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[RP] Joutes - Les lices -

Elektra.
Quarts de Finale.

Elektra prend le temps de regarder la passe entre Dacien et Loanne, Chevalier contre Écuyer de l'Ordre. L'écuyer perd mais s'est bien défendu pour arriver jusqu'en quart. Il est temps de filer sous la tente où Yris l'attend près de son armure.

De nouveau, on enfile les lourdes pièces, on les assemble, on les fixe. L'écuyer voit bien que le blond chevalier est ailleurs. Une fois prête, Elektra fait face à Dacien. Dieu ! Ce qu'elle l'aime !
La missive reçue un peu avant la laisse rêveuse. Elle imagine, le début de l'été, il fait beau, chaud, les cloches sonnent et ils sont plus heureux que jamais.

Il lui faut pourtant revenir sur terre, il est temps de jouter. Un dernier baiser et la voila hissée sur sa monture. En face, un cousin par alliance. Elle aime beaucoup sa cousine, mais elle connait peu l'époux. Les chevaux s'élancent, elle en est presque surprise. Sa concentration filoche, tant de choses à faire avant juillet, peut-être même organiser des joutes, pourquoi pas ...

Le coup la prend de plein fouet. Sa lance n'a même pas touché. Perdant l'équilibre, elle sent ses fesses rencontrer le sol de la lice avec dureté. Moonlight revient vers elle, lui pousse l'épaule du museau avec un hennissement de reproche.


Oui, bon, ca va ... Y a pas mort d'homme ... Marmonne la jeune femme au sol.

Elle relève les yeux et envoie un sourire à Dacien qui se précipite vers la milieu de la lice pour voir si tout va bien.

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Dacien_de_chenot


Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.

VS

Loanne Moren,
Dame de Brussey,
Ecuyer de l'Ordre des Lames.




Deuxième quart de finale et voici que s’avancent Messire Dacien et Dame Loanne. Les jouteurs se mettent en position sur la lice. Sur leurs montures ils se préparent et abaissent leurs heaumes. Au signal les chevaux se mettent au galop et Dacien touche sa cible en brisant sa lance. Loanne chute, fort heureusement sans blessure.

- Par chute de son adversaire Messire Dacien est déclaré vainqueur et rejoint les demi-finale.

Le public applaudit le gagnant.




Les combats s'enchainaient. Elektra avait passé les premiers tours avec brio mais eut moins de chance face au père de la Vicomtesse de Marnay qui mit fin à ses prétentions en quart de finale.
Pour sa part il devait affronter l'un des écuyers de l'Ordre des Lames, Loanne, vassale de la Vicomtesse. Il préparait chaque rencontre avec la même minutie et sans état d'âme avec un seul objectif : briser sa lance, quel que fut l'adversaire que le sort lui désignait. Sa sœur en avait fait la triste expérience, la mère de son filleul connaitrait le même traitement. Quant à l'issue du combat, elle était entre les mains du Très Haut.

Pour l'heure, le chevalier avait du mal à se concentrer. La nouvelle de la dissolution du mariage d'Elektra qu'ils espéraient sans trop oser croire à autant de rapidité en était la cause. Depuis, il n'avait été question que de fiançailles, de date à fixer pour le mariage, de tenues à commander, de bans à publier et d'invités à prévenir.
Il enfila seul son gambison en attendant l'arrivée de son écuyer qui se chargea du reste. Il la stoppa du bras lorsqu'elle voulut visser le heaume au gorgerin et se tourna vers Elektra.

- Un baiser avant que je ne sois irrémédiablement transformé en homme de fer ? Souhaitez-moi bonne chance, amour.


Le Ténébreux se présenta à l'appel du juge-diseur et salua l'écuyer Loanne.

- Que le meilleur gagne !.. ou le plus chanceux. Bonne chance.


Tirant sur les rênes, il conduisit Atlas au fond de la lice, non sans jeter un regard dans les tribunes, cherchant Elektra du regard avant d'abaisser sa visière. Puis, d'une pression des talons il lança le puissant destrier. La lance dans le prolongement du bras, il fixait le point qui se rapprochait à chaque galop et, au moment de la croisée, il visa l'écu de la jeune femme qu'il percuta avec force. Il vit sa lance exploser et comprit qu'il avait désarçonné l'écuyer au bruit infernal du métal frappant le sol. Atlas effectua un demi tour sous la conduite du chevalier qui s'inclina vers Loanne toujours au sol.

- J'espère que vous n'êtes pas blessée ? Merci pour ce combat Loanne. Nous nous verrons tantôt, j'aimerais vous confier un cadeau de Nowel pour mon filleul.


Sous la conduite d'Yris qui tenait remarquablement son rôle, il quitta la lice, pressé de se défaire du poids de son armure.



