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[RP] COBA vs Prévôté : faites vos jeux !

Timothee.


Son frère était arrivé, Timothée était ravi de le voir, la joute allait pouvoir commencer et les deux frères allaient pouvoir mesurer leurs forces respectives. Qui du petit ou du grand gagnerait. Quelques instants avant d'être appelés par leur mère. Timothée prit place sur la lice face à Matthis et le regarda avec son petit sourire en coin, il sortit son épée de son fourreau et prit en main son bouclier au couleur de la famille.

Il aurait presque fait le haka médiéval pour impressionner son frère. Le coup de sifflet ou plutôt le départ annoncer par sa mère, il ne laissa pas son frère prendre l'avantage, il le savait plus muscler que lui, aussi préférait-il se montrer plus rapide. Malheureusement dans sa précipitation Timothée ouvrit une brèche dans son attaque et Matthis le repoussa sans problème.

Seconde passe et là, Timothée se laisse surprendre par son frère.

Héééééé !

Il parvient tout de même à repousser son frère, en bloquant son épée avec son bouclier.

Malheureusement pour la troisième attaque, Timothée sent la lame de son frère contre son bras, Matthis a déjà un point.

Tu vas voir ! J'vais m'venger !

Et de prendre son élan et de parer l'attaque de son frère, tentant de reprendre un avantage. Dans son élan, il récupère l'avantage et se précipite vers son frère qui le repousse à l'aide de son bouclier et de son épée. Jusque là, Timothée n'a jamais réussi à approcher ne serait-ce que la pointe de son épée vers Matthis. Ce dernier tente de le toucher mais échoue alors que Timothée se ressaisit et se jette pratiquement sur son frère.

Sa vitesse surprend Matthis qui ne se défend pas, ce qui surprend presque Timothée, son épée le frappe de plein fouet l'avant bras de Matthis, lui laissant l'empreinte de sa lame. Timothée regarda sa lame rougit, rouge du sang de son frère, rouge de son propre sang.

Timothée s'arrête, abaisse son épée et s'approche de Matthis.

Tu veux vraiment aller jusqu'au bout ? Tu peux encore déclarer forfait ce n'est as trop tard !
Matthis.


Le duel pouvait commencer, affronter son frère avait un certain goût de fierté dans l'esprit de Matthis, affronté son petit frère lui permettrait de découvrir les progrès de ce dernier et surtout de lui apprendre certaines choses, le rôle d'un frère en quelque sorte, mais il était loin de s'imaginer de ce qui allait se passait.

Autant les premières passes permettaient de juger son petit frère et de le toucher au moins une fois pour lui montrer qui était le chef entre les deux, et surtout le plus fort, mais... Il souriait au fond de lui, il l'entendait le Timothée râlé, les épées cognaient l'une contre l'autre dans un bruit de métal alors que les boucliers se retrouvaient entaillés par les coups d'épée, la force était présente, et si Matthis savait la maîtriser, son frère avait plus de mal et Matthis l'appris à son dépend.

Il sentit quelque chose de froid sur son avant bras, il sentit une odeur de fer, mais cela ne venait pas de l'épée de son frère. Il sentait du liquide couler le long de son bras pourtant, il ne pleuvait pas. Il releva la tête et fixa son frère qui semblait interdit, son épée rougit.

Tu veux vraiment aller jusqu'au bout ? Tu peux encore déclarer forfait ce n'est as trop tard !
Tu as déjà vu notre père abandonné au milieu d'un combat sur un champ de bataille ? Ah non... tu n'as jamais fait la guerre encore.

Et de sourire à son petit frère, celui qu'il protégeait.

Serais-je à la hauteur de notre mère si j'abandonnais maintenant ?

Il se souvenait encore des cris de sa mère, de ses appels, de ses hurlements quand Alcalnn avait manqué à l'appel un matin et sa douleur quand elle avait découvert son corps sans vie.

Et puis c'est toi qui ne maîtrise pas ta force ! Alors c'est toi qui dois déclarer forfait !

