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[RP] Aux portes de La Trémouille (arrivées et départs)

Gengis0
Gengis grimpa sur le cheval, un satané canasson, fort comme un boeuf, il aida la sublimissime à grimper devant lui.

Virgile, toi tu grimpes derrière, et fait gaffe où tu te tiens hein!

Gengis passa les bras autour de Clothilde, attrapa les rênes, profitant de l'occasion pour lui glisser un baiser dans la nuque

Voilà, on est parti, que notre destinée s'accomplisse enfin


Gengis éperonna le cheval, prenant la direction de Poitiers
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Eragon.
Et oui.. il était tôt le matin et Eragon faisait encore le tour du village.
Les ruelles étaient vides.. pas un chat.. le soleil était encore loin d'être levé

mais Eragon veillait.

On voyait une lueur sur quelques fenêtres trémouilloises qui s'éteignaient quelques instants plus tard..
Des foyers heureux devaient profiter l'un de l'autre bien au chaud dans leurs paillasses.

Et Eragon veillait.

Quelque part entre Poitiers et La Trémouille, une jeune femme avançait, à cheval. Il le savait.. et il l'attendait. Si on lui aurait demandé pourquoi il l'attendait tant il aurait rétorqué "Pasqu'elle à ma cape".
Mais malgré tout il veillait.
Les feuilles orangées tombaient de plus en plus.. tapissant les ruelles et les chemins alentours. Eragon passa sous la porte Nord du village.

Il veillait

Sa main gauche dans la poche et la droite tenant une fine branche verte et épineuse.. A son bout.. quelques pétales a peine entre ouvertes.. voila une rose qui ne pointait seulement le bon de son nez. Comme si elle était peureuse .. de faire face à la dure réalité. Ou comme un amour naissant, Eragon opta pour cette signification.

Il rêvait.. ou plutôt non. il avait rêvé .
.
Vous savez un de ces rêves ou l'on confond le réel et l'imaginaire.. celui ou on se réveille brusquement avec l'intense sensation d'avoir vécu ce moment.
Était-ce un rêve fait pour qu'Eragon se rende compte de tout ce qui se tramait au plus profond de son coeur.
Ou était-ce juste un rêve érotique, son imagination lui jouait-elle des tours?
Un baiser.. peut-il être érotique?

Il rêvait de son rêve.. accoudé au rempart Nord.

Tant de passion entre deux corps qui se touchent .. deux lèvres qui font la connaissance de deux autres. Qui se goûtent, apprennent à se connaitre, se mordillent..
Il avait l'air si vrai ce rêve.. qu'il avait l'impression de ne pas avoir été le seul à l'avoir fait.
Et c'est ainsi qu'il s'était réveillé en sursaute.. C'était habillé chaudement et était descendu faire son tour de garde plus tôt qu'il n'aurait du le prendre.

Et il l'attendait

Par maladresse et trop plongé dans ses pensées, Eragon s'était légèrement piqué avec un épine, une goutte de sang perlait sur son index.
Il repartait dans ce rêve.. se le remémorant continuellement..
Hésitant aussi.. et si finalement il n'était que seul à l'avoir fait, que seul a éprouver cela ?

Il était trop tard pour réfléchir.. des sabots se faisaient entendre.. il sortit de sa torpeur..


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Héraldique Européenne-Gaso
Kykyne
Les jours s’étaient succédés l’un après l’autre et Kyky était toujours sur les routes à faire des allers-retours entre La Trémouille, Poitiers et Thouars. Son cheval commençaient à connaître la route tant elle n’avait besoin de le diriger et les nuits se faisaient de plus en plus froide en ce mois morbide. Les feuilles s’étaient détachées de leurs branches pour mourir contre le sol… Les fleurs avaient également perdues leurs pétales qui elles aussi, se mourraient au sol… Elle détestait ce mois qui annonçait le sommeil de la nature, le froid glacial qui pénètre jusqu’aux os à en faire claquer machinalement les dents.

Heureusement, ce dernier voyage s’était fait sous la chaleur d’une cape empruntée. Chaque nuit où elle arpentait les routes avec ses amis, blottit sous cette chaleureuse cape, elle s’imaginait être enveloppée de ses bras. En aucun moment elle avait parlé de ses songes puisque justement, c’était peut-être rien d’autre. Son imagination lui décrochait à quelques reprises, un sourire plutôt discret afin de ne semer le doute chez ses amis. Elle n’avait nullement envie de se faire questionner puisqu’elle aurait du avouer ce à quoi elle rêvassait. Le temps… Lui seul pouvait faire en sorte de la ramener à la réalité.

