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[RP] Au mariage de Carmen et Duncan - 02 Juin

Wendoline
Elle fait le moins de bruit possible mais cette lourde porte ! pffiouuu..... heureusement l'assemblée est plus attentive à la scène qui se déroule près de l'autel. Et pour cause, la mariée est resplendissante !

Elle prend place quelques rangées plus haut et sans trop disperser son regard ici et là, ses émeraudes fixent alors Carmen et Duncan qui vont unir leurs vies. Un léger sourire éclaire ses traits en songeant à l'amitié spontanée qui s'est créée entre eux. De surcroît elle est heureuse de constater que c'est son ami Daniel qui office. Un départ dans leur vie à deux qui ne peut que débuter sous de meilleurs auspices.


.....................
_________________
Matthis.


Il attendait, une mère qui part en sens inverse, un frère qui finit par faire de même, que se passait-il ? Qu'était-il censé se passer ? Matthis ne savait plus trop où regarder, il resta là simplement le regard fixé sur les vitraux et puis finalement sur son père, avant d'observer la scène amusée, Carmen entrait au bras de sa mère, Matthis se demandait si elle accepterait de le conduire lui aussi, il s'imaginait entre son père et sa mère, même si il ne voyait pas qui pourrait être sa promise pour l'heure.

Derrière Carmen, sa mère et son oncle, Matthis vit Alexandre jeté ses fleurs, sans doute avait-il oublié, mais Carmen ne lui en tiendrait sans doute pas rigueur, cela rendait ce mariage encore plus unique. Alexandre lui tendit les alliances et Matthis les attrapa avec les fleurs de lys, il ne savait guère qui avait fait cela, mais c'était fort joli. Il se contenta simplement de garder au creux de sa main les alliances, il s'avancerait quand le curé le demanderait.

Il avait gardé plus d'un secret de Carmen, le défendant bec et ongles contre Rick, surtout dans le placard à balai au château de Clermont, ce placard qui lui servait de bureau pour la soule, un autre temps, une autre époque, lui plus jeune, à peine 8 années. Il rêvait souvent à cette période.

La cérémonie commençait, la première de la dernière génération Serna se mariait, qui suivrait ? Qui ne suivrait pas ? La famille, la vie défilait.
Carmen_esmee.
Elle était là, droite, les yeux rivés sur Duncan. Son adorable filleul ne faisait rien comme les autres, à l'image de sa marraine. Il lança les fleurs après la marche nuptiale, Carmen en était amusée. Sa main glissa sur la joue d'Alexandre.

"Merci"

Matt et Tim étaient là, Alexandre confia les alliances à Matthis, mission accomplie, elle fit un clin d'oeil à la fratrie. Oui elle les considérait comme ses petits frères bien souvent, ils gardaient ses secrets et elle les leurs. Ils étaient grands à présent, ils ne jouaient plus ensemble, et finis les questions embarrassantes, Dieu merci... quoique, elle regarda Alexandre avec un léger doute pour le petit dernier.

La Lyre de son père avait cessé de régaler leurs oreilles de son talent. Le calme puis le silence envahirent la Cathédrale.
Son coeur lui ne connaissait pas le calme depuis qu'elle avait croisé la route de Duncan. Il battait la chamade encore à cet instant. Les personnes proches d'elle ne pouvaient que l'entendre tambouriner dans sa poitrine.

La jeune fille en était de plus en plus convaincue chaque jour, elle ne pourrait vivre sans Duncan à ses côtés. Elle posa ses émeraudes sur Daniel.
Son confesseur, plus que cela, un ami, un confident de la première heure pour ce qui concernait sa romance avec Duncan. Daniel fut celui qui lui fit ouvrir les yeux, a l'aider a déchiffrer ce qu'elle ressentait, ce que son coeur essayait de lui dire.
Carmen échangea un regard avec le Grand Aumônier, un sourire se dessina sur ses lèvres quand il prit la parole, elle ferma quelques secondes ses paupières. Elle prit une grande inspiration et se laissa bercer par les paroles de Daniel.


"Frères et soeurs, nous voici rassemblés dans ce haut lieu de la foy aristotélicienne pour fêter la vie. L'amour est au coeur du mariage, et au coeur de la vie, ce qui nous pousse à la fêter comme il se doit avec joie, sourires, entrain. "

Elle se rappela pendant ce cours laps de temps, leurs échanges au couvent, le confessionnal notamment. Carmen sourit à ce souvenir, puis pose ses émeraudes sur son futur époux.

