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[RP] COBA vs Prévôté : faites vos jeux !

Isabella_margerin


[Au buffet]


Bonne idée il avait eu de l'entrainer ici Alexandre ; elle fit la connaissance d'Elise, qu'elle remercia pour le verre de jus de pomme.
Voilà qui fit du bien. Isabella remercia la dame, et se posa sur un tronc d'arbre, juste derrière.
Le bruit, les combats continuaient, et... elle espérait voir Timothée arriver.
Mais il devait sans doute écouter la dame, l'écouter lui expliquer comment soigner son frère.

Et puis dame Korydwen fit une annonce, les combats étaient terminés pour aujourd'hui, place au banquet !
Un banquet ? Elle ne savait même pas si elle avait le droit d'y assister.
D'ailleurs personne ne savait où elle était.
Et si ça se trouve, on la cherchait déjà partout.
Elle aurait dû être rentrée depuis des heures.
Mais bon... pour une fois... et puis, elle était en sécurité ici.


Tu restes au banquet ?
Je pense que Timothée finira par sortir de la tente !


Elle ne résista pas au sourire d'Alexandre,

Oui, je reste.

A sa dernière question, elle ne répondit pas, car dans la foule, elle reconnu sa mère qui semblait chercher quelqu'un.

Euh... pas la peine d'aller les chercher. Mère est déjà là.
Je reviens Alexandre !

La jeune fille fila vers sa mère au regard courroucé ; elle se lança dans son explication... oui oui... pas dit où j'étais, mais j'étais juste là, avec Dame Korydwen, et il y a eu un combat entre Timothée et Matthis... et puis je suis allée à la tente, puis Alexandre m'a invitée... Et puis... Il y a un banquet ce soir...

Et sa mère regarder vers Alexandre, vers dame Korydwen; elle sourit et accompagne sa fille vers le buffet.
--Alexandre...


Alexandre était content, il observait le banquet ou plutôt, il le dévorait des yeux.
Il attendait qu'une chose : chiper une cuisse de poulet et la manger comme un gros morfale.
A croire que Korydwen ne le nourrissait pas assez.
Et en plus Isabella disait qu'elle restait !
Chouette ! Alexandre sautilla sur place et renversa la fin de son godet de jus de pomme.
Il ne manquait plus que Timothée !


D'accord !
En attendant je vais apporter de quoi manger à ma cousine Carmen.


Alexandre regarda Isabella s'éloigner vers Gypsie, il agita sa petite main pour la saluer.
Il alla ensuite récupérer une grosse tranche de pain bien épaisse.
Cela lui ferait office d’écuelle, il la garnit de viande et fromage.
Il chipa une cuisse de poulet et retourna sous la tente.
Il s'approcha de Carmen et lui tendit la grosse tranche de pain garnie, les émotions cela creusaient.
Et Aristote savait qu'ils en avaient eu beaucoup aujourd'hui !!


Tiens Carmen, c'est pour toi pour que tu prennes des forces !
Timothée y a Isabella qui t'attends dehors à côté du buffet tu devrais y aller.

Alexandre croqua dans sa cuisse de poulet, observant ses frères et sa marraine.

Korydwen
Dimanche 22 septembre

Le temps passait, elle était ravie de voir tout ce petit monde se retrouver autour d'un banquet, de la convivialité, du rire, des jeux, des blagues, qui a dit que cela n'était plus possible en Bourbonnais-Auvergne ? La Comtesse est heureuse, ravie même de voir de la vie, un feu est allumé et des torches plantées ça et là dans la lice pour permettre aux gens de se voir encore. Les flammes dansent sur les visages. Korydwen se sent bien, elle se sent revivre, elle est portée des années en arrière, les banquets du comité des fêtes, ses enfants encore tous jeunes, qu'elle retrouvait en boule dans un coin de la salle, sous leur capes. Elle frotta ses bras, une seule personne manquait à ce moment-là. Elle imaginait son époux, lui mettre une cape sur les épaules pour la protéger du froid, mais non... Rien, elle se sentait si seule et ce malgré ses amis, sa famille... Elle n'avait plus son confident, son conseiller, sa moitié, où était-il ?

Soupirant, elle laissa là les gens à la fête et se dirigea vers son appartement pour prendre un peu de repos et espérée... Le voir, l'entre apercevoir, sentir son odeur...


Lundi 23 septembre.

