[RP] Toc Toc Toc. C'est pour Ary ! Ary bah Ary bah ! =>

Stradivarius.

La veille.
Car il faut toujours une veille au jour même, sinon ce n'est pas drôle. Donc, la veille j'étais tranquillement avec Jean-Jacques, le Lansquenet de Madame, à goûter quelques nouvelles décoctions intéressantes. Évidemment, je songeais alors que j'étais bien libre de faire ce que je désirais puisqu'il n'y aurait rien de spécial au lendemain. Bon, je ne pensais certainement pas non plus passer, finalement, une nuit entière en sa compagnie et terminer la gueule six pieds de long, totalement enfariné et terriblement broyé par le mélange de pruneaux et de baies de je ne sais quel buisson étrange. Je me souviens que le lansquenet avait dit, aussi, que ça allait faire boum. Du Jäger-Bomb, voici le fameux mélange inquiétant totalement teutonique. Je peux aisément dire que j'ai souffert. De nombreuses fois. Et comme l'alcool permet d'oublier, et bien j'ai oublié que ça faisait mal, donc j'ai recommencé. Encore et encore. Jusqu'à terminer à dormir sur le sol gelé, un peu de foin coincé entre les dents. Il paraît même que je me suis battu avec Gunther sur le doit d'annexion d'un chien mort. Quelque-chose dans ce goût là. Il est assez dingue de savoir ce qui se passe en une soirée. Tout cela parce qu'il paraît qu'il faut savoir enterrer sa vie de garçon plusieurs fois d'affilées, sinon ce n'est pas drôle et certainement pas accepté par Dieu. Toutes les bêtises que l'on entend pour justifier une beuverie, franchement!

Bref.
Je me suis réveillé et je me suis prit de stupeur en songeant à Asphodelle ayant passée nuit seule.

- Et merde!

Bref.
Je me suis aussi réveillé en songeant que finalement j'avais quelque-chose de prévu aujourd'hui, sans m'en souvenir.

- Et merde!

Bref.
Je me suis souvenu en me réveillant qu'il s'agissait du baptême d'Aryana dont je suis parrain.

- Et merde!

Bref.
Je me suis souvenu, aussi, après avoir formulé ces dissonances à de multiples reprises qu'Asphodelle n'aime guère les grossièretés et que ce n'est pas mignon.

- Et mer...credi!

C'est fou, ça.
Le temps que l'on met à se vêtir lorsque l'on est en retard, le temps de retrouver ses bottes dans le pantalon de Gunther, le temps de trouver sa deuxième chaussette et le temps de recommencer à boutonner sa chemise parce qu'on s'est foiré entre le mardi et le mercredi. Que des choses qui mettent en joie. Il y aussi ce petit détour afin de cueillir les premières fleurs croisées, des pivoines, se faire enguirlander par une femme à qui appartiennent ses pivoines au point de se "quereller" légèrement, de recevoir des coups des dites pivoines sur la tronche, finalement se voir les offrir car elles ne ressemblent plus vraiment à des pivoines, et partir en courant avec des balafres plein la tronche. Que de péripéties incroyables en cette seule matinée! Et il fallait courir, aussi, courir vite et bien, sans se vautrer, jamais. Le retard pouvait être rattraper! Mais le retard n'est jamais rattrapé. Demandez-le au petit lapin, là. Forcément, c'est là que je retrouve un ami chinois de Bordeaux qui me pourchasse et qui... non, je déconne, j'ai juste couru pendant au moins quinze minutes. Essoufflé, royalement, je suis arrivé au lieu dit, content et fier de moi! Y'a même Asphodelle! Faut pas faire le con. Faut être normal, tout à fait conscient de son malheur sans en faire part, afficher sa tête de victime parfaite et potentielle, faire des petits gestes tendres et mignons. Bref, la mignonitude incarnée.

- Que vous êtes ravissante ma mie! Étourdissante de charmes et de délicatesses pour ma pauvre vue déjà meurtrie par autant d'aveuglantes défiances de beauté et de... Voici des fleurs, pour vous, ma chère.

Et là, il ne faut pas la laisser parler.
Juste lui faire un gros bisou sur la joue, qui pique parce que je suis mal rasé.

- Oh! Mais c'est donc pas la future baptisée que voilà?!

Ça craint du boudin cette histoire.
Vous connaissez les scènes de ménage? Ben moi c'est José. Et elle, c'est Liliane.

- Bonjour! Bonjour! Je suis à l'heure, bien entendu! Toujours prompt à servir cordialement les intérêts de nos amis chers!

Et de taper des mains.
L'air de rien. Juste comme ça parce que je suis super embêté.

- Bon! Ça va bientôt commencer, n'est-ce pas?

Ce qu'il faut pas inventer là parce qu'on confond le 16 avec le 26

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Asphodelle

Asphodelle fait comme toutes les femmes qui ont vu leur mari découcher trois jours après les noces, et vu qu'elle a déjà l'étoile blanche sur fond rouge, elle peut entrer dans la guerre froide.

Elle sourit donc à sa venue, et ouvre les bras en guise d'accueil :

Tous ici présent...soyez les bienvenus au baptême d'Aryanna, et merci de votre présence chaleureuse. Ensuite, elle nous invite tous chez elle ou nous pourrons manger et boire à ses frais et bien sûr fêter ça !

Aryanna est au courant de ça? ah?

Que s'avance vers moi la jeune fiancée et le parrain. Pendant ce temps, on distribue les boissons chaudes.
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Aryanna

Aujourd'hui elle est en forme, ya pas à dire, l'Aryanna. Elle a bien réussi à virevolter de partout en un temps record et en lançant même une taquinerie à Sébastian au passage. Elle est En Forme ! C'est ça aussi de ne pas dormir ! Passer les nuits sur les remparts ou sur les routes. Elle est donc au sommet - presque - de sa forme, et si, en plus, on apporte du vin elle va finir par péter le feu !
Mais d'abord ! Cerièra ! Il faut qu'elle la kidnappe un instant.

" Aucune nervosité, je suis un vrai... feu de cheminée ! - parce qu'à l'époque les piles électrique ça n'existe pas.
Enfin, beaucoup seront sans doute surpris, mais... il y avait tant de choses à faire avant Cerièra. Mieux vaut tard que jamais. Et... beaucoup auraient manqué la chose, dont toi. "

Et elle lui sourit avant de regarder l'arrière cour, sans doute par là que la Mama Santissima est partie.
Puis la noire opine aux deux questions de la brune...

" Oui ! Robert Doit être là ! - et elle appuie bien sur le mot devoir.
A croire qu'on va finir par le voir tous les jours !
Et... certains "retardataires" doivent encore arriver, oui !
Enfin ! "

Adressant un petit regard ainsi qu'un sourire à Bomacip, signifiant bien qu'elles reviennent tout de suite, l'oiselle prend la main de la Cerise et l'entraine un peu à l'écart.
Il est temps de faire sa demande ! Mais, elle ne posera genou à terre aujourd'hui...

" Je n'ai pas eu le temps de te le demander avant et je ne voulais le faire par lettre, aussi... je ne le fais que maintenant, excuses-moi.
J'ai donc une question pour toi :
Accepterais-tu... d'être ma marraine, toi aussi ? "

Parce que oui, dans la tête d'Aryanna on ne fait rien comme tout le monde. Elle : ce sera trois parrains, ni plus ni moins et non pas deux. Un parrain et deux marraines, parce qu'est plus amusant ! Elle aurait bien demandé à tout le monde, mais là... ça aurait peut-être été abuser. Enfin...elle aurait aussi pu demander au Capitani, mais elle a déjà un parrain fêlé, imaginez donc l'horreur !

Une fois la réponse reçue, les deux soeurs de coeurs retourneront dans l'assistance. La noire saluera de loin le Capitani ronchon qui arrive en retard, rira d'entendre Asphodelle dresser une liste de célibataires, à n'en pas douter elle est toujours plongée dans son récent mariage qu'elle veut tous les caser ! Elle accueillera aussi une Arfie qui boite et toute emmitouflée par un haussement de sourcil : " Tout va bien ? Vous avez l'air de souffrir de quelque chose ! " Pour ensuite rassurer Antoynette qui est très jolie et pile à l'heure, ainsi que Sowelo.

Enfin le parrain arrivera - Amen ! - elle ira donc à sa rencontre et lui glissera à voix basse : " Pile à l'heure, comme tout le monde ! Mais... Raoul n'est pas avec vous ? " Il lui avait bien dit qu'il emmenait le gros chat dans son souvenir.

