[RP] Aux portes de La Trémouille (arrivées et départs)

Ô salut à toi jeune saltimbanque, nous ne demandons qu'à t'aider, Mimill est notre tribun, son bureau se trouve ICI

Tu peux aussi te faire parrainer par un vieux trémouillois ou une vieille trémouilloise, enfin je dirais ancienne pour les femmes, elles sont assez susceptibles, dans ce cas, présente-toi au bureau des parrainages:

ICI
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Evêque du Mans

ce matin je me suis levée tot , sans me faire remarquer je pris ma besace , emmitouflais alric dans une grosse couverture, je regardais goupil qui me semblait heureuse de prendre la route , je savais que cela pouvais étre dangereux pour nous mais il fallait que je retourne chez moi ,quelques affaires à régler et revenir au plus vite ; je préviendrais par pigeon mes amies de mon départ apres ;je ne veux pas qu elles s inquiétent .

avant d ouvrir les portes ; je me retournais pour regarder ce village encore endormit .

allez on y va mon fils , bientot tu verras ton pére

etend de veille au ramparts j entendis soudain des pas dans la nuit se qui m eveilla
j apercus chiquette et son compagnon qui m avais l air bien fourbu je criais en bas "OUVRAIENT LES PORTES VOILA LE RETOUR DE CHIQUETTE" dans un bruit lourd les portes s ouvrirent et la dame et son compagnon entrerent
salut l ami heureux de te voir

je sautais au bas de l escalier et j attrapais chiquette dans mes bras pour la faire tournoye

comme je suis heureux de te voir parmis nous,je ne sais pas si je serais la encore longtemp mais j espere que nous allons passe de bon moment, et surtout tu n oublies pas quand tu veux tu offres a boire,et puis tiens si on n a le temps on se retrouve au bal je crois qu il y a des amis a nous la bas
je dus remonte a ma garde car la nuit n etait pas termine

je te salut bien l amie a tout a l heure

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Eragon faisait la douane.. il leur fit signe au loin puis s'approcha d'eux

Elle arrivera demain.. elle est sur un noeud..
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Héraldique Européenne-Gaso

Lorryus arriva quelque peu après Jehan et Littl, il avait décidé lui aussi de se joindre à ses amis pour honorer une dernière fois son ami Ducho et pour épauler Syl dans cette grande douleur. Malgré son retour parmi les siens Lorryus ne croyait toujours pas au décés de son ami si cher , lui qui lui donnait des nouvelles si souvent pendant sa convalescence à Saumur.
Lorryus s'approcha de ses amis:

Salut à vous compagnons, puis je me joindre à vous ??

sons sachant le retour de ducho proche se decida de sortir de son histoire de coeur d avec sa pinte qui l occupe depuis quelque jours
arrivait aux porte de la ville ,il retrouva tout ses compagnons rencontre pendant la campagne angevine
je sais que vous avez perdu l un des votre la bas ,je vais l attendre avec vous pour lui rendre un dernier hommage ,je l ai guere connu ,mais ce aurais pus etre l un des notres,donc par fraternite dans la douleur je vous tiendrais compagnie pour un derniere adieu

je saluais tout le monde et commence quelques prieres en silence ,tout en me disant que chaque jour l aube nous aporte ses joies et ses peines

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Evêque du Mans

Jehan en attendant revoit les moments passés avec son ami. Leur jeunesse avec ses bêtises comme seuls savent en faire les jeunes hommes.
Leur début de vie d'homme où ils se sont engagés pour défendre leur Comté au moment où d'autres choisissaient de ne rien voir de ce qui se préparait.
Puis les campagnes auxquelles ils ont participé partageant l'excitation du moment et l'amertume de l'après-combat.
Oui ils ont fréquenté les tavernes ensemble que cela soit à La Trémouille ou bien à Poitiers. Ils y ont rencontré toute sorte de gens. Des hautains fiers de leur nombril, des frileux se cachant derrière leur ombre, des mégalos, des sentencieux, des fourbes faisant mine de boire de la tisane et de redouter les femmes alors qu'ils mènent une vie de patachon...Combien de fois ont ils rit ensemble en regardant vivre leurs semblables.
Jusqu'au jour où Ducho a demandé à Jehan ce que ce dernier attendait pour se présenter à la mairie...
Et là, à la veille d'un nouveau mandat Ducho revenait comme pour dire à Jehan "Vas y mon ami! fonce n'écoute pas les sots et les chagrineux, fonces!.
Jehan y voit un signe et ses doutes s'envolent, sa conviction se raffermit, il a à présent un peu d'expérience et il va la mettre toute entière à la disposition de ses villageois, mais là il va s'occuper du premier d'entre eux pour lui...Ducho
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Cesar qui passais par ici entendit Sylmeria parler de Ducho.
Il baissa la tête,retenu quelque larmes...et soupira.
Il pensant au bon moment passé avec lui.Surtout les rigolades...
Ducho...une personne importante pour moi...et pour nous...
Il se dit que c'était le choix de ducho et que nous qui avons essaier de le retenir...maleuheureusement il est quand même parti...
Cesar leva la tête et regarda le ciel en soupirant...

Jehan serra sa sœurette dans ses bras essayant de la réconforter de son mieux et saluant le courage de la jeune femme d'avoir pu faire faire cet ultime voyage à son ami.

Merci Sylm, et courage tu sais que je suis la pour toi.
Il sera fait selon ses volontés...n'ais aucune crainte.
Pas de messe, pas de cérémonie, juste quelques vrais amis.
Sylm si tu souhaites venir t'installer à LT tu y seras la bienvenue alors réfléchis et quand tu aura repris un peu le dessus, fais moi savoir ta décision...

Jehan embrasse sa sœurette affectueusement.

Pas de souci, à partir d'ici je prends le relai Sylm...tu as plus que largement fait ta part...reposes toi...

Jehan s'approche du cercueil heureux que personne ne puisse remarquer le désarroi qui l'habite en cet instant. Il se signe et murmure quelques mot à voix très basse à son ami...
Enfoiré! tu aurais quand même pu revenir nous voir une dernière fois...

Après s'être recueilli quelques instants Jehan se retourne fait un signe aux amis pour qu'ils l'aident à décharger. Il a fait venir une charrette pour conduire Ducho sur la petite colline qui domine le village.
De là ce dernier pourra les regarder vivre et sourire de leurs éternelles facéties.
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Daien leva son verre, et trinqua...

"Pour que la route du bonheur et de la joie ne s'arrête pas seulement après la mort!..."

Il finit son verre, puis le jeta derrière lui....comme l'aurait fait Ducho en taverne...
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Chiquette sorti t de ses pensées et décida de rejoindre ses amis malgrés tout.
Arrivée à hauteur du cercueil ,elle regarda ses amis qui le portait,fit un signe de la téte et signa devant le cercueil
Elle s'approcha du cercueil et murmura bon voyage

Jehan, après la halte à la taverne Hurlante redonna le signal du départ et le cortège s'ébranla doucement.

[SUR LA COLLINE "DUCHO"]





La petite troupe arriva sous le grand chêne où désormais Ducho allait résider. Des moutons paissaient alentours.
Un trou avait été creusé à la demande de Jehan de telle sorte qu'en été l'ombre du centenaire protège le repos de cet être fragile qu'est l'homme.

Mes amis, cette colline à compter de ce jour se nomme: La colline Ducho...
Je vais proposer d'ailleurs que juste en dessous de la dernière demeure de notre ami, soit créé un cimetière où reposeront nos défunts.

Jehan avec l'aide des participants fit descendre en terre son ami ayant toutes la peine du monde à ne pas laisser couler ses larmes.
Cela serait pour plus tard, surement dans le marais poitevin ou il laissait libre cours à ses émotions.
Mais pas ici il était non seulement l'ami du défunt mais aussi le bourgmestre et se devait donc d'être digne.
Ducho d'ailleurs n'aurait pas apprécié des "pleureuses" sur sa tombe.
Une fois le cercueil en place Jehan resservi une dernière pinte de bière à chacun et chacune...

A la tienne Ducho! Santéeeeee! j'espère que la haut Aristote a fait le plein de bière pour ton arrivée!
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Solaw arriva par une belle nuit étoilée. Il était tard et la noirceur de la nuit envahissais le village. Elle approcha d'une pencarte/

" Sa m'a l'air d'une charmante ville, je vais m'y poser quelques jour"
La voyageuse marchait dans les grandes ruelles éclairé par quelques réverbères. Elle flana pendant un moment et entra dans une taverne.
Il y avait du monde marlgré l'heure tardive. Solaw resta un moment et repartit chercher un endroit où dormir.
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[SUR LA COLLINE DUCHO]

Jehan attendit que tous ses amis aient pu rendre un dernier hommage à Ducho silencieusement.
Puis avec leur aide il scella la tombe avec la terre du Poitou pour laquelle Ducho avait donné sans compter.
La gorge serrée par l'émotion il jeta un dernier regard au site qui allait abriter cet être cher et fidèle.
Puis il redescendit la colline perdu dans ses pensées pour cet homme de bien qu'il avait eu l'immense privilège de côtoyer et d'avoir pour ami.
Le retour fut silencieux les mots étant devenus absurdes et parfaitement inutiles.
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En revenant de l'enterrement de Ducho Jehan marchait la tête basse et l'esprit occupé...
La pluie tombant il avançait en évitant de relever la tête et failli percuter une personne.

Oh pardon..Dame avec cette pluie je...Elliandra? Marraine? que fais tu là sous cette pluie tu vas attraper la mort...

Jehan n'aurait clairement su dire si sa Marraine et cousine pleurait ou si c'était seulement la pluie qui mouillait ainsi son visage.

Il retire sa cape et en couvre Elliandra l'invitant à faire quelques pas.
Il la connait bien et sent que quelque chose la tracasse mais...voudrait elle lui en parler?
Il décida d'attendre que la jeune Dame de Milliac lui parle avant de l'interroger plus avant et lui offrit son poing droit pour s'appuyer et ne pas glisser avec cette eau rendant les chemins et les rues boueuses.
Tout en marchant il songeait à la retraite imprévue de Davor l'époux d'Elliandra. Sans doute le tracas de celle ci avait il un quelconque rapport avec Davor
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[Sur la route Poitiers/LT]
Le ciel, en cet fin de journée était degagé et clair mais le vent soufflait hélas dans les plaines, Kissiou allait a La Tremouille pour la première fois mais pas pour la raison dont elle aurait pensée un jour venir, un amis qu'elle avait connu et davantage depuis quelques temps en Anjou, avait rejoint les cieux, elle avait donc fait la route avec Chichi depuis Thouars pour lui dire quelques mots une dernière fois.
Au loin elle pouvait enfin apercevoir les rempart de LT, elle s'arrêta un instant contemplant le paysage et ce coucher de soleil qui laissait percer ces derniers rayons de lumière de la journée..

La gorge serré elle respira cette air pur, un pigeon arriva et se posa devant elle une lettre accrocher a une de ses pattes, quittant du regard ce beau paysage elle haussa les sourcils et posa ses yeux sur le volatile puis décrocha la missive, elle le toisa un instant étonnée et fit un grand geste pour qu'il s'envole..
Allez zou va t'en maintenant!

Elle déroula le parchemin et d'un léger petit sourire en coin elle survola les lignes, la sauvage radoucit..la lettre termina dans son corsage, comme une adolescente cachant un mot d'amour, mais se faisant la remarque à elle même, elle finit par l'enlever et la fourrer immédiatement dans sa besace, cette réaction la fit immanquablement rougir... La honte.... elle se renfrogna et regarda Chiquette.. et sans lui laisser le temps de dire quoique ce soit elle talonna sa monture et reprit la route. Le soir même, après être arrivées au village et être passais en taverne elle décida d'aller dans la colline parler a Ducho, elle galopa jusqu'au lieu dit.

[Sur la colline Ducho]
La jeune guerrière arriva enfin non loin de l'imposant arbre où dessous celui ci était enterré Ducho, le vent toujours présent caressais son visage laissant ces cheveux voler dans l'air et s'entremêler, Kissiou prit une petite respiration puis démonta selle, rênes en mains glissant entre ses doigts elle fini par les lâcher lentement, s'approchant de l'endroit chacun de ses pas en sa direction, ses pensées se remplissait de moments passés avec lui, de bons moments de doux souvenirs.. ses amis continuer a partir a petit feu de sa vie, il rentrait et sortait comme dans un moulin, Kissiou n'arrivait pas a comprendre que la vie ce soit cela.

Arrivée devant la tombe de son amis elle eu soudain un sentiment de mal-être, une boule a la gorge jusqu'a presque l'étouffement, une vague de froid qui lui semblait éternelle parcouru son corps... Son regard se perdit dans l'infini mais pourtant il était rivé sur cette fichu motte de terre qui couvrait ce qui était son corps elle s'agenouilla et de sa main elle déposa une rose blanche, elle ferma les yeux puis écouta la pureté du silence, la musique du vent qui soufflait dans creux de ses oreilles, il allait vraiment lui manquer.. il était quelqu'un et ça aux yeux de toutes les personnes qui le connaissait.. Kissiou leva ensuite son visage et regarda le ciel en soupirant...
Pourquoi dans les moments où on devrait dire ce que l'on ressens, ou bien faire des adieux a quelqu'un, pourquoi les mots ne sortent-ils pas?
Des mots trop légers pour crier nos envies, et des maux beaucoup trop pesants pour dire quoique ce soit...

Repose en paix mon ptit moustachu, on se reverra un jour.. alors je ne te fait pas d'Adieu

Elle sortit ensuite un parchemin de sa besace et la lui lu a haute voix

Elle ravala difficilement sa salive retenant ses larmes et esquissa un sourire tant bien que mal puis prononça quelques mots encore

Voilà... comme je t'avais promit.. je n'aurais jamais la tienne et y'aura jamais la suite.. mais moi, moi j'aurai tenu ma promesse... Au revoir Ducho..

Elle déposa ensuite la lettre sur sa tombe a côté de la rose, cette lettre qu'elle devait lui envoyer, d'un pari qu'ils avaient tout les deux fait..
A cette instant elle se sentait comme ce coucher de soleil, cette palette rouge qui était à ce moment même aussi sombre que son cœur.
Kissiou se releva ne quittant pas du regard cette terre, cette tombe, elle regarda une nouvelle fois autour d'elle puis se retourna laissant involontairement une larme perler au coin de son œil...
Elle remonta sur son étalon et dans le crépuscule elle s'en alla, quitta la plaine Ducho préférant ne plus regarder en arrière avant de se prendre au piège de la mélancolie..
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=> Atelier Lysandart

Ébahie la Saorii.
A peine arrivée à La Trémouille, v'là qu'on lui a remis dans ses pattes ravies un joli parchemin orné d'un élégant cachet. Attendue semble t-il...
Bizarre autant qu'étrange, vu que personne n'la connait dans ce Comté, pis qu'pas grand monde la connait ailleurs, du reste.

Flatte l'encolure de la carne qui par miracle a réussi à trainer sa carcasse jusqu'ici, décachette avec curiosité. Au pas dans les ruelles animées du quartier du marché, elle déchiffre, n'en croit pas ses yeux, relit une deuxième fois, stupeur, troisième, toujours pas de changements, toujours les mêmes lignes laconiques qui dansent froidement sous ses yeux.



Pas d'enquête, pas d'explications, rien.

Elle lève les yeux, et oriente ses prunelles vers l'enseigne d'une taverne, v'là qui devrait pouvoir assouager un moment sa rancœur.
Descend de sa monture, et pousse la porte de l'accueillant tripot, avant de se laisser choir à une table.

Quelques chopines plus tard, un peu rassérénée, elle s'dit qu'elle va aller faire une p'tite visite à son tourmenteor, qu'il lui donne au moins le motif d'un tel refus expéditif.
Pas brigande pour deux sous, sale caractère d'accord, mais comment peut-il le savoir le maroufle?
Dire qu'elle déteste la paperasse, mais qu'elle a suivi les conseils de ce fichu bourgmestre limousin. L'aurait mieux fait d'arriver en catimini et de s'installer sans crier gare oui. Soupir. Ca fait du bien d'se sentir accueillie, tiens.

Jehan sourit malgré la pluie car la demande de sa...cousine? Marraine? puis son regard se posa sur ses bottes rouges, rouges aux couleurs de la Dame de Millac...

Volontier, allons chez nous, Ma Dame....

