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[rp ouvert] mariage de Cassandre et Edward

--Maxence
Le garçon réceptionna la demande d'Edward non sans difficulté de compréhension et regarda les invités présents devant lui.

Allez donc à la rencontre d'un peu tout le monde ou même allez enquiquiner le futur époux pour moi.

Le pupille sourit et sauta de la table pour s'approcher de Nirina qu'il reconnut aisément suite aux descriptions d'Edward et de Jeanne qu'ils ont pu lui faire. Même si il était quasi certain qu'il s'agissait bien d'elle, sa certitude se confronta aussi à la demande d'Edward. Son signe de tête voulait-il signifier de se charger de l’accueillir ou bien de l'expulser. Bien que le doute l'habitait, le jeune homme fit confiance à lui-même et se fit tout sourire pour accueillir la femme.

Bonjour. La maîtresse aux loups et fauconnier d'Artois, mais avant tout bien grande amie du père du marié est-ce bien ceci ?

Le garçon tenta de résumer en bref ce qu'avait pu lui dire Edward sur la femme et ce qu'elle était pour lui ou pour sa famille.
Melissandre_malemort
Mélissandre rit à la réponse du vicomte, charmée par ses manières. Elle incline ensuite la tête pour Tomrone et Sunburn.

- Messieurs, c'est pour moi un plaisir et un honneur que de rencontrer l'entourage de Cassie.

Épouser un homme par amour, sans aucune considération politique, sans trahison, sans orgueil blessé... Etait ce là une chance que la princesse pourrait un jour saisir au vol? Serait elle vouée à renoncer aux affres de la passion pour mener la vie monacale que souhaitait ses sœurs?

Plongée dans ses pensées, elle manque d'oublier de tendre au marié un écrin contenant un cabochon orné d'un saphir qu'il pourrait ensuite monter en bague ou en chaine. Une petite attention que Méli aimait avoir pour les futurs époux et qui était devenue, peu à peu, une tradition.

Elle se penche ensuite vers Lucie.


- La grossesse vous sied Lulue... Vous êtes rayonnante. Et Gael semble tout à fait comblé... Vous voir me réchauffe le coeur.
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Edward
Le jeune homme devant Actarusa regarda l'écrin bien qu'il était pris d'un sombre malaise de ne pas s'être présenté et de ne pas avoir eu le temps de saluer la maman et la femme qui lui fit cette offrande. Devant son malaise et l'angoisse, le jeune homme posa doucement une main sur l'omoplate de la femme et ouvrit son autre bras en direction des autres convives pour s'y approcher avec elle avant même qu'elle n'eut le temps de se présenter, il était temps de rentrer dans l'édifice mais le jeune homme ne pouvait se permettre d'y entrer sans se présenter à ceux qui étaient là à l'heure et qu'il ne connaissait point ou encore saluer ces amis de longues ou courtes dates.

Vous joindriez-vous à nous ?

Le futur marié n'avait point encore ouvert l'écrin offert et avança doucement pour laisser le temps à la femme de se présenter à lui avant d'atteindre les autres, puis il s'interrogea, et si cette femme n'était pas invitée et n'était qu'une amie locale de Tom. Olalala, le pauvre homme n'avait qu'à arriver plus tôt pour la peine.
Jeannecolleville
Les cloches sonnent, les invités se succèdent, les sourires sont de mises, tout ce beau monde se réunissait autour d'un seul et même événément pour célébrer la pureté et la sincérité d'un amour. Celui d'Edward et de sa douce Cassandre.
La petite demoiselle guidée par sa servante Anna s'approchait du lieu de célébration, il s'agissait de la soeur cadette du marié, elle avait fait le chemin depuis Montargis pour ce grand événement. Une petite fille à la chevelure blonde et aux traits enfantins qui entrait joyeusement dans l'église. Elle sautillait courant presque pour aller rejoindre son frère afin de le féliciter avant que la cérémonie ne commence, elle aperçut plusieurs visage qu'elle connaissait, dont celui de quelqu'un qu'elle connaissait bien, sa nourrice : Nirina.
Elle avait un peu de mal à courir avec sa robe qui n'était pas aussi souple et facile à manipuler contrairement à ce qu'on aurait pu imaginer.
Son éclat de rire d'enfant retentit, elle rejoignit joyeusement Nirina pour se jeter dans ses bras.