Après tout elle s'en fout, l'important c'est que tout le monde soit là, et elle aussi était à la bourre.
Et puis, c'est pas le parrain qui doit montrer l'exemple ? Normalement SI ! Alors jusque là elle est efficace, même si le score est à améliorer.

Enfin, il n'y a pas le temps de s'arrêter que déjà on l'appelle, enfin... la fiancée ? Quoiiii ?Elle glisse un bras sous celui de Robert et elle le regarde perplexe d'un air de : "Vous savez de quoi qu'on cause, vous ?" Ou est-ce encore une de ses entourloupes. Le mariage arrangé, le mariage arrangé. Surprise, surprise !

[Squizzé avec ljd Aspho. On reprend...]
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Ceriera

Elles abandonnèrent donc Bomacip pour un aparté, main dans la main, l'oiselle et la griotte. D'ailleurs la griotte devrait se méfier, à terme… les oiseaux ça bouffe toutes les cerises trop hautes pour être cueillies… mouarf.

Soulagée, Cerièra, à la question de son amie ! Non, c'est qu'elle grognait un peu à l'intérieur jusqu'ici : être la marraine d'Antonin, mais pas de son oiselle ? Oh, elle n'a rien contre Antonin, mais bon… quel sens tout ceci aurait-il ?

Elle accepta donc avec joie, mais haussa un sourcil au «toi aussi» : qui avait-elle en plus comme parrain ou marraine ? Et de rigoler franchement à la réponse ! L'autre là, qui sait même pas son Credo et qui épouse une archevêque ? Manon, ça n'était pas drôle par contre mais logique. Récente baptisée la comtesse, certes, mais un tempérament tout aristotélicien. Le juste milieu, Manon l'incarnait.

Justement, Manon… au moment où Aryanna dut prendre le bras de Robert, il fallut bien que Cerièra la lâche un peu… elle alla donc trouver auprès de Manon un nouveau bras d'amarrage, n'en déplaise au Pitaine. Témouines, marraines, des bises… houlala !

*Alors, ça commence ?*
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❦ Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη ❦ Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…

Manon

Un sourire à l'arrivée de son futur en retard mais bien portant tandis que ses lèvres murmurent à son oreille.

"Avec un si jolis minois, chance j'ai de trouver vostre bras encore libre et m'en empare sur le champs."

Traduction Juliannesque au choix :

"Sois belle, mienne et tais toi."
"Si tel n'avait pas été le cas, bain de sang il y aurait eu."
"J'ai à me faire pardonner alors par mes douces paroles ni vu ni connu je t'embrouilles."

Dernières salutations pour les retardataires, sans étonnement aucun quant à celui de la future baptisée, le tout accompagné d'un double sourire pour compenser celui presque inexistant de son pitaine.

Mais il faudra bien qu'il cède sa place à la belle Cerièra et le bras fut donc abandonné pour le laisser à plus de finesse toute féminine dont la complémentarité devait être plus profonde que la Lescurienne le pensait puisqu'elles étaient côte à côte pour la seconde fois. Ce serait même la troisième si ... enfin.

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Mangarofw

Manga salut les derniers arrivants et décide, elle, de prendre le bras de deux personnes...

Attrape donc Antoynette et Sowelo... Et après ? Bah c'est la danse des canards .... ha non ? On patiente .....
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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.

Asphodelle

Un parrain et deux marraines donc. Avec ça, Aryanna, tu va filer doux !

Elle lui fait un clin d’œil et poursuit :

Pour parler au Seigneur, nous devons nous rappeler que nous lui parlons en tant que pêcheurs et que c'est humblement que nous demandons son pardon.
On peut réciter le confiteor tel qu'il est ou bien établir sa propre prière de repentance. C'est la sincérité qui prédomine ainsi que le symbole.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

La veille, elle n'avait pas pu faire réciter son mari puisqu'il était parti faire l'andouille avec les Lansquenets, aussi s'il se trompe, ben fait pour lui !
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Ceriera

Chose naturelle pour Cerièra, qui prêchait en ce moment à qui voulait bien l'entendre les vertus du Confiteor. Elle se mit donc en prière, à l'unisson.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Et en inaction.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Et qu'il m'accorde surtout la clairvoyance de ne plus en faire, ou le moins possible.

On est pas bien, là, dehors, à prier tous en chœur ?
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❦ Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη ❦ Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…

Antoynette

Dehors en hiver. Noël, d'accord, mais un baptême, quelle idée! Si les températures avaient été négatives, l'eau aurait gelé. Ca aurait été pratique, tiens!

* Si je me marie, ça sera en été ! *

Pour l'instant, comme à chaque cérémonie, Antoynette prenait mentalement des notes sur le déroulement. Et comme l'assemblée, à côté de manga qui s'était entourée du plus pessimiste fuxéen, et de la plus optimiste fuxéenne, elle pria comme il se devait:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action. Et en inaction.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
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Mangarofw

Heureusement qu'elle avait Antoynette avec elle car sinon elle aurait rien confessé du tout la Manga.

Elle confessa donc à voix basse...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Elle préféra répéter textuellement les mots d'Asphodelle pour éviter une boudasse au Très Haut.
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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.

Aryanna

Elle aimait l’hiver, elle avait toujours aimé l’hiver. La neige, le vent, le vin chaud – évidemment ! – et les glissades sur le verglas… Elle était bien consciente qu’il faisait un peu froid, mais en se serrant un peu tout ne pouvait qu’aller…
Et puis, la famille aristotélicienne était une entité de partage, d’aide et de réconfort. Il ne faisait pas si froid ces temps-ci et les murs retenaient le vent du dehors… La chose avait été pensée pour Loarwenn aussi, mais elle n’était encore là. Mais il fallait commencer.
S’approchant d’Asphodelle accompagnée de Robert, Manon et Cerièra, elle esquissa un sourire à la première remarque…

« Comme si je ne filais pas doux, déjà, voyons ! »

Mais, plutôt que de poursuivre sur la plaisanterie, il était temps de réciter le Confiteor, et elle ferait office de souffleuse pour Robert, ou bien elle parlerait assez fort pour eux deux l’oiselle…

« Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je demande à tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
Je demande à Dieu de veiller sur mes amis, les personnes présentes, tout comme celles qui ne le sont pas. Car elles sont toutes chères à mon cœur… »

Confiteor récité, avec son petit ajout personnel, elle releva le nez vers Monseigneur. Elle était prête pour la suite, évidemment.
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Stradivarius.

En murmure.
Pour la volonté d'Aryana de voir Raoul.

- Nulle inquiétude. Il se prépare, se fait beau, et va arriver. Vous savez ce que c'est, un noeud de papillon, de la gomina, tout ça, tout ça. Les hommes aiment se faire attendre.

Et j'avance.
Avec la petite future baptisée dont je suis le parrain. On a la classe ou on ne l'a pas. Je vais être le "Godfather" d'une noble. À voir ce que cela va bien pouvoir donner au futur. Oui, un jour je viendrais lui demander une faveur qu'elle ne pourra pas me refuser! Ceci étant dit, d'ici là il me faudrait mémoriser ce fichu Confiture. Enfin, Confitador... Confit de canard? Bref. En épousant une archevêque, il était de mon devoir de montrer l'exemple. Et, surtout, de me montrer incroyablement mignon en le sachant à la perfection. Plus pour elle que pour les autres, après tout.

- Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Et BAM!
Voilà, je le connais. Personne n'a rien à dire. Hm. Je devrais peut-être éviter de faire la danse de la victoire devant tout le monde, non?

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Layla.d.arkana

Planquée derrière un groupe de spectateurs, une blonde ,endimanchée les joues rougit par la honte du retard ou le vent froid qui venait la taquiner, récita.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Cette blonde c'est moi et je suis sacrément en retard fichtre de dieu. Une chance qu'on ne m'entende pas blasphémer. L'invitation d'Ary ne disait rien de précis mais une chose était sûre je devait venir, je voulais venir. C'est donc à cause de cela que je souffre de la honte de mon retard. Dans ma main droite une petite main légère qui n'a de cesse de gigoter, tantôt c'était parce qu'il avait un caillou dans sa chausse et à présent le petit avait envie de pipi .

