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[RP] Toc Toc Toc. C'est pour Ary ! Ary bah Ary bah ! =>

Sebastian.
Sébastian resta discret durant les échanges de palabres et de politesses entre les différents acteurs de ce... Baptême? Il était pas certain mais pensait bien que c'était un baptême !
Il regardait autour de lui quand une Brune s'avança vers le Blãu avant de se tourner vers lui.


" Adissiatz ! "

Raclage de gorge, recherche dans ses mémoires obscures, oui, il croit être sûr et certain de ne l'avoir jamais rencontrée.

Adishatz, Sébastian enchanté.

Et de lui tendre la main, sans trop savoir qui elle était, surtout que si elle était de la haute, il aurait mieux valu qu'il s'incline.
Le voici donc le dos courbé et le bras tendu pour être certain de ne pas faire d'impair, ayant maintenant l'air en règle avec le protocole, mais aussi complètement mal-formé.

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Ceriera
C'était donc lui, elle avait sa réponse. La brune fit un petit sourire amusé à l'homme dans une position improbable, avant de lui serrer la main. C'était très bien une poignée de main : elle n'allait pas le mettre à l'aise tout de suite quand même ! Mais de grâce, qu'il se redresse !

Cerièra, de même.
Nous ne nous sommes jamais vu : vous êtes un ami d'Aryanna je suppose ?


Elle savait pertinemment qui il était pour son amie, mais elle avait tellement envie de lui poser la question, pour voir comment il s'en sortirait. Une sorte de bizutage sans doute. C'est ça de tourner autour de sa polideta* : Aryanna, elle se mérite. Il faut passer le dragon Cerièra d'abord.

Une bise à Arabella, qu'elle voyait trop peu souvent à son goût :


Comment tu vas, Bella ?
Nous sommes ici pour… nous verrons bien ?
Ceci dit, nous sommes dans un archevêché… ça n'est pas pour prendre l'apéro !
Encore que… c'est vivant ici, il ne faut pas croire ! On est parfois surpris !
Et puis, Asphodelle ne devait-elle pas nous ramener du vin chaud ?


Avec un grand sourire. Même si elle avait son idée, ça n'était pas à elle de vendre la mèche sur la raison de leur présence à tous.
Mais à propos de vin chaud…


Asphodelle ! Il vous faut de l'aide ?

Elle avait parlé de lait chaud aussi, la Sainte Rouquine. Mais c'était mois urgent…


* joliette
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…
Bomacip
Le vieux aussi était sévèrement «à la bourre» ! Prévenu par Cerièra qu'il était le bienvenu à cette occasion, il avait du déserter quelque temps le Prieuré et les travaux qu'il s'était engagé à y faire.
Antoynette partie, il n'était plus si enthousiaste pour y rester, et avait hâte de revoir l'itinérante. Elle lui disait aller bien, mais le vieil homme préférait s'en assurer par lui-même.
Jamais il n'avait mis les pieds à l'archevêché de Toulouse, il était déjà si rare qu'il mette les pieds dans une église… Mécréant, lui ? Oh, que non pas ! Mais il croyait «comme tout le monde», parce que dans son petit village de montagne, on croit, «c'est comme ça».

En arrivant, il reconnut quelques fuxéens : la gentille mairesse qui faisait de si bons gâteaux, deux amies de Cerièra, un homme et une femme qu'il avait aperçus à la Saint-Noël, trois inconnus… et «la petite», elle n'était pas là ?

Il alla saluer tout le monde, en insistant sur ceux qu'il connaissait, finissant par «Doem», et allant finalement rejoindre Cerièra :


Elle n'est pas là la pichoneta* ?
C'est sa journée pourtant, qu'est-ce qu'elle fait ?
Et… comment vas-tu toi ? Vraiment ?


