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[RP] La croix, seul lieu de culte, avec l'église Saint-Karel

Kalimereth
Les yeux perdus dans les siens, elle se laissa entraîner vers la nef, impressionnée par la solennité des lieux, et par le fait de se retrouver seule avec lui dans cette église. Elle n’était pas vraiment à l’aise avec la religion, elle commençait à peine à apprendre réellement tout ce que cela signifiait, sortie depuis peu de sa pastorale, mais pas encore baptisée, bien que cela fusse prévu pour bientôt. Il n’en demeurait pas moins qu’elle était reconnaissante envers le Très-Haut d’avoir mis Davor sur son chemin. Alors qu’elle s’apprêtait à quitter son village, sa famille et ses amis, n’ayant plus la force de vivre ici dans ses souvenirs, ils s’étaient rapprochés. Cela faisait longtemps qu’ils se connaissaient, et rien n’aurait laissé présager une telle issue. Et pourtant elle avait trouvé auprès de lui tout le bonheur qu’elle pouvait espérer.

Suivant son regard, elle se laissa vers la première rangée de bancs, s’installant au premier rang, en essayant au mieux de respecter le silence des lieux, aussi impressionnant soit-il. Sa main toujours dans la sienne, elle leva les yeux vers l’autel, et sans très bien savoir comment s’y prendre, se lança dans une prière silencieuse, remerciant Aristote pour le bonheur qu’il lui avait accordé en mettant Davor ainsi sur son chemin.

Reportant son regard sur son tendre, elle glisse légèrement sur son siège se rapprochant de lui, posant doucement sa tête sur son épaule. A cet instant elle savait que le destin ne s’était pas trompé, et elle murmura tout bas à l’oreille de son amour…
je t’aime…
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Davor
Le credo aristotélicien, Davor l'avait appris, il y a longtemps, mais il s'était peu à peu échappé de sa mémoire, et il le regrettait. Il avait pourtant accumulé un certain nombre d'ouvrages religieux dans sa bibliothèque, avec la longue et tumultueuse expérience de la religion qu'il avait eu au cours de sa vie, mais cela ne signifiait pas pour autant qu'il les connaissait tous par cœur.

Aussi, il improvisa une prière muette, remerciant Aristote et Christos de lui avoir permis de rencontrer sa douce Kali, et les priant de permettre à ce bonheur de durer éternellement. Mais surtout, ce qu'il demanda avant tout, c'était qu'elle soit heureuse... Et cela, il ferait tout pour que ce soit le cas.

Le Baron esquissa un tendre sourire en sentant la jeune femme se rapprocher de lui et poser sa tête sur son épaule, et il passa un bras autour d'elle, pour la garder contre lui, sentant les battements de son cœur s'accélérer à cause des quelques mots qu'elle prononça, mots qui lui faisaient toujours autant d'effets. Il tourna doucement la tête pour la regarder amoureusement.


Moi aussi je t'aime mon amour...

Passant tendrement une main sur sa joue, il l'embrassa longuement, oubliant tout le reste, tout ce qui n'était pas elle.
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Kalimereth
Elle sentit plus qu’elle ne vit le regard de son tendre se poser sur elle, et relevant la tête vers lui elle croisa son regard ne pouvant réfréner les battements de son cœur, et répondit à son baiser avec douceur.

Puis son regard plongé dans le sien lui murmura dans un tendre sourire :
Je n’ai pas l’habitude des églises, mais je ne suis pas sure que l’on puisse s’embrasser ainsi en ces lieux.

Un sourire aux lèvres elle se lève l’entraînant avec elle vers l’allée centrale.
C’est la première fois que je viens ici en dehors des cérémonies, je n’avais jamais remarqué à quel point cette église était belle.

L’entraînant à sa suite, elle contemple les différents objets qui ornent les lieux, le questionnant sur la plupart d’entre eux, se sentant bien ignorante sur le sujet. Ecoutant ses réponses avec attention, oubliant la remarque qu’elle a faite juste avant, elle s’arrête et se tournant vers lui l’enlace et l’embrasse tendrement.

Merci de m’avoir amenée ici… je suis heureuse d’avoir pu remercier Aristote du bonheur qu’il nous permet de connaître ensemble.
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Davor
Il fallut quelques instants à Davor pour émerger de la félicité dans laquelle il se retrouvait plongé chaque fois qu'il embrassait Kali, et il mit un peu de temps avant de comprendre la pertinence de sa remarque, à laquelle il ne put répondre que par un sourire gêné.