- Ca va être une très belle cérémonie...

Elle avait parlé tout doucement à l'attention de Nirina, elle sautillait sur place d'impatience et d'euphorie en attendant que la cérémonie ne débute. Elle attendait l'arrivée de la mariée comme l'ensemble des invités. Elle fit un petit signe de la main dans la direction de son frère avec un sourire des plus encourageants.
Heloise
Après un baptême, voilà qu'Alexis demandait à Héloïse de filer assurer la protection rapproché de son Altesse Royale lors d'un mariage. La jeune femme regarda le courrier amusé. Protection rapproché ca pouvait etre drole. Puis un soupir s'échappa, que de danger non vraiment la sa vie avait pris un tournant romanesque et chevaleresque, épique et dangereux assez étrange.

Elle secoua la tête dépitée et alla mettre de côté un petit coutelet plutôt bien affuté qui serait assez facile à glisser dans son décolleté. Puis elle prit soin de choisir une robe adapté. A priori le mariage n'avait rien de grandiloquant, il était même plutôt roturier. Cela ne servait donc à rien de faire claquer les fils d'or inutilement et c'était pas plus mal ca éviterait que quiconque remarque la présence d'une impérialiste au milieu des royalistes.

La tenue choisi, la jeune femme glissa comme prévu le coutelet dans le décolleté et pris la route du mariage.

Lorsqu'elle arriva, elle remarqua que son Altesse Royale était déjà intégré à un cercle de connaissance. Elle fronça les sourcils, comment montrer sa présence sans pour autant tout couper. La brune soupira, décidément elle était pas du tout habitué aux us et coutumes des roturiers, cela devait bien être l'un de ces rares défauts. Oui évidemment cette jeune femme froide, hautaine, noble et acariâtre voire associable n'avait aucun autre défaut c'était bien connu !

Elle opta pour la méthode je me ramène comme un cheveu sur la soupe et s'approcha doucement du groupe, se glissant près de Mélissandre, elle salua tout le monde d'un bref hochement de tête avant de se signaler auprès de son Altesse par un désagréable et très peu féminin raclement de gorge. Cela n'avait rien de conforme à l'étiquette mais flute elle se voyait mal plongé à terre sans qu'on la remarque ça l'aurait foutu mal un coup à rester dans la gadoue jsuqu'à la fin du mariage dans la cathédrale !

Lorsque la princesse royale posa son regard sur la brune. Elle effectua sa révérence puis au signal se repositionna. Maintenant il allait falloir gérer les autres invités. Enfin la brune avait l'habitude d'être prise pour une cinglée à ne pas ouvrir la bouche et à faire des révérences devant des têtes couronnés au dessus d'elle. Elle et la roture, ils ne se comprenaient que rarement et elle finissait souvent par être la risée de la taverne. Mais bon cela ne la gênait pas. Pourquoi leur en vouloir à leur ignorance ce n'est point leur faute s'ils n'ont reçu aucune éducation.

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Senegonde_de_caelius
ils étaient enfin arrivaient


Citation:
alors sa va je suis présentable pour une fois?
les minutes passairent et sené n'était oujour pas prete, les femmes fallai vraiment si prendre a l'avance pour qu'elles ce prepare
dépeche toi mon poussin on va etre en retard


Heuu oui, oui tu est impeccable!! a croqué mon ours!!

