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[RP] Auberge de Kali et Ally De Lisaran

Mumbly
Mumbly ,tout à sa discution avec Kali ,n'avait pas prit garde aux personnes présentes à l'auberge.Un peu géné,il se leva et salua l'assemblée.

Je vous prie de bien vouloir me pardonner.Trop surpris et heureux de voir Kali,j'en ai oublié les convenances.Je me présente,Mumbly,de retour de voyage et repartant d'ici peu.
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Préservez moi de mes ennemis,je me charge de mes amis.
--Lysithee



Lysi avait suivi, avait été sage sur le cheval qui les avait mené ici, même s'il était vieux et qu'il sentait mauvais. Moman avait dit qu'ils le laveraient quand ils seraient arrivés chez la sœur de Messire Col. Mais elle n'avait pas compris pourquoi l'ami de moman était pas rentré quand ils étaient arrivés dans le village... En tous cas Moman s'était énervée et aprés elle les avait amené dans l'auberge.

La fillette de huit ans maintenant, regardait son jumeau en se demandant s'il avait compris, lui. Mais comme d'habitude il avait l'air de s'en moquer. Depuis qu'il avait essayé de la mettre à l'eau au village d'avant, elle se méfiait de lui, il avait pas réussi à l'avoir, alors...

Quand ils sont enfin rentrés dans l'auberge, Lysi baillait à s'en décrocher la mâchoire. Moman les présenta et la petite fille se cacha derrière les jupes de sa mère en jetant un œil vers les personnes présentes, jusqu'à ce qu'elle aperçoive le berceau. Lâchant la main qu'elle tenait, Lysithée se rapprocha du bébé et de la dame qui était avec, un brin timide mais pas trop.


Comment y s'appelle? ... Moi j'm'appelle Lysi! J'ai huit ans. Tu t'appelles comment toi? Il a quel âge? C'est une tite fille ou un ti garçon?

Lysi observait le bébé, curieuse, n'osant pas le toucher. Mais elle blablatait et blablatait...

Bah moi j'aurai pas de p'tit frère ou de p'tite sœur passque j'ai pu d'Pa...


Ah Maman était arrivée derrière elle et lui avait mit une main sur la bouche. La fillette leva les yeux vers sa mère qui lui faisait signe de se taire et elle rougit.

Maieuh....

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Sorianne
La dame s'était adressée à elle, et So lui offrit un sourire reconnaissant. C'est qu'elle avait peur de déranger, étant entrée alors qu'ils étaient en grande conversation. La brunette tourna les yeux en direction des femmes que la nourrice indiquait et leur sourit également.

Enchantée de vous connaître.

So était amusée du babillage de la dame qui avait l'air d'avoir de quoi parler. Elle regarda Lysi s'éloigner en direction du berceau présent dans la pièce et se tourna vers l'homme qui avait pris la parole aussi.

Je suis So, et en voyage aussi, et je repars... Euh... Bientôt je l'espère. Elle se tourna de nouveau vers la nourrice, Pour le godet pourquoi pas Dame, cela me ferait plaisir!

So s'approcha du comptoir tout en surveillant les monstres qu'elle avait lâché. Ils étaient calmes, sûrement la fatigue du voyage. Une fois dans la chambre, elle les mettrait au lit et essayerait de récupérer Col. Même pas pu se dire au revoir. Peu importe qu'il soit contagieux ou non, elle voulait le voir, on n'a pas idée de séparer les gens ainsi. Ses oreilles eurent vent de ce que disait sa fille, et So se releva avant de se diriger rapidement et plaqua une main sur la bouche de la fillette en rougissant, offrant un sourire gêné.

Elle est bavarde et dit toujours trop de choses. Se baissant vers sa fille, So réajusta la petite robe qu'elle avait peut-être fait un peu trop grande... Fallait qu'elle reprenne des leçon de prise de mesure auprès d'un tisserand digne de ce nom... Mais si tu auras peut-être une petite sœur ou un petit frère.

La jeune femme l'entraîna en direction de la nourrice.

