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[RP] Aux portes de La Trémouille (arrivées et départs)

Jehan_de_proisy
Il attendait sur les remparts, et attendrait toute la nuit s’il le fallait…
Il connaît ces remparts pour les avoir défendus, pour y avoir discuté avec des amis, pour y avoir eu des angoisses de voir l’ennemi arriver, des joies de le voir reculer etc.

S’il était là c’est parce qu’elle lui avait écrit, « je pars ce soir… »

Il guettait donc une blonde chevelure surmontant une robe rouge sang.

Non qu’il veuille lui parler, elle n’en avait sans doute pas envie. Et puis elle songeait que s’il lui parlait il arriverait à la convaincre de renoncer.
Une fois de plus elle se trompait sur lui alors qu’elle aurait du le connaître. Il ne ferait rien pas un geste pas un mot en ce sens.
Ils avaient passé un accord, elle devait lui donner sa réponse à la fin de son mandat. Quand ils s’étaient revus rien ne laissait présager le départ.

Il entrevoyait même une vie reprenant son cours, ses joies, ses fous rires.

Mais hier ce maudit pigeon avait apporté la nouvelle et il pouvait la citer de tête « …Ce soir, je pars. J'ai 30 écus dans mes poches et quelques réserves de nourriture. Avec ça, je m'en vais découvrir des nouvelles choses, un nouveau monde car, je dois te l'avouer, je n'en peux plus du tien… »

Son monde, son monde ! C’était le monde de tout un chacun, des gens essayant de vivre tout simplement. Il est vrai qu’elle avait les plus grandes peines à l’intégrer ce monde. En fait il se rendait compte que son investissement pour ses semblables n’avait pas déclenché chez elle ce même élan. Elle le voulait pour elle toute seule, il se voulait pour la multitude oubliant sa personne…

Il chassa ses pensées négatives il serait temps un jour, peut-être, de faire le bilan des torts de l’un ou de l’autre. Comme en toute choses en amour il fallait être deux…et il demeurtait seul.

Seul, cheveux au vent, scrutant chaque visage qui sort de La Trémouille espérant revoir ne serait-ce qu’une fois la blondeur des blés de sa chevelure, l’azur de son regard, l’albâtre de son teint, la fraicheur de ses lèvres cachant un collier de perles…

Il regarderait d’ici, sans rien dire sans un geste puis quand elle ne serait plus qu’un point sur l’horizon il tournerait, à tout jamais cette page de sa vie.

Même si elle disait dans son message « Ce n’est qu’un au revoir » pour lui c’était un adieu…

Non pas que son amour pour elle ait diminué de quelconque façon, il lui suffisait de ressentir la réaction de son cœur dès qu’une blonde chevelure apparaissait dans la lumière du soleil couchant.

Non, soit qu’elle l’ait fait exprès, soit qu’elle ne s’en soit pas rendu compte une chose s’était brisée dans le cœur de l’homme et cela quoi qu’elle fasse demeurerait, à tout jamais, une barrière entre eux.

Elle partait lui laissant le soin de s’occuper de leur benjamine à peine sevrée du sein de sa mère…

Elle partait sans se préoccuper de leurs jumeaux dont un était on ne sait où et l’autre clouée au lit par de mauvaises blessures en une ville étrangère…

Il avait la charge de leur progéniture et y ferait face. Son souci naturel des autres se tournait à présent vers les siens. Sans doute sur ce point avait elle eu raison de prendre cette décision. Le fait qu’elle le quitte « lui », il l’avait envisagé maintes et maintes fois sentant bien qu’il ne lui apportait sans doute pas toujours ce qu’elle attendait de lui. La négligeant parfois il devait le reconnaître. Mais qu’elle abandonne la benjamine ça il ne pouvait le comprendre ni l’admettre.