Quand a elle bah hein!! toutes ses toilettes étais sortie!!!!
Mince, mais quelle couleurs se dit-elle? Bon pas de blanc!!! Pas de noir!!! pas de jaune bien que je soit un soleil! Elle sourit s'amusant elle même. Hummm pas de bleu roooh bon bah du mmauve! Soite! du mauve!!
Elle replaça une dernière mèche de cheveux, mis sa coiffe réajusta sa belle tenue et se présenta a son ours, laissant derrière elle une chambre qui ressemblé plutôt a une foire au robes!

Bon je suis prête!!! rooh arrête de râlé et sourit moi! Tu n'a pas fini de m'attendre tu sais.

Elle lui sourit tendrement, avant de lui déposé un doux baisé. Hub!!!!!!?????

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Lulue
Un sourire à l'attention de Tom.

Je vais bien, je vous remercie. Et cela me fait plaisir également de vous revoir...

Une nouvelle phrase non achevée par un nouveau visage venait les saluer et pas des moindres pour sa fille.

Le bon jour vous va Actarusia. Je suis soulagée de constater de visu que vous avez pu arriver ici malgré l'agitation qui règne par chez vous.

Ca serait la seule allusion qu'elle ferait du conflit qui l'estomaquait, suite à quelques bévues qui la confortait dans le fait que, la France perdait de son éclat depuis quelques temps à cause de quelques orgueils mal placés.

La Monssygnac s'excusa ensuite afin d'avancer de quelques pas pour remettre les invitations à Maxence in extremis, car déjà il filait répondre à une exigence soufflée par le marié. Elle sourit ensuite au compliment de Melissandre.


Quelle vile flatteuse vous faites, Princesse. Mais vous avouerez que ce n'est plus de mon âge tout ça. Toutefois, Gaël mérite bien de connaître ce bonheur que d'être parent. Même si les enfants doivent signer un contrat qui stipule comment nous donner des cheveux blancs en 10 leçons. Et vous pouvez venir passer du temps avec nous autant qu'il vous plaira, vous le savez.

Un sourire maternel plus tard,= et un sourcil s'arqua soudainement à une nouvelle arrivée. La Lionne veillait à chaque mouvement des uns et des autres. Et Aristote savait ô combien elle pouvait avoir les crocs acérés parfois. Pour cette fois, la - je cite - "jeune femme froide, hautaine, noble et acariâtre voire associable qui n'avait aucun autre défaut", n'était pas inconnue du Chevalier de France. Elle serait donc clémente, n'oubliant pas d'utiliser son incontournable ton doux et des plus posés.

Et bien Damoiselle Héloïse, êtes-vous devenue muette pour qu'un bonjour ne franchisse point vos lèvres ?

Un sourire en coin pour ponctuer sa phrase. C'est d'ailleurs à ce moment d’inattention que le futur gendre embarqua l'Altesse Royale avec lui.
Norf ! Les jeunes avaient vraiment le don de filer comme des anguilles de nos jours.

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Crysis
Crysis attendais Séné qui restai la a sourire devant ces robes, il se posa dans un coin de la chamble et pris quelques seconde pour la contempler ce disans a lui meme, pour moi ta pas besoin de porter de robes, comme cela j'aime beaucoup egalement, et ce mis lui aussi a sourire dans son coin.

Citation:
Bon je suis prête!!! rooh arrête de râlé et sourit moi! Tu n'a pas fini de m'attendre tu sais.

Elle lui sourit tendrement, avant de lui déposé un doux baisé. Hub!!!!!!?????


il reponda a son doux baiser et lui tendit son bras
mon poussin allons y

il y avais déjà beaucoup de monde a l'entrée de l'église, personne de connu,
il s'avanca avec séné a l'entré de l'église, presentant le carton d'invitation

bonjour mon garçon, je suis Crysis, un ami des marié, enfin futur marié^^

http://img15.hostingpics.net/pics/489671CrysisetSngonde.png

c'est pire que de rentrer au chateau ici
il ce mis a rire plaisantant comme d'habitude
Nirina
Nirina était heureuse qu'on vienne l'accueillir , tant de monde lui faisait un peu peur ...pourtant elle en avait l'habitude quand elle officiait ,mais bon c'était différent cette fois! elle ne connaissait vraiment personne et son époux n'avait pas pu l'accompagner!
Elle sourit à l'homme qui s'avançait vers elle...