Elle se réveilla à l'aube, elle rejoignit sur la lice Théodon, Elise et le petit Basile qui aidait, ils étaient en train de ranger le buffet de la vieille, de retirer les torches. Korydwen les aida, cela lui permis d'oublier sa tristesse l'espace d'un instant. L'heure approchait et les premiers duellistes et simples observateurs arrivaient ou se réveiller, un campement avait été établi non loin.



Goddefroy vs Meya - Lundi 23 septembre 10h

Première passe :
Goddefroy prend l'avantage et attaque furieusement Meya qui se défend avec brio, malheureusement pour elle Goddefroy la touche en la blessant légèrement à la jambe.

Deuxième passe :
Meya pique l'avantage à Goddefroy, elle l'attaque avec un certain confort alors qu'il se défend efficacement mais Meya parvient à la toucher et le blesse légèrement au bras.

Troisième passe :
Meya continue d'attaquer, cette fois furieusement alors que Goddefroy se défend efficacement mais pas assez puisque Meya le touche une seconde fois.

Quatrième passe :
Meya garde l'avantage et attaque Goddefroy avec un certain confort alors qu'il se défend efficacement et pare l'attaque de Meya.

Cinquième passe :
Goddefroy reprend l'avantage et attaque prestement et précisément Meya qui se défend avec brio, il réussit tout de même à toucher Meya.

Balle de match... Deux touches partout.

Sixième passe :
Goddefroy attaque une seconde fois de suite mais sans grande conviction pour le coup, Meya se défend efficacement et repousse Goddefroy.

Septième passe :
Goddefroy garde son avantage et attaque prestement et précisément, mais Meya se défend avec brio et repousse son attaque.

Huitième passe :
Meya récupère l'avantage et attaque furieusement Goddefroy qui se défend avec brio mais hélas pour lui, Meya le touche et le blesse une nouvelle fois à la jambe.

Meya est déclarée vainqueur à 3 touches contre 2. Goddefroy est pris en charge par les meilleurs médecins.

_________________
Korydwen
Le premier duel donna une victoire pour la Prévôté, ainsi, Meya allait rejoindre Miss Anne déjà qualifiée par tirage au sort. Des blessés, hélas, cela continuait, les coups d'épée perdus ne pardonnaient pas, elle laissa le temps à tout ce petit monde de quitter la lice pour appeler les suivants.



Bernadotte vs Krakinette - Lundi 23 Septembre 10h30

Première passe :
Bernadotte prend de suite l'avantage et attaque prestement et efficacement Krakinette qui se défend efficacement, mais pas assez pour échapper au premier coup de Bernadotte.

Deuxième passe :
Krakinette récupère l'avantage et attaque Bernadotte avec un certain confort, ce dernier se défend assez bien et pare l'attaque de Krakinette.

Troisième passe :
Krakinette attaque une seconde fois, furieusement cette fois-ci alors que Bernadotte se défend piteusement, Krakinette réussit à le toucher.

Quatrième passe :
Krakinette attaque le capitaine de la COBA une troisième fois, prestement et précisément alors qu'il se défend avec brio, mais Krakinette le touche.

Cinquième passe :
Aucun des deux ne parvient à prendre l'avantage sur l'autre.

Sixième passe :
Krakinette réussit à reprendre l'avantage, elle attaque prestement et précisément un capitaine qui se défend avec brio, mais hélas pour lui, Krakinette le touche mettant fin au duel.

Krakinette est déclarée vainqueur à 3 touches contre 1.

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Korydwen
Krakinette venant d'expédier le Capitaine au tapis, elle rejoignait les deux autres dames, gonflant ainsi les rangs de la prévôté. Dernier duel, pour cette matinée, deux femmes, les quatre demi finalistes ne seraient que des femmes, Korydwen souriait à cette idée, les hommes avaient encore du travail et de l'entrainement devant eux. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est que Legowen comptait pulvériser le record de longueur... D'un duel... Elle appela les dernières concurrentes



Legowen vs Cerise - Lundi 23 septembre 11h

Première passe :
Cerise prend de suite l'avantage et attaque Legowen avec un certain confort alors que cette dernière pare l'attaque de Cerise en se défendant avec brio.

Deuxième passe :
Legowen attaque Cerise prestement et précisément, alors qu'elle se défend assez bien et réussit à parer son attaque.

Troisième passe :
Aucune des deux concurrentes ne parvient à trouver d'occasion.