Et comme pour appuyer ses dires, Matthis reprend le combat et s'avance vers son frère épée devant lui, bouclier en défense. Mais même en s'y reprenant par quatre fois, Matthis ne toucha pas une seule fois son frère, sans doute la douleur dans son bras qui le lançait et l'empêchait d'aller au bout de ses attaques, la douleur se lisait sur son visage.

Il repousse l'attaque de son frère avant de finalement croiser le fer avec lui alors qu'aucun des deux ne parvient à prendre l'avantage sur l'autre, Timothée parvient à la passe suivante à prendre l'avantage sur lui et Matthis fut pris au dépourvu et Timothée le toucha une troisième fois marquant la fin de ce duel, la victoire de Timothée. Mais il sentit la lame de son frère le long de son cou et alors qu'il aurait pu porter un collier, Matthis arborait simplement un joli filet de sang rouge...

La douleur dans le bras ajoutée à celle qui venait le lancer au niveau de son cou, ne lui permettait pas de rester sur ses jambes, le sol se dérobait sous ses pieds, il tomba à genoux sur la lice, la tête baissée. Sans doute un peu à cause de sa défaite, mais sans doute beaucoup à cause de ses blessures.
Korydwen
Matthis vs Timothée - 14h

Elle avait senti la main de Carmen et l'avait serré comme pour se donner du courage, elle avait comme toute mère, la peur au ventre, cette même peur qu'elle avait éprouvé à Muret, Eléa, Matthis, deux enfants, deux adultes, libres de leurs choix et de leurs actions, ils avaient été à la guerre et chaque nuit la même angoisse. Mais, elle ne pouvait aller contre leur volonté.

Le duel commença, elle tâcha de commenter du mieux qu'elle pouvait ce duel, la voix n'était pas tremblante, elle la maîtrisait, respirant assez régulièrement, mais quand la lame de Timothée entailla le bras de son fils, Korydwen se sentit défaillir. Elle n'avait pas eu le loisir d'apprendre à son fils l'art de l'épée, elle ne savait pas qui s'était chargé de le faire, Timothée était jeune, elle voyait bien qu'il ne retenait pas ses coups contrairement à Matthis, elle espérait que cette première blessure lui permettrait d'être moins brute.

Calme toi mon fils... Doucement...

Souffla-t-elle a demi-mot en direction de Timothée, il s'arrêta, que se passait-il dans sa tête ? Elle entendit l'échange et Matthis tenait de son père, il allait au bout de ses idées, au bout de ses combats. Elle hocha la tête, plus le temps passait et plus Matthis lui rappelait Althiof, et forcément quand elle pensait à Althiof, elle se tournait vers ce satané monastère qu'elle maudissait jusqu'à son éboulement !

Et comme son père, Matthis ne se laissa pas faire et attaqua de nouveau, mais elle voyait bien qu'il avait les traits tirés, elle voyait bien qu'il n'était pas bien et plus faible, plus fébrile, moins précis dans ses gestes, elle aurait arrêté le duel ! Elle aurait hurlé d'arrêter, mais le pouvait-elle ? Elle n’interromprait pas les autres, alors pourquoi eux ? Sous prétexte que son sang, sa chair se déchirait sous ses yeux ? Elle poussa un soupire de soulagement lorsque Timothée toucha une troisième fois son frère, cependant... Elle ne vit pas tout de suite le sang couler de la gorge de son fils, ce fut le cri de Krakinette qui l'alerta, elle sentit un léger bruit de chute. Et puis le cri de Carmen lui glaça le sang.

Elle tourna la tête et planta ses yeux sur son fils qui était par terre.

Matthis lève toi... Je t'en prie lève-toi.

Et là, elle fut projeter quinze années en arrières, un matin d'octobre, un banquet était prévu pour le soir, un anniversaire de mariage, elle était enceinte, un gros ventre de huit mois et puis tout s'était bousculé, elle avait perdu les eaux, un Althiof paniqué, des douleurs, de la fatigue, un petit homme avait montré le bout de son nez, tout chétif, tout fin, minuscule, tout léger, un petit Matthis et en ce jour son petit Matthis... Etait devenu un homme et...