Et patati et patata avec la brune…



* petite + diminutif affectueux
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Artiste du noir et du blanc.
Sebastian.
Sébastian se redressa après avoir serré la main de la Brune, Cerièra il paraît ? Elle le saluait, échange de politesse, puis lui demandait ce qu'il faisait là. Question piège, pour en avoir parlé avec la principale intéressée, il savait que certains savaient, mais qui ?

Non je ne crois pas que nous nous connaissions, je suis de Castres, je passe un petit peu de temps entre la mairie et le Capitole, rien de bien intéressant . Je suis une connaissance d'Aryanna.

Sourire assuré, droit dans les yeux, après tout il a pas mentit, il a juste volontairement omis des informations...
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Aryanna
Note aux lecteurs : Préparez-vous psychologiquement, je lâche l'inspi', ça va être long. Tayo !


« Il s’appelait Jan. C’était un admirable paysan de vingt ans, sage comme une fille, solide et le visage ouvert. Comme il était très beau, les femmes le regardaient ; mais lui n’en avait qu’une en tête, — une petite Arlésienne, toute en velours et en dentelles, qu’il avait rencontrée sur la Lice d’Arles, une fois. — »
      - L'Arlésienne, Lettres de Mon Moulin, Alphonse Daudet *



[Dans une auberge de Tolosa, près de l'Archidiocèse]

En toute bonne Arlésienne, qui joue l'Arlésienne - amusant n'est-ce pas - elle était... en retard !
Dans les faits ça ne devait pas surprendre grand monde, elle était - presque - Tou-Jours à la bourre ! Déjà, elle avait failli oublier, c'est Sébastian qui le lui avait rappelé, la veille, dans l'une de ses lettres, mais la cérémonie devant commencer un peu plus tard, la noire s'était re-concentrée sur son travail. Faut dire, après deux mois passé en tant que Comtesse, entourée des quelques vaillants survivants, elle avait dû délaisser sa charge au Grand Office et ses dossiers du Sud-Ouest avaient commencé à s'entasser pour son plus grand malheur et celui de la Première Secrétaire d'Etat, laquelle s'était bien vite rappelée à son bon souvenir. Dire qu'elle devrait se rendre à Paris, sous peu, pour l'Office, munie de tous ces dossiers à jour... Cela allait devenir complexe. Et elle se demandait bien quand elle aurait le temps. A moins qu'elle... n'envoie la chose par courrier-porteur ? C'est plongé dans cette réflexion qu'Aryanna laissa passer l'heure de son départ.

Toutefois, c'est lorsqu'elle avait entendu sonner la cloche de la Basilique Sainte-Marie de la Daurade qu'elle s'était rendu compte qu'elle était déjà en retard, irrémédiablement en retard. Fichtre ! A croire qu'elle l'avait toujours été. C'était même à se demander si elle n'avait été en retard pour sa propre naissance, ou si elle serait en retard pour sa propre mort. En plus, la donzelle était bien loin d'être prête. Fichtre, fichtre, fichtre !
Heureusement que, dans un éclair d'intelligence elle avait décidé, la veille, à l'issue de sa ronde, de faire route pour Toulouse, afin de ne pas perdre de temps dans le déplacement et d'arriver à l'heure - un lamentable Échec ! -
Se relevant brusquement du sol où elle s'était allonger pour travailler, elle s'était habillée en quatrième vitesse. Pour une fois, elle avait troqué l'une de ses éternelles chemises trop grande pour... une robe. Pas de chaisne aujourd'hui, sinon elle aurait en-core une réflexion du Capitani ! Puis, elle était partie en trombe, attrapant au passage sur sa table de chevet son peigne en corne bicolore, souvenir Ferrimontais.