Elle le savait aux remparts, veillant sur les routes au plus loin de ses capacités physiques. Elle qui avait jadis effectuée ce poste, elle savait combien les nuits pouvaient être morne lorsqu’il n’y avait aucune activité à l’horizon. Elle aurait souhaité pouvoir transformer son cheval en éclair afin qu’il la ramène le plus vite possible et ainsi, pouvoir lui tenir compagnie pendant sa ronde, mais que pensait-il d’elle ? Ils s’amusaient bien ensemble, elle adorait l’embêter, mais était-elle la seule à rêvasser plus loin ? Sur une multitude de questions de ce genre, sa tête s’inclina de plus en plus, au point de la projeter à nouveau dans ses rêves.

Il était là, prêt d’elle à échanger leur regard pendant qu’une force invisible les rapprochaient doucement. Le goût fruité de ses lèvres n’était maintenant plus un secret, elle y rêvassait tellement qu’à présent, elle dégustait tendrement. Ses bras enlacèrent son cou, puis noua ses mains derrière lui pendant qu’elle soutenait son regard sans broncher. Ses grandes mains vinrent entourer sa taille qui provoqua la naissance d’un agréable frisson traversant son petit corps.

L’hennissement du cheval la sorti de ses songes. Triste de constater qu’il n’était pas là, que tout ceci n’était qu’un rêve, elle posa son regard à l’horizon en s’imaginant qu’il siégeait sur les remparts, à regarder possiblement dans sa direction. Encore hélas trop loin pour l’apercevoir, sa tête se replia légèrement vers le sol, déçue que son imagination la blesse sans arrêt. Son rêve semblait pourtant tellement réel quand sa langue effleura sa lèvre inférieure. Elle avait l’impression d’avoir ce goût fruité déposé sur sa bouche. Instinctivement, sa tête se releva vers le ciel et sa bouche murmura aux immortels qui pouvaient entendre…


Pourrais-je être heureuse à mon tour ?

Les heures passèrent quand les murs de La Trémouille s’élevèrent au loin. Partagée entre la joie et tristesse de ses rêveries, elle se doutait qu’elle le croiserait à son arrivée. Quelques pas plus tard, elle arriva aux remparts. Il était bel et bien là, en chair et en os contrairement à quelques heures plus tôt. Un sourire se dessina sur ses lèvres quand son regard croisa le sien.

Bonsoir Era ! Enfin, vu l’heure… bon matin !

Ses entrailles lui donnaient l’impression qu’une volée de papillons s’agitait dans son estomac. Fallait qu’elle se calme avant qu’elle ne se trahisse involontairement. Ses rêves n’étaient surement pas représentatif de la réalité puisque rarement, c’était le cas. Sans réfléchir, elle s’approcha de lui et lui fit la bise d’abord sur la joue gauche et ensuite, alors qu’elle se rendit à l’autre joue, ses lèvres effleurèrent la commissure de ses lèvres. Immédiatement, elle sentit ses joues s’empourprer pendant qu’elle fit un pas vers l’arrière en s’excusant de sa maladresse.
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Eragon.
Il avait attendu quelques temps, adossé au rempart de La Trémouille avant de voir se profiler une blonde sur son canasson.
Au fur et à mesure que la Trémouilloise avançait, les doutes d'Eragon s'amplifiait.. Il n'était sur de rien.. et cette rose qu'il tenait dans la main..
Il fallait qu'il abandonne l'idée.. il cacha donc du mieux qu'il pouvait la rose derrière lui..
La Trémouilloise était alors juste devant lui..

Citation:
Bonsoir Era ! Enfin, vu l’heure… bon matin !


Il observait lentement ses lèvres bouger.. son inconscient repartait déjà dans son rêve.. souhaitant ces lèvres la contre les siennes.
Légèrement perturbé il répondit d'une voix rauque


Hum.. Bon Jour Kyky, alors, enfin de retour?


