[changement d'endroit enfin d'aider au rp, rp autre modifier pour aider]
Marché, oui marché, c’est tout ce que Elva. voulait faire en se moment. Sortir de sa retraite pour apprendre pire encore étais insuportable. Elle avait crue que cette pause lui amennerais repos et confort mais le retour à St-Veran lui donna la nausée. Se rappeler de ses enfants de son passé. Fallait croire que le passer on devait vivre avec et qu’il n’avait pas moyen de l’effacer.Une cape, des chausses bien chaude un chapeau devait suffir pour gravir la montagne, ne disait-on pas que l’effort physique aidait à l’esprit?
Enfin, avant un petit détour, celui de la taverne, pourquoi pas un ver avant le départ pour la montagne, petit arrêt rapide aux abord du village.
L’annonce de Ka, elle ne se voyait pas vivre à St-Veran encore près de lui à le voir.Elle aurait donc un déménagement à planifier, une maison à trouver. Surement la prison quelques jours pour avoir quitter son post sans prévenir, et encore une cours par un ex-amant en colère qu’elle soit parti et qui a perdu la tête et encore des assassins à son dos cadeau de son défun mari qui avait promis de l’effacer de la carte comme on efface un trait mal fait, en même temps que sa mort.
Voilà donc ou elle était 17 ans téméraire enfants morts, changer oui, changer… Elle entra donc capuche sur la tête à peine reconaissable dans la taverne. Elle commenda un ver puis un autre pourquoi pas.Soudain un bruit attira son attention, un bruit de craquement, rien de grave dans ses temps froid, cela arrivait à Saint-Verant parfois. Puis un plus fort, sans doute que tout se replaçait en place. Puis elle eu le temps à peine de lever la tête pour voir la poutre qui la heurta de plein fouet, elle sombra immédiatement dans un étrange rêve et monde inconsciente de ce qui arrivait :
Elle entama donc la pente qui amenait à la montagne. Elle voulait voir de la haut la vue qu’on lui avait promis au matin mais qui était jamais arrivé.
Pourquoi disait-on qu’il était difficile de gravir, enfin la première côte étais pas si difficile, pas plus qu’un arbre, cependant un mal de tête épouventable c’était mis à la harceler.
La deuxième il fallait avouer que les doigts commençaient à en souffrir un peu, même beaucoup, le froid aimait les mordres de pleine dents.
La troisièmes la faisait parfois glissé, elle était maintenant essouflée, elle du lutter pour se rendre jusqu’en haut de cette dernière, l’impression de pression sur la poitrine et de manquer d’air était plus que présente.La glace, la neige, les pieds qui glisse, mainte fois elle avait ue peur de tombé mais elle atteignit le sommet. Une fois au sommet, elle se demandait comment elle allait redescendre, comme si cette petite escapade lui repassait sa vie en bataille, on avance parce qu’il le faut mais, une fois au sommet comment redescent-on?
Pour l’instant elle se reposerait et après elle verait bien comment descendre et puis elle avait laisser une note à St-Verant.
Citation:Parti gravir la montage pour voir le soleil sur les terres.
Elva.
Les mains gelées les pieds dans un état plus que froid et douloureux, elle décida de s’asseoir et d’appuyer son dos contre le roc. Elle admirait la vue qui était magnifique, l’épuisement la gagnait l’engourdissement si doux de la fatigue et de l’air frai sur sa peau la berçait comme un bébé. Bien vite elle ne sentait plus ses pieds, ni ses doigts ce qui aida au repos.Un repos qui soignerais le mal de tête qui se faisait moins en moins présent. Elle était si fatiguée, si épuisée et pour une fois elle ne pensait à rien, juste la beauté du paysage devant elle et le repos, oui, se reposer, dormir juste quelques minutes avant de descendre, juste quelques..min…
Ses yeux se fermèrent doucement le sommeil l’emportait sur la volonté de descendre. Tout était si doux dans le bercement du vent et la fraicheur du temps. Puis une vision blonde lui tendit les bras du vide. Sa mère, sa mère était là devant elle, lui tendant les bras tendrement flottant tel un nuage. Pouvait-elle lui dire non, elle qui priait chaque jour le manque de cette dernière et son cœur bousculer? Elle lui tendit les mains et d’une étrange sensation elle sentit qu’elle pesait plus rien. Les mains se joignire dans un dernier effort elva sourit, et enttendit les paroles de sa mère.
Vien ma belle tu as assez souffert, tu as assez fait d’effort pour tous viens au repos, sans craintes. Les mains de sa mère étaient chaude elle se leva légère comme le vent qui souffle. Plus de froid, plus de chaud, juste la douceur d’une caresse maternel et le sentiment d’être ou elle se devait d’être pour une fois. Elle voulut regarder derrière une dernière fois, tout ce qu’elle y trouva était des gens aux travail avec des pelles. Elle ne comprenait pas mais cela lui était égal, maintenant elle était bien, plus aucune douleurs tout allait bien
Ainsi son corps prit fin.