Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 10, 11, 12   >   >>

[RP] Auberge de Kali et Ally De Lisaran

Kalimereth


Tourne la tête entendant un léger bruit et son visage s’éclaire d’un sourire voyant Davor arriver encore tout ensommeillé.
Les gazouillis du petit fripon ont tôt fait de monopoliser de nouveau son attention, et c’est le regard attendri qu’elle lui répond :


Ben alors, qu’est-ce que tu nous racontes là ? Une jolie histoire ?

Puis le voyant tendre les bras vers Davor, elle sourit, se rapprochant de lui pour lui mettre le petit ange dans les bras.


Il sait déjà bien se faire comprendre… Regarde comme il est mignon, impossible de lui en vouloir de nous avoir sortis du lit non ?

_________________
Davor


Davor sourit largement lorsque Antoine agite les bras dans sa direction et le prend doucement dans ses bras, faisant attention à ne pas le faire tomber, pour éviter de se faire décapiter par Ally.

Oui, impossible de lui en vouloir ! Mais c'est bien parce que c'est lui.

Il chatouille le menton d'Antoine puis, après une réflexion de quelques instants s'adresse de nouveau à Kali en souriant.

Dis donc... Il faudrait vérifier si les réserves de bière sont toujours intactes, parce que s'il tient de son père et de sa mère dans ce domaine...

_________________
Kalimereth
Les réserves de bière ? Déjà tu crois ? Tu me diras… vu toute la tisane ingurgitée par Ally ces derniers mois, ce ne serait pas si étonnant que ça… Il faut bien qu’il se rattrape.

Elle sourit attendrie par le face à face qui se déroulait devant elle, et se rapprocha d’eux caressant doucement le petit bras potelé qui s’agitait pour attraper tout ce qu’il pouvait. Elle posa la tête sur l’épaule de Davor, continuant à câliner le petit Antoine, en admiration devant ses grands yeux expressifs, et son minois à croquer. Ally pouvait être fière de son fils, il était tout simplement merveilleux… si l’on mettait de côté le réveil en fanfare de ce matin. Malgré tout elle se faisait très bien à son rôle de nounou pendant que sa marraine parcourait les remparts de la ville, veillant à la sécurité de tous. Une dernière papouille sur le petit ventre rebondi, puis se tournant vers son tendre avec un sourire :


Je te laisse discuter avec lui pendant que je vais lui préparer son biberon, sinon je crains qu’il ne nous fasse de nouvelles récriminations dans peu de temps.
_________________
--Antoine.





Riant aux éclats, du rire pur et innocent que seuls les enfants peuvent avoir, sous les chatouilles de Davor, il referme sa petite main potelée sur une poignée de cheveux de « son » nounou, qu’il refuse de lâcher.

Il n'y a encore pas beaucoup de mots qu'il comprend Antoine, mais le premier qu'il a su reconnaitre, c'est "biberon", tout de suite suivi bien sur par « santééé » et / ou « chope », il est quand même le digne fils de ses parents, faudrait pas l’oublier.

Oubliant les chatouilles et les gazouillis, il recommence à pleurer, maintenant que le mot magique a été lancé, même s’il n’a pas spécialement faim, un biberon ne se refuse jamais, et il n’a pas envie que Kali se perde en chemin.
Allydou
Ereintée après une nuit de plus, passée dans les rues sombres, Ally n’a qu’une idée en tête, retrouver son fils et le serrer contre elle, pour combler le manque qu’elle a de lui.

C’est en pressant le pas en voyant l’enseigne de l’auberge, qu’elle approche et pousse la porte en silence, croyant tout le monde encore endormi.

Surprise et amusée, elle regarde un instant la scène s’offrant à elle. Tout le monde n’est donc pas encore dans les bras de Morphée, et son petit bonhomme à elle, elle le trouve dans ceux du baron.

Ne voulant pas faire durer plus longtemps son supplice, surtout que le garnement semble bien en forme et en voix surtout, elle se place derrière eux et prend un air faussement fâché pour lui dire …


Et bien alors Davor, qu’est ce que tu lui fais à mon fils ?