Quatrième passe :
Legowen reprend l'avantage et attaque furieusement Cerise qui se défend efficacement et qui pare l'attaque.

Cinquième passe :
Cerise pique l'avantage à Legowen et l'attaque prestement et précisément Legowen qui se défend assez bien, mais malheureusement pour elle, Cerise la touche et la blesse légèrement à la nuque.

Sixième passe :
Cerise continue d'attaquer Legowen avec un certain confort, alors que cette dernière se défend avec brio et pare son attaque.

Septième passe :
Cerise attaque une fois de plus, furieusement alors que Legowen se défend assez bien et pare l'attaque.

Huitième passe :
Legowen récupère l'avantage et attaque furieusement Cerise qui se défend assez bien, hélas pour elle Legowen la touche.

Neuvième passe :
Cerise récupère l'avantage et attaque avec un certain confort Legowen qui se défend avec brio et repousse l'attaque de Cerise.

Dixième passe :
Cerise attaque une nouvelle fois, furieusement Legowen qui se défend assez bien et parvient à la toucher.

Onzième passe :
Cerise attaque encore une fois, prestement et précisément alors que Legowen se défend efficacement et pare l'attaque.

Douzième passe :
Cerise continue d'attaquer avec un certain confort Legowen qui se défend efficacement, elle réussit à repousser l'attaque.

Treizième passe :
Legowen récupère l'attaque et se montre rapide et précise alors que Cerise se défend efficacement et pare l'attaque.

Quatorzième passe :
Legowen garde son avantage et attaque avec un certain confort Cerise qui se défend avec brio, mais malheureusement pour elle, Legowen la touche.

Balle de match... Deux touches partout.

Quinzième passe :
Cerise récupère l'avantage et attaque furieusement Legowen qui se défend efficacement et pare l'attaque.

Seizième passe :
Legowen attaque prestement et efficacement Cerise qui se défend avec brio, mais Legowen la touche mettant fin à ce duel.

Legowen est déclarée vainqueur à 3 touches contre 2. Les médecins sont appelés de toute urgence.

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Jazon
[ Dimanche 22 septembre - Hostel de Marigny, rue des Carmes ]

Alors qu'il rentrait tout juste de la chancellerie, le consul fut presque bousculé par Gypsie, son épouse, qui sortait de leur hostel particulier.
Elle prit juste le temps de lui dire qu'elle allait à la recherche d'Isabella qui n'était pas rentrée. Puis elle s'engouffra dans la rue entre les charettes des paysans revenant des champs et les gamins qui jouaient avant le diner.


Bonsoir Antoine.
Il tendit une sacoche en cuir au jeune garde.

Prépare moi mon cheval, je ressors.

Il se dirigea vers la cuisine mais avant d'entrer sous le passage couvert, il leva la tête vers l'étage. Il entendit les rires de Pierre et Thibaud. Depuis que ce dernier avait fait la connaissance d'Alexandre, il s'extériorisait bien plus, semblait plus enthousiasme dans sa vie de petit homme.

Cela sentait bon le repas du soir dans la cuisine.

Bonsoir Lucie !
Je vais aider Gypsie à trouver Isabella.


Ben oui M'sieur Jazon. C'est étonnant de sa part de ne pas être à l'heure pour le repas du soir.... J'espère....

Jazon vit l'inquiétude dans les yeux de Lucie.
Nous allons la trouver Lucie. Elle ne doit pas être bien loin...
Elle a du oublier l'heure auprès du jeune bibliothécaire.


Il fit un sourire complice à Lucie avec un clin d'oeil coquin.
Jazon aimait bien la taquiner.
Il jeta un regard sur la table et trouva une assiette de cochonailles.
Il prit un morceau de saucisse qui s'y trouvait sous le regard outré de Lucie.

*Comme s'il n'avait pas assez à la maison, il piquait encore une saucisse !* pensa Lucie qui se mordit la langue pour ne pas penser tout haut.

Il ressortit et se mit en selle.
Antoine ouvrit les portes et Jazon sortit au petit trot de la cour.

Direction la bibliothèque !
Bien sur, elle était déjà fermée.
Mais alors, où pouvait être Isabella ?

Il croisa des badauts qui parlaient fort.
Il comprit qu'il y avait eu des duels dans la journée.
Il immobilisa son cheval auprès de deux hommes et un enfant et leur demanda ce qu'il s'était passé aujourd'hui, d'où ils venaient.
Ils le regardèrent étonnés.