Pas que son voyage avait été tellement long, mais pour Eragon cela avait paru une éternité.. peut être ce rêve était du justement à cet éloignement..
Il voulait tellement l'avoir à ses côtés.. physiquement.. mais cela étant impossible, son imaginaire satisfaisait ses souhaits.
Et alors qu'il doutait encore plus et cachant son profond malaise, la belle blonde posa ses lèvre délicatement sur sa joue gauche..
Eragon essaye tant bien que mal de dissimuler un frisson.. car bien que cela ne soit qu'une bise, elle révéillait les désirs qu'Eragon essayait de cacher au plus profond de lui. Et bien cette bise.. montrait qu'ils n'avaient surement pas les mêmes intentions.

Une fois que la joue gauche fût satisfaite, et alors que les délicates lèvres se dirigeaient vers l'autre joue, un infime contact entre leurs deux lèvres respectives eut lieu.
Comme un électrochoc, la réaction des deux côtés fût fatale.

D'un côté la réaction fût physique.. elle rougit, recula et s'excusa.. Une bien trop importante réaction pour un geste qui aurait pu passer en riant.

De l'autre côté le cerveau bouillonnait faisant d'improbables analyses..
Cette réaction excessive.. le teint de la Trémouilloise..
Tous ce qu'Eragon avait abandonné ressurgit aussitôt..
La situation allait devenir vite inconfortable s'il n'agissait pas rapidement..

La légère douleur de l'index de sa main dextre lui rappela le fait qu'il avait une rose à peine éclose dans sa main.
Il ne savait trop quoi faire mais il tenta quand même le tout pour le tout..
Plus par des actes que par la parole.. car en amour ou en politique.. ce sont les actes qui priment.

Souriant, il dévoila la rose. un rouge assez clair car la fleur n'avait pas assez profité du soleil très absent en cette saison. Puis il lui tendit avec un sourire gêné.


A défaut de tapis de pétales..

Ensuite, se laissant envahir par ses émotions, il 'étreignit et plongeant son regard dans le sien, mis ses lèvres au contact des siennes.
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Héraldique Européenne-Gaso
Kykyne
Voilà, elle venait de créer un intense malaise entre eux. Le temps d’un pas vers l’arrière et elle se mourrait de honte. Une fraction de seconde avant, elle s’était cru dans ses rêves et suite à cela, le contact de leurs lèvres l’avait ramener brusquement à la réalité. Pourquoi fallait-il toujours qu’elle gaffe au pire moment ? Son cœur se débattait tellement elle était gênée de son geste. Gênée parce que l’on n’effleure pas les lèvres de l’autre lors d’une bise. Gênée parce qu’elle venait de se dévoiler involontairement. Gênée parce qu’il faisait activer sa circulation sanguine dans ses veines au point d’en colorer ses pommettes. Le temps semblait vouloir se suspende pour lui faire regretter d’avantage son geste, mais une minuscule partie au fond d’elle-même souriait à cette maladresse. Le goût fruité qu’elle s’était imaginée, elle n’avait eu tort. Il était délicieux au point de vouloir le savourer à nouveau.

La tête légèrement rabattue vers le sol, hésitant à s’enfuir en courant ou rester et attendre que le malaise se passe, Eragon sortit sa main derrière son dos et dévoila une jeune rose débutant sa coloration. Le regard figé sur cette fleur qui s’approchait d’elle, son cœur fit deux tours pendant que ses lèvres arboraient un subtil sourire. Cette rose… Était-elle le symbole de ses rêves partagés ? Peu à peu, sa gêne s’estompa pour laisser place à une immense joie difficilement contrôlable. Analysait-elle trop vite ? Elle voulait y croire ! L’on ne se promène pas avec une rose pendant un soir de surveillance aux remparts. Attendait-il son retour ? Cette idée faisait élargir de plus en plus son timide sourire qui ornait son doux visage.

Sa main s’échappa de la cape et rejoignit celle d’Eragon. Le bout de ses doigts effleura le revers de sa main faisant naître un second frisson qui lui parcourra l’échine. Dire qu’il lui était indifférent serait mentir. Elle se nourrissait de ses regards et s’abreuvait de ses paroles depuis plusieurs jours maintenant. Ses doigts enveloppèrent soigneusement la tige du magnifique présent et doucement, sa tête se releva afin de plonger son regard dans le sien.