C’est pour cela qu’il était là, sur ce rempart, pour la voir une dernière fois car il savait que plus jamais il ne pourrait y avoir entre eux la moindre complicité. Il s’était battu pour elle, allant jusqu’à braver famille et vieilles superstitions, mais il n’avait pas su la rendre heureuse et elle le fuyait lui et leurs enfants. Il fermerait donc la porte sur leurs amours mortes et espérerait que le temps amoindrisse la douleur de son cœur…

Il continua de scruter les passants un à un…

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Letilet
Ils avaient galopé toute la nuit, elle emmitoufflée dans une grande cape, que ces premiers jours de septembre avaient rendu necessaire, lui, cheveux aux vents tenait la bride de sa monture serrée.
Le visage appuyé contre son dos, ainsi lovée à l'abri de sa large stature, Letilet gardait les yeux fermés.
Elle était bien, elle vivait....
Cette cavalcade nocturne lui avait permis de rédécouvrir un sentiment qu'elle avait oublié, celui d'exister.

Celui de savourer la carresse vivifiante du vent sur son visage, de savourer la chaleur rassurante de son ami créant un barrage entre les dangers de la route et elle, de se laisser bercer ainsi protégée par le bruit des sabots martelants la terre battue des chemins, d'observer la lune, de la dévorer des yeux et de pouvoir enfin lui dire qu'on a confiance....

Elle gardait les yeux fermés et elle souriait.

Mais soudain, alors que l'aurore pointait,un changement de rythme, les chevaux ralentissaient, freinés par les rênes que le cavalier serrait d'une main ferme.

Cet arrêt brutal dans leur course, sorti la Baronne de sa douce rêverie.
Elle ouvrit les yeux, autour d'eux une nature scintillante de rosée, de ci de là quelques oiseaux déja éveillés chantaient l'aurore.
La Baronne ressera son étreinte autour de la taille du Seigneur des Mottes.



Thierryvlad, mon ami, que se passe t'il? avons nous un probleme? crains tu un danger? Sommes nous arrivés? dis moi....
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Thierryvlad
ThierryVlad avait oublié.

Il avait oublié que ces longues chevauchées bucoliques aux portes de l'aurore, fendant la bise sur une fière monture au milieux des brumes du petits matins, ca faisait infiniment mal au postérieur... Et ces foutus gants autour de ces doigts crispées sur les rênes n'arretaient en rien le frimas porté par la rosé.

Bon sang, comment avait il pu vivre ainsi pendant des années ?!


Il y avait un très étrange contraste entre ses bras que le froid mordait et la douce chaleur que la baronne d'Apremont irradiait dans son dos. C'était très agréable... et un tantinet troublant.

C'etait par l'Est qu'il était arrivé il y a des années, quand il avait décidé de s'installer dans la ville poitevine qu'il connaissait le moins, pour se rapprocher de son amie Magoo. La jeune Lieutenant de Police l'avait approché timidement...Les yeux bleus hésitant sous l'épaisse crinière brune... LA discussion avait durée jusqu'à l'aube... la même lumière diaphane que celle qui naissait à l'est, droit devant eux. Thierryvlad découvrait Letilet. Et du même coup son fiancé. Le mariage devait avoir lieu quelques jours après.

Depuis lors, il y avait eu les guerres, les conseils, les annoblissements, les chasses aux brigands, et toujours plus de discussions nocturnes... Et puis le veuvage...et même pour ThierryVlad une paternité inopinée...

Mais jamais il n'y avait eu une telle promiscuité physique entre eux. Et, bon sang, il ne parvenait pas à comprendre pourquoi ca le perturbait autant. C'était comme si ...


D'une prise de conscience brutale, le seigneur des mottes arrêta son cheval comme il figea sa pensée. Un tantinet ahuri, le regard dans le vague....
Citation:

Thierryvlad, mon ami, que se passe t'il? avons nous un problème? crains tu un danger? Sommes nous arrivés? dis moi....


Il se retourna lentement, l'oeil vague, la bouche entrouverte :

"Gné ? UN quoi ?... Non ! Non .... Enfin, non, je ne crois pas" se reprit -il.

Il fixait ses yeux clairs et interrogateurs.


"Je... Heu... suis très ému... toujours tres ému par ce bleu d'aurore... ce ciel bleu d'aurore au dessus des remparts de la Tremouille !"