Ben les duels ont commencé messire.... A la lice de Clermont...
L'armée contre la maréchaussée...


Ils repartirent et Jazon put entendre : Mais il sort d'où celui là ! Ca fait un moment qu'on en parle !

Jazon talonna son cheval et il prit la direction des lices.



[ La lice de Clermont - Dimanche 22 septembre en soirée ]

Il y avait encore bien du monde. Peut être que les duels avaient toujours lieu...
Jazon mit pied à terre et se faufila vers la lice, sa canne à la main. Mais les gens revenaient vers un buffet qui avait été dressé.

Il aperçut Gypsie qui était en grande discussion avec Isabella.
Il fronça les sourcils ne s'attendant pas à trouver la jeune damoiselle dans un tel lieu et seule.
Il se dirigea d'un pas ample mais claudiquant vers elles.
Timothee.


Dimanche 22 septembre

D'autres personnes entraient pour se faire examiner, cela faisait une sacré publicité, Timothée était heureux pour sa cousine, si un jour elle finissait brillante médecin grâce à ce tournoi, ainsi tout le monde pourrait voir que Carmen soigne très bien ! Elle accéda d'ailleurs à sa requête, il lui fallait maintenant trouver quoi apprendre et pourquoi l'apprendre. Il y réfléchirait et ferait quelques recherches à la bibliothèque.

D'accord. Merci.

Et puis du repos, il n'était pas vraiment fatigué, mais il est vrai qu'il commençait à avoir faim. Il sourit cependant à Carmen.

Je crois qu'il voudra rester ici... Il est un peu fou dans sa tête, comme mon père.

Timothée regardait son frère. Puis soudain, Alexandre entra avec de quoi rassasier un régiment complet. Et il lui annonce qu'Isabella est au dehors. Timothée se lève.

Bon euh, je vais voir Isabella. A plus tard.

Et sans demander son reste, il s’éclipse, espérant que Carmen n'ait pas vu les rougeurs sur son visage, déjà qu'elle avait deviné qu'il y avait une fille ! Enfin là il était en danger, elle avait Alexandre sous la main et Alexandre il répondait sans réfléchir aux questions. Il quitta la tente, la nuit tomba, des feus et des torches avaient été allumé, il cherchait sa mère des yeux, il la trouva, cependant, elle n'était pas dans son assiette, il préféra la laisser seule, dans ces cas-là, il avait remarqué, qu'elle seule pouvait se battre contre son chagrin, il lui envoya une bise de la main et s'approcha d'Isabella qui était avec Gypsie et Jazon approchait doucement.

Bonsoir. Vous venez pour le buffet ? C'est Althiof qui offre le tout ! Maman qui le dit !

Puis se tournant vers Isabella.

Matthis va bien. Mais Carmen veut que cela soit moi qui le soigne...
Helene.blackney
    [Le 23: jour de débâcle pour le futur écuyer Goddefroy]

    J'étais en bord de lice, il était tôt encore ce matin et la rosée n'avait pas fini de se retirer. Le terrain me semblait glissant et peu stable pour faire un duel. Qui aurait cru que je me lèverais au son des cloches pour aller voir les aptitudes de mon futur écuyer en joute. En parlant de lui, il s'avança sur la piste. Il fut annoncé le nombre de passe, un sacré nombre, qui pouvait tenir autant en lice? Premier coup, premier sursaut, quelques perles de sang giclèrent...aoutch, je me cachais les yeux un instant. Mais...mais...qu'est ce qui fiche? Il perd le Goddefroy, je me mis à hurler sur la piste:

    - Bon sang réveillez vous!

    Je ne sais pas si c'était mes mots ou autre chose mais il se mis en défense, parant les coups de son adversaire. Il inversa le cours des choses mais pour peu de temps car la dernière attaque lui fut fatal, j'avais mal pour lui et sa jambe. Je passais le bord de la lice pour aller le voir, les mains sur les hanches, les yeux fixés sur lui:

    - Je vous prends comme écuyer! Mais en attendant...on va voir le médecin

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Beths
(désolée je rattrape mon retard )

Enthousiasme n'avait pas été un vain mot. A compter du moment où Korydwen leur proposa un duel COBA/Prévôté, Beths trépignait d'impatience, se sentant prête à relever le défi, se rappelant des projets identiques, menés par leur maître d'armes. Elle s'était portée volontaire avec allégresse. Ne sachant point qui répondrait côté COBA. Sa marraine sans doute. Que ferait-elle si elle avait à lutter contre elle ?