À défaut de tapis de pétales…

Elle n’aurait souhaité un plus bel accueil ! Pour elle, s’imaginer qu’il l’attendait avec une rose à la main, la comblait de bonheur. L’envie de sauter dans ses bras et l’embrasser passionnément l’impatientait, mais d’un autre côté, elle ne voulait l’effrayer. Pour le moment, il n’était qu’à lui offrir une magnifique jeune rose qui suivait sa magistrale gaffe. Elle porta la fleur à son nez et huma silencieusement son parfum. L’odeur n’était guère vive, mais un léger soupçon s’en dégageait occasionnant l’excitation de ses narines. Sans même avoir eu le temps de le remercier, les bras d’Eragon l’enveloppèrent exactement comme dans ses songes et son regard contempla le sien. Inconsciemment, elle se hissa sur la pointe des pieds dans une extrême lenteur pendant que ses bras se posèrent sur ses épaules. D’une main elle retenait toujours la fleur, mais de l’autre… Elle caressa délicatement l’arrière de sa tête pour finalement se glisser sur sa nuque. Simultanément, sa main appliqua une légère pression pour qu’il approche son visage du sien et ainsi, que ses lèvres s’unissent volontairement aux siennes.

Le goût fruité était bel et bien réel à présent. Elle se sentit s’alléger tellement il la comblait de cette étreinte et de ce délicieux baiser. Cela peut paraître cliché, mais toujours sur la pointe de ses pieds, l’un d’eux quitta le sol afin de relever son talon derrière elle. Elle savourait l’instant présent au point d’espérer que cette fois-ci, si c’était un rêve, plus jamais elle ne voulait s’éveiller. Plusieurs minutes s’écoulèrent avant que leurs lèvres s’éloignent les unes des autres. Sa main qui reposait contre sa nuque s’aventura jusqu’à sa mâchoire et s’y posa. Elle ne cessait de l’admirer avec un sourire béat pendant que ses yeux explosaient d’étincelles. Souhaitant arrêter le temps, elle effleura le bout de son nez contre le sien et finalement, son pied regagna doucement le sol.

Ils étaient là, à se contempler indéfiniment. La terre entière aurait pu s’arrêter de tourner pendant cet instant magique, qu’aucun d’eux ne l’auraient remarqué. Fallait bien qu’elle dise quelque chose maintenant, mais quoi ? Passer des heures dans ses bras, à se noyer dans ses yeux sans rien dire, elle aurait pu le faire sans problème. Le bonheur qu’elle éprouvait à l’instant même ne pouvait se qualifier ou se quantifier, puisqu’elle rayonnait à savoir qu’il partageait son attirance. Sourire aux lèvres, son regard se posa sur les siennes tout en lui avouant…

Enfin oui ! Si tu savais à quel point j’avais hâte de te revoir ! J’ai cent fois mieux qu’un tapis de pétales… Tu es là et je dois t’avouer que ton accueil me surprend… Jamais j’aurais cru que…

Elle laissa sa phrase en suspend… Hypnotisée par ses goûteuses lèvres qu’elle s’empressa de savourer pour une seconde fois, tout en jetant un œil vers les cieux afin de les remercier d’avoir écouter sa requête quelques heures plus tôt sur la route…
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Alaynia
Alaynia, chevauchant sur sa belle Lady vit les remparts de LT avec plaisir.
Elle s'arrêta un instant, taversée par des pensées d'un autre temps puis repris son chemin.

Les nuits étaient bien froides en ce moment et elle espérait aller se réchauffer au plus vite dans l'une des tavernes de LT.
Une nuit sans nuages et la lune qui éclairait les remparts, elle se dit qu'elle était bien contente d'être enfin arrivée.

Elle espérait revoir les gens qu'elle connaissait et que cela ferait oublier ces villes désertées par ses villageois qu'elle avait traversé ces derniers temps.
Elle encouragea sa jument d'une tape sur l'encolure et lui dit des mots de réconfort comme qu'une bonne place à l'étable et du bon foin l'attendait pour la remercier d'avoir fait si vite.

Alaynia relança sa jument Lady et s'empressa d'entrer dans la ville encore endormie.
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Sandy_lee
Arff Daien attends sur moi...

Sandy se dépêchait... Elle essaye du moins... Les valises pas encore prête et elle s'avait bien que son mari ne l'attendrait pas très très longtemps. Elle prit quelques petits morceaux et certaines que son chéri avait lui aussi oublié, quelques petites bricoles, comme ça besace par exemple... Qui sait, il a peut-être oublier sa tête...^^

Le pauvre, trop de chose dans la tête!