Je soulève ce petit homme et le réchauffe contre mon corps ce qui atténue son envie et nous voilà concentrés sur l’événement.
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Olympe

Au milieu de tous ces adultes, une petite voix s'éleva. Aller à la messe régulièrement, écouter maman réciter les prières tous les jours, ça aidait forcément. Et Olympe, sans fierté mal placée, mais contente de montrer qu'elle savait, récita en même temps que les autres:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, ...
Je demande à tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, ... de tous nos péchés.

Les mots compliqués, elle les oubliait, mais l'essentiel était dit.
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Loarwenn

La silhouette de la Bretonne, forcément en retard, cela devenait un habitude ces derniers temps, s'était faufilée entre les gens. Elle avait reconnu plusieurs personnalités du Toulousain, même la protégée de son Ours était là. Loarwenn se mit donc non loin de la Blonde et regarda l'assemblée.

Pendant que tous récitaient le serment d'usage, elle resta silencieuse. On la forcerait jamais à déblatérer des choses qui étaient contre sa propre nature.

Elle était venue pour Aryanna et seulement pour elle, afin d'être présente pour sa fête.

Loarwenn sourit et observa la cérémonie.

Toc Toc Toc. C'est pour Ary ! Ary bah Ary bah ! =>

Ceriera

Bomacip ! Nous ne sommes pas censés savoir, encore moins le dire !

Une Arlésienne avec un secret de Polichinelle… drôle de journée, à bien des égards. Arlésienne qui ne tarda pas à atterrir dans ses bras, pour la plus grande joie de Cerièra, qui fut pour le coup moins douce que l'oiselle, la faisant tournoyer avant de lui faire une grosse bise.

Si tu savais combien, ô combien, je suis heureuse et soulagée d'être ici ! Je n'en Pou-Vais-Plus sur la fin !
Mais je te raconterai davantage à un autre moment, ça n'est ni le jour, ni le lieu !

Et à propos de ce moment :
Pas trop nerveuse ? Je l'étais un peu moi, je me rappelle… même si ça ne date pas d'hier !
Il est grand temps dis-donc… je pense que certains ici seront étonnées que «ce» ne soit pas déjà le cas ! Avec un sourire complice, car leurs précédentes conversations lui avaient laissé deviner l'objet de la journée, à la griotte, même si l'invitation qu'elle avait reçue, certainement la même que les autres, ne le mentionnait pas.

Asphodelle ? Elle est partie chercher du vin et du lait chaud.
Je n'ai pas encore vu Robert non, il doit venir ?
Tu attends encore du monde ?

– "Par ailleurs, il faudrait que je te pose une question, un peu à l'écart."

Veux-tu que nous nous isolions un instant ?

Le regard tourné vers Bomacip :

Tu ne m'en veux pas si je t'abandonne quelques minutes ?
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Bomacip

Té ! La voilà !

Un large sourire se dessinait dans la barbe du bonhomme alors qu'Aryanna se dirigeait vers Cerièra et lui. Ravie de la revoir, surtout en une occasion comme celle-ci, il avait du mal à cacher sa… ravitude ? Il prit chaleureusement celle dont il parlait comme «la petite» dans ses bras, avant de lui répondre, affable, par quelques nouvelles.

– " Voilà bien longtemps que je n'avais pu vous voir ! Je vous croyais reparti pour Montferrier, à l'air pur, la montagne, la pierre de sacrifices ! "

Et bien non, je suis parti sur le bateau en même temps que Cerièra, j'allais à Sainte-Illinda travailer à l'agrandissement du Prieuré en Abbaye, et… veiller à ce qu'Antoynette aille bien, quand elle s'y rendrait.

– " Avez-vous vu comme votre pique à chignon ne glisse pas ? Vous êtes bien l'expert de la corne. Je ne saurai comment vous remercier encore ! "

Me remercier ? Boudu, ça n'est rien du tout ! Je suis ravie qu'elle vous serve, c'est le meilleur des remerciements.
Et puis je suis déjà honoré d'être invité à votre bmmmmmm…

La main de Cerièra était venue se plaquer sur sa bouche. Avec deux gros yeux noirs.
Comment ? Il ne fallait pas le dire ? Tous ces gens, ils ne savaient pas pourquoi ils étaient là ?
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Artiste du noir et du blanc.

Aryanna

Note aux lecteurs : Préparez-vous psychologiquement, je lâche l'inspi', ça va être long. Tayo !

« Il s’appelait Jan. C’était un admirable paysan de vingt ans, sage comme une fille, solide et le visage ouvert. Comme il était très beau, les femmes le regardaient ; mais lui n’en avait qu’une en tête, — une petite Arlésienne, toute en velours et en dentelles, qu’il avait rencontrée sur la Lice d’Arles, une fois. — »

- L'Arlésienne, Lettres de Mon Moulin, Alphonse Daudet

[Dans une auberge de Tolosa, près de l'Archidiocèse]

En toute bonne Arlésienne, qui joue l'Arlésienne - amusant n'est-ce pas - elle était... en retard !
Dans les faits ça ne devait pas surprendre grand monde, elle était - presque - Tou-Jours à la bourre ! Déjà, elle avait failli oublier, c'est Sébastian qui le lui avait rappelé, la veille, dans l'une de ses lettres, mais la cérémonie devant commencer un peu plus tard, la noire s'était re-concentrée sur son travail. Faut dire, après deux mois passé en tant que Comtesse, entourée des quelques vaillants survivants, elle avait dû délaisser sa charge au Grand Office et ses dossiers du Sud-Ouest avaient commencé à s'entasser pour son plus grand malheur et celui de la Première Secrétaire d'Etat, laquelle s'était bien vite rappelée à son bon souvenir. Dire qu'elle devrait se rendre à Paris, sous peu, pour l'Office, munie de tous ces dossiers à jour... Cela allait devenir complexe. Et elle se demandait bien quand elle aurait le temps. A moins qu'elle... n'envoie la chose par courrier-porteur ? C'est plongé dans cette réflexion qu'Aryanna laissa passer l'heure de son départ.

Toutefois, c'est lorsqu'elle avait entendu sonner la cloche de la Basilique Sainte-Marie de la Daurade qu'elle s'était rendu compte qu'elle était déjà en retard, irrémédiablement en retard. Fichtre ! A croire qu'elle l'avait toujours été. C'était même à se demander si elle n'avait été en retard pour sa propre naissance, ou si elle serait en retard pour sa propre mort. En plus, la donzelle était bien loin d'être prête. Fichtre, fichtre, fichtre !
Heureusement que, dans un éclair d'intelligence elle avait décidé, la veille, à l'issue de sa ronde, de faire route pour Toulouse, afin de ne pas perdre de temps dans le déplacement et d'arriver à l'heure - un lamentable Échec ! -
Se relevant brusquement du sol où elle s'était allonger pour travailler, elle s'était habillée en quatrième vitesse. Pour une fois, elle avait troqué l'une de ses éternelles chemises trop grande pour... une robe. Pas de chaisne aujourd'hui, sinon elle aurait en-core une réflexion du Capitani ! Puis, elle était partie en trombe, attrapant au passage sur sa table de chevet son peigne en corne bicolore, souvenir Ferrimontais.

[A l'archi-chi-chi-diocèse]

C'est donc comme une fleur qu'elle arriva dans la cour de l'Archidiocèse, elle n'avait arrêté sa course qu'avant d'entrer dans le palais. Parce que si elle était arrivée en courant, elle entendait déjà Manga lui répéter, en substance : "A proscrire ! On ne court pas !" **. Et bien que la chose l'aurait fait rire, elle se devait de respecter la parole sage de son amie. Elle s'était "coiffée" sur la route, ou essayé et avait failli se casser la gueule dans la neige à cause de cette fichue robe !
Imaginez la scène un instant ! - Vous rêviez si vous espériez que ça allait se terminer là -. Une noire qui court dans les rues toulousaines, défaisant sa tresse d'une main, de l'autre elle tient vaguement sa robe. Cheveux qui s'éparpillent. Vent qui souffle et qui lance la tignasse devant ses yeux. Plaque de verglas. Elle glisse. MAIS ! Pour une fois, au lieu de tomber, elle s'amortie d'un pied - pur hasard - le patin est né !
C'est donc devant le Palais Saint-Sernin qu'elle avait brièvement démêlé ses cheveux, à l'aide de son peigne, refait sa tresse. Mais, plutôt que de la laisser voler sur le côté elle l'avait remonté derrière son crâne. Puis elle avait entreprit de l'enrouler sur elle-même, dans un chignon tressé assez grossier - Bah oui. Système D -. Fouillant dans sa besace, elle en avait sorti un pique à chignon et l'y avait enfoncé. Normalement le tout tiendrait, quand bien même quelques mèches éparses glissaient sur son visage... Une vraie galère !

