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[RP] Joutes - Les lices -

Dacien_de_chenot
~Huitième de finale~



Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.

VS

Ayelle de Chenot,
Duchesse de Coni et de Luserne,
Vicomtesse de Thonon.




Avec la fin des éliminatoires commencent les huitièmes de finale. Pour le premier combat on retrouve Le Seigneur de Longefoy d’un côté et de l’autre la Duchesse de con et Luserne.
Un nouvel duel homme VS femme.
Tout comme les premières fois le drapeau se lève pour donner le signal d’attention puis s’abaisse et avec lui sonne le cor.
Les montures s’élancent et au premier passage les deux jouteurs se loupent.
Ils préparent le second passage, baissent leurs lances, visent et Dacien touche Ayelle, le coup est fort léger, peut être par preuve de galanterie mais suffisant pour désarçonner la belle Duchesse et la faire choir au sol.


- Par chute de son adversaire, Messire Dacien de Chenot est déclaré vainqueur de ce match.

Le public très heureux de ce spectacle, applaudit les deux jouteurs.





Les joutes prenaient une tournure qu'il n'avait pas envisagée. Ce duel qui opposerait Elektra à Elwin le préoccupait à tel point qu'il n'avait même pas pensé à regarder qui serait son adversaire pour les huitièmes de finale. C'est Elektra qui vint le prévenir qu'il jouterait contre Ayelle.
Ainsi donc le sort en avait décidé.
Pour le chevalier, ce serait une passe comme une autre, et il ne mettrait dans le geste aucun esprit de vengeance bien que sa sœur se soit empressée de le destituer de ses titres à la mort de leur mère, la duchesse Alinoé. Peu lui avait importé car, s'il avait trouvé l'acte peu digne et manquant de grandeur, il n'aurait jamais ployé le genou devant une gamine quelque peu immature bien que volontaire.
Il se sentait donc délivré d'un joug qu'il n'aurait pu supporter et n'avait aucun ressenti à l'encontre de l'héritière.
Son bonheur à lui était ailleurs.
Il combattrait donc l'esprit libre, tout en retenant légèrement ses coups, comme il le faisait lorsqu'il affrontait une femme, d'autant qu'elle ait moins d'expérience que lui en ces combats qu'il pratiquait depuis plusieurs mois en France avec Elektra avant que la guerre n'interdise la participation des Impériaux sur décision Royale.

Yris, improvisée écuyer, allait avoir fort à faire pour les équiper tous deux. Les deux chevaliers devant jouter l'un immédiatement après l'autre, il savait qu'il devrait se défaire rapidement de son adversaire s'il voulait avoir le temps nécessaire pour superviser l'équipement d'Elektra. Non pas qu'il manquât de confiance en Yris, mais il n'avait jamais failli à ce contrôle et en ce jour il allait y attacher un soin d'autant plus particulier qu'il redoutait cet affrontement.
Chaque pièce de l'armure fut nommée et désignée afin qu'Yris se familiarise avec chacune d'entre elle. Il commença par enfiler le gambison

- D'abord la dossière et le plastron que vous devez lier au gambison. Serrez fortement, Yris, plus vous serrerez et moins il y aura d'espacement à la pose du heaume et ainsi moins de risque q'une lance puisse venir se loger là !

Et il planta son index métaphorant une lance dans la jugulaire du sergent.

- Ensuite nous nous occuperons des cuissots, grèves et solerets.

Et de lui indiquer les pièces protégeant les cuisses, les tibias et enfin les pieds. Yris suivait les indications avec minutie attachant parfaitement chaque pièce. Visiblement, les cours suivis au Castel de l'Ordre avaient été plus que profitables à la jeune femme qui s'en sortait plus qu'honorablement pour une première fois. A n'en pas douter, de la graine d'écuyer.
Toujours l'esprit encombré par la passe d'Elektra à venir, il poursuivit néanmoins.

- Il faudra placer ensuite le gorgerin qui pare la gorge et relie le plastron au heaume, puis les protections de bras, des spallières aux gantelets. Attendez... là ça ne va pas. Les cuissots doivent monter davantage. Je m'en occupe.

Il comprenait la gêne que ressentait peut-être le sergent à devoir remonter les cuissots sur le haut des cuisses mais dans l'état le flancart ne le protégerait en rien et l'artère fémorale percée était la mort assurée. Les seules protections du haut du corps le lui permettant encore, il plaça correctement les cuissots avant de lui abandonner à nouveau le soin de l'équiper. Enfin le heaume portant aigle en cimier et la cotte d'armes aux couleurs de l'Ordre des Lames, parachevèrent l'équipement. Il était fin prêt.
Atlas, superbe destrier du noir le plus sombre portant fièrement la barde couverte de même d'un caparaçon d'or et de sable piaffait devant la tente. Il était temps.

Au son des olifants portant couleurs de Marnay, il se présenta sur la lice, visière relevée, et il inclina la tête en croisant son adversaire, ponctuant le salut d'un sourire.

- Votre Grâce... c'est un plaisir, et que le meilleur gagne !


Puis sans attendre, il talonna Atlas et lui fit faire une volte arrivé du côté octroyé par tirage au sort. Le chevalier coinça sa lance dans le contre-faucre, abaissa sa visière, plaça son bouclier et attendit le bon vouloir du juge diseur. Au signal des drapeaux , il serra les cuisses et lâcha les 1500 livres poids de marc de son destrier dont les sabots mordirent le sable de la lice. Les cris de foule lui parvenaient étouffés sous le heaume mais au moment où les deux cavaliers se croisèrent, le silence se fit, avant que ne retentisse un HOOOOOOOOOOOO de déception.
Un coup pour rien.
Au moment de l'impact, il avait décaler sa lance pour ne pas porter un coup trop violent à la rousse duchesse mais il la décala trop et passa à quelques pouces de l'écu fraternel. Il n'y eu pas de mort subite, le second assaut fut le bon que sa lance percuta sans qu'il y mit sa force, le bouclier d'Ayelle. Il ne sentit aucune résistance le long de son bras.
Lorsqu'il revint sur ses pas pour saluer son adversaire et la remercier pour cette joute, il la vit au sol et s'assura que son écuyer et ses gens arrivaient pour la relever.