Sans attendre un instant, elle prit toutes ses choses et parti dans un élan vers la cuisine, prenant deux fruits et quitta la petite maison... Arrivée dehors, elle dit à son mari avec tendresse:
T'allais oublié ça!

Ne regardant pas ce qu'elle lui lançait, elle regarda dans sa main droit et prit consience qu'elle venait de lui envoyé un fruit... Arffff c'était pourtant pas ça qu'elle voulait lui donner...

Oups désolé mon chéri! Je parlais plutôt de ta besace. Si t'était pas si pressé... Rhooo les hommes, si lent à vouloir décoller mais si vite parti une fois décider.

Elle lui adressa un sourire moqueur.

Bon j'ai pensée à des fruits pour le voyage, tu m'as dis que j'avais pas le droit de matter tes fesses, faut bien que j'occupe mes mains durant le voyage.

Sandy ne pût empêcher un fou rire, elle approcha de l'animal et installa le peu de chose qu'elle avait prit avec elle... Le voyage serait long et elle le savait, prenant place sur le cheval en poussant un peu son tendre époux qui semblait avoir une place bien chaude, le jeune couple quitta la maison... Sandy murmura dans un souffle en regardant leur demeure:

Tu reste tranquille hein! Te fait pas voler hein! Sinon j'te fais la peau en revenant...

Le p'tit délire passer, elle secoua sa tête et parti le vent dans les cheveux.
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Daien
Daien piaffait d'impatience, son étalon Cronhos ronchonnait..euh, à vrai dire, on mêlait tout...

Bon, t'es où? Chériiiiiiiiiiiiie? Il la vit arriver avec 4 valises, et les mains pleines de fruits. Avant qu'il est put dire quoique ce soit, elle lui lança quelque chose qui fit un bruit sourd en venant frapper son front.

Mais, mais tu me lances des fruits maintenant? Tu crois que j'aime la flagellation aux fruits? Donnes moi ma besace, sans geste brusques!
.."Merci!"


Heureusement qu'elle lui avait pas lancer les valises.

"Bon, on peut y aller? t'as tout fermé?Et puis c'est quoi toutes ses paquetages? On part pour 2 mois ou quoi? Tu crois que Cronhos est un cheval de bât?........ Oui madame, mes fesses sont privées! Il lui sourit, la fit monter derrière lui. "Accroches toi Sandy! La route est à nous!"

Il fit partir l'étalon au galop.....
Eragon.
Citation:
Enfin oui ! Si tu savais à quel point j’avais hâte de te revoir ! J’ai cent fois mieux qu’un tapis de pétales… Tu es là et je dois t’avouer que ton accueil me surprend… Jamais j’aurais cru que…


Ce fût les premiers mots
Et se furent les plus beaux
Qui sortirent de sa bouche.
Il n'en fallut pas plus pour qu'elle le touche

Et c'est une seconde fois
que leurs lèvres se rencontrèrent
Les actes font force de loi
Lorsqu'ils sont sincères.

C'est un amour inavoué
Qui venait de se déverser,
Un flot d'émotions
Qui glisse avec passion

On ne pouvait le stopper
A moins bien sûr d'oser
Subir l'énorme courroux
D'amoureux un peu fous

Lentement il lui prit la main
Et l'attira sur le chemin
D'une couche qui n'attendait
que d'être réchauffée

Tout la nuit il avait veillé
Attendant son arrivée
Maintenant il était comblé
Il pouvait alors sombrer

Dans une envie infinie
De passer une nuit
Son corps contre le sien
à profiter du lien

Qui si fort les unissait..

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Héraldique Européenne-Gaso
Kykyne
Toujours aux extrêmes, Kyky garda ses bras enlacés à son cou lorsqu’il lui partagea ses lèvres pour une seconde fois. La volée de papillon qu’elle avait jadis ressentit dans ses entrailles lui donnait l’impression de s’être multipliée par dix à présent. Cette volée grossissante qui vivait dans ses entrailles, provoqua à quelques reprises une faiblesse dans ses genoux. La magie des premiers baisers, des premières caresses, des premiers regards… Pour rien au monde elle souhaitait être ailleurs. Ses bras qui l’enveloppaient lui donnaient la sensation que plus rien au monde n’avait d’importance. Seul lui comptait ! Vivre finalement heureuse auprès de lui et tenter de lui rendre ne serait-ce que la moitié du bonheur qu’il lui offrait, étaient tout ce qu’elle désirait.