Avisant de sa tenue, elle part d’un grand rire.

Ola, on dirait que la nuit à été courte, ou le réveil trop brutal peut être …

Et Kali, elle est ou ? Elle a déserté le champ de bataille ? Elle ta laissé Antoine sur les bras sans rien dire ?


Riant de plus belle, elle récupère son fils, et lui dépose de doux bisous, vérifiant au passage qu’il était indemne.
_________________
Kalimereth
C’est en fredonnant qu’elle entre dans la cuisine, un sourire aux lèvres qui ne la quitte plus depuis quelques jours maintenant.

La pièce est relativement vaste, et chaleureuse avec ses murs de pierre, son large foyer aux parois noircies, ses batteries d’ustensiles qui pendent au dessus des tables de travail.

D’un geste maintenant assuré, elle fait chauffer le lait, et prépare ainsi la pitance du petit Antoine, petit bout d’homme au caractère déjà bien trempé. Tout en s’affairant, elle tend l’oreille lui semblant reconnaître au loin la voix de sa marraine, qui doit déjà être en train d’examiner le bout d’chou sous toutes les coutures, faisant son regard méfiant à Davor, sûrement très contente d’elle.

Le lait tiédi, prêt pour le petit glouton, elle repart dans la salle où les cris semblent s’être calmés, son regard se posant avec tendresse sur Ally et Antoine, et leur tend le biberon tant attendu tout en essayant de remettre un peu d’ordre dans ses cheveux avant de bisouiller sa marraine réprimant un bâillement.


Bonjour toi ! Pas trop fatiguée ? Tu viens récupérer le petit amour ?

Petit amour auquel elle chatouille le peton en passant tout en le regardant s’acharner sur sa tétine, semblant déjà s’entraîner à vider les chopes. Riant à cette pensée, elle s’étire en bâillant, rêvant de retrouver son lit.
_________________
Davor
Décidément, tout ne va pas très bien dans cette affaire. On pourrait même presque dire que tout va mal. Sa douce qui l'abandonne avec le petit, celui-ci qui se met à pleurer, évidemment, et lorsque Davor croit être sauvé par Ally, elle ne peut s'empêcher de se moquer de sa tenue. Oui, il ne dort pas avec son armure ou son mantel, et alors ?

Ronchonnant, le Baron laisse la mère récupérer son fils, et n'a pas le temps de répondre à ses questions puisque Kali revient, apportant la réponse, et le biberon, d'elle-même. Presque de mauvaise humeur, Davor ne peut s'empêcher de grommeler, à moitié pour lui-même, à moitié pour les autres.


La nuit a été courte, oui, mais le réveil a été brutal, en plus...

Il esquisse cependant un sourire lorsque que son regard se pose sur Kali, qui a l'air dans une forme olympique, et vient l'enlacer tendrement au moment où elle s'étire, déposant un léger baiser sur sa nuque.
_________________
Allydou
Elle allait questionner Davor, sur la nuit passée, celle d’Antoine bien sur, le reste ne la concernant pas, quand Kali fit son entrée dans la salle.

Pour le plus grand plaisir du petit bonhomme, elle n’avait pas les mains vides. Elle prend le biberon et la bisouille, réprimant un nouveau rire, devant les bâillements que sa filleule cherche à cacher.

Puis se tournant du coté du Baron qui ronchonne,


Je suis navrée, vraiment, me pardonneras-tu de m’être si facilement déchargée sur vous deux ?

Je ne sais comment vous remercier de votre gentillesse et de votre patience …


En le voyant venir prendre Kali dans ses bras, elle détourne le regard.

Elle laisse les jeunes tourtereaux profiter d’un instant de complice tendresse, et va s’installer pour qu’Antoine termine son repas tranquillement.

En le couvant d’un regard aimant, elle repense aux mots reçus un peu plus tôt, échappés discrètement d’un monastère.