Le doux sourire rosé de la jeune femme grandit peu à peu, elle meurt d'envie de l'enlacer, ils avaient respecté la tradition et donc ne s'étaient pas vu la veille du mariage. Elle inclina doucement la tête sur le côté, le dévorant des yeux.


"Deux âmes se liant devant le Divin. Deux êtres trouvés pour vivre ensemble et honorer la notion d'amour."

Puis vint le moment du recueillement,

"Frères et soeurs, avant de célébrer le mariage de nos amis Carmen et Duncan, prenons quelques instants pour prier, en silence. Prions afin de nous rappeler comme il est bon de s'aimer, de se retrouver entre amis, de glorifier le Très-Haut par la simplicité des choses de la vie. Confessons nos fautes ainsi, dans notre intimité de pécheurs."

Carmen baisse la tête et récita dans un léger murmure le confiteor, comme Rick le lui avait appris faisant d'elle une enfant du très Haut. Un sourire pour son parrain Keur et sa marraine Korydwen. Alors que la phrase de Rick, raisonne encore dans sa tête "Ne t'inquiètes pas ! Tu verras que c'est un moment merveilleux !"

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.


Carmen profita de l'instant pour balayer la salle du regard, de nombreux être chers étaient venus pour leurs noces, Hortense, Wendy... Elle leur sourit doucement, avant de retrouver le regard de son fiancé.
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Duncan_mac_campbell
Aux côtés de son meilleur ami, le jeune militaire retrouvait un peu de sa superbe, alors qu'il n'en menait pas large, le grand gaillard, amoureux comme il l'était, sur le point de dire oui à la femme qu'il aimait, dont il était le plus profondément amoureux qu'on puisse l'être. Il regarda tour à tour Aedan, en apparat, son nouveau Laird, celui qu'il avait nommé, puis sa sœur, son alliée de toujours, celle qui était toujours là pour lui. Leur présence, la leur et celle des leurs, amis, famille réunis, le réconfortait.

Oui, il ferait tout pour être un bon époux, oui, il ferait tout pour combler Carmen.

Il croisa le regard de sa promise, plus amoureux que jamais, si heureux et si stressé à la fois de devoir endosser le rôle d'un époux. Il lui adressa un petit sourire, un de ces sourires dont ils avaient le secret, qui reflétait tout ce qui avait jalonné leur amour, tout ce qui les représentait et la trouva de plus en plus magnifique.


Citation:
"Frères et sœurs, nous voici rassemblés dans ce haut lieu de la foy aristotélicienne pour fêter la vie. L'amour est au cœur du mariage, et au cœur de la vie, ce qui nous pousse à la fêter comme il se doit avec joie, sourires, entrain. "


Duncan sourit, la vie, c'était bien cela, la vie : sa continuité, l'accomplissement d'une vie, la victoire d'un amour compliqué. Nouvel échange de regard avec sa dulcinée, complice, il savait qu'elle pensait à la même chose que lui, le chemin qu'ils avaient parcouru.

Citation:
"Frères et sœurs, avant de célébrer le mariage de nos amis Carmen et Duncan, prenons quelques instants pour prier, en silence. Prions afin de nous rappeler comme il est bon de s'aimer, de se retrouver entre amis, de glorifier le Très-Haut par la simplicité des choses de la vie. Confessons nos fautes ainsi, dans notre intimité de pécheurs."


Le jeune militaire qui rêvait d'enlacer sa fiancée, récita sagement le Confiteor.

Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.


Duncan le récitait avec ferveur, le temps passant il était de plus en plus croyant. Une fois terminé, le jeune homme releva la tête et croisa à nouveau le regard de Carmen, amoureux comme jamais, lui sourit, signe qu'il avait lui aussi remarqué que leurs familles et amis avaient pris la peine de se déplacer et qu'il l'appréciait à sa juste valeur.
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Henriques
Profonde respiration, une de plus. Confesser ses fautes, réfléchir à la situation, prendre conscience de la vie qui nous entoure et que nous embrassons. Tout un programme.

Ecoutons la parole de Dieu mes frères. Avec attention.