Merci Messire de venir à ma rencontre! je suis Nirina la nounou de Jeanne et une grande amie de la famille , je n'ai pas pu arriver plus tôt, je saluerai donc les mariés après la cérémonie, mais je ne pourrai rester très longtemps !.

Une petite demoiselle arriva en courant....
Jeanne oui c'était elle ! Nirina la reconnut tout de suite....
Elle faillit tomber à la renverse quand elle sauta dans ses bras, et éclata de rire en la réceptionnant !et tout en la bisouillant....
Ma puce que tu as donc grandi, tu es devenue une ravissante demoiselle dis donc!
Je suis si contente de te revoir!

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Melissandre_malemort
Un peu prise au dépourvue, Mélissandre hésite à s'agripper à Lucie pour ne pas se retrouver au milieu d'inconnu. Comme le voulait la tradition, Cassie serait la dernière a arriver - Eblouissante de beauté, évidemment - et il lui fallait en attendant trouver des pirouettes pour se montrer amicale sans pour autant faire preuve de familiarité.

Lorsque le futur marié pose la main sur son épaule, la princesse ouvre la bouche pour tenter de lui dire que c'était terriblement inconvenant et que d'aucun dirait que toucher une fille de France sans autorisation, c'est l'aller simple pour l'enfer lunaire ! Mi amusée mi traumatisée, elle voit en l'arrivée de sa Dame de Parage une occasion idéale de se soustraire au fiancé nerveux en lui épargnant des couinements.


- Héloise, ma chère. J''ignorais que vous connaissiez mon amie Lucie.

Elle regarde ensuite le futur marié et incline la tête pour se présenter vite et lui laisser gérer la horde d'invités désireuse de profiter de la présence des amoureux.

- Je suis Mélissandre de Malemort. Mes félicitations pour cette union à venir.


Pas certaine d'avoir compris le poste d'Edward, mes excuses si je suis à coté de la plaque !

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Heloise
La jeune femme ne voyait que la main outrageusement posé sur son Altesse Royale et sursauta en entendant son nom prononcé par une autre que Mélissandre.

Alors qu'elle se concentrait pour ne pas planter le coutelet sous la gorge de l'homme qu'elle ne connaissait pas, elle tourna son nez vers Dame Lulue. Elle fronça les sourcils et dû se concentrer un instant pour faire appel à sa mémoire.

Soudain elle se souvient ! Son enseignante de la chasse au faucon. Saint Louis... Mon Dieu les souvenirs affluèrent d'un coup et la brune eût besoin de toute son emprise pour refouler le souvenir de sa dépression, de son deuil maternelle, de sa détresse de l'époque. Une époque où sa mère venait de mourir et où son père vivait encore.

Elle effectua une rapide génuflexion.


- Maistre Lulue, je ne pensais pas vous croiser ici. Et toutes mes excuses pour ce silence malheureusement la bienséance me l'impose jusqu'à ce que ma maitresse m'y autorise en s'adressant à moi.

Elle jeta un coup d'oeil à Mélissandre et à cette main irrespectueuse puis compta dans sa tête. Combien de temps allait-elle mettre pour planter l'ambiance ?

Elle adressa un sourire rapide, le sourire ça permettait toujours de faire baisser la pression en présence de roturier, elle l'avait appris à ces dépends. Mais sa tension était à son maximum à cause de cette main et sa main dont les os venaient à peine de finir de se ressouder commençait à terriblement la chatouiller.