Lève-toi... Je t'en prie. Matthis ! Lève toi.

Et sans qu'elle ne s'en rende réellement compte, blanche comme un drap neuf, elle hurla pratiquement en direction de son fils.

MATTHIS ! LEVE-TOI !!!

Et puis se rendant compte qu'elle écrasait la pauvre main de Carmen, elle se tourna vers sa cousine.

Carmen... Je t'en prie, va !

Point besoin d'en dire plus, malheureusement, elle avait un tournoi à arbitrer... Et elle ne pouvait pas l'interrompre...
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Carmen_esmee.
Carmen ne sent plus sa main tant Kory la serre, sans relâche, Elle ne dit rien puisqu'elle lui rend la pareille, Matthis ne se relève pas malgré les supplications de sa mère, Carmen est finalement autorisée à intervenir et à le rejoindre par Kory. Elle n'attend pas une seconde.

Laissez moi passer ! Elle doit se faufiler entre les spectateurs pour les atteindre, elle se précipite à genoux a côté de Matthis, elle vérifie que aucun gros vaisseaux n'est touché, ce n'est que superficiel, vu l'écoulement, elle se lève et passe sa tête sous le bras de Matthis

Tim aide moi, ordonna t-elle de l’inquiétude plein la voix mais aussi de la colère...

Ils l'évacuent pour veiller a ce que ce ne soit que de petites plaies. Un regard pour Kory dont l'état est finalement plus préoccupant que celui de son fils.

Todo va bien, lui dit elle avant de disparaître sous la tente réservée aux soins.

Ils allongent Matthis sur un lit de camp prévu a cet effet, Elle regarde la plaie a la gorge, aucun vaisseaux n'a été touché, c'est bien ce qu'elle pensait. L’inquiétude de Carmen retombe et c'est finalement un peu fâchée qu'elle ôte sa besace de son cou et la pose près d'elle avec violence,

Qu'est ce que c'est que cette affaire a régler dont votre mère m'a parlé !? elle regarde Tim et Matt tour à tour.

La jeune femme ouvre sa besace et en sort un linge propre ainsi qu'une petite flasque,

Cela va piquer un peu,

Elle verse l'alcool sur le linge et vient l'appliquer sur sa gorge, a hauteur de l'entaille.

Pose ta main dessus, et appui Matthis.

Carmen se souvient qu'elle avait eu le même geste pour Tim, le jour de son baptême, ils avaient encore des épées en bois a l'époque. Elle soupire en répétant l'opération pour son avant bras. Elle comprime la plaie.

Alors ?

Elle les trouvait jeune pour cela, mais en fait pas tant que cela, elle avait l'âge de Matt quand elle prit la décision de s'enfuir de Montpensier, et elle tomba amoureuse cette même année. Elle les regarde et pose LA question.

Ce n'est pas une histoire de filles quand même ?

Carmen essaye de garder son sérieux, mais elle affiche un petit sourire amusée, si Matt ne répond pas, il se peut qu'elle appui sur la plaie pour lui faire mal.. La brune est curieuse et un brin sadique ?
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Thibantik
Première passe :
Thibantik prend l'avantage en attaquant Goddefroy avec un certain confort. Ce dernier se défend assez bien pour parer.
C'est malin ! Lui faire commencer les duels alors que l'un des fils de Kory est blessé ! Faisant le vide sur ce qu'il se passe autour d'elle, Thib attaque en premier mais se fait parer par Goddefroy

Deuxième passe :
Thibantik attaque de nouveau avec un certain confort alors que Goddefroy se défend avec brio, mais visiblement pas assez pour contrer l'attque de Thibantik. Cette dernière le touche.
Reprenant sa respiration, la blonde repart a l'attaque et touche son adversaire