[A l'archi-chi-chi-diocèse]

C'est donc comme une fleur qu'elle arriva dans la cour de l'Archidiocèse, elle n'avait arrêté sa course qu'avant d'entrer dans le palais. Parce que si elle était arrivée en courant, elle entendait déjà Manga lui répéter, en substance : "A proscrire ! On ne court pas !" **. Et bien que la chose l'aurait fait rire, elle se devait de respecter la parole sage de son amie. Elle s'était "coiffée" sur la route, ou essayé et avait failli se casser la gueule dans la neige à cause de cette fichue robe !
Imaginez la scène un instant ! - Vous rêviez si vous espériez que ça allait se terminer là -. Une noire qui court dans les rues toulousaines, défaisant sa tresse d'une main, de l'autre elle tient vaguement sa robe. Cheveux qui s'éparpillent. Vent qui souffle et qui lance la tignasse devant ses yeux. Plaque de verglas. Elle glisse. MAIS ! Pour une fois, au lieu de tomber, elle s'amortie d'un pied - pur hasard - le patin est né !
C'est donc devant le Palais Saint-Sernin qu'elle avait brièvement démêlé ses cheveux, à l'aide de son peigne, refait sa tresse. Mais, plutôt que de la laisser voler sur le côté elle l'avait remonté derrière son crâne. Puis elle avait entreprit de l'enrouler sur elle-même, dans un chignon tressé assez grossier - Bah oui. Système D -. Fouillant dans sa besace, elle en avait sorti un pique à chignon et l'y avait enfoncé. Normalement le tout tiendrait, quand bien même quelques mèches éparses glissaient sur son visage... Une vraie galère !

Enfin bref ! Fini de tourner autour du pot, bien que sa vie tout à fait fascinante est Vrai-Ment palpitante. Mais, ne pleurez pas, ça reviendra !
C'est donc comme une fleur qu'elle arriva dans la cour de l'archidiocèse. Elle se tenait devant tout ce petit monde déjà présent. Un regard circulaire sur l'assemblée, elle n'est pas la dernière. Un prodige ! Alors elle lance, sur un ton désinvolte :

"
Bonjorn, bonjorn ! "

Un sourire s'esquisse sur ses lèvres et l'oiselle d'aller voir tout un chacun, l'un après l'autre.
En commençant par Doemino, à qui elle dépose une bise sur une de ses joues :
"
Je suis heureuse de te voir ici, Doemino.
Je rentre à la fin de la semaine, à Foix. Si tu as besoin de quoi que ce soit
! "
Puis elle se tourne vers Manga, avec un sourire :
"
Je suis heureuse de savoir que tu n'es pas encore partie.
Fais bien attention à toi en Maine. Il ne faudrait pas qu'il t'arrive quoi que ce soit !
"
Ensuite, vient le tour de Lyviia, non loin de la Comtessa Manon, elles aussi ont droit Au bisou rituel :
"
Je suis heureuse que vous soyez là, que vous soyez rentrés à temps pour tout ça.
Mais, Comtessa, je n'ai vu notre Capitani grincheux, serait-il à nouveau souffrant ?
"
Elle esquisse un sourire à cette idée, le revoir malade ne serait pas la meilleure des choses, mais au moins il serait là, fidèle à lui-même, en train de ronchonner.
Et de se tourner vers la jolie Arabella, à qui elle dépose un bisou sur une joue aussi :
"
Me voilà bien contente de te voir, Bella. Moi qui avait peur que tu ne puisses venir, avec tout ce travail à faire ! "

