Daisy.0connor
- «Quand une femme se remarie, c'est qu'elle détestait son premier mari;
quand un homme se remarie, c'est qu'il adorait sa première femme.»
Faignasse de la caboche ce n'était pas trop son genre d'élaborer sur le torchonnage journalistique mais bon faut dire qu'elle faisait d'avantage un effort mental depuis que l,irlandaise avait apprit par un simple hasard HEIN (comme si le hasard pouvait exister pour la Black)que "The farfadet" était devenu un cracheux d'encre(il aura tout fait celui-la)
Dailleurs la blondasse était intriguée sur le fait qu il signait sa paperasserie par"22"..il devait inévitablement avoir une signification derrière ce chiffre mais connaissant le lourdeau aux bas noirs...elle préférait au final s'abstenir de fouiller d'avantage afin d'obtenir réponse a son questionnage du pourquoi et du comment.
Enfin bon..vient le jour ou elle tombait sur un article...froncement de sourcils"hum! hum!"..elle suivait minutieusement chacun des mots avec son index"Han!!!"...plissement des noisettes"EH BIN P'TAIN!"grincement des dents ..."REWIND"
-Plus ou moins fraîches comme un goron???
-Jalouse!!!!...moi jalouse!!!!...mais c est quoi ce.....
Citation:
Paris (AAP) - Chacun a, dans son entourage, un fou parti se perdre au monastère. Le prétexte universellement avancé est une quête de spiritualité, l'expiation de quelques péchés, une soudaine inclinaison vers un esprit neuf. De loin, ça a l'air plutôt sympathique. Vous êtes hébergé, nourri, blanchi. On vous chante des berceuses pour vous endormir, pour vous réveiller, pour ponctuer vos repas. On vous pardonne toutes vos fautes, même les plus abjectes. On prend soin de vous sans débourser un écu.
Alors, beaucoup se laissent tenter. « J'y vais juste quelques jours/semaines ». « T'inquiète pas, je reviens vite ». « C'est pour être plus épanoui, tu verras ». Ceux qui restent à attendre dehors, en bons cruchons, croient ceux qui partent au monastère. Parfois, il est vrai que ces derniers en réchappent. Mais parfois aussi, les bons cruchons ont beau prendre leurs braies en patience, rien ne se passe. Les portes restent désespéremment fermées. Les lettres restent désespéremment sans réponse. Comme les bons cruchons ont la patience incrustée dans la couenne, ils persistent et attendent, attendent, attendent. Un jour. Deux jours. Une semaine. Deux semaines. Une année. Deux années.
Parfois, les religieux prennent la peine de se sortir les doigts de la soutane et d'informer de la mort d'un de leur résident. Ainsi, le deuil peut s'entreprendre. La vie se poursuivre pour les bons cruchons. Pourtant, la plupart du temps, l'ignorance la plus totale entoure les réfugiés des monastères. Et les bons cruchons qui attendent sagement le retour de leur cher et tendre parti purifier son âme se retrouvent à... attendre inlassablement. Ils attendent, espèrent, guettent chaque jour comme celui d'un éventuel retour.
Il faut pourtant être mornement réaliste : beaucoup y moisissent. Les chants sont si monotones qu'ils filent rapidement le bourdon, entraînant les résidents dans une léthargie déprimante irréversible qui les poussent souvent à trépasser dans des circonstances obscures. Les cellules les accueillant ne sont guère plus follichonnes. Des murs nus, humides, froids, impersonnels, sombres. On y attrape la mort comme qui rigole. C'est d'ailleurs ce que finissent par penser la plupart des bons cruchons qui attendent. L'enfant se croit orphelin, la femme veuve, l'ami seul.
À ceci près que l'enfant ne cherche pas un autre père, il se contente de faire une croix sur celui disparu. L'ami en trouve d'autres. Il n'y a que le mari qui se lance bien souvent dans une quête frénétique pour trouver nouvelle femme. Ce ne serait pas un problème à proprement parler si les époux délaissés étaient réellement sûrs et certains de la mort tragiquement monastique de leur moitié. Ils épousent la première venue et se retrouvent comme deux ronds de flan, un beau matin, avec deux épousées sur les bras. La première sortie on ne sait comment d'entre les griffes des moines et la seconde, plus ou moins fraîche comme un gardon.