Mais la question ne se posa pas. Elle devrait affronter un Terrible au cours de son premier tour. Bernadotte. Quelle poisse avait-elle encore eu au tirage au sort.
Frappant de sa botte un peu de terre éparse, Beths retourna vers la tente qui avait été préparée à l'intention des membres de la prévôté. Elle sourit à demi aux membres de sa famille, Kraki, Thib, Yoyo, Meya, Cerise et ceux qui étaient venus les supporter. Et encore elle supposait que tous n'étaient pas arrivés.

Et puis, elle allait récupérer son matériel, armure, lame. Posant la main sur cette épée qui lui avait tant de fois sauvé la vie, dernièrement aussi d'ailleurs lors d'une promenade ... dans le sud, en réponse à une exigence ... pour y faire quoi finalement elle se posait encore la question.
Elle caressait le métal tout en s'exprimant doucement


Ma belle ... tu m'as tant de fois sortie des situations les pires qu'il soit possible d'imaginer ... mais verseras-tu du sang auvergnat aujourd'hui ?

Elle commençait à regretter la maréchale, se doutant que ce combat s’achèverait par quelques blessures, d'un côté ou de l'autre. Pourquoi diantre n'avait-elle pas proposé à Kory un combat à l'ortie ? D'une part sa dextérité était la meilleure, cela ne faisait aucun doute, et d'autre part hormis quelques terribles démangeaisons ... le perdant ne risquerait que peu de chose au final.

Soupirant, d'un signe de la main requérant de l'aide, elle passa quelques protections et se rendit sur la lice voir les premiers combats.

Celui des enfants en premier lieu ... et elle ne put que grimacer ... des blessures ... et voila, elle l'aurait parié.
Poussant un soupir, tentant de se concentrer, elle observa le match suivant Thib contre Goddefroy. Le duel était intéressant, les deux combattants donnaient le meilleur d'eux même et les touches n'étaient que superficielles, Beths n'en respira que plus librement. Finalement tout se passait bien. Elle se prit même au jeu ... sur le bord de la lice


ALLEZ THIBOUNETTE !

Elle encourageait sa co-équipière. Hélas ... Thib perdit ce match.

C'était désormais à elle ...



Première manche : Beths vs Bernadotte - 15h


Prête, finalement elle ne l'était pas. Elle avait manqué d'entrainement, enfin pas réellement, mais depuis son retour en BA, elle n'avait pas pratiqué.
Observant à travers son heaume le Capitaine en face d'elle, elle ne put que sourire voyant le défit qu'il lui lançait ... Joueuse, elle ne put que lui tirer la langue pour lui répondre. Après tout, c'était bien aussi pour cela qu'ils étaient là ... le jeu.

Kory annonça le début de la première manche, et, elle aurait du le parier, le Capitaine attaqua. Elle esquiva assez facilement cette première attaque.

Et le Capitaine, dans la seconde manche d'attaquer encore. De nouveau elle se défendit, finalement à ce jeu là, elle n'était pas si mauvaise.

Et une troisième manche, et de nouveau une attaque du Capitaine qui la rata de peu.

Elle devait réagir, elle se lança dans une attaque peu convaincue lors de la quatrième manche. C'était évident qu'avec une attaque si flasque, elle n'avait aucune chance d'atteindre le Sénéchal, Capitaine de la COBA! Diantre il lui faudrait plus de force que cela.

Cinquième manche, elle passa de nouveau à l'attaque, mais une nouvelle fois le Capitaine se défendit avec brio. N'est pas Capitaine qui veut non plus.

Et là, que se passa-t-il exactement ? Une mouche était elle entrée dans son heaume pour aller jusqu'à ses yeux ? Ou bien une poussière ? Oui voila surement une poussière, parce que les manches suivantes défilèrent à une vitesse. Elle se fit toucher une fois, puis une seconde fois, et lors de la huitième et dernière manche, une troisième fois, plus durement cette fois. La maréchale ne put empêcher la lame de l'atteindre à la cuisse, et ses dents de mordre violemment sa lèvre pour tenter de contenir la douleur.
Réaction idiote s'il en fallait ...

