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[RP] Aux portes de La Trémouille (arrivées et départs)

Kathelle
Nouvelle chevauchée, l'impatience toujours. Cheveux au vent, elle arriva à vive allure devant les portes...Elle mit pieds à terre et se présenta au poste de garde :

Bonjour, je me nomme Kathelle du Niflheim
*léger sourire* je pense séjourner un peu dans votre cité....le temps de retrouver quelqu'un !

Les politesses échangées, elle entra dans la ville ; prochaine étape, trouver une auberge....
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Allydou
Il y a des habitudes qui ont du mal à se perdre, aussi certains matins Ally se lève encore avant le chant du coq et sort après un baiser à son Amour, pour aller faire un tour.

L’agitation de ces derniers jours dans le Poitou, les bruits, les rumeurs, les accusations en tout genre … tout cela joue sur son sommeil.

Le silence du petit matin la calme. Elle marche presque sans but dans les ruelles et ses pas la mènent naturellement aux abords du village, vers les portes.

Souvenirs du temps ou elle passait ses nuits à faire des rondes sur les remparts certainement, mais pas de nostalgie, il est loin derrière elle le temps ou elle regrettait, elle préfère et de loin, les soirées passées dans les bras de son Ange.

Toujours est-il que de temps en temps, comme aujourd’hui, elle y retourne quand même encore … sans s’en approcher de trop près, regardant juste de loin les allées et venues des Trémouillois et autres visiteurs de passage.

Un groupe se profile, contrôlé par les gardes en service, quelques âmes en peine se dirigent vers les champs encore recouvert de rosée matinale. Son regard se détourne quand, quelque chose dans l’attitude, dans la démarche de la jeune fille qui passe la porte, attire son attention.

Une sensation de déjà vu, une impression de la connaitre …

Bien trop tôt pour se poser des questions et puis il est déjà l’heure pour elle de regagner ses bureaux pour retrouver ses occupations.

Malgré tout, l’image de la jeune fille ne quittera pas ses pensées de la journée … elle en est sûre, elle la connait.

Ce soir, elle ira peut être à la recherche de la voyageuse pour en avoir le cœur net…

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Mon chez moi
Princepatrick


Marie Odile et PP étaient arrivés la veille à La Trémouille. Ils ont établi leur campement dans la campagne loin de toute agitation citadine. Depuis des mois la nature est leur refuge et l’horizon leur décor. Ce soir l’homme décida de faire un tour en ville, histoire de se ravitailler et de faire quelques connaissances pendant que son épouse en grossesse de leur premier né, prenne soin de se reposer. Prince se présenta devant les remparts du village.

Holà la garde, je suis Princepatrick forain en chemin et en voyage de noce. Je vous demande l’autorisation d’entrer dans votre cité pour m’y ravitailler. Ma femme est grosse et a besoin de nourriture. Merci de m’ouvrir vos portes


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Notre roulotte et la caravane
Marieodile


Marie-Odile n’arrivait pas à dormir lorsque son époux était loin d’elle. La promiscuité formidable de leur roulotte appelait à l’ouverture de l’autre et l’intimité qu’ils s’étaient créé au gré de leur voyage lui était devenu vital. Sachant sa moitié en ville pour l’achat de quelques denrées, la femme prit le chemin pour le retrouver.

La silhouette de PP fut rapidement visible, près des remparts. Son homme conversait avec un garde, les poings sur les hanches, le nez levé lui donnant un air de fierté qui fit sourire Marie. Que racontait-il donc ?

S’approchant d’un pas hâtif, la voyageuse tendit l’oreille afin d’entendre le verbe de son époux.


Princepatrick a écrit:
Ma femme est grosse et a besoin de nourriture.


Oui ! Eh bien ! Regardez donc s’il n’est pas fier de ses œuvres le bonhomme !

Marie-Odile plissa le nez et releva ses pommettes saillantes en un sourire taquin qu’elle adressa à Princepatrick, puis lui tira la langue. Elle lissa du plat d’une main le bas de son corsage qui baillait sur son ventre légèrement arrondie.