- Pardonnez ma victoire, Vôtre Grâce, j'espère n'avoir pas été trop violent et merci pour cette rencontre. , puis, plus bas, Tout va bien Ayelle ?

A nouveau il talonna Atlas et le guida hors de la lice. Il avait hâte de rejoindre Elektra avant sa rencontre.

- Yris !!! Vostre aide !!!


Ainsi il s'annonça ne pouvant descendre seul avec le harnachement que nécessitait les joutes bien plus lourd et rigide que l'armure dévolue aux tournois.
Elektra était presque prête. Il tendit les bras à Yris afin qu'elle le libère de ses gantelets et se défit rapidement des coudières et des pièces qui entravaient ses mouvements. En approchant d'elle, il sentit la tension qui habitait Elektra.

- Permettez Yris... A moi le soin de terminer. Allez vérifier si Moonlight est prêt.

Façon élégante de lui faire comprendre qu'ils voulaient rester seuls un moment. Après un baiser, il vérifia l'armure, serrant là une attache, en soulageant ici une tension trop forte, il aurait pu pratiquer les yeux fermés, sachant parfaitement ce qui lui convenait. Yris avait fait du bon travail. Lui se voulait détendu mais ne la tromperait sans doute pas. Elle le connaissait trop bien pour qu'il ait la moindre chance de lui donner le change. Après un dernier baiser, il vissa le heaume.

- Tout ira bien. Et n'oubliez pas que je vous aime.

Il ne laissa à personne le soin de l'aider à monter en selle, confiant toutefois à Yris celui de conduire Moonlight à la lice en lui glissant au passage : Un écuyer mène par dextre...
Un dernier regard et, dédaignant les tribunes qui l'auraient tenu trop loin du terrain, il alla se placer, cœur broyé dans un étau, près des barrières.
Le geste fut parfait. Ses poings douloureux se desserrèrent et il poussa un profond soupir de soulagement. Un signe de main à la perdante qu'on aidait à se relever. Un baiser en guise de récompense à la vainqueresse.

- Un geste parfait, amour, belle passe vraiment !


Fier. Il était fier de la femme qui marchait à ses côtés en quittant la lice.


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Yris
Certes c'était ses premières joutes, premières joutes qu'elle voyait. Elle était très concentrée et très fière d'assister les chevaliers Dacien et Elektra. La foule , le tournois l'ambiance l'émerveillaient.

elle assista consciencieusement le chevalier Dacien à s’équiper, certaines pièces étant lourdes elle n'était pas de trop à l'aider. Elle écouta chaque description, chaque parole, elle était très concentrée . Une erreur pouvait être fatale. Le chevalier était prêt , les chevaux aussi.

Quand le chevalier Dacien s'élança, elle se tenait aux abords pour regarder le spectacle.
Elle retint sa respiration ,.. ouff ca passe .. Elle accourut lorsqu'elle entendit le chevalier l'appeler pour l'aider et lorsqu'il lui demanda d'aller vérifier le cheval d'Elektra , bien sur qu'il était prêt, mais elle avait compris, elle se dirigea plutôt vers Coligny qui n'était pas très loin du cheval,. Elle lui déposa un baiser et lui sourit , un sourire qui voulait dire comme un " ca va ?" . Elle ressentit son mal-être.

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Yselda.de.sparte


~Huitième de finale~




Arioce Horn,
Seigneur d'Etuz.

VS

Sharlnak de la belle Ile,
Vicomte de Bolland.




Les joutes se poursuivent et vient le tour du Seigneur Arioce Horn et du Vicomte Sharlnak de la Belle Ile. Les deux hommes s’avancent et se mettent en place. La juge comme elle en a prit l’habitude élève son bras poour donner le signal de se préparer puis l’abaisse et avec cette action le son qui appelle à s’élancer.
Les chevaux galopent à toute vitesse, les deux hommes se touchent mais c’est Sharlnak qui en brisant sa lance désarçonne son adversaire.
Un beau duel bien que rapide ou il est dit :


- Par chute de son adversaire Le Haut Né Sharlnak de la Belle Ile est déclaré vainqueur.

Dans la foule on entend les gens applaudir et scander le nom du géant qui vient de s’offrir son billet pour les quart.




Elizabelle d’Irrisarri,
Buraviate de Bernstein,
Dame d'Allos et de Sevron.

VS

Loanne Moren,
Dame de Brussey,
Ecuyer de l'Ordre des Lames.




Un nouveau duel de femmes et de charmes avec la belle Elizabelle d’Irrisarri et la jolie Loanne Moren. Les deux femmes se positionnent sur les lices et attendent le signal qui ne tarde pas. Le tissus de la juge fait signe et retentit le cor.
Les deux femmes s’élancent sur leurs montures et c’est un choc violent de par et d’autre au point qu’elles brisent toutes deux leurs lances et chutent.
Les deux femmes au sol, en parfaite égalité, la juge fait signe de prendre l’épée et de poursuivre le duel au sol.
Elizabelle et Loanne se jaugent quelques instant avant que l’écuyer de l’Ordre des Lames ne touche la première et frappe tant et si bien son adversaire qu’elle la blesse grièvement (Choisir pour Elizabelle entre blessure : fesse, cuisse ou hanche) et la contraint à l’abandon.
Le public est en émoi et la juge annonce :


- Par abandon de son adversaire, Dame Loanne de Moren est déclarée vainqueur et joutera en quart de finale.

Le public applaudit la victorieuse, priant surement en silence que la vaincu se remette de ses blessures.