Elle avait perdu et elle poussa un soupir résigné. Elle n'était décidément plus bonne à grand chose ces derniers temps.
Elle n'avait même pas réussi à toucher une seule fois Bernadotte, ne serait-ce que pour l'honneur. Elle en était pourtant capable ... enfin ... certainement.


GRumpf! Et fluuuuuuuuuuute!


A l'issue des premiers combats

Elle fut aidée pour regagner la tente et un médicastre vint la trouver. Laver la plaie, puis un cataplasme, puis un bandage ... cela ne ferait qu'une cicatrice de plus.

Elle demanda également où en était les combats. 3 victoires prévôté, 4 victoires COBA.
Ayant retrouvé pour partie sous sourire, une idée mutine germa dans son esprit. Hum ... pourquoi pas.

Attrapant plume et parchemin, elle se mit à écrire une missive


Citation:
Bernadotte,

Félicitations pour ta victoire, mais rira bien qui rira le dernier.
La prévôté vaincra ! Cela ne fait aucun doute !

Et rappelle moi de tromper ta vigilance par un quelconque tour de passe passe pour m'éviter une nouvelle estafilade.
Ta lame est tranchante Capitaine, je préfère te savoir du côté du BA que son ennemi.

Sincèrement,
Beths


Attrapant le premier gamin, spectateur émerveillé, qui passait par là

Porte moi cette missive au Capitaine s'il te plait

Et la duchesse maréchale de s'installer, légèrement vacillante, dans les tribunes, sa jambe lui rappelant sa cuisante défaite, pour suivre le second tour de ces passionnants duels.

Edit orthographe
_________________
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Guillaume220794
Même s'il devait soutenir la maréchaussée, Guillaume était assez impressionné par les performances de Goddefroy. A croire qu'il cachait bien son jeu! Heureusement Krakinette restait en lice pour la présence des maréchaux. Il fit de son mieux pour l'encourager
_________________
Krakinette
Les quart de final commençaient, Goddefroy contre Meya.

VAS SI MEYA FOU LUI LA PÂTÉEEEEEEE!

Le combat était serrer, mais Meya l'emporta.

BRAVOOO MEYAAAAAAA!

Ce fut son tour, elle devait combattre le plus costo de la COBA, pas une mince à faire.
Elle alla au milieu de la lice, bien sur avant avait pris une grosse rasade d'alcool.

Dites Messire Bernadotte, faut pas faire mal à moi hein, suis petite!

Elle se mit prêt de lui, haaaaa il faisait le double d'elle. Vite elle recula.

Je suis prête!

Première passe, Kraki fit celle qui avait du mal contre lui et lui laissa l'avantage, a la deuxième passe, avant de l'attaquer lui tire la langue, mais celui ci ne se laisse pas impressionné.

Troisième passe, il allait voir, non mais ho, elle poussa un cris de guerre qui lui permit de le toucher.

HAAAAAAAAAAAAA

Quatrième passe, se disant dans sa tête que le cris avait marcher, elle chercha une autre parade, elle se mit à sauter autour de Bernadotte et s'arreta net pour lui donner un coup avec son épée et former un K sur ses braies.

TOUCHER CAPITAINEEEE! DÉSOLER POUR VOS BRAIES!

Cinquième passe, Kraki commençais à ne plus avoir d'idées et le capitaine devait ce demander comment la mettre au sol.
Sixième passe, pas question qu'il gagne, Kraki l'épée droit devant elle, fonce sur lui en criant " A L'ATTAQUEEEEEEEEEEE " et d'un coup d'un seul , le touche .
Kory la déclare vainqueur.

Elle alla vers Bernadotte.

Merci pour ce super combat, vous avez pas trop mal j'espère?

Kraki lui sourit et lui serras la main.

_________________
Carmen_esmee.
Un pan de la tente est soulevé a nouveau, Alexandre qui revient avec de quoi souper,

"Tiens Carmen, c'est pour toi pour que tu prennes des forces ! "

Carmen lui sourit et pose la tranche de pain sur la table.

Merci beaucoup mon grand, Tu es un filleul parfait, parfait en tout point.

Elle dépose un long baiser sur sa petite joue avant qu'il ne croque dans sa cuisse, Oui bon tu pourrais être plus élégant, elle rit doucement.

Alexandre et Tim quitte la tente, Tim rougit quand Alex lui dit qu'Isabella l'attend, c'est donc Isabella, Carmen se demande s'il ne s'agit pas de la fillette qu'elle a vu plus tôt.