Oui, tu as raison mon ange, comme toujours.


Il lui sourit amoureusement, et adressa une petite prière de repentance à Aristote. Il était loin le temps où il avait regardé les trémouillois construire cette église, sans rien faire pour les aider...

C’est la première fois que je viens ici en dehors des cérémonies, je n’avais jamais remarqué à quel point cette église était belle.

Oui, les trémouillois ont vraiment fait du magnifique travail lorsqu'ils l'ont reconstruite après l'incendie.

Sa main dans la sienne, il la suivit à travers l'église, répondant à ses questions du mieux qu'il le pouvait. Il est vrai que la religion était un sujet qu'il connaissait tout de même assez bien, même s'il l'avait côtoyée en étant du mauvais côté de la barrière. Au final, il avait eu une vie bien remplie, s'intéressant à presque tous les aspects de la vie du Comté. Il commençait à être vieux maintenant, mais il ne pouvait rêver meilleure fin de vie que d'être aux côtés de Kali.

Merci de m’avoir amenée ici… je suis heureuse d’avoir pu remercier Aristote du bonheur qu’il nous permet de connaître ensemble.


Il esquissa un sourire, le cœur battant plus rapidement, comme chaque fois qu'ils s'embrassaient. La regardant fixement quelques secondes, obsédé par la délicatesse de ses traits, il finit par répondre, doucement.

Merci d'être là mon coeur, merci d'être toi...


La gorge nouée, la bouche un peu sèche, il s'approcha de Kali, posant une main sur sa taille, l'autre passant doucement derrière sa nuque, et l'embrassa longuement, priant en lui-même Christos, Aristote et tous les Saints aristotéliciens, Saint Karel en tête, de bénir leur amour et de lui promettre des lendemains chantants.
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Kalimereth
Perdue dans le bonheur d’être dans les bras de l’homme qu’elle aime, en oubliant le lieu où ils se trouvent, elle répond à son baiser avec tendresse, plus rien n’existant à part eux.

Se reculant légèrement, les yeux plongés dans les siens, elle lui murmure : Je ne peux plus imaginer vivre sans toi mon amour, je suis tellement heureuse auprès de toi.

Puis regardant autour d’elle, sent ses joues rosirent en se rappelant l’endroit où ils se trouvent, peu compatible avec les pensées qui lui effleuraient l’esprit voilà encore quelques secondes. Elle tourne le visage vers son tendre, détaillant son visage avec amour, en appréciant chaque détail, chaque expression. Lui prenant la main, elle lui dit à voix basse :


Que dirais-tu de rentrer maintenant ?
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Davor
Davor sourit béatement en entendant les douces paroles de son ange, heureux d'être avec elle, comme à chaque instant passé en sa compagnie. Il avait eu une vie amoureuse tumultueuse au final, mais désormais il vivait l'histoire la plus merveilleuse et la plus aboutie de toute sa vie.

Il la regarda dans les yeux, incapable de se détacher de son regard, ses pensées se perdant parmi tous les délicieux moments qu'ils avaient déjà vécus et qu'ils avaient encore à vivre. Comment avoir la moindre pensée négative en sa compagnie ?


Que dirais-tu de rentrer maintenant ?

Oui, tu as raison mon amour. Il me semble qu'il y a du travail qui nous attend tous les deux. Ou alors... Nous pourrions rentrer chez moi pour se reposer un peu si tu veux.


Gardant sa main dans la sienne, il se dirigea à pas lents vers la sortie de l'église, sans cesser de la regarder.
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Heinekenavo
Heine, de passage dans la bourgade de Trémouille, et décidé à y passer quelques jours histoire de se reposer un peu de son voyage avant de repartir, décida ce matin là d'aller à l'église du village.
De nombreuses personnes attendaient devant le péron de l'église. L'étranger demanda à deux jeunes enfants ce qu'il se passait, et, sans-doute le plus intrépide des deux, répondit que l'curé n'avait rien préparé.
Les voix d'Aristote sont peut-être impénétrables, mais comment un simple paysan pourrait-il s'en rendre compte si l'curé manque à ses devoirs?
C'est un peu déçu que Heine reprit sa route en quête d'un travail pour la journée.
Honore.saint_cyr
Après une dure journée de labeur chez littlman, beh oui, il fallait bien nourrir son homme, le prélat arriva un peu exténué à l'église Saint-Karel, l'évêque entra dans l'édifice et s'exclama:

- Ahh ahhh rien n'a changé icelieu, c'est comme si je l'avais quittée hier cette bonne vieille église!