Bastian d’Ormerach,
Prince Impérial Consort,
Comte de Fauquemont, Morez et Kattern,
Vicomte de Villersexel,
Seigneur de Rouge Terre et de Monheurt.

VS

Thomas de Sparte,
Prince Impérial,
Duc de Limbourg,
Marquis de Nassau,
Comte de Looz,
Seigneur de Rode-le-Duc et d’Oricourt.




Avec Thomas et Bastian s’avance un duel presque fratricide, et de son perchoir la juge va trembler bien plus que pour les autres jouteurs.
D’un côté le blond Exquis Prince Impérial, de l’autre le brun Impérial Prince Consort.
Les deux hommes s’avancent et se positionnent avant de s’élancer au signal.
Lors de la première passe ils ne se touchent pas, tout est à refaire.
Deuxième passe, ils ne se touchent toujours pas. Un murmure se fait entendre dans le public.
Pour la troisième passe les deux adversaires s’élancent à nouveau et se touche violement brisant tout deux leurs lances. Pourtant seul l’Impérial demeure en selle tandis que L’exquis choit sur le sol. Le cœur battant priant que son Frère n’a rien la juge annonce :


- Par chute de son adversaire Son Altesse Consort Bastian d’Ormerach est déclaré vainqueur.

Le public félicite les deux jouteurs et attend avec impatience le dernier duel de ces huitièmes de finale.




Idril de la Fiole Ebréchée,
Dame de Dampierre et de Nommay.

VS

Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.




Dernier duel de jouteurs pour les huitièmes de finale de Marnay. D’un côté Idril de la Fiole Ebréchée et de l’autre Caton le Censeur d’Acoma.
Les jouteurs qui vont clôturer ce tour s’avancent et se mettent en position.
Après le signal et le son du cor ils s’élancent et lors de la première passe Idril touche son adversaire mais le coup est trop faible et Caton reste en selle. Tout est à refaire.
La deuxième passe commence et cette fois c’est Caton qui touche mais avec force, au point de briser sa lance, toutefois Idril se maintient en selle. Les jouteurs se préparent alors pour la troisième passe.
Caton touche à nouveau sa cible mais cette fois le coup est plus faible, il sera toutefois suffisant pour faire chuter Idril et entendre :


- Par chute de son adversaire Caton le Censeur d’Acoma est déclaré vainqueur et va pouvoir jouter pour les quarts de finale.


Le public est en liesse et attend avec la lus grande hâte que débute les quart de finale.


Vous avez 72 heures pour poster, merci.

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Ayelle_de_chenot


~Huitième de finale~




Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.

VS

Ayelle de Chenot,
Duchesse de Coni et de Luserne,
Vicomtesse de Thonon.




Avec la fin des éliminatoires commencent les huitièmes de finale. Pour le premier combat on retrouve Le Seigneur de Longefoy d’un côté et de l’autre la Duchesse de con et Luserne.
Un nouvel duel homme VS femme.
Tout comme les premières fois le drapeau se lève pour donner le signal d’attention puis s’abaisse et avec lui sonne le cor.
Les montures s’élancent et au premier passage les deux jouteurs se loupent.
Ils préparent le second passage, baissent leurs lances, visent et Dacien touche Ayelle, le coup est fort léger, peut être par preuve de galanterie mais suffisant pour désarçonner la belle Duchesse et la faire choir au sol.


- Par chute de son adversaire, Messire Dacien de Chenot est déclaré vainqueur de ce match.

Le public très heureux de ce spectacle, applaudit les deux jouteurs.


Je regardais le tableau, Ainsi j'allais jouter contre mon frère ainé. La poisse. Il y en a avait pourtant des participants. il fallait que je tombe sur lui pour mes premières joutes.
Aucune chance de le faire tomber, il était mille fois plus fort que moi. Ben tant pis. J'espère que pour les prochaines joutes je rencontrerais un adversaire moins redoutable.
Je m'étais préparée à la chute. J'espérais toutefois qu'il ne me blessât point.

Bon alea jactas est. Il fallait y aller. Je le saluais puis je mis mon heaume.
Première rencontre, on s'est raté. Je le soupçonne de n'avoir point voulu me faire mal et du coup, il a raté son coup, moi, j'ai raté tout simplement.
Deuxième course, cette fois-ci, il y va et me fait tomber. Il n'y a pas mis toute sa force. Et c'est tant mieux, j'ai chu mais sans dommage aucun. Même mon orgueil est intact, perdre devant Dacien n'a rien d'humiliant.

je me relevais et lui dit en souriant.


- Bravo. Toujours aussi fort. Bonne chance pour la suite.

Puis je repartis dans mon campement rejoindre mon fiancé qui lui devait se faire du mouron.

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Catonlecenseur
Citation:
Idril de la Fiole Ebréchée,
Dame de Dampierre et de Nommay.

VS

Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.




Plusieurs tours déjà de joutes, pour la plus grande joie des spectateurs présents.
L'Antique, qui traînait à l'orée du campement dans une petite tente ou ne se trouvait que le strict minimum, regardait le spectacle en lice avec plaisir. De tout temps, les joutes avaient été un divertissement pour lui, et celles ci ne dérogeaient pas à la règle.
Cependant, il quitta le champ à l'avant dernier combat, pour aller se préparer. L'homme en robe de bure se faufila entre la presse populaire, et arriva à son modeste campement. Il enfila son armure, et mena son destrier jusqu'au lieu des joutes.

A l'annonce de ce duel, le d'Acoma enfourcha son destrier pour affronter Idril. Ils devaient jouter pour la victoire tous les deux, alors advienne que pourra.

