pnj
*Ninoua...*
Le groupe était entré de manière fort peu commode, fracassant la porte alors qu'il suffisait de l'ouvrir. La discrétion aurait pu être un atout majeur mais ils avaient décidés de jouer la carte de la peur et de la surprise. Certain avaient décidés de se cacher sous des chapeau ou bout de tissus. Le Perse lui, malgré son voile, était remarquable à dix lieux. Ils avaient décidé d'assumer ses actes, ou du moins l'alcool les assumerait à sa place. Il est vrai qu'il perdait par moments raisons, tout sa vie il n'avait que servit, Seigneurs ou marchands d'esclaves, et cela contre son gré. Aujourd'hui, il servait Argael, fièrement et dignement, et pour une fois ce choix était le sien. Mais cette femme... cette femme perturbait son existence. Depuis leur rencontre, il c'est vu affaiblit, tourmenté, lui qui juré de ne céder à aucun sentiment qu'il se disait être superficielle. Mais chaque homme a ses faiblesses et la chose restait secrete, il vallait mieux peut-être que cela soit et reste ainsi.
Le visage presque apeurait, Erestie regardait l'homme prendre les armes et se postait en face d'Elisabeth et Ninoua. Tandis que ceux des Bas-Fonds entraient et s'impatientaient à l'idée de se battre ou de voler ces gens. L'Ostrogioth était posté à coté du Perse, grand Dieu qu'il était imposant. Il n'aurait nul mal a lui seul de s'occuper de cet homme. L'héroïsme insensé et inconscient le mènerait probablement à sa perte. Mais qu'il en soit ainsi...
*Ressaisis toi Erestie...*
Brodulis était lui aussi entré, au coté de Capra, et puis il y avait cette femme étrange que l'Ostrogoth affectionnait, peut-être le temps d'une soirée, tout particulièrement. L'ambiance était des plus froide, un mouvement trop brusque d'une personne entrainerait une bataille probablement désastreuse. Il y aura des victimes ce soir à Briançon, qu'Haxāmani leur en soit témoin.
*Et si quelqu'un lui faisait du mal, s'en prenait à elle. Erestie ressaisis toi, fais ce dont pourquoi tu es fait...*
L'alcool l'affaiblissait, aussi bien physiquement que mentalement. Il décida de prendre la parole, sur être toute façon vu par Ninoua. Sa déception était immense, pourquoi était elle la ...
Homme, pose les armes, ta perte est certaine dans ce combat. Mais sache que ta vie ne vaut rien pour nous...
Il balaya la salle du regard, s'adressant ainsi aux autres personnes
Si vous êtes prêt à croiser le fer et rejoindre votre cher Aristote, qu'il en soit ainsi, prenez vos armes. Si par contre votre bon sens prends le dessus, que vos biens, écus et bijoux, soit mise sur cette table!
Le groupe était entré de manière fort peu commode, fracassant la porte alors qu'il suffisait de l'ouvrir. La discrétion aurait pu être un atout majeur mais ils avaient décidés de jouer la carte de la peur et de la surprise. Certain avaient décidés de se cacher sous des chapeau ou bout de tissus. Le Perse lui, malgré son voile, était remarquable à dix lieux. Ils avaient décidé d'assumer ses actes, ou du moins l'alcool les assumerait à sa place. Il est vrai qu'il perdait par moments raisons, tout sa vie il n'avait que servit, Seigneurs ou marchands d'esclaves, et cela contre son gré. Aujourd'hui, il servait Argael, fièrement et dignement, et pour une fois ce choix était le sien. Mais cette femme... cette femme perturbait son existence. Depuis leur rencontre, il c'est vu affaiblit, tourmenté, lui qui juré de ne céder à aucun sentiment qu'il se disait être superficielle. Mais chaque homme a ses faiblesses et la chose restait secrete, il vallait mieux peut-être que cela soit et reste ainsi.
Le visage presque apeurait, Erestie regardait l'homme prendre les armes et se postait en face d'Elisabeth et Ninoua. Tandis que ceux des Bas-Fonds entraient et s'impatientaient à l'idée de se battre ou de voler ces gens. L'Ostrogioth était posté à coté du Perse, grand Dieu qu'il était imposant. Il n'aurait nul mal a lui seul de s'occuper de cet homme. L'héroïsme insensé et inconscient le mènerait probablement à sa perte. Mais qu'il en soit ainsi...
*Ressaisis toi Erestie...*
Brodulis était lui aussi entré, au coté de Capra, et puis il y avait cette femme étrange que l'Ostrogoth affectionnait, peut-être le temps d'une soirée, tout particulièrement. L'ambiance était des plus froide, un mouvement trop brusque d'une personne entrainerait une bataille probablement désastreuse. Il y aura des victimes ce soir à Briançon, qu'Haxāmani leur en soit témoin.
*Et si quelqu'un lui faisait du mal, s'en prenait à elle. Erestie ressaisis toi, fais ce dont pourquoi tu es fait...*
L'alcool l'affaiblissait, aussi bien physiquement que mentalement. Il décida de prendre la parole, sur être toute façon vu par Ninoua. Sa déception était immense, pourquoi était elle la ...
Homme, pose les armes, ta perte est certaine dans ce combat. Mais sache que ta vie ne vaut rien pour nous...
Il balaya la salle du regard, s'adressant ainsi aux autres personnes
Si vous êtes prêt à croiser le fer et rejoindre votre cher Aristote, qu'il en soit ainsi, prenez vos armes. Si par contre votre bon sens prends le dessus, que vos biens, écus et bijoux, soit mise sur cette table!