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Yris
Vient le duel des Lames : Le chevalier contre l'ecuyer. Dans un duel il faut un gagnant et un perdant. Elle grimaça lorsqu'elle vit la chute de Loanne. L'expérience de celle-ci lui montra qu'il n'était pas facile de jouter avec les plus grands. Des que le duel fut finit , elle espérait que Loanne n'eut pas trop de mal .Elle s 'approcha du chevalier Dacien et tira le cheval par les rênes jusqu'au campement . Elle lança un " tout le monde va bien ?" surtout pour Loanne qui était au sol.

Elle se tenait non loin toujours prête à intervenir.Elle avait bien vu quelque chose n'allait pas. Elle avait sentit le Grand Maître déconcentrée.Est ce la missive reçut? il y avait de quoi d'être déconcentrée, elle attendait depuis si longtemps une réponse. Lorsque le combat commença elle espéra tout de même une victoire du Grand Maître. Mais le Grand Maître tomba, elle accourut en même temps que le Chevalier Dacien pour récupérer le cheval qui donnait un coup de museau. Elle laissa le chevalier relever sa Belle et emmena le cheval vers le campement où il reçut à boire.




Edit: pour remettre chronologiquement les duels

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Catonlecenseur
Après les huitièmes

Une fois sa joute avec Idril terminée, et ses hommages présentés, le patriarche d'Acoma avait filé directement à sa petite tente pour choir de tout son poids sur la paillasse. Heureusement, le gamin qu'il payait d'un demi sol l'aida à enlever tout son bardas, avant de laisser le lorrain à sa sieste réparatrice.

Quelques heures plus tard, il était revenu, en robe de bure, jusqu'au panneau d'affichage, et là il grimaça légèrement. D'une parce qu'il avait tiré un gros morceau: Bastian d’Ormerach, Prince Impérial Consort, Comte de Fauquemont, Morez et Kattern, Vicomte de Villersexel, et d'autres terres encore. Et de deux parce qu'il commençait les quarts. Il avait donc peu de temps de repos entre ses deux combats. Il médita quelques instants devant le panneau, et reparti vers le campement, passant devant le bivouac des Lames. L'oriflamme du Grand Maître claquait au vent, il hésita, mais préféra reprendre sa route jusqu'à son petit chez lui.


Quarts de finale

Et c'est reparti pour un tour!

L'homme en robe de bure, qui quelques heures avant, psalmodiait encore en se promenant sur le territoire de Marnay, se présenta, destrier tenu en main, à l'entrée de la lice. Encore du beau monde au balcon, dans les gratins du public, qu'il salua machinalement. Puis c'est vers son adversaire, avant de mettre son heaume, qu'il inclina la teste respectueusement. Avec un Prince Consort, mieux vaut respecter la plus élémentaire des politesses.
Enfin, il grimpa sur sa "vieille carne", comme il l'appelait, ferma sa visière, et attendit le signal.

Le cor sonna et il s'élança. Le lorrain sent qu'il est parti moins bien que son adversaire - encore une fois!!! - ce qui se confirme vite, car Bastian le touche de plein fouet, à en casser sa lance sur le bouclier catonien. L'Antique chancelle, lâche le tout et manque de choir au sol, mais dans un réflexe inespéré, parvient à rester en course en agrippant sa selle. Arrivé en bout de champ, encore sonné par le choc si violent, le brun récupère une nouvelle lance , et ne donne pas cher de sa peau au prochain tour. En position...

Le cor retentit, les cheveux s’élancent au galop, Caton serre ses jambes sur sa selle et sa main sur sa lance autant qu'il le peut, mais par chance, Bastian le manque, et lui en fait de même avec son adversaire. Un peu de répit, et les idées qui reviennent à leur place. Il en profite pour ouvrir sa visière et aspirer une bonne goulée d'air frais. Déjà le rappel, le doyen y retourne...

Nouveau son, cette fois ci, il se sent bien, et arrive plus vite que son opposant. Ajustant sa visée, il touche de pleine vitesse l'autre participant, et casse à son tour sa lance. Le temps de finir son tour de lice, et le lorrain constate que l'Altesse aussi a réussi à se maintenir sur son cheval. Trois passes, deux lances cassées, pas de résultat. Il ne doit en rester qu'un, c'est la règle. Les deux protagonistes filent donc vers la "mort subite".

Quatrième passe, Caton part en retard, mais réussit à éviter la lance de son opposant en se mouvant au dernier moment d'un léger quart sur sa selle. Mais dans le même temps, il se loupe, et ne touche pas Bastian. On arrive en bout de lice, tout est à refaire, cinquième tour, le public est de plus en plus perplexe, en même temps qu'excité.