Oui, elle commençait à grossir et pour la première fois de sa vie, cette perspective l’enchantait ! Elle passa sa main sous le bras de PP et lui glissa à l’oreille son mantra du moment : « J’ai faim ! »

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Marie Odile des Eaux Claires de Lugdunum
Épouse de Princepatrick et maman de Brocéliande.
Notre Caravane






Alaynia
La nuit fut fraiche et longue pour Alaynia, l'impatience de retrouver son amour....
L'automne s'était installé et les nuits froides et sombres.
La lune jouait avec les nuages laissant deviner des ombres au détour des arbres et bâtisses...
Accompagnée de son ami Vrook, elle vit es portes de LT et son coeur battit plus fort.
Elle remercia Lady en lui tapotant l'encolure. Elle se pencha dessus et lui parla doucement.


Merci ma belle...Tu es vraiment une belle jument. Un coin chaud et du bon foin t'attend ...

Puis se tourna vers son ami et lui sourit.

Bienvenu à LT mon ami ...

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Vrook
La chevauchée avait été longue pour Vrook, partir de Murat, rejoindre Alay' à Venta et direction LT. Il avait hâte d'être arriver puisque la dernière escorte avait été longue et qu'il était pressé de se reposer enfin. Une fois les portes en vues il eut un soulagement. Il allait enfin pouvoir relaxé.

Quand les deux voyageurs arrivèrent ou porte et qu'il souvrit, Alay' lui dit

Bienvenu à LT mon ami ...

et il lui répondit:

Merci beaucoup, moi je vais me trouver une place ou je peu me reposer.

Puis il parti avec son cheval vers l'auberge la plus proche.
Jehan_de_proisy
Il se souvenait de la dernière fois où il était venu sur ces remparts…Il avait tenté d’apercevoir l’amour qui s’en allait…sans résultat hélas.
Depuis il en avait pris son parti et avait appris à vivre seul.
Parfois il avait eu peur de la facilité avec laquelle il en avait pris son parti.

Mais il était là, guettant dans le lointain. Elle devait arriver bientôt et il comptait chaque seconde qui les séparait. Il se sentait comme ces jouvenceaux qui connaissent leurs premiers émois. Pourtant, vu son âge, il aurait du être aguerri.
Il dissimulait tant bien que mal, et plutôt mal en l’occurrence, le bouquet de fleurs des champs qu’il avait constitué. Pas un de ces bouquets coûteux et impersonnels. Non un bouquet tout simple ramassé de fleurs cueillies une à une en pensant à elle. Se disant à chaque fois, tiens celle-ci devrait lui plaire et aussi celle-là…
Que cela faisait du bien de se sentir à nouveau amoureux. D’aucun, esprits chagrins, trouveraient qu’il était trop tôt ou que ceci ou que cela bref des tonnes de raisons qui faisaient qu’il aurait du attendre…

Mais quand l’amour frappe à la porte doit on lui dire de repasser plus tard ?

Jehan pensait que la vie était courte et devait être vécu pleinement.

La femme qui allait bientôt franchir les remparts de La Trémouille avait fait spécialement le voyage depuis ses racines pour venir le rejoindre. Aurait-il du lui dire « attendons » ? Non l’amour était là et il se sentait prêt à assumer contre vent et marées cet amour.
En peu de temps il avait retrouvé sa joie de vivre son allant sa gaité et ses espoirs. Alors pas question de renoncer à tout cela.
Il allait vivre cet amour et le rendre seconde pour seconde voire un peu plus.

C’est pourquoi il scrutait chaque silhouette s’approchant des portes de La Trémouille, son cœur bondissant à chaque fois qu’une de ces silhouettes lui rappelait celle qu’il attendait.
S’il avait écouté son cœur et son côté fantasque il aurait fait tendre une banderole en travers de la porte marquée « bienvenue mon amour » et il aurait payé des trompettes pour faire résonner l’entrée de la ville au passage de sa Douce Dame de ses pensées. Il aurait également fait en sorte que des jeunes filles lancent des pétales de roses pour faire un tapis de douces senteurs à son aimée.

