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[RP] L'alcool, donne des ailes.

Anna_mael
"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !
Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !" Paroles de "Mangez moi" - Billy Ze kick.


Par une soirée de Décembre, en pleine capitale de Bourges, une taverne était encore éclairée tard dans la soirée. Quatre lurons, complètement ivre, s'amusent, rient, racontent des âneries, bien plus énorme qu'eux. Mais peu importe, l'alcool ça réchauffe, ça amuse la galerie.

La jeune Ambroise faisait partie de ces personnes, elle qui ne tient absolument pas l'alcool, là pour sûr, elle était à la limite de ce qu'elle pouvait endurer. Elle ne tenait presque plus debout, et sa sortie de taverne était des plus théatrales. Après quelques chutes, elle était dehors. L'air froid de l'hiver vient titiller son minois, encore rouge des vapeurs de l'alcool. Mais cela l'amuse, elle rit aux éclats. Qu'on se le dise, elle en tenait une bonne.

Bourges et ses folies, elle pourrait y prendre goût. Mais pour l'heure, il lui fallait retrouver le chemin de Lignières... Et cela, ce n'était pas gagné !
La jeune rouquine titube, elle chantonne même, toute guillerette.

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"


Faut pas chercher bien loin, du pourquoi ces paroles. De la faute à Marion ! Cette jeune femme blonde avait parler qu'elle aimait croquer les autres, et l'alcool avait poussé Anna à fredonner ces paroles. Ah les joies de l'alcool, ça vous fait faire toute sorte de chose.

Sa chevelure flamboyante virevoltait au grè de la légère brise. Le froid, elle ne le ressentait pas à cet instant. La jeune demoiselle avait oubliée sa cape, elle n'était vêtue que de sa robe, certes pas légère, mais qui ne la protégeait pas du froid non plus.
Quoi qu'il en soit, elle savait que son ombre ne devait être pas très loin. Après tout, il lui avait promis. Il serait là toujours, tapis dans l'ombre, à l'observer, la surveiller, et la protéger si cela devait arriver.


"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"


La vue est trouble, elle ne distincte pas très bien ce qui l'entoure. Mais peu importe, elle continue d'avancer, elle s'insinue dans les ruelles sombres. Il fait nuit noir, mais elle n'a pas peur... L'alcool, encore et toujours.

"Georges !"


Un cri, un appel plutôt. Elle veut qu'il soit là proche d'elle. Comme elle avait signifier à sa sœur, elle voulait lui sauter dessus.

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"


Une ombre qui se mouve là, au coin de cette rue. Était-ce lui ? Probablement que oui, qui pourrait bien se faufiler parmi les ombres en pleine nuit, si ce n'est lui.
Elle veut se faire discrète à présent, pour le prendre par surprise. Bien entendu, c'est loin d'être gagner. Elle trébuche une fois de plus...


"Rhaaaa mais non ! Georges, arrêtes de fuir !"


Elle se redresse, non sans mal. Elle titube encore, tourne au coin de la ruelle... L'ombre est présente, non loin de là, elle s'approche et lui saute sur le dos.


"Je t'ai eu !"


Mais ce grognement qui se fait entendre... Non, ce n'est pas lui. Mais qui est cette ombre qui danse au milieu de la nuit ? Mieux vaut fuir à présent.

"Désolé, je vous ai prie pour un autre..."


Penaude, elle descend du dos de l'inconnu. Mais une voix retentit.

"Je peux être qui tu le souhaites."


L'adrénaline pulse alors dans son corps. Il lui faut fuir, dès maintenant, elle le sait, elle le sent. Le danger n'est pas très loin.
Mais il doit être là, pas loin... Son unique. Il ne peut pas en être autrement. Il lui a promi qu'il veillerait sur elle, qu'il serait toujours là.