Jehan siffla Tempête qui arriva trottinant. Il fit monter Elliandra et monta derrière elle et tous les trois prirent le chemin du domaine...
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La journée touchait à sa fin. Olivier sortait de taverne, perdu dans ses pensées. Le jour du départ était arrivé. La joie d'aller vivre avec celle qu'il aime, et la tristesse de quitter ses amis. Un cocktail étrange. Il alla retrouver Servanne, qui l'attendais sur son cheval. Le groupe l'attendais et était fin prêt à partir. Sans plus attendre il se mirent en route.
Alors qu'ils passèrent les murailles de la ville Olivier se retourna une dernière fois, une page était en train de se tourner. Il regardais ce village qu'il aimait tant et savait qu'il reviendrais, son cœur le lui disait.
Allons c'est devant qu'on regarde, se dit il. Si je continu comme ça je vais jamais avancer. Il regarda alors droit devant et ne se retourna plus, et peu à peu le groupe disparu, guidé par la lumière de la pleine lune.

apres un tres long periple skinn arriva enfin chez lui il avait attendu ce jour depuis plus de deux mois

ah enfin chez soi alors tout d abord une biere et le reste viendra

s aprochant du village il se souvint des nouvelles de ses amis disparu.... et de ceux qu il veut revoir

Little, qui se rendait au verger de bon matin, passa par les remparts et entendit quelqu'un frapper à la grande porte..

C'EST QUIIIIIIII?? cria t-elle..

C'est Pg91, je viens de Thouars je pourrai rentrer svp???
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Chef Maréchal de Thouars

Encore de passage dans le coin, Ally reconnut cette fois la voix de l'autre coté de la porte.

Ciiiiiiiib, cria t'elle, je t'ouvre de suite !

Elle tire la porte, et laisse entrer son amie

Cibeline entendit quelqu'un ouvrir la porte, elle se rapprocha et reconnut la voix de Ally, elle lui laissa ouvrir la porte et sourit à cette dernière.


"Merci Ally, on est gelé il faut que nous nous réchauffions. Angéle est frigorifié et je suis pas loin de tombé, prend la s'il te plait je sent que je ne la tiens plus vraiment il faut que nous allions à la maison et faire du feu, je ne sais même pas ou est bloody."

En deux jours de chemin le Diacre était revenu du Limousin,
Sous les portes de son bourg sans trompettes, ni tambours il était passé,
Dés son arrivée, il fit le tour du marché et en eut les bras coupés,
Ce n'était pas l'état des étals qui allait lui redonner joie et entrain.

Pauvres de nous...
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Evêque du Mans

L'heure du départ avait enfin sonné, Sandrae et Teclo avait pris la route en partant de Poitiers au petit matin, alors que la ville était encore endormie, ils ne pouvaient qu'entendre les rires des soldats pictaves s'élevant au dessus des remparts.

Teclo savourait enfin les voyages à dos de cheval, sa belle s'en était acheté un il y a peu afin qu'ils puissent rejoindre les villes assez espacées le plus rapidement possible, en commençant par La Trémouille ; le trajet qui aurait dû prendre deux jours n'en prit finalement qu'un seul, et lorsque les murailles de La Trémouille furent en vue, Teclo ne put s'empêcher de sourire et de pousser un soupire de soulagement. Le cheval, c'était bien parce que rapide, mais qu'est ce que ça faisait mal aux fesses ! Presque autant que les glissades en taverne ...

Les choses avaient changé depuis peu, il fallait désormais un Laisser-Passer pour accéder à la ville de Niort, il l'avait appris la veille de leur départ, cela devait être dû à la présence du Roy dans la ville, il n'avait donc pas pensé à prévenir le Maire de La Trémouille de leur arrivée, il avait ouï dire que son ami Petitjehan avait fini son mandat, et ne savait donc pas à qui s'adresser ...
Désormais c'était trop tard, ils étaient presque aux pieds des remparts, et se disaient qu'ils ne seraient sûrement pas refoulés de la ville, étant eux-même poitevins.

Ils continuèrent en silence leur route, la fatigue et le froid les engourdissant, et une fois arrivés devant la porte de la ville, Teclo mit pied à terre afin de se mettre à la hauteur des gardes de la ville, il n'aimait pas regarder les personnes de haut, n'étant qu'un pauvre vagabond c'eût été assez prétentieux de sa part.
Il s'adressa au premier garde qu'il rencontra :

Bonjour, je me présente, Teclo, et voici ma compagne, Sandrae, pictave également, dit-il en désignant sa belle sur le cheval à quelques pas de lui.
Nous venons pour un jour ou deux à La Trémouille, nous ne sommes que de passage, pouvons nous rentrer ?

Une bourrasque s'engouffra à cet instant au niveau de la grande porte, Teclo fut parcouru d'un frisson et se cacha la moitié inférieure du visage dans une couverture présente sur ses épaules qu'il avait achetée en prévision d'un grand froid ; il regardait le garde en priant intérieurement pour que celui-ci les laisse rentrer.
Il jeta un rapide coup d'œil à Sandrae et vit qu'elle souriait plus comme à son habitude mais elle avait le teint blafard, elle devait être glacée, voilà pourquoi elle ne pipait mot depuis des heures.
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Teclo
Vagabond

Mimill avait travailler toute la semaine assez durement ... et Skinn lui manque terriblement.

Elle ferma sa forge et y laissa un mot sur sa porte " Absente pendant quelque jours, de retour samedi matin". Mimill prit son cheval et se dirigeait vers les portes de LT.

- Bon bah à d'ici quelque jours LT, je vais me prendre quelque jours de vacances.

Elle se mit en selle et partit sur la route ...

Ce soir-là, en sortant de la taverne, Dra chancelait. L’air glacé n’avait plus de prise sur elle. Résonnait encore en elle le silence assourdissant qu’il lui avait renvoyé au visage. Il n’avait rien dit, pas un mot, pas une question, acceptant cette destinée qu’elle avait décidée, seule, pour eux deux... Elle se perdit dans les ruelles, cherchant l’auberge où elle dormirait encore cette nuit, avant de reprendre la route.
Teclo était déjà parti. Brisé.
Elle se trouva, sans avoir mesuré ses pas, au pied de l’escalier qui menait au chemin de ronde. Besoin d’ouvrir son horizon. Et malgré la nuit tombante, elle monta pour scruter les chemins. Une seule silhouette se mouvait, vers le sud-est, vers Limoges, au-delà des portes du monde qu’ils connaissaient. Une vague d’angoisse la submergea. Saurait-il relever la tête… retrouver le sourire un jour… il lui faudrait du temps, sans doute…

Qu’Aristote veille sur lui…

Dos au mur, elle s’assit sur la pierre glacée de mur d’enceinte, fermant les yeux au destin de cet homme, qu’elle avait tant aimé pourtant, qui s’en allait sans un dernier mot. Se tourna vers l’ouest. Elle remonta son col sur son visage, et sanglota.

Demain, elle ferait route vers la mer.

Sebelia avait voyagé toute la nuit pour arriver icelieu dans le petit village de la Trémouille. Elle n'avait point dormi et occupait déja un travail à la mine.
Elle était née à Castres dans le comté de Toulouse et malgré son jeune âge, elle était partie seule sur les routes du royaume.

Elle ne savait point où se rendre de si bon matin, devait-elle aller frapper au bureau du tribun, à celui de la police, ou chez le maire afin de se présenter et d'être en règle vis à vis des autorités.
Elle avait demandé à plusieurs reprises des laissez passer auprès de Messire Chuichian mais elle n'avait point de réponse et elle ne souhaitait pas être jetée en prison pour vagabondage.

Seb arrangea ses oripeaux froissés par le voyage, se recoiffa prestement, afficha large sourire sur son visage et se dirigea vers les tavernes. Elle trouverait alors sans doute réponse à ses questions.
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Daien, sortit précipitament de chez lui, vêtu d'une cape, un paquetage sous le bras, et longea l'arrière de sa maison, vers la petite écurie qu'il avait fait construire depuis qu'il avait été à Poitier, couper du bois pour la mairie, mais aussi pour finaliser l'achat de sa fière monture: Cronhos, un étalon Palomino, de race pure, qui lui avait coùté beaucoup de ses économies, mais il ne pouvait plus voyager à pied. Et pour ce long périples avec L'ami Zutalors, ils n'allaient certainement pas y aller en marchant.

Il s'approcha du cheval, qui hennit doucement en le reconnaissant, et commença à l'harnacher..

"Tout doux mon beau..calme...là.." Il caressa l'encolure du cheval, et sourit.

Après avoir finit tous les préparatifs du voyage, il ferma à clef sa demeure, ajusta son bouclier sur son dos, vérifia l'attache de son épée à la selle, et se hissa sur sa monture..

"Aller, au trot, on passe voir une personne chère à mon coeur avant le voyage..direction 4 place de la mairie.." Il souria en se disant que le cheval avait peu de chance de l'y amener les yeux fermés..

Devant la petite demeure de Sandy, il fit hennir Cronhos, et descendit de l'étalon. Daien s'approcha de l'entrée.
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Daien souria en voyant la porte s'ouvrir, tandis qu'une élégante femme lui sautait dans ses bras..Il l'embrassa passionément, et la relâcha.

"Ca y'est je pars, et toi aussi, je présume?^^". Il lui caressa la nuque, et l'embrassa une dernière fois.

" prends soin de toi ma jolie princesse...A bientôt!" Il la regarda une dernière fois, et prenant son élan, il sauta sur sa monture, et en levant sa main, s'éloigna en direction de la sortie sud de la ville, pour attendre Zutalors...
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A bientot LT, passez de bonnes fêtes de fin d'année et soyez bien sages

Force monta sur les murailles et cria à Ally qui commençait à prendre la route :


Bon voyage Ally et reviens-nous en pleine forme pour la nouvelle année. A bientôt.

Cibeline qui passait par là avec son groupe vit une personne qui demandait le chemin des tavernes.
Elle s'approcha de lui, et en tendant la main en direction des tavernes lui montra la route.

"C'est par là bas vous ne raterez pas, il y en a pas mal. Bon séjour chez nous Messire."

Clovis déambulait dans les rues de La Trémouille. Il aperçu une dame franchir les portes de la ville. Il s'avança vers elle alors que celle ci se présentait:

Bienvenue à La Trémouille Dame Sileciamor. J'éspère que vous vous plairez parmi nous
Si vous avez besoin d'aide, n'hésitez pas.


Puis il s'éloigna, pour se retourner quelques instant plus tard:

Surtout, n'oubliez pas de passer en taverne un de ces jours ! Les Trémouillois se feraient une joie de vous y offrir un verre !

Chers habitants de La Trémouille,

Je viens me présenter à vous aujourd'hui, heureuse de découvrir ce si chaleureux village.
Je m'appelle Anjuli, bonne vivante j'aime passer de bons moments en taverne quand cela m'en est possible.

J'espère donc vous rencontrez en taverne bientôt pour boire une bonne Chouffe.

A bon entendeur salut!

skinn arriva aux porte de la ville sans se pressé en criant

gooooooood morninnnnnnnnng LT !!!
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ca été prouvé ! ma présence réchauffe les tavernes fémininement remplie de deux degrés.

Sandy arriva sur la colline et regarda le village!
-Enfin arriver à la maison.
Elle continua sa route jusqu'a sa demeure, passant devant les tavernes!
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Force arriva mais en retard et vit les femmes se diriger vers les tavernes.

Il se demanda :
Faut-il y aller ou pas? Après tout il est tard ^^.

Sandy arriva près de Cib, tout à la main, prête a partir. La prochaine fois qu'elle remetterait les pieds a La Trémouille, son Daien serait de retour...
- Je suis prete Cib! Go! Fayom arrête de trainer c'est toi qui marche^^
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Olivier aperçus à nouveau dans la brume le clocher de Lt, et comme toujours la joie l'envahis.
Son village natal lui avait manqué se dit il, et la chaleur de ses habitants également.
Il n'avait prévenu personne, espérant faire une bonne surprise à ses amis.
Sans plus attendre il se dirigea vers une taverne.
Il repassa devant son ancienne maison, et fut content de voir que gloria l'entrenait à merveille. Il sourit également en revoyant la cloche de l'église qui lui permis lui et bertal de remporter la course de brouette.
Tant de souvenirs se bousculaient... ce n'était pourtant que le début

Cibeline monté sur son cheval, tenu par la taille par Fayom, vit au loin les portes de La Trémouille, village cher à son coeur.
Ils avaient voyagé de NIORT à LA TREMOUILLE, ne faisant qu'une seule halte à POITIER, pour faire une surprise à leurs amis.
Leur monture ayant galopé toute la nuit, elle vit les premières lueur de l'aube et son village se découpant au loin.

Elle tourna son visage vers Fayom et lui sourit.

"On est arrivé, on va voir enfin nos amis et mon Angéle qui me manque tant."

Elle reprit le chemin.

Arrivés aux Portes qui étaient fermées, elle cria :

"Holà il y a quelqu'un, c'est Fayom et Cibeline"

En promenade avec Angele, Ally a raté l'arrivée de Cib et FAyom ....

Bon ben la puce si tu veux retrouver ta maman, y a pu qu'un endroit ou la trouver maintenant

Allez hop direction la taverne ^^

Le lendemain Mimill s'était levée tôt pour préparer ces affaires, la nuit avait portée conseil.

Elle avait décidée de partir sans prévenir elle aussi, qui sait elle reviendrait peut être ou peut être pas elle ne savait pas encore. Mimill était aux portes de LT avec Pains d'Epices et ses affaires.

- En route Pain d'Epice, on va voyager un peu ...

Elle parti de LT en jettant un peu coup d'oeil derrière elle, comme voulant dire un " a bientôt LT peut être, à bientot tout le monde " ...

Eragon chevauchait derrière Araya depuis des heures.. Ils arrivèrent au petit matin dans une clairière.. On voyait déjà les remparts Trémouilloises..

C'est qu'elle lui avait manque malgré tout cette petite bourgade bien charmante..
Il sauta de selle et se mit a courir vers les remparts

YYYYYYYIIIIIPIIIIIICAAAAAAAAAAAAAAAAA Enfin de retour......

Regard dans la grande rue ... vide

Il se laissa rattraper par Ara...

Heyy Ara.. ya pas comité d'accueil... bon il est p'têt un peu tôt et j'ai même pas averti que j'rev'nais mais quand même..
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Héraldique Européenne-Gaso

La route avait été plus rapide que l'aller..pas de brigands à se mettre sur la dent, pas de passage en taverne. Un mois d'absence...Comment allait -il retrouver son village?..les tavernes, ses amis?..
Une cape sur le corps, la tête ensevelie par une capuche, cachant son visage fatigué: le voyage n'avait pas laissé son organisme en paix. Il avait fallut traverser beaucoup de contrées aux frontières fermées, Zutalors et lui avaient du passer par des chemins détournés..trompant sans cesse la vigilance des faibles gardes des frontières. Faut dire qu'ils n'avaient pas eu trop de soucis administratifs du côté des douaniers..tssss, quand il pensait à tout ces Duchés arrogants " et interdit de faire çi, ou ça et gnagnagni......"
Il souria carnassier.."Foutaises que cela.." Il avait quand même hésité lors de leur arrivée dans le limousin "prétencieux", paralysé par la peste, mais Zutalors l'avait rassuré, et ils étaient passés par des chemins que nuls n'auraient put trouver.

Il arriva devant la porte d'entrée du village de La Trémouille, il fit ralentir sa monture, dégaina son épée, puis il cabra Cronhos, et hurlant, il pénétra dans la ville...

Trémouilleeeeeeee, enfinnnnnnnn! à mon retour!

Un sourire éclairant son visage..Daien rabaissa sa capuche une fois les portes passées, et rengaina son épée..fallait pas que l'on croit qu'il attaquait le village..Il fit trotter son étalon entre les rues du village...
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Jacquoud prit timidement la parole.

Bonjour je m'appelle Jacquoud, je viens d'arriver à La Trémouille et vous êtes tous très gentil, peut-être bien que je vais rester...

Sur le chemin pour aller, en taverne, prendre son poste, elle ne peut s'empecher de laisser s'évader son regard.

Cette fois-ci, elle n'eu pas le temps de plonger dans la nostalgie, du coin de l'oeil elle appercut Honoré. Ce dernier courrait et s'agitait dans tous les sens vers un couple de cavalier.

Le vent changea de direction, et lui porta les mots qu'il criait si fort.

- ERRAAAGGOOONNNNN...ARAYYYYYAAAA

Elle n'en croyait pas se yeux, ca ne pouvait pas etre possible. Aux dernieres nouvelles qu'elle avait eu, les portes de LT n'etaient pas pretes de s'ouvrir pour Era et Ara.

Dans 2 ou 4 mois qu'il lui avait dit, surveille la porte qu'il avait meme rajouté, ah celui la, il ne perd vraiment rien pour attendre.

Oubliant pour l'instant qu'elle devait aller prendre son poste et faire ses rapports, elle partit à la suite d'Honoré, essayant de ne pas tomber, et courut elle aussi à leur rencontre

C'est alors qu'Eragon se mit également à courir et lorsque les deux hommes se retrouvèrent face à face ils se serrèrent dans les bras l'un de l'autre et se firent de chaleureuses accolades, Eragon ne manqua pas de dire au diacre:

Ahh Honoré ca fait plaisir de te revoir.. J'avais peur que tu sois parti .. parait que y'en a qui prennent la grosse tête par ici..