Pardon, je pense que le godet attendra, sauriez vous si une chambre est libre? Je vais aller les faire se reposer, on a fait un long voyage... So pensa à autre chose, au fait, sauriez vous me dire où se trouve le bureau du bourgmestre? Je ne l'ai pas vu en venant ici, et pensez vous que le tribun pourra me recevoir? J'aimerai lui demander quelque chose... Oh et... Sorianne rougit un peu... Il y a toujours aussi peu de monde dans les rues du village?
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Petite mie de pain... D'un certain brun...
Kykyne


Fraichement arrivée à La Trémouille, Kyky ne pouvait empêcher le sourire qui naissait sur ses lèvres. Revoir tous ceux qu’elle appréciait la rendait joyeuse et elle comptait bien en profiter tout en s’amusant. Passant devant la taverne municipale, l’odeur du houblon planait dans les airs, ce qui fit penser à Kyky qu’il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas revue cette fameuse boulasse. Cheval trottant, les bâtisses défilaient à ses côtés jusqu’à la vue de l’auberge convoitée. Elle fit ralentir la cadence des pas de son cheval jusqu’à l’arrêt complet en ramenant les guides vers elle. Le sourire qui logeait sur ses lèvres ne cessait de s’élargir. Sa poulette lui manquait terriblement et la revoir, elle savait que de nombreux délires étaient en vue.

Arrivée à l’auberge, elle se laissa glisser de son cheval afin de se retrouver les deux pieds sur le plancher des vaches. Elle caressa le cou de son cheval afin de le gratifier de ses efforts et se dirigea face à lui. Tu nous as conduit jusqu’ici en un seul morceau ! T’es une brave bête ! lui dit-elle. Après lui avoir fait quelques gratouilles entre les yeux, elle fixa les guides à un arbre qui siégeait devant l’auberge. L’auge étant presque pleine, elle laissa son cheval quelques instants pour aller voir celle qui lui manquait tant.

Tout juste avant de franchir la porte, elle se redressa bien droite et secoua la poussière qui s’était déposée sur son visage et ses vêtements. Restait plus qu’à lisser sa robe contre elle afin d’en retirer tous plis et tenta de se recoiffer du mieux qu’elle pouvait avec les moyens du bord. D’un geste décidé, elle ouvrit la porte et franchit le seuil. Scrutant la place, elle chercha du regard des visages familiers. Une longue et rousse crinière se tenait près du comptoir dont sa propriétaire enlaçait de ses bras un costaud gaillard. Ne pouvant plus se retenir, elle fonça vers elle et s’écria :

Ma pouuuuuuuuulette !!!!!

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--Tiveg



Enfin ils avaient été débarrassés du Sieur Colhomban. Nan il l'appellerait pas Col d'abord, Lysi elle était amoureuse, c'po pareil, mais lui non. Il l'aimait pas, il avait qu'a pas se prendre pour leur père. il le cachait, mais il était bien content qu'il ne soit pas avec eux maintenant. Peut-être qu'il partirait pour de vrai? Au moins, il pouvait redevenir l'homme de la maison!... Enfin l'homme de la famille puisqu'ils n'avaient plus de maison pour l'instant. Pourtant ils étaient bien dans la maison au bord de l'eau et devant les bois... Boudeur le Veg... Il ferait comme son Père, tel père tel fils. Et il lui rendait bien.

Il suivit sans mot dire sa mère et sa sœur, cachant un bâillement derrière sa manche et attendit que la maman présente et parle. Ce que c'était bavard les filles... Suivant des yeux sa sœur qui était allée voir un mioche, il en profita pour détailler un peu tout le monde ainsi que le lieu. Hmm pas un coin où trouver à s'occuper ça. Faudra aller dehors. Pas grave, il aime bien être dehors. Et ça parle et ça parle... Nouveau bâillement tandis qu'il sursaute au moment où une blonde surgit dans l'auberge en criant ma poulette... Haussant un sourcil il se rend compte que la poulette, c'est la dame rousse... Tirant sur les jupes de sa mère, il la fait se pencher vers lui...


Dis m'man, pourquoi elle l'appelle Poulette? C'est parce qu'elle a les cheveux rouge? Ça fait la crête?

Et pourquoi la Maman en question vira au rouge pivoine... Il ne le saura peut-être jamais... Ah ces filles! Toujours à rougir, à chouiner et à parler... Et il n'a pas eu réponse à sa question...