C'est bien cette situation qui pose problème. Comment gérer une morte pas si morte que ça revenue l'air de rien ? Un séjour prolongé au monastère ne laisse pas indemne. La belle jeune femme n'est plus ce qu'elle était. Les murs et les moines se sont imprégnés d'elle. Ca pue le moisi, le vieux et le renfermé. Malgré tout, les sentiments ne sont pas loins. Tout comme la seconde femme, jalouse comme une pie du retour de l'ancienne morte.
C'est à peu près dans cette situation que se trouve notre cher collaborateur, 22 (ou Cmyrille, pour le reste du monde). Une rumeur court : sa femme serait sortie vivante de trois longues années de retraite. L'ennui, c'est qu'il s'est remarié, a divorcé, couru moults conquêtes (plus ou moins avec succès), mais surtout a mis toute sa vilénie au service de sa solitude, en oubliant qu'il a un coeur sous son corps de grand con.
Selon vous, ça sent le moisi ou bien l'amour fou ? Il va l'accueillir les bras et la couche ouverte ou la trucider discrètement dans une clairière sombre ? Envoyez toutes vos suppositions aux bureaux de l'AAP, à notre cher secrétaire Mike Savary. Nous publierons les plus intelligentes, moyennant quelques écus.
Eliance, pour l'AAP
Alors, beaucoup se laissent tenter. « J'y vais juste quelques jours/semaines ». « T'inquiète pas, je reviens vite ». « C'est pour être plus épanoui, tu verras ». Ceux qui restent à attendre dehors, en bons cruchons, croient ceux qui partent au monastère. Parfois, il est vrai que ces derniers en réchappent. Mais parfois aussi, les bons cruchons ont beau prendre leurs braies en patience, rien ne se passe. Les portes restent désespéremment fermées. Les lettres restent désespéremment sans réponse. Comme les bons cruchons ont la patience incrustée dans la couenne, ils persistent et attendent, attendent, attendent. Un jour. Deux jours. Une semaine. Deux semaines. Une année. Deux années.
Parfois, les religieux prennent la peine de se sortir les doigts de la soutane et d'informer de la mort d'un de leur résident. Ainsi, le deuil peut s'entreprendre. La vie se poursuivre pour les bons cruchons. Pourtant, la plupart du temps, l'ignorance la plus totale entoure les réfugiés des monastères. Et les bons cruchons qui attendent sagement le retour de leur cher et tendre parti purifier son âme se retrouvent à... attendre inlassablement. Ils attendent, espèrent, guettent chaque jour comme celui d'un éventuel retour.
Il faut pourtant être mornement réaliste : beaucoup y moisissent. Les chants sont si monotones qu'ils filent rapidement le bourdon, entraînant les résidents dans une léthargie déprimante irréversible qui les poussent souvent à trépasser dans des circonstances obscures. Les cellules les accueillant ne sont guère plus follichonnes. Des murs nus, humides, froids, impersonnels, sombres. On y attrape la mort comme qui rigole. C'est d'ailleurs ce que finissent par penser la plupart des bons cruchons qui attendent. L'enfant se croit orphelin, la femme veuve, l'ami seul.
À ceci près que l'enfant ne cherche pas un autre père, il se contente de faire une croix sur celui disparu. L'ami en trouve d'autres. Il n'y a que le mari qui se lance bien souvent dans une quête frénétique pour trouver nouvelle femme. Ce ne serait pas un problème à proprement parler si les époux délaissés étaient réellement sûrs et certains de la mort tragiquement monastique de leur moitié. Ils épousent la première venue et se retrouvent comme deux ronds de flan, un beau matin, avec deux épousées sur les bras. La première sortie on ne sait comment d'entre les griffes des moines et la seconde, plus ou moins fraîche comme un gardon.
C'est bien cette situation qui pose problème. Comment gérer une morte pas si morte que ça revenue l'air de rien ? Un séjour prolongé au monastère ne laisse pas indemne. La belle jeune femme n'est plus ce qu'elle était. Les murs et les moines se sont imprégnés d'elle. Ca pue le moisi, le vieux et le renfermé. Malgré tout, les sentiments ne sont pas loins. Tout comme la seconde femme, jalouse comme une pie du retour de l'ancienne morte.