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Letilet
Citation:
"Je... Heu... suis très ému... toujours tres ému par ce bleu d'aurore... ce ciel bleu d'aurore au dessus des remparts de la Tremouille !"


Ah....oui...l'aurore....

Fut la chose la plus intelligente que la baronne réussit à dire...

Son regard interloqué scrutait le visage de son escorte comme en quête de réponses....
Elle s'était tant de fois sentie un peu perdue face à ce regard vert pénétrant,parfois insistant, si troublant....
Il y avait pourtant aujourd'hui quelque chose d'autre, quelque chose d'indefinnissable...
Qu'il était étrange cet homme que l'on pensait connaitre et qui, pourtant, vous echappez toujours un peu.
Thierryvlad l'insaisissable.

Il n'était pas de ces personnes qui cultivent volontairement le mystère, non, lui oublait simplement de dire...
Etait ce vraiment une ommission? où n'etait ce pas plutôt une défense, un moyen de preserver son indépendance... comme si se livrer trôp pouvait s'avérer étouffant, on est toujous un peu prisonniers de ses confidents finalement....
Et lui tenait à sa liberté.
Thierryvlad l'affranchi.

Cet homme n'aurait de cesse de la surprendre.
Elle l'avait connu fier et farouche, la grande gueule du Poitou...
Et le voilà à présent en train de s'émouvoir sur quelques perles de rosée comme une jeune fille en fleur.

Quel spectacle étonnant!



Combien de temps resterent ils ainsi, silencieux, les yeux dans le vague, aucun des deux ne pourraient le dire.
Mais dans un éclair de lucidité Letilet réalisa...

Mais quelle innocente fais tu Baronne d'Apremont, ce n'est pas l'aurore qui le trouble c'est ta présence dans son dos qui l'incommode.
Thierryvlad, le charmeur de demoiselle doit être bien embarrassé de ce fardeau!
Il est gêné, voilà tout et n'ose pas te le dire!
Mais quelle sotte!



Immédiatement, la jeune veuve, mal à l'aise, relacha son étreinte et sauta à terre.



Bien ....
Mon ami, je te remercie de m'avoir accueillie cette nuit sur ta monture, je tombais de fatigue!
Mais me voilà reposée à présent, je vais regagner mon cheval, cela me semble plus convenable et soulegera ce pauvre animal qui nous a porté tous deux toute la nuit.
Peux tu m'aider à prendre place?


Puis observant d'un oeil anxieux les remparts de La Tremouille qui se dessinaient au loin, elle ajouta.


Je voulais te remercier Seigneur des Mottes, de m'avoir accompagner dans ce voyage...
Il est trés difficile pour moi de revenir ici, Il y a tellement de souvenir..
Je ne sais pas si j'y serais arrivée seule...

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Thierryvlad
"Decidement quand ce n'est pas un homme, c'est un fantôme qui est entre eux..."songea t'il

De rien. Je suis à ton service Baronne !

JE repartirais demain pour Poitiers. Je viendrais te chercher dès que tu en donneras l'ordre.

Et je ne pense pas qu'il soit utile de changer de monture pour le peu de trajet qu'il reste. Avançons : je suis pressé d'arrivé en ton Hotel me sustenter et me rechauffer !
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Letilet
Citation:
JE repartirais demain pour Poitiers. Je viendrais te chercher dès que tu en donneras l'ordre. Et je ne pense pas qu'il soit utile de changer de monture pour le peu de trajet qu'il reste. Avançons : je suis pressé d'arrivé en ton Hotel me sustenter et me rechauffer !


Oh là la, ne t'énerve pas, ça va, ça va, je remonte!...^^
tu ne restes pas alors? ah bon......



Pourquoi se sentait elle déçue? c'était vraiment ridicule.
Et puis déçue de quoi d'abord?
Il l'avait accompagné, il repartait vaquer à ces occupations, quoi de plus normal?
Tv est le meilleur ami que l'on puisse avoir c'est déja bien suffisant.
Il en a toujours été ainsi aprés tout et il n'y a aucune raison que ça change!
La meilleure preuve c'est qu'il a beau être serviable, il en a déja assez de voyager avec elle.
Un excellent ami voilà tout!
Et il n'y aucune raison d'être déçue par le départ d'un excellent ami....
Enfin a priori......


