Carmen_esmee.
[Normandie]
La brune est assise sur un petit rocher et elle regarde Le Rocher avec appréhension, attendant la marée. Ce n'est qu'une petite traversée, elle l'a déjà fait... Carmen essaye de se convaincre tant bien que mal.
« Dame Carmen, Nous y allons, le passeur attend.
- Déjà ?
- Cela fait tout de même deux heures que vous regardez le Mont Saint Michel
- Tant que cela ?
- Jespère que vous regardez votre époux tout aussi longtemps.
- Mon époux comprend mon amour pour tout ce qui compose la Normandie,
- Comme le poiré et les sablés de Dame Blackney ? »
La brune ne peut sempêcher de sourire, avec une lenteur infinie, elle quitte son petit rocher, saisit la main tendue et monte dans la petite embarcation.
* Mon Dieu, me revoilà dans « un perd la vie » ! Respire ! *
La brune ferme les yeux, mauvaise idée elle sent encore plus la barque tanguer, elle reprend le contrôle de son corps, de son estomac surtout. Ses bras encerclent ses genoux repliés contre elle. Ses émeraudes fixe le Mont, il grandit à mesure quil sen rapproche, elle se retrouve bientôt dans lombre du Rocher. Des frémissements ébranle le frêle corps, la moitié de son sang est Irlandais, des amoureux de la mer, la brune na pourtant pas la fibre marine.
Hanna, sage comme une image ou presque, les ébauches de ses dents attaquent le rebord de la barque, ses émeraudes à elle ne quitte pas la surface de leau. Carmen garde une main sur elle, dès fois que la petite soit un peu trop intrépide. Heureuse que sa fille ait hérité du pied marin de son père.
« Mon estomac peut supporter les affres de la guerre, ses blessés et ses cadavres, sans une once de frémissement et je ne puis supporter une heure de traverser dans ce « perd la vie », Que Lilin de Cassel puisse avoir raison et que cela me passe avec le temps »
[Le Rocher]
Carmen descend de lembarcation, le voyage ne se passa pas si mal que cela, elle ne fut pas malade mais la sueur perla à son front et à sa gorge par la chaleur et par le souci que lui fit sa fille à flirter avec son reflet dans leau sombre.
Le chignon gracieux, nest plus quune natte clairsemée qui laisse échapper de longue mèche de cheveux qui se plaquent contre le visage humide de la brune Elle soupire et essaye de remettre un peu dordre dans le méandre de sa crinière, et saisit la main de la fillette qui déjà choisissait des coquillages à grignoter Quand les enfants cessaient ils de tout mettre à leur bouche.
Vinrent rapidement les escaliers, admiration silencieuse pour lédifice, la mère attrape lenfant et la pose sur sa hanche, le Mont est une addiction, tout comme les sablés dHélène Hmm les sablés. Carmen en perdrait la tête, et elle y laissera sa taille gracile.
[Porte de la demeure Familiale des Blackney]
La brune toque trois coups, suivi de deux, une drôle dhabitude, menfin, on lui pardonne ces tics et ses tocs. Elle éponge son front et sa gorge, faisant de même pour son enfant. Ses douces lèvres maternelles rejoignent le front de lenfante qui semble tomber de fatigue, les pommettes rosées..
La brune est assise sur un petit rocher et elle regarde Le Rocher avec appréhension, attendant la marée. Ce n'est qu'une petite traversée, elle l'a déjà fait... Carmen essaye de se convaincre tant bien que mal.
« Dame Carmen, Nous y allons, le passeur attend.
- Déjà ?
- Cela fait tout de même deux heures que vous regardez le Mont Saint Michel
- Tant que cela ?
- Jespère que vous regardez votre époux tout aussi longtemps.
- Mon époux comprend mon amour pour tout ce qui compose la Normandie,
- Comme le poiré et les sablés de Dame Blackney ? »
La brune ne peut sempêcher de sourire, avec une lenteur infinie, elle quitte son petit rocher, saisit la main tendue et monte dans la petite embarcation.
* Mon Dieu, me revoilà dans « un perd la vie » ! Respire ! *
La brune ferme les yeux, mauvaise idée elle sent encore plus la barque tanguer, elle reprend le contrôle de son corps, de son estomac surtout. Ses bras encerclent ses genoux repliés contre elle. Ses émeraudes fixe le Mont, il grandit à mesure quil sen rapproche, elle se retrouve bientôt dans lombre du Rocher. Des frémissements ébranle le frêle corps, la moitié de son sang est Irlandais, des amoureux de la mer, la brune na pourtant pas la fibre marine.
Hanna, sage comme une image ou presque, les ébauches de ses dents attaquent le rebord de la barque, ses émeraudes à elle ne quitte pas la surface de leau. Carmen garde une main sur elle, dès fois que la petite soit un peu trop intrépide. Heureuse que sa fille ait hérité du pied marin de son père.
« Mon estomac peut supporter les affres de la guerre, ses blessés et ses cadavres, sans une once de frémissement et je ne puis supporter une heure de traverser dans ce « perd la vie », Que Lilin de Cassel puisse avoir raison et que cela me passe avec le temps »
[Le Rocher]
Carmen descend de lembarcation, le voyage ne se passa pas si mal que cela, elle ne fut pas malade mais la sueur perla à son front et à sa gorge par la chaleur et par le souci que lui fit sa fille à flirter avec son reflet dans leau sombre.
Le chignon gracieux, nest plus quune natte clairsemée qui laisse échapper de longue mèche de cheveux qui se plaquent contre le visage humide de la brune Elle soupire et essaye de remettre un peu dordre dans le méandre de sa crinière, et saisit la main de la fillette qui déjà choisissait des coquillages à grignoter Quand les enfants cessaient ils de tout mettre à leur bouche.
Vinrent rapidement les escaliers, admiration silencieuse pour lédifice, la mère attrape lenfant et la pose sur sa hanche, le Mont est une addiction, tout comme les sablés dHélène Hmm les sablés. Carmen en perdrait la tête, et elle y laissera sa taille gracile.
[Porte de la demeure Familiale des Blackney]
La brune toque trois coups, suivi de deux, une drôle dhabitude, menfin, on lui pardonne ces tics et ses tocs. Elle éponge son front et sa gorge, faisant de même pour son enfant. Ses douces lèvres maternelles rejoignent le front de lenfante qui semble tomber de fatigue, les pommettes rosées..