Honoré se signa et se dirigea vers la saristie où il alla revêtir son bel habit de cérémonie, ensuite, il alla s'installer près des fonts baptismaux, en attendant que la future baptisée ne le rejoigne, il se saisit d’un cierge, l’alluma et le reposa sur son socle près de baptistère.


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Evêque du Mans
Allydou
Toute la journée elle n'avait attendu que ce moment, celui ou il serait enfin l'heure de se rendre au village pour retrouver sa fillotte, bientôt filleule.

Elle passe par la maison, fait un brin de toilette, enfile une tenue juste un peu plus habillée que d'habitude et laisse un mot à son Amour pour qu'il sache ou la retrouver si l'envie lui en prend de faire un tour. Enfin prête, elle vérifie une dernière fois si son ... cadeau est bien dans sa besace et sort.

D'un pas léger, pensant avoir encore un peu de temps devant elle, elle se dirige vers l'édifice.

Arrivée devant la porte, elle hésite à rester dehors pour surveiller les arrivées, et surtout celle de la baptisée du jour, mais en entendant une voix à l'intérieur, elle se décide à entrer.

Elle redécouvre l'église, comme à chaque fois qu'elle y entre, ce qui est rare elle doit bien l'avouer, se signe et s'avance vers l'homme au fond.


Bien le bonjour Honoré, merci d'être venu pour Kali. Je ne suis pas trop en avance ? Je ne te dérange pas au moins ?
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Honore.saint_cyr
Tandis que le prélat s'affairait à tout préparer, Allydou entra dans l'église, la marraine était arrivée avant la future baptisée, Honoré s'avança vers elle et dit:

- il n'est jamais trop tôt pour venir à l'église et Grand Dieu Allydou, tu ne me déranges pas du tout, je suis franchement heureux de te revoir!

Honoré prit la jeune femme dans les bras et lui fit une accolade amicale...
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Evêque du Mans
Allydou
Le plaisir est partagé Honoré ! Alors que deviens tu, à part traverser le royaume pour nous baptiser tous ?

Elle lui rend son accolade, avant de regarder encore une fois autour d'elle.

Je peux t'aider pour quelque chose ?
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Kalimereth
Kali avait passé une nuit agitée. Le grand jour était enfin arrivé, et il fallait y aller. C’est au bras de son tendre qu’elle prit la route, se sentant réconfortée par sa présence. Ils montèrent les marches côte à côte, et elle le précéda entrant dans ce lieu qu’ils avaient visité ensemble il n’y a pas si longtemps. Elle sourit en voyant Honoré avec sa future marraine, et serra plus fort la main de Davor dans la sienne. Et voilà, le moment tant attendu était arrivé… Ils s’approchèrent d’eux, et Kali, la gorge nouée, les salua…

Bonjour Honoré, bonjour Ally, merci à vous deux d’être là. On n’attend que très peu de monde, donc on va pouvoir très vite commencer.

Relevant les yeux vers son tendre, elle lui sourit, cherchant son soutien dans son regard, sachant qu’elle le trouvait toujours.

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Davor
L'église... Un sourire se dessina sur le visage de Davor en pensant à la dernière fois où il était venu en ce lieu, en compagnie de sa douce d'ailleurs. L'accompagnant jusqu'à l'édifice dédié à Saint Karel, il ne la quitta pas des yeux, tout au bonheur de pouvoir passer un peu de temps en sa compagnie, loin de leurs responsabilités parfois très prenantes.

Et puis bon, un baptême, ce n'était pas rien comme occasion. Essayant de ne pas laisser son esprit vagabonder vers toutes les possibilités que cela offrait, le Baron salua Honoré et Ally d'un léger signe de tête, accompagné d'un sourire amical.

Davor regarda sa douce, l'encourageant du regard, bien décidé à ne pas la quitter des yeux de la cérémonie et à rester le plus proche possible. Non pas qu'il n'avait pas confiance en Honoré, mais il désirait simplement être toujours aux côtés de la femme qui avait conquis son cœur. Il dut néanmoins se retenir de l'embrasser, pressentant que ce n'était sans doute pas le moment. Plus qu'à attendre le début de la cérémonie maintenant.