Honoré le vit sourire et lui fit un clin d'oeil sachant que le rédac'Chef était toujours bien informé, l'homme préféra ne pas faire de commentaires à ce sujet , le retour de son ami était plus important, il répliqua donc:

- je ne savais pas que tu comptais revenir en Poitou et honnêtement tu me manquais, il m'arrive souvent de penser à toi, je suis vraiment heureux que tu sois de retour.

Le diacre fit une tape amicale dans le dos d'Eragon en disant:

- Bien venu au bercail l'ami et bienvenue à ta tendre moitié également, avec un sourire il continua,faudra veiller à te faire baptiser...
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Evêque du Mans

doudou raccompagna fil et anggej jusqu au porte de la ville
silencieux tous les trois ils se dirent au revoir
grrrrrr j aime pas les aurevoirs
vous faites attention a vous envoyer un pigeon quand vous arrive n importe ou j aime bien d avoir des nouvelles
doudou s assis sur une pierre et les regarder dans la nuit partir

Fil et anggel accompagné de doudou marchaient en direction de la grande porte de la citée . anggel tenait la main de fil et personnes ne disaient un seul mot . les rues étaient desertes a cette heure tardive.
une fois arriver a la porte anggel prit doudou dans ses bras et lui fit une bise !



doudou !! merci pour nous avoir héberger pendant notre séjour a la trémouille et remerci césar aussi ! et noublie pas de venir a thouars nous rendre une petite visite !!




Une fois les aurevoir terminés anggel prit la main de fil et se mit a marcher en direction de poitiers , au bout de quelques metres anggel se retourna et vit doudou assise sur un caillou qui les regardait partires , il lui fit un signe de la main puis se retourna pour disparaitre dans la brume .
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Ahrya arriva juste à temps pour voir son ami s'éloigner au petit trot.
Son cœur se serra lorsqu'elle comprit qu'elle ne le reverrai surement pas avant un long moment... Mais la tristesse la quitta bien vite pour laisser place à une certitude... La certitude qu'elle le verrait, peut être même plus tôt qu'elle ne le pensais !

Elle sourit au cavalier qui disparaissait peu à peu et confia au vent quelques mots, en espérant qu'il lui porte jusqu'à Mordom...

Astra esterni ono thelduin, mor’ranr lìfa unin hjarta onr, un
du evarìnya ono varda fricai !
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Clovis, à peine réveillé, passa devant l'auberge située juste en face de sa demeure, et aperçu un cheval, dont la silhouette lui paraissait familière.
En s'approchant de plus près, il reconnu enfin le grand étalon noir sur lequel voyageait Eli lors de son dernier passage. Un large sourire s'afficha sur ses lèvres lorsqu'il repensa aux très bonnes soirées passer en sa compagnie, à chanter et à danser jusqu'à tard dans la nuit, voire tôt le matin.

Il se recula donc un peu, et l'appela:

Eli ! Eli, Eli, Eli...

Son nom résonna plusieurs fois, brisant le silence qui régnait jusqu'à là. Sans réponse. Quand il se rappela que l'aube venait de se lever, et que nombre de Trémouillois devaient encore dormir à cette heure, il se retint de crier une seconde fois.
Heureux de la savoir revenue au village, il s'en alla faire un tour en taverne, avant de travailler, où il la croiserait sûrement.

Honoré avait harnaché Eminence grise de sacoches remplies des quelques affaires qu'il possédait, il avait également acheté des denrées sur le marché...la jument piétinait d'impatience, elle soufflait tellement que ses naseaux fumaient, mais comment pouvait-on dire à un animal que la patience était une vertu...pensa l'homme en souriant..

Honoré caressa la tête de la bête, il lui grimpa sur le dos et alla jusqu'aux portes de la ville au petit trot, il s'arrêta, se retourna et regarda une dernière fois le bourg durant quelques secondes, ensuite, l'homme se signa et puis talonna la jument dans les flancs, elle partit au galop et ils disparurent dans la pénombre des chemins obscurs...
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Evêque du Mans

Mordom avait fait ce qu'il avait besoin, il était de nouveau prêt. Il avait trouvé le réconfort auprès de ses amis et c'est ce qui lui avait permis de reprendre confiance en lui, il était prêt a reprendre les routes en espérant que la chance serait de son coté pour cette fois.
Chronos s'était totalement remis et il pu l'atteler sans soucis. Il boucla ses préparatifs après avoir dit au revoir a ses amis. Puis il se dirigea vers les portes de LT et attendit a l'entrée du village, il avait promis d'attendre cette fois-ci .
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Clovis, au courant du départ de Mordom, s'empressa d'aller saluer une dernière fois son ami, qui partait pour un long voyage, du moins, c'est ce qu'il leur avait laissé entendre...
Il arriva aux portes de la ville, et aperçu son ami et Clothilde échanger quelques mots. Il les laissa terminer, puis rejoignit de Chronos, qui paraissait en bien meilleur forme à présent, avant de s'approcher de Mordom.

A Bientôt l'Ami ! Soit prudent !

Il esquissa un sourire qui se voulait encourageant, tentant de cacher, tant bien que mal, son inquiétude.

Si tu venais à t'ennuyer un soir en taverne ... même si je doute que cela ne t'arrive , n'hésite pas à nous donner quelques nouvelles, et surtout d'embrasser Anathélia de ma part !

Il lui donna l'accolade une dernière fois, puis le laissa grimper sur sa monture, et le regarda disparaître au loin, dans la nuit. Le videur, ce soir encore, refusait de le laisser entrer. Il s'assit donc en contrebas, sur un rocher, ferma les yeux un instant, n'entendant plus que le bruit lointain des sabots qui foulaient le sol...

Des souvenirs qui la firent esquisser un sourire, tantôt soupirer, tantôt plisser les yeux soufflant des injures par agacement.. Des souvenirs oui c'était bien le mot qui y était approprié car du présent plus rien n'était. Celui pour qui ses yeux s'était empoisonnés désormais oppressé son cœur, celui qui auparavant craignait chacun des déplacement de la guerrière délurée pensant au dicton "loin des yeux loin du cœur" avait réussi a l'apprivoiser mais aussi a l'emprisonner dans le royaume de l'attente a Thouars a cause de ses foutu mandat et son foutu conseil dont Kiss en avait en horreur a force! Cette attente qui non seulement avait fait effacer Kiss de tout et tout le monde mais aussi intensifier en elle ce sentiment qu'elle éprouvait pour lui jusqu'à l'a rendre névrosée, hypersensible et hystérique de tout et n'importe quoi, elle devenait tout simplement a cran de cet absence lui qui lui avait fait croire monts et merveille, qui l'avait bien amadouer et au final en arriver la..

Un mot laissé sur la table quelques rations pour la route et elle partie sans en dire plus là où elle désirait désormais., tant pis pour lui tant pis pour eux, elle en avait plus rien a cure, marre de cette liaison, marre de cette situation. Surtout que la veille elle avait apprise que celui ci n'avait pas perdu de temps après son départ pour aller se fourrer a Niort aux côtés de cette impertinente enchignonée. A cette pensée Kiss en secouant la tête le regard pleins de rage. Maudit soit-il d'façon lui et sa gueuse!
Et cette satanée jalousie qui ne voulait disparaitre l'a rendait encore plus rageuse qu'elle n'était. Elle soupira nerveusement relevant son visage vers l'horizon dont le soleil percer ses premiers rayon de lumières de la journée, elle détourna ensuite son regard non loin vers les grandes portes qui était l'entrée de la Trémouille.

Bon, bon.. Elle chercha du regard quelque chose.. heu... comme une idée Ce gueux est pas obligé d'savoir où j'suis non plus Elle zieuta tel un vautour a l'affut a sa droite, puis a gauche, demi tour sur elle même, derriére elle.. avant de reposer son regard vers l'entrée ou le douanier était posté. Mmmh et si j'courai puis j'lui montrai mes atouts supérieur? puis une fois a l'intérieur hop j'disparait. Elle fit une moue Nan s'plus pour moi ça mouarf a cette réplique elle se renfrogna aussitôt puis lançant un regard au alentours tout en s'encapuchonnant et s'entourant de sa cape, il manquerait plus que quelqu'un découvres ses rondeurs qu'elle avait pris depuis quelques mois a contre grès...
C'est alors que pendant son monologue plantée en pleins milieu de, pour l'instant nul part encore.. une charrette arrivait aux portes du village.. Kiss esquissa un sourire et venait de trouver son moyen de passer inaperçue par le douanier, elle s'empressa alors d'aller se faufiler pres de celle ci puis s'abaissa a mi hauteur du côté opposé où était posté le... erf Force. Elle haussa les épaules tout en glissant sa main dans la charrette pour y piquer un fruit en attendant que l'vieux daigne dégager et enfin circuler dans l'village. Chose demandait, chose faites. Kiss marcha courbé sur quelques mètres, le mulet n'avançant très vite.. avant de prendre une ruelle perpendiculaire a l'allée centrale une fois plus loin des gardes.

Et... heu.. et sinon Kiss t'a d'autres idées comme ca pour être ridicule? pourquoi j'fais ça moi aufaite? pfff qu'elle truffe franchement! N'im-por-te-quoi!

Kissiou leva les yeux au ciel, panneau de fer grinçant au vent elle dévia son regard sur celui ci et remarqua l'emblème de la taverne municipal. Cela faisait bien longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, elle esquissa alors discrètement un sourire de ce qu'il y avait de plus malicieux et y pénétra a l'intérieur avec comme d'habitudes en toute délicatesse, coup de bottes dans la porte et un:

ÂME QUI VIVENT 'JOUR!! L'adorable crucheuse thouarsaise est parmis vous!!
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=> Atelier Lysandart

Anggel et Filoute arrivèrent accompagnés de leurs amis aux portes de la trémouille , le soleil n'était pas encore lever mais on commencait déja a distinquer les remparts de la citée !!

Anggel regarde fil puis lui dit ;



Tu la trouve pas magnifique toi cette ville !




Puis anggel lance a son ami Aka !!




C'est bon tout le mondes a bien suivit, la route fut longue pour arriver a lt, mais nous y voila !! heu !!! doudou les tavernes elles ouvrent a qu'elle heures ici ? arffff !!! j'ai une de ces soif moi !!! ^^
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Filoute regarda les portes de la tremouille avec un grand sourire mais surtout un grand soulagement!

Arf qu'est ce que j'ai mal aux pieds !!!

Filoute lanca un petit sourire à Anggel comme pour le supplier de la porter jusqu'à la première taverne.

Bon allons nous desaltérer et rencontrer les trémouillois! Euh...c'est comme ça qu'on dit non?

Akashia souriait en arrivant avec tout ses amis

oui tout le monde est arrivé a bon port !!!
La Trémouille ... La Tremouille ... Qulelques jours d'arrêts !!
Avant de descendre assurez vous de ne rien avoir oublié !!!

Akashia embrassa amoureusement sa Louve qui lui souriait elle aussi ravi d'être arrivée

Allons boire et nous restaurer ... cette petite marche m'a mis en appétit !!!
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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant

zouk arriva avec la lance de Néférouré, aux portes de La Tremouile, pour assister au mariage de la Messire Fayaom et dame Cibeline , mais pas de tès bonne humeur ce matin , quitta rapidement le groupe

J'ai pas fais tout ce voyage pour rien , enfin voici la Trémouille

zouk s'enfonça dans dans le village , il lança un salut laconique au reste du groupe
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La chevauchée avait été silencieuse... L'équipée était éreintée, nul ne pipait mots. Kiliana n'avait même pas osé chanter à tue-tête.

Elle était triste: son fiancé Theudrik avait raté le départ, et les amis ne pouvaient attendre... Le lieutenant disait d'elle qu'elle était la reine des étourdies, mais lui, c'était l'empereur!

Au-delà de sa tristesse, qu'elle savait passagère, la Pictave s'inquiétait pour son amie Nefe, qui n'était point loquace. Elle fit montre pour une fois de discrétion...

Les toits des chaumières de La Trémouille se profilèrent à l'horizon, le voyage touchait à sa fin. Arrivés devant les portes, la milice leur ouvrit.
Chacun prit sa besace. Kil serra la main de Nefe et esquissa un sourire, pour lui dire sa gratitude, mais surtout son amitié. Elle comprit que l'indomptable ne voulait pas parler... Tous se séparèrent pour se préparer pour la cérémonie.

- Dites-moi mon brave, où sont les meilleures tavernes?

Anggel met sa besace sur son épaule et prend la main de filoute tout en lui souriant !!


Voila mon coeur !! il est l'heure pour nous de rentrés a Thouars .


Anggel se retourne une derniere fois vers la ville et dit a fil .


La trémouille est une ville tres agréable et j'éspere y revenir bientot , maintenant il est temps de penser au retours , parton tete , eli , et olivier vont nous rejoindre sur la route !!
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Kiliana déposa ses besaces et celles de Theudrik dans la carriole... Elle préparait leur départ. Ils retournaient à Poitiers, accompagnés de Cib, Dra, Fay et Iron. Elle soupira...

Pourvu que Dra ne chante pas!
Pourvu que Cib supporte le voyage!
Pourvu qu'Iron ait sur lui une bouteille de sa délicieuse poire!
Pourvu que Fay ne ronfle pas!
Pourvu que Theud ne rate pas le départ!^^

Elle songea aux Tremolos qu'elle avait croisés et qui s'étaient montrés accueillants, à ceux qu'elle n'avait pas vus mais qu'elle accompagnait de tous ses voeux de bonheur et de chance.

Constatant que l'équipée n'était pas encore rassemblée, la Pictave décida de retourner en taverne.

- Rhoooo, dix, douze chopes, ça peut pas me faire de mal!^^

Le retour N°2..
Il était une fois bla bla bla bla bla bla..
Eragon sauta du ch'val (qui a dit encore?) laissant Ramsés et Ara avancer a côté de lui..
LE groupe s'approcha des murailles...
Eragon s'éclaircit la voix..

HEyyyyyy les Trémollos.. Apportez la bibinnnnnneeeeeee J'ai perdu ma boulasse depuis belle lurette...
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Héraldique Européenne-Gaso

Mumbly arriva éreinté aux portes de La Trémouille.Il sourit.Enfin ,il était arrivé à bon port sans avoir fait de mauvaise rencontre.

_Bonjour soldats,je viens de Poitiers et désire passer quelques jours dans vos murs.
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Préservez moi de mes ennemis,je me charge de mes amis.

Enfin, La Tremouille...

Sacha observait les remparts de la ville qui grandissaient un peu plus à chaque pas de son cheval. Gardant un visage impassible, elle n'en était pas moins un peu perdue. Le voyage lui avait largement laissé le temps de mettre au point un plan qui se tenait mais son esprit semblait prendre un malin plaisir à tout remettre en cause à présent qu'elle touchait presque au but. Deux possibilités s'offraient à elle, et bien qu'ayant souvent pesé le pour et le contre, le choix s'imposa de nouveau. Faire le plus de tapage possible pour receuillir le maximum d'informations au risque de faire fuir le gibier si il était bien ici, ou se faire discrète et espérer tomber sur les bonnes personnes sans perdre trop de temps ?

Arrivée aux portes, la jeune fille se laissa glisser de sa monture et inclina la tête à l'intention des gardes de service avant de répondre de manière monosyllabique à leurs questions.

Reprenant sa route à travers les rues de la ville, elle reprit le cours de ses pensées entrainant dans son sillage le cheval qu'elle tenait par la bride. La discrétion était le mieux, finit-elle par décider revenant ainsi à son premier plan, laisser penser qu'elle la cherchait elle plutôt que lui. Son sens relationnel et sa diplomatie n'étant pas ses principales qualités, loin de là, il valait mieux ne pas trop tenter ses mauvais démons. De toutes façons, cette étape là servirait surtout à prendre la température du comté et d'elle-même, les choses serieuses débuteraient plus loin.
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Mumbly arrivait enfin à La Trémouille.Son coeur battait la chamade.Il s'avait ce qu'il avait à faire.D'abord un bon bain à la rivière et ensuite la rejoindre.Il lui avait promis.
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Préservez moi de mes ennemis,je me charge de mes amis.

Aaaah plus que quelques mètres et j'y suis...se dit Honoré qui était soulagé d'apercevoir enfin les portes de La Trémouille...La vie était tout de même facétieuse, jamais le prêtre n'aurait pensé se retrouver de sitôt dans ce bourg où il s'était tant plu, eh bien si...juché sur sa fidèle jument, le religieux était revenu à ses premières amours...plus convaincu que jamais de sa foy en Dieu...