Letilet se ressaisie et adoptant un ton détaché ajouta..

D'accord je te ferais signe quand il sera temps de rentrer dans ce cas, d'ailleurs depuis quand je te donne des ordres Gato?^^
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Thierryvlad
Ce fut une journée chaude et réconfortante.
Passée en palabres et en bons verres de vin. En évocation de souvenirs et en confidences.

Il n'y avait jamais vraiment besoin de beaucoup de mots entre Letilet et ThierryVlad. Il suffisait souvent d'évoquer pour que la complicité fasse le reste. Une sorte de solitude complice s'installer quand ils etaient ensembles... C'était fort intriguant.

ThierryVlad pensait à tout cela en chevauchant vers Poitiers. A celà et aussi aux préoccupations que la Baronne lui avait confiés.

A l'ouest, un soleil eclatant que de lourds nuages noirs allaient bientot menacer.

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Dameclothilde
Clothilde passa les portes de son village au petit matin, le pas lourd et fatigué. Elle était abattue sa soeur Olianna ne voulait pas venir vivre avec elle ici.... peut-être n'avait-elle pas tort après tout... elle avait décidé de sa vie et maintenant elle l'a consacrerait à la 4ème Légion de Thouars, arffff !
Elle avait donc fait le détour, après avoir été attaquée sur la route par Falco. mais fort heureusement Clothilde savait se servir de son bâton et le malandrin était reparti en boîtant et en s'excusant, et évidement elle avait revu ... Gengis ..... qui avait accepté de guider et veiller sur Olianna, elle l'en remercierait jamais assez.... mais bon le départ c'était mal passé entre elle et lui et Clothilde en revenait encore plus malheureuse !
Elle traversa le village pour retrouver une maison vide, froide et indifférente Mordom n'avait pas daigné s'inquiéter d'elle.... l'avenir pour elle s'annonçait certainement avec de grands changements à venir, une autre vie ailleurs sûrement....
Thierryvlad
Le motif officiel du retour du seigneur des Mottes à La Trénouille n'avait rien de réjouissant. Pourtant, c'est avec impatience qu'il chevauchait vers le Sud Ouest.

Sa monture s'épuisait à maintenir le galop imposé par son cavalier, mais ThierryVlad, lui ne ressentait pas le franchissement des lieux, des ruisseaux, des forets.

SA mission, il allait l'accomplir par sens du devoir, sans foi, sans joie, mais il sentait pourtant l'enthousiasme le pousser vers les remparts de la ville qu'il avait déjà servi.

Les regards courroucé de certains Tremouillois le laissèrent indifférent, les rues portant des noms de traitres ou de tartuffe, il ne les vit pas. Il s'approchait d'elle, et cela effaçait tout. L'ivresse de sa douceur, la ouate de la sérénité qui toujours s'installait entre eux, le faisait avancer dans les rues avec l'obsession d'un alcoolique avançant la main vers une choppe.

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Fanette.debronnec
Fanette se rendit aux portes pour signaler son arrivée, Elle était ici depuis quelques jours, mais hélas, elle était arrivée mourante.. une mauvaise rencontre sur les routes..

Elle avait repris du mieux, alors en prenant le bon air de La Trémouille elle se rendit au poste de garde


Bien le bon jour, on me nomme Fanette, je compte rester ici un temps.. enfin le temps de voir..

Elle sourit et une fois après avoir signé de son nom les papiers elle reprit sa promenade dans les ruelles, pour s'areter a l'orée des bois..Une mauvaise rencontre sur les chemins avait fait son malheur..Pourtant en arrivant proche de la ville, elle avait croisé sur les routes une personne de sa connaissance..

Depuis cette étrange rencontre, un sentiment mystérieux couvait en elle.. comme si elle entendait un appel.. Elle regarda au loin vers les bois..
qui sait.. j'ai probablement rêvé.. quand on est mourante, on voit des choses, enfin ils le disent..