Troisième passe :
Cette fois Goddefroy prend l'avantage, sauf qu'il dévoile un peu trop rapidement son attaque, permettant ainsi à Thibantik de se défendre assez bien pour le parer.
Il attaque le jeune coq, mais la blonde n'a pas dit son dernier mot et réussi a parer le coup

Quatrième passe :
Aucun des deux duellistes ne parvient à prendre l'avantage.
Le souffle commence a manquer et cete passe est un brouillon ou aucun des deux duelliste n'arrive a mener l'attaque

Cinquième passe :
Goddefroy prend à nouveau l'avantage et attaque prestement et précisément Thibantik, la prenant visiblement au dépourvu puisque cette dernière se défend piteusement. Goddefroy touche Thibantik et dans son élan la blesse légèrement au ventre.
Commençant a être un peu (!) a bout de souffle, la blonde n'arrive pas a défendre et sent l'épée de son adversaire l'égratigner au niveau du ventre, sans toutefois lui faire trop de mal

Sixième passe :
Thibantik ne se laisse pas faire et pique l'avantage à Goddefroy, elle l'attaque avec un certain confort alors qu'il se défend efficacement, sa défense lui permet de parer l'attaque de Tibantik.
Goddefroy, surement surpris d'avoir touché se laisse surprendre par l'attaque de la blonde, mais reprends vite ses esprits et réussi a se défendre et à parer l'attaque

Septième passe :
Goddefroy récupère l'avantage une nouvelle fois et attaque prestement et précisément Thibantik, mais cette dernière se défend avec brio cependant Goddefroy réussit à la toucher.
Encore une fois, Thib se fait toucher, ca commence a faire beaucoup de touches, elle ne va plus sortir de la salle d'entrainement si ca continue ...

Huitième passe :
Goddefroy fort de sa réussite garde l'avantage, mais il attaque sans grande conviction Thibantik qui se défend assez bien et qui pare l'attaque de Goddefroy.
Les deux adversaires commencent a fatiguer, pas grand chose ne sort de ce assaut

Neuvième passe :
Goddefroy garde l'avantage et attaque précisément et prestement Thibantik, mais même si cette dernière se défend avec brio, God la touche.
Dernier assaut ... Thib réussit a se défendre, mais God, plus en forme que la blonde, réussit a la toucher quand même

Goddefroy est déclaré vainqueur à 3 touches contre 1.
Rien à dire, la jeunesse a gagner, a blonde va se remettre a l'entrainement.
Elle s'approche de God, enlève son casque et le félicite de sa victoire

- Bravo God ! Tu vois, te faire courir d'un bureau a l'autre t'a maintenu en forme . Je te payerais un verre a la fin du tournoi, je vais voir comment se débrouillent mes Bourbonnais
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--Alexandre...


Les frères furent appelés, Alexandre se recula, mais resta à la hauteur de Carmen et Korydwen.
Lorsqu'elle l'avait vu, c'est comme si elle avait peur.
Mais Alexandre ne se battrait pas.
Il portait néanmoins à sa ceinture son épée de bois pour faire comme ses frères et comme Korydwen.
Il admirait les enjambés, les coups d'épée de ses frères, mais en voyant l'épée de Timothée rouge il ne put retenir un hurlement.
Les mains devant la bouche, il regardait Timothée avec des yeux ronds d'incompréhension.
Pourquoi Timothée faisait ça ?
Pourquoi Timothée semblait vouloir tuer Matthis !
C'était terrible ! Il fallait faire quelque chose.

Mais avant qu'il n'ait pu décrocher le moindre mot, Timothée frappa une dernière fois Matthis au cou.
Alexandre regarda Matthis tomber par terre.
Il était horrifié, les mains devant sa petite bouche en "o", il ne quittait plus des yeux Matthis.
Il entendait vaguement Korydwen, mais le son lui paraissait lointain, il ne se sentait pas très bien.
La tête lui tournait, c'était la première fois qu'il voyait une épée avec du sang.
Et pas n'importe quel sang, celui de son frère.

