Keyfeya
....Entre autre !
[Frontière Poitou - Bretagne - Campement Sub Rosa]
Tard dans la soirée, lébène pétrocorienne était désespérée du dernier message dun lieutenant breton, après un sérieux vague à lâme et la rédaction dun message très personnel, elle trouva enfin le sommeil dans la campagne poitevine. Cest au petit matin quelle tapa du poing sur la table en bois de sa tente, on se moquait delle ! Et une idée que certains diront folle, que dautres appelleraient poneysque surgit enfin.
Sur le pied de guerre, elle avança pour donner ses ordres au centre de son campement. Requinquée.
Debout bordel !
Je veux que lon me réunisse tous les poneys disponibles, je veux aussi des volatiles, plein de volatiles, Pat, ramène-moi ta buse, ton hibou, ta chose-là qui te sert à envoyer des courriers et qui a un caractère de saloperie, la main sagite comme si Pat avait forcément compris de quoi elle parlait, je veux également toutes les bouteilles dalcool que vous avez réuni dans ce foutu campement et vous foutez pas dma tronche, je sais que y a pas que trois bouteilles !
Un regard circulaire, pas la peine de la lui faire, elle était quand même un poney rose, trucmachinchosite et Périgourdine de naissance.
Rassemblez moi tout ça devant la frontière bretonne, la croupe des poneys en direction de la Bretagne, au Nord, bien au Nord vers Fougères et trouvez-moi des chatons, jai entendu miauler cette nuit, je suis sure que ça pullule dans les environs.
Un claquement de doigts.
Et sortez-moi Lotx de la naphtaline, depuis quil est là, il branle rien, il est temps quil mette sa verve en pratique ! Ah oui et la mère des deux siphonnées aussi, quelle mette ses chaussons roses.
Alors que les soldats rassemblaient les éléments demandés à son plan machiavélique, elle attrapa un intendant par le col, et lui mit des vélins et de lencre entre les mains.
Toi le scribe écrit et envoie moi ça par-dessus la Bretagne. Partout !
Elle dicta fort et clair.
[Frontière Poitou - Bretagne - Campement Sub Rosa]
Tard dans la soirée, lébène pétrocorienne était désespérée du dernier message dun lieutenant breton, après un sérieux vague à lâme et la rédaction dun message très personnel, elle trouva enfin le sommeil dans la campagne poitevine. Cest au petit matin quelle tapa du poing sur la table en bois de sa tente, on se moquait delle ! Et une idée que certains diront folle, que dautres appelleraient poneysque surgit enfin.
Sur le pied de guerre, elle avança pour donner ses ordres au centre de son campement. Requinquée.
Debout bordel !
Je veux que lon me réunisse tous les poneys disponibles, je veux aussi des volatiles, plein de volatiles, Pat, ramène-moi ta buse, ton hibou, ta chose-là qui te sert à envoyer des courriers et qui a un caractère de saloperie, la main sagite comme si Pat avait forcément compris de quoi elle parlait, je veux également toutes les bouteilles dalcool que vous avez réuni dans ce foutu campement et vous foutez pas dma tronche, je sais que y a pas que trois bouteilles !
Un regard circulaire, pas la peine de la lui faire, elle était quand même un poney rose, trucmachinchosite et Périgourdine de naissance.
Rassemblez moi tout ça devant la frontière bretonne, la croupe des poneys en direction de la Bretagne, au Nord, bien au Nord vers Fougères et trouvez-moi des chatons, jai entendu miauler cette nuit, je suis sure que ça pullule dans les environs.
Un claquement de doigts.
Et sortez-moi Lotx de la naphtaline, depuis quil est là, il branle rien, il est temps quil mette sa verve en pratique ! Ah oui et la mère des deux siphonnées aussi, quelle mette ses chaussons roses.
Alors que les soldats rassemblaient les éléments demandés à son plan machiavélique, elle attrapa un intendant par le col, et lui mit des vélins et de lencre entre les mains.
Toi le scribe écrit et envoie moi ça par-dessus la Bretagne. Partout !
Elle dicta fort et clair.
Citation:
Aux deux dingos revenues dentre la mort qui tue !
Nous sommes à la frontière sud de la Bretagne avec des poneys armés et une arme de destruction massive, un roux nu qui dit sappeler Doudou !
Si vous ne ramenez pas vos miches illico presto, en Poitou, je tue les chatons et je pends le roux ainsi que le Monseigneur Seigneur quasi princesse, par les pieds à un arbre, jusquà ce que mort sen suive ; si jamais vous avez encore du mal à vous décider, il reste lalcool qui coule à foison et les poneys roses.
Ceci est mon premier et dernier avertissement !
Signé : CHOUCHOU.
Nous sommes à la frontière sud de la Bretagne avec des poneys armés et une arme de destruction massive, un roux nu qui dit sappeler Doudou !
Si vous ne ramenez pas vos miches illico presto, en Poitou, je tue les chatons et je pends le roux ainsi que le Monseigneur Seigneur quasi princesse, par les pieds à un arbre, jusquà ce que mort sen suive ; si jamais vous avez encore du mal à vous décider, il reste lalcool qui coule à foison et les poneys roses.
Ceci est mon premier et dernier avertissement !
Signé : CHOUCHOU.
Elle embarqua Matpel par la manche ainsi quun chaton, quelle entraina au bord de la frontière.
Je tinterdis de foutre un pied de lautre côté mais tu vas te dessaper et vite fait mon ptit Mat et magne toi le fondement parce quon na pas la journée. Et puis tu fais des grands signes, en plus comme tes roux, on te voit de loin et dans la nuit.
Elle mit un doigt dans sa bouche puis le ressortit pour prendre le sens du vent, cest vrai quen Bretagne ça tournait dans tous les sens, mais là cétait parfait.
Elle tendit un bras avec le chaton miteux en direction de la Kertagne, y en avait marre, fallait pas lavoir mise en colère.
Jhésiterais pas à buter lchaton alors maintenant ça suffit de faire les folles à Fougères vous rdescendez !
Ah, elles voulaient une guerre, et ben voilà mais c'était pas celle qu'elles pensaient. Parce que non, la Bretagne, elle avait rien à voir la dedans.
_________________