Le patriarche d'Acoma revient donc prendre place pour cette nouvelle passe d'armes. Quelques instants d'attente, et de nouveau le cor retentit. Le brun lance son destrier au galop, et songe à refaire la touche de son combat avec Idril. Il décide donc de moduler sa course, ajuste son adversaire, mais au dernier moment, il choisit de changer son angle, et touche le Prince Consort, pas assez fortement à son gout, mais l'Altesse est désarçonné et choit.

L'Antique, en bout de lice, n'en revient pas en enlevant son heaume. Le public crie sa joie, et lance des hourras pour ce long et beau duel. Le lorrain, ému, salue la tribune d'un geste de la main tout simple, avant de s'en aller prendre des nouvelles de son valeureux adversaire.


Mais nul doute qu'après, une bonne sieste sera bien méritée pour réparer l'Antique avant sa demi-finale. Il songea aussi qu'un massage lui ferrait terriblement du bien, mais à défaut, il redeviendrait l'homme en robe de bure qui s'en irait prier. Aide toi, le Ciel t'aidera!
Riese
Yselda.de.sparte a écrit:


~Quart de finale~




Riese Adams de Mélincour,
Vicomtesse de Gendrey,
Dame de Vescemont,
Maréchal d'Armes Comtois.

VS

Sharlnak de la belle Ile,
Vicomte de Bolland.




Dernier duel pour les quarts de finale des joutes de Marnay. La Vicomtesse Riese et le Vicomte Sharlnak vont se combattre. Ils s’avant sur le terrain et se mettent en place, après avoir abaissé leurs heaumes, leurs chevaux s’élancent sur la piste, envoyant valser la poussière.
Un bruit de casse se fait entendre, les deux adversaires se touchent et brisent leurs lances. Riese demeure en selle tandis que le Haut né chute au sol de façon maladroite et se blesse légère (Choisir pour Sharlnak entre blessure : avant-bras, coude ou main)


- Par chute de son adversaire la Vicomtesse de Gendrey ira en demi-finale.

Le public applaudit et se lève attendant avec grande hâte que débute les demi-finale.


Riese arriva pour le nouveau duel qui l'attendait. Elle ne connaissait rien de son adversaire même pas son nom. Enfin si une fois au deux en taverne. Mais elle ignorait qui il était vraiment. Elle regarda les duels précèdent le sien et observa les jouteurs qui seront présents le tour suivant.

Son tour arriva. Elle se prépara, se fit aider pour monter a cheval et remercia son page pour l'assistance. Son heaume en place, l'écu contre son bras et sa lance sous son bras tout était prêt. La blonde guetta le départ pendant que son destrier tapait du sabot le sol. Le drapeau fut baissé et Riese s'élança. Sa lance toucha son adversaire, un bruit de fracas se fit entendre. Elle aperçut des morceaux de bois volés, elle réussit a rester en selle. Une fois au bout de la lice, elle se tourna et vit son adversaire au sol. Elle se dit et de deux.

Elle descendit de cheval et aperçut les soigneurs intervenir ce qui signifiait qu'il était donc blessé. Elle s'adressa a lui.


Je suis navré pour cette blessure. J'espère que vous n'aurez rien de grave.
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Loanne
    Elle avait supporté les cris d'Elizabelle jusqu'au treizième point, se cripsant à chaque fois, toujours debout devant la tente. Grand Jean, le maitre d'armes de Brussey la retrouva finalement et la ramena à sa tente où un baquet d'eau chaude l'attendait. Ni une, ni deux, on la débarassa des éléments d'armures qu'elle avait encore sur elle, de sa cotte de mailles et elle enleva le reste de sa tenue pour se plonger dans le baquet tandis que ses hommes remettaient en état son équipement et s'occupaient de Baron. La température de l'eau finit par sortir Loanne de sa torpeur. Elle effaca les dernières traces de sang qu'elle avait sur elle, la poussière et la sueur, passant délicatement sur les traces bleuatres qui commencaient à marbrer sa peau et qu'elle devait à sa chute. Lorsque l'eau commenca à refroidir, elle sortit du baquet, se sécha et enfila sa tenue. Elle finissait de lacer ses bottes lorsque Grand Jean vint la rejoindre:

    Ma Dame? Les quarts de finales ont été annoncés

    Ah oui? Et qui vais-je affronter?

    Le Chevalier Dacien de Chenot ma Dame

    Loanne se crispa.

    C'est un gros morceau et il a de l'expérience. Mais je ne doute pas que vous fassiez une belle joute!