Il vit Carmen partir et avec l'aide de Timothée elle entraina Matthis jusqu'à une tente.
Il suivit Carmen en courant sur ses petites jambes.
Il écouta avant d'entrer dans la tente.
Il posa ses mains sur ses hanches et entra dans la tente, d'un air courroucé.

Timothée !!
Pourquoi tu veux tuer Matthis ?

Alexandre était en colère.
Il espérait bien que Korydwen allait punir Timothée !


Timothee.


Et comme il s'y attendait, Matthis refusa, prétextant qu'il devait s'arrêter lui, parce qu'il avait par mégarde blessé Matthis, dans l'élan, l'euphorie du mouvement, ravi de prendre le dessus sur un frère plus musclé et plus entraîné que lui, là était bien le problème, au fond de lui Timothée enviait son frère, il enviait son parcours, lui avait eu le droit de partir apprendre, lui était resté, en même temps, il n'avait rien demandé. Le combat reprit, mais son frère semblait tirailler, Timothée finit par toucher une troisième fois Matthis mais sans réellement le vouloir son épée ripa jusqu'au coup de son frère pour l'entailler, le temps de retirer son épée couverte de sang que son frère s'effondra là sous ses yeux.

Timothée resta interdit, ne sachant que faire et que dire surtout, il n'entendit pas sa mère au loin, juste un bourdonnement à ses oreilles, les larmes lui couvraient les yeux et rendaient son regard assez flou, il garda son épée en main. Ce n'est que lorsqu'il entendit la voix de Carmen qu'il se rendit compte de tout cela. Il lâcha son épée qui tomba sur la lice, il aide Carmen et entraîne son frère jusqu'à une tente réservée pour les soins.

Matthis est allongé, les bras le long du corps Timothée se sent inutile et surtout en colère contre lui-même, Matthis avait raison, Matthis avait toujours raison, il était la sagesse alors que lui était l'effronté qui se mettait toujours dans des situations embarrassantes. Matthis était plus fort que lui, Matthis maîtrisait ses gestes alors que lui ne maîtrisait rien du tout. Tournant son visage vers Carmen pour lui répondre.

Un duel de force.

Une histoire de fille ? Oh non ! Jamais de la vie ! Il est vrai qu'il y avait Isabella, d'ailleurs comment prendrait-elle le fait qu'il avait presque tué son frère ?... Il soupira et baissa la tête, se grattant la nuque.

Non pas de fille. On ne se battrait pas pour ça voyons.

Et puis soudain, un nain miniature entra dans la tente. Et autant dire qu'il était remonté. Timothée s'approcha d'Alexandre pour lui répondre, se mettant à genoux devant lui.

Je ne veux pas tuer Matthis. Cela arrive dans les duels de se blesser. Matthis est plus fort que moi, il sait maîtriser ses gestes, sa force.

Il se tourna, baissa la tête et regarda son frère.

Je suis désolé, tu avais raison, je n'aurai pas du te défier....
Capridekolhan
Capri qui avait un pigeon du capitaine alors qu'elle se trouvait en réunion, ou celui-ci l'avait invité à venir aider des combattant blesser lors des duels et représenter la COBA. d’après ce qu'elle avait compris c'était la COBA et prévôté...
Elle arriva avant son équipe, alors qu'il y avait déjà des duels et de l'effervescence...elle cherchait des yeux des visages qu'elle aurait peut être reconnu ?....

Et Bernadotte ou était-il ??

Elle fit le tour, sous les bruits des lames, de fer à certains endroit d'autre des épées de bois..., des OOhhh et des AAhhh des outtcchhh arrgggrrrr Sclinggg ....zzzzzzfffffffffffff....
VASY !!!! ALLEZ !!! montre lui ce que tu as dans le ventre !!!! fait attention !!!

Enfin ça bataillait dur pour gagner !!
Mais sentait une sensation de sérieux, comme si on ne faisait pas que s’amuser ici.