Puis, laissant ce petit groupe, elle alla vers ceux du fond, l'oiselle venait de les apercevoir, avec, parmi eux... Cerièra !
Alors elle se meut rapidement, mais pas trop : "En sus il faut donner l'impression de glisser sur le sol et non pas y glisser !" comme dirait la Chancelière **. Elle reste légère, alors qu'elle aurait bien couru directement pour la prendre dans ses bras. Mais elle glisse, elle vole même.
Après un salut de rigueur adressé au Bleu, qui aime le mutisme, les phrases sans les mots. Mais, ce qui l'étonne, c'est qu'il soit venue sans sa femme... Alors elle se demande :
"
Vous êtes seul ? Dona Véra-Lucie se porte-t-elle bien ? "
Parce que oui, elle est inquiète, tout comme de ne pas voir Loarwenn ici encore...
Ensuite elle va glisser dans les bras de Bomacip. Vieil homme charmant, à qui elle donne Le bisou aussi :
"
Merci à Vos d'être là, Sénher Bomacip ! Voilà bien longtemps que je n'avais pu vous voir ! Je vous croyais reparti pour Montferrier, à l'air pur, la montagne, la pierre de sacrifices ! " - parce que oui, elle se souvenait.
Puis elle lui souffle "
Avez-vous vu comme votre pique à chignon ne glisse pas ? Vous êtes bien l'expert de la corne. Je ne saurai comment vous remercier encore ! "
Enfin, elle s'adresse à Sébastian d'une voix qu'elle voudrait la plus neutre possible : "
Mercé à Vos d'être venu. Je sais comme vos charges peuvent vous fatiguer, parfois ". Et Toc ! Alors qu'un sourire taquin s'esquisse sur ses lèvres, l'oiselle finit son envol dans les bras de Cerièra. Qu'elle sert doucement contre elle, si heureuse de la revoir enfin !
"
Si tu savais combien, ô combien, je suis heureuse et soulagée que tu aies pu arriver à temps, malgré toutes tes péripéties !
Il faudra absolument que nous parlions de tout cela, que tu me racontes encore davantage ce voyage vers le Nord. Cette excursion en Champagne, via le Berry, la Bourgogne, tout !
"
Puis, avisant l'absence de Monseigneur Asphodelle, elle souffle : "
Asphodelle n'est pas là ? As-tu vu le Sénher Robert, aussi ? Je ne les ai pas vu, mais ils ne devraient tarder, n'est-ce pas ? " Et oui, elle commence à s'inquiéter, car il manque tout de même les éléments majeurs de toute cette histoire. L'officiante et le comparse machiavélique.
Regardant à nouveau la Cerise, elle ajoute dans le même temps : "
Par ailleurs, il faudrait que je te pose une question, un peu à l'écart. " Et elle lui sourit, ravie, car la question ne pouvait que se poser de vive voix. Parce que les lettres qu'elles se sont échangés durant tout le voyage ne lui avait permis de lui poser la question. Et parce que la donzelle préférait faire sa demande à la Pyrénéenne en bon et due forme...



* Une petite dédicace à ljd Cer
** Et une autre - double - à ljd Manga. Qui, par ailleurs, a donné un titre vrai-ment très beau à ce RP

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Bomacip
Té ! La voilà !

Un large sourire se dessinait dans la barbe du bonhomme alors qu'Aryanna se dirigeait vers Cerièra et lui. Ravie de la revoir, surtout en une occasion comme celle-ci, il avait du mal à cacher sa… ravitude ? Il prit chaleureusement celle dont il parlait comme «la petite» dans ses bras, avant de lui répondre, affable, par quelques nouvelles.

– " Voilà bien longtemps que je n'avais pu vous voir ! Je vous croyais reparti pour Montferrier, à l'air pur, la montagne, la pierre de sacrifices ! "

Et bien non, je suis parti sur le bateau en même temps que Cerièra, j'allais à Sainte-Illinda travailer à l'agrandissement du Prieuré en Abbaye, et… veiller à ce qu'Antoynette aille bien, quand elle s'y rendrait.

– " Avez-vous vu comme votre pique à chignon ne glisse pas ? Vous êtes bien l'expert de la corne. Je ne saurai comment vous remercier encore ! "

Me remercier ? Boudu, ça n'est rien du tout ! Je suis ravie qu'elle vous serve, c'est le meilleur des remerciements.
Et puis je suis déjà honoré d'être invité à votre bmmmmmm…


La main de Cerièra était venue se plaquer sur sa bouche. Avec deux gros yeux noirs.
Comment ? Il ne fallait pas le dire ? Tous ces gens, ils ne savaient pas pourquoi ils étaient là ?