Carmen reste veiller son cousin toute la nuit.

Au matin, les yeux cernés, elle a à peine touché a son repas, elle regarde les combats, appuyée sur une barrière qui lui sert de garde corps, elle regarde si elle aperçoit Leodagan, il est certainement là, mais où. Le coquin savait se cacher, tout comme Duncan qui arrivait a se glisser derrière elle sans qu'elle s'en aperçoive. Ce matin, elle aimerai qu'il soit là...

Elle reconnait un visage dans la foule, Hélène, elle lui fait un signe de la main. Elle ne peut quitter son poste pour lui demander comment va le vigoureux Stefen.
Mais elle viendra à elle plus tard si Matthis s'éveille.


Je laisse les JD les blessés choisir avec quel JD les médecins, ils veulent faire un rp, bon jeu.

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Bernadotte
Le sénéchal sourit aux propos de Leg et l'accompagna sous le Pavillon d'Epalais, où il avait installé une infirmerie tenue par Capri. Il déclara: "Merci Leg, mais il faudra que je me méfie de Krakinette... ca m'a l'air d'être une drôle de Zèbre."

François lui apporta la missive de Beths et il sourit de toutes ses dents: "Je lui répondrais après le tournoi. Inutile de se vanter de l'avoir découpée si je me fais trucider après"



Le lendemain, au combat


Bernadotte avait pourtant bien commencé son combat, offensif, précis. Mais son esprit n'y étais pas: les blessures de son épouse l'avait légèrement marqués. Tant et si bien qu'il avait veillé son épouse toute la nuit précédent son quart de finale.

Bref, il n'y voyais aucune excuse, lui qui battait la campagne à longueur d'années et qui avait plusieurs campagne dans les dents. Il fallait reconnaître que l'enthousiasme de Krakinette perturbait le Seigneur d'Epalais. Fallait avouer que globalement sa défense était plutôt bonne mais le résultat était là: 3 touche pour la maréchale contre 1 seule pour le Sénéchal...


Il ôta son heaume et serra la main de Krakinette avec un léger sourire, tandis que son fidèle François s'approcha pour le débarrasser de ses armes. L'officier ne put s'empêcher de pouffer aux paroles de Krakinette et déclara: "Chère petite, j'ai vu bien pire que les égratinures que vous m'avez infligées dans ce duel... Mais mon épouse me tuerais si je vous montrais les cicatrices que j'ai gardées de mes combats pour le BA."

Le Capitaine se tourna vers François et déclara: "Où sont les enfants??" François sourit et déclara: "Aliénore et Lysandre sont à Civrais, sous la garde de Françine. Vous connaissez leurs aversions pour ce genre de distractions. Quant à Alban..." L'adolescent baissa les yeux et bredouilla: "Il est avec le Vicomte à l'Allégeance..."

Le sang de Bern ne fit qu'un tour. Non pas qu'il soit contre le fait que son ami Fabien partage un moment avec son fils, mais le jeune écuyer avait délibérément désobéi à ses ordre: restez à Civrais jusqu'à nouvel ordre... François repris: "Simon est présent également."

Bern se retourna vers Krakinette et lui déclara: "Chère damoiselle, ce fut un beau combat. Et pour vous remercier de votre fraîcheur et récompenser votre bravoure: je vous offre 5 tonneaux de Cognac. Vous pourrez les récupérer au Pavillon d'Epalais."

Bernadotte désigna la tente et se dirigea vers la sortie de la lice où il retrouva le fameux Simon. Simon était un homme ventripotent, coiffé d'un bonnet de cuir cachant une chevelure, brune, diminuée par une calvitie. Le gros homme était l'Intendant du fief de Bern, vêtu d'un mantel vert, surmonté d'un col en fourrure, il était très élégant malgré sa surcharge pondérale.

Le Seigneur lui emboîta le pas et lui déclara sèchement:
"Parles... que ce passe t-il??" Simon répondit, gêné, "Monseigneur, c'est une affaire délicate.... Quatre cent écus ont été dérobés aux caisses d'Epalais..." Bern sourit: "En effet c'est délicat... J'ai commis une erreur commerciale. J'ai remboursé Mathilde de Vaucanson des deux cents écus que je lui devais et lui ai donné les deux cents autres pour compenser la perte de ses tapisseries."