En tout cas pour ce qui concerné la brunette il n'était pas question de se battre elle ne savait pas se servir d'une épée...malgré les entrainements avec ses amis et autres, elle n'arrivait toujours pas à esquiver le moindre coup !! et pour en donner...c'était toujours au pif, comme ça pouvait et ou la lame tombé....heureusement qu'elle avait le bouclier, seul ustensile de guerre qu'elle arriver à faire bouger !!! pour se défendre !! elle eut un sourire au coin des lèvres, en se demandant comment bon sang elle était tombée à la COBA, avec ce non talent de guerrier ...enfin c'était comme ça

tout en marchant et pensant elle regardait à droite et à gauche....
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Enlevée par {Mouchette} Admin forum.
Bernadotte
Après le petit discours qu'il avait tenu à ses troupes, Bernadotte avait regagné la tente où il se changea. François vint l'y rejoindre et lui déclara: "La directrice de l'Hopital est là. Peut être qu'elle pourra soigner la Dame d'Epalais"

En effet, Sidonie avait été touchée au combat et transportée par la Garde dans une tente voisine de celle de Bernadotte. Bern sauta sur ses pieds et, guidé par son aide de camp, se retrouva devant Capri à laquelle il sourit largement: "Bonjour Madame la directrice, comment allez vous?? Vous tombez à pic je dois dire, car nous allons avoir besoin de vos talents: La sénéchale Legowen et le Sergent Sidonie ont été touchées...Mais la COBA mène 4 Victoires à 3 contre la prévôté. L'honneur est sauf"

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Sidonie114
Sidonie ouvrit les yeux et fut un instant totalement déroutée.

Mais où est-ce que je suis??? se demanda-t-elle en tentant de se redresser, avant de s'effondrer à nouveau sur la paillasse sur laquelle elle était allongée.

Oula, ma tête!

Ouvrant à nouveau les yeux, elle regarda autour d'elle. Elle vit son armure, son heaume, son épée et ses bottes posées non loin d'elle. Se redressant légèrement, avec beaucoup de prudence, elle prit appui sur son coude et regarda autour d'elle. Elle se retourna en entendant des voix juste de l'autre côté de la toile de la tente où elle se trouvait

Bernadotte a écrit:
Madame la directrice, comment allez vous?? Vous tombez à pic je dois dire, car nous allons avoir besoin de vos talents: La sénéchale Legowen et le Sergent Sidonie ont été touchées...Mais la COBA mène 4 Victoires à 3 contre la prévôté. L'honneur est sauf"


Tout devint clair ... le duel ... elle n'en gardait qu'un très vague souvenir ... une faiblesse dans les jambes, la prenant totalement au dépourvu et l'empêchant de parer le coup qui visiblement lui avait fait mordre la poussière. Totalement mortifiée à l'idée de s'être ridiculisée devant les membres de la Coba, la jeune femme poussa un grand soupir et se laissa retomber sur son lit de fortune, attendant l'arrivée de son époux.
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Capridekolhan
Capri vit le capitaine arriver a grand pas vers elle ...une pointe de sourire et d'inquiétude...
oui merci Bernad...evh capitaine je voulais dire...
des blessés ?...ce ne sont point do duels pour s'amuser ?

oui oui bien sûr! ! je peux voir les blessés?ou sont-ils ?
heureusement Capri avait toujours sur elle quelques charpie, onguent.instruments et autre au cas ou.
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Carmen_esmee.
Carmen n'avait pas regardé une seule fois Tim dans les yeux, ce qui était mieux pour lui. Elle ne les avait jamais grondé, et cela n'arriverai jamais, mais son regard pouvait en dire long sur sa déception. Elle se gardait de lui infliger cela.
Tim et Matthis sont des hommes à présent, ils se battent et se battront. Kory a très certainement compris cela avant elle. Un tournois dans les règles de l'art, ils sont obligé de respecter les règles ce qui en aurait été autrement si il n'y avait pas eu d'arbitre.

Tim, tu peux prendre le relais s'il te plait, Appui sur la plaie avec ceci,

Elle lui tend un autre linge avec de l'alcool d'Absinthe.