Et c'est ainsi que les chevaux partirent à fond de train au signal du cor. Comme souvent à la première touche, il fut bien plus lent que son adversaire, qui le fit légèrement vaciller, mais point assez pour lâcher les rênes.
Chafouin, l'Antique repartit au combat. Il ajuste sa visée, touche et brise sa lance avec autorité. Cette fois ci, c'est Idril qui vacille mais son adversaire reste néanmoins en selle. La troisième touche allait donc les départager.

Au signal, Caton se relance, mais décide de changer de tactique, de privilégier l'angle à la force. En pleine vitesse, il pivote quelque peu sur sa selle, et touche Idril plus légèrement, qui elle a sa lance qui glisse sur son écu. Le coup, moins rude que le lorrain l'avait voulu, fut néanmoins heureux, car la comtoise n'arrive pas à encaisser le choc et chavire, chutant, sans se blesser heureusement !

En fin de lice, il mit pied à terre pour rejoindre son adversaire qui se remettait sur pied non sans mal, espérant ne pas lui avoir causer trop de dol. Il s'incline donc devant la dame et lui dit en souriant:


Beau combat, ce fut un honneur de vous affronter Idril ! J'espère ne pas vous avoir causé trop de mal. Néanmoins, encore merci pour cette joute!
Arial.balwer
A peine arrivé de Galicie et le cosaque se retrouvait à assister à une joute. Il n'en perdait pas une miette, regardait la position des chevaliers, leurs façon de jouter. Il sourit et se dit qu'un jour il serait surement invité à son tour.

Puis vint le tour de sa douce. Il craignait un peu pour elle. Et quand il vit le chevalier en face , il eut comme un certain ressentiment. Le chevalier était deux fois la taille de sa fiancée et il se dit qu'elle allait finir en pièce.

Ca ne lui disait pas trop de la ramener au chateau en trois quatre fois et pourtant sa douce était montée sans la moindre peur. La volonté était là et donc il n'avait plus qu'à prier pour elle. Il aurait tout donner en fait pour être à sa place même.


La première passe s'était terminée par un nul et Ayelle était toujours en selle. Le cosaque respirait soulagé. Mais ce n'était pas finit et la deuxièmes passe ne se solda pas de la même façon. Le Russe ferma les yeux et les rouvrit pour voir sa duchesse à terre. La jeune femme s'était relevée et semblait bien allé. Elle félicitait le vainqueur et s'en retourna vers la tente. Le cosaque la rejoignit et sourit.

"Ca va mon coeur? ... "

Il lui souleva son heaume ce qui libera sa chevelure.Le Russe sourit en la regardant et lui donna un chaste baiser.

"Il était plus fort que toi, tu n'as pas à rougir chérie."

Un sourire en coin s'en suivit, il lui caresse le visage légèrement en sueur à cause du heaume.

"Ma guerriere peut marcher ou bien faut il que je la porte?"
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Ayelle_de_chenot
Je le regardais avec un air coquin. J'étais en pleine forme. Je n'avais rien du tout. Dacien avait fait attention à ne pas me blesser et je lui en étais reconnaissante.

- Attends que l'on me retire mon armure et tu pourras me porter.

Quand je fus libérée de tout mon harnachement, je me fis porter avec un plaisir intense. Et ce n'est que beaucoup mais beaucoup plus tard que nous sortîmes dessous la tente pour voir le reste des joutes.
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Elwin_von_frayner
La Brunette était préoccupée et pendant qu'un écuyer l'équipait, elle songeait à Dacien. Le chevalier paraissait heureux comme à chaque fois qu'Elektra lui accordait un regard mais Elwin se demandait combien de temps durerait cette idylle. Elle se souvenait combien son ami avait été trahi et combien il en avait souffert. Elle l'avait récupéré en miettes lorsqu'il avait découvert le mariage quasi secret de la Von Hohenlohe. Comment croire après ce qu'elle avait été capable de lui faire subir, qu'Elektra aimait Dacien comme il méritait de l'être.
La guyennaise n'éprouvait aucun ressenti contre Elektra von Hohenlohe mais elle était mariée à celui qu'elle s'était choisie. Selon son code d'honneur, elle se devait à son époux. Point barre ! Elle avait assez blessé Dacien et par deux fois déjà. Elwin avait du mal à comprendre que le seigneur de Longefoy puisse pardonner toutes ces trahisons et seul un amour inconditionnel pouvait expliquer la chose.

- Aouch !!! Trop serré ! Vous voulez me couper en deux ou quoi ?

Les saphirs presque noirs pour l'heure se pose sur le pauvre écuyer. Il n'a pas de chance le bougre, d'ordinaire la dame est aimable et d'humeur joyeuse.
Sombre est prêt. Elle l'est aussi.
Affronter Elektra ne la dérange nullement même si elle sait ses chances maigres. Elle n'est pas venue pour des performances. Et effectivement, le maitre des Lames ne fait qu'une bouchée de la brunette qui se retrouve couchée sur le sable blond de la lice fort heureusement sans grand mal.
Dédaignant là encore le code d'honneur de la chevalerie, Elektra ne lui accorde aucun salut avant de quitter la lice et Elwin s'en amuse. On voit bien là que l'impériale n'a rien compris à ce qui anime les vrais chevaliers. Elle n'a pas su mettre son dépit de côté. Inquiétude ?
Elwin attend que son écuyer vienne la relever. Elle est libre. Libre de profiter des joutes.
Elle fera mieux aux prochaines, si Dieu le veut.
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Elektra.
Le fait de passer en premier avait un avantage, c'était de pouvoir regarder les autres jouteurs par la suite, un tant soit peu qu'on ne soit pas blessé. Elektra se fit la remarque qu'elle connaissait, de près ou de loin, tous les participants.

Elle attacha un intérêt particulier au duel qui opposa son oncle à une de ses Lames. Idril était une personne attachante, touchante, drôle, et il pouvait paraitre étrange de la voir se jeter dans une bataille comme les joutes. Malheureusement, elle chuta, laissant la victoire au patriarche d'Acoma.
Elektra ressentait une certaine fierté à voir que son oncle progressait dans la discipline. Elle se rappelait les premières joutes où ils s'étaient croisés. Par chance, jusqu'ici, ils n'avaient pas eu à se trouver face à face. Qu'en serait-il cette fois-ci ?