Elle regagna l'auberge ou elle restait avant que la nuit vienne..
Lonieka_de_kennochha
Enfin la sœurette ramenée à bon port, ou presque, elle continuerait seule jusqu'à Poitiers avec son petiot. Arrêt dans la ville de La Trémouille pour la vagabonde au terme d'un voyage peu enrichissant (voyage en famille, et une certaine retenue devant le neveu, tout de même...) mais reposant.

M'enfin, sa soeur était de retour dans les temps dans le Poitou, la cadette des Kennoch'Ha pense à se poser quelques temps, tant qu'on la laisse tranquille...

Hum...un courrier de bienvenue, elle lit les grandes lignes, rapidement. Un jour d'ennui profond, elle s'est promise de lire tous ces courriers, souvenirs de voyage et de pérégrinations plus ou moins réfléchies, plus ou moins censées, plus ou moins honnêtes.

Jour de grande fatigue, la Kennoc' trouve au fond de son sac un gilet et un foulard, voilà qui la couvrerait pour la nuit. Une nuit à la belle étoile, sur cette colline surplombant la ville...

Demain, serait une journée plus agitée: à mal lire un courrier de bienvenue, on s'expose aux tracas et les incohérences de l'administration poitevine...

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Poly
poly avait passer les murs du rempart, il y a de cela deux jours, le coeur léger...
mais aujourd'hui elle appris une terrible nouvelle, et courus jusqu'au porte de la ville...
elle posa ça main tremblante sur ces murs froid qu'elle venais a peine de franchir, et ce mis a pleurer...
la vois tremblante elle cris...


POUUUURQUOIIII !!!!

puis s'écroula a terre, a cet instant elle ce demander ce qu'elle devais faire...
partir ou rester...
après plusieurs heure a rester là, le coeur et les points serrer, elle releva la tête et couru a l'église prier Aristote...
Mimill
Cela devait faire 1 mois qu'elle avait franchi les portes de la ville pour entrer à Lt et aujourd'hui elle avait pris une décision importante celle de repartir.
Elle s'avait bien qu'Ally et le reste des filles allaient la maudire en partant ainsi mais aller savoir ce qui peut se passer dans la tête d'une brune ...
Mimill se rappelait la raison qui l'avait pousser à partir la première fois et c'était pour la même raison qu'elle partait encore une fois.

Elle jeta un oeil derrière elle et murmura :
- Désolé les filles ... Puis elle se mit en scelle et se mit en route en sifflant sa louve qui partit loin devant elle comme pour lui guider le chemin ...
Honore.saint_cyr
Ses compagnons et lui avaient essayé de ne pas trainer sur les chemins afin d'arriver à temps à La Trémouille, les murailles s'élevaient devant eux, c'est entouré de ses deux garde du corps qu'Honoré passa sous les portes de la ville...

Il avait été décidé que dés leur arrivée, ils vaqueraient chacun à des occupations diverses, tandis que le prélat irait préparer l'église pour célébrer le baptême de Kalimereth.

Cet édifice dans lequel le religieux n'avait plus mis les pieds depuis belle lurette...

Une chose était certaine les trois compagnons n'allaient pas avoir le temps de se reposer...

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Evêque du Mans
Lonieka_de_kennochha
D'habitude, une mairie qui tombe, elle en souriait la sauvageonne, pas par pure méchanceté, mais cela créait du mouvement, de l'agitation dans les campagnes trop calmes. Et finalement souvent ressoudait des villageois cloitrés dans leurs maisons ou leurs quartiers, les rassemblait autour d'un objectif commun.

Sauf que là, c'était Poitiers, et sa jumelle s'y trouvait. Pas drôle...Maudire les liens de son sang c'était une chose, sa soeur c'en était une autre...

Connaissant un poil certaines parties impliquées et connaissant le passé militaire de sa soeur en Poitiers, pourvu qu'elle ne fasse pas la brave...

Il y avait peu de risques mais elle préférait en avoir le coeur net. Et puis une semaine en ville, elle commençait à étouffer. Quelques affaires au marché, et la vagabonde remet sa capuche, en route vers la capitale déchue du Poitou, au pas de course.

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