Enfin bref ! Fini de tourner autour du pot, bien que sa vie tout à fait fascinante est Vrai-Ment palpitante. Mais, ne pleurez pas, ça reviendra !
C'est donc comme une fleur qu'elle arriva dans la cour de l'archidiocèse. Elle se tenait devant tout ce petit monde déjà présent. Un regard circulaire sur l'assemblée, elle n'est pas la dernière. Un prodige ! Alors elle lance, sur un ton désinvolte :

" Bonjorn, bonjorn ! "

Un sourire s'esquisse sur ses lèvres et l'oiselle d'aller voir tout un chacun, l'un après l'autre.
En commençant par Doemino, à qui elle dépose une bise sur une de ses joues :
" Je suis heureuse de te voir ici, Doemino.
Je rentre à la fin de la semaine, à Foix. Si tu as besoin de quoi que ce soit ! "
Puis elle se tourne vers Manga, avec un sourire :
" Je suis heureuse de savoir que tu n'es pas encore partie.
Fais bien attention à toi en Maine. Il ne faudrait pas qu'il t'arrive quoi que ce soit ! "
Ensuite, vient le tour de Lyviia, non loin de la Comtessa Manon, elles aussi ont droit Au bisou rituel :
" Je suis heureuse que vous soyez là, que vous soyez rentrés à temps pour tout ça.
Mais, Comtessa, je n'ai vu notre Capitani grincheux, serait-il à nouveau souffrant ? "
Elle esquisse un sourire à cette idée, le revoir malade ne serait pas la meilleure des choses, mais au moins il serait là, fidèle à lui-même, en train de ronchonner.
Et de se tourner vers la jolie Arabella, à qui elle dépose un bisou sur une joue aussi :
" Me voilà bien contente de te voir, Bella. Moi qui avait peur que tu ne puisses venir, avec tout ce travail à faire ! "

Puis, laissant ce petit groupe, elle alla vers ceux du fond, l'oiselle venait de les apercevoir, avec, parmi eux... Cerièra !
Alors elle se meut rapidement, mais pas trop : "En sus il faut donner l'impression de glisser sur le sol et non pas y glisser !" comme dirait la Chancelière **. Elle reste légère, alors qu'elle aurait bien couru directement pour la prendre dans ses bras. Mais elle glisse, elle vole même.
Après un salut de rigueur adressé au Bleu, qui aime le mutisme, les phrases sans les mots. Mais, ce qui l'étonne, c'est qu'il soit venue sans sa femme... Alors elle se demande :
" Vous êtes seul ? Dona Véra-Lucie se porte-t-elle bien ? "
Parce que oui, elle est inquiète, tout comme de ne pas voir Loarwenn ici encore...
Ensuite elle va glisser dans les bras de Bomacip. Vieil homme charmant, à qui elle donne Le bisou aussi :
" Merci à Vos d'être là, Sénher Bomacip ! Voilà bien longtemps que je n'avais pu vous voir ! Je vous croyais reparti pour Montferrier, à l'air pur, la montagne, la pierre de sacrifices ! " - parce que oui, elle se souvenait.
Puis elle lui souffle " Avez-vous vu comme votre pique à chignon ne glisse pas ? Vous êtes bien l'expert de la corne. Je ne saurai comment vous remercier encore ! "
Enfin, elle s'adresse à Sébastian d'une voix qu'elle voudrait la plus neutre possible : " Mercé à Vos d'être venu. Je sais comme vos charges peuvent vous fatiguer, parfois ". Et Toc ! Alors qu'un sourire taquin s'esquisse sur ses lèvres, l'oiselle finit son envol dans les bras de Cerièra. Qu'elle sert doucement contre elle, si heureuse de la revoir enfin !
" Si tu savais combien, ô combien, je suis heureuse et soulagée que tu aies pu arriver à temps, malgré toutes tes péripéties !
Il faudra absolument que nous parlions de tout cela, que tu me racontes encore davantage ce voyage vers le Nord. Cette excursion en Champagne, via le Berry, la Bourgogne, tout ! "
Puis, avisant l'absence de Monseigneur Asphodelle, elle souffle : " Asphodelle n'est pas là ? As-tu vu le Sénher Robert, aussi ? Je ne les ai pas vu, mais ils ne devraient tarder, n'est-ce pas ? " Et oui, elle commence à s'inquiéter, car il manque tout de même les éléments majeurs de toute cette histoire. L'officiante et le comparse machiavélique.
Regardant à nouveau la Cerise, elle ajoute dans le même temps : " Par ailleurs, il faudrait que je te pose une question, un peu à l'écart. " Et elle lui sourit, ravie, car la question ne pouvait que se poser de vive voix. Parce que les lettres qu'elles se sont échangés durant tout le voyage ne lui avait permis de lui poser la question. Et parce que la donzelle préférait faire sa demande à la Pyrénéenne en bon et due forme...

* Une petite dédicace à ljd Cer
** Et une autre - double - à ljd Manga. Qui, par ailleurs, a donné un titre vrai-ment très beau à ce RP

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Sebastian.

Sébastian se redressa après avoir serré la main de la Brune, Cerièra il paraît ? Elle le saluait, échange de politesse, puis lui demandait ce qu'il faisait là. Question piège, pour en avoir parlé avec la principale intéressée, il savait que certains savaient, mais qui ?

Non je ne crois pas que nous nous connaissions, je suis de Castres, je passe un petit peu de temps entre la mairie et le Capitole, rien de bien intéressant . Je suis une connaissance d'Aryanna.

Sourire assuré, droit dans les yeux, après tout il a pas mentit, il a juste volontairement omis des informations...
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Bomacip

Le vieux aussi était sévèrement «à la bourre» ! Prévenu par Cerièra qu'il était le bienvenu à cette occasion, il avait du déserter quelque temps le Prieuré et les travaux qu'il s'était engagé à y faire.
Antoynette partie, il n'était plus si enthousiaste pour y rester, et avait hâte de revoir l'itinérante. Elle lui disait aller bien, mais le vieil homme préférait s'en assurer par lui-même.
Jamais il n'avait mis les pieds à l'archevêché de Toulouse, il était déjà si rare qu'il mette les pieds dans une église… Mécréant, lui ? Oh, que non pas ! Mais il croyait «comme tout le monde», parce que dans son petit village de montagne, on croit, «c'est comme ça».

En arrivant, il reconnut quelques fuxéens : la gentille mairesse qui faisait de si bons gâteaux, deux amies de Cerièra, un homme et une femme qu'il avait aperçus à la Saint-Noël, trois inconnus… et «la petite», elle n'était pas là ?

Il alla saluer tout le monde, en insistant sur ceux qu'il connaissait, finissant par «Doem», et allant finalement rejoindre Cerièra :

Elle n'est pas là la pichoneta* ?
C'est sa journée pourtant, qu'est-ce qu'elle fait ?
Et… comment vas-tu toi ? Vraiment ?

Et patati et patata avec la brune…

* petite + diminutif affectueux
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Artiste du noir et du blanc.

Sebastian.

Sébastian resta discret durant les échanges de palabres et de politesses entre les différents acteurs de ce... Baptême? Il était pas certain mais pensait bien que c'était un baptême !
Il regardait autour de lui quand une Brune s'avança vers le Blãu avant de se tourner vers lui.

" Adissiatz ! "

Raclage de gorge, recherche dans ses mémoires obscures, oui, il croit être sûr et certain de ne l'avoir jamais rencontrée.

Adishatz, Sébastian enchanté.

Et de lui tendre la main, sans trop savoir qui elle était, surtout que si elle était de la haute, il aurait mieux valu qu'il s'incline.
Le voici donc le dos courbé et le bras tendu pour être certain de ne pas faire d'impair, ayant maintenant l'air en règle avec le protocole, mais aussi complètement mal-formé.
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Ceriera

C'était donc lui, elle avait sa réponse. La brune fit un petit sourire amusé à l'homme dans une position improbable, avant de lui serrer la main. C'était très bien une poignée de main : elle n'allait pas le mettre à l'aise tout de suite quand même ! Mais de grâce, qu'il se redresse !

Cerièra, de même.
Nous ne nous sommes jamais vu : vous êtes un ami d'Aryanna je suppose ?