Un sourire radieux éclaire son visage, quand elle murmure, tant pour elle-même que pour le Bout d’chou
… Dimanche mon petit Amour, ton père sera la, avec nous, dimanche !
_________________
Davor
Je suis navrée, vraiment, me pardonneras-tu de m’être si facilement déchargée sur vous deux ?

Je ne sais comment vous remercier de votre gentillesse et de votre patience …


Davor hocha la tête en souriant, le souvenir de la nuit précédente lui revenant en têe et chassant du même coup toutes les pensées négatives qu'il pouvait avoir. Et puis, la présence de sa douce lui faisait toujours beaucoup de bien, l'apaisant de façon significative.

Ma chère Ally... Tu es toute pardonnée évidemment, mais si tu tiens tellement à nous remercier, peut-être qu'une petite chope en taverne...

Il eut un sourire malicieux, sachant parfaitement qu'une telle solution était profitable aussi bien pour Ally, Kali ou lui-même. Le Baron regarda Ally s'occuper avec tendresse d'Antoine, attendri par un tel spectacle. Il aurait bien aimé faire de même, mais tout avait été, tout était, si compliqué...
_________________
Kalimereth
Elle regardait sa marraine en souriant devant le tableau idyllique qu’elle formait avec le petit ange. Elle imaginait aisément comme l’absence de Clo devait être éprouvante pour eux deux, et aurait aimé pouvoir faire bien plus.

Notre patience ? Tu plaisantes, c’est un amour ce petit… je ne sais pas de qui il tient mais oui c’est un amour.

Elle éclata de rire devant l’œil noir que lui lançait Ally, se protégeant dans les bras de son tendre amour. Elle tourna les yeux vers lui et suivant son regard, elle lui murmura : tu m’as l’air bien songeur mon ange…

Elle ne le quittait pas des yeux, quelque peu inquiétée par l’expression qu’elle pouvait lire sur son visage. Son cœur lui appartenait désormais, et voir l’homme qu’elle aimait ainsi préoccupé ne lui plaisait guère.

_________________
Kykyne


Arrivant à LT aux bras de son amoureux, le regard de Kyky fut attiré par une magnifique bâtisse ornementée de fleurs qui semblait être à première vue, une charmante petite auberge. Après avoir désignée la bâtisse à son amour, leurs pas les menèrent à l'entrée. Un majestueux panneau annonçait "Auberge de Kali et Ally De Lisaran". C'est avec le sourire en coin qu'elle se retourna vers l'homme de sa vie pour lui annoncer qu'ils allèrent y passer la nuit.

Ils franchirent la porte d'entrée, et le regard de Kyky se dirigeait dans tous les sens afin d'admirer la place. L'endroit était chaleureux, tout pour convaincre son ange d'y passer la nuit. Le gigantesque comptoir trônant au centre de la pièce invitait les deux voyageurs qui, avaient grandement besoin d'humidifier leur gorge. Tout en s'approchant pour y prendre place, Kyky s'exclama avec le sourire aux lèvres :
Où est ma poulette chérie ?

_________________
Kalimereth
Depuis l’arrière de la salle il sembla à Kali entendre.. non ce n’était pas possible… elle serait revenue… courant vers la salle principale elle s’arrête net en la voyant en face d’elle ..

Ma Caiiiilllleeeeeee !!!!!!!

Elle lui saute au cou, sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, trop heureuse d’enfin la revoir. En plein bisouillage intensif, elle s’aperçoit alors de la présence de celui qui lui a volé sa p’tite caille… elle hausse un sourcil, essayant de prendre un air fâché, puis se décide enfin à le saluer.


Salut Ticque ! Ben pas trop tôt que tu me la ramènes un peu ici ma Kyky !

Puis se retournant vers son amie tout en servant deux chopes bien fraîches, un sourire éclatant aux lèvres :


Pour une surprise… je ne pouvais rêver mieux ! Ca fait une éternité… ne reste plus aussi longtemps absente toi ! Bon j’espère que vous restez au moins quelques jours ici… en tout cas déjà pour cette nuit je vais vous préparer une chambre, au moins vous serez confortablement installés.