Pensive, le chevalier se demandait ce que mijotait la von Frayner. Elle semblait si enragée, si entêtée à vouloir défaire leur couple. Heureusement, Rome était sur le point de rendre le verdict et les fiancés seraient enfin libérés de ce poids que l'administration faisait peser sur leur vie. Dacien était heureux, et finalement, c'était tout ce qui importait à la lorraine. Ils avaient fait une longue liste de projets, bien décidés à les réaliser tous, et en riant, ils reconnaissaient qu'il leur faudrait plusieurs vies pour tout faire.

Il est des gens ainsi, comme Elwin, qui ne peuvent pas comprendre cela, qui s'acharnent dans une voie qui leur fera tout perdre à terme. Elektra ne voulait pas lui parler, ni même la regarder, et ceci n'avait rien à voir avec un sentiment de peur ou de colère ou de quoi que ce soit d'autre. Non, simplement elle ne voulait pas qu'une guerre ouverte éclate entre elles, car ce serait son Amour de Ténébreux qui se trouverait pris entre les deux feux. Elle savait que ni l'une ni l'autre ne pourraient contenir leur caractère enflammé et elle préférait éviter le pugilat. L'honneur se place parfois en des manières insoupçonnées, en des gestes subtils et discrets, et surement pas dans les insultes à mots couverts.

Dacien avait fait un choix, depuis longtemps, et ce choix c'était elle, Elektra d'Acoma. Leur vie commençait maintenant, ils avaient enfin trouvé le bonheur auquel ils aspiraient depuis si longtemps, et un jour ces gens là finiraient par l'accepter.

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Elizabelle
Elizabelle regagna sa tente avec autant de panache possible sans mettre en danger son équilibre sur sa selle. Manquerait plus qu'elle se casse la figure pour perdre toute la crédibilité durement gagné par cette victoire fracassante. Affichant un sourire un peu hautain, l'Ange se laissa descendre de monture, avec l'aide de deux hommes bien entendu. Qui l'assirent rapidement d'ailleurs, pour lui éviter l'humiliation de ne pas tenir seule sur ses jambes. L'armure, c'est lourd... Jetant un regard impérial à son fiancé, elle demanda.

Alors ?

Alors quoi ?

J'attend.

Et vous attendez quoi ?

Vos félicitations pour commencer, et vos excuses en suivant.

Toutes mes félicitations ma douce fiancée. Vous avez réussis à tenir en selle sans tomber, c'est un exploit. Peut-être est-ce dû au fait que votre adversaire m'a vu dans la foule et qu'elle a perdu tout ses moyens devant mon charme indéniable. Quand aux excuses, je vous en dois ?

Vous êtes vraiment un sale con....

Merci.


Elizabelle lança un regard noir au sourire impudent d'Aimeryc. Se retenant de sourire de justesse pour ne pas perdre son masque froid, elle entendit qu'on l'appelait pour la deuxième passe d'arme. Contre Loanne... Après la Suzeraine, elle affrontait la Vassale... Qui se trouvait être une amie et le témoin de son testament.... Elle ne pouvait pas affronter des gens qu'elle ne connaissait pas ? Enfin difficile certes car elle connaissait beaucoup de monde, mais pas des amis quoi... Buvant rapidement un peu d'eau offerte par un de ses hommes, elle se laissa ensuite remettre en selle dans un concert de grincement, sous l'oeil amusé du Normand.

Vous faite plus de bruit qu'une batterie de cuisine.

...

Enfin, toujours moins que quand je vous...

Rhaaa, fermez la, merde !


Et de talonner sa jument les joues en feu qu'il ait osé tenter de faire une réflexion du genre, (en public en plus !)alors qu'il partait d'un grand éclat de rire. Se plaçant à un bout de la lice, elle abaissa son heaume pour dissimuler son visage trop rouge et ajusta tant bien que mal son bouclier avant de prendre sa lance, la levant pour saluer Loanne qui se trouvait à l'autre bout. L'Ange enrageait qu'il est osé tenter de faire une réflexion du genre, en public en plus ! Si elle ne l'avait pas interrompu, elle se serait enterrée toute seule de honte.

Le signal donné la prit par surprise tant elle était perdue dans ses pensées rageuses et elle talonna sa jument par réflexe, peut-être un brin trop fort. Ajustant sa lance tant bien que mal, la brune chargea comme un train de marchandise, même si elle ne sait pas ce que c'est car cela n'existe pas encore. Visiblement Loanne avait eu la même idée saugrenue car elle se rencontrèrent à mi-parcours et lorsque leur lance percutèrent violemment leurs écus respectifs, elles firent chacune une superbe parabole hors de leur selle, pour atterrir dans un fracas d'enfer.

Outch....

Elle allait être couverte de bleu malgré le capitonnage sous l'armure... Un brin sonnée, l'Ange lâcha un gémissement consterné en entendant la juge annoncer la résolution du combat par l'épée. Parce que si Hélène lui avait enseigné les bases de la joute sur la selle, elle avait sauté la partie combat à l'épée, de sorte que celle qu'elle portait à la ceinture était plus décorative qu'autre chose. Si Aimeryc n'avait pas été dans l'assistance, sans doute à se gondoler de rire suite à son vole plané, elle aurait déclaré forfait, laissant Loanne gagner sans y laisser d'autres plumes. Mais il y avait le Normand goguenard, alors elle n'avait pas le choix...