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Allydou
Ally était partie voir le p’tit Ange, avant que ses cris ne réveillent toute la ville, ce qui soit dit en passant ne serait peut être pas un mal.

Elle est encore auprès de lui, sans avoir suivi ce qui se passait dans la grande salle, ni les arrivées ou départs éventuels, quand elle se retourne, surprise d’entendre une petite voix à ses cotés, souriant devant le débit de questions.


Comment y s'appelle? ... Moi j'm'appelle Lysi! J'ai huit ans. Tu t'appelles comment toi? Il a quel âge? C'est une tite fille ou un ti garçon?

Oh, bonjour jeune fille, il s’appelle Antoine, et moi Allydou, mais tu peux m'appeller Ally si tu veux.

A peine le temps d’en placer une, que déjà Lysi reprend la parole et commence à lui raconter des choses qui mettraient bien ses parents dans l’embarras.

Justement, une femme s’approche pour la faire taire, avant de repartir avec elle.

Antoine est maintenant très bien réveillé, elle le prend, et part retrouver les autres, prête à reprendre du service derrière le comptoir.

En entrant dans la salle, elle constate, ravie que la nourrice l’a devancé et propose déjà un rafraichissement à la visiteuse.


Merci à vous, Amelianne, mais reposez vous, vous avez bien le temps de prendre votre service.

En souriant elle se tourne vers la cliente, se disant que la petite devait certainement tenir d’elle pour la parole, difficile de répondre au fur et à mesure, elle attend donc qu’elle reprenne sa respiration et se lance.

Bonjour à vous, je suis Allydou, et veuillez pardonner mon retard, ce petit Ange était pressé.
Vous souhaitez une chambre, pas de souci, nous en avons encore de libre, je vous y conduis tout de suite, si vous le souhaitez.
Vous y trouverez un baquet et nous pouvons vous mettre de l’eau à chauffer si vous voulez les tremper un peu.

Le bureau du bourgmestre … oh, il est en travaux en ce moment, mais si vous cherchez du coté de la taverne municipale, vous y trouverez Forcehung, surtout en soirée.

Le tribun, il était dans la salle, ici, tout à l’heure, il repassera surement … et quant aux rues du village … ma foi, il est vrai que j’ai connu LT bien plus vivante, espérons que cela ne soit du qu’aux fortes chaleurs de ces derniers jours.

Je vous montre la chambre ?


Objectif atteint, elle avait trouvé le temps de répondre à toutes les questions ... enfin elle l'espérait, quand Kyky fit une entrée pour le moins .... discrète.

Héééé coucou la voyageuse, tu connais la maison, vas retrouver ta poulette, je m'occupe de la Dame.
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Kalimereth
Kali encore sous la surprise de la présence de Mumbly n’avait pas fait attention aux personnes qui étaient entrées depuis, mais soudain elle entendit une voix… oui… elle ne la connaît que trop bien cette voix… Un grand sourire se dessine sur ses lèvres.

Elle vit Ally et Amélianne s’occuper de la nouvelle arrivante, et sourit, heureuse d’être aussi bien entourée. Saluant la voyageuse en s’excusant pour l’avoir faite attendre, elle entraîna Davor qu’elle n’avait pas lâché derrière elle, et se jeta dans les bras de sa caille.


Enfinnnnnnnnnnnnn te voilàààààààà !!!!!!

Tu as fait bon voyage ? Tu restes un peu cette fois ? Tu n’es pas trop fatiguée ? Tu as soif ? … euh oui .. ça c’est une question idiote !


Elle éclata de rire, tenant par la main Davor et Kyky chacun d’un côté, les entraînant vers le comptoir, où elle remplit rapidement suffisamment de chopes pour tout le monde…

Son visage rayonnant de bonheur entourée des personnes qu’elle aime, ell lève son verre pour trinquer


A notre santé, espérant que LT se réveille bientôt !
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Audixia
La petite n'en revenait pas. L'auberge s'était tout d'un coup peuplée, et non seulement d'adultes mais d'enfants. Ces gamins d'ailleurs ne semblaient même pas l'avoir remarquée. L'un toisait les gens d'un air hautain qui lui était familier tandis que l'autre n'avait d'yeux que pour le nourrisson. Et voilà que même sa propre nounou ne daignait plus lui accorder un regard, bavassant avec ce qui semblait être la mère des bambins.
Ha ça, elle n'avait pas l'habitude qu'on l'ignore la princesse. Depuis un mois qu'elle se trimballait sur les sentes poussiéreuses, elle créait l'évènement partout où elle passait. Mais là... que nenni... pas un œil dans sa direction.