Elle resta un peu discuter avec eux, puis remettant la suite des événements à raconter à plus tard monta à l’étage pour vérifier que tout était prêt pour les accueillir. Elle choisit une des plus grandes chambres pour ses amis, ouvrit la fenêtre, vérifia que tout était en place, et après une légère hésitation courut au rez-de-chaussée en souriant. Quelques minutes plus tard, elle remontait avec ce qu’il manquait… un joli bouquet de fleurs des champs, et … quelques épis de maïs, dont elle était sûre que les occupants en trouveraient une quelconque utilité.

Elle prit la clé et redescendit la leur remettre un sourire aux lèvres.


Bon, voilà tout est prêt, vous allez pouvoir vous installer..


Puis regardant Kyky en coin…

Et toi, on a plein de choses à se raconter, alors traîne pas trop ma caille, je t’attends là.
_________________
Kykyne


Tout en cherchant du regard sa poulette, un cri sorti de la pièce voisine:

Ma Caiiiilllleeeeee !!!!!

En moins de deux, Kali lui sauta au cou ce qui provoqua un fou rire à Kyky. Heureuse de la revoir enfin, elle la trouva autant magnifique qu'avant son départ. Celle qui avait réussi à lui rendre le sourire alors qu'elle sombrait, était là, entrain de la bisouiller intensément. Suite aux salutations, deux chopes apparues devant elle et son amoureux, histoire de les faire patienter le temps que Kali prépare une chambre.

Kyky prit une gorgée de ce fameux houblon de LT, puis se retourna vers Ticque afin de lui murmurer à voix basse: Connaissant Kali, je suis convaincue qu'elle est montée à l'étage pour soigner dans les moindres détails notre chambre.
Approchant ses lèvres des siennes afin de lui soutirer un baiser, Kali descendit l'escalier à folle allure pour leur remettre la clé. Kyky poussa la clé vers Ticque et lui dit amoureusement: Te voilà maître de notre petit nid mon coeur !

Sourire aux lèvres, elle se retourna vers Kali qui attendait impatiemment les dernières nouvelles. Ma poulette, tu veux vraiment commencer une série de discussion à cette heure ? La route m'a épuisée... Je crois que nous allons monter dans notre chambre pour ce soir, et demain, promis, on démarre les longues discussions ! Par contre, je dois te prévenir... Je ne sais pas quand nous allons repartir. Il se peut que ce soit demain soir !

Kyky s'approcha de Kali et lui offrit une chaleureuse accolade. Les souhaits de bonne nuit étant fait, elle monta à la chambre avec son amour. Ce dernier ouvrit la porte, laissant un parfum de fleur envahir leur narines. Tout en refermant la porte derrière elle, son regard fut attiré sur le petit meuble. Un fou rire s'empara de Kyky en voyant les épis de maïs. T'as vu mon coeur ! Kali pense vraiment à tout !

La nuit s'installait de plus en plus, et les amoureux se glissèrent sous les couvertures pour récupérer de leur éreintant voyage.

_________________
Allydou


Soif …. Chaud … Soif !

Ces trois mots reviennent sans cesse dans sa tête en cette fin d’après midi.
Envie d’être seule un moment, juste seule.
Elle sait pouvoir compter sur Wolfy pour lui confier le ptit Bout quelques temps, et c’est donc vers chez lui qu’ils se dirigent déjà.


Comme prévu sa réponse est celle qu’elle attendait … « Oui, bien sûr ! »

Après les dernières recommandations d’usage, inutiles mais incontournables quand même, elle dépose une bise sur la joue du grand, un tendre bisou sur la tête du petit et repart.

Elle traine un peu en chemin, sans destination précise en tête, et toujours ces mots,
Soif … Chaud …. Soif, comme une litanie infatigable.

Pour la chaleur, elle penserait bien au Lavoir, mais l’idée d’une baignade en solitaire ne l’attire pas plus que ça.

