prit notre héros par la main pour ne plus le ramener dans cette partie du monde. Pendant presque mille jours il arpenta le Royaume de France, sans attaches, sans relâche.
Mais une ombre à l'Ouest engendra une rumeur portée par les vents marins, murmure d'une peur sans nom. Dans les terres de Bretagne, un fléau s'est à nouveau levé, ravageant d'abord la ville de Fougères. Un cataclysme rose et dandinant.
Notre héros, alors de retour en sa propriété périgourdine, eu vent de ce bruit qui s'élevait toujours plus haut et plus loin, semant la peur dans le cur des habitants. Il s'était fait soldat pendant quelques semaines, aussi le souvenir vivace des atrocités de la guerre lui permit de passer outre la terreur banale ressentie par ses compatriotes. Bien que beaucoup affirment qu'il n'y ai pas de fumée sans feu, pour sa part il est surtout convaincu d'une invention des bretons pour éviter une invasion armées par leurs voisins. Ou pour couvrir leurs propres opérations militaires agressives. La peur. Une grande arme pour qui sait la manier. Aussi, quand sa capitaine lui apprit qu'elle envoyait son armée en exploration en Bretagne pour trouver l'origine de cette rumeur et y mettre fin, il se permit un haussement d'épaule et une réponse laconique. "J'préfèrerai me couper une jambe que d'y aller."
Mais techniquement il préférait surtout aller au tournoi de Genève plutôt que d'aller trainer ses guêtres en Bretagne à la recherche vaine d'une précieuse qui l'a abandonné à son triste sort. Mais le temps est venu où les pigeons vont influer sur l'histoire du monde... Ou au moins sur la sienne.