"Cesse de réfléchir, Anna, fuis aussi loin que tu le peux." La petite voix sur son épaule se fait entendre, la jeune femme tourne les talons alors que l'ombre présente tourne sur elle même pour lui faire face. "Maintenant ! Cours !" N'écoutant que son courage, et cette adrénaline qui pulse dans son sang, elle se met à courir à en perdre haleine. Elle perd pied un bon nombre de fois, elle s'écrase sur le sol recouvert de neige, elle glisse par moment pour se retrouver sur les fesses... Mais la douleur n'est pas présente, galvanisée par l'alcool et l'adrénaline, elle ne ressent rien.

Elle s'échappe, mais l'ombre ne la poursuit pas pourtant. Qui était-il ?

Au détour d'une ruelle, elle trébuche dans des bras fort, puissant... Ce sont les siens, à présent elle en ai certaine. Elle les reconnaîtrait entre mille... Il est là, il tenait sa promesse... Il n'était jamais bien loin.

"Georges !"


Sans attendre, elle prend appuie sur ses jambes, exerce une légère pulsion pour sauter dans ses bras, sans élan aucun. Les jambes encerclent la taille masculine, et ses lèvres viennent s'écraser contre les siennes...
Georges_c
Georges n’était jamais loin, n’y voyez pas l’homme protecteur ou même garde du corps de son Anna, rien d’autre de plus qu’une présence amusante et plaisante veillant sans véritable vigilance au déboire de la douce. Comment ne pas fondre devant ce duel infatigable de la bienséance imposé par le nom et le rang de la rousse au conflit qui l’amène à connaître le sombre monde d’un jais étincelant. Des affrontements indélicats amenant les pensées aux flammes des désirs, connaître l’insondable tapi au tréfonds de l’âme, cette bête cornue attendant l’heure ou son patin ne serait plus qu’un jouet soumis à ses désirs enfouis. Et Georges en est une des parts de cette œuvre, le désir de faire connaître le tumulte décelé depuis si longtemps dans le regard envouteur de la belle. Georges y sombre comme il s’en plait dans les nuits sans lune à connaître les mondes tapis sous le corps d’une terre belle et orgueilleuse.


Et cette nuit de décembre, dans les ruelles calmes de Bourges, où seul s’illumine encore la taverne dans laquelle les lurons font la foire aux convenances. Comment ne point profiter de ce spectacle quand on connait la beauté de l’alcool, celui de faire disparaitre les carapaces pour dévoiler dans la lumières le fond d’une âme sans la moindre pudeur. Ô oui, qu’il aimait la voir rougies par ce fléau, au point de révéler ce que lui a pu déceler depuis des lunes et des lunes. Un sourire égaille d’avantage son visage sombre laissant entrevoir derrière le rideau de la nuit, une Anna riant aux éclats, chantant à tue-tête, titubant de plus belle et le regard luisant de ce breuvage immorale.


Georges l’observe silencieux, il n’aime lui montrer si facilement sa présence, elle pourrait penser qu’il veille, qu’il surveille, qu’il protège ou simplement qu’il la harcèle ou qu’il la suit. Hors ce n’est que le constat de cette nature de beauté tapie dans l’ombre qui l’attire, comment ne point prendre plaisir à prendre la main de cette flamme, pour l’amener avec lui dans l’ombre des nuits, dans les vapeurs envoutantes, dans les luxures paradisiaques. Que dire quand son regard sculpte le corps d’un désir simple, d’un désir charnel pour cette jeunesse éphémère. La désirer, il le fait depuis si longtemps mais s’astreignant pourtant à ne rien lui voler par la force, même si …


La langue glisse sur les lippes, n’aurait il dut ne pas boire, ne point gouter aux extraits de plantes amenant la conscience dans une monde brumeux, car son envie de la mangez ne cesse de croitre. Ce sentiment indomptable se querellant avec la tension du corps, pourquoi s’astreint il autant à lutte contre ses désirs alors que la nuit le désir prend vie dans ses gestes, ses murmures, ses regards. Avec elle il s’astreint pour la laisser glisser d’elle-même dans l’irraisonnable folie. Alors c’est dans le silence qu’il l’observe, chancelante, les épaules offertes à la vue, la rougeur des flammes se dessinant sur les joues. Désir, tais-toi encore un peu !