Elle fut bien évidement tentée d'en profiter pour s'adonner à son passe-temps favoris, à savoir fausser compagnie à sa tutrice, mais la curiosité l'avait piquée, sans parler de son estime d'elle-même aux limites lointaines. Un cruel dilemme la partageait. Se sauver comme à son habitude pour allez jouer dehors ou tyranniser d'honnêtes gens en taverne, ou bien rester et tenter de s'imposer dans la brouhaha ambiant.

Cherchant l'inspiration, elle jeta un regard circulaire dans la salle. Allydou pouponnait son enfant tout en s'occupant de trouver une chambre à la petite famille, le futur marié semblait absorbé par de profondes pensées, sa nourrice s'occupait à assister du mieux qu'elle pouvait les tenancières, tandis que Kalimereth... recevait une espèce de furie blonde qui venait de débarquer en la traitant de gallinacée. Restait le châtelain qui semblait comme elle, contempler la scène d'un air dubitatif.

La petite décida que c'était de ce côté là qu'elle devait tenter quelque chose. Après tout, entre personnes ayant habité dans une fastueuse demeure, ils devraient bien trouver un terrain d'entente. D'un pas décidé, elle s'avança vers le trio dont les représentante féminine se saluaient à grand renfort de nom d'oiseaux de basse-cour, et tenta une approche diplomatique.


Heum, y reste du lait ... ?

Elle-même déçue par sa piètre prestation, elle se tut en baissant le menton. Maintenant il fallait réfléchir un peu plus avant de parler, sinon elle courrait au fiasco !
Sorianne
Sorianne essaya de ne pas faire attention aux paroles de son fils. Il valait mieux, mais il aurait droit à une réprimande plus tard. En espérant que la dame n'ait point entendu. *tilt* La Brunette vint de se rappeler le nom de la femme rousse. C'était à elle qu'elle avait écrit au sujet d'un laisser passer pour ne pas avoir de souci une fois la frontière franchie. Dame Prévôt... Oups, du coup la Maman jeta un regard meurtrier vers son fils, et plaça un doigt sur ses lèvres, voulant lui signifier de se taire. Avec un large sourire, elle écouta la dame s'étant présentée comme Allydou.

Enchantée Dame Allydou.

So écouta ensuite les réponses à ses questions, oui c'est vrai, elle n'y était pas allée de main morte, grande bavarde qu'elle était, et curieuse aussi! Bon, elle irait donc trouver Bourgmestre à la taverne, et le tribun à son bureau à moins de le croiser ici.

Merci pour toutes vos explications, c'est gentil et oui je veux bien pour la chambre, c'est gentil.

So attrapa ses monstres, mains en mains et suivit la jeune femme, essayant d'organiser son emploi du temps pour la suite. Coucher les jumeaux, ils devaient tomber de sommeil, après ce voyage et surtout, essayer de trouver cette maison de santé dans laquelle se trouvait Col. So se mordilla la lèvre inférieure. Elle espérait qu'il sortirait vite, la façon dont il lui avait été arraché... Oh avant d'y aller elle lui écrirait quelque chose, oui, comme ça s'il ne pouvait pas sortir elle lui donnerait ça. Oui elle allait faire ça.
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Petite mie de pain... D'un certain brun...
Kykyne


Fonçant vers Kali, son élan fût ralenti par une voix qu’elle connaissait bien. Détournant la tête, elle aperçu Ally de l’autre côté de l’auberge. Tout en lui souriant et la saluant de la main, elle fut mise en échec par Kali qui se jeta dans ses bras. Le souffle coupé pendant quelques secondes, elle ramena son regard sur elle et l’entoura de ses bras afin de la câliner. Y’avait bien longtemps qu’elle ne s’était pas senti si heureuse. Revoir ses amis, rien ne lui faisait plus plaisir !