Elle savait pertinemment qui il était pour son amie, mais elle avait tellement envie de lui poser la question, pour voir comment il s'en sortirait. Une sorte de bizutage sans doute. C'est ça de tourner autour de sa polideta* : Aryanna, elle se mérite. Il faut passer le dragon Cerièra d'abord.

Une bise à Arabella, qu'elle voyait trop peu souvent à son goût :

Comment tu vas, Bella ?
Nous sommes ici pour… nous verrons bien ?
Ceci dit, nous sommes dans un archevêché… ça n'est pas pour prendre l'apéro !
Encore que… c'est vivant ici, il ne faut pas croire ! On est parfois surpris !
Et puis, Asphodelle ne devait-elle pas nous ramener du vin chaud ?

Avec un grand sourire. Même si elle avait son idée, ça n'était pas à elle de vendre la mèche sur la raison de leur présence à tous.
Mais à propos de vin chaud…

Asphodelle ! Il vous faut de l'aide ?

Elle avait parlé de lait chaud aussi, la Sainte Rouquine. Mais c'était mois urgent…

* joliette
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❦ Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη ❦ Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…

Mangarofw

Manga de prêter plus d'attention à son environnement...

ho regardez comme c'est beau ! Une belle fontaine à l'eau à moitié gelée ! Ca c'est pas commun !

Pardon, bonjour tout le monde.... Ca va ?

Et de sourire et saluer chacun et chacune.

Notre ary nationale est pas encore arrivée on dirait... Espérons que Monseigneur rapporte vite du vin et du lait chaud ! Sinon on risque de finir comme le trait d'eau de la fontaine !

Et de rire toute seule.
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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.

Lyviia

Et d'arriver à son tour .. tout sourire ..
Comme d'habitude, elle était en retard mais personne n'en serait surpris quoi qu'il en soit .. c'était monnaie courante avec Lyviia !!
Elle avait profité qu'elle avait un peu de temps pour flâner et à force de traîner .. la voilà donc de nouveau à la bourre !!
Les filles étaient déjà là .. elle s'approcha donc naturellement d'elle pour les bisouiller et saluer Dame Asphodelle au passage !!

Bonjour les filles,
Bonjour Dame Asphodelle !!

Je pensais que la cérémonie n'était pas commencée .. j'ai donc pris mon temps !!
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Evilkevin

La Bleusaille avait reçu une invitation énigmatique. Il décida donc de s'y rendre. Il avait si peu d'invitations, qu'il était heureux d'en avoir une.

Toutefois, il était à la masse encore une fois. Il vint donc en retard, et s'insinua discrètement dans le fond comme à son habitude. L’observation était un de ses passes-temps favori, aussi, il était satisfait que personne n'ai vu son ombre se glisser à leurs côtés.

Un attroupement féminin et l’archevêque, en somme, il s'agit du baptême d'Aryanna. Il était surpris qu'elle ne soit pas déjà baptisé. Il vit autour d'elle des visages connus des Fuxéenne.

Heureusement qu'il s'était fait discret, car il apparaitrait comme une tache dans cet ensemble fuxéen. Serait-il le seul étranger à cette cérémonie ? Peu lui importait, car ici, ils étaient de la même communauté.
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Sebastian.

Sébastian avait eu l'invitation depuis plusieurs jours, mais ne sachant trop où se diriger il avait observé le va et viens de quelques visages connus autour de la place forte d'Aristoste. Cela finit de le convaincre lorsqu'il vit le bleu entrer. Bon et bien c'est là ! Il entra et fut pris de surprise lorsqu'il vit qu'il n'y avait que des daunàs...
Le blond se mit derrière Kevin, dans le fond et croisa les Bras.

Adishatz Blãu, nous voilà cernés !
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Ceriera

Ah, Asphodelle ! Voilà qui était de bonne augure… alors qu'Aryanna jouait encore l'arlésienne…
… un salut donc, une bise à Lyviia qui ne tardait pas.

Bonjour Lyviia ! Ça tarde un peu à commencer oui… sans Aryanna, nous ne ferons pas grand chose !

Mais… oh, un nouvel arrivé ! C'est ça la «famille aristotélicienne» : impossible d'avoir la paix tout seul dans son coin. Surtout ici.

Bonjour le jeune marié ! Comment allez-vous ?

Jet de discrétion du Bleu : loupé…
Oh, un blond à sa suite… *c'est qui ?*

Adissiatz ! En espérant en savoir bientôt davantage. «Cernés ?» Un castrais ? LE castrais ?
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❦ Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη ❦ Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…

Evilkevin

Ceriera a écrit:

Bonjour le jeune marié ! Comment allez-vous ?

Il fut extirpé de ses rêveries par la voix de la Fuxéenne voyageuse. Enfin, être fuxéenne, c'était être voyageuse.

"Le jeune marié va bien. Et vous, comment allez vous ? Vous faites escales dans l'enclave toulousaine ? Toujours sous l'emprise de douces rêveries bleutés ?"

Il sourit à l'évocation de ces mots. Il était de notoriété publique que la Bleusaille n'aimait pas être dérangée dans ses rêveries. Ceriera néanmoins semblait prendre un malin plaisir à vouloir le tourmenter. Le nommer par ce prénom horrible qu'est Kévin, maintenant, le déranger lors d'une séance de réflexion pure... Quelle était la prochaine étape dans l'escalade de l'horreur contre sa personne.

Ainsi, sur l’ambiguïté que pouvaient amener ses propres mots, il sourit grandement à l’empêcheuse de rêver-en-rond... Ce comportement lui faisait penser à Manon et à sa fâcheuse tendance à la taquinerie intempestive. De ces chamailleries étaient née une profonde amitié. Qu'en serait-il de cette femme qu'il connaissait peu. L'avenir le lui dirait.
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Manon

Il est vrai que la Lescurienne n'est pas "habitée" par une foi aussi forte qu'ancrée, probablement parce qu'elle se sent souvent entourée d'une laideur propre à l'humain, cette même laideur qui donne envie de se terrer en son castel pour l'éternité.

Et pourtant, c'est le pas léger qu'elle pénètre dans la cour, sourit sincèrement aux présents par cette simple joie d'être dans un des rares lieu où ne règne que la paix, la bonté et l'amour.

Bonjour à tous.

Salutations chaleureuses et distribution gratuite de bises, même à Kevin tiens. Non, faut pas abuser non plus.
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Ceriera

Encore une bise à Manon ? Ça va devenir une habitude…

Bonjour Manon !

– "Le jeune marié va bien. Et vous, comment allez vous ? (…) Toujours sous l'emprise de douces rêveries bleutés ?"

Elle sourit à la question, et au sujet. Les rêves bleus, rien que leur évocation lui paraissait décalée, à la brune. C'était si proche, pourtant si lointain. Elle se contenta de lui répondre :

Oh, il y a bien longtemps que ça ne m'est pas arrivé.

Et c'était heureux… il ne fallait pas que ça dure cette histoire, ça inquiétait les copines. Vient un temps où il ne faut compter que sur ses propres ressources.
Et puis la «médecine douce», c'est "so 63!"

Ironie du sort, c'est quand un ami m'a fabriqué ma propre pipe que ça m'est passé.

Et la voilà à papoter psychotropes avec le Castrais, à l'archevêché, en attendant la future baptisée.
On aura tout vu dans ce Royaume. Ou presque.
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Arabella.

Oh la bailli se réveilla tout à coup. Elle fouilla dans ses missives et trouva ce qu'elle chercha. Mais zut encore à la bourre. Elle se précipita pour faire sa toilette et de revêtir une magnifique robe et cape pour l'invitation surprise de sa chère amie Aryanna.

Elle demanda à un garde du castel de Tolosa de faire venir un carrosse. Puis avec un léger retard elle descendit du carrosse pour s'appercevoir qu'ilo y avait déjà folle. Mais point de Aryanna.

Le bonjour à tous. Heureuse de vous voir. Quelqu'un peut dire ce qui se passe?

*se retournant la brunette vit monseigneur Asphodelle. Elle était encore plus intriguée.*

Mangarofw

Bah elle a été comtesse du comté une fois donc logiquement elle devient noble et est vicomtesse... Enfin je crois... Mais tu as peut être raison peut être c'est pas encore fait...

Manga rigole...

Ha non j'y ai pas songé...
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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.

Asphodelle

Ce n'est qu'après les premières allégeances au nouveau Comte, que nous sommes élevés.

Elle sourit à tous, et salue tout le monde.