    La jeune femme sourit et acquiesca. Elle ferait en tout cas de son mieux. D'un mot, elle envoya l'homme faire préparer Baron et son équipement. Elle s'étira en grimaçant, courbaturée par le tour précédent puis sortit de sa tente. Baron piaffait. Elle s'approcha de lui et caressa longuement l'encolure pendant qu'on posait à nouveau les plaques qui protégeraient son cheval. Une fois qu'il fut prêt et bardé des couleurs de Brussey, ce fut son tour. A nouveau, elle enfila la longue cotte de mailles, se fit aider pour placer bustieur, cuissardes et autres protection puis se fit hisser sur Baron avant qu'on ne la conduise près de la lice où Bastian et Caton finissent leur duel sur une victoire de ce dernier. Le noeud qui noue les entrailles de Loanne depuis la fin de sa joute se resserre. Elle a peur, même si elle sait qu'il est peu probable qu'elle en arrive au duel avec Dacien. La guerre était une chose à laquelle elle s'était habituée. Mais se battre pour une victoire avec des amis, des frères d'armes, voila ce qui était nouveau pour elle et qu'elle n'aimait pas forcément. Pourtant, l'adrénaline des joutes vint amoindrir sa peur. Son sentiment partagé pour cette nouvelle discipline la rendait perplexe. Se secouant un peu malgré le poids de l'armure, Loanne fit taire ses peurs pour se laisser envahir par l'adrénaline lorsque vint son tour. Elle replaça l'écu à son bras, se saisit de la lance et maintin les rênes courtes le temps que Baron se place. Passant près d'elle , l'écu aux couleurs noire et or brillait légèment au soleil tandis qu'il la saluait. Salut auquel elle répondit d'un geste sans répondre avant de baisser la visière de son heaume. Une fois Dacien placé, elle oublia la joute précédente, la foule et ce qui l'attendait. Ne comptait plus que le départ.

    Les drapeaux s'agitent. Atlas part comme une flèche. Sans plus attendre, Loanne presse les flancs de Baron et lâche les rênes. Raffermissant sa prise sur la lance et sur l'écu, elle sent le sang battre à sa tempe au rythme des foulées du coursier. Elle vise l'écu de son adversaire. Un battement de coeur. Sa lance rate sa cible. A nouveau, le choc terrible dans son bras qui remonte et la sensation de projection. A nouveau elle vide les étriers et est projetée au sol. Elle roule, le souffle coupé, et s'arrête sur le dos, bras en croix, grimacant sous son heaume. Chassant l'écu de son bras, elle enlève le heaume tandis que Dacien la contemple du haut de son cheval et qu'Yris venait le chercher.


    Non.. rien.. je crois..

    Elle a vachement mal au dos quand même, après deux chutes monumentales en quelques heures... Un cadeau pour Cka? Elle ferme un instant les yeux, tandis qu'elle entend Grand Jean arriver en courant

    Hmpf.. ouais d'accord...

    Elle sent qu'on la relève. Baron n'est pas loin, conduit par un des palefreniers de Brussey. Quand on l'amène près de sa cavalière, celle-ci flatte l'encolure de sa main de fer

    Et voila mon gros, c'est fini pour nous. Tournée de foin à volonté pour toi et repos!

    Elle sourit tandis qu'elle s'appuye sur Grand Jean qui la soutint pour sortir de la lice. Les Quarts de Finale, c'est quand meme déjà pas mal pour une première. Maintenant,elle pourra assister au reste sans risquer une nouvelle chute. Elle pourra voir Elvyna et Torwen aussi. En souriant, elle quitte la lice sous les mots encourageants de Grand Jean

    Vous vous êtes bien débrouillée ma Dame. On travaillera encore pour les prochaines et vous irez plus loin

    Merci Grand Jean. Mais D'abord, laissez moi m'en remettre d'accord?

    A vos Ordre ma Dame...
Elvyna
Elle était restée silencieuse sur son banc, à regarder les combats avec un regard intense. Concentrée sur chacun des mouvements des uns des autres, des chutes bien sur mais aussi la façon de tenir la lance, de se battre à l'épée, du maintient sur les destriers. Tout cela s'imprimait dans son esprit. Tellement concentrée qu'elle en oublierait d'avaler sa salive et en baverait presque. Non elle ne bave pas nomého! J'ai dis presque.

Les adversaires s'éliminaient petit à petit, grimaçant à chacune des chutes violentes. La plupart étaient ses amis, elle ne voulait pas qu'ils leur arrivent du mal. Après son échec, les huitièmes de final survirent. Les groupes des adversaires étaient amusants. Dacien contre sa soeur, Elektra contre Elwin, son père contre son parrain, et Riese contre Badak. Elle avait suivi les combats avec concentration et amusement. Le combat qui l'avait surtout le plus plu était celui de son père contre sa naineur. Elle les savait en conflit en permanence et ce combat se finirait surement en vengeance personnelle. Serrant ses doigts sur ses genoux en voyant son père tomber, elle fut soulagée de le voir encore en forme pour terminer ce duel à l'épée. Bien que cela soit une joute équestre, une joute également verbale se jouait sur le terrain. Debenja se retrouva vainqueur et Leif bien que blessé était tout de même toujours en vie à son grand soulagement. Quand les combats furent fini, il restait Dacien, Elektra, Riese et son père.