Le Jardin … oui pourquoi pas, elle trouverait surement un coin d’ombre, mais …. Non, le Jardin est réservé pour les promenades familiales, pas solitaires.

En passant par le Quartier des Délices, elle remarque, non pas un mais deux volatiles, un bien dodu et l’autre, les ailes poussiéreuses et le ventre moins gras.

Elle détache les deux missives et laisse une bonne quantité de graines pour les récompenser.

Un sourire, puis un autre, se dessine sur ses lèvres, deux missives qu’elle n’attendait pas, mais les deux expéditeurs ne pouvaient pas mieux choisir leur moment.


Soif … Chaud … Soif … Lire ... et Répondre !

Ni une ni deux, elle sait ou elle va aller, chez elle, enfin dans cet autre « chez elle », à l’auberge.

Demi-tour sur la place, et quelques minutes plus tard, elle pousse la porte.

Ola Aubergiste …. A boire ! … boire … boire … oire …

Echo qui se répète à l’infini, elle est seule ici, mais qu’à cela ne tienne, elle connait la maison.

Un détour par le comptoir, le temps de remplir une grande chope, et elle s’installe à une table, prenant tout son temps pour découvrir les dernières nouvelles.

Le hasard à voulu qu’elle sorte de sa besace la lettre de son parrain.
Large sourire, le voyage se passe bien, et les petites … remplissent leurs rôles d’enfants …

Quelques gorgées plus tard, elle commence la lecture de la missive de Cyri.

… « Ma vie est telle que je n’ai rien à raconter, emplie de vide et d’absences, nulles joies, nuls plaisirs...seulement la lassitude, l’ennui. »

...« Les dernières semaines m’ont apporté mon lot de désillusion, j’ai essuyé des colères, des humiliations, et j’ai fait un réel travail sur moi pour ne pas abandonner…mais notre éducation nous a appris à nous battre, aussi, je puise dans mes dernières ressources pour garder la tête haute. »…

Les bras lui en tombent à la lecture de la fin de la lettre…

Besoin d’un remontant, là vite, tout de suite !

Elle prend juste le temps de replier le parchemin, et le ranger à l’abri des yeux indiscrets sait on jamais, prudence, toujours la prudence …

Une autre chope plus tard, une sourde inquiétude au ventre, elle prend de quoi répondre, en choisissant les mots qui ne la trahiraient pas.

_________________
Kalimereth
Kali qui tenait toujours Antoine dans ses bras arrivait enfin devant l’auberge. C’est que mine de rien il commençait à peser le petit ange, d’autant plus que la faim commençait à le faire chouiner. Elle suivit Ally à l’intérieur, appréciant la relative fraîcheur du lieu, et s’affala sur une chaise, le bout d’chou posé sur ses genoux.

Elle était heureuse de passer un peu de temps avec lui, depuis qu’Ally ne faisait plus ses rondes nocturnes sur les remparts, Davor et elle le voyaient beaucoup moins… et elle devait avouer qu’il lui manquait. Dommage d’ailleurs que son tendre ne soit toujours pas sorti de chez les moines, il aurait surement apprécié passer un moment avec le petit ange.

Enfin petit ange qui commençait à s’agiter sérieusement là, réclamant sa pitance tel un oisillon affamé.

Elle lui murmura quelques mots doucement à l’oreille, lui expliquant que sa maman était en train de lui préparer de quoi se restaurer, ce qui sembla le calmer, du moins momentanément.

Alors qu’Ally était en train de finir de le servir, elle passa derrière le comptoir, Antoine toujours contre elle, et servit deux chopes bien fraîches pour sa marraine et elle-même, souriant de voir l’intérêt toujours vif d’Antoine pour les futs de bière.


Allez viens, on va voir maman… toi tu as bien mérité ton goûter, et nous notre chope.

Elle lui fit un grand sourire, jouant à l’équilibriste en rejoignant Ally, portant en même temps Antoine et les deux chopes tout en évitant que ce dernier s’attaque aux premières…
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, ..., 10, 11, 12   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)