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[RP]"Un médecin n'est pas un bon médecin si...

Aeglos.
Il gardait son sourire, un sourire presque nié tellement il était grand, mais, aux vus des sentiments qui traversées le duc, il ne pouvait pas ne pas afficher cet air radieux. Bon finalement, le sourire presque nié se dissipa, laissant un sourire franc et transparent une réelle joie. Car, c'était bien ça qui habitait le bond à ce moment. La joie de savoir qu'Helene était enceinte, mais également qu'elle allait bien. Car, c'était quand même pour ça que l médecin était venue, enfin, normalement... Enfin bref, tout allait bien pour le moment, et rien de sombre ne pouvait arriver pour l'instant, alors, il était heureux et il comptait bien en profiter. Et, également partager sa joie avec celle qu'il aimait. Enfin, il espérait qu'elle l'était également, heureuse. Il répondit à sa conclusion qui l'aurait surement fait sourire s'il ne le faisait pas déjà. Il répondit cependant avec un air plus sérieux.

Plus ou moins tout le monde vu nos naissances. Mais, celui qui aurait dit que ce serait ensemble aurait surement était dit atteint de folie.

Il marqua une pose une seconde, la regardant dans les yeux, et prit une décision. Il y pensait depuis un moment, ils en parlaient régulièrement, il en avait envie clairement, mais cherchait un moment ou une occasion désespérément .

Mais, surement moins fou que celui qui aurait dit que l'un des deux enfants demanderait quelques années plus tard à l'autre de l'épouser.

Il garda son regard dans le sien, laissa un silence s'installer tout en mettant genou à terre, tradition oblige, puis continua.


Tu sais que j'en ai envie, depuis un moment d'ailleurs, et toujours, je repoussais, cherchant le bon moment, la bonne façon, le bon endroit, le bon.. le bon tout. Je pense que je cherchais un contexte parfait, magique, pour que cela soit le plus beau possible. Mais, je sais que si j’attends le moment parfait, plus que tout le reste, cela ne viendra jamais, car, il n'y en a pas.
Il y a de bons moments, il y en a des mauvais, mais, chaque moment passés en ta compagnie est parfait. Alors, je n'ai pas envie d'attendre, je n'ai plus envie de chercher en vain ce que j'ai sous les yeux.
Ce que je veux, c'est simple, c'est toi. Je veux me réveiller et t'avoir à mes cotés, pouvoir te serrer contre moi quand je me couche, t'entendre rire ou râler, te voir heureuse. Mais il y a une autre chose importante que je souhaite, c'est que l'amour que je ressens pour toi ne sois plus voilé, qu'il soit évident, qu'il soit su et reconnu.
Je t'aime et je te veux pour femme et toi, veux tu le devenir?


Son visage avait été de plus en plus sérieux au fur et à mesure qu'il parlait, perdant son sourire, non pas car ce qu'il disait été triste, mais car c'était un moment important, et il sentait en lui une tension monter de plus en plus. Une sorte d’anxiété également, une crainte qu'elle décline. Ils en avaient parlé, certes, mais, avant le moment clé, qui peut savoir ce qu'il se passera réellement. Alors, une légère anxiété le prenait dans ce moment, en attendant que la sentence tombe. Bonne ou mauvaise, il le saurait bientôt en attendant, Alea Jacta Est.

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Helene.blackney
    Il y avait sur le visage d'Aeglos, un sourire indescriptible. J'avais déjà vu ce sourire éphémère, le jour où je l'avais embrassé pour la première fois ou dans nos moments d'intimité mais ce sourire là était différent. Jamais je n'étais sentie aussi complice avec lui à cet instant, je partageais bien plus avec lui que des souvenirs d'enfance. Moi même, malgré ma maladie, je devais avoir un sourire jusqu'aux oreilles.
    Alors que je vagabondais dans mes pensées, je le regardais s'agenouiller devant moi et naïvement, je me demandais, que fait il? Comme pour lui, je ne compris pas la première phrase évocatrice, déjà trop emportée par cette merveilleuse nouvelle.
    Soudainement, le mot "épouser" me traversa l'esprit et je ne pus échapper un "Quoii?". Je le laissais finir, j'avais besoin aussi de toute cette explication. Je passais une main sur son visage avec douceur, sa conclusion fut "et toi le veux tu".
    Tout n'était pas simple dans ma tête à cet instant, j'avais été mariée, il avait été fiancé, pouvait on dire que nous réussirions ensemble? Assurément que oui. Je n'avais aucun doute sur nostre réussite commune. Je l'avais souhaité depuis longtemps, mon amour était réfléchit, il avait mûri avec le temps. Même en me rappelant combien j'avais eu mal aux cheveux alors qu'il me les tirait, je l'aimais déjà. Quel homme m'avait tenu tête comme lui il le faisait? Aucun. J'aspirais à avoir un homme qui m'aimait et qui avait autant de caractère que moi, et Aeglos était le bon. Il me connaissait si bien. Est ce qu'on pouvait faire un plus grand sourire que celui que j'avais à l'instant?
    Je lui pris la main et ayant bien compris sa demande je dis en conséquence:


    - Aeglos d'Orkney Bressey je t'aime depuis tant d'années, je me suis toujours cachée de cet amour. Ce jour, tu me demandes de l'afficher devant tous, bien sur que je le veux, je l'ai toujours voulu. Je serais honorée d'être ton épouse mon coeur.