Il avait pu résister à toutes ces envies. Mais pas à celle de venir en personne accueillir celle avec qui il entendait désormais passer le reste des jours qu’il lui restait à passer sur cette terre…Il parvint même à trouver de la patience pour attendre calculant et recalculant le temps du trajet entre Poitiers et LT…

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Leello
Leello avait marché une bonne partie de la nuit depuis Poitiers avec son amie avant d’apercevoir enfin les remparts de La Trémouille.
Tant de questions s’étaient imposées à elle et avait tant de fois encombré son esprit, qu’elle avait bien faillit par faire demi tour. Mais sans trop savoir pourquoi, elle n’avait pas cédé et elle était bien là. Après dix jours de marche sans une seule pause, elle qui était si peu sortie de son duché jusque là.

Quelle était cette force qui l’avait fait venir jusqu’ici ?

Elle avait oublié d’écouter la raison, son cœur battait bien trop fort pour cela et ne pensait qu’à une seule chose retrouver son étoile. Celle qui l’avait guidée, rassurée et protégée tout au long de ce voyage.

Dans le silence de la nuit elle s’arrêta un instant quand elle vit à la lueur de la lune la grande porte de la ville. Elle prit une inspiration pour se donner du courage, et regarda son amie qui comprit sans difficulté les hésitations de la jeune femme.

Pas un mot ne sortait de sa bouche, et elle décida d’avancer, un léger sourire s’affichait sur son visage à l’idée de le retrouver enfin. Serait-t-il là pour l’accueillir ? Elle en rêvait secrètement, mais n’osait l’espérer.

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Kathelle
Plus d’une semaine qu’elle était partie, le cœur serré de quitter son amie et incertaine d’y revenir un jour…ou pas si tôt ; Le voyage s’était déroulé calmement cette fois, pas de cavalcade à brides abattues, et elle s’était assoupie, bercée par l’allure souple de sa monture.

L’aube se leva et la jeune femme s’éveilla à la lumière des premiers rayons ; un coup d’œil alentours afin de se situer, un sourire à l’homme qui l’accompagne et le regard se porte sur l’horizon…Déjà les remparts se dessinent, les prunelles azur pétillent d’un nouvel éclat, retour de l’impatience et elle talonne son cheval jusqu’aux portes de la cité.

Comme la précédente fois…le poste de garde… un gamin qui leur colle au train, ils lui confient les bêtes pour la durée du séjour…mais elle ne cherche plus ; le pas assuré, elle traverse les ruelles en direction de l’auberge…

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Jehan_de_proisy
La nuit s’avançait et, grâce en soit rendue à Aristote, la lune l’éclairait. Le regard de Jehan flottait sur les landes environnante jusqu’à ces brumes qui se levaient du marais et envahiraient, la ville plus tard dans la nuit à l’approche de l’aurore.

Une brise légère faisait flotter quelques mèches de cheveux du Vicomte qui y faisait face espérant que cette dernière lui apporte un murmure ou un signe.

Il maudissait le deuil qui l’obligeait à modérer ses ardeurs et son coté démonstratif… Cependant il avait assez d’honneur pour respecter l’esprit de celle qui fut la mère de ses enfants. Question de valeurs morales et non de suffisance comme parfois certains pourraient être tentés de le croire.

Plus les heures avançaient plus son cœur battait amplement et brassait sa vie largement.

Deux silhouettes vinrent s’inscrire sur la rétine de ses yeux.

Encapuchonnées comme elles l’étaient il était difficile de savoir à qui ont avait à faire… des moines ? des vagabonds ? Toutefois sa respiration s’accéléra, son cœur fit une embardée, son corps se tendit. Tout cela en dépit des appels au calme lancés par son esprit.