Davor suivait discrètement derrière, entrainé par Kali qui la bombardait de question. Sans même avoir le temps de répondre entre chacune, elle la laissa s’essouffler. Une fois fait, elle répondit aussi rapidement qu’elle lui avait défilé son questionnaire…

Oui… Oui… Non… Oui…
Pouffant de rire, elle rajouta une petite précision… Oui… question idiote ! Kyky éclata de rire à nouveau, tout en lui faisant un clin d’œil moqueur. Sans perdre une seule seconde, elle se fit entrainer par son amie, accompagnée du costaud gaillard qu’est Davor. Inclinant la tête par devant afin de le voir, elle le salua et lui promit un câlin aussitôt que Kali les relâcherait. Conduit au comptoir, l’ex tavernière servit les chopes à chacun d’eux. Un sourire grandissant sur ses lèvres qui laissait comprendre que cette chope était la bienvenue.

Après avoir été relâchée par Kali, Kyky s’approcha de Davor et lui fit le câlin promis, accompagné d’une bise sur chaque joue. Ne voulant laisser Kali trinquer seule, elle prit sa chope, poussa la troisième vers Davor et leva la sienne. Tout en levant sa chope, elle entendit son amie souhaiter que la ville se réveille. Rapidement, elle mit sa main sur sa bouche et la réprimanda gentiment à basse voix…

Chuuuuuut ! Ne souhaite pas des choses comme ça ! Si la ville se réveille, ça veut dire que les réserves vont se vider ! Sois égoïste un peu !!! On garde la bière pour nous !

Incapable de retenir le fou rire qui grandissait en elle, elle trinqua avec ses amis en complétant le souhait de Kali.

À la nôtre ! Et aux nombreux délires en perspective !

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Petitjehan
La porte de la taverne s’ouvre à la volée, d’un coup de pied…pas de ces coups de pieds rageurs fait pour tout casser non non juste un coup de pied comme quand on est encombré…
Et le semi géant qui entre, malgré sa taille hors de la moyenne, pour être encombré l’est bien, imaginez plutôt…

Bien calée sur le bras gauche un nourrisson tout emmailloté de bleu aux couleurs de sa maison tout en tenant de deux doigt un sac de toile, pesant au moins aussi lourd que l’enfant, contenant des carrés et des triangles de baptiste blanche, bref de quoi changer l’enfantelet pour au moins deux journées.

Sur son épaule, des langes molletonnés chargés de protéger son trésor du froid…

Dans sa main droite, un berceau de chêne taillé dans de belles planches avec amour et décoré avec amour par un père pour un de ses enfants, aujourd’hui disparu.

Glissé dans l’auriculaire le lacet d’une besace renfermant, si on en juge au bruit, des flacons de lait sans doute, provision de bouche du petit ogre…


Bonsoir les filles !
Hum Ally comme cela était convenu voilà je t’amène mon trésor le plus précieux en ces moments de doute. Je t’ai mis quelques provisions de bouche et de linges car c’est bien une fille…il faut tout le temps la remettre au sec…
Et puis avec les flacons de lait je t’ai mis la « tototte » mais bon on a trouvé mieux avec Pierre. Il est plein de ressources cet homme…regardes

Il a bricolé une corne pour permettre d’allaiter…vu que nous les hommes le Très Haut a oublié de nous donner physiquement cette possibilité…Surement parce qu’on arrêterait pas jouer avec, nous connaissant.
Tu mets le lait là dans le grand trou et la pointe dans le bec de l’oisillon et normalement ça coule tout seul.
Tu vas voir Diane prend sa repue en moins de dix minutes et je te dis pas le rot qui s’ensuit…
Bon voilà…que te dire de plus que tu ne saches ? Ce n’est pas moi qui vais t’apprendre à torcher ou nourrir un marmot hein ?


Même si le ton est volontairement bourru, pour ne pas sembler trop sensible, chaque geste de Jehan ne vise qu’à protéger et donner de l’amour à sa fille. Cette enfant a réussi là où sa mère à sans doute échoué…Elle a asservi cet homme malgré sa petite taille, avec son regard bleu d’azur volé à sa mère, ses boucles blondes volées à ses deux parents.