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Artiste du noir et du blanc.
Ceriera
Bomacip ! Nous ne sommes pas censés savoir, encore moins le dire !

Une Arlésienne avec un secret de Polichinelle… drôle de journée, à bien des égards. Arlésienne qui ne tarda pas à atterrir dans ses bras, pour la plus grande joie de Cerièra, qui fut pour le coup moins douce que l'oiselle, la faisant tournoyer avant de lui faire une grosse bise.

Si tu savais combien, ô combien, je suis heureuse et soulagée d'être ici ! Je n'en Pou-Vais-Plus sur la fin !
Mais je te raconterai davantage à un autre moment, ça n'est ni le jour, ni le lieu !


Et à propos de ce moment :
Pas trop nerveuse ? Je l'étais un peu moi, je me rappelle… même si ça ne date pas d'hier !
Il est grand temps dis-donc… je pense que certains ici seront étonnées que «ce» ne soit pas déjà le cas !
Avec un sourire complice, car leurs précédentes conversations lui avaient laissé deviner l'objet de la journée, à la griotte, même si l'invitation qu'elle avait reçue, certainement la même que les autres, ne le mentionnait pas.

Asphodelle ? Elle est partie chercher du vin et du lait chaud.
Je n'ai pas encore vu Robert non, il doit venir ?
Tu attends encore du monde ?


– "Par ailleurs, il faudrait que je te pose une question, un peu à l'écart."

Veux-tu que nous nous isolions un instant ?

Le regard tourné vers Bomacip :

Tu ne m'en veux pas si je t'abandonne quelques minutes ?
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Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…
Julian.de.calderon
[L'arrivée du brun cap'tain...]

Son avant bras se glissa en silence sous celui de Venès. Et ses lèvres de gringotter à l'esgourde de la brune quelques mots.
Avait il à se faire pardonner ? Vous n'imaginez même pas...et ce n'est pas de conter fleurette qui effacera ses moments désagréables. Il ne cherchait pas à se faire pardonner d'ailleurs, Pour lui, tout ce qu'il faisait et disait étaient justifié. Et qu'il fallait bien mettre parfois un coup de pied dans la fourmilière pour faire bouger les choses. Le mauvais rôle étant de mettre le coup de pied....il s'en passerait bien. Traîner la réputation d'emmerdeur est loin d'être agréable.

Il salua du chef tout un chacun qui croisait son regard. Et lorsqu'il croisa celui d'Aryanna, un petit sourire fendit ses lèvres..."Deos je vous remercie, vous l'avez vêtu en ce jorn..."....il est de bon ton de remercier en pensées le Très Haut lorsque ce dernier fait preuve de grande bonté.

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Arfie.
"Ce sera dehors qu'elle avait dit la dame " Depuis la brune avait sillonné la ville pour trouver la fourrure.. The fourrure .. Celle qui tient chaud et qui en jette un max..
"Z'avez au moins 15 manteaux Arfie "qu'il lui avait dit.. "Ha oui mais non.. Celui là je ne l'ai pas .." Puis la capuche mon dieu la capuche.. "C'est donc parée de sa nouvelle acquisition , lui ayant couté un œil qu'elle arrive en grognant..

P't'ain j'ai mal aux pieds.. J'aurais peut être pas du mettre 3 paires de bas.. Sont trop p' tites mes bottes ..


Démarche étrange due à cette douleur, elle rejoint les autres qu'elle trouve facilement. "P'tain ca jacasse sec dans le coin.."

Elle salue tout le monde ..

Bonjorn , bonjorn les filles .. Oups pardon ! Mais il y a des hommes , j'avais point vu.

Sieur Sébastian , Sieur Evilkevin.. Et ceux que je ne connais pas .. Bien le bonjour ..

"Quoi non j'ai pas oublié le Calderon " La brune se dirige enfin vers la future baptisée..

Aïe , ouille... p'tain ..

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Mangarofw
Manga saluait de droite et de gauche les arrivants....