Elle se demanda si elle devait demander à cet homme de retirer sa main ou si elle devait patienter. Elle se dit que patienter serait peut-être mieux sinon on allait la laisser à la porte.

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Cassandre_
[Toujours dans le baquet]

Le dos appuyé sur la paroi, la blondinette ferme les yeux un instant. Les pensées s'embrouillent sous l'angoisse d'un pépin pour ce jour particulier et Cassie ne rêve que d'une chose, retrouver les bras d'Edward. Alors pour essayer de tromper sa nervosité, elle repensa à sa rencontre avec Edward. A cette impression la première fois qu'il fallait qu'elle se rapproche de lui avant de s'en éloigner quand certains traits de sa personnalité lui faisaient dangereusement penser à Gailen. Notamment sur sa capacité à prendre la mouche. Alors, la jeune femme lors d'une énième vexation, sans qu'elle comprenne pourquoi, avait décidé de baisser les bras, les cicatrices infligées en Limousin étant encore trop vives.

Quelques jours de silence et un pas du châtain vers elle suffirent à ce que la machine se remette en marche. L'Orléanais et la Limougeaude firent connaissance et quelque chose d’inattendu commença à s'installer. Le dénie fut la première réaction, jusqu'au départ de Cassie pour son Comté de résidence afin d'aller rechercher ses affaires. Soir après soir, alors qu'elle était avec ses amis autour du feu de camp, les mêmes phrases tournaient en boucle dans sa tête, entre deux missives quasi quotidiennes :

Dis-moi à quoi tu penses ? Comment vas-tu ? Vers où tu vas?
Dis-moi de tes silences, lesquels sont habités par moi?
Dis-moi sur quelle fréquence je peux entendre ta voix ?
Dans quel coin de l’absence, me rapprocher de toi ?
Dis-moi dans quel souvenir tu trouves un peu de paix ?
Dis-moi pour te maudire à quel point tu me hais ?


Il leur fallut finalement encore s’apprivoiser un peu avant que Cassie ne prenne son courage à deux mains et ose poser ses lèvres sur celles de celui qui est désormais son tendre. Un sourire naquit sur ses lèvres alors qu'Ambre se rappelait à son bon souvenir en frappant contre la porte pour la rappeler à l'ordre. Cassandre se dépêcha donc de finir de se laver et sortir afin d'enfiler sa robe. Elle se fit ensuite coiffer où elle demanda simplement un chignon. Elle contempla le résultat une dernière fois dans le psyché avant de prendre la direction de la sortie.



[Direction le parvis]

Sa mère arriva avec son fidèle destrier. Une jument espagnole d'un blanc immaculé. Lorsque Cassie la vit, elle se jeta dans ses bras et la serra.

Je suis heureuse de te revoir. Dis y'a du monde ? Haaan non ne me dis pas !

Sur ces derniers mots, la blonde monta en amazone sur le cheval et une fois installée, elle sentit encore plus son ventre se nouer au point de lui faire mal. Le trajet se fit par conséquent en silence. Son obsession était de rejoindre le plus vite possible l'église pour retrouver son fiancé, qui n'était plus qu'à quelques pas d'elle.

Le quadrupède s'arrêta face à un parvis désert ou presque. Si les invités étaient dans l'édifice religieux son parrain l'attendait à l'extérieur. Elle aurait voulu courir jusqu'à lui et lui sauter au cou. Sauf que si elle se loupait et se prenait les pieds dans sa robe, ça serait un trèèèèès gros moment de solitude. Alors elle alla le rejoindre tranquillement, évitant de regarder sa mère pour ne pas pleurer, trop de choses se bousculaient dans sa tête de blonde. Machinalement, elle prit son parrain dans ses bras, serrant ces derniers avec force autour de lui.