Les combats suivant emmenait Arioce contre Sharlnak, Elizabelle contre Loanne, Bastian contre Thomas et Idril contre Caton. Un peu déçue, elle regarda la défaite de son vassal, mais il avait tout de même bien combattu. Par contre Loanne avait réussi à gagner contre l'adversaire d'Elvyna contre laquelle elle avait perdu. Thomas perdait contre Bastien ce qui surement devait ne pas lui plaire et ensuite, son vieil oncle boiteux réussi également à se retrouver vainqueur. Finalement, pour un vieux, ce n'était pas si mal.

Et enfin les quarts de final. Son oncle gagnait contre un prince impérial! Se levant d'un bond elle ne put s'empêcher de hurler.


    - C'est bon mon vieil oncle boiteux! Vous ne faites plus honte à la famille!

Souriant en coin, elle regarda le combat suivant en se rasseyant. Dacien contre Loanne. Là, elle ne savait pas de qui tenir partie. Finalement, ce fut Dacien le vainqueur, mais elle restait fière de sa vassale et amie qui, pour ses premières joutes avait réussi à aller jusqu'aux quarts de final. Et ensuite, le combat suivant, son père gagna à son tour. Cela serait amusant de voir en final, un d'Acoma contre un Riddermark. De quel côté de la famille était le plus fort dans un combat. Et pour finir, Sharlnak perdait contre sa marraine. Elle n'allait pas s'empêcher de se moquer de lui pour avoir perdu contre une femme.

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Hermess
-Manger du gruau pour gagner ?
-On risque de mourir sur son cheval si on mange ce truc. Étaler sur le destrier, y'a une chance d'éviter la lance, je pense.
-Donc...vous voulez du gruau Vicomte ?
-Tais toi sinon je te force à boire du vin chaud.


Finissant sa discussion avec son escuyer, le blond se rendit dans les tribunes honorant ainsi l'invitation qu'il lui avait été faite plus tôt. Il avait pu se laver et endosser une tenue plus digne pour regarder les combats à suivre.
Le combat d'Arioce était le suivant, pestant d'impatience, il ne put s'empêcher de rire très vite après le début. Le vassal imitait son suzerain en perdant si tôt. Pas certain que l'exemple était bon.
Loanne eut plus de... chance ? Le blond préférait les combats plus terre à terre, il n'avait même pas espéré une telle possibilité lors de ces joutes. Souriant en entendant sa victoire, il se dit que c'est pas si mal, pour une muche.
Venait ensuite sa plus grosse frayeur lors de ces joutes, la chute de sa petite soeur. Retenant son souffle, il finit par soupirer presque vexer quand elle fut remise sur pied, quelle idée de lui faire un coup pareil !



Plus le temps passait, plus il perdait son attention, finissant par s'endormir la posture droite qui de dos, ne trahissait pas sa somnolence. Même les acclamations ne semblaient pas agir sur lui à ce moment.
Yselda.de.sparte


~Demi finale~




Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.

VS

Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.





Les demis commencent avec le duel Caton contre Dacien. Deux hommes forts et d'expérience qui s'avancent pour jouter. Comme à l'accoutumé ils se mettent en place. Lorsque se brandit le drapeau et que retendit le son du cor ils s'élancent.
Lors de la première passent ils se loupent tout les deux, tout est donc à refaire.
A nouveau en position et alors que leurs chevaux s'impatientent ils attendent le signal pour s'élancer à nouveau sur la terre battue.
Le choc est violent, ils brisent tout deux leurs lances mais seul Caton restera en selle tandis que Dacien chute sur le sol.


- Par chute de son adversaire Messire Caton le Censeur d’Acoma est déclaré vainqueur et disputera la finale.

Une vague de liesse envahi les tribunes, le public sait qu'il approche du therme des joutes de Marnay et que bientôt il y aura un vainqueur.




Riese Adams de Mélincour,
Vicomtesse de Gendrey,
Dame de Vescemont,
Maréchal d'Armes Comtois.

VS

Debenja von Riddermark,
Comte de Viller-Buzon,
Seigneur d'Hotton.





Second duel pour la demi finale et s'avance Debenja le Père de l'organisatrice et Riese la Marraine de cette dernière. Les deux jouteurs se mettent en place à leur tour et attendent le signal pour s'élancer.
Le public retient son souffle avec eux. Bientôt il connaitre l'affiche pour la grande finale.
Le signal retentit et les deux jouteurs font galoper leurs chevaux.
Les deux adversaires se touchent faiblement, mais malgré la légèreté de la touche cela suffit pour destabiliser Riese et la voilà qui choit sur le sol faisant de Debenja le vainqueur :


- Par chute de son adversaire Sa Grandeur Debenja est déclaré vainqueur et disputera la finale contre Messire Caton le Censeur D'Acoma.