Ses pas sont silencieux, du moins pour une personne comme sa proie ébahie dans un état d’alcoolémie avancée. Les mouvements dans la nuit sont fluides car le prédateurs guettent avide sa proie.


Soudain elle l’appelle, mais il ne répond pas.


Elle s’avance droit devant elle en direction d’une ombre qui ne peut être sienne.
Elle trébuche, elle l’appelle par son nom.
Que va-t-elle bien faire.
Il guette, il observe mais il se tait toujours.
Elle se relève, elle avance, elle l’appelle.
Elle saute sur le dos de l’ombre, il sourit, il s’énerve.


Soudain le monde prend un sens différent. L’étranger se tourne vers elle, le regard aussi lubrique que le sien. Il semble prédateur comme lui, il semble dangereux comme lui. L’ennuie avec la nuit est que les monstres sortent de leur placard pour envahir le monde. Démon, et pucelle se retrouvent dans un monde fantastique ou règne les bêtes dans une intrépide cavalcade. La nuisance se tient à présent face à la rousse. Il la dévore. Elle se met à courir dans la ruelle enneigée, combien de mètres les sépares, un certains nombres. Alors Georges quitte sa tanière au bord de la ruelle, son ombre se dessinant à présent à l’embrasure de cette ruelle. Une ombre face à une ombre, le duel pourrait naître de cet affrontement. Pourtant … l’autre ne bouge pas, au contraire il abandonne la proie, un duel n’est pas envisageable dirait on … dommage !


Son regard se porte sur Anna à présent, qui court en sa direction sans même le savoir, qui trébuche, et se relève. Il a peur, elle s’inquiète mais il est là, il attend. Soudain elle plonge dans ses bras, le visage coller contre son torse. D’abord un tremblement, un temps de réaction puis sa voix frêle murmure son nom. Un sourire mais point le temps de répondre.


Elle se jette sur lui, les jambes enserrant sa taille, et ses lèvres viennent s’écraser sur les siennes.


    Toujours à te mettre dans les ennuis, ma princesse ?

Anna_mael
Les convenances sont toujours de mise pour la jeune Ambroise, même si cela est difficile à mettre en place. Elle s'efforce à certains moments, de paraître... Car cela semble important pour son aînée, la cadette ne doit guère faire de vague, plus qu'elle n'en a déjà fait. Mais c'est plus fort qu'elle, elle a besoin de ces frasques pour se sentir elle, pour se sentir vivante.
Et ce soir là, ne déroge pas à la règle... Totalement ivre, chantant à tue-tête... Elle s'était embourbée dans une misère pas possible, un homme qui la poursuit. Bien sur, c'est sans compter sur la présence de son unique, jamais bien loin... Elle n'en connaît pas les réelles raisons, pour elle, il veut juste la surveiller, la protéger. Mais qu'en est-il réellement ?

Pour l'heure, les lèvres se sont écrasées furtivement sur celles masculines, une envie soudaine, une lubie qu'elle ne peut expliquer... Les bras passent autour de son cou, les mains se joignent dans le vide, les bras posés sur les épaules... Les iris se posent sur les sibyllines, un regard louche dû à l'alcool ingurgité plus tôt dans la soirée...

"Toujours... Tu me connais..."

"J'aime les ennuis... Mais toi, je t'aime encore plus..."


La jeune rousse remue sur son acolyte, un sourire torve aux lèvres... L'alcool, ça donne des ailes...

"J'ai envie que l'on s'amuse tous les deux..."

"Montre moi la profondeur des ténèbres..."

"Au diable les convenances !"

"J'en ai assez de jouer... Je veux être moi !"


Depuis ce baiser électrisant de la matinée où elle lui avait tout avouer sur la relation avec son frère, une envie est née. Là tout au fond de ses entrailles, ça la tourmente, elle ne peut avoir ce genre de pensée pour lui... Mais ce soir, elle s'en moque, elle veut se laisser porter par ce tourment, se brûler les ailes, se brûler tout court... Découvrir avec lui, les affres de l'enfer... Encore, toujours...

"Fais de moi celle que je dois être..."

"Oh oui, fais de moi celle que tu veux que je sois..."