On fait disposer des braséros qui rapidement les entourent.

Une fontaine crache son eau sur un trait à moitié gelé.

Mais sous le ciel, voila ce que voulait Aryanna.

La veille, Asphodelle avait consacré cette petite partie de cour extérieure qui en été, offrait un si beau jardin.

Je fais ravitailler du vin et du lait chauds pour tout le monde.
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Mangarofw

Manga avait été invité par ary à se rendre à l'archevêché... Seulement elle ne savait pas où exactement....

Alors, elle arriva et se fit annoncer... C'est que c'était gigantesque ici !

Bonjour, je suis Manga, j'ai une invitation de la vicomtesse Aryanna à la rejoindre à l'archevêché.... Pourriez vous lui dire que je suis là ?
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Mais je fais des efforts.

Doemino

Doemino arrive également et retrouve Manga perdue comme elle.

"Ah Manga, heureuse de te voir.

Sais tu ou il faut aller, je ne trouve pas Aryanna?"

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Mangarofw

Coucou dom dom... Bah non je sais pas... Attendons ici qu'on nous oriente...

Et de sourire à dom..
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Ceriera

Son invitation bien reçue, Cerièra arrivait aussi, bien évidemment, se doutant un petit peu de ce qui les attendait. Elle aperçut Manga et Dom et alla naturellement… faire une fanche accolade à Manga, lui évitant une bise indésirable, mais en faire une grosse à Dom, qui elle, n'avait rien contre.

Qu'est-ce qu'elle était contente de les voir ! Ça pouvait se lire sur son visage ravi.

Comment allez-vous toutes les deux ?
Elle est vicomtesse Aryanna déjà ? Boudu, ça va vite !
Mon petit doigt me dit qu'elle va être fidèle en plus, bientôt. Depuis le temps que ça traîne, ça…
Vous avez été voir dans la salle publique du palais ? C'est a priori là-bas que ça se passe, Asphodelle doit être en retard…

Un petit sourire au coin des lèvres en disant ça. Son mari à dû la tournebouler, la Sainte Rouquine…
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Julian.de.calderon

[L'arrivée du brun cap'tain...]

Son avant bras se glissa en silence sous celui de Venès. Et ses lèvres de gringotter à l'esgourde de la brune quelques mots.
Avait il à se faire pardonner ? Vous n'imaginez même pas...et ce n'est pas de conter fleurette qui effacera ses moments désagréables. Il ne cherchait pas à se faire pardonner d'ailleurs, Pour lui, tout ce qu'il faisait et disait étaient justifié. Et qu'il fallait bien mettre parfois un coup de pied dans la fourmilière pour faire bouger les choses. Le mauvais rôle étant de mettre le coup de pied....il s'en passerait bien. Traîner la réputation d'emmerdeur est loin d'être agréable.

Il salua du chef tout un chacun qui croisait son regard. Et lorsqu'il croisa celui d'Aryanna, un petit sourire fendit ses lèvres..."Deos je vous remercie, vous l'avez vêtu en ce jorn..."....il est de bon ton de remercier en pensées le Très Haut lorsque ce dernier fait preuve de grande bonté.
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Arfie.

"Ce sera dehors qu'elle avait dit la dame " Depuis la brune avait sillonné la ville pour trouver la fourrure.. The fourrure .. Celle qui tient chaud et qui en jette un max..
"Z'avez au moins 15 manteaux Arfie "qu'il lui avait dit.. "Ha oui mais non.. Celui là je ne l'ai pas .." Puis la capuche mon dieu la capuche.. "C'est donc parée de sa nouvelle acquisition , lui ayant couté un œil qu'elle arrive en grognant..

P't'ain j'ai mal aux pieds.. J'aurais peut être pas du mettre 3 paires de bas.. Sont trop p' tites mes bottes ..

Démarche étrange due à cette douleur, elle rejoint les autres qu'elle trouve facilement. "P'tain ca jacasse sec dans le coin.."

Elle salue tout le monde ..

Bonjorn , bonjorn les filles .. Oups pardon ! Mais il y a des hommes , j'avais point vu.

Sieur Sébastian , Sieur Evilkevin.. Et ceux que je ne connais pas .. Bien le bonjour ..

"Quoi non j'ai pas oublié le Calderon " La brune se dirige enfin vers la future baptisée..

Aïe , ouille... p'tain ..
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Mangarofw

Manga saluait de droite et de gauche les arrivants....

Elle sourit aux mots d'ary mais ne lui répondit point... Préférant la laisser évoluer d'un invité à l'autre...

Elle se mit un peu de côté pour attendre vin et lait chaud.... Evitant ainsi de gêner les uns et les autres dans leur conversation.
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MangaRofW, dicte Manga.
Nulle en orthographe, grammaire et histoire géo et.... Depuis toujours en plus, dsl.
Mais je fais des efforts.

Sebastian.

Sébastian salua le peu de gens qu'ils connaissait, la célébrité du jour vint le saluer, hop, un fion de lancé parce-qu’il s'est endormi en taverne l'autre soir... Ça c'est fait, ça ça se paiera. Il sourit, ne répond pas, la laissant vaquer à ses salutations. Le blond commençait à croire que son retard était volontaire pour en fait, saluer tout le monde d'une traite !
Il se remit dans le fond, salua les nouveaux arrivants d'un signe de tête. Tiens, un brun qu'il avait croisé au Capitole, il saurait enfin qui c'était... Puis un sourire à Arfie, avant de retourner à ses pensées .
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Asphodelle

Lalala lala...elle revient avec ses marmites et ses gobelets, aidés d'enfançons réduits en esclavage - on déconne ils sont tirés de la rue pour se rendre utiles et avoir double ration de gâteaux.

Il y a des zhooooooooooooommes??? haaaan lala c'est bien çaaaa...- gros clin d'oeil hypeeeeeeer discret aux filles célib réunies ici...
Elle fait le point en aparté : alors lui il est fiancé, lui me semble célibataire...lui...lui...

Ah ! il manque le parrain...mais il arrive, il se fait beau, il révise sa gomina....
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Antoynette

La dernière. Elle était la dernière. Enfin, peut être. Alors qu'elle enfilait la seule robe qu'elle possédait, et l’agrémentait d'un châle à peu près aux mêmes couleurs, Antoynette paniquait pour son retard. Elle était touchée par cette invitation, et n'avait jamais pensé à fournir davantage sa garde robe pour ce genre d'occasions. Elle avait toujours espéré se confectionner elle même ses vêtements. Mais plus le temps passait, plus c'était compromis. Elle fit tout de même un effort de coiffure en remontant ses cheveux en chignon, prouesse qu'elle n'exerçait plus guère depuis qu'elle avait perdu l'usage d'une main.

C'est en souriant qu'elle arriva au milieu de tout ce beau monde qui discutait joyeusement. Rougissante, la timide brune se mêla doucement aux convives déjà présents.

Bonjour. Désolée, j'ai fait aussi vite que j'ai pu. J'ai raté quelque chose?
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Sowelo

Il avait longuement tourné en rond, réfléchissant, suite à l'invitation d'Aryanna à ce baptême, faite un peu à la dernière minute peut-être, mais c'était une invitation... et on lui disait qu'on ne refusait jamais ces choses là, sauf dans des cas qui n'ont, ici et il se doutait de ne pas se tromper, pas lieu d'être. Son "rejet forcé" de tout ce qui était religieux à cause de son passé n'était cependant pas assez fort comparé à sa grande curiosité, et comme il n'avait jamais vu de baptême, elle était piquée. Il se vêtit donc correctement, comme à chaque occasion, puis, rejoignit tout ce beau monde... mais très loin d'être assuré pour autant, ayant toujours ses fantômes du passé qui revenaient.

Bonjour tous, je suis pas trop en retard ?

Il resta cependant un peu en retrait, pas trop pour pouvoir tout suivre, mais loin d'être proche, étant beaucoup trop mal à l'aise.

Asphodelle

Ah ! elle regarde Sowelo et prend un carnet...encore un célibataire...note même si elle est complètement hors sujet.

Non vous n'êtes pas en retard mes chatons.... le parrain arrive pour fermer la marche. Ensuite tout retardataire se verra donné un gage terrible....ah...terrible....han on a oublié de dire à Gustave d'arrêter de compter dans sa cave ! oh il est sûrement desséché à présent...

Elle est joueuse aujourd'hui Asphodelle, elle est joueuse....
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Stradivarius.

- Et merde!