Le calme semblait régner dans les parages et il était trop fatigué pour crier, le prêtre descendit de sa monture, rênes dans une main et bâton de pélerin dans l'autre, il poursuivit son chemin à pieds pour passer sous les remparts...il n'avait qu'une envie, se reposer...peut-être irait-il piquer un ronflette au verger avant d'aller cueillir quelques fruits, il y avait bien longtemps que ça ne lui était plus arrivé...
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Evêque du Mans

Clopin clopan les fesses en compote le prêtre parlait à sa jument...ma belle, tu vas pouvoir toi aussi te reposer, tu le mérites bien...c'est alors qu'Honoré entendit crier au-devant, il vit un homme courir vers lui, il plissa les yeux pour ajuster sa vue et reconnut son vieil ami Eragon...tout sourire il s'immobilisa et attendit que son compère le rejoigne....lui tendant déjà les bras pour lui faire une accolade amicale...

- mais qui v'là ti...c'est l'ami Eragon, comment vas-tu depuis tout ce temps?
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Evêque du Mans

Daien courra comme un fou, jusqu'aux remparts, juste à temps pour voir la songeuse Mimill fuire ce village. Debout sur un des créneaux, il hurla au vent:

"Bonne route Kookie! et fais attention à toi hein, Nous oublie pas trop, et je t'enverrais le FP par pigeon! Bonne chance!"

Encore un pilier qui disparaissait, l'en restait plus beaucoup...Il s'asseya et laissa ses pieds pendre dans le vide.
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Azaïs se trouvait aux portes de La Trémouille quand, prise de doute, elle se demanda :

_Punaises ! c’est par où le sud ? Avec mon sens de l’orientation… c’est pas gagné !!

Elle regarda sa carte un instant.

_Ma foi, je dirais que c’est par là.

Et regardant une dernière fois les toits du village, elle se mit en marche.

Une journée dans la milice et Sandy se trouvait à faire les grands pas dans les rues de LT. L'esprit ailleurs, pensant à tout ce qui pouvait la tracasser... Sandy_Lee passa devant l'auberge où Kiss résidait, un flash lui traversa l'esprit.

- Kiss!!

Son amie lui avait bien dit qu'elle devait partir bientôt... Elle s'approcha lentement, regardant à droite et à gauche, p-e était-elle parti vider les réserves de bières dans une taverne ou terroriser la population voir même défigurer son futur époux.
À cette pensée Sandy éclata de rire, elle regarda plus attentive et remarqua une femme qui essayait de monter son cheval. C'était Kiss...
Sandy_Lee s'approcha en riant et lui dit:

- Tu veux de l'aide?

La pauvre qui devait se trainer ainsi que son enfant qui allait bientôt venir au monde... Sandy savait bien que la gueuse passait un sale quart d'heure.

- On dirait bien que tu nous quitte aujourd'hui! Tu sais que tu es la Bienvenue Hein!

Elle lui fit un petit sourire avec un brin de tristesse. Elle s'était toujours bien amuser avec Kiss, la Tulipe Noire avait été l'endroit de leur première rencontre. Une rencontre fort brutal et amusante... C'était des vieux souvenirs qui étaient gravés dans sa tête à jamais.

- Tu vas faire attention Hein! Et me donner des nouvelles?
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Daien, resté les jambes ballantes dans le vide, allait rentrer chez lui, quand des marmonnements, et jurons lui parvinrent à l'oreille. Baissant les yeux, il vit une grosse cruche essayer de monter sur un canasson. Pas évident, esquissant un sourire, il allait se décider à aider la pauvre kissiou, quand Sandy, et Littlman, arrivèrent sur les lieux du drame.

Il regarda la scène avec plaisir, se disant, que là, était une occasion à ne pas manquer...Kissiou en difficulté, rouge comme une pivoine...

"héhé...aller Kissiou, montre nous tes f.. aller kissiou, ..lalalala..."^^

Daien éclata de rire..
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Sandy!!... heum oui faut qu'j'vous quittes, des choses a faire a Thouars, mais j'reviendrai sure!..... maiiis ouuuiii j'ferai 'tention d'facon tu m'connais aux risques et périls de celui qui m'approche! et oui aussi j'te donnerai des nouvelles... humpf on dirait qu'j'cause a ma mère... arrêtes de t'inq...

Sandy éclata de rire, *pffff une mère, Moi! N'importe quoi*
Littl arriva à la rescousse de Kiss, l'idée d'aider à monter, l'empechait de respirer tellement elle riait. Quand soudainement Daien arriva, Sandy regardait la scène. Et encore un nez cassé...

- Arff pas avant le mariage! ^^

Se tournant vers Kiss, elle était montée et se dirigea vers les portes, elle lui envoya un signe de main, *on aurait dit un poney sur un cheval* À cette pensée Sandy ria au éclats. Elle se tourna ensuite vers son amour et regarda son nez.

- Viens mon coeur, on va nettoyer ça! L'amour est sauvage par ici^^
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Azaïs mit pied à terre en soupirant.

_La Trémouille enfin!!!! Dieu que ce village de fous m'a manqué!

cdric arriva aux portes de la ville après douze jours absences
il en avait par dessus le tete de cette foutue mule qui en faisait qu'a sa tete


enfin arrivé!!

va y avoir de la viande de cheval sur le marché

mais avant ca il me faut une bonne choppe !!

il se dirigea vers une taverne
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Il y a des murailles que l'on prend plaisir à voir... plus encore lorsqu'elles annonces un retour en Terre Poitevine... Le fait de rentrer par La Trémouille ne le rendait que plus heureux. Bien sur il avait hâte de rentrer chez lui, à Thouars, mais LT avait ce petit quelque chose (équipe de soule, équipe de police de folie, son Futur Tisserand et Maitre de Sa Garde Robe, l'intéressé comprendra ) qu'il appréciait faisant de cette cité, la seconde dans son coeur.

Il se demanda qui était de garde en approchant de la porte Sud de la cité... et c'est la jolie silhouette de Kalimereth qui l'accueillit... sans fanfare... pas pour cette fois non plus.
Kali... qu'il n'avait pas revu depuis le 5ème GFC... et dont ses attributs, capillaires, rougeoyant avait le don de le mettre en émoi. Ferait-il de la Trémouilloise sa prochaine collation? Rien n'était moins sur mais nul ne sait jamais.

Regard qui se croise, la jolie hôtesse de la Prévôté se leva et sorti ses pompoms de supportrice afin d'accueillir avec charme le Thouarsais.
Il lui laissa finir son discours trop souvent répété sur la JDH, et sur moult autre chose toute aussi inintéressante.
Tu aurais pu t'épargner pareil discours, je suis assez bien rôdé... j'ai même fait ma demande pour le voyage en lance. Après un sourire amusé, il lui glissa discrétement à l'oreille, occasion pour lui de respirer le doux parfum des cheveux de la donzelle, que cela s'était joué de peu...

Etonnant non que sur les 4-5 provinces qu'ils avaient traversés, la seule qui lui demande de remplir quelques papiers administratif soient SA province.

Pg arriva en mangeant sa dernière miche

Ah, le village enfin, je vais pouvoir revoir mes amis, en fait je suis venu pour une occasion spéciale....(vous aimeriez bien le savoir hein? )

C'est prévu pour demain, mais je vous le dirai pas avant!!!

On se retrouve en taverne?
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Chef Maréchal de Thouars

Le soleil se levait à peine quand Azaïs se posta sur un rocher à l'entrée du village et, d'un regard mal éveillé, se mit à scruter l'horizon.

_Arrivera-t-il aujourd'hui? se demanda-t-elle.

Des jours qu'elle se demandait quelle serait sa réaction en voyant se dessiner devant elle les portes de la Trémouille.

Enfin, ce matin elle y était. Voila pas loin d'un mois qu'elle était passée par la dans l'autre sens.
Un beau voyage, de beaux moments, quelques connaissances plus tard, la voila de retour, prête à retrouver ses amis.

Un sourire à son Amour et elle descend du cheval, pour finir les quelques metres qui la séparent de la maison ou elle pourrait enfin se poser quelques heures, après avoir déposé la petite Isabelle, avant d'aller faire un tour en taverne.
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Mon chez moi

Bertal passait pas la complètement pas hasard, mais s'y trouva quand même. Avisant un messire dont le profil ne lui était pas inconnu, il s'approcha des voyageurs.

Anggel ! Quel plaisir ! Tu as fait bon voyage ?
Je ne pas trop le temps de discuter, mais si tu cherche un endroit sympathique où dormir, je te conseille la nouvelle auberge de Kali !
Tu n'as qu'à suivre les multiples affiches, elle a ouvert ses portes hier.

Sur ce, bon séjour à La Trémouille, et au plaisir de vous croiser devant une chope !

Ayant lâché ses mots, le Bertal s'en alla tout de go.

Gers et ses compagnons arrivèrent aux portes de la ville.
Heureux d'arriver.........enfin.....

Enfin nous arrivons a La Tremouille........et ben c'est pas trop tot....
J'espere voir les autres en taverne....d'ailleur lieutenant, les connaissant ils doivent etre en taverne je vais aller y jetter un coup d'oeil ...

C'est donc vers les Taverne de La Tremouille que Gers allait.
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Anggel entendit une voie familière derrière lui, il se retourna et vit son ami bertal !!


Bonjour bertal ! oui je vais très bien je te remercie nous avons fait bonne route jusque ici !!
Alors comme ça kali et azais on ouvert une auberge ! Mais c'est extra ça , je pense que l'on va y passer faire un ptit coucou !!, mais l'on ne va pas pouvoir y dormir , car nous campons avec la 1ere légion aux portes de la ville ,!
Et toi comment va tu ? Cela fait un moment que je ne t'ai pas vu !!

Anggel lui présente sa compagne !!

Bertal je te présente rebellllle ma compagne !!

Sur ces mots anggel et rebellllle prirent la direction des tavernes et appercurent dame sandy qui courait dans leurs direction !!

Anggel pensa !!

Ah SANDY jamais la derniere quand on parle des taverne !!^^
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Un peu tard dans la matinée, on pouvait entendre le fer des sabots d'un étalon monté par une donzelle avec son précieux contre elle dans une écharpe de portage,. Son visage cachait sous son capuchon se faisait froid et loin d'être av'nant. Elle avait ruminée tout l'long d'la route et malgré les deux jours qui avait passé la chieuse ne s'était pas apaisé et la sagesse ne l'avait pas envahit même si elle avait passée plus ou moins une bonne soirée a Poitiers en compagnie d'Daien, Sandy et Sagaiii, un homme qu'elle n'avait pas r'vue depuis bel lurette..

Et puis la veille aussi de celle ci quand elle était partie de Thouars avec un léger sentiment de culpabilité par le mal que certains s'était donnée a la faire canaliser mais en vain elle s'en alla tout d'même malgré la compagnie d'une gamine qu'elle avait trouvée farouch'ment mignonne, une jeune femme l'cœur en peine d'avoir perdu une moitié d'elle et qui avait su toucher la chieuse... puis un homme.. un homme avec qui la tension était a son comble ent' la chieuse et l'libertin, railleries, taquin'ries, provocation était d'la partie.. duel qui paraissait étrange au yeux des autres mais qu'était amusant et étrang'ment attirant par les deux personnages en question d'puis leurs rencontres. Chien et chat!
Il parlait d'chasse et elle d'proie.. Étrange souv'nir du passé laissant la donzelle r'tourner en arrière pensant à l'époque où le chiant et elle tenaient se même genre de discours et s'tournaient autour ainsi. Ce fameux jeu du chat et d'la souris. J't'aime moi non plus!

Et si c'la était a nouveaux entrain d'se r'produire? Non impossible.. elle testait une fois d'plus ses limites mais elle pouvait pas mentir a son cœur car il en voyait qu'par un.. La chieuse avait chassée alors cette pensée d'son esprit pour en rev'nir au pourquoi d'son depart si précipité de Thouars en direction de La Trémouille sans même avoir eu une discutions ni d'mendait d'explications a Chuichian. Se vengeait-il pour la faire souffrir a son tour? Dire qu'elle s'voilait la face.. et il était hors d'questions s'avouer atteint sentimental'ment, il aurait fallut la dépecer a vif pour qu'elle s'arrache l'gosier a l'dire.

D'abord un doute... des ont dit.. des propos qui laisse à la confusion.. puis une lettre pour confirmer l'tout..
Elle avait du mal a digérer la chose, ayant l'impression de s'être fait bien bernée gardant un gout d'amertume, lui, qu'elle pensait différent d'elle.. final'ment ça dev'nait un jeu qui n'l'amusait plus car désormais elle comprenait plus rien a leurs histoire et n'voyait pas où ça les mén'raient mais surtout.. elle n'contrôlait plus ses sentiments. C'est donc complét'ment paumée dans sa tête d'sauvage et r'montée qu'elle pénétra dans l'enceinte d'La Trémouille sans saluer personnes l'regard aux aguets a la recherche d'son gibier qu'elle était v'nue chasser .
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=> Atelier Lysandart

La jeune Malone, à la descente de la voiture, réceptionna le pigeon destiné à sa soeur.
Il était déjà difficile à la jeune fille de 12 ans de s'occuper de sa petite soeur le temps du voyage, mais hélas pas d'autre choix... Elliandra étant morte récemment, elle laissait sa fille aînée se dépatouiller avec les affaires courantes. Et la chose n'était pas simple.
Meileen du haut de ses 13 mois pesait lourd sur son bras, Meis la petite marchait encore trop mal pour qu'on espère avancer avec elle à terre.
Elle lut donc le parchemin destiné à sa soeur d'une main, et d'un oeil peu concentrés ... avant de se concentrer bien plus au vu de ce qu'elle lisait !

Eh bien ma petite soeur ... tu nous en fais des histoires, sans le vouloir ! Tu es née ici sur tes terres, et on te déclare que tu n'aurais pas le droit de revenir !

Soupir de la toute jeune fille, qui découvrait les traces noires dans le coeur des hommes, en voulant protéger sa jeune soeur.

Ce qui est "bizarre", c'est que moi on ne me demande rien ... et toi tu es la seule fille légitime de Maman, voudrait-on ta place à la Seigneurie de Millac, ma petite Dame ?
Ne t'en fais pas ma puce, on rentre à Proisy chez Jehan, lui saura nous aider !

Reprenant la petite à 2 mains, elle virevolta quelques tours avec elle, pour la faire rire un peu.

Et ce qui est génial avec toi, c'est que tout ça ne t'atteint pas ! T'es trop forte ma Meileen ![/quote]
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14 ans.

Mordom sourit, ils étaient de retour. Après un beau voyage de trois mois et demi en compagnie de Clothilde tout d'abord, puis de sa nièce qu'ils avaient trouvé a Mortagne. Il revenait, la tête chargé de beaux souvenirs, de rencontre et de délicieux moments passés en compagnie de son ange. Il y avait aussi Anathé, la jolie jeune fille qui avait décider de les suivre jusqu'à La Trémouille, sa nièce adorés dont il était fier et qu'il avait hâte de revoir...
Il repensa aussi a tous ses amis qu'il reverrait bientôt, autour d'un verre... ou plutôt autours d'une quinzaine .

Les brumes matinales se faisaient encore présentes mais le soleil laissait transparaitre quelques rayons a travers ce mince rideau opaque. Chronos aussi les avaient accompagné tout au long de ce voyage et il était fier d'avoir un cheval comme lui. Quand a Clothilde, elle dormait contre le dos de Mordom, l'emprisonnant de ses bras. Restait les deux compagnons qu'ils avaient trouvé a La Rochelle et dont le cheval trottait a coté du premier, ils étaient resté silencieux des le moment ou Clothilde s'était endormit, ce qui était normal après tout car la jeune femme était connue pour aptitude a combler toutes les conversations et ne jamais s'essouffler une seule seconde, alors maintenant qu'elle dormait mieux valait de pas la réveiller...
Il lui arrivait de se moquer un peu d'elle, mais il réalisait chaque jour la chance qu'il avait de l'avoir a ses coté, c'était une femme merveilleuse et pour rien au monde il se séparerait d'elle... enfin si, il y avait les capitales mais bon, c'était temporaire dans ces cas la .

Lorsqu'ils franchirent les portes de sa ville natale, il remercia Doudounnette de Milou de les avoir accompagné et les laissa vaquer a leurs occupations. Puis il réveilla doucement son ange après l'avoir contempler quelques minutes, elle était si belle...

Mon coeur, il faut se réveiller maintenant, nous sommes de retour a LT .

...
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Mordom fut emplis de bonheur a cette demande de son ange, après tout ce qu'il avait partagé pendant ce long et beau voyage, elle lui demandait une chose qui comptait beaucoup pour lui et il lui tendit un grand sourire.

Ça serait avec grand plaisir ma chérie, tu ne sais pas a quelle point cette demande me rend heureux .

Et lui donna un très long baiser et passa son bras autour de la taille de sa belle et l'entraîna jusqu'à chez lui, espérant que la chance continuerait d'être de son coté.