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Valeria053
[Sur la route]

Val attendait ce moment depuis bien longtemps, elle avait demander à adelinde de lui préparer ses malles et de partir devant avec tout son attirail elle voulait partir seule à cheval pour oublier le temps du voyage, cette tension et l'ambiance orléanaise.
Mais c'était sans compter sans son brave Honfroi Denledo qui n'avait point voulu la laisser partir seule et qui avait donc insisté pour l'escorter avec quelques hommes.
Elle avait donc fait seller Zgang son fidèle destrier, un des seuls hommes à avoir été fidèle avec elle.
Elle sourit à cette pensée mais une boule lui gagna la gorge en pensant aux quelques années avant où elle avait épousé le duc qui lui avait fait si mal.
Un mouvement de tête pour chasser ses idées noires et elle grimpa pour enfiler sa tenue de voyage, dans laquelle elle se sentait si à l'aise.

Une fois habillée, elle grimpa sur Zgang et pour rassurer Honfroi elle avait prit bouclier et épée au cas ou comme il disait




Elle prit donc la route cheveux au vent, oubliant le temps d'un mariage toutes les tensions.

Après plusieurs jours de voyage, les terres où se déroulerait le mariage pointèrent le bout de leurs paysages.
Elle retrouva Adelinde dans une très belle auberge, ou cette dernière avait déjà préparé sa tenue.
Elle était arrivée juste quelques instants avant le début de la cérémonie, sans plus tarder, elle plongea dans la baquet d'eau bien chaude pour éliminer la poussière du voyage. et se prélassa un peu fermant les yeux.
Puis Adelinde toujours elle vint la secouer, les cloches allaient sonner et elle devait se hâter.
Ni une ni deux elle sauta hors de l'eau se sécha et enfila la première tenue faite par son amie Klouska pour l'occasion.



elle prit la direction de l'église, chercha la mariée et le marié, c'était un grand jour pour ses protégés, elle aperçu son Ed et se dirigea vers lui.


Bonjour mon futur filleul, comment va mon Edounet ? et ta belle où est elle ? que je la rassure je suis là

la cérémonie allait commencer
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Hugon
[Sur la route]

Il était l'heure de prendre la route, son épouse avait prévu un cocher, et un beau petit carrosse, il la sentait un petit peu anxieuse à l'idée de passer la journée là-bas, sans doute à cause du fait qu'en dehors des tavernes et des villes Orléanaises, elle et lui ne sortaient pas beaucoup.

Hugon était honoré d'avoir reçu cette invitation, il la tenait fermement dans sa main comme si elle menaçait de s'envoler.

Aujourd'hui était jour de liesse pour leurs amis, et il désirait par dessus tout se rendre à l'évènement, ne serait-ce que par respect pour le nouveau couple, mais le mot d'ordre n'étant avant tout que plaisir.

Il avait passé une belle chemise (propre surtout ;-)) pour l'occasion et était déjà prêt depuis une bonne heure lorsque leur chauffeur fit son apparition, il détestait être en retard à un rendez-vous, mais cela tournait à l'obsession aujourd'hui !

Le mari portait leur fille Dairine dans ses bras, la distrayant pendant le voyage, afin que sa Cat puisse s'accorder un peu de repos.
Enfin repos, vu l'état de la route, on se demanderait presque pourquoi on paie des impôts !

Il embrassa son épouse avec tendresse lorsqu'une crevasse dans la route les renvoya chacun sur leur banquette.


- Amourrr!!!
Si ce coché persiste à prendre les bosses et les trous, tu vas finir par devoir accouché ton épouse....!

- Haa, mais ce ne sera jamais que la seconde fois !

Il plaisantait, heureux en pensant à ce qui les attendait à l'arrivée, mais concernant l'accouchement, tenir la main de sa féline sera bien suffisant !


[Arrivée devant le parvis de l'Eglise]

Il descendit, leur fille faisait une sieste contre son épaule, il tendit la main à sa belle, lui vola un baiser et l'aida à descendre pour aller se présenter aux invités déjà sur place.