Bref.
Je me suis aussi réveillé en songeant que finalement j'avais quelque-chose de prévu aujourd'hui, sans m'en souvenir.

- Et merde!

Bref.
Je me suis souvenu en me réveillant qu'il s'agissait du baptême d'Aryana dont je suis parrain.

- Et merde!

Bref.
Je me suis souvenu, aussi, après avoir formulé ces dissonances à de multiples reprises qu'Asphodelle n'aime guère les grossièretés et que ce n'est pas mignon.

- Et mer...credi!

Et là, il ne faut pas la laisser parler.
Juste lui faire un gros bisou sur la joue, qui pique parce que je suis mal rasé.

- Oh! Mais c'est donc pas la future baptisée que voilà?!

Ça craint du boudin cette histoire.
Vous connaissez les scènes de ménage? Ben moi c'est José. Et elle, c'est Liliane.

- Bonjour! Bonjour! Je suis à l'heure, bien entendu! Toujours prompt à servir cordialement les intérêts de nos amis chers!

Et de taper des mains.
L'air de rien. Juste comme ça parce que je suis super embêté.

- Bon! Ça va bientôt commencer, n'est-ce pas?

Ce qu'il faut pas inventer là parce qu'on confond le 16 avec le 26

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Asphodelle

Aryanna

Ceriera

Manon

Mangarofw

Asphodelle

Ceriera

Antoynette

Mangarofw

Aryanna

Stradivarius.

En murmure.
Pour la volonté d'Aryana de voir Raoul.

- Nulle inquiétude. Il se prépare, se fait beau, et va arriver. Vous savez ce que c'est, un noeud de papillon, de la gomina, tout ça, tout ça. Les hommes aiment se faire attendre.

Et BAM!
Voilà, je le connais. Personne n'a rien à dire. Hm. Je devrais peut-être éviter de faire la danse de la victoire devant tout le monde, non?

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Layla.d.arkana

Olympe

Loarwenn

Asphodelle

Elle sourit avec tendresse devant la scène qui se passe sous ses yeux, en ce que l'amitié était si belle et si solide entre ces jeunes femmes. C'était comme d'être sûr que l'embarcation saurait tenir par tous mauvais temps.

Je vous aurai au Crédo...glisse t'elle en aparthé à son époux.

Enfin, elle reconnecte avec le divin, ouvre les bras, et poursuit :

Aryanna...si tu dois connaître un état de grâce, si tu dois comprendre la grandeur du divin devant ta petitesse, et si tu dois un instant te penser assise devant la face du Très-Haut et ses Archanges, alors que ce soit maintenant.

Le baptême est un engagement, et le serment que tu vas prononcer se porte au fond de ton coeur, bien arrimé entre tes côtes...tout ce qui t'entoure peut changer, la vie, les modes, les situations...et même les personnes, se voir remplacées par d'autres personnes, qui partent, qui se retirent, qui changent...la vie est un périple qui rapproche, sépare, et parfois, ne te laisse aucun choix. Mais ce que tu as ici - elle pose sa main à l'endroit du coeur - cela...préserve-le...garde le en lien avec notre Seigneur car il y tient et ne t'abandonnera jamais...et qu'importe les rivages foulées ou les terres traversées, jamais tu ne seras perdue, ni vraiment seule au monde.

Elle se recule un peu, et lui demande alors avec conviction :

Aryanna, devant Robert, et devant Manon et Cerièra...devant Dieu et les Prophètes...tu décides de te conformer à une vie aristotélicienne, basée sur les vertus, sur les enseignements d'Aristote et de Christos, et de ne rien te laisser détourner du chemin. Le promets-tu?

Devant Robert, et devant Manon et Cerièra, devant Dieu et les Prophètes, tu vas promettre de devenir une soeur pour tes compagnon aristotéliciens, dans l'amitié, la solidarité et la compassion. Le promets-tu?

Devant Robert, et devant Manon et Cerièra, devant Dieu et les Prophètes, tu démontres aujourd'hui, que ton but sera de "tendre vers Lui", "car le but de la Vie est l'amour", et par la prière et supplications de grâce, l'étude et l'écoute des enseignements de tes guides, te conformer à la volonté de Dieu, ainsi qu'elle l'est au Ciel, et sur la terre. Le Promets-tu?

Si cela est ce que tu souhaites ce jour, alors réponds haut et fort par l'expression de la parole donnée, que les témoins l'attestent ! puis, penche ta tête au-dessus de l'eau, et ne te détourne pas de la solennité de ce moment, pendant le rituel.
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Grandefille

GF est là, évidemment.
Depuis un moment elle observe la scène. Du fond de la place. Et récite ce qu'elle connait. ... Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi....

C'est bientôt fini ?
Elle a failli tout louper, mais hein déjà, la Poste des pigeons, les adresses...
CAST ça a changé pour elle, c'est CASTelnaudary, pas CASTres.
Pfiou tout paumé le pigeon de la noire sûrement, genre Albert qui sait lire que 4 lettres^^.

Elle sourit Grandefille parce qu'à cause de ça déjà elle a perdu une partie de ses valises, à cause des étiquettes, enfin tout sauf un bouquet de fleurs et 2 tabourets, c'était limite drôle. Et les 3/4 de son mobilier qui sont arrivés une semaine après, ouais les livreurs. Faudra faire avec mais disons que ça s'est bien fini. Et ça l'a retardée.

Elle sourit enfin parce qu'elle a réussi à trouver une solution, elle est en train d'attacher ce chien à un poteau, elle a trouvé une corde de marine, merci le port. Et il a fallu le tenir coincé entre les genoux parce que lui, cet animal, mais c'est tout un monde. Et puis ce goût pour la promenade, cette manière de coller aux gens.
Parce qu'il l'a suivie depuis Castel en fête.

Allez dégage, retourne au stade.

Mais bon il écoute pas, comme d'hab. Alors les grands moyens.

Non j'ai rien à manger Planplan. T'as pas autre chose à foutre ?
Oui je sais y a des mollets que tu connais. Et des bras de sauveteurs aussi.
Et probablement une grosse meringue.
Mais ici c'est sérieux, tu vas tout gâcher.

Tzoung ! Un gros noeud bien serré.

Et elle s'avance de quelques pas, s'appuie contre un arbre plus près, les bras croisés pour réchauffer ses mains dans ses moufles.
Bon elle regarde le ballet des témoins, écoute l'Archevèque.
Elle va assister à la douche douce et tiède, et ça franchement c'est l'essentiel.

Aryanna

La noire est sage comme une image. La chose arrive parfois, pas trop souvent non plus, sinon ce ne serait pas amusant. Mais elle écoute, avec attention, elle n'a pas vu encore les dernières personnes arrivées, même si un peu de bruit se fait entendre à l'arrière.

Elle esquisse un sourire alors que Robert réussit la première épreuve du feu, le Confiteor, évidemment. Mais bientôt ce sera l'épreuve de l'eau, mais ça c'est pour elle. Ne restera plus que le vent et la terre allez savoir pour qui. Pourtant elle à deux marraines à proximité, ils devraient pouvoir réussir cette quête et en sortir indemne.
Alors qu'ils sont en possession de leur première clé, les quatre fantastiques, vont pouvoir amorcer l'épreuve non plus énigmatique, mais plutôt celle de fidélité. Aujourd'hui c'est à elle, à elle de se lier au Très-Haut encore bien davantage qu'elle ne l'est déjà.

A la première question posée par la Sainte Rouquine, l'oiselle s'amuse avec elle-même et son esprit plonge un instant dans le passé. Chose amusante c'est qu'il s'agit là de l'une de ses première question posée à Asphodelle lorsqu'elle a débuté sa pastorale, quelques mois plus tôt. C'est également cette épreuve qui l'a vu se détourner de la foi durant son enfance, préférant se renfermer sur elle-même et observer le monde plutôt que d'être, à nouveau, attaquée et malmenée par la peine. Pourtant, aujourd'hui, elle n'a pas peur, elle est sereine, elle ne pense pas à ces choses-là qui peuvent aller jusqu'à lui arracher le cœur. Aujourd'hui elle est sereine, déterminée et confiante, parce qu'elle croit en un futur calme et bon, malgré les aléas de la vie, malgré les moments de tristesses ou de lassitudes. Elle n'est pas seule, livrée à elle-même, la noire a sa grande famille derrière elle, ceux qui sont là, ceux qui ne le sont pas. Les amusants, les retardataires, les ronchons, les farfelues, même s'ils le sont, parfois, tout à la fois. Et devant elle se présente la grande famille Aristotélicienne, aussi ne se retrouvera-t-elle plus jamais seule, où qu'elle tourne la tête.
Alors elle se lance. Il est temps et son cœur palpite...