Le public applaudit le gagnant et scande son nom une nouvelle fois. Il n'y a pas à dire les Riddermark régalent les présents.

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Catonlecenseur
Demi -finale

Réveil chafouin pour le lorrain, quelques heures avant de partir jouter. C'est que la nuit avait été mauvaise, son esprit torturé par quelque fantôme de sa vie. Malengroin, il s'était levé pour faire un brin de toilette, histoire de se rafraîchir le corps et l'esprit. Au diable Hippocrate et Gallien! Pour une fois, il irait contre leurs prescriptions. Mais il fallait au minimum une rébellion intérieure contre ses principes pour pouvoir faire face à son adversaire du jour.

Dacien.

Il lui répugnait de l'affronter en champ clos. Lui, le chevalier des lettres, le guerrier des mots, aussi habile à la lance qu'à la plume. Non, vraiment, le sort était bien cruel avec le brun ce jour de lui faire affronter celui qu'il considérait comme son fils.

C'est donc à reculons qu'il se présenta sur le champ de lice, tirant sur les rênes de son destrier qui renâclait aussi. En face, à l'autre bout, le cimier de Dacien. Caton grimaça en montant en selle, mais adressa de sa main gantelé un salut qu'il voulait amical à son adversaire. Il espérait que ce signe fugace serait vu et compris par la Lame. Quelque part de ce coté, dans la foule qui se pressait le long de la lice, il était sur de voir le visage du Grand Maître.
Entendrait il encore comme au tour précédant son autre nièce, la maîtresse de lieux, hurler " C'est bon mon vieil oncle boiteux! Vous ne faites plus honte à la famille! ". C'était bien la marque de l'Impertinente, tiens!

Le lorrain secoua la tete. Non, vraiment pas le moment de faire dans le sentimentalisme, Caton!


Le cor sonna et il s'élança. Le lorrain sent qu'il est lent au démarrage - mais plus personne ne s'en étonne, n'est ce pas? - et peste intérieurement. Par chance, Dacien le manque, et lui en fait de même avec son adversaire, ce qui leur laisse un peu de répit pour souffler, et pour Caton un moment de plus à se battre avec sa conscience.

Nouvelle passe à venir, les cheveux s’élancent au galop, fébriles. Caton serre ses jambes sur sa selle, car il se sent comme son cheval. Mais la concentration est de mise, et pour cette deuxième passe, le brun se sent mieux. Il essaie d'ajuster de son mieux son adversaire, ce qui se produit avec la force d'un choc, d'une collision puissante.
Il touche de pleine vitesse Dacien en cassant sa lance. Le temps de finir son tour de lice, et le lorrain constate que la Lame, qui a aussi cassé son arme de joute, a chuté au sol après cette nouvelle passe d'armes.

Le patriarche d'Acoma, ébaubi, met quelques instants à réaliser qu'il a vaincu. C'est en entendant le public hurler sa joie qu'il réalise enfin. Mais point le temps de lambiner, il jette son heaume à un écuyer des Lames, descend prestement, enfin autant que faire se peut, salue le public en passant à pied le long de la lice, pour les remercier de leurs applaudissements, et file vers son adversaire, prendre de ses nouvelles.

Arrivé à sa hauteur, c'est d'une voix émue, plus qu'il ne le voudrait, qu'il déclare


Beau combat Dacien. Vraiment. Pas trop de mal, fils?
Elektra.
Dacien est en demi-finale. C'est une belle performance pour le chevalier. Elektra, depuis le bord de la lice, le regarde se mettre en place. Depuis le début de ces joutes, elle a un étrange pressentiment, ce trouble, ces ombres qu'elle perçoit presque à chaque tour lui laissent un étrange malaise intérieur. Il faut dire que la visite de la femme qu'ils ont reçu sous leur tente n'a fait qu'accentuer cette impression désagréable. La méfiance de Solitude comme une armure, elle se concentre sur la joute de Dacien, lui seul compte.

Son oncle a peu d'expérience, et c'est déjà un vieil homme. Dacien est chevalier, il est jeune et vaillant. La première passe, ils se croisent, peut-être se jaugent-ils, ils se remettent en place. Elektra retient son souffle.

La seconde course porte ses fruits, les lances se brisent violemment dans un bruit terrifiant. Son chevalier n'a pas encore touché terre que déjà la jeune femme se précipite sur la lice, le cœur affolé, battant à tout rompre. A genoux, elle l'aide à se redresser, cherchant son regard pour se rassurer.