Le blond pensa de suite que ce n'était pas si terrible, après tout, ils avaient déjà croisé la plupart des invités.


- Regarde tout ces gens....! On dirait que toute la noblesse est là....Es tu prêt amour?

- Impressionnant, n'est-ce pas ? Allons-y !

Il prit le bras de son épouse et se dirigea vers le jeune homme qui tenait les invitations, les invités rentraient déjà dans l'Eglise et il laissa à Cat le soin de les présenter au jeune homme, lui ayant glissé l'invitation pendant le trajet.


- Bonjour Messire Maxence... hmmm... Maxence, désolé, je n'ai pu me retenir !

Il sourit largement, au lieu d'être impressionné, il était finalement juste passionné par l'assemblée qu'il voyait là, avec l'idée ferme de faire connaissance avec l'intégralité d'entre eux.

Avant toute chose, il voulait trouver l'heureux couple pour les saluer.
Il se dit qu'ils devaient être dans la dernière ligne droite, nerveux peut-être tous les deux, comme il l'avait été, et se cachant peut-être !
Il entraîna ensuite son épouse vers le parvis, saluant celles et ceux qu'il croisait, se disant qu'il aurait tout le temps d'harponner les mariés après la première cérémonie.
Lulue
[Sur le parvis]

La Brune sourit, amusée, à la réponse d'Héloise. En parlant de bienséance, Lucie aurait pu relever ne disant que ce n'était pas « Maistre » qu'on devait l'appeler, mais Chevalier. M'enfin comme elle était du genre à ne pas se vexer pour si peu, elle laissa couler.

Je suis surprise de vous voir également et plus encore de vous savoir au service de Mélissandre. Quand à ce mariage, je n'ai pu y échapper, la mariée étant ma fille.

Un signe de main au marié pour le saluer, puis se tournant vers Mélissandre qui était à nouveau à portée de voix.

Durant un certain temps, je me suis vue embarquée dans le rôle de Magister au Collège Saint Louis. J'enseignais la fauconnerie. Ainsi dans la classe à l'époque il y avait des enfants répondant au nom d'Heloise ou de Gailen.

Un air amusé sur le minois, les souvenirs la faisaient vieillir un peu plus. Puis un mouvement d'un Page attira son attention. Un simple signe du chef à son attention avant de poser ses ébènes sur les jeunes nobles.

Vous m'excuserez mes damoiselles, mais j'ai une mariée à aller chercher. Il est temps qu'elle passe la corde au cou à ce cher Edward.

Ni une ni deux, elle pivota pour aller chercher Hasufel.


[Aller et retour ]

On ne va pas se mentir, tant qu'il s'agissait de parader avec juste la pointe de protocole qu'il fallait sans que ça fasse prout-prout (ou pas trop), comme elle aimait à le dire, Lucie maîtrisait. Un enseignement de longue haleine sur terrain miné où les plus puants fréquentaient les plus simples. Quoi qu'il en soit, les choses sérieuses allaient commencer.

L'auberge n'était pas très loin et la Monssygnac se surprit à ressentir une certaine appréhension en attendant Cassandre. Mpffff, allez fais pas ta gonzesse, enceinte de surcroît. La pensée à peine terminée et voilà sa Blondinette qui lui fait face. La joue droite fut mordue pour retenir ses émotions et garder ainsi le masque d'une mère simplement joyeuse. L'étreinte filiale ne l'aidait pas. Toutefois, Lucie en profita quelques minutes avant de la libérer.

Tu es magnifique Cassandre. Où est passée ma petite fille qui voulait faire des couettes à son poney ?

Encore quelques mots échangés qui ne regardaient que la fille et la mère, avant que la jeune femme prenne place sur le dos du destrier. La Brune se contenta de tenir les rennes tout le trajet en respectant le silence qu'imposait sa progéniture.

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