Celle qui vivait continuellement au jour le jour, qui ne se préoccupait pas de quoi serait fait le lendemain, ses pensées se projetèrent dans un futur rapproché. Elle-même surprise de cette subite rêverie, elle se voyait toujours à ses côtés, pétillante de bonheur lorsqu’il était là ! Un regard rempli d’admiration pour la personne qu’il est, une main qui se veut supportrice quand il le faut et surtout, leurs chemins qui ne font qu’un ! Son cœur palpitait à vive allure lorsqu’il était dans son champ de vision. Dire qu’elle était amoureuse de lui ? Elle se refusait de le lui déclarer par crainte qu’il s’enfui en courant à cet aveux que certains pourraient qualifier d’hâtif. Mais n’était-ce pas ça l’amour ? Lorsque l’être aimé est présent, vos jambes se ramollissent, votre cœur palpite, votre regard pétille de bonheur, vos entrailles s’affolent, vos lèvres s’assèchent lorsqu’il ne les humidifie et surtout, votre corps entier se fait plume afin que vous ne ressentiez plus les lois de la grativé qui vous alourdisse lors des ordinaires journées!

Sa main se glissa à la sienne afin de l’envelopper. Celle de la féline se blottit au creux de sa paluche tout en essayant de contenir les nombreux frissons qui lui chatouillaient l’échine. Qui aurait cru que ses rêves seraient devenu réalité ? Certainement pas la belle trémouilloise ! Ses pas se laissèrent guider par celui qui l’entrainait sur le chemin. Elle comprit que son tour de garde se terminait là et qu’à présent, il souhaitait s’abriter des curieux regards. N’en fallait pas plus pour que son imaginaire s’enflamme. Elle se voyait déjà allongée dans un petit nid douillet… Lui qui était étendu contre elle, surplombant légèrement le haut de son corps… Le regard qui se mêle au sien… Ses mains qui lui caressent ses flancs… Le bout de ses doigts qui effleurent le bas de son dos pendant que ses lèvres savourent insatiablement les siennes…

Curieuse de savoir où il souhaitait aller et de connaître la suite, sa main était toujours liée à la sienne lorsqu’ils arrivèrent au cœur du village. Étrangement, ils passèrent devant quelques tavernes sans même que la belle ne les aperçoive. Il occupait toutes ses pensées et désirait passer le plus de temps possible à ses côtés. Une coquette maison s’éleva devant eux pendant qu’un sourire émerveilla son visage. Elle se laissa guider par son beau chevalier…


C’est ici que tu vis quand tu n’es pas sur les remparts ou en taverne ?

Un délicat rire amusé perça cette tranquillité qu’offrait les petites heures de la nuit. Sa main se déploya afin que ses doigts puissent s’enlacer aux siens. L’importante différence de grosseur de leur main se voyait sur la trémouilloise. Ses doigts étaient bien écartés pour laisser ceux du chevalier les entrelacer pendant qu’elle se colla contre lui. Son doux parfum l’enivrait totalement au point d’en fermer les paupières à quelques reprises dans une extrême lenteur. Y’avait pas à dire, Eragon lui faisait un sacré effet…
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margot_wolback
Margot flanait dans les rues de la ville, et décida de se présenter aux portes...

Bonjour, je m'appelle Margot, je viens d'arriver dans votre ville...
Sur les chemins de traverse, nous dirigeant vers la Bretagne, nous nous arrêtons quelques jours parmi vous, ma mère adoptive et moi-même...
Merci de m'avoir écouté, et au plaisir de vous croiser...


Puis la blondinette reparti le pas léger, les yeux en l'air, contente de pouvoir se reposer un peu...
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Eragon.
Elle le suivit donc, leurs mains jointes, à travers le village ils passèrent des maisonnées paisibles, des tavernes joyeuse d'où des cris sortaient.. des chiens affamés aussi..
Mais à tout cela Eragon ne fît pas attention.. a ce moment la, le poitevin n'avait d'yeux que pour elle..
La battisse du trémouillois apparut dans le champ de vision.. et ils entrèrent enlacés.