Je vais m'occuper de son cou, elle profite que Matthis soit dans les vapes pour faire deux points à l'aide du fil et de son aiguille qui ne la quitte jamais depuis qu'elle est mariée à un soldat. Elle se lave les mains et s'agenouille près de lui, s'appliquant.


Un duel de force, pourquoi ne pas se contenter d'un bras de fer.. Elle se souvient que Aedan gagnait souvent dans leur taverne, cela était devenu un spectacle habituel, et générait des paris et des bagarres

Elle regarde Tim, il a un voile humide sur les yeux, puis ses gestes traduisent de la gêne, il se gratte la nuque, la tête basse.

Vous ne vous battez pas pour elle, mais il y a bien une fille...

Elle sourit en coin, légèrement amusée par un souvenir. Elle finit sa tâche et se redresse, elle pose sa main sur son épaule en passant près de lui,

Carmen sort de sa besace un petit flacon, C'est de l'huile de germe de blé, ça aidera à la cicatrisation, c'est affreusement gras mais aussi très efficace,

Elle pose le flacon près de lui

Ne t'en fais pas tout ira bien, ce n'est que superficiel, mais je préfère faire le maximum pour éviter une infection, tu veilleras a ce qu'il change ses pansements et l'aidera tous les jours, tu le feras Timothée ?

Elle le regarde avec douceur, elle ne veut pas qu'il s'en veuille de trop. Cela devait arriver, c'est arrivé et elle prie pour que cela ne soit jamais plus grave.

Alexandre entre dans la tente, le petit homme pose ses mains sur ses hanches, elle reconnait quelqu'un dans cette façon d'être, elle se mord la joue pour ne pas sourire. Le petit dernier de la fratrie vient le gronder.

Ne t'en fais pas Alexandre, Matthis ira bien, est ce que tu pourras aller le dire à Kory pour qu'elle ne s'inquiète pas. Et Tim a déjà des corvées de prévu, comme soigner son frère et il prendra des leçons avec Matt pour lui apprendre a rester calme au combat.

Elle sourit à Alexandre pour le rassurer, puis a Tim,

N'est ce pas ?

Carmen retourne a ses soins, elle s'assied sur le lit de camp quelques minutes plus tard et regarde Matthis,

Matthis ?

Elle caresse le front et la joue de son cousin, elle a eu si peur pour lui.
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Matthis.


La tête baissée, le regard vitreux, la fin était elle proche ? Mourir des mains de son propre frère, cela ne serait pas une sorte d'ironie terrible ? Une voix se faisait douce et puis plus forte, un ordre, cette voix, il la reconnaissait, la même voix qu'à Muret, cette voix qui hurlait à gorge déployée le nom des disparus, il la revoyait sa mère, mais là, il n'avait pas assez de force dans les jambes pour se relever, il planta son épée dans le sol pour tenter de se servir d'un appui de fortune mais rien, le silence... Si toutefois une lice pouvait être silencieuse.

Il avait l'impression que des paires de bras tentaient de le relever et de le traîner jusqu'à un endroit, plus loin ? Il ne savait pas, la douleur était telle qu'il avait du mal à ne pas sombrer, des gémissements de douleurs s'échappaient de sa gorge, un souffle plus court... Allongé sur un lit, il entendait des voix, Carmen... Et puis Timothée, cependant, il était incapable de comprendre quoi que cela soit et encore moins de retenir et d'y répondre.

Et puis machinalement, il posa sa main sur la compresse de linge sur son cou, il appuya et se crispa, il en aurait hurlé de douleur, l'alcool entrait dans ses chairs et brûlait tout sur son passage, il avait l'impression qu'une flamme se répendait dans tout ses membres, comme si à la place de son sang, du feu circulait. Il se sentait partir ailleurs, dans un panier d'pommes.