L'Intendant paru soulagé, non pas qu'il soit avare, mais il aimait vivre dans un certain confort et compléta: "Nous avons conclu une très juteuse transaction et le déficit s'est transformé en bénéfice. On peut dire que les bonnes récoltes de cette année devraient pouvoir servir cet hiver."

Bernadotte sourit de toutes ses dents et déclara: "Excellent travail Simon. Je sais que je peux compter sur toi. La Dame d'Epalais a été égratignée lors de son duel. Veille à ce qu'elle ne manque de rien. Ah, et j'espère que tu as apporter des mets pour le buffet... j'ai peut être perdu mais la COBA est encore en lice"

L'intendant paru soulagé de ces bonnes nouvelles et sourit: "Oh bien sur Monseigneur. Nous avons rapporter trois douzaines de Poulets, Deux demi boeufs trois cochons. Sans compter les vingts tonneaux de bière et les cinq de Cognac. La Dame s'en sortira j'espère??"

Bern sourit à l'énoncé de Simon et répondit: "Oh oui, elle s'en sortira." Ils se dirigèrent vers le buffet et s'attablèrent. Bern regarda François et lui dit: "Part pour le Palais Ducal où tu récupérera Alban. Il sera de corvée de nettoyage des écuries pendant au moins deux mois...pour ne pas avoir respecter la consigne." François se leva sans oser avouer qu'un peu de bière et de poulet rôtis lui auraient bien plû.

Il soupira intérieurement et Bern compléta: "Après ton repas bien entendu... On ne chevauche pas l'estomac vide " Les trois hommes éclatèrent de rires et mangèrent en attendant d'assister au prochain combat.
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Duncan_mac_campbell
Duncan était encore et toujours vêtu de son uniforme car il sortait à peine de la caserne, à une réunion à l'Hôpital militaire écourtée pour cause de joute auvergnate où certains avaient été blessés. Cela ne l'étonnait pas mais dans le fond, il aurait aimé participer, quitte à faire partie des malheureux blessés.

Il avait été cherché Storm en vitesse aux écuries où Sidonie ne se trouvait pas ce jour-là, ce qui était surprenant puis avait parcouru les lieues le séparant de la lice auvergnate où se déroulait la joute, chargé de pansements, bandes, fils, aiguilles, onguents, tout ce qu'il fallait pour être opérationnel une fois sur les lieux.

Mais que ne vit-il pas au loin ? Il lui semblait reconnaître son épouse, quelques-uns de ses cousins, dont Kory, Timothée notamment. Carmen était appuyée à la barrière, semblant perdue, une fois n'est pas coutume, dans ses pensées. Il s'approcha à pas de loup et chuchota :


Me voici Querida Mia, vous avez désiré ma présence, je suis à vos ordres...

Il sourit en coin, heureux de son petit effet.
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Carmen_esmee.
Elle s'étire le dos en s'appuyant sur la barrière, son corps est engourdie de ne pas avoir suffisamment dormi. Elle ferme les yeux, priant pour que son cousin s'éveille ce jour, pour sa santé et pour le plaisir de son médecin. Elle aurait préféré qu'il soit transporté a Cournon, ici avec la poussière, Carmen devait redoubler de prudence, désinfecter plus souvent, changer le pansement avec la même peur de soulever le bandage et de voir une plaie boursouflée et purulente... Pour l'instant il n'en était rien. Tout allait bien pour le moment, si ce n'est qu'il avait sombré dans un lourd sommeil.

Un souffle caresse sa nuque, et la voix qu'elle aime vient chuchoter a son oreille, elle ouvre les yeux et dans le même instant vient nouer ses bras autour de son cou.

Son époux, bien sur qu'elle était heureuse de le voir, mais c'était plus que cela, elle était soulagée de le savoir près d'elle. Il était plus que son mari, il était son ami, son collègue, son confident...son tout.
Elle l'embrasse avec tendresse mais un brin épuisée,


Duncan, viens,

Elle lui prend la main et l'oblige a lui emboîter le pas.

C'est Matthis, son état m'inquiète.. Il n'a pas de fièvre, point d'infection, mais il ne se réveille pas, A midi cela fera presque un jour entier qu'il dort.. Il n'a parlé qu'une fois avant de s'effondrer de nouveau..

Carmen ne savait pas réfléchir quand il s'agissait de sa famille... Les sentiments prenaient le pas sur sa fonction.
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