Au fur et à mesure que les voyageurs progressaient vers les remparts leurs contours devenaient certes plus précis mais pas plus identifiables. Le premier, assez grand, taillé assez massivement à ce qu’il semblait marchait en s’aidant d’un bâton comme ceux qu’affectionnent les pèlerins ou grands voyageurs.

Ce bâton est, en général, fabriqué en deux parties : Il y a le pommeau (la poignée) qui se distingue par deux petites boules en bois situées à chaque extrémité de la poignée : l'une sur laquelle l’utilisateur positionne sa main lorsqu'il marche, l'autre pour bénéficier d'un meilleur appui lorsqu'il veut se poser. Certains en possèdent une troisième, entre les deux autres, scindant ainsi le pommeau en deux parties. La seconde partie, le fût - le bâton proprement dit - est équipé, à son extrémité la plus basse, d'une petite pointe en acier.
Fabriqué dans le plus pur respect des traditions ancestrales, les bois choisis sont le chêne, le buis, le frêne, ou encore l'olivier. Ces bois nobles, coupés en morte sève et pleine lune, sont séchés trois ans à l'ombre d'une remise, puis tournés à la main par l'artiste. L'objet achevé, il est nourri d'huile de lin et poli à la cire d'abeille. Ensuite, le bourdon est ferré en sa base d'un acier forgé et trempé. Pour finir, s’il est destiné à un pèlerin, il portera éventuellement une coquille Saint-Jacques d'argent incrustée et la marque distinctive de celui qui en a passé commande, ses initiales, une lettre, une devise.

Pour en revenir aux voyageurs, l’un porte donc un bourdon et un écu. La forme de la cape ou mantel de l’autre trahissait que, surement plus riche ou plus «guerrier », il portait une épée sur laquelle sa main s’appuyait.

Une famille sans doute, vu la carriole trainée par le couple dans laquelle semblaient dormir des enfantelets.

Donc il ne pouvait s’agir de la Dame de ses pensées celle-ci n’ayant jamais été mère. Son attention se détourna donc du couple attendant les prochains arrivants.

La brise lui apporta un son……Jo…sommes… L’ouïe de Jehan donna l’alerte ! Cette intonation cet accent disait que la voix venait « d’oïl » donc du nord. Pas un accent du Poetou, non et plutôt françois comme le parlent les habitants des terres rattachées au domaine Royal.

Par un prodige insoupçonné pour le commun des mortels s’opéra ce qu’il fallait bien taxer de « magie ». L’esprit du guetteur passa en revue les « voix » qu’il gardait en mémoire et tenta d’en appareiller une à cette bribe de son.

Dans le même temps son regard se fit plus perçant se focalisant sur les voyageurs. Mais nul nouveau n’était en vu. Force lui fut donc de revenir au fameux couple. Se pouvait il que, pour voyager, la belle eut proposé d’escorter une famille ? La chose, aussi incongrue soit-elle, n’aurait étonné qu’à demi notre guetteur. Un Hospitalier ne se doit il d’aider et de protéger son prochain…

Hospitalier ! Un trait de lumière jaillit ! Voyons voir la cape de celui à l’épée…Le couple avançait plus prés des remparts et n’allait plus tarder à entrer dans le halo projeté par la porte gardée dont seule la petite grille était ouverte. La herse, ces temps-ci était tenue close en raison des raids de brigands sévissant depuis qu’une certaine folle avait fomenté des tentatives de rébellion, disait-on, à Poitiers.

Le couple fit une pause. Le porteur d’épée s’arrêta et leva son visage vers les remparts comme pour évaluer les défenses de la ville. Un nuage, termina paresseusement de libérer la lumière de la lune…
Une peau blanche, des mèches brunes, une cape blanche malgré la souillure du voyage mélange de pluie et de terre.

Et puis surtout une petite voix qui bourdonnait dans sa tête à lui !


héhé regarde mieux, penche toi ou alors descend et vas voir ! le message disait demain et nous sommes demain ! Bon tu y vas bougre d’âne ou je dois sonner le tocsin ?