Tu verra c'est a quelques maisons d'ici donc tu ne sera pas trop dépaysé mon coeur, a moins que tu ne veuilles qu'on s'installe autre part ?
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Kali jeta un dernier regard à sa marraine venue l'accompagner jusqu'aux portes du village, par cette belle nuit d'été. Elle la prit dans ses bras pour lui dire au revoir.

Tu salueras bien tout le monde de ma part ... et on vous donnera régulièrement des nouvelles, promis. Allez, on se revoit dans un petit mois je pense.

Elle la bisouilla une dernière fois, puis prit la main que Bertal lui tendait, et sortit de LT à ses côtés.

Le village et ses amis allaient lui manquer...

Les derniers preparatifs du depart avancaient doucement
J'attela Belle De Nuit,une jument d'un noir brillant

Chocolat et myrtylle, les furets,dans la besace

Assise sur belle De Nuit,la tete tournée vers La Tremouille, les yeux dans le vide,les larmes aux bords des yeux
Je fesais une priere pour tout ceux qui m avaient acceuilli ici comme une amie comme une soeur
A Clochette(avec qui j ai eu une broutille excuse moi encore)a sandy a Ally, ,Clovis,Wolfy,Clothile et j en oublie certainement excusez moi
et surtout a mon cesar repose en paix

Je revenait a la realité quand Milou posa sa main sur mon epaule et me murmura a son oreille
si tu veux on reste encore un peu?
je me retourne vers lui eet fit un grand sourire

non!non! on n y vas
je cria YAAAAAAAAAAAAAAAA a Belle De Nuit
Elle se mit en route doucement nous laissant d'admirer encore un moment LT avec ses tavernes allumées.
Les routes de l aventures du bonheur et de l inconnu sont devant nous
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Au loin...les portes de LT,Chiquette avait passé la nuit à regarder Era ,qui avait posé sa tête sur ses genoux,à dormir ,pas réussi à fermer les yeux ,trop angoissée sans doute car sa soeur lui avait dit qu'LT etait déserté et surtout parce qu'elle devait y voir une personne chère à ses yeux pour la dernière fois,une toute dernière fois...
La charette s'arrêta face aux portes fermées de Lt,personne pour les ouvrir,Chichi souleva la tête d'Era , la posa délicatement sur sa besace sans le réveiller et alla ouvrir les portes elle même

HE HO!!! y'a personne??

Les portes ouvertes elle regarda vite fait les alentours...pas un chien errant ,aucun bruit ...le calme tel une île déserte

eh bah!!c'est gai ici

Chichi remonta dans la charette et fit avancer les chevaux ,elle jeta un coup d'oeil sur Era qui dormait toujours

Bon...on va aller boire un coup ,y aura surement plus de monde en taverne que dans les rues!!

Era dormait à poings fermés,même le mot "boire un coup"ne le fit pas bouger d'un poil

Bon,ben tant pis j'y vais toute seule...

elle fit arrêter les chevaux à la première taverne

HOOOOO...terminus

Danann avait rencontré son petit protégé dans une taverne à Narbonne, le petit Geoffrey de Proisy, fils du comte du Poitou. Après discussion avec le jeune homme, elle comprit qu’il désirait aller retrouver sa famille à la Tremouille. La jeune femme, qui était escorteur pour les Anges Protecteurs de Murat, avait donc offert au petit de le reconduire chez lui.

Après quelques problèmes qui retardèrent le départ, Dan prit donc la route avec Geoffrey vers Le Poitou. La jeune femme avait du faire une petite halte à Mendes, puis quelques heures à Murat, le temps de vendre récoltes et prendre sa cousine Erycka qui était sa coéquipière, et les trois reprirent route. Ils avaient eu de la chance de ne pas rencontrer aucuns brigands, ni à avoir à faire avec les problèmes du Limousins. L’aube se levait et la troupe arriva aux portes de La Tremouille.

Danann avait laissé son fils à sa cousine et avait laissé Geoffrey monter devant elle sur sa jument. La jeune escorteuse serait son protégé contre elle comme il dormait encore. Puis elle lui murmura

Geoffrey… mon loup… nous sommes arrivé à la maison…

Dan afficha un large sourire, déposant un petit baiser sur la tête du garçon qui était bien emmitouflé sous sa cape. Elle était heureuse d’avoir pu le ramener chez lui, sachant très bien que ses parents devaient avoir hâte de le revoir. Nyx les conduit près d’un garde puis Danann se présenta

Bonjour, je suis Danann de Nullepart, Anges Protecteurs de Murat, j’escorte le jeune de Proisy, fils de votre comte.

Elle attendait une réponse pour qu’elle et sa cousine puissent franchir les portes.
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Danann posa son regard turquoise d’abord sur l’homme qui dormait, se disant du même coup que le village de La Tremouille n’était peut-être pas aussi bien gardé qu’elle le croyait. Puis la jeune femme leva le regard sur l’homme qui se présenta devant elle, retenant sa monture d’avancer avant l’autorisation soit donné par le garde. Elle remarqua alors, son expression lorsqu’elle se nomma, le visage de la jeune femme se refroidit un peu, l’escorteuse n’était pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Et ben… il se ravise en nommant le nom du comte, que s’est marrant tout à coup…

Merci monsieur le garde … Erycka, aller ma belle, la famille attend le petit...

Elle regarda sa cousine et lui fit signe par un clin d’œil d’avancer, gardant le petit de Proisy contre elle pour ne pas qu’il tombe.
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Veiller toujours veiller... Ohh.. un cavalier..

le garde regarda le LP valide et laissa rentrer le cavalier

De loin elle voit arriver ce matin, un carosse, reconnaissable entre tous, puisque portant les armoiries du Comte.

Trop loin pour arriver à sa hauteur quand il passe les portes de la ville, elle le voit continuer sa course dans les ruelles désertes de ce matin.

Ainsi hélas, les rumeurs entendues de la bouche de voyageurs disent vrai ...

Une sourde inquiétude au ventre, elle se dépèche de suivre le même chemin que lui, se fiant au nuage de poussière qu'il laisse derrière lui.

Son inquiétude est à son comble quand elle le rejoint ... devant la maison de Bertal et Kali ...
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Mon chez moi

Sandy marchant derrière son tendre, prenant son temps, regardant les fleurs et la nature qui l'entourait. Elle repensait au petit jumeaux qui étaient partis... Toujours aussi rêvasseuse, elle entendit:

"Tout va bien ma belle?..Enfin, on est de retour..."

Tu parles! Enfin arriver... Allons retrouver nos boulasses
Elle déposa alors un doux baiser sur la joue de Daien pendant que celui-ci riait, et reprit la route vers le village...
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Je me présente Renardo du village de Rochechouart les amis m'appel Rény nous rentrons chez nous avec ma compagne Onyx. Recherchons compagnie pour LImoges passons un jour ou deux a La Tremouille . Merçi de me contacter par pigeon ou en taverne .

Rény
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Nulle défaite quand on se bat avec honneur !

Isis arrva ce matin en ce nouveau village, épuisée après avoir
été rackettée au détour de la forêt et décida de se présenter au bureau
des nouveaux arrivants.


Bonjour, je suis Isis, de Poitiers, de passage dans votre charmant village ![

L'Infinie Grandeur était aussi arrivé à La Trémouille depuis la veille, venant du chemin de Poitiers et toujours sur son cheval.
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Inlassablement les membres du GIR chevauchaient derrière le commandant de leur légion afin de sécuriser les chemins du Poitou.
C'est à La Trémouille qu'ils déperonnent, las, poussiéreux et satisfait de poser pour quelques jours le pieds à terre.
Les légionnaires saluèrent le comte et leurs frères d’armes, croisés la nuit précédente.
Féodorowka les imita, salua solennellement mais ne s'arreta pas en si bon chemin, car le camp était à dresser avant les réjouissances.

Avec l'aide des robustes Gerscorp, Anggel, Rebellllle...... Féo traina l'équipement près d'une clairière.
Montèrent les tentes de chacuns, l'armurerie de fortune et un semblant de cuisine!

Féodorowka prit possession de son logement, se débarassa de ses armes puis une fois débarbouillée, enfila une tenue moins militaire et cria à ses amis.
ON Y VA???
Tavernes , nous voilàààà ^^
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Le GIR arriva aux portes de la ville de LT, derrière Leur Commandant, les légionnaires du GIR passèrent sous les portes, croisant au passage l'armée du comte. Gers baissa la tête pour saluer le comte et ses frère d'arme puis continua sa route en direction d'une clairière.
Maintenant il fallait monter le campement, Gers alla a la rencontre de Feo pour lui donner un coup de main. C'est donc avec son aide celle d'anggel et celle de rebelle que Feo monta le campement. C'était une belle journée, une douce brise venait rafraichir leur visage rouge de chaleur.

Gers alla se nettoyer le visage recouvert de poussière, et ôta son armure, son épée et enfila une paire de braies et un foulard sur la tete. Il remit son épée a sa ceinture sorti de sa tente et alla en direction des tavernes de la villes avec ses compagnons et sa bien aimée.
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le Lieutenant la fée arriva dans le village.....un homme l'accompagnait....un bel équipage.... débarquait à la Trémouille.....Bello et la Fée....
Comme ils se dirigeaient vers le village elle remarqua le campement du GIR et se promit de passer leur dire bonjour..mais pour l'heure...il était temps de trouver une auberge ou ils pourraient se restaurer et se reposer!!!
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Lieutenant de la 4ième Légion de Thouars - Membre du GIR - Médaille militaire - Un seul nom est gravé sur son épée...Bello.

Après avoir passé quelques jours à La Trémouille, Alaynia rassembla ses affaires et les déposa à la taverne municipal pour une dernière conversation avec monsieur le maire.

Elle avait fait de drôle de rencontres ici, un vagabond se prenant pour le futur roi du royaume, un yéti ....une dame avec un humour inexistant...

Heureusement qu'il y eu de bonnes rencontres tout de même : un écossais, un tavernier, un calimero, un survivant, un maire, une capitaine et ses sous-fifres...

Enfin , il fallait poursuivre le voyage, il ne faisait que commencer.
Elle devait aller rejoindre ses amis et découvrir le monde.
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Mimill était arrivée au petit matin à Lt sur sa jument accompagné de sa louve. Arrivé au porte de la ville elle descendit de sa monture et resta plantée là un moment se rappelant certaines choses passées aussi bonnes que mauvaises. Sa louve passa son museau sur sa main pour la sortir de sa torpeur.

Elle la regarda et sourit.

- Bon ben il y a plus qu'à y aller en espérant que je suis pas là pour rien, on verra bien.

Mimill attrapa les reines de son cheval et entra dans la ville.

Stardust senechal de la legion poitevine arriva avec ous ses hommes.
Aucun brigand sur les routes il s arreta devant les portes de la ville.
Bonjour ami tremouillois nous sommes la pour securiser le poitou mais hommes on soif j espere qu il seront acceuilli comme il se doit.
Il se tourna ver ses soldats.
Allez vous pouvez allez boire un coup et soyer sage surtout...
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VOTEZ GOOGLE!!!!!!!!!

Voilà, les portes de la ville franchies, revoir les amis, revoir les ruelles, revoir..., les souvenirs ressurgissent, on lui demanderait des explications, on lui donnerait des conseils, et tout celà partirait d'une bonne intention. Mais il fallait qu'il en passe par là, il avait des choses à régler, pourvu que ses champs se vendent vite, et pourvu qu'il ne croise pas certaines personnes.
Les chevaux, oui, s'occuper de la carriole

D'accord, comptez sur moi, oui à tout à l'heure en taverne
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C'était limite si elle en croyait ses yeux. Là devant elle, les portes d'un village.

Amelianne marchait lentement, les articulations la tiraillant un peu, la charge sur ses épaules lui pesant. Il était temps d'arriver. Un caillou sur le chemin la fit trébucher, et elle manqua de s'étaler de tout son long. Évitant la chute de justesse, elle ne put retenir un juron.

Mèrda, si j'attrape le maudit mourmé qui laisse la caillasse dépasser j'y grogne, y va m'entendre le crier c'matafan !

Cette agitation soudaine ne manqua pas de réveiller la petite fille qui dormait sur les épaules de la vieille femme au pas incertain.

En franchissant les portes, Gengis se retourna, regarda la ville presqu'endormie. Il y laissait des amis, il y laissait son coeur, emportait les regrets et un médaillon. Un dernier soupir, une dernière respiration, puis il regarda devant lui, vers son futur, il n'en avait pas vraiment décidé, les choses s'étaient passées, l'une après l'autre, suivant une main féérique qui le guidait.
Maintenant, il s'accrochait à cela, peut-être que son destin était là-bas, finalement, Thouars, la légion, il fallait essayer.
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Il attendait sur les remparts, et attendrait toute la nuit s’il le fallait…
Il connaît ces remparts pour les avoir défendus, pour y avoir discuté avec des amis, pour y avoir eu des angoisses de voir l’ennemi arriver, des joies de le voir reculer etc.

S’il était là c’est parce qu’elle lui avait écrit, « je pars ce soir… »

Il guettait donc une blonde chevelure surmontant une robe rouge sang.

Non qu’il veuille lui parler, elle n’en avait sans doute pas envie. Et puis elle songeait que s’il lui parlait il arriverait à la convaincre de renoncer.
Une fois de plus elle se trompait sur lui alors qu’elle aurait du le connaître. Il ne ferait rien pas un geste pas un mot en ce sens.
Ils avaient passé un accord, elle devait lui donner sa réponse à la fin de son mandat. Quand ils s’étaient revus rien ne laissait présager le départ.

Il entrevoyait même une vie reprenant son cours, ses joies, ses fous rires.

Mais hier ce maudit pigeon avait apporté la nouvelle et il pouvait la citer de tête « …Ce soir, je pars. J'ai 30 écus dans mes poches et quelques réserves de nourriture. Avec ça, je m'en vais découvrir des nouvelles choses, un nouveau monde car, je dois te l'avouer, je n'en peux plus du tien… »

Son monde, son monde ! C’était le monde de tout un chacun, des gens essayant de vivre tout simplement. Il est vrai qu’elle avait les plus grandes peines à l’intégrer ce monde. En fait il se rendait compte que son investissement pour ses semblables n’avait pas déclenché chez elle ce même élan. Elle le voulait pour elle toute seule, il se voulait pour la multitude oubliant sa personne…

Il chassa ses pensées négatives il serait temps un jour, peut-être, de faire le bilan des torts de l’un ou de l’autre. Comme en toute choses en amour il fallait être deux…et il demeurtait seul.

Seul, cheveux au vent, scrutant chaque visage qui sort de La Trémouille espérant revoir ne serait-ce qu’une fois la blondeur des blés de sa chevelure, l’azur de son regard, l’albâtre de son teint, la fraicheur de ses lèvres cachant un collier de perles…

Il regarderait d’ici, sans rien dire sans un geste puis quand elle ne serait plus qu’un point sur l’horizon il tournerait, à tout jamais cette page de sa vie.

Même si elle disait dans son message « Ce n’est qu’un au revoir » pour lui c’était un adieu…

Non pas que son amour pour elle ait diminué de quelconque façon, il lui suffisait de ressentir la réaction de son cœur dès qu’une blonde chevelure apparaissait dans la lumière du soleil couchant.

Non, soit qu’elle l’ait fait exprès, soit qu’elle ne s’en soit pas rendu compte une chose s’était brisée dans le cœur de l’homme et cela quoi qu’elle fasse demeurerait, à tout jamais, une barrière entre eux.

Elle partait lui laissant le soin de s’occuper de leur benjamine à peine sevrée du sein de sa mère…

Elle partait sans se préoccuper de leurs jumeaux dont un était on ne sait où et l’autre clouée au lit par de mauvaises blessures en une ville étrangère…

Il avait la charge de leur progéniture et y ferait face. Son souci naturel des autres se tournait à présent vers les siens. Sans doute sur ce point avait elle eu raison de prendre cette décision. Le fait qu’elle le quitte « lui », il l’avait envisagé maintes et maintes fois sentant bien qu’il ne lui apportait sans doute pas toujours ce qu’elle attendait de lui. La négligeant parfois il devait le reconnaître. Mais qu’elle abandonne la benjamine ça il ne pouvait le comprendre ni l’admettre.

C’est pour cela qu’il était là, sur ce rempart, pour la voir une dernière fois car il savait que plus jamais il ne pourrait y avoir entre eux la moindre complicité. Il s’était battu pour elle, allant jusqu’à braver famille et vieilles superstitions, mais il n’avait pas su la rendre heureuse et elle le fuyait lui et leurs enfants. Il fermerait donc la porte sur leurs amours mortes et espérerait que le temps amoindrisse la douleur de son cœur…

Il continua de scruter les passants un à un…
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ThierryVlad avait oublié.