Bon les filles si quelqu’un voulait m’aider à me débarrasser de toutes ces choses je pourrais sans doute attraper ma bourse pour vous payer une pinte. C’est que j’ai de la route à faire moi ce soir…

Tout en parlant, le visage de Jehan s’assombrit. Il se remémore le courrier reçu de l’agresseur de ses enfants entre LT et Poitiers, et songe à Isabelle, alitée à Limoges après une agression injuste et irraisonnée comme savent trop souvent le faire des armées en mal de bataille…
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Audixia
Une porte grinça, mais personne ne sembla l'entendre. Et l'Audixia de disparaître une fois de plus, grâce à son talent inné pour s'éclipser.

Amelianne quand à elle, entamait une tournée pour récupérer ça et là toutes les chopes vides qui jonchaient les tables, tout en proposant du ravitaillement.
Allydou
Elle avait accompagné la dame et ses enfants jusqu’au premier, pour leur ouvrir leur chambre.
En redescendant, elle voit entrer Jehan, fort chargé.


Bonsoir toi, alors ça y est tout est prêt ?

Attentive, au départ, elle l’écoute lui énoncer tout ce don elle allait avoir besoin pour s’occuper de la petite princesse pendant quelques jours.
Elle regarde, curieuse comme toujours, cette corne qu’il lui montre, en riant de l’explication entendue.


Ah ben, Clo essayera peut être, et qui sait, si ça lui plait, il en commandera une à Pierre.

Ne tenant plus, elle s’approche de lui en riant, pour le débarrasser des ses nombreux paquets.

Bon, je pense que je devrais m’en sortir hein. Antoine n’a pas l’air d’être maltraité, ni mal nourri … remarque, pour ça il faudrait être sourd quand il a faim celui la !

Ne t’inquiètes pas pour elle, ou du moins essaye, à part apprendre à tirer la langue avec le ptit Ange, tu la récupéreras telle que tu me la laisse ce soir ta fille, pars tranquille.


Elle sait toute l’importance que la benjamine a pour lui, et essaye juste de le détendre un peu.

Bon … et tant que j’ai encore mes deux mains de libre, si j’en profitais pour prendre une chope …

Qui m’accompagne ?


Avec tout ce monde qui va et vient depuis un moment, elle ne remarque pas la porte qui vient de se refermer encore une fois ...
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Davor
Oula... Tout allait beaucoup trop vite pour Davor là, alors qu'il était bien confortablement installé, sa douce dans ses bras. Il salua la voyageuse accompagnée de ses deux enfants d'un léger signe de tête, et, s'apprêtant à embrasser Kali dans le cou, fut brusquement tiré en avant, les tympans menaçant de se briser sous les cris de joie proférés.

Il lui fallu quelques secondes pour reprendre ses esprits, pile au moment où tout le monde parlait de chopes. Quelle aubaine ! Suivant toujours le mouvement, il fit la bise à Kykyne qui l'enlaça avec tendresse, se colla contre lui, l'embrassa longuement et... Ah non, mince, le voilà qui laissait à nouveau ses pensées dériver vers Kali... Comme toujours en fait.

Au final, ce qui comptait c'est que sa douce était toujours dans ses bras, qu'une chope, pleine de surcroît, était apparue dans sa main droite, et que la dite main porta naturellement à ses lèvres la dite chope, pour la délester de son délicieux breuvage.


A la notre, et à LT !

Le Baron s'interrompit lorsque la porte s'ouvrit à nouveau et regarda son Cousin entrer, son sourire s'estompant aussitôt lorsqu'il comprit pourquoi il était venu confier sa fille aux bons soins d'Ally. Maudissant sa charge de Capitaine qui l'empêchait de quitter le Poitou et donc d'accompagner son Cousin, il se contenta de lui faire un petit signe de la main, accompagné d'une triste ébauche de sourire, cherchant à lui faire comprendre qu'il était de tout coeur avec lui, mais sans savoir si ce message avait été compris.
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Petitjehan
Une fois débarrassé de se paquet s'assied installant Diane confortablement dans son berceau.
Moi je veux bien t'accompagner et puis je file...
Jehan se rend alors compte qu'un couple est là auquel il n'avait pas pris garde.
Hey bonjour Davor tu vas bien? Je file vers Limoges et Ally me garde Diane puisque...puisque Mina a été voir si l'herbe était plus verte ailleurs....
D'un trait Jehan avale sa chope, bise sa fille et salue de la main la compagnie avant de sortir
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