Des soins, avantageux d'avoir des médecins dans sa famille, c'est ce que Matthis pensait, et ce que son père pensait, mais son père n'avait pas été là pour voir le carnage. D'ailleurs son père, il aurait réagi comment ? Comment aurait-il pris sa défaite ? Les blessures infligées par Timothée ? Aurait-il été déçu par ses fils ? Valait peut-être mieux qu'il soit dans son monastère à ce moment-là de sa vie... Une troisième voix se mêla aux deux autres, un pâle sourire, il reconnaissait Alexandre.

Après avoir été brûlé, ou plutôt désinfecté, drogué pour être dans les choux, voilà que sa cousine se mettait à la couture et qu'elle se servait de lui comme bout de tissu ? Sans doute que ses blessures le tirailleraient quelques temps, surtout celle au cou. Cela discute encore et encore, il ne comprend rien, faut dire que cette absinthe est terrible, elle lui fiche le cerveau en pagaille.

Matthis ?

Qu... QU... QUE... OUAAA ?

Il clignait des yeux et essayait de se redresser mais impossible. Il était dans un état second ou dans un second état, selon le point de vue, aussi ne savait-il pas de quoi il en retournait, ni ce que sa cousine attendait comme réponse, il avait senti des doigts sur son visage mais, avait-il rêvé ?
Isabella_margerin


Isabella écouta, sans grande conviction, les explications de dame Korydwen.
Et puis tant de monde arriva... elle resta près d'elle, en retrait.
Elle n'aimait pas du tout cette idée de se battre. Surtout quand on était pas ennemis.
Mais bon... cela semblait amuser les gens, alors pourquoi pas...

Matthis ! Timothée ! En lice !

Là elle se cacha carrément derrière la mère des enfants qui allaient se battre.
Elle cacha même ses yeux de sa main.
Elle ne voulait pas voir telle chose, Matthis et Timothée se battre.
Finalement, elle était à se plisser les yeux fermement, se boucher les oreilles aussi fermement.

Après de longues minutes...

Timothée est déclaré vainqueur avec 3 touches contre 1 pour Matthis. Les médecins sont appelés pour soigner Matthis

Et voilà !!! Elle le savait bien !! Matthis était trop petit pour se battre contre son frère !
Elle sentit son pilier, dame Korydwen, vaciller, et la soutint légèrement, discrètement.

Et puis ça continue, on vient se battre, encore et encore. Coups d'oeils furtifs vers la lice... Ca crie, ça hurle, et même ça saigne.

Et puis une dame arrive...
Et puis on crie " Matthis, lève toi ! "

Le sang se glace... il ne se lève pas,

puis " Carmen... Je t'en prie, va ! "

Et Isabella suit la dame qui arrive près des frères fous.
Car fallait être fou pour se battre comme ça.
La dame sort une aiguille et un fil. Et elle coud le cou de Matthis.
Du jamais vu pour Isabella qui avait vu souvent sa mère coudre, mais pas des cous.
Elle donne des consignes à Timothée. Faudra soigner Matthis.
Le temps est suspendu, on attend que le blessé se réveille, ce qui ne tarde pas, au grand soulagement de tous.
Derrière un pan de toile, cachée, Isabella assiste à tout cela, bouleversée.
--Alexandre...


Timothée lui explique, Alexandre opine du chef.
Il se demandait bien si après la bêtise de Timothée il aurait le droit lui d'avoir une véritable épée !
Carmen lui répondit et il fut soulager.
Il lança cependant un regard à Timothée du genre "si tu le soignes pas, t'auras affaire à moi".

Et puis d'un seul coup, Matthis commença à gémir, hurler ?
Alexandre le dévisagea, il avait la pupille bien dilatée.
Jamais vu comme ça, mais il avait une mission, prévenir Kory.
Il quitta la tente nous sans lancer un dernier regard à ses frères, ses modèles...
En sortant il trouva Isabella accrochée à un pan de tente.

Isabella ?

Elle semblait bouleversée la pauvre.
Sans doute qu'elle aussi, elle était déçue par Timothée en ce jour.
Alexandre attrapa sa main pour la réconforter.

Tu veux venir boire un jus de fruit ?
Maman en a fait apporter pour les enfants.

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