Daniel marcha vers le Lutrin, doucement, pour ouvrir le Livre saint déjà marqué à la page souhaitée. Lecture que le prêtre aimait et dont il pouvait tirer des enseignements pour un couple. En voici le contenu:

Lecture de la Vita d'Aristote:



Citation:
Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.


Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.


Un vrai ami est un égal. Et l'amour correspond à l'état parfait de l'amitié, l'état maximal qui fait que deux personnes vont se lier pour la vie, afin de fonder une famille. Aristote le dit, "l'entraide est la base de l'amitié". J'ai choisi ce texte pour vous rappeler les bases de ce que sera votre vie de couple: l'amitié, l'entraide, l'écoute. C'est en ces termes que vous saurez trouver les solutions à vous soucis, à vos questionnements, à vos hésitations. Vous aurez des décisions importantes à prendre pour votre famille, et c'est dans la mesure où vous vous respecterez mutuellement et vous écouterez que vous ferez les bons choix.

Mes amis...restez comme vous êtes actuellement. Ne changez pas votre simplicité et votre bonne humeur. Soyez en tant que mari et femme comme vous étiez entre amoureux et amis. La prière vous aidera en cela, car ne perdez pas de vue la nécessité de fonder une famille aristotélicienne. La vertu est dans le juste milieu. Amen.


L'Henriqué regarda les futurs mariés et dit:

Bien bien...et si les témoins venaient nous dire quelques mots sur vous? Allez...que les concernés s'avancent et viennent nous expliquer pourquoi ils désirent être les témoins de votre amour devant l'assemblée des fidèles. Ce sera l'occasion de peut être verser une petite larme avant que vous prononciez vos voeux....

L'ancien lescurien sourit. Il savait Carmen sensible aux vrais sentiments, comme il savait que Duncan était un homme pour qui l'amitié importait fortement. Nul doute que le moment à suivre allait être fort en intensité.
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Aedan.
Henriques a écrit:
Bien bien...et si les témoins venaient nous dire quelques mots sur vous? Allez...que les concernés s'avancent et viennent nous expliquer pourquoi ils désirent être les témoins de votre amour devant l'assemblée des fidèles. Ce sera l'occasion de peut être verser une petite larme avant que vous prononciez vos voeux....


Aedan aimait les discours, court justement. Que dire sur sa soeur et son beau frère, il préféra leur donner quelques conseils.

Bonjour,
dit il aux invités, je suis l'un des témoins de Duncan, alors cette phrase est pour toi Bro, « Le mariage est l’art de résoudre à deux les problèmes que l’on ne se posait pas lorsque l’on était seul ! »

Il rit et tousse pour s'éclaircir la voix et se retient de rire.

Sérieusement, Carmen et Duncan votre mariage est l’un des plus beaux jours de votre vie. C’est le jour où l’on prend conscience d’avoir enfin trouvé ce qu’il nous fallait pour être heureux.
Et puis le temps passe, on oublie.
Il leur sourit, Oui, et ce qui se produit alors c’est que, au lieu de se réveiller tous les matins près l'un de l'autre et de crier « On s’aime ! », on commence à regarder autour de soi et à se dire qu’est ce que je veux maintenant ? De quoi ai-je besoin encore si je veux être heureux ? Et donc on regarde, on cherche et on n’arrête pas de se dire qu’on l’a déjà mais... mais rien n’y fait on continue à chercher, et si c’est raté d’avance c’est parce que le trou qu’on a dans le cœur et qu’on veut combler est déjà comblé. On l’a tout simplement oublié.

Une main sur l'épaule de son frère, l'autre sur celle de sa soeur, il affiche son air sérieux. Duncan aura du fil à retordre avec elle, et elle est entre de bonnes mains avec lui.

Un conseil vous deux, n’oubliez jamais et surtout souvenez vous à quel point vous êtes aimés, et si vous y arrivez ce qui est loin d’être évident, vous arrêterez de chercher et vous vous rendrez compte que vous êtes déjà heureux et comblés.

Il regarde Henriques, puis se tourne vers sa femme.

Isabelle et moi, sommes heureux d'avoir été témoins de votre amour. Trois hommes dans cette salle ont essayé de donner ta main, Carmen. Je suis le seul a avoir réussi, et je suis fier de mon choix.