Est ce que tout va bien, Amour ?

Aux mots de son oncle, dont elle a oublié la présence dans la précipitation, elle relève les yeux sur lui.
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Riese


~Demi finale~




Riese Adams de Mélincour,
Vicomtesse de Gendrey,
Dame de Vescemont,
Maréchal d'Armes Comtois.

VS

Debenja von Riddermark,
Comte de Viller-Buzon,
Seigneur d'Hotton.





Second duel pour la demi finale et s'avance Debenja le Père de l'organisatrice et Riese la Marraine de cette dernière. Les deux jouteurs se mettent en place à leur tour et attendent le signal pour s'élancer.
Le public retient son souffle avec eux. Bientôt il connaitre l'affiche pour la grande finale.
Le signal retentit et les deux jouteurs font galoper leurs chevaux.
Les deux adversaires se touchent faiblement, mais malgré la légèreté de la touche cela suffit pour destabiliser Riese et la voilà qui choit sur le sol faisant de Debenja le vainqueur :


- Par chute de son adversaire Sa Grandeur Debenja est déclaré vainqueur et disputera la finale contre Messire Caton le Censeur D'Acoma.

Le public applaudit le gagnant et scande son nom une nouvelle fois. Il n'y a pas à dire les Riddermark régalent les présents.




Qui l'aurait cru, par elle en tout cas. Avec son peu d'expérience dans ce genre d'exercice, elle ne pensait pas enchainer les victoires au sein de ces joutes. Sa filleule avait au moins le mérite d'organiser des jeux intéressants. Elle observa l'affichage et vit son nom suivit de ... celui du Père de sa filleule. Ainsi dont, ils allaient devoir s'affronter. Et bien le sort décidera de ce qu'il en sera d'eux.
Elle se dirigea vers son cheval. Lui tapota l'encolure pour le remercier de tout ce qu'il avait depuis le départ et l'encouragé pour celle à venir. La dernière ou pas.

Elle se hissa sur la selle de ce dernier avec l'aide de son palefrenier et son page. Les deux s'assurent que tout est en ordre et la blonde avançât de son côté de la lice accompagné des deux qui portaient écu et Lance. Le public en avait eu pour son déplacement. Des jouteurs, un duel, des chutes. De quoi passer un agréable moment en effet. Riese chercha du regard sa filleule pour lui sourire mais ne la trouva pas. Tout était encore ravi du tour précédent.
Sans un regard pour son adversaire, elle demanda qu'on finalise sa préparation. Son écu fut mis sur son bras, sa lance dans l'autre, caler sous son bras pour la maintenir fermement. Elle fit un signe à l'arbitre. Elle était prête. Elle baissa son heaume et se concentra sur la passe à venir. Sa respiration devient calme presque au ralenti.

Le signal fit donner et son destrier se lança au coup de pied qu'elle donna. La vitesse était grisante sans aucun doute. Elle touche. Mais pas assez fort pour soi sa lance ou pour le faire tomber. Elle se sentit partir d'un coup. Elle essaya de faire balancier avec son corps mais le coup de Debenja même faible la fit glisser de sa selle et BOUM ... la blonde finit dans le sable.

Une crise de rire la prit au moment où elle ouvrit les yeux pour regarder le ciel bleu. Pas de chance, elle les avaient tous fait tomber. Et elle, elle finit elle aussi au sol dans le sable. Elle réfléchit pour voir si elle avait une quelque douleur. Non rien. Fergus arriva en courant pour l'aider à la relever. Elle releva sa visière, leva un bras pour signaler que tout aller bien. Elle fit une révérence au public pour le remercier de son soutien et quitta la lice sans un regard pour son adversaire.

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Yselda.de.sparte


~Finale~




Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.

VS

Debenja von Riddermark,
Comte de Viller-Buzon,
Seigneur d'Hotton.





Va débuter la grande Finale des joutes de Marnay de la Vicomtesse Elvyna von Riddermark. Le public est encore plus nombreux que lors des précédents duels. Les gradins sont combles même dans ceux de la noblesse les Hauts nobles doivent se serrer pour assister au combat. Autour des gens sont debout, piétinant d'impatience pour certain, se relevant sur la pointe des pieds pour d'autres plus petits. Quand la juge s'avance sur l'estrade et fait appeler les jouteurs, les vivats s'élèvent en un seul choeur soit pour l'un soit pour l'autre.

- Que s'avancent les finalistes Messire Caton le Censeur d'Acoma et Sa Grandeur Debenja von Riddermark.