Citation:
C’est ici que tu vis quand tu n’es pas sur les remparts ou en taverne ?


Eragon sourit, il est vrai que le héraut ne passait pas le plus clair de son temps chez lui, les remparts et les tavernes étaient ses lieux de prédilections.
Et puis cela se compensait.. la solitude des tours de gardes et la fréquentation des tavernes.. bien que en ce moment cela laissait à désirer.
Le rire cristallin de la poitevine était merveilleux à entendre.. il aurait donné le sourire à un dépressif..


Eh bien oui.. voila ma modeste demeure.. Bienvenue chez moi..

Sans un mot de plus..mais sans être trop brusque, il l'attira vers la chambre.. Peut être était-ce la fatigue, peut être était-ce qu'a force de rêver il voulait vivre son rêve.. ou même un mélange des deux.
Et puis elle aussi devait être épuisée, elle venait de passer une journée à cheval entre Poitiers et la Trémouille..
il s'affala sur le lit, en arrière et tendit les bras en direction de la trémouilloise.
Le soleil pointait son nez.. signe d'une nouvelle journée pour tout le monde..
Mais une nouvelle vie pour ces deux la..

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Héraldique Européenne-Gaso
Kykyne
Guidée par son beau chevalier, il ouvrit la porte et la laissa entrer pour finalement la suivre. L’aube se levait tranquillement, éclaircissant légèrement la pièce afin d’apercevoir les détails de la maisonnette. Son regard scrutait rapidement les objets, la décoration, mais aussitôt elle fût attirée vers la chambre. Ses massives mains s’étaient posées sur elle et lui avaient indiqué l’endroit où aller. La pièce où ils pénétrèrent était beaucoup plus sombre puisqu’il n’y avait qu’une seule fenêtre pour permettre l’éclairage de celle-ci, mais l’on pouvait bien distinguer qu’il s’agissait d’une chambre. Un lit trônait au centre de la pièce où les faibles rayons de lumières s’heurtaient.

Son cœur battait la chamade d’être en ces lieux en sa compagnie. Il n’y avait pas si longtemps, cette scène n’était qu’imaginaire, mais voilà qu’à présent, ses sentiments étaient bel et bien ressentis. Plusieurs fois, l’idée de se pincer légèrement traversa son esprit afin de s’assurer qu’elle ne rêvassait pas. Il s’allongea sur le lit, tel un épuisé de sa nuit de surveillance et tendit les bras vers elle pour l’inviter à se joindre à lui. Croyant que son cœur battait à son plus vite, elle comprit rapidement que plus elle s’approchait de lui, plus il se débattait dans sa poitrine. Elle vibrait intensément pour lui quand elle tendit la main vers lui tout en faisant un pas dans sa direction. Ses doigts effleurèrent les siens… Un intense frisson lui parcouru l’échine de nouveau… Le sourire d’un profond bonheur décora ses lèvres…

Sa main se retrouva dans la sienne quand elle retroussa de son autre main, un pan de sa robe afin de poser un genou sur le lit. Son regard était soudé au sien, mais à quelques reprises, il dévia pour admirer ses lèvres. Ses lèvres si savoureuses, si enivrantes… Depuis la première fois qu’elle y avait goûtée, elle en était dépendante. Ivre de lui, elle s’allongea à ses côtés, enveloppée de ses chaleureux bras et s’abandonna totalement à son beau chevalier…

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Pg91
Pg arriva avec ses amis et sa belle à lt, bien évidemment ça fesait encore dodo^^ Il essaya de les reveiller

BONJOUR LA TREMOUILLE !

mouarf, de vrai dormeurs, en m'avait bien dit que ça commencait à être ennuyant!
Je m'en charge

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Chef Maréchal de Thouars
Shadoow
doudou et shad arriva à cheval au portes de la ville tôt se matin , il faisait frais et un peu de vent, durant le voyage je lui avait donner mon mantel pour qu elle n ai pas froid, il y avait quelque personne à l entré de la ville, je me demandais si on arriverait a rester discret dans cette ville car la pour l instant les gens des autres ville nous avait entendu et chamailler avec eux, j espère que sa sera diffèrent ici puis dit à son amour

voila revenu à une de tes villes ,en tous cas elle a l air bien calme, si on allait se reposé quel que part?ou la visité?


écouta la réponse de son ange
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