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Kykyne


Voilà que le grand jour arriva. Pour rien au monde, elle n’allait rater cette journée si importante dans la vie de sa poulette. Après avoir fait sa ronde de surveillance, son rapport rédigé dans les règles reposait sur le bureau de la prévôt. Elle pouvait à présent, consacrer le restant de sa journée à son amie qui n’allait pas tarder à être baptisée.

Passage rapide chez elle afin de faire sa toilette, elle enfila l’une de ses plus belle robe et repartit aussitôt vers l’église où allait avoir lieu l’événement tant attendu. Elle grimpa les marches deux par deux, souhaitant ne pas être en retard et franchit les majestueuses portes de la maison d’Aristote. Tel que Kali lui avait dit, c’était une cérémonie faite dans l’intimité. Peu de personne s’y trouvait. Elle déposa son épée au sol, appuyant la garde contre le mur, elle ne pouvait pénétrer cette bâtisse armée. Après s’être désarmée, elle s’avança dans l’allée centrale afin de rejoindre le cœur de l’église. Elle salua discrètement d’un sourire Ally ainsi que l’évêque. Son regard se posa sur Davor puis Kali. Le discret sourire qui reposait sur ses lèvres s’exagéra.

Kyky était heureuse pour son amie. Malgré les traits légèrement tirés, visiblement dû à une nuit perdue dans ses songes, elle était magnifique. La rousse crinière reposait sur ses épaules, les yeux pétillants, le sourire aux lèvres, le regard presque constant sur l’homme qu’elle aime… Kyky ne l’avait jamais vu aussi heureuse et, de ce bonheur, ça lui faisait chaud au cœur.

En prenant soin de se signer avant de s’asseoir, elle prit place et attendit que le sacrement débute.

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Honore.saint_cyr
Honoré se posa la question que devenait-il? oui que devenait-il?

- Eh bien Allydou, je n'ai pas vraiment traversé les Royaumes pour vous baptiser mais je suis toujours prêt à aider mes semblables, je reste l'homme que tu as connu avant que je ne parte de La Trémouille, j'ai donc officié de nombreuses cérémonies, de ci de là et à présent, je vais rejoindre mon diocèse, il est grand temps que je sois parmi mes nouvelles ouailles, c'est pour cela que je ne puis rester trop longtemps à La Trémouille ou je vais me faire tirer les oreilles par mon supérieur!

Honoré sourit...

Tandis que l'évêque parlait à Allydou, enfin la future baptisée entra dans l'église accompagnée de Davor...main dans la main, tiens se dit l'homme...puis il se rappela que le temps était passé, sans aucun doute bien des choses avaient changé depuis la dernière fois qu'il était venu à La Trémouille...

-« Heureux de vous revoir Kalimereth et Davor, si je m'attendais à vous voir en couple? le cycle de la vie, le monde est ainsi fait, Dieu l'a voulu ainsi...Alors Kali, tu te sens prêtes à être baptisée? Tu vois j’ai tenu ma promesse et bien qu’on m’attende avec impatience au Mans!

Et si nous commencions?

- Kalimereth, Allydou, approchez-vous des fonts baptismaux!

- Kalimereth, en te faisant baptiser tu as exprimé le désir de montrer au Très Haut ton appartenance à la grande Famille Aristotélicienne et je te remercie pour ce Noble geste.


Ouvrons le Mythe aristotélicien au chapitre de la Création., Chapitre VII « L’amour » :




Citation:
« Tu as certes fait Tes créatures se nourrissant les unes des autres. Il leur faut chasser et tuer pour se nourrir. De même, il leur faut se battre pour défendre sa vie. Mais il n’y a pas de fort ni de faible. Personne ne rabaisse ni ne piétine les autres. Nous sommes tous unis dans la vie et nous sommes tous Tes humbles serviteurs. Car Tu es notre créateur.”

“C’est pour cela que Tu as donné des talents plus beaux les uns que les autres à toutes Tes créatures. Chacune d’elles a sa place dans Ta création. Son talent permet à chacune d’elles de la trouver. De ce fait, il n’y a pas de créature préférée de Toi, ô Très Haut. Nous sommes toutes pareillement aimées par Toi et nous nous devons tous t’aimer en retour. Car, sans Toi, nous n’existerions pas. Tu nous a créé alors que rien ne t’y obligeait et nous nous devons de t’aimer pour te remercier de ce geste.”

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.»


Que tous les fidèles et croyants accueillent chaleureusement Kalimereth qui se présente devant le Très Saint et Aristote, un de ses fervents prophètes.

Allydou désires-tu être la marraine de Kalimereth?
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Evêque du Mans
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