Une bourrade pour Duncan et il regagne sa place. Un clin d’œil pour Isabelle, qu'il dévore du regard.
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Keur
Le mariage se déroulait tranquillement. Keur ne lâcha pas du regard sa filleule Carmen et se souvenait au fur et à mesure du temps qu'il avait pu passer avec elle, lorsqu'elle était toute petite et qu'elle vivait encore en Normandie.

Elle était magnifique dans sa robe de mariée, elle avait les yeux scintillants à chaque fois qu'elle posait son regard sur son Aimé.

Les témoins étaient invités à venir dire quelques mots pour les amoureux. L'un des témoins de Duncan s'approchait en premier pour venir dire de belles paroles. Keur en prenait la suite après avoir eu l'approbation par un regard avec la témoin de Carmen.


Bonjour à Tous.
Je m'appelle Keur, et je suis l'un des témoins de Carmen Esmée.

Carmen,
Je te connais depuis ta naissance,
tu sais à quel point j'étais proche de ta mère, à quel point je l'appréciais.

Depuis ta naissance, j'avais à coeur de te préserver, comme je l'avais promis à ta mère,
de faire en sorte qu'il ne t'arrive aucun malheur,
que tu ais toujours un genou à chevaucher,
une épaule pour t'y reposer
et une oreille pour t'écouter.
Cela jusqu'à ce que j'ouvre mes bras pour te laisser partir jusque dans le Bourbonnais

Si aujourd'hui,
bien du temps à passer, que l'Aure à couler,
tu es devenu bien grande pour mon genou.
Tu as trouver une autre épaule auprès de Duncan pour t'y reposer.
Une nouvelle famille pour t'écouter.
Et même si la distance ne s'y prête pas,
mes bras ne se sont jamais refermés, ils te seront toujours ouverts,
et j'ose espérer que tu le sais.


S'adressant ensuite à Duncan

Duncan,
nous nous connaissons que trop peu,
mais il me suffit de regarder les yeux que Carmen pose sur vous,
pour comprendre l'Amour qu'elle vous porte.

Carmen m'a dit du plus grand bien de vous,
vous méritez donc de continuer le chemin de la vie ensemble.

Toutes mes félicitations pour votre union.

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Isabelle_lupin
La jeune femme laissa son époux qu'elle couvait d'un tendre regard avant de prendre elle-même la parole à la suite de Keur, le parrain de Carmen, un homme pour lequel son amie et sœur avait beaucoup d'affection : en effet, elle lui en parlait toujours avec le petit sourire caractéristique à Carmen qui disait " je l'adore ". Enfin vint son tour, elle rassembla ses esprits, tenta de trouver des mots qui lui paraissaient justes et représentatifs du couple qui s'unissait ce jour-là.

Bonjour à tous,
Beaucoup me connaissent mais je suis Isabelle, la sœur du marié et la meilleure amie de la future jeune épousée. Ce que le Très-Haut unit, nul ne peut le séparer et c'est en regardant les yeux de ces deux personnes présentes devant nous que l'on connait la valeur de l'amour, le grand amour, celui qui ne se dit pas, comme dirait quelqu'un que je connais.


La jeune femme eut un petit sourire énigmatique puis poursuivit :

Deux tempéraments de feu, la taverne de mon époux et surtout sa vaisselle en ont fait l'expérience quelques fois, rit elle. Je suis de ces gens qui pensent que l'amour peut démarrer au premier regard mais que seul le temps peut le solidifier de manière éternelle. Puissiez-vous être les plus heureux possible, vous aimer et vous soutenir mutuellement. Votre histoire, le début de votre vie à deux a été émaillée de nombreuses péripéties : Aedan sait que ce n'était pas gagné au début ! La vie a mis du temps à vous réunir alors que vous ne faisiez que vous croiser sans jamais vous voir mais le destin fut le plus fort, encore une fois !
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Henriques
Réunion. Amour. Comble. Joie. Devenir mari et femme devant le Tout-Puissant est synonyme de cela et de bien plus encore mes frères.

Tous les concernés étaient prêts pour le grand moment. Mais avant...il fallait entrer en prière et professer sa foy. Pour s'unir dans la plénitude de sa propre spiritualité et confirmer être en accord avec l'esprit de cette union.

Frères et soeurs, il est temps de procéder à l'union de Carmen et Duncan. Récitons le Credo pour réfléchir au sens de toute chose et surtout à la portée immense de l'union devant Dieu.