" Je le promets.
Devant Robert, devant Manon, devant Cerièra, devant vous, Asphodelle, devant toutes les personnes présentes et qui me sont si chères.
Devant Dieu et les Prophètes, je promets de me conformer à une vie aristotélicienne, basée sur les vertus autant que sue les enseignements d'Aristote et de Christos. Je promets que rien ne me détournera de ce chemin et que jamais je ne me laisserai emporter par les velléités du Sans Nom.
Je promets de devenir une sœur pour tous mes compagnons aristotéliciens à travers l'amitié, la solidarité, la compassion et l'Amour.
Je promets qu'à présent mon but sera de me tendre vers le Très-Haut, par l'Amour de tous, la prière et les supplications de grâce, l'étude et l'écoute de la sagesse de mes guides. Je me conformerai à la volonté de Dieu, du Ciel et de la terre, et ce sans remettre en doute ma foi et mes principes, sans me départir de mon calme et de mon Amour pour le Très-Haut et ni de celui destiné à mes amis, ma famille. "

La première phase est passée. Maintenant il est temps d'entrer dans la pataugeoire afin d'en ressortir dans le monde des Grands.
Alors la noire s'avance, retire le pique à cheveux retenant sa longue tresse, alors que celle-ci se désentortille et vient rejoindre sa hanche, son endroit favori où elle peut virevolter sans gêne.
Aussi, après s'être avancée elle penche la tête en avant, il est bien temps de son bain public.
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Doemino

Doemino reste attentive à la cérémonie.

Elle se rappelle son baptême et la joie que cela lui a procurée.

Ce moment de plénitude qu'elle a ressenti est encore très présent dans sa mémoire.

Elle est contente d'être là et de pouvoir accompagner son amie dans ce moment important qui est l'entrée dans l'église aristotélicienne.

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Asphodelle

Asphodelle reçut ces mots comme un liquide sacré entre ses mains, et elle ferme les yeux en levant les bras vers leur Ciel, au-dessus de la jeune Passagère.

Seigneur, reçois l'engagement de ta fille et soutiens la dans ce chemin difficile. Plus simple est de prendre le sentier facile où l'on pèche sans honte, mais plus courte l'est aussi autant que la vue, l'esprit, l'onde du coeur et la force de l'action.

Elle redescend doucement les bras et s'empare de l'eau avec la petite jarre en terre cuite, d'une eau limpide et fraiche, et versant doucement, lance la litanie des odes baptismaux augustins, s'arrêtant parfois, se signant à d'autres, et refaisant couler jusqu'à la fin.

"J'en appelle à tes souvenirs ; tu ne l'as pas toujours été, c'est une nouvelle création.
Tu as été apportée sur l'aire du Seigneur, et tu as été broyée sous les pieds des bœufs, c'est-à-dire des prophètes et des paroles des premiers aristotéliciens. Lorsqu'on te retenait parmi les étudiants, on te tenait en réserve du grenier. Tu as fait inscrire ton nom, tu as commencé à être moulue par les jeûnes et par les exorcismes, puis tu t'es approchée de l'eau sainte ; elle t'as pénétrée...et maintenant, avec tous tes frères et soeurs autour de toi, vous a réduits à l'unité ; enfin, la chaleur de l'Esprit Saint a fait lever cette pâte, et vous êtes devenus ensemble le pain du Seigneur. Voilà ce que vous tu as reçu."*

Alors sous la main du Créateur qui te choisit et te guide, tu répandras ta lumière au travers des barreaux de tes défauts, rayons choisissant de passer outre, et quant à échouer, sans cesse, se relèvera.

Citation:

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.

Je te baptise, Aryanna, au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.

Puis de son pouce, elle trace sur son front le signe de croix.
Elle déclame enfin doucement par la Confession Augustine, tout en lui séchant doucement la nuque et les cheveux.

« Si te plaisent les corps, à Dieu fais-en louange,
et sur leur Artisan retourne ton amour,
pour qu’en ce qui te plaît tu ne déplaises pas.
Si te plaisent les âmes, en Dieu qu’elles soient aimées,
parce qu’elles aussi sont sujettes à changer,
et que, fixées en lui, elles deviennent stables :
autrement, elles s’en iraient et périraient.
En lui donc qu’elles soient aimées !
Emporte vers lui avec toi celles que tu peux et dis-leur :
celui-ci, aimons-le : c’est lui qui fit ces choses, et il n’est pas loin.
Car il ne les fit pas pour s’en aller ensuite,mais issues de lui, elles sont en lui.
Et voici : où est-il ? où la vérité a-t-elle de la saveur ?
Il est dans l’intimité du coeur, mais leur coeur s’est égaré loin de lui.
Revenez, prévaricateurs, à votre coeur
et attachez-vous à celui qui vous a faits.
Soyez stables avec lui et vous serez stables,
reposez-vous en lui et vous serez en repos […]. »
Confessions IV, 12, 18-19. BA 13, p. 439-441.

Elle prend un cierge, elle l'allume à la pierre à feu et à l'étoupe :

Reçois ce baptême comme la lumière que tu as reçu et qu'à ton tour tu transmettras.

Je t'offre également ce vitrail, qui représente une jeune fille dans le soleil, les yeux posés sur le Coeur Ardent. Ce coeur décrit par Augustin, transpercé par la connaissance et brûlant d'amour et de foi envers Dieu.**

Enfin voila ta médaille aristotélicienne que tu peux porter, celle que l'on appelle d'"Eglise de France". N'en aie pas honte, elle représente l'église proche de ton coeur, proche du coeur des gens, sans arrogance, sans fioritures, au plus près du peuple, aimant la sincérité des choses qu'elles soient habillés de soie ou bien de haillons. Crée ta voie, et sois attachée à l'unité d'une assemblée qui regarde seulement vers le Créateur mais ne baise pas le saphir d'un homme.

Et voila, ma Soeur. Tu peux repartir, reconnais tes semblables et tend la main aux autres.

Bienvenue Aryanna.

Robert, Manon et Cerièra, vous voila investis de la charge de veiller sur la bonne voie de votre petite soeur dans la foi. Elle est coquine, sortez le Livre des Vertus si nécessaire. Sachant que le Livre s'use de deux façons : en apprentissage par la lecture, pour entrer par les yeux, et par la force de persuasion, entre les deux oreilles.

Tous, à présent, allez en paix, soyez bénis, Amen.

*Adaptation du sermon 229 d'Augustin
**pour de vrai c'est une image de Marie, que j'ai trouvée jolie
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Ceriera

Il faut croire que l'Église Universelle aime les messes et sacrements en plein air. Les murs, c'est "so 63". D'accord, Cerièra radote. Ça lui arrive parfois, excusez-la.
Malgré la décontraction du lieu l'instant était solennel, et empreint d'une naturelle sérénité tout à la fois. Étrange moment où chacun se tenait tranquille, comme absorbé par la scène, pénétré par les mots d'Asphodelle et d'Aryanna.
Enfin à la flotte, l'oiselle ! Cerièra s'amusait de voir l'eau ruisseler sur la longue tresse de son amie, mais tout le monde en passe par là : le baptême, ça mouille. Le souvenir du sien, pourtant, lui paraissait bien loin… une autre vie, un autre monde… voilà ce qu'était «l'avant-couvent» pour elle.

– Robert, Manon et Cerièra, vous voila investis de la charge de veiller sur la bonne voie de votre petite soeur dans la foi. Elle est coquine, sortez le Livre des Vertus si nécessaire. Sachant que le Livre s'use de deux façons : en apprentissage par la lecture, pour entrer par les yeux, et par la force de persuasion, entre les deux oreilles.

Elle sourit largement à cette phrase. Oh, elle n'était pas inquiète pour Aryanna qui était déjà une bonne aristotélicienne avant son baptême, il n'y avait pas de raison que cela change après. Mais elle veillerait sur elle, pour d'autres raisons, comme elle faisait depuis toujours, même si de loin parfois.

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❦ Πίστις, ἐλπίς, ἀγάπη ❦ Arranca-me le mal que me trauca dins le pitre…

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[RP] Toc Toc Toc. C'est pour Ary ! Ary bah Ary bah ! =>