Gailen_d_arduilet
Citation:
Titre : College de la noblesse
Comte,
Nous vous prions de venir prendre part au débat concernant la prise de Rochechouart.
Gueldnard
Comte,
Nous vous prions de venir prendre part au débat concernant la prise de Rochechouart.
Gueldnard
Citation:
Saint Junien,
quelle joie d'avoir des nouvelles de Limoges dans cet endroit si froid et ou je me sent si seul. Certes la compagnie des gardiens et des rats est agréable mais bien loin de la châleur du sud.
Comme vous le constatez, et ce même si votre courrier est bien arrivé jusqu'à moi. Je n'ai pas la possibilité de me déplacer jusqu'au collège. Juste le droit, ce qui est déjà énorme de vous répondre par missive.
Si vous désirez quand-même faire plus pour me voir vous rejoindre au collège, peut-être pourriez vous écrire a votre souveraine. Vous savez, cette vache bourguignone qui porte la couronne de France. Couronne que vous avez juré lorsque vous deviez me prêter allégeance de défendre plutôt que ma tête. Eh bien cette couronne est sur la mauvaise tête et la mienne ( de tête, pas de couronne) est maintenant dépendante du bon vouloir de cette femme.
Sachez, que si je ressort, un jour, de cette fichue cellule, je serai heureux de revenir au collège. mais je doute ressortir vivant et encore moins titré de cette mésaventure.
Dire ce que l'on pense n'est pas bonne chose à paris. Vera m'avait pourtant prévenu.
Qu'Illinda veille sur vous et sur notre belle province.
Rédigé et signé de ma main avec une mauvaise plume dans une geôle sombre et humide en la bonne ville de Paris.
quelle joie d'avoir des nouvelles de Limoges dans cet endroit si froid et ou je me sent si seul. Certes la compagnie des gardiens et des rats est agréable mais bien loin de la châleur du sud.
Comme vous le constatez, et ce même si votre courrier est bien arrivé jusqu'à moi. Je n'ai pas la possibilité de me déplacer jusqu'au collège. Juste le droit, ce qui est déjà énorme de vous répondre par missive.
Si vous désirez quand-même faire plus pour me voir vous rejoindre au collège, peut-être pourriez vous écrire a votre souveraine. Vous savez, cette vache bourguignone qui porte la couronne de France. Couronne que vous avez juré lorsque vous deviez me prêter allégeance de défendre plutôt que ma tête. Eh bien cette couronne est sur la mauvaise tête et la mienne ( de tête, pas de couronne) est maintenant dépendante du bon vouloir de cette femme.
Sachez, que si je ressort, un jour, de cette fichue cellule, je serai heureux de revenir au collège. mais je doute ressortir vivant et encore moins titré de cette mésaventure.
Dire ce que l'on pense n'est pas bonne chose à paris. Vera m'avait pourtant prévenu.
Qu'Illinda veille sur vous et sur notre belle province.
Rédigé et signé de ma main avec une mauvaise plume dans une geôle sombre et humide en la bonne ville de Paris.