Citation:
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne,
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Tout était prêt. Les témoins avaient bien parlé, comme Henriques l'espérait, c'est à dire avec des mots simples venant du coeur. Telle était la vérité de cet instant, d'un mariage d'amour : la vérité du fond du sentiment, du fond du ressenti de chacun.

Venez près de moi mes amis. Futurs mariés et témoins, venez pour sceller cette union. Carmen, Duncan...il est temps pour vous de dire ce que vous également sur le coeur avant de procéder à l'échange des anneaux de mariage. Souhaitez-vous toujours, devant nous tous ici présents et sous la bienveillance du Très-Haut, former une famille aristotélicienne et donc vous unir par les liens uniques et sacrés du mariage?
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Isabelle_lupin
La jeune femme écoutait avec émotion Monseigneur Henriques qui unissait en ce jour son frère et Carmen, deux êtres pour lesquels vivre l'un sans l'autre ne signifiait rien. Elle se joignit avec un regard ému vers son époux, l'homme qu'elle aimait, aux autres invités pour réciter le Credo.

Perdue et impliquée dans ce qu'elle récitait car ses paroles recelaient grand sens pour une croyante comme elle, elle en oublia le décor alentours, les charges, tout ce qui faisait ce qu'elle était aujourd'hui. En ce jour, elle n'était plus qu'Isa : l'amie, la soeur, la confidente et l'amoureuse. Isabelle était joie.


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne,
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

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Carmen_esmee.
Le regard amarré à celui de Duncan, la future mariée semblait incapable de cligner des yeux. Un peu plus petite que le géant des Highlands, elle le regarde par le bas. Elle incline parfois la tête sur le côté
en haussant légèrement les épaules, elle lui sourit en coin. Daniel choisit un passage de la Vita d'Aristote, un passage lourd de sens pour le couple mais aussi pour les amis lescuriens présents, Carmen les
cherche dans l'assemblée, elle leur sourit et fait un clin d'oeil à Daniel, reconnaissante de son choix de texte.

La future mariée regarda les témoins se lever chacun leur tour à l'appel de Daniel, un petit sourire se dessine sur les lèvres de la jeune fille. Elle se déplace légèrement sur le côté, pour laisser place aux
témoins, elle se rapproche bien entendu de Duncan.. tant qu'à faire.. autant meler l'utile à l'agréable...
Elle pinçait légèrement ses lèvres pour ne pas pleurer, ses doigts jusque là entrelacés fermement se détachèrent, libérera sa propre senestre qui cherchait du bout des doigts la dextre de son futur
époux. Sa main se glissa dans celle de Duncan. Elle échangea un regard avec lui avant de reporter son attention sur Aedan.

Ce dernier ne put s'empêcher de citer leur propre père, seul parent commun aux deux jeunes gens, « Le mariage est l’art de résoudre à deux les problèmes que l’on ne se posait pas lorsque
l’on était seul ! »

Elle regarda son frère, exaspérée, elle retint un « Merci Aedan ! » Mais celui ci se reprit et fit un discours qui réussi à émouvoir la brune. Elle le regarda attendrie, oubliant jusqu'à sa première « pique ».
Il cède sa place à Keur. Carmen n'a pas eu l'occasion de le saluer, ni de l'embrasser, elle lui offre un sourire quand il vient près d'eux. Si elle a les yeux verts de son père, il est certain que son sourire, elle
le tient de sa mère.

Keur, une fois de plus lui assurait qu'il serait toujours présent pour elle, disponible. C'est sans mal qu'elle comprend pourquoi sa mère avait arrêté son choix sur lui pour prendre soin d'elle s'il lui arrivait
malheur. Elle le regarda dans les yeux, repensant à l'Aure, aux piques niques sur les berges, à la vie à Bayeux avant son entrée en couvent. Elle aurait pu grandir en Normandie mais le destin fit prendre
à la brune, un autre chemin celui qui la mena à sa marraine... Kory.

