Carmen_esmee.
" Vous savez ma bru, je vais vous dire une chose, à vous seule. J'ai de l'admiration pour mon fils, c'est d'ailleurs le seul que je reconnaisse comme tel; il possède des vertus que j'aurais aimé avoir mais que je n'ai jamais eu. Oui, il a su se faire aimer pour ses qualités sans avoir à recourir à la fourberie ni aux faux semblants. Il a repris sa vie en main, a changé, en un mot, il a fait tout ce que j'aurais aimé être capable de faire. "
Carmen est émue par ses mots, il lui apparaît humain et aimant envers un autre de ses enfants qu'Isabelle. Elle sait depuis le premier jour qu'il aime sa fille, un joyaux pour cette famille. Mais ce jour il se confie à elle, parfaite inconnue ou presque. Elle est touchée, et lui répond avec un faible sourire car l'envie de pleurer la tiraille.
" Avec le temps, peut-être m'apprécierez-vous... "
Sa main vient se poser sur la sienne, et son avant bras sur celui de son beau père, élégante façon de donner son bras, elle descend avec lui au rez de chaussée, tenant un pan de sa robe afin de ne pas chuter dans les escaliers étroits.
Dans le hall, droit comme un I avec les 4 enfants l'entourant, Rick lui apparait dans une élégance peu commune. Le châtelain avait toujours était simple dans ses toilettes. Elle sourit ravie de le voir faire tel effort.
Elle sourit à ses cousines puis a ses cousins, Rick avait il prévu que les garçons tiendraient sa traîne ? Aurait il peur qu'elle se vautre dans une toilette de femme ? Il aurait eu raison... Mais elle le savait, on ne se marie pas en braies...
Elle fait face a son beau père, lâchant son bras,
Laird, Elle fit une révérence respectueuse, s'accroupissant la tête basse, cela ne lui ressemblait que peu, elle se montra rapidement telle qu'elle était à son beau père se hissant sur la pointe des pieds, osant déposer un baiser sur sa joue,
Il n'est jamais trop tard pour bien faire, pour pardonner et être pardonné. Vous le méritez tous les deux., chuchote t-elle a son oreille.
Elle reste un instant face a lui, lui offrant un large sourire,
Je vous apprécierai un peu plus à chacune de nos rencontres, c'est promis.
Carmen savait qu'il avait de nombreuses responsabilités, et que cela engendrait une façon d'être, une façon d'agir. Il imposait respect et crainte, mais ce jour il inspirait autre chose pour Carmen, de la compréhension et de l'indulgence, précieux de sa part.
Elle rejoint Rick, qu'elle a déjà salué plus tôt dans la matinée, elle embrasse ses cousins et cousines, les câlinant.
Carmen se redresse, et recouvre son visage de son voile,
Je suis prête, Nous pouvons y aller,
Cette fois, elle glisse son avant bras sur celui de Rick, prend une grande inspiration et c'est parti... pour une longue apnée...
La tête basse, la brune regarde ses chausses, qui apparaissent et disparaissent sous sa longue robe carmin tour a tour. Elle passe devant le petit muret où son père était assis, sans le voir de ce fait. Elle arrive devant la Cathédrale au bras de Rick. Elle lève les yeux devant l'édifice et laisse s'échapper tout l'air qu'elle avait gardé.
Kory est là, elle a toujours était là. Carmen lâche le bras de Rick et vient se blottir dans les bras de sa marraine, elle verse quelques larmes car elle n'a aucun parent, a part eux, présent ce jour.
Mère, arrive t-elle seulement a articuler,
Korydwen l'était vraiment à ses yeux. C'est la première fois que Carmen osait l'appeler ainsi. Elle ne savait si cela ferai plaisir ou non, mais elle avait besoin de le dire, de lui prouver sa reconnaissance.
Carmen est émue par ses mots, il lui apparaît humain et aimant envers un autre de ses enfants qu'Isabelle. Elle sait depuis le premier jour qu'il aime sa fille, un joyaux pour cette famille. Mais ce jour il se confie à elle, parfaite inconnue ou presque. Elle est touchée, et lui répond avec un faible sourire car l'envie de pleurer la tiraille.
" Avec le temps, peut-être m'apprécierez-vous... "
Sa main vient se poser sur la sienne, et son avant bras sur celui de son beau père, élégante façon de donner son bras, elle descend avec lui au rez de chaussée, tenant un pan de sa robe afin de ne pas chuter dans les escaliers étroits.
Dans le hall, droit comme un I avec les 4 enfants l'entourant, Rick lui apparait dans une élégance peu commune. Le châtelain avait toujours était simple dans ses toilettes. Elle sourit ravie de le voir faire tel effort.
Elle sourit à ses cousines puis a ses cousins, Rick avait il prévu que les garçons tiendraient sa traîne ? Aurait il peur qu'elle se vautre dans une toilette de femme ? Il aurait eu raison... Mais elle le savait, on ne se marie pas en braies...
Elle fait face a son beau père, lâchant son bras,
Laird, Elle fit une révérence respectueuse, s'accroupissant la tête basse, cela ne lui ressemblait que peu, elle se montra rapidement telle qu'elle était à son beau père se hissant sur la pointe des pieds, osant déposer un baiser sur sa joue,
Il n'est jamais trop tard pour bien faire, pour pardonner et être pardonné. Vous le méritez tous les deux., chuchote t-elle a son oreille.
Elle reste un instant face a lui, lui offrant un large sourire,
Je vous apprécierai un peu plus à chacune de nos rencontres, c'est promis.
Carmen savait qu'il avait de nombreuses responsabilités, et que cela engendrait une façon d'être, une façon d'agir. Il imposait respect et crainte, mais ce jour il inspirait autre chose pour Carmen, de la compréhension et de l'indulgence, précieux de sa part.
Elle rejoint Rick, qu'elle a déjà salué plus tôt dans la matinée, elle embrasse ses cousins et cousines, les câlinant.
Carmen se redresse, et recouvre son visage de son voile,
Je suis prête, Nous pouvons y aller,
Cette fois, elle glisse son avant bras sur celui de Rick, prend une grande inspiration et c'est parti... pour une longue apnée...
La tête basse, la brune regarde ses chausses, qui apparaissent et disparaissent sous sa longue robe carmin tour a tour. Elle passe devant le petit muret où son père était assis, sans le voir de ce fait. Elle arrive devant la Cathédrale au bras de Rick. Elle lève les yeux devant l'édifice et laisse s'échapper tout l'air qu'elle avait gardé.
Kory est là, elle a toujours était là. Carmen lâche le bras de Rick et vient se blottir dans les bras de sa marraine, elle verse quelques larmes car elle n'a aucun parent, a part eux, présent ce jour.
Mère, arrive t-elle seulement a articuler,
Korydwen l'était vraiment à ses yeux. C'est la première fois que Carmen osait l'appeler ainsi. Elle ne savait si cela ferai plaisir ou non, mais elle avait besoin de le dire, de lui prouver sa reconnaissance.