Il avait oublié que ces longues chevauchées bucoliques aux portes de l'aurore, fendant la bise sur une fière monture au milieux des brumes du petits matins, ca faisait infiniment mal au postérieur... Et ces foutus gants autour de ces doigts crispées sur les rênes n'arretaient en rien le frimas porté par la rosé.

Bon sang, comment avait il pu vivre ainsi pendant des années ?!

Il y avait un très étrange contraste entre ses bras que le froid mordait et la douce chaleur que la baronne d'Apremont irradiait dans son dos. C'était très agréable... et un tantinet troublant.

C'etait par l'Est qu'il était arrivé il y a des années, quand il avait décidé de s'installer dans la ville poitevine qu'il connaissait le moins, pour se rapprocher de son amie Magoo. La jeune Lieutenant de Police l'avait approché timidement...Les yeux bleus hésitant sous l'épaisse crinière brune... LA discussion avait durée jusqu'à l'aube... la même lumière diaphane que celle qui naissait à l'est, droit devant eux. Thierryvlad découvrait Letilet. Et du même coup son fiancé. Le mariage devait avoir lieu quelques jours après.

Depuis lors, il y avait eu les guerres, les conseils, les annoblissements, les chasses aux brigands, et toujours plus de discussions nocturnes... Et puis le veuvage...et même pour ThierryVlad une paternité inopinée...

Mais jamais il n'y avait eu une telle promiscuité physique entre eux. Et, bon sang, il ne parvenait pas à comprendre pourquoi ca le perturbait autant. C'était comme si ...

D'une prise de conscience brutale, le seigneur des mottes arrêta son cheval comme il figea sa pensée. Un tantinet ahuri, le regard dans le vague....

Il se retourna lentement, l'oeil vague, la bouche entrouverte :

"Gné ? UN quoi ?... Non ! Non .... Enfin, non, je ne crois pas" se reprit -il.

Il fixait ses yeux clairs et interrogateurs.

"Je... Heu... suis très ému... toujours tres ému par ce bleu d'aurore... ce ciel bleu d'aurore au dessus des remparts de la Tremouille !"
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"Decidement quand ce n'est pas un homme, c'est un fantôme qui est entre eux..."songea t'il

De rien. Je suis à ton service Baronne !

JE repartirais demain pour Poitiers. Je viendrais te chercher dès que tu en donneras l'ordre.

Et je ne pense pas qu'il soit utile de changer de monture pour le peu de trajet qu'il reste. Avançons : je suis pressé d'arrivé en ton Hotel me sustenter et me rechauffer !
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Ce fut une journée chaude et réconfortante.
Passée en palabres et en bons verres de vin. En évocation de souvenirs et en confidences.

Il n'y avait jamais vraiment besoin de beaucoup de mots entre Letilet et ThierryVlad. Il suffisait souvent d'évoquer pour que la complicité fasse le reste. Une sorte de solitude complice s'installer quand ils etaient ensembles... C'était fort intriguant.

ThierryVlad pensait à tout cela en chevauchant vers Poitiers. A celà et aussi aux préoccupations que la Baronne lui avait confiés.

A l'ouest, un soleil eclatant que de lourds nuages noirs allaient bientot menacer.
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Le motif officiel du retour du seigneur des Mottes à La Trénouille n'avait rien de réjouissant. Pourtant, c'est avec impatience qu'il chevauchait vers le Sud Ouest.

Sa monture s'épuisait à maintenir le galop imposé par son cavalier, mais ThierryVlad, lui ne ressentait pas le franchissement des lieux, des ruisseaux, des forets.

SA mission, il allait l'accomplir par sens du devoir, sans foi, sans joie, mais il sentait pourtant l'enthousiasme le pousser vers les remparts de la ville qu'il avait déjà servi.

Les regards courroucé de certains Tremouillois le laissèrent indifférent, les rues portant des noms de traitres ou de tartuffe, il ne les vit pas. Il s'approchait d'elle, et cela effaçait tout. L'ivresse de sa douceur, la ouate de la sérénité qui toujours s'installait entre eux, le faisait avancer dans les rues avec l'obsession d'un alcoolique avançant la main vers une choppe.
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Enfin la sœurette ramenée à bon port, ou presque, elle continuerait seule jusqu'à Poitiers avec son petiot. Arrêt dans la ville de La Trémouille pour la vagabonde au terme d'un voyage peu enrichissant (voyage en famille, et une certaine retenue devant le neveu, tout de même...) mais reposant.

M'enfin, sa soeur était de retour dans les temps dans le Poitou, la cadette des Kennoch'Ha pense à se poser quelques temps, tant qu'on la laisse tranquille...

Hum...un courrier de bienvenue, elle lit les grandes lignes, rapidement. Un jour d'ennui profond, elle s'est promise de lire tous ces courriers, souvenirs de voyage et de pérégrinations plus ou moins réfléchies, plus ou moins censées, plus ou moins honnêtes.

Jour de grande fatigue, la Kennoc' trouve au fond de son sac un gilet et un foulard, voilà qui la couvrerait pour la nuit. Une nuit à la belle étoile, sur cette colline surplombant la ville...

Demain, serait une journée plus agitée: à mal lire un courrier de bienvenue, on s'expose aux tracas et les incohérences de l'administration poitevine...
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Cela devait faire 1 mois qu'elle avait franchi les portes de la ville pour entrer à Lt et aujourd'hui elle avait pris une décision importante celle de repartir.
Elle s'avait bien qu'Ally et le reste des filles allaient la maudire en partant ainsi mais aller savoir ce qui peut se passer dans la tête d'une brune ...
Mimill se rappelait la raison qui l'avait pousser à partir la première fois et c'était pour la même raison qu'elle partait encore une fois.

Elle jeta un oeil derrière elle et murmura :- Désolé les filles ... Puis elle se mit en scelle et se mit en route en sifflant sa louve qui partit loin devant elle comme pour lui guider le chemin ...

D'habitude, une mairie qui tombe, elle en souriait la sauvageonne, pas par pure méchanceté, mais cela créait du mouvement, de l'agitation dans les campagnes trop calmes. Et finalement souvent ressoudait des villageois cloitrés dans leurs maisons ou leurs quartiers, les rassemblait autour d'un objectif commun.

Sauf que là, c'était Poitiers, et sa jumelle s'y trouvait. Pas drôle...Maudire les liens de son sang c'était une chose, sa soeur c'en était une autre...

Connaissant un poil certaines parties impliquées et connaissant le passé militaire de sa soeur en Poitiers, pourvu qu'elle ne fasse pas la brave...

Il y avait peu de risques mais elle préférait en avoir le coeur net. Et puis une semaine en ville, elle commençait à étouffer. Quelques affaires au marché, et la vagabonde remet sa capuche, en route vers la capitale déchue du Poitou, au pas de course.
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Il y a des habitudes qui ont du mal à se perdre, aussi certains matins Ally se lève encore avant le chant du coq et sort après un baiser à son Amour, pour aller faire un tour.

L’agitation de ces derniers jours dans le Poitou, les bruits, les rumeurs, les accusations en tout genre … tout cela joue sur son sommeil.

Le silence du petit matin la calme. Elle marche presque sans but dans les ruelles et ses pas la mènent naturellement aux abords du village, vers les portes.

Souvenirs du temps ou elle passait ses nuits à faire des rondes sur les remparts certainement, mais pas de nostalgie, il est loin derrière elle le temps ou elle regrettait, elle préfère et de loin, les soirées passées dans les bras de son Ange.

Toujours est-il que de temps en temps, comme aujourd’hui, elle y retourne quand même encore … sans s’en approcher de trop près, regardant juste de loin les allées et venues des Trémouillois et autres visiteurs de passage.

Un groupe se profile, contrôlé par les gardes en service, quelques âmes en peine se dirigent vers les champs encore recouvert de rosée matinale. Son regard se détourne quand, quelque chose dans l’attitude, dans la démarche de la jeune fille qui passe la porte, attire son attention.

Une sensation de déjà vu, une impression de la connaitre …

Bien trop tôt pour se poser des questions et puis il est déjà l’heure pour elle de regagner ses bureaux pour retrouver ses occupations.

Malgré tout, l’image de la jeune fille ne quittera pas ses pensées de la journée … elle en est sûre, elle la connait.

Ce soir, elle ira peut être à la recherche de la voyageuse pour en avoir le cœur net…
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Mon chez moi

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Marie Odile des Eaux Claires de Lugdunum
Épouse de Princepatrick et maman de Brocéliande.
Notre Caravane

La chevauchée avait été longue pour Vrook, partir de Murat, rejoindre Alay' à Venta et direction LT. Il avait hâte d'être arriver puisque la dernière escorte avait été longue et qu'il était pressé de se reposer enfin. Une fois les portes en vues il eut un soulagement. Il allait enfin pouvoir relaxé.

Quand les deux voyageurs arrivèrent ou porte et qu'il souvrit, Alay' lui dit

Bienvenu à LT mon ami ...

et il lui répondit:

Merci beaucoup, moi je vais me trouver une place ou je peu me reposer.

Puis il parti avec son cheval vers l'auberge la plus proche.

Leello avait marché une bonne partie de la nuit depuis Poitiers avec son amie avant d’apercevoir enfin les remparts de La Trémouille.
Tant de questions s’étaient imposées à elle et avait tant de fois encombré son esprit, qu’elle avait bien faillit par faire demi tour. Mais sans trop savoir pourquoi, elle n’avait pas cédé et elle était bien là. Après dix jours de marche sans une seule pause, elle qui était si peu sortie de son duché jusque là.

Quelle était cette force qui l’avait fait venir jusqu’ici ?

Elle avait oublié d’écouter la raison, son cœur battait bien trop fort pour cela et ne pensait qu’à une seule chose retrouver son étoile. Celle qui l’avait guidée, rassurée et protégée tout au long de ce voyage.

Dans le silence de la nuit elle s’arrêta un instant quand elle vit à la lueur de la lune la grande porte de la ville. Elle prit une inspiration pour se donner du courage, et regarda son amie qui comprit sans difficulté les hésitations de la jeune femme.

Pas un mot ne sortait de sa bouche, et elle décida d’avancer, un léger sourire s’affichait sur son visage à l’idée de le retrouver enfin. Serait-t-il là pour l’accueillir ? Elle en rêvait secrètement, mais n’osait l’espérer.

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La nuit s’avançait et, grâce en soit rendue à Aristote, la lune l’éclairait. Le regard de Jehan flottait sur les landes environnante jusqu’à ces brumes qui se levaient du marais et envahiraient, la ville plus tard dans la nuit à l’approche de l’aurore.

Une brise légère faisait flotter quelques mèches de cheveux du Vicomte qui y faisait face espérant que cette dernière lui apporte un murmure ou un signe.

Il maudissait le deuil qui l’obligeait à modérer ses ardeurs et son coté démonstratif… Cependant il avait assez d’honneur pour respecter l’esprit de celle qui fut la mère de ses enfants. Question de valeurs morales et non de suffisance comme parfois certains pourraient être tentés de le croire.

Plus les heures avançaient plus son cœur battait amplement et brassait sa vie largement.

Deux silhouettes vinrent s’inscrire sur la rétine de ses yeux.

Encapuchonnées comme elles l’étaient il était difficile de savoir à qui ont avait à faire… des moines ? des vagabonds ? Toutefois sa respiration s’accéléra, son cœur fit une embardée, son corps se tendit. Tout cela en dépit des appels au calme lancés par son esprit.

Au fur et à mesure que les voyageurs progressaient vers les remparts leurs contours devenaient certes plus précis mais pas plus identifiables. Le premier, assez grand, taillé assez massivement à ce qu’il semblait marchait en s’aidant d’un bâton comme ceux qu’affectionnent les pèlerins ou grands voyageurs.

Ce bâton est, en général, fabriqué en deux parties : Il y a le pommeau (la poignée) qui se distingue par deux petites boules en bois situées à chaque extrémité de la poignée : l'une sur laquelle l’utilisateur positionne sa main lorsqu'il marche, l'autre pour bénéficier d'un meilleur appui lorsqu'il veut se poser. Certains en possèdent une troisième, entre les deux autres, scindant ainsi le pommeau en deux parties. La seconde partie, le fût - le bâton proprement dit - est équipé, à son extrémité la plus basse, d'une petite pointe en acier.
Fabriqué dans le plus pur respect des traditions ancestrales, les bois choisis sont le chêne, le buis, le frêne, ou encore l'olivier. Ces bois nobles, coupés en morte sève et pleine lune, sont séchés trois ans à l'ombre d'une remise, puis tournés à la main par l'artiste. L'objet achevé, il est nourri d'huile de lin et poli à la cire d'abeille. Ensuite, le bourdon est ferré en sa base d'un acier forgé et trempé. Pour finir, s’il est destiné à un pèlerin, il portera éventuellement une coquille Saint-Jacques d'argent incrustée et la marque distinctive de celui qui en a passé commande, ses initiales, une lettre, une devise.

Pour en revenir aux voyageurs, l’un porte donc un bourdon et un écu. La forme de la cape ou mantel de l’autre trahissait que, surement plus riche ou plus «guerrier », il portait une épée sur laquelle sa main s’appuyait.

Une famille sans doute, vu la carriole trainée par le couple dans laquelle semblaient dormir des enfantelets.

Donc il ne pouvait s’agir de la Dame de ses pensées celle-ci n’ayant jamais été mère. Son attention se détourna donc du couple attendant les prochains arrivants.

La brise lui apporta un son……Jo…sommes… L’ouïe de Jehan donna l’alerte ! Cette intonation cet accent disait que la voix venait « d’oïl » donc du nord. Pas un accent du Poetou, non et plutôt françois comme le parlent les habitants des terres rattachées au domaine Royal.

Par un prodige insoupçonné pour le commun des mortels s’opéra ce qu’il fallait bien taxer de « magie ». L’esprit du guetteur passa en revue les « voix » qu’il gardait en mémoire et tenta d’en appareiller une à cette bribe de son.

Dans le même temps son regard se fit plus perçant se focalisant sur les voyageurs. Mais nul nouveau n’était en vu. Force lui fut donc de revenir au fameux couple. Se pouvait il que, pour voyager, la belle eut proposé d’escorter une famille ? La chose, aussi incongrue soit-elle, n’aurait étonné qu’à demi notre guetteur. Un Hospitalier ne se doit il d’aider et de protéger son prochain…

Hospitalier ! Un trait de lumière jaillit ! Voyons voir la cape de celui à l’épée…Le couple avançait plus prés des remparts et n’allait plus tarder à entrer dans le halo projeté par la porte gardée dont seule la petite grille était ouverte. La herse, ces temps-ci était tenue close en raison des raids de brigands sévissant depuis qu’une certaine folle avait fomenté des tentatives de rébellion, disait-on, à Poitiers.

Le couple fit une pause. Le porteur d’épée s’arrêta et leva son visage vers les remparts comme pour évaluer les défenses de la ville. Un nuage, termina paresseusement de libérer la lumière de la lune…
Une peau blanche, des mèches brunes, une cape blanche malgré la souillure du voyage mélange de pluie et de terre.

Et puis surtout une petite voix qui bourdonnait dans sa tête à lui !

héhé regarde mieux, penche toi ou alors descend et vas voir ! le message disait demain et nous sommes demain ! Bon tu y vas bougre d’âne ou je dois sonner le tocsin ?

Il y avait des marches menant des remparts à la poterne mais surtout n’allez pas demander au Vicomte combien, ni si quelque’Angevin venait d’y hisser son oriflamme car il fut en bas avant même d’avoir pu terminer de dire « amen » !

Au garde qui rectifia la position en reconnaissant le Commandant des Eperviers, Jehan sourit indiquant du doigt les voyageurs…Garde qui, croyant à une demande d’aide, se porta à la hauteur de Jehan prêt à lui porter aide face aux envahisseurs.

Jehan le stoppa net dans son élan…
Soldat du calme je crois bien que ces voyageurs me sont destinés. Faites lever la herse à mon signal car le Grand Consul des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem honore de sa visite notre ville. Essayons de le recevoir avec honneur…

Ne comprenant qu’à moitié de qui il s’agissait mais bon vu que c’était le Commandant des Eperviers qui le disait cela devait être important, le garde cria…

Qu’on ouvre la herse pour un visiteur de marque !

Grincement et cliquetis de la chaîne se firent alors entendre tandis que, campé sur ses jambes Jehan se tenait dans la lumière la main sur l’épée et l’espoir au cœur.
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Muette mais sincère la prière monta vers le ciel...

Aristote merci!
Jamais je n'oublierai la grâce que tu me fais de m'envoyer un ange...

Et surtout, n'allez pas rire vous autres. Cet homme, habitué à traiter avec les hauts personnages de plusieurs provinces était là comme figé devant la réalisation de son vœux le plus cher.

Juste quelques détails.
Brusquement ses mains étaient moites malgré les gants de fine peau...
Brusquement il avait chaud et transpirait comme en plein août...
Brusquement lui d'habitude prolixe vient muet comme une carpe...