Il y avait des marches menant des remparts à la poterne mais surtout n’allez pas demander au Vicomte combien, ni si quelque’Angevin venait d’y hisser son oriflamme car il fut en bas avant même d’avoir pu terminer de dire « amen » !

Au garde qui rectifia la position en reconnaissant le Commandant des Eperviers, Jehan sourit indiquant du doigt les voyageurs…Garde qui, croyant à une demande d’aide, se porta à la hauteur de Jehan prêt à lui porter aide face aux envahisseurs.

Jehan le stoppa net dans son élan…

Soldat du calme je crois bien que ces voyageurs me sont destinés. Faites lever la herse à mon signal car le Grand Consul des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem honore de sa visite notre ville. Essayons de le recevoir avec honneur…

Ne comprenant qu’à moitié de qui il s’agissait mais bon vu que c’était le Commandant des Eperviers qui le disait cela devait être important, le garde cria…

Qu’on ouvre la herse pour un visiteur de marque !

Grincement et cliquetis de la chaîne se firent alors entendre tandis que, campé sur ses jambes Jehan se tenait dans la lumière la main sur l’épée et l’espoir au cœur.
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Leello
Fatiguée, poussiéreuse, étant à la fois heureuse d’être arrivée et inquiète à l’idée de ne pas être celle qu’il attend, de le décevoir.
Les réponses à ces questions elle les aurait très vite et cette idée la réconfortait, parce qu’elle ne voulait pas laisser s’installer le doute qui avait pour habitude d’encombrer votre esprit lorsqu’il en prend possession.

Un coup d’œil vers les enfants endormis puis un regard à son amie et la voilà devant la lourde grille laissant apercevoir les ruelles du village.
Le vent emportait les voix mais elle reconnu la sienne, il était donc là et allait l’accueillir dès son arrivée. A cet instant son cœur se mit à battre la chamade elle n’osait le chercher du regard.

Puis elle devait maitriser ses émotions, se retenir de se jeter dans ses bras et lui laisser le temps de se préparer à ses retrouvailles. Lui laisser choisir la façon de la retrouver, il était chez lui avec ses proches et Leello ne voulait pas s’imposer à lui.

Elle leva les yeux et reconnu sa silhouette, sa prestance. Un sourire s’afficha sur son visage, elle était encore si surprise de ressentir tant d’émoi rien qu’en l’apercevant dans la nuit.

Son regard croisa le sien, elle ne pouvait plus s’en détacher plus rien n’existait, figée sur place elle attendait sa réaction. Quelque peu intimidée, certainement paniquée à l’idée que peut être il ne ressentait pas la même chose. Et si tout ceci n'était qu'un rêve ?

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Jehan_de_proisy
Muette mais sincère la prière monta vers le ciel...

Aristote merci!
Jamais je n'oublierai la grâce que tu me fais de m'envoyer un ange...


Et surtout, n'allez pas rire vous autres. Cet homme, habitué à traiter avec les hauts personnages de plusieurs provinces était là comme figé devant la réalisation de son vœux le plus cher.

Juste quelques détails.
Brusquement ses mains étaient moites malgré les gants de fine peau...
Brusquement il avait chaud et transpirait comme en plein août...
Brusquement lui d'habitude prolixe vient muet comme une carpe...

Et pourtant lentement il s'incline, le buste plié sa main droite sur son cœur.


Votre Excellence, je vous souhaite la bienvenue en Poitou. Puisse votre séjour y être des plus agréable...Sa Grandeur Cristof m'a chargé de vous accueillir...


Il ajoute juste pour qu'elle l'entende....


Ma mie si vous ne prenez point mon bras je sens que je vais défaillir, passons ces gardes curieux au garde à vous et entrons en ville que je vous serre dans mes bras...

