Duncan_mac_campbell
Duncan était ce style dhomme à avoir pensé quil pourrait mener sa vie sans ressentir ni amour, ni passion, ni compassion. Des années durant, le jeune homme devenu militaire, avait erré dans les chemins incertains dun passé quil ne reniait pas mais dont il avait clos le chapitre. Ses éternels soirées solitaires avec pour seuls compagnons, ceux dinfortune, Liam, Alasdair
lorsquil avait réalisé que cela ne pouvait plus durer, il se trouvait à Bayonne avec son ex compagne qui, paix son âme, lavait encouragé à continuer ses activités. Il avait donc pris le chemin quil désirait emprunter depuis des lustres, celui de la médecine et tout sétait enchaîné. Depuis bien longtemps, il avait retrouvé un bien être moral, un équilibre, une vie rangée mais toujours aventureuse et avait repris les rênes de ses relations avec son père, accepté ses responsabilités de clan, commencé à apprendre le métier de Laird avec le meilleur professeur des Highlands, son père.
La paix quil avait faite avec Laird Hugh, il la devait à la femme qui chevauchait comme au premier jour à ses côtés et qui était à présent, après avoir été tour à tour, la sur de son meilleur ami, son professeur, son amie, sa confidente ; son épouse. Duncan était ainsi devenu le style dhomme à penser quil avait été idiot de penser une seconde quil pourrait vivre sans lamour nécessaire à chacun. Aujourdhui, plus que tout, il était amoureux et fier de son épouse, la pétillante espagnole quil ne se lassait pas de contempler, aimer. Tout en elle lui plaisait, même ses infimes défauts car le jeune homme en aurait toujours dix fois plus quelle. Son essentiel. La femme qui avait amené la paix, lamour, la respectabilité et la sagesse en lui, ce qui nétait pas aisé.
Elle riait, se souvenant de leur rencontre pour le moins tumultueuse et lui rappelant quelques-unes de leurs plus « sanglantes » joutes verbales au Couvent, il se mit à rire en chur avec elle. Galopant à bâton rompu, ils parvinrent à Mirefleurs, enfin et il neut que le temps de descendre de cheval que déjà Carmen lentraînait ou plutôt le traînait à sa suite. Joyeuse, elle se mit à appeler Kory en criant, ce qui lui arracha un sourire car lui-même était incapable de tel déploiement démotion ou dexubérance ce qui le rendait parfois, aux yeux des gens, insensible et froid.
Il salua Kory, heureux de revoir une femme quil appréciait beaucoup depuis leur première rencontre et dont il était fier de pouvoir dire quil était de sa famille à présent.
- Bonjour Kory, je suis vraiment heureux de vous revoir, votre retour de Reims fut-il bon ?
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La paix quil avait faite avec Laird Hugh, il la devait à la femme qui chevauchait comme au premier jour à ses côtés et qui était à présent, après avoir été tour à tour, la sur de son meilleur ami, son professeur, son amie, sa confidente ; son épouse. Duncan était ainsi devenu le style dhomme à penser quil avait été idiot de penser une seconde quil pourrait vivre sans lamour nécessaire à chacun. Aujourdhui, plus que tout, il était amoureux et fier de son épouse, la pétillante espagnole quil ne se lassait pas de contempler, aimer. Tout en elle lui plaisait, même ses infimes défauts car le jeune homme en aurait toujours dix fois plus quelle. Son essentiel. La femme qui avait amené la paix, lamour, la respectabilité et la sagesse en lui, ce qui nétait pas aisé.
Elle riait, se souvenant de leur rencontre pour le moins tumultueuse et lui rappelant quelques-unes de leurs plus « sanglantes » joutes verbales au Couvent, il se mit à rire en chur avec elle. Galopant à bâton rompu, ils parvinrent à Mirefleurs, enfin et il neut que le temps de descendre de cheval que déjà Carmen lentraînait ou plutôt le traînait à sa suite. Joyeuse, elle se mit à appeler Kory en criant, ce qui lui arracha un sourire car lui-même était incapable de tel déploiement démotion ou dexubérance ce qui le rendait parfois, aux yeux des gens, insensible et froid.
Il salua Kory, heureux de revoir une femme quil appréciait beaucoup depuis leur première rencontre et dont il était fier de pouvoir dire quil était de sa famille à présent.
- Bonjour Kory, je suis vraiment heureux de vous revoir, votre retour de Reims fut-il bon ?
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