Les deux hommes s'avancent fier d'en être arrivé là, dans leurs armures rutilante ou presque et avec leurs écuyers, pages et autres s'ils en ont.
Ils se mettent en place pour la première passe.
La juge diseur lève le bras pour annoncer que cela va commencer et de se mettre aux marques. Le silence se fait autour du terrain.
Puis le bras s'abaisse et avec lui le son qui retentit pour dire aux jouteurs de s'élancer.
Les deux hommes se loupent. Un "Ooooooh" de surprise s'élève mais la pression remonte alors que le silence retombe pour la seconde passe.
Les deux hommes se positionnent et la juge recommence ce qui est devenu un même rituel.
Ils s'élancent avec leurs fiers chevaux, battant la terre battu des lices pour soulever un nuage de poussière.
Là un bruit aussi violent que le coup retentit, c'est celui d'une lance qui se brise sur l'acier d'une armure. C'est Debenja qui vient de frapper son adversaire le foudroyant et le faisant tomber lourdement sur le sol. De grands "Hourras" pour le vainqueur.


- Par chute de son adversaire Sa Grandeur Debenja von Riddermark est déclaré vainqueur des joutes de Marnay !

"Von Riddermark" les spectateurs scandent le nom de la famille. Pour peut qu'en plus l'organisatrice ait pensé à un festin populaire et se sera la liesse pour plusieurs heures encore avec viande et vin
.

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Dacien_de_chenot



Caton le Censeur d’Acoma,
Seigneur de Frébécourt.

VS

Dacien de Chenot,
Seigneur de Longefoy,
Chevalier Impérial de Speyer.





Les demis commencent avec le duel Caton contre Dacien. Deux hommes forts et d'expérience qui s'avancent pour jouter. Comme à l'accoutumé ils se mettent en place. Lorsque se brandit le drapeau et que retendit le son du cor ils s'élancent.
Lors de la première passent ils se loupent tout les deux, tout est donc à refaire.
A nouveau en position et alors que leurs chevaux s'impatientent ils attendent le signal pour s'élancer à nouveau sur la terre battue.
Le choc est violent, ils brisent tout deux leurs lances mais seul Caton restera en selle tandis que Dacien chute sur le sol.


- Par chute de son adversaire Messire Caton le Censeur d’Acoma est déclaré vainqueur et disputera la finale.

***


[«VICTRIX CAUSA DIIS PLACUIT, SED VICTA CATONI»
(Les dieux furent pour le vainqueur, mais Caton pour le vaincu.)]

Ainsi donc en avait décidé le sort qu'il devait affronter Caton en demi-finale. Ce n'était pas une véritable surprise n'étant plus que quatre concurrents, pourtant s'il avait eu le choix, aurait-il préféré affronter Caton en finale, non pas qu'il redoute ce combat sans toutefois être sûr de vaincre mais parce qu'il aurait ainsi déjoué les dons divinatoires de sa sœur de cœur qui espérait un duel final entre son père et son vieil oncle.
Si leur vision du monde les avait placé dans des camps adverses, les deux hommes avaient su conserver le respect qui étayait leur relation et une amitié jamais démentie. Pourtant, le Ténébreux se devait d'appréhender ce combat comme il avait fait des autres s'il voulait espérer vaincre.
Une fois de plus Yris remplit son office. Chacune des pièces de l'armure fut soigneusement ajustée et vérifiée. Elle mena Atlas à l'entrée de la lice et le conduisit à l'extrémité assignée où elle arma le Ténébreux d'une lance. Au signal, il talonna le frison qui s'élança à l'assaut de son adversaire. Dacien pointa sa lance sur l'écu de Caton mais manqua sa cible tandis que, dans un même temps, il vit celle de Caton passer à quelques pouces. Un coup pour rien ! La foule manifestait vivement à chaque passage, elle attendait un vainqueur.
Au second passage, le Ténébreux veut en finir pour éviter la mort subite. Mauvais calcul, car sa jeunesse lui aurait donné l'avantage dans un duel de longue haleine. Cette fois sa lance vole en milliers d'éclats mais il n'a guère le temps de s'en réjouir. Il a relâché ses muscles pensant le combat gagné, lorsqu'au même moment la lance de Caton le percute lui faisant vider ses étriers.

Un peu sonné par la chute, il porte sa main à hauteur du heaume dont il relève la visière. Déjà Elektra se penche au-dessus de lui et l'aide à reprendre pied.

- Pas de mal amour, rassurez-vous.

Puis se tournant vers l'ancêtre des d'Acoma venu aux nouvelles :

- Bien beau combat, mon oncle. Je vous souhaite de briller tout autant en finale. Félicitations ! Nous suivrons votre duel avec attention. Puissiez-vous remporter ce dernier combat.

Il avait insisté sur le terme d"oncle", voulant ainsi signaler à Caton, que, sous peu, il épouserait sa nièce. Sans doute seraient-ils amenés à en parler plus avant.
Sur un dernier salut à la foule qui avait son champion, il quitta la lice au bras d'Elektra.

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