Elle sourit aux mots d'ary mais ne lui répondit point... Préférant la laisser évoluer d'un invité à l'autre...

Elle se mit un peu de côté pour attendre vin et lait chaud.... Evitant ainsi de gêner les uns et les autres dans leur conversation.

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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.
Sebastian.
Sébastian salua le peu de gens qu'ils connaissait, la célébrité du jour vint le saluer, hop, un fion de lancé parce-qu’il s'est endormi en taverne l'autre soir... Ça c'est fait, ça ça se paiera. Il sourit, ne répond pas, la laissant vaquer à ses salutations. Le blond commençait à croire que son retard était volontaire pour en fait, saluer tout le monde d'une traite !
Il se remit dans le fond, salua les nouveaux arrivants d'un signe de tête. Tiens, un brun qu'il avait croisé au Capitole, il saurait enfin qui c'était... Puis un sourire à Arfie, avant de retourner à ses pensées .

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Asphodelle
Lalala lala...elle revient avec ses marmites et ses gobelets, aidés d'enfançons réduits en esclavage - on déconne ils sont tirés de la rue pour se rendre utiles et avoir double ration de gâteaux.

Il y a des zhooooooooooooommes??? haaaan lala c'est bien çaaaa...- gros clin d'oeil hypeeeeeeer discret aux filles célib réunies ici...
Elle fait le point en aparté :
alors lui il est fiancé, lui me semble célibataire...lui...lui...

Ah ! il manque le parrain...mais il arrive, il se fait beau, il révise sa gomina....
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Antoynette
La dernière. Elle était la dernière. Enfin, peut être. Alors qu'elle enfilait la seule robe qu'elle possédait, et l’agrémentait d'un châle à peu près aux mêmes couleurs, Antoynette paniquait pour son retard. Elle était touchée par cette invitation, et n'avait jamais pensé à fournir davantage sa garde robe pour ce genre d'occasions. Elle avait toujours espéré se confectionner elle même ses vêtements. Mais plus le temps passait, plus c'était compromis. Elle fit tout de même un effort de coiffure en remontant ses cheveux en chignon, prouesse qu'elle n'exerçait plus guère depuis qu'elle avait perdu l'usage d'une main.

C'est en souriant qu'elle arriva au milieu de tout ce beau monde qui discutait joyeusement. Rougissante, la timide brune se mêla doucement aux convives déjà présents.


Bonjour. Désolée, j'ai fait aussi vite que j'ai pu. J'ai raté quelque chose?
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Sowelo
Il avait longuement tourné en rond, réfléchissant, suite à l'invitation d'Aryanna à ce baptême, faite un peu à la dernière minute peut-être, mais c'était une invitation... et on lui disait qu'on ne refusait jamais ces choses là, sauf dans des cas qui n'ont, ici et il se doutait de ne pas se tromper, pas lieu d'être. Son "rejet forcé" de tout ce qui était religieux à cause de son passé n'était cependant pas assez fort comparé à sa grande curiosité, et comme il n'avait jamais vu de baptême, elle était piquée. Il se vêtit donc correctement, comme à chaque occasion, puis, rejoignit tout ce beau monde... mais très loin d'être assuré pour autant, ayant toujours ses fantômes du passé qui revenaient.

Bonjour tous, je suis pas trop en retard ?


Il resta cependant un peu en retrait, pas trop pour pouvoir tout suivre, mais loin d'être proche, étant beaucoup trop mal à l'aise.
Asphodelle
Ah ! elle regarde Sowelo et prend un carnet...encore un célibataire...note même si elle est complètement hors sujet.

Non vous n'êtes pas en retard mes chatons.... le parrain arrive pour fermer la marche. Ensuite tout retardataire se verra donné un gage terrible....ah...terrible....han on a oublié de dire à Gustave d'arrêter de compter dans sa cave ! oh il est sûrement desséché à présent...

Elle est joueuse aujourd'hui Asphodelle, elle est joueuse....

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