"Jouons à un jeu dangereux, je m'en moque..."

"Il n'y a que toi qui compte..."


La dextre vient se glisser sur les traits de ce visage sombre, l'index les dessine... La senestre glisse sur la nuque, les jambes resserrent leur étreinte autour des hanches... La lippe rosée est prisonnière de ses canines...


"Avec toi, rien est impossible..."

"Rien est interdit..."


Puis un sourire se dessine...


"Ecoute moi..."


Et de reprendre la chansonnette, doucement, pour lui... Ah l'alcool...

"Mangez moi ! Mangez moi ! Mangez moi !"

_________________
Georges_c
La folie d’un instant amène bien souvent à des étranges destins. La rousse est enivré virevoltante dans une folie passagère, mais Georges n’en est pas moins dans un monde brumeux, mélange d’opium et d’alcool, poison rongeant ses entrailles, se laissant sombrer dans ce monde qu’il affectionne tant. Les barrières des convenances explosent, laissant la bête déchainé ses envies pulpeuses, sombrant dans la décadence d’une danse lancinante. Le conformisme n’est qu’un mot dans ce siècle, et d’avantage quand on se laisse choir dans le monde illusoire fracassant la porte de l’interdis. L’homme se laisse porter par ses envies oubliant toutes convenances. Alors imaginons un instant les deux êtres se défaisant de leur paraître pour se laisser porter par les envies profondes.

Le corps se love contre le sien, les jambes enserrent la taille, lovant leurs bassins dans une union parfaite. Nulle dissimulation n’existe à cet instant précis, le souffle rauque s’embrassant dans une chaleur endiablée. Les mots embrassent la chair, les étincelles du désir s’enflamment dans la démence. Les iris se croisent, et se dévore dans une décadence indéniable. Seul un début de murmure s’échappe des lèvres de l’homme, voix caverneuse et rauque d’un diable jaillissant de sa boite.

    Si c’est ce que tu désires …


Les mains se glissent sur les reins avant de venir se poser sur les rondeurs. L’homme referme la prise, la soulevant légèrement avant de s’avancer, lui plaquant le dos contre le mur froid de cette ruelle sombre. Alors que son corps se love contre elle, le basin s’enfonçant dans le sien présence écrasante de sa masculinité sur elle, il laisse les lèvres jouer des siennes, aspirer cette lèvres pulpeuse inférieur, glissant sur la joue, jusqu’au lobe, cette voix suave de désir murmure à l’oreille de son Anna.

    Amusons-nous...
    Au diable les convenances …
    Libère tes entraves …
    Jouons encore, mais à un autre jeu …


Le jour dans son état de conscience humaine, il n’oublie pas leur lieu, ni leur promesse. Il n’oublie pas qui ils sont ne pouvant franchir les limites qu’ils s’imposent dans la bienséance. Le jour il est vêtu de son voile blanc, épaule droite d’Anna, murmurant les convenances et les bienséances. La nuit, parée de son voile rouge, épaule gauche d’Anna, murmurant les diableries et les pêches d’un corps, oubliant tout pour désirer sa convoitise. Elle se laisse soustraire à ce monde, se glissant pour une nuit dans la sienne. Brulons-lui les ailes. Le corps de Georges s’écrase d’avantage sur celui de la rousse, obtenant un murmure, un souffle. Une main libère son étreinte sur la rondeur, glissant sur le bras, remontant sur l’épaule avant de s’emparer de cette courbes désirables qu’l convoite d’un désir croissant. La main l’enserre, l’effleure, le caresse, glisse à sa pointe pour en jouer d’avantages. Les doigts l’écrase, joue de ses pointes, attise d’avantage cette pointe froide et dur.

    Laisse-moi faire de toi, une femme …
    Laisse-moi posséder ton corps …
    Laisse-moi te posséder...