Carmen les regarde tous deux, tour à tour, deux personnes très importantes pour elle, indispensable à sa vie.. Sans eux, elle ne serait pas devenu la jeune femme qu'elle est aujourd'hui. Keur cédera
ensuite sa place à Isabelle, Carmen prit le temps de glisser une bise sur la joue de son parrain et quelques mots a son oreille :

« J'aimerai te voir plus souvent, pas seulement pour les grandes occasions, Parrain. »

Elle sourit à sa soeur, un rideau humide tombe déjà sur ses yeux. « C'est les nerfs.. » Elle retrouve la main de son fiancé et balaye grâce a son index de sa main libre, une larme qui venait perler
au coin de son oeil.

La brune écouta sa soeur, elle ne put s'empêcher de la regarder avec beaucoup de tendresse, plus qu'une amie, Isabelle était la soeur que Carmen avait toujours souhaité avoir. Isabelle avait été témoin
de presque tout concernant le couple qu'elle formait avec Duncan. Ses conseils avaient été précieux et il est vrai qu'elle a effectivement dans des petites crises cassé un peu de vaisselle. Elle rit avec
Isabelle et échange un regard avec Duncan, le pauvre, cela ne l'affectait même plus depuis le temps..Il attendait seulement qu'elle se calme et réinstaurait le dialogue avec l'hispanique.
Elle embrasse sa soeur avant de la laisser filer rejoindre sa moitié.
Isabelle avait évoqué le destin, il est vrai qu'ils se frôlèrent plus d'une fois sur les chemins, et ce sans jamais se rencontrer. C'est au Couvent Lescurien de Rouen qu'ils se rencontrèrent, Un autre
signe ? Très certainement.
Daniel fut d'un grand réconfort et l'aida à y voir plus clair dans ses pensées, désirs et attentes de la vie.. Elle posa son regard sur son ami de toujours lui sembla t-il.

La jeune fille récita le Credo, reprenant sa place près de Daniel et face à son aimé, ne lâchant pas pour autant la main de Duncan. La tête basse, les yeux clos.


Credo in Deum,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Credo in Divinam Actionem,
Sanctam Ecclesiam aristotelicianam, romanam, unam et indivisibilem
Sanctorum communionem,
Peccatorum remissionem,
Vitam aeternam.

Amen.


La brune est soudain si nerveuse, qu'elle en perd son latin ? Non elle le parle.. Ay.. Dios mio..
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Korydwen
Les témoins étaient invités à venir prendre la parole, Korydwen resta en retrait un petit moment, laissant la place aux autres, une fois qu'ils eurent tous parler, la Comtesse se leva avec le plus de grâce possible, ce qui en soi était un véritable prodige pour ceux qui connaissaient la dame. Elle s'avança à son tour et se planta devant toute cette assemblée. Par quoi pouvait-être commencer ? Le début de la fin ?

Bonjour tout le monde, Korydwen, Matriarche de la famille Serna, Marraine de Carmen, Mère de Carmen et aujourd'hui Témoin de Carmen. ne vous inquiétez pas j'en ai fini pour les titres, les autres ne sont que superficiels.

Un sourire aux lèvres, voilà le décors était planté, il fallait maintenant continuer.

C'est un jumelage entre Bayeux et Montbrison qui m'a permis de retrouver ma cousine Eldarwenn ta maman Carmen. Je pense qu'aujourd'hui, elle serait fière de toi ! Que dis-je, elle est fière de toi, parce qu'elle vit à travers toi. Je t'ai vu grandir et je la retrouve dans tes gestes, dans ta façon de voir la vie et ce caractère je dois l'avouer qu'il te vient d'elle !

Totalement décousu, dans tous les sens, aucune continuité, mais telle était la magie Korydwen.

Aujourd'hui, tu as choisi deux "K" pour être tes témoins, ces deux mêmes "K" qui ont toujours été là pour toi. Je me souviens de ton arrivée mouvementé au domaine, Eléa t'avait trouvé sous un arbre, tu venais de quitter ton couvent.

Blablabla, à ce moment-là toute l'assemblée ronfle ou pas, Korydwen fixe sa filleule, Carmen, souriante, et avec un clin d'oeil lui signifie qu'elle a bientôt fini.

Il a fallu convaincre Rick de votre amour, pas une mince affaire. Mais je pense que nous avons réussi un bon tour de passe passe !

Se tournant vers Duncan.

Je vous la confie en ce jour, sans aucune peur, je sais que vous la rendrez heureuse et qu'elle pourra compter sur vous.