Bon, déjà, il fallait se mettre debout. Comme l'armure était trop lourde dans son ensemble, elle ôta les protections principales sans trop de remord, ne gardant que la côte de maille par dessus sa tenue masculine. Bon, oui, ce n'était pas très protocolaire, mais elle ne pouvait pas se tenir debout seule avec tout le reste ni combattre assise par terre. Grinçant des dents à ses membres douloureux suite à la chute, l'Ange se mit sur ses deux pieds, au milieu des morceaux éparpillés de son armure. Loanne l'attendait debout, l'épée au clair. Sortant sa propre lame de son fourreau, regrettant que Dacien ne lui ait pas appris à s'en servir plutôt que lui donner une lance, Elizabelle s'avança vers son adversaire amie.

Sauf que sa maladresse légendaire s'en mêla. Se prenant les pieds dans une des protections abandonnée par terre, elle trébucha, portant maladroitement son épée en avant. Loanne répliqua sans tarder d'un coup d'épée adroitement placé.

Mais j'ai pas attaqué !!!! Nonnnnn !! Je suis pas prête !!! Je veux pas mouriiiiirrr ! J'accepte même d'épouser Aimeryc, j'ai dis !!

Elizabelle leva comme elle put son épée pour parer, ne pouvant que dévier le coup, la lame de son adversaire plongeant vers le bas et la partie sans protection de sa personne, mordant profondément la chair de la hanche à la cuisse dans un sillon sanglant. La douleur vint tout submerger alors que le sang se répandait en quantité sur le sable de la lice.

Et l'Ange de s'effondrer comme une poupée de chiffon, inerte, le teint aussi livide qu'une morte.


RP écris à 4 mains pour la discussion entre Elizabelle et Aimeryc
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Loanne
    Elle avait suivi toutes les joutes, perchée sur Baron. Le premier de Dacien, qui ne semblait pas laisser beaucoup de chances à ses adversaires, celui plus tendu d'Elektra, celui, très impressionnant, de Deb et Leif pour lequel elle eut l'impression d'avoir le souffle coupé tout le long du duel. Il y avait des duels à l'épée possibles aussi? Elle l'avait presque oublié. Et elle ne put s'empêcher de féliciter son parrain pour la technique qu'il pouvait encore déployer face au nain. Ensuite, Riese se défit de Badak et Loanne grimaca au moment de la chute. Pas de doutes, Torwen devait se régaler du spectacle dans les gradins. Enfin jusqu'à sa joute à elle.

    La deuxième partie du huitième de finale approchait. L'anxiété reprit vite le dessus à l'approche de son tour, si bien qu'elle remarqua à peine la défaite d'Arioce. Son coeur bat fort, comme si il essayait de sortir de la poitrine de la jeune femme pour s'enfuir à toutes jambes. Foutre dieu, qu'est-ce qu'elle fait là... Finalement, c'est son tour et quelqu'un tire sur la bride de Baron pour l'amener à la lice tandis que Loanne effectue une dernière vérification de l'imposante armure qui la recouvre. Elle réajuste l'écu aux étoiles sur son bras puis saisit la lance qu'on lui tend, la positionnant comme on lui avait appris. Elle répondit au salut d'Elizabelle, de l'autre côté de la lice, puis la juge du jour, chassant son anxiété pour se reconcentrer. Elle ne savait pas ce qui lui avait pris de s'inscrire, mais hors de question de se ridiculiser à cause du stress. Baron piaffait. Il sentait la tension palpable tandis que Loanne guettait la levée du drapeau.

    Enfin, Yselda leur lança le signal. Aussi promptement qu'Elizabelle, Loanne enfonça les talons dans les flancs du coursier qui bondit malgré le poids des plates qui le recouvraient et de sa cavalière. Baissant progressivement la lance, Loanne essaya de viser, tandis que les deux chevaux foncaient l'un vers l'autre à une allure folle. Lachant les rênes, l'écuyer remonta l'écu pour se protéger de la lance qu'elle voyait arriver dangereusement.

    Le choc fut violent. Loanne sentit la vibration remonter le long de son bras tandis que les lances volaient en éclat de part et d'autres. Le choc sur l'écu ne fut pas plus tendre et la jeune femme se sentit projetée en arrière, vidant les étriers. Elle vola un instant et se réceptionna durement sur le sol, roulant pour amortir un maximum sa chute. Sur le dos, Loanne eut le souffle coupé. Wow, ca c'était du choc. Se redressant en grimaçant, elle aperçut son amie et adversaire au sol aussi, occupée à se défaire de quelques pièces d'armures pour se relever. La jeune femme fit de même. Si elles devaient aller au duel, l'agilité serait l'atout. Elle se défit de son heaume et des plates, se retrouvant en cotte de maille. Elle se releva quelques instants avant Eli, ayant déja sorti sa lame. La jeune femme avait mal au dos et avait toujours le souffle court, mais il fallait terminer la joute...

    Elle s'approcha en meme temps qu'Elizabelle qui l'attaqua en premier, pointe en avant. Un bref instant, Loanne revit l'épée qui lui avait déchiré les chairs, des mois auparavant sous les remparts d'Argonne. Par pur réflexe, la jeune femme fit tourner son épée autour de celle de son adversaire pour parer le coup puis tenta de ne faire que toucher son adversaire. Mais Elizabelle remonta l'épée trop tôt, déviant le coup. Sans avoir le temps de retenir l'épée, Loanne la vit plonger vers la cuisse sans protection de son amie et le tranchant vint entailler le tissu et les chairs.


    MERDE! ELI!!