Un regard vers le second membre du "couple". Arf c'est une femme...regard interrogateur vers Leello pour comprendre. Il voit alors les enfants dans la charrette et se porte vers elle la prenant des mains de la femme et la faisant entrer en ville...
Puis il attend qu'ELLE le rejoigne dans l'ombre propice qui leur tend les bras.

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Leello
Citation:
Votre Excellence, je vous souhaite la bienvenue en Poitou. Puisse votre séjour y être des plus agréable...Sa Grandeur Cristof m'a chargé de vous accueillir...


Leello le regarda quelque peu surprise par ses paroles mais ne voulant l'interrompre elle le laissa finir et s'interrogea, ne sachant si il s'agissait de la façon qu'il souhaitait l'accueillir ou si simplement il voulait ne pas montrer ses sentiments devant soldats.
C'était un peu impersonnel et il ne lui fallait pas grand chose pour douter.


Citation:
Ma mie si vous ne prenez point mon bras je sens que je vais défaillir, passons ces gardes curieux au garde à vous et entrons en ville que je vous serre dans mes bras...


A cet instant elle sentit ses pommettes rougir, et le bonheur s'emplir de son âme. Il l'attendait vraiment comme il avait pu lui dire dans ses dernières missives.
Ne pouvant résister à ce contact elle prit son bras et lui sourit tendrement lui faisant comprendre qu'elle pourrait le suivre n'importe où à présent. Rien ne pouvait lui arriver de plus beau, elle avait la chance de connaître à nouveau ce sentiment envahissant qui vous rend dépendant de l'autre tout en vous rendant si heureux. Ce sentiment que certains ne découvrent jamais.


Jehan je vous remercie de cet accueil, je suis heureuse d'être enfin à vos côtés. Je vous suis, faites moi donc visiter votre si beau village.


Un regard vers Jordan qui la surveillait du coin de l'oeil.
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Jehan_de_proisy
Sans doute qu'un observateur avisé aurait estimé que le Chancelier recevait de façon plutôt cavalière le Grand Consul.
En effet, à peine celle ci eut elle posé son bras sur le sien qu'il l'entraîna dans l'ombre d'une porte cochère comme s'il voulait lui faire sa bourse...

Fort heureusement il n'en fût rien et à ce moment, lorsque leur lèvres se rejoignirent il fut plus faiut pour le rapprochement du Poitou du reste de la terre entière qu'en cent ans de diplomatie acharnée.


Comme je suis heureux que vous soyez là, je vous ai guettée jour et nuit Leello n'osant croire à votre venue abandonnant votre vie confortable pour venir tenter l'aventure avec moi.

Seule l'éducation et le savoir vivre empêchèrent Jehan d'être plus démonstratif.

Dame Leello, qui est votre compagne de voyage?


Et oui il fallait bien revenir à la réalité hein?
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Leello
Leello s’était laissée entrainée sans résistance aucune se livrant en toute confiance aux attentions du commandant de cette armée.
Ses lèvres sur les siennes, elle savourait ce baiser tant attendu et espéré. Elle avait envie de se blottir dans ses bras et de ne plus en sortir.


Citation:
Comme je suis heureux que vous soyez là, je vous ai guettée jour et nuit Leello n'osant croire à votre venue abandonnant votre vie confortable pour venir tenter l'aventure avec moi.


Leello lui sourit tendrement et lui caressa le visage.


Je suis très heureuse également depuis votre départ d’Alençon vous occupez mes pensées et vos pigeons n’ont fait que me guider jusqu'à vous. Ma vie n’est plus rien si vous n’en faites pas partie.

Citation:
Dame Leello, qui est votre compagne de voyage?


Hum excusez moi j’en oublie les bonnes manières, je vous présente mon ami Jordan2008, elle veille sur moi depuis que je suis arrivée sur Verneuil. Elle est comme ... ma marraine, et elle n’a pas voulu me laisser partir seule sur les chemins. C’est une femme formidable vous verrez. Un tantinet protectrice avec moi mais formidable.


Leello sourit en attendant la réaction de son amie.
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