    Lui faudrait il quelques instants pour réagir comme à la précédente grande nouvelle qu'on venait d'avoir?

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Duncan_mac_campbell
Seul dans ses pensées, le jeune homme réfléchissait et repensait à leurs précédents séjours en Normandie. Oui, il est vrai que certains jours ici avaient été particulièrement difficiles, mais dans les plus sombres moments, sa lumière, Carmen, avait toujours surgi en lui faisant oublier les mauvais moments.
Il entendit alors, tandis qu'il sommeillait, épuisé par une chevauchée de plusieurs jours pour tenter de rattraper son intrépide amour :


Citation:
Mon Ange, tu es réel !


Il releva la tête et vit le visage, le seul qui fut capable d'éclairer chacune de ses journées, la seule qui fut capable de le faire sourire, rire, quand les autres n'y parvenaient pas, la seule qui lui eut fait le bonheur de le suivre dans son tour du Royaume... Elle, la femme de sa vie.

Il lui sourit en coin, le visage fatigué mais à peine perceptible tant il était heureux, il tendit les bras pour qu'elle s'y niche. Il l'embrassa avec fougue et s'écarta un peu d'elle pour la regarder
.

Tu es fatiguée mon amour, si nous passions deux-trois jours en amoureux au Mont, dans une petite auberge pour que nous nous reposions ? Cela te ferait-il plaisir ?
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Carmen_esmee.
Carmen le regarde, encore émerveillée. Il ne peut lui cacher sa fatigue, elle n'avait pas voulu qu'il vienne, qu'il se fatigue d'avantage mais il était au moins aussi têtu qu'elle, si ce n'est plus.
Elle passe sa main sur son front, telle une caresse mais elle s'assure qu'il n'a pas de fièvre, elle lui sourit, médecin comme elle, il devine certainement l'intention de ses gestes.

Comme pour s'excuser de cela, elle prend ses mains entre les siennes, les portes a ses lèvres et y dépose un baiser avant de venir se blottir dans ses bras. Elle ne se sentait pas plus fatiguée qu'à son départ, mais il l'était visiblement. Le lui dire ? Bien sur que non... C'est un homme.. Un vrai !

Alors elle minaude :
"Oui je suis fatiguée, nous devrions rester un peu et nous partirons quand je me sentirai prête a repartir"

*Surtout quand je jugerai que ton état le permet*

Elle dépose un baiser sur sa joue.

Nous irons nous balader, l'air de la baie est vivifiant,

*Tout ce qu'il te faut pour guérir*

Elle le caresse du regard, protectrice comme il l'est avec elle.
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Aeglos.
C'était dans ce genre de moment que le temps paraissait ralentir à l’extrême, devenant presque immobile, comme si le monde était englué dans de la gelée anglaise qui l’empêchait de tourner à sa vitesse normale. Dans ces moments là, chaque secondes paraissait des heures. Et le temps que mis Helene à lui répondre fut un véritable supplice. A une vitesse ahurissante tournaient les questions dans son esprit, que va t'elle dire, oui, non, partir, s'évanouir, pourquoi? Un esprit rationnel aurait dit que pour partir alors qu'elle était chez elle ce n'était pas logique. De plus, ce son les hommes qui s'évanouissent quand on leur annonce qu'ils vont être père, pas les femmes quand on les demande en mariage. Et enfin, le pourquoi, il venait de le lui dire. Mais à cette instant, l'Orkney-Bressey était TOUT sauf logique, bien au contraire! Il avait la capacité de réflexion d'une huitre, et encore. L'anxiété, le stress provoquait par la situation faisait que, bah, il n'arrivait même plus à penser de manière cohérente.
Mais par chance, l'attente interminable d'au moins quelques secondes, prit fin, d'abord par un sourire, puis quelques mots qui firent accélérer son rythme cardiaque d'une manière affolante. Un peu plus et il frôlait l’arrêt cardiaque. ça aurait été bête de mourir à ce moment là. Bon, au moins, il serait mort heureux, mais mieux valait être heureux et vivant. Et à cette instant, il se sentait pleinement vivant, vivant et heureux. Une partie de lui ne réalisait pas entièrement, mais l'autre prit les commandes et il se releva et viens l'embrasser, avec tout l'amour qu'il ressentait pour elle, dans un baiser tendre et passionné à la fois. Baiser qui se finit par un murmure à son oreille alors qu'il la prennait dans ses bras.


Je t'aime, Helene...

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