    Le cri de Loanne résonna dans le silence abasourdi tandis que la buraviate s'effondrait au sol. Jetant l'épée plus loin, Loanne se précipita vers son amie. Les écuyers et autre personnel couraient déjà vers elles pour évacuer la blessée. La Lame entendit à peine Yselda annonçer sa victoire. Tentant de réveiller Eli en la secouant, Loanne pressa la blessure pour limiter la perte de sang. Passée la poussée d'adrénaline de leur brève combat, l'anxiété faisait son retour, le sang battant à ses tempes. Bientot, elles furent entourées et Eli fut placée sur une civière pendant qu'on ramassait leurs équipements. Un page ramassa l'épée de Loanne, l'essuya sur le sable, puis la mit de force dans sa main ensanglantée. A moitié dans un état second, Loanne salua brièvement le public qui applaudissait sa victoire, chercha Baron des yeux, déjà récupéré par le palefrenier de Brussey et suivit Eli, lui tenant la main jusqu'à la tente médicale où on les prit en charge, nettoyant le sang maculant la jeune femme.

    Je suis désolée Eli! Je voulais pas..

    Mais elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. On la pressait déja de s'éloigner pour pouvoir soigner la buraviate. Et si elle l'avait si gravement blessé qu'elle ne pourrait plus marcher? Et si elle l'avait tuée? Et si.. Holala et si quelqu'un croyait qu'elle l'avait tuée pour toucher le testament, puisqu'elle était son témoin? L'angoise la tenaillait. Se retrouvant dehors, désemparée, l'épée toujours à la main, Loanne ne sut quoi faire, attendant des nouvelles de son amie. Elle avait complètement oublié qu'avec sa victoire viendrait un nouveau tour.. Et elle ne pouvait vraiment pas imaginer ce qui l'attendait...
Idril_de_sparte
Hermess avait chuté au cours des éliminatoires.
C'était à elle de paraitre en lice.


Qui est mon adversaire ?

Euh... un chaton ma dame je crois

Un quoi ? Vous avez encore piqué dans ma cave sans autorisation !!

Oh non ma dame, jamais je n'oserais.. mais regarder j'ai recopier comme j'ai pu le nom de votre adversaire!


Et le jeune page de tendre un bout de papier


Citation:
chaton de senteur dacoma


Triple abrutis, à quoi servent donc les cours que je te fait prendre si tu es incapable de recopier correctement les choses ? Tu ne m'es utile à rien là.

Mais... ma dame...

Pas de mais. Il s'agit de l'époux de ma filleule, et non point d'un chaton !!

Aaah.. alors...

Alors rien! Hors de ma vue abrutis!! Je dois me préparer, fais venir mon aide.


Et une fois engoncé dans son armure de joutes Idril se dirigea tant bien que mal vers la lice... son cheval - créature démoniaque! - et surtout son adversaire.

Citation:
Idril de la Fiole Ebréchée,
Dame de Dampierre et de Nommay.

VS

Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.




départ donné, première passe... peut-être l'unique... elle touche mais son adversaire de chute pas.. flûte.

Seconde passe, preuve que le Très-Haut doit lui en vouloir d'un truc... un choc, elle serre ses jambes et réussit à se maintenir elle ne sais pas trop ,comment sur son cheval... mais elle n'a pas touché et donc nouveau demi-tour pour s'élancer une troisième fois.

troisième départ... le dernier peut-être... et alors que son destrier galope, qu'elle tient les rennes comme elle le peut tout en coinçant la lance sous son bras, l'image fugace d'un russe pointe devant ses yeux et la déconcentre assez pour que l'instant d'après, sans comprendre ce qu'il s'est passé, la rondouillarde se retrouve le séant au sol.


le temps qu'elle arrive à se relever - okay l'armure ça protège mais purée aller donc bouger correctement avec ça vous! - et son adversaire revenait, à pieds, vers elle.

Caton a écrit:
Beau combat, ce fut un honneur de vous affronter Idril ! J'espère ne pas vous avoir causé trop de mal. Néanmoins, encore merci pour cette joute!


Retirant son heaume, elle adressa un sourire grimaçant à Caton.

Plaisir partagé sire Caton.
Et ne vous en faites point, je n'ai rien que quelques jours de repos ne pourront soigner.
Bon courage à vous pour la suite en tous les cas.

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Sharlnak
La tension était palpable, plus les joutes avançait, plus cela montait en intensité, du sang, des chutes, fort heureusement pas de mort. Malgré l'hiver, il faisait relativement chaud sous l'armure du géant, il avait assisté a la defaite de Badak juste avant lui, et le géant pris position.

Son adversaire n'était autre que le vassal de l'organisatrice du concours, il ne ferais donc aucun quartier et n'aurais pas la moindre pitié. Sinon elle lui rabacherai sa defaite des jours et des jours. Sans parler de la misère que la Princesse lui ferais.


Juché sur son cheval, on lui apporta sa lance, un vent soulevant de la poussière, il occulta tout dans son esprit, visant mentalement déjà son adversaire. Le silence tomba, le géant trouva cela curieux, il n'y avait aucun antagonisme entre les jouteurs, hum le public voudrais surement du sang... faisant fi de ses pensées il tallona son Etalon, les cheveaux fusant rapidement, les lances se brisèrent dans un fracas assourdissant, pourtant le plus grand des deux ne tomba pas, alors que le plus petit chuta au sol lourdement.