Et puis une dernière parole pour Carmen. Emotion ? Oh non, l'on ne pleurait pas lors d'un mariage, sauf de joie et de rire, mais elle allait éviter les blagues dans la cathédrale.

Et je te souhaite un mariage aussi solide que le mien. Je te souhaite d'avoir un époux patient qui saura t'attendre...

Plongeant son regard dans celui de son époux.

Comme mon cher et merveilleux Althiof a pu faire, il m'a attendu pendant toutes ces années, il attendu que je me remette, que je recouvre la santé, sans jamais aller voir ailleurs et sans jamais penser à rompre notre mariage.

Fixant à nouveau Carmen en souriant.

Et tout ce que j'ai vécu et continue à vivre avec lui, Carmen, du fin fond de mon coeur je te le souhaite.
Et je finirai par une citation de ma douce moitié "les mariages c'est bien, on y boit et mange à l'oeil !"


Et de s'incliner devant les futurs mariés et de se glisser sur le côté discrètement non sans avoir déposée une bise sur la joue de Carmen. Le credo maintenant, qu'elle récita avec les autres.
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Revenante.
Carmen_esmee.
    La future mariée regarda sa marraine, plus que cela sa mère de substitution se lever et prendre la parole. Elle se sent fière de compter telle femme, telle personnalité dans sa famille.
    Les mots sur sa mère et la ressemblance dont faisait part Korydwen, arracha une larme à la jeune fille... Sa mère manquait à l'appel une fois de plus en ce jour si important pour elle. Korydwen la remplaçait à la perfection, elle était si douce et bienveillante, un véritable modèle que Carmen s'employait à suivre.

    D'une citation amusante, un baiser de sa marraine adorée et voilà que le temps des vœux était arrivé.. Carmen n'était pas quelqu'un de particulièrement démonstratif en amour, elle regarde Duncan dans les yeux, elle repense a tous ces instants passés ensembles. Les voyages, les aventures, les mésaventures aussi, leurs passions communes, leur amour tout simplement.
    Carmen se sentait en sécurité près de Duncan, rien ne pouvait l'atteindre ou la blesser, il l'aimait et l'acceptait telle qu'elle était avec ses défauts, ses limites, ses caprices... et ce sans vouloir la changer. Elle lui a appris à vivre. Il lui a appris a aimer.
    C'est un sentiment pur et sincère qui unit ces deux êtres. La jeune fille a décidé de prendre soin de cet homme incroyable, de ce sentiment unique. Elle sent qu'elle est liée à lui par quelque chose qui va au delà du cœur, du corps et de l'esprit. C'est une évidence...


    Ce jour est le jour où ma vie commence. Jusqu’à maintenant, il n’y avait que moi, une sale môme insolente et arrogante. Aujourd’hui, je deviens plus que ça, je deviens ta femme et ton épouse. Aujourd’hui, je prends un engagement envers quelqu’un d’autre que moi même. Aujourd’hui je prends un engagement envers toi, envers notre couple, envers notre avenir, envers toutes les possibilités que notre mariage nous offre.

    Carmen pense bien sur au fait de vieillir a ses côtés mais aussi à fonder une famille qui sait, si le Très Haut le permet.

    Avec toi, quoi qu’il puisse se passer, je serais prête. Prête pour tout. À tout moment, prête pour la vie, prête pour l’amour, prête pour les possibilités et les responsabilités. Aujourd’hui, Duncan notre vie commence et j’ai vraiment hâte de me lancer.

    Elle lui sourit doucement en inclinant la tête, émue.

    Duncan je te promets de t’aimer et de te chérir.
    Je te promets d’être là dans le bonheur et dans le malheur,
    Dans la joie comme dans la peine.
    Dans la richesse et dans la pauvreté.
    Pour le meilleur et pour le pire.
    Je promets de t’être fidèle jusqu’à ce que la mort nous sépare ;
    Je n'ai pas de doute sur nous, Je suis sur. Je suis certaine. Je sais.
    Alors voila ce dont je suis sur : tu es mon partenaire, mon amour, mon meilleure ami.
    Mon Ange, mon cœur bat pour toi et en ce jour, le jour de notre mariage, je te promet ceci : je te promets de remettre mon cœur entre tes mains. Je me promets a toi.


    Carmen a conscience que ce sera dur, mais c'est ce qu'elle veut. Elle le veut, Pour toujours.

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