La seconde main quitte à son tour la rondeur, glissant lentement mais vigueur sur l’extérieur de la cuisse, avant de se frayer un chemin vers l’intérieur de cette cuisse remontant cette dextre masculine désireuse de découvrir cette intimité. Les lèvres viennent lui violer les siennes, aspirant celle-ci avant de laisser la folie de l’instant intensifier d’avantage chaque mouvement. Plus dur, plus violent, plus masculin. Il la découvre d’abord par-dessus le tissu, avant d’en glisser les bouts pour en sentir la chaleur de cette peau.

    Je ne te mangerai pas... Je vais te dévorer.
Anna_mael
Comment pouvons-nous expliquer, le fait qu’un homme et une femme, puisse autant s’attirer, sans pour autant succomber, et vivre cette relation, aussi ambiguë fusse-t-elle, comme une amitié profonde ?
Entre Georges et Anna, c’est exactement cela. Depuis leur rencontre, on peut ressentir une certaine attirance l’un envers l’autre, et celle-ci c’est affirmer de jour en jour, pour devenir plus forte encore, plus brûlante. Mais à part des baisers échangés, ils n’étaient jamais allés plus loin. Ils ont toujours eu la décence de s’arrêter avant de ne déraper.

Mais aujourd’hui, cette soirée, cette nuit, sous les effets de l’alcool, elle se laisserait totalement aller, elle succomberait à cet homme qui l’attire au plus haut point, elle s’abandonnerait corps et âme pour lui… Et il semblerait que ce soit le cas pour lui également.
Il suffit de voir cette proximité entre eux, et le fait qu’il ne la repousse pas. Bien au contraire, il la pousse un peu plus à fauter avec lui… Un murmure, un frisson, les paupières se ferment à demi… Et ce sentiment naissant là, au creux de son sein… Et cette sensation, dans son bas ventre, comme si une kyrielle de papillons s’envolaient…


"C’est ce que je veux…"

"Plus que jamais…"


Et là… La prise masculine est parfaite, elle fait miroiter tellement de chose… Les rondeurs dans ses mains, le dos qui se plaque contre le mur, les sens en éveil… Et le contraste entre le froid de la pierre, et la chaleur qui émane de son corps… Le corps de son unique contre le sien, cette virilité dont il fait preuve, et qu’elle ressent… Le palpitant s’emballe, la respiration s’accélère. La jeune femme boit les paroles de son divin, elle s’enivre… La dextre descend le long de son épine dorsale, tandis que la sénestre s’empare de sa nuque pour le garder au plus près d’elle… La gourmande s’échappe de ses lippes, pour venir titiller le lobe masculin, puis elle susurre d’une voix mélodieuse, sensuelle…

"Fais-moi découvrir…"

"Emmène-moi là où les convenances n’existent pas…"

"L’appel du désir…"

"Accomplis ta mission…"

"Que l’enfer me gagne…"

"Que le sans nom m’emporte…"


La jeune rouquine est avide de sensation, elle en demande toujours plus à son unique divin… Qu’il fasse d’elle sa princesse des enfers, elle s’en donnerait à cœur joie. Et tandis que les mains masculines s’aventurent, la belle desserre son étreinte, s’écarte très légèrement… Et sans crier gare… Arrache la chemise de son parfait diablotin… L’océan plonge dans l’insaisissable, des flammes doivent se refléter dans ses pupilles… Elle le désire plus que tout… Ses ongles glissent le long de cette peau à découvert…

"Fais de moi, une femme."

"Possède-moi, corps et âme."

"Je suis tienne…"

"Prends possession de ton bien…"

"Nargue moi…"

"Amuse toi…"

"Mais surtout, fais-moi sentir belle…"

"Fais-moi sentir femme…"

"Fais-moi sentir tienne…"

"Fais-moi vibrer…"

"Tourmente moi…"


La fille au convenance c’est envolé, pour laisser place à une jeune femme passionnée, qui n’a point envie de se retenir, qui donnerait tout pour sombrer dans les abysses de l’enfer, à ses côtés… Avec lui, rien qu’avec lui… Les lippes se font violé, et elle aime cela… Elle empoigne la chevelure masculine, lui mordille la lèvre, l’aspire… Le bassin ondule contre le sien, et de sa dextre, remonte les pans de sa robe…

"Dévore moi…"

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