Et pourtant lentement il s'incline, le buste plié sa main droite sur son cœur.

Votre Excellence, je vous souhaite la bienvenue en Poitou. Puisse votre séjour y être des plus agréable...Sa Grandeur Cristof m'a chargé de vous accueillir...

Il ajoute juste pour qu'elle l'entende....

Ma mie si vous ne prenez point mon bras je sens que je vais défaillir, passons ces gardes curieux au garde à vous et entrons en ville que je vous serre dans mes bras...

Un regard vers le second membre du "couple". Arf c'est une femme...regard interrogateur vers Leello pour comprendre. Il voit alors les enfants dans la charrette et se porte vers elle la prenant des mains de la femme et la faisant entrer en ville...
Puis il attend qu'ELLE le rejoigne dans l'ombre propice qui leur tend les bras.
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Sans doute qu'un observateur avisé aurait estimé que le Chancelier recevait de façon plutôt cavalière le Grand Consul.
En effet, à peine celle ci eut elle posé son bras sur le sien qu'il l'entraîna dans l'ombre d'une porte cochère comme s'il voulait lui faire sa bourse...

Fort heureusement il n'en fût rien et à ce moment, lorsque leur lèvres se rejoignirent il fut plus faiut pour le rapprochement du Poitou du reste de la terre entière qu'en cent ans de diplomatie acharnée.

Comme je suis heureux que vous soyez là, je vous ai guettée jour et nuit Leello n'osant croire à votre venue abandonnant votre vie confortable pour venir tenter l'aventure avec moi.

Seule l'éducation et le savoir vivre empêchèrent Jehan d'être plus démonstratif.

Dame Leello, qui est votre compagne de voyage?

Et oui il fallait bien revenir à la réalité hein?
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Alienor venait enfin d'arriver à destination, venu de Thouars jusque ici , elle avait escorter Tété et Thomas, un voyage paisible et sans encombre.
Elle descendis de son cheval et pris une grande bouffée d'air frais. elle sentait la liberté longtemps oublier, elle avait fais le grand ménage dans sa vie et ne comptait pas s'arreter en si bon chemin.
Elle se demandait qui verrait elle en premier parmis les habitant de LT qu'elle connaissait...
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Alie leurs sourit

mais de rien se fut un plaisir n'hésiter pas a me redemander je vous conduirais de nouveau au besoin.

Elle rit et se pencha vers Thomas.

Je viens d'acquérir ma modeste demeure a LT si vous voulez il y a de la place.
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Jo , les enfants et Lee avaient quitté Verneuil depuis dix jours quand enfin elles virent les remparts de La Trémouille. Jo regarda dans la carriole, les enfants dormaient , on aurait dit des anges. Mélo tenait serré contre elle les jumeaux. Comme à chaque fois qu'elle regardait ses enfants son cœur se serrait. Elle espérait que ce voyage lui ferait oublier Rêve.

Elle se retourna et vit à la lueur de la lune le visage de son amie. Il passait par plusieurs expressions , la joie, la peur, l'appréhension, l'inquiétude mais ses yeux étaient brillants depuis qu'elles étaient parties.

Puis elles franchirent, les grilles de la ville. Un homme que Jo ne connaissait pas, appela Lee son excellence, évidemment Jo se retint de rire puis il les conduisit dans un endroit sombre où il se jeta littéralement sur Lee et l'embrassa passionnément.

Jo était restée muette sous la surprise, elle avait l'impression d'être devenue transparente ainsi que le carriole où dormait les enfants.

Elle comprit que cet homme devait être Jehan, Lee lui parlait de lui depuis ….......
Au premier abord, Jo le trouva un peu cavalier, sautait comme cela sur son amie et en sa présence. Mais bon on pardonne aux amoureux.

Puis ils se tournèrent ensemble vers elle.

Jo sourit
Protrectrice roooooooooooo comme tu y vas
Je te surveille juste pour que tu ne fasses pas de bétises!!!!!!!!!
et je protège la marraine de mon fils, je ne voudrais pas qu'il lui arrive quelque chose de mal!!!!!!!
Enchantée de vous connaitre Messire ??????

Force passait les portes de La Trémouille avec un nœud au ventre.
C'est toujours triste de quitter son village natal que ce soit pour voyager ou pour quitter pour toujours ....



Au revoir LT, j'espère. Le temps passe bien vite avec toi.
Il est temps pour moi de remettre un peu mon nez hors de notre comté pour découvrir d'autres horizons et comparer.

A LT que j'aime.
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Ambassadeur limousin. Secrétaire d'Etat à la Couronne.
Commandeur de l'OSE.

C'est par un matin brumeux que Clothilde retrouva son village pas un chat dehors, il faut dire que le temps ne s'y prêtait guère et elle ne s'attendait pas non plus à y voir foule !

Elle se dirigea promptement vers son habitation, elle devait se rendre vite fait au marché afin d'y vendre tous ses sacs de blé entassés depuis pas mal de temps et quelques miches de pain, c'était liquidation totale pour elle... après elle irait à la Mairie pour mettre en vente son champ en croisant les doigts pour qu'il se vende dans les meilleurs délais, mais elle savait que de ce côté là, ben ! fallait pas trop rêver....

Il faudrait qu'elle prenne son mal en patience et puis au lieu d'attendre ici elle n'aurait qu'à repartir là bas, il l'attendait et elle savait qu'elle ne pourrait pas rester longtemps trop loin de ses bras....
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Clo n'ayant pu fermer l'oeil de la nuit se retrouva de bon matin sur les remparts de la ville, emmitouflée dans sa cape,on ne pouvait voir que son regard vert scrutant l'horizon et le bout de son nez rougit par le vent glacial à cette heure, elle faisait les cents pas afin de se réchauffer, elle guettait malgré le froid qui lui piquait les yeux et lui gelait les pieds, cherchant une silhouette bien connue.
Maintenant il faisait jour et il était plus aisé, il faut bien le reconnaître, d'observer parmi les voyageurs qui se dirigeaient vers le village le seul qu'elle attendait impatiemment...
Et puis au loin elle l'aperçut, elle ne sentit plus le froid, une douce chaleur parcouru son corps, son esprit elle se précipita vers les marches qu'elle dévala à une vitesse vertigineuse et alla se planter à quelques mètres des lourdes portes qui se mirent à grincer en s'ouvrant.

Un brouhaha s'éleva des voix, des bruits de sabots, de charrettes, des grognements d'animaux et il passa les portes... elle resta figée, ne pouvant même plus émettre un son, il était revenu ici pour elle, pour venir la chercher, l'emmener avec lui pour vivre à ses côtés, des larmes de bonheur lui montèrent aux yeux, un sourire se dessina finalement sur ses lèvres, il se dirigeait vers elle....
Gengis était de retour !
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Gengis revenait, l'esprit bien plus léger que lorsqu'il était parti, il y a quelques mois maintenant. Bien des choses avaient changé, lorsqu'il aperçut les portes, il força le galop du cheval, le jour se levait, les portes s'ouvraient. Arrivé à hauteur des portes, il saute de son cheval. Regard circulaire, l'attendait-elle?
Beaucoup de monde, beaucoup de bruit, mais les voilà, il venait de repérer les émeraudes.
Arrivé à elle, il l'enlace et l'embrasse longuement.


Bonjour ma sublimissime, je suis si heureux de te revoir, nous repartons demain soir, tu sera prête?
Gengis ne quittait pas les émeraudes des yeux
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On entendit des pas qui se rapprochaient vers le porche Nord du village, des voix étouffées mais joyeuses, un couple enlacé suivi par un jeune homme, ils se dirigeaient vers l'écurie récupérer leur compagnon pour la route qui les mènerait vers Poitiers.

Clothilde était heureuse... l'heure était enfin arrivée... de quitter son village pour aller vivre avec Gengis, ils emmenaient avec eux un Virgile content d'être du voyage.

Elle se retourna une dernière fois avant de franchir les grandes portes elle laissait là une partie de sa vie mais c'était sans regret, une page venait de se tourner.
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Et oui.. il était tôt le matin et Eragon faisait encore le tour du village.
Les ruelles étaient vides.. pas un chat.. le soleil était encore loin d'être levé

mais Eragon veillait.

On voyait une lueur sur quelques fenêtres trémouilloises qui s'éteignaient quelques instants plus tard..
Des foyers heureux devaient profiter l'un de l'autre bien au chaud dans leurs paillasses.

Et Eragon veillait.

Quelque part entre Poitiers et La Trémouille, une jeune femme avançait, à cheval. Il le savait.. et il l'attendait. Si on lui aurait demandé pourquoi il l'attendait tant il aurait rétorqué "Pasqu'elle à ma cape".
Mais malgré tout il veillait.
Les feuilles orangées tombaient de plus en plus.. tapissant les ruelles et les chemins alentours. Eragon passa sous la porte Nord du village.

Il veillait

Sa main gauche dans la poche et la droite tenant une fine branche verte et épineuse.. A son bout.. quelques pétales a peine entre ouvertes.. voila une rose qui ne pointait seulement le bon de son nez. Comme si elle était peureuse .. de faire face à la dure réalité. Ou comme un amour naissant, Eragon opta pour cette signification.

Il rêvait.. ou plutôt non. il avait rêvé .
.
Vous savez un de ces rêves ou l'on confond le réel et l'imaginaire.. celui ou on se réveille brusquement avec l'intense sensation d'avoir vécu ce moment.
Était-ce un rêve fait pour qu'Eragon se rende compte de tout ce qui se tramait au plus profond de son coeur.
Ou était-ce juste un rêve érotique, son imagination lui jouait-elle des tours?
Un baiser.. peut-il être érotique?

Il rêvait de son rêve.. accoudé au rempart Nord.

Tant de passion entre deux corps qui se touchent .. deux lèvres qui font la connaissance de deux autres. Qui se goûtent, apprennent à se connaitre, se mordillent..
Il avait l'air si vrai ce rêve.. qu'il avait l'impression de ne pas avoir été le seul à l'avoir fait.
Et c'est ainsi qu'il s'était réveillé en sursaute.. C'était habillé chaudement et était descendu faire son tour de garde plus tôt qu'il n'aurait du le prendre.

Et il l'attendait

Par maladresse et trop plongé dans ses pensées, Eragon s'était légèrement piqué avec un épine, une goutte de sang perlait sur son index.
Il repartait dans ce rêve.. se le remémorant continuellement..
Hésitant aussi.. et si finalement il n'était que seul à l'avoir fait, que seul a éprouver cela ?

Il était trop tard pour réfléchir.. des sabots se faisaient entendre.. il sortit de sa torpeur..


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Héraldique Européenne-Gaso

Il avait attendu quelques temps, adossé au rempart de La Trémouille avant de voir se profiler une blonde sur son canasson.
Au fur et à mesure que la Trémouilloise avançait, les doutes d'Eragon s'amplifiait.. Il n'était sur de rien.. et cette rose qu'il tenait dans la main..
Il fallait qu'il abandonne l'idée.. il cacha donc du mieux qu'il pouvait la rose derrière lui..
La Trémouilloise était alors juste devant lui..

Il observait lentement ses lèvres bouger.. son inconscient repartait déjà dans son rêve.. souhaitant ces lèvres la contre les siennes.
Légèrement perturbé il répondit d'une voix rauque

Hum.. Bon Jour Kyky, alors, enfin de retour?

Pas que son voyage avait été tellement long, mais pour Eragon cela avait paru une éternité.. peut être ce rêve était du justement à cet éloignement..
Il voulait tellement l'avoir à ses côtés.. physiquement.. mais cela étant impossible, son imaginaire satisfaisait ses souhaits.
Et alors qu'il doutait encore plus et cachant son profond malaise, la belle blonde posa ses lèvre délicatement sur sa joue gauche..
Eragon essaye tant bien que mal de dissimuler un frisson.. car bien que cela ne soit qu'une bise, elle révéillait les désirs qu'Eragon essayait de cacher au plus profond de lui. Et bien cette bise.. montrait qu'ils n'avaient surement pas les mêmes intentions.

Une fois que la joue gauche fût satisfaite, et alors que les délicates lèvres se dirigeaient vers l'autre joue, un infime contact entre leurs deux lèvres respectives eut lieu.
Comme un électrochoc, la réaction des deux côtés fût fatale.

D'un côté la réaction fût physique.. elle rougit, recula et s'excusa.. Une bien trop importante réaction pour un geste qui aurait pu passer en riant.

De l'autre côté le cerveau bouillonnait faisant d'improbables analyses..
Cette réaction excessive.. le teint de la Trémouilloise..
Tous ce qu'Eragon avait abandonné ressurgit aussitôt..
La situation allait devenir vite inconfortable s'il n'agissait pas rapidement..

La légère douleur de l'index de sa main dextre lui rappela le fait qu'il avait une rose à peine éclose dans sa main.
Il ne savait trop quoi faire mais il tenta quand même le tout pour le tout..
Plus par des actes que par la parole.. car en amour ou en politique.. ce sont les actes qui priment.

Souriant, il dévoila la rose. un rouge assez clair car la fleur n'avait pas assez profité du soleil très absent en cette saison. Puis il lui tendit avec un sourire gêné.

A défaut de tapis de pétales..

Ensuite, se laissant envahir par ses émotions, il 'étreignit et plongeant son regard dans le sien, mis ses lèvres au contact des siennes.
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Héraldique Européenne-Gaso

Alaynia, chevauchant sur sa belle Lady vit les remparts de LT avec plaisir.
Elle s'arrêta un instant, taversée par des pensées d'un autre temps puis repris son chemin.

Les nuits étaient bien froides en ce moment et elle espérait aller se réchauffer au plus vite dans l'une des tavernes de LT.
Une nuit sans nuages et la lune qui éclairait les remparts, elle se dit qu'elle était bien contente d'être enfin arrivée.

Elle espérait revoir les gens qu'elle connaissait et que cela ferait oublier ces villes désertées par ses villageois qu'elle avait traversé ces derniers temps.
Elle encouragea sa jument d'une tape sur l'encolure et lui dit des mots de réconfort comme qu'une bonne place à l'étable et du bon foin l'attendait pour la remercier d'avoir fait si vite.

Alaynia relança sa jument Lady et s'empressa d'entrer dans la ville encore endormie.
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Daien piaffait d'impatience, son étalon Cronhos ronchonnait..euh, à vrai dire, on mêlait tout...

Bon, t'es où? Chériiiiiiiiiiiiie? Il la vit arriver avec 4 valises, et les mains pleines de fruits. Avant qu'il est put dire quoique ce soit, elle lui lança quelque chose qui fit un bruit sourd en venant frapper son front.

Mais, mais tu me lances des fruits maintenant? Tu crois que j'aime la flagellation aux fruits? Donnes moi ma besace, sans geste brusques!
.."Merci!"

Heureusement qu'elle lui avait pas lancer les valises.

"Bon, on peut y aller? t'as tout fermé?Et puis c'est quoi toutes ses paquetages? On part pour 2 mois ou quoi? Tu crois que Cronhos est un cheval de bât?........ Oui madame, mes fesses sont privées! Il lui sourit, la fit monter derrière lui. "Accroches toi Sandy! La route est à nous!"

Il fit partir l'étalon au galop.....

Toujours aux extrêmes, Kyky garda ses bras enlacés à son cou lorsqu’il lui partagea ses lèvres pour une seconde fois. La volée de papillon qu’elle avait jadis ressentit dans ses entrailles lui donnait l’impression de s’être multipliée par dix à présent. Cette volée grossissante qui vivait dans ses entrailles, provoqua à quelques reprises une faiblesse dans ses genoux. La magie des premiers baisers, des premières caresses, des premiers regards… Pour rien au monde elle souhaitait être ailleurs. Ses bras qui l’enveloppaient lui donnaient la sensation que plus rien au monde n’avait d’importance. Seul lui comptait ! Vivre finalement heureuse auprès de lui et tenter de lui rendre ne serait-ce que la moitié du bonheur qu’il lui offrait, étaient tout ce qu’elle désirait.

Celle qui vivait continuellement au jour le jour, qui ne se préoccupait pas de quoi serait fait le lendemain, ses pensées se projetèrent dans un futur rapproché. Elle-même surprise de cette subite rêverie, elle se voyait toujours à ses côtés, pétillante de bonheur lorsqu’il était là ! Un regard rempli d’admiration pour la personne qu’il est, une main qui se veut supportrice quand il le faut et surtout, leurs chemins qui ne font qu’un ! Son cœur palpitait à vive allure lorsqu’il était dans son champ de vision. Dire qu’elle était amoureuse de lui ? Elle se refusait de le lui déclarer par crainte qu’il s’enfui en courant à cet aveux que certains pourraient qualifier d’hâtif. Mais n’était-ce pas ça l’amour ? Lorsque l’être aimé est présent, vos jambes se ramollissent, votre cœur palpite, votre regard pétille de bonheur, vos entrailles s’affolent, vos lèvres s’assèchent lorsqu’il ne les humidifie et surtout, votre corps entier se fait plume afin que vous ne ressentiez plus les lois de la grativé qui vous alourdisse lors des ordinaires journées!