Un brouhaha ce fit entendre, des applaudissement malgré le court spectacle, le géant était soulagé, une victoire de plus dans son escarcelle, surtout pas de blessure, il put donc retourna a sa tente, attendre le tour suivant, repensant a ce probable fils qui arriverai sous peu... la vie n'était que boulversement pour lui ces temps ci.
Arioce
Alors que je buvais tranquillement un verre de vin en compagnie de mes enfants et de mon amie, mon page fit éruption pour m’annoncer que mon tour était venu. Après avoir avalé les dernières gorgées de ma coupe, je me rendis dans la tente jointe à côté de la mienne et me préparai. Mon page et mes têtes brunes s’affairaient à m’aider à enfiler la lourde armure de plaque et une fois bien prêt nous nous rendîmes la lice.
Il y avait foule, des paysans venant de toute la région très certainement et bien sur quelque nobles et participants. Ma petite famille et ma maison prirent place dans les gradins réservés aux gratins pendant que je rejoignis mon destrier qui était déjà en place à l’extrémité de la poutre en bois. Une fois bien hissé dessus, j’empoignai la longue lance ainsi que le bouclier qui m’était tendu. Puis je pris soin de fermer la visière de mon casque afin d’être totalement hermétique, ou presque, aux moindres mauvais coups.
Enfin, j’éperonnai mon cheval pour venir convenablement me placer et au son de la corne je me lançai droit devant. Les quelques entraînements que j’avais effectué durant les jours dans mon domaine me permirent de ne pas être des trop ridicule. Mais lorsque le choc vint, la lance adverse se brisa contre mon écu et bien que je parvins à le toucher lui aussi, la puissance du coup me désarçonna. C’était ma faiblesse, là où même dans les entraînements je n’avais pas su rester en selle. Petit vol plané puis le sol sableux, ma foi, assez mou, qui sut amortir le choc. Quelque peu sonné mais sans blessures, je me relevais et j’allais saluer mon adversaire qui, bon Dieu, était un fort grand homme comme on en voit rarement.


    - Félicitations Monsieur et bon courage pour la suite.

Puis je repartis avec mes gens vers la tente pour me retirer l’armure, boire une bonne bouteille. Mes enfants étaient déçus mais je leur promis que j’essaierais de faire mieux la prochaine fois et que pour une première fois, entant que grand novice, je m’étais tout de même plutôt bien débrouillé. Rassuré et soudainement déjà plus joyeux, les jumeaux commençaient déjà à s’exciter racontant qu’ils s’occuperaient de les exercices et qu’il ferait de moi le plus grand jouteur de ce siècle. Amusé, je riais avec eux.
J’allais pouvoir profiter du reste de l’évènement pour picoler, voir du beau monde et me promener avec ma famille et ma rousse.

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Yselda.de.sparte


~Quart de finale~




Bastian d’Ormerach,
Prince Impérial Consort,
Comte de Fauquemont, Morez et Kattern,
Vicomte de Villersexel,
Seigneur de Rouge Terre et de Monheurt.

VS

Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.




Les quarts de finale commence et avec ce premier duel nous retrouvons Bastian et Caton. Deux hommes forts et combatifs, une belle affiche qui s’annonce.
La juge ne montre pas son inquiétude et en vrai professionnelle fait l’annonce des deux présents. Les hommes s’avancent sur leurs montures respectives et se mettent en place.
Au signe à s’élancer les chevaux se mettent au galop, dès la première passe Bastian touche violemment son adversaire à en briser sa lance mais Caton reste en selle.
Le public est impressionné et attend la seconde passe. Les hommes s’élancent mais personne ne se touche.
La troisième passe sera peut-être la bonne. Les chevaux piaffent, ils s’élancent et cette fois c’est Caton qui assène un coup violent à Bastian au point d’en briser sa lance mais cette fois c’est Bastian qui reste une selle.
Une lance brisée partout, ce sera donc la mort subite.
Les hommes s’élancent lors de la quatrième passe mais aucun ne se touche, tout est à refaire.
Cinquième passe et Caton touche Bastian, le coup est faible mais suffisant pour désarçonner son Altesse Ormerach.
Après un bref moment de surprise teinté de peur, la juge annonce :


- Par chute de son adversaire Messire Caton le Censeur d’Acoma est déclaré vainqueur et ira en demi-finale.

Les Hourra se font entendre pour le vainqueur dans les gradins.




Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.

VS

Loanne Moren,
Dame de Brussey,
Ecuyer de l'Ordre des Lames.




Deuxième quart de finale et voici que s’avancent Messire Dacien et Dame Loanne. Les jouteurs se mettent en position sur la lice. Sur leurs montures ils se préparent et abaissent leurs heaumes. Au signal les chevaux se mettent au galop et Dacien touche sa cible en brisant sa lance. Loanne chute, fort heureusement sans blessure.

- Par chute de son adversaire Messire Dacien est déclaré vainqueur et rejoint les demi-finale.

Le public applaudit le gagnant.




Debenja von Riddermark,
Comte de Viller-Buzon,
Seigneur d'Hotton.

VS

Elektra d’Acoma,
Comtesse Impériale de Bâle,
Dame d'Aime,
Grand Maistre de l'Ordre Impérial des Lames.




Troisième quart de finale d’un côté nous trouvons le Comte de Viller-Buzon dont le public acclame le nom : « Von Riddermark » et de l’autre La comtesse Impériale de Bâle.
Les jouteurs se mettent en place le long de la rampe et au signal les chevaux s’élancent. Debenja touche sa cible et brise sa lance dans un bruit de fracas, le résultat est sans appel, Elektra choit sur le sol, fort heureusement sans blessure.


- Par chute de son adversaire Sa Grandeur Debenja von Riddermark est vainqueur et ira en demi-finale de ces joutes de Marnay.

Une fois encore le public scande le nom des von Riddermark.




Riese Adams de Mélincour,
Vicomtesse de Gendrey,
Dame de Vescemont,
Maréchal d'Armes Comtois.

VS

Sharlnak de la belle Ile,
Vicomte de Bolland.




Dernier duel pour les quarts de finale des joutes de Marnay. La Vicomtesse Riese et le Vicomte Sharlnak vont se combattre. Ils s’avant sur le terrain et se mettent en place, après avoir abaissé leurs heaumes, leurs chevaux s’élancent sur la piste, envoyant valser la poussière.
Un bruit de casse se fait entendre, les deux adversaires se touchent et brisent leurs lances. Riese demeure en selle tandis que le Haut né chute au sol de façon maladroite et se blesse légère (Choisir pour Sharlnak entre blessure : avant-bras, coude ou main)


- Par chute de son adversaire la Vicomtesse de Gendrey ira en demi-finale.

Le public applaudit et se lève attendant avec grande hâte que débute les demi-finale.

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