Sa main se glissa à la sienne afin de l’envelopper. Celle de la féline se blottit au creux de sa paluche tout en essayant de contenir les nombreux frissons qui lui chatouillaient l’échine. Qui aurait cru que ses rêves seraient devenu réalité ? Certainement pas la belle trémouilloise ! Ses pas se laissèrent guider par celui qui l’entrainait sur le chemin. Elle comprit que son tour de garde se terminait là et qu’à présent, il souhaitait s’abriter des curieux regards. N’en fallait pas plus pour que son imaginaire s’enflamme. Elle se voyait déjà allongée dans un petit nid douillet… Lui qui était étendu contre elle, surplombant légèrement le haut de son corps… Le regard qui se mêle au sien… Ses mains qui lui caressent ses flancs… Le bout de ses doigts qui effleurent le bas de son dos pendant que ses lèvres savourent insatiablement les siennes…

Curieuse de savoir où il souhaitait aller et de connaître la suite, sa main était toujours liée à la sienne lorsqu’ils arrivèrent au cœur du village. Étrangement, ils passèrent devant quelques tavernes sans même que la belle ne les aperçoive. Il occupait toutes ses pensées et désirait passer le plus de temps possible à ses côtés. Une coquette maison s’éleva devant eux pendant qu’un sourire émerveilla son visage. Elle se laissa guider par son beau chevalier…

C’est ici que tu vis quand tu n’es pas sur les remparts ou en taverne ?

Un délicat rire amusé perça cette tranquillité qu’offrait les petites heures de la nuit. Sa main se déploya afin que ses doigts puissent s’enlacer aux siens. L’importante différence de grosseur de leur main se voyait sur la trémouilloise. Ses doigts étaient bien écartés pour laisser ceux du chevalier les entrelacer pendant qu’elle se colla contre lui. Son doux parfum l’enivrait totalement au point d’en fermer les paupières à quelques reprises dans une extrême lenteur. Y’avait pas à dire, Eragon lui faisait un sacré effet…
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Elle le suivit donc, leurs mains jointes, à travers le village ils passèrent des maisonnées paisibles, des tavernes joyeuse d'où des cris sortaient.. des chiens affamés aussi..
Mais à tout cela Eragon ne fît pas attention.. a ce moment la, le poitevin n'avait d'yeux que pour elle..
La battisse du trémouillois apparut dans le champ de vision.. et ils entrèrent enlacés.

Eragon sourit, il est vrai que le héraut ne passait pas le plus clair de son temps chez lui, les remparts et les tavernes étaient ses lieux de prédilections.
Et puis cela se compensait.. la solitude des tours de gardes et la fréquentation des tavernes.. bien que en ce moment cela laissait à désirer.
Le rire cristallin de la poitevine était merveilleux à entendre.. il aurait donné le sourire à un dépressif..

Eh bien oui.. voila ma modeste demeure.. Bienvenue chez moi..

Sans un mot de plus..mais sans être trop brusque, il l'attira vers la chambre.. Peut être était-ce la fatigue, peut être était-ce qu'a force de rêver il voulait vivre son rêve.. ou même un mélange des deux.
Et puis elle aussi devait être épuisée, elle venait de passer une journée à cheval entre Poitiers et la Trémouille..
il s'affala sur le lit, en arrière et tendit les bras en direction de la trémouilloise.
Le soleil pointait son nez.. signe d'une nouvelle journée pour tout le monde..
Mais une nouvelle vie pour ces deux la..
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Héraldique Européenne-Gaso

Pg arriva avec ses amis et sa belle à lt, bien évidemment ça fesait encore dodo^^ Il essaya de les reveiller

BONJOUR LA TREMOUILLE !

mouarf, de vrai dormeurs, en m'avait bien dit que ça commencait à être ennuyant!
Je m'en charge
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Chef Maréchal de Thouars

le mantel sur ses epaules et blottie dans ses bras nous mirent pieds a terre sur le sol de la tremouille

tremouillois nous voilaaaaaaa
on va se reposé lui dit elle avec un joli sourirepuis mangé un bout,nous rechauffer a un bon feu de cheminée

Doudou regarda le village encore endormi
et pourquoi pas aller au verger se cueillir quelques fruits defendu

aurevoir mon ami
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vagabond, là où m'emmènent mes rêves

Décevant... un mot parmi tant d'autre pour définir sa ville natale dont il avait dit tant de bien au cours du temps.
Certaines personnes essayaient encore de faire vivre le village mais on ne suivait pas pour la plupart...
Le village était vide... autant que les tavernes...

Mordom s'en allait donc, déçu de tant de morosité... peut être son état était du aux nombreux amis qui partaient les uns après les autres...
Il avait juste promis a Allydou de revenir pour l'enterrement de Clovis, le dernier hommage qu'il pouvait rendre a son plus vieil ami.
Comme il ne fallait pas être trop négatif, on peut dire qu'il aura tout de meme revu quelques personnes et c'était la seule chose qui ne lui faisait pas regretter complètement son retour.
Malheureusement la joie d'antan n'était plus la... ou avait grandement perdu en intensité.

C'est ainsi qu'il passât les portes de LT pour la deuxième fois en deux jours, dans le sens inverse cette fois-ci.
Il prit la direction de la capitale sans se retourner...
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[Limoges, dans une chambre]

Jamais un voyage ne lui avait paru si long…non pas qu’il ait été désagréable, plutôt tranquille même, mais d’une telle lenteur ; pourtant, le Très Haut lui en soit témoin, elle n’avait laissé nul répit aux montures durant chaque trajet. Et les déconvenues, trop nombreuses, ne devaient pas être étrangères à son impatience ; Ou était-ce une fuite, encore une…de celles qu’on prend en aveugle alors qu’un simple mot, un simple geste peut parfois tout changer…
Mais peut-on modifier le destin ? N’est-ce pas écrit à l’avance ? Comme quelques années plus tôt ; alors son impulsivité l’avait conduite à quitter sa famille, elle l’avait menée loin de ceux qu’elle chérissait, elle était partie sans se retourner…simplement, sans un regard !

Que n’avait-elle pas songé à ce jour, des dizaines, des centaines de fois sans doute ; rien d’égal dans ses espoirs et ce qui était en vérité. Deux jours, c’est le temps qu’il fallu aux chevaux pour récupérer…Deux jours, enfermée dans une chambre d’auberge limougeaude à ressasser les dernières semaines…Deux jours, c’est court et interminable, selon ce qu’on en fait…Deux jours, où l’isolement qu’elle s’était imposée depuis le départ, commençait à lui peser, les sentiments exacerbés…L’heure était venue de regrouper ses compagnons et de quitter le bouge.

[La Trémouille, aux abords des remparts]

Encore une nuit sur les chemins, la dernière de ce périple…le but était atteint ; presque, restait à trouver celle qu’elle venait voir. Déjà, au loin, elle percevait dans la pénombre des lumières qui vacillaient au vent…sans doute les sentinelles veillaient sur le calme de la cité. La jeune femme jeta un œil au convoi, s’assurant que tous suivaient, et talonna l’étalon ; elle distança l’équipée, piquée par le froid hivernal. Le silence qui l’entourait, fut rapidement brisé par les aboiements des molosses qui la suivaient de près et la brune mit pieds à terre en souriant.

Relevant son col, elle attendit la « caravane » en jouant avec les chiens ; l’aube pointait quand ils arrivèrent et Cyr’ de sauter dans le carrosse afin de rappeler quelques règles aux fillettes…ces dernières trépignant davantage que leur mère, elles ne manqueraient pas la moindre sottise le cas échéant. Furtif coup d’œil aux remparts qui se dessinaient plus nettement à mesure que le soleil levait ; elle alla s’enquérir de son amie et de regagner l’équidé pour rallier la ville.

[La Trémouille, fin du voyage]

Ils passèrent l’enceinte de la ville dans un calme approximatif ; les premiers trémouillois, levés au chant du coq, partaient déjà travailler les champs et les fillettes de sortir la tête en jacassant, bien heureuse d’être enfin arrivées. L’occitane se détendit légèrement, nulle rencontre malsaine, et les voilà rendues à destination. Le groupe se dirigea vers les écuries, y laissa les montures ainsi que la roulotte et déjà Emaline les abandonnait pour retrouver sa famille.

Cyrianna donna directives au palefrenier puis rejoignit ses filles et Valerye ; l’ami de cette dernière, qui avait intégré le groupe depuis peu, n’était pas en vue et, la jeune femme de ne pas s’en préoccuper plus que ça. Illyana, fatiguée des lieues parcourues, commençait à ronchonner et Kassie ne tenait pas en place, bouillonnante de revoir sa tante :

Mamà ! Pourquoi elle est pas là Tatally ?

Lo meu còr, sois patiente…nous la verrons bientôt.

Mamà ! Moi aussi ze veux voir Tatally…pis ze veux zouer avec …heu, comment c’est dézà ?

Lo meu amor, ce qui est valable pour Kassie l’est autant pour toi, soyez sage.

Elle se tourna vers son amie en souriant, amusée par l’agitation ambiante ; son cœur battait fort dans sa poitrine, bientôt elle pourrait embrasser sa sœur et son neveu, mais pour l’heure :

Je pense la trouver à la mairie, on se retrouve ce soir en taverne ma belle…On s’occupera des bagages plus tard, j’ai laissé Chanda dans la voiture.*prenant les petites par la main, elle s’éloigna avant de se retourner et de lancer à la blonde* Tu ne sors pas ta hache Val’, nous séjournons un moment ici, pas envie de me faire remarquer !

Et de partir en riant, à travers les ruelles en quête de la mairie, suivie de Devika…
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Anonyme parmi les anonymes...sans intérêt!

Les nuits s’étaient succédées, toutes baignées de ce même espoir vacillant que sa destinée allait enfin lui être favorable… Berçée par les soubresauts de la caravane traversant les routes sinueuses, Val repensait tranquillement aux nuits de ce voyage qui lui avait paru sans fin… Ces nuits toutes chaotiques où l’âme déchu qu’elle était devenue après ses errances, se vautrait dans le stupre et le vice de la chair sans nom… Avec quelle déconcertation n’avait-elle pas abdiqué sa pudeur... Avec quelle acrimonie n’avait-elle pas rejeté l’assourdissante douleur qui brûlait en elle… Heureusement connaissait-elle maintenant une certaine accalmie dans ce dédale de souvenirs avilissants…

Il était revenu, comme elle ne l’attendait plus… Au-delà de l’attente et de l’envie qui la tenaillait parfois intensément et qu’elle récriminait au nombre de chopes qu’elle descendait avec véhémence… Se contentant de la souvenance d’une auberge rouergate en des temps plus cléments… Des temps où ils ne s’étaient point encore déchiré de cet amour si fragile qui était le leur… Mais Ventadour les avait réunis de nouveau l’espace d’une froide nuit d’hiver et il avait suivi le convoi plutôt impressionnant dirigé par son inséparable amie Cyrianna… Étrange complicité d’ailleurs qu’était celle de Val et cette diaconnesse qui la comprenait mieux que quiconque… Comme si l’ange et le démon s’étaient rencontrés, réveillant les instincts d’une et calmant les ardeurs de l’autre…

La caravane avait interrompu sa cadence et à l’aube qui se profilait, Val sut d’instinct qu’ils étaient arrivés à destination… Entendant les jérémiades des filles de Cyr, elle sortit de la charrette pour aller quérir les informations sur le déroulement de la journée…

Val lui fit un sourire… Elle allait la laisser à ses retrouvailles avec sa frangine, voulant elle-même retrouver Severant qui se trouvait un peu plus en contrebas sur la route…

Nan j’te promets d’garder ma hâche à ma ceinture… Enfin du moins j’vais t’attendre avant de m’en servir… J’voudrais pas que tu rates le spectacle tout de même!

Val fit demi-tour en riant et se dirigea vers l’entrée du village… Passant devant le chargement qui ne lui était plus inconnu, elle le contourna pour apercevoir Sev sur un banc… Le capuchon rabattu sur les yeux, seuls les tressaillements de son corps ne confirmaient son sommeil semblant houleux… Elle s’approcha donc avec précaution et glissa une main contre sa joue… Le contact un peu rêche de sa peau la fit frissonner, la ramenant en arrière sur les berges de cet étang de Rodez… Seul témoin de cette première proximité qui avaient ravagé son cœur par la suite d’élan passionné et de haine insoutenable… Elle approcha ses lèvres, le voyant tranquillement sortir de sa léthargie et l’observa un instant avant de l’embrasser, l’effleurant à peine…
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http://valerydelborg.forumactif.com/

Sommeil toujours agité de rêves étranges...
Une odeur de parfum s'insinua dans son subconscient. Odeur vite associée à des moments de bonheur.
Rêve qui s'estompe, laissant place à des pensées agréables.
Flottant entre sommeil et éveil, il sent une main lui caresser délicatement la joue. Sa main, une fraction de seconde crispée sur la poignée de son épée par pur réflexe, se détend. Confiance.
Puis il perçoit une halène fraiche, connue, avant de sentir des lèvres embrasser délicatement les siennes.
Les yeux toujours fermés, il répond à ce baiser, le fait durer...

Deux cœurs brisés, jadis, par le même mal, un seul et même remède : l'amour qu'ils se portent.
Le temps, ce redoutable ennemi, semble s'arrêter dans ces moments là.
Une main, sort de sa cape, la saisit, l'attire vers lui.
Tendre enlacement de deux corps. Union de deux âmes.

Murmure.

Val, mon amour, quoi de plus bon que d'être tiré du sommeil de cette façon ? 

Regard amoureux.
Sourire.
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l'heure du départ s'annonçait de plus en plus proche.. comme a son habitude il avait décidé de voyager de nuit..
il aimait bien ces heures calme sur les chemins ou chaque bruit était diffèrent de celui du jour.. ou le son d'une brindille brisée sous ses pas semblait troublé seul un immense silence.. ou le vol d'un simple oiseau nocturne dans la pénombre pouvait vous faire pensé a d'immenses fantômes..
des nuits ou souvent seul les bandits et les loups étaient vos compagnons de voyage..
l'hiver s'étirait sur sa fin et avait rendu les chemins boueux.. mais il aimait ça voyager dans ces grands silences..
heureux qu'il avait été de revoir certain compagnon en passant a la tremouille.. mais il devait continué a poussé son chemin plus avant.. revenir sur ses pas pour enfin revenir a thouars..
déjà son baluchon était prêt.. il le pris sur son épaule comme a chaque fois.. il devait encore une dernière fois se ravitaillé avant le départ.. prenant le chemin d'une dernière taverne pour une soupe chaude.. ce serait la dernière avant ces prochains jours..
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au fil de l eau,ou le courant le mene

Dernier jour de janvier, dernier jour de mandat comtal ... Theudrik arriva aux portes de La Trémouille sans encombres et en bonne compagnie, grâce à l'amabilité de Cathycat, qui l'avait accepté dans son groupe. Le trajet avait cependant été lugubre pour Theudrik : il ne put se joindre à aucune des conversations de ses compagnons de route qui devaient regarder bizarrement cet homme rentré en lui-même. Ses pensées se tournaient sans cesse vers Poitiers qu'il abandonnait ...
L'ancien procureur était amer, déçu, épuisé, vidé, exaspéré, désespéré et plus encore ! Non pas à cause de son travail ... heureusement qu'il lui restait encore cette dernière source de joie simple : le sentiment du devoir accompli.
Non, tout s'était bousculé dans la capitale ces derniers jours. Il avait essayé de se reconstruire, pourtant ... mais de nouveau, sa vie privée était en ruines, en miettes, en poussière ... Les remarques acides et la malédiction d'une femme avait suffi à broyer le cœur tendre et déjà douloureux du vieux forgeron : colosse au cœur d'argile, voilà ce qu'il était !
Il s'était finalement endormi au petit matin sur son cheval et venait de se réveiller : hélas, le cauchemar toujours bien réel dans son esprit.
La vue des portes de la ville ne lui apporta guère d'espoir, si ce n'est celui de revoir de vieux amis .. en espérant que ceux-ci ne lui parlent pas ... d'elle. Il n'avait pas envie devant eux d'exploser en pleurs comme un enfant. Il fallait que son cœur devienne sec et son gosier bien arrosé ... Oui, voilà ce qu'il fallait ! S'étourdir, ne plus penser ... ni au passé, ni à l'avenir ! La Trémouille, ouvrez grand vos tavernes : le vieux picolo est de retour !
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Theudrik

On reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait quand il s'en va !

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Mon chez moi

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14 ans.