C'est à peu près dans cette situation que se trouve notre cher collaborateur, 22 (ou Cmyrille, pour le reste du monde). Une rumeur court : sa femme serait sortie vivante de trois longues années de retraite. L'ennui, c'est qu'il s'est remarié, a divorcé, couru moults conquêtes (plus ou moins avec succès), mais surtout a mis toute sa vilénie au service de sa solitude, en oubliant qu'il a un coeur sous son corps de grand con.
Selon vous, ça sent le moisi ou bien l'amour fou ? Il va l'accueillir les bras et la couche ouverte ou la trucider discrètement dans une clairière sombre ? Envoyez toutes vos suppositions aux bureaux de l'AAP, à notre cher secrétaire Mike Savary. Nous publierons les plus intelligentes, moyennant quelques écus.
Eliance, pour l'AAP
Et la Black étant une Black..bah! elle ne peut pas faire autrement que de fulminer de l'encrier et d'envoyer le piaff en direction du journaliste Mike...ah..elle le connaissait de nom bien souuuuuur étant du groupe du Joker mais sinon rien de bien probant
Citation:
De Daisy.black de sa p'tite Swan
Date d'envoi Le 25 Janvier 1464
Objet hummm....
Bonsouere m'sieur le Mike!
J'viens d'lire l'torchon de la dame Elliance et il est écrit de t'écrire alors je t'écris car vois tu je semble un peu concernée par ce couchage d encre.
Bon je veux bien croire que le farfadet Cmyrille a retrouvé sa femme morte qui n est plous morte enfin je m égare un peu mais sache que je souisse la deuxieme femme qu il a jadis épousaillé enfin peut etre qu il y en a une troisieme qui sait...mais si c est bien de moi que l article articule...bah j aurais quelques mots a ajouter hein!!!!
Mais un petit mot de votre part pour m informer de cet article aurait été agréable a recevoiiiiiiir!
Que l encre coule
Date d'envoi Le 25 Janvier 1464
Objet hummm....
Bonsouere m'sieur le Mike!
J'viens d'lire l'torchon de la dame Elliance et il est écrit de t'écrire alors je t'écris car vois tu je semble un peu concernée par ce couchage d encre.
Bon je veux bien croire que le farfadet Cmyrille a retrouvé sa femme morte qui n est plous morte enfin je m égare un peu mais sache que je souisse la deuxieme femme qu il a jadis épousaillé enfin peut etre qu il y en a une troisieme qui sait...mais si c est bien de moi que l article articule...bah j aurais quelques mots a ajouter hein!!!!
Mais un petit mot de votre part pour m informer de cet article aurait été agréable a recevoiiiiiiir!
Que l encre coule
Elle reçu a son tour un e réponse farfelue du Mike et la voila a nouveau a recracher du crachage
Citation:
De Daisy.black de sa p'tite Swan
Date d'envoi Le 26 Janvier 1464 à 21h24
Objet Re: Re: hummm....
Expire le 14 Février 2016
Salut le cracheux d'encre par obliiiigation!
Le farfadet un homme brillant???..on parle bien du meme hein???..intelligent??..aussi intelligent que peut l etre une crevette..mouais je te l accorde!..beau???..humm humm j'avoue que sur ce coup c est vrai et encooooore tu ne l as po vu a poil.. et attaché a un lustre et fricoté dans une de mes robes!!..oups!..désolé..c est un de mes fantasmes qu il a su assouvir!!!
Il est vrai que nous sommes divorcés..bin "PARCE QUE" mais il est faux que je souisse jalouse quoique je le souis de ses bas noirs qu il a davantage apprécier que ma présence féminine!
Et si sa nouvelle femme ou plutôt son ancienne nouvelle femme avait une débordante envie d'un tirage de chignon en règle...bah dommage mais je tiens trop a ma tignasse pour lui offrir ce plaisir.
Par contre je souisse prête a donner cher a celui qui réussira a brûler ces satanés bas noirs....mais qui peut bien porte des bas noirs de nos jours??? et surtout les mêmes.....pffft si son auditoire savait une telle chose...son orgueil de mâle en rûte en perdrait pour son grade..je te le dis moi...
Je ne sais po si j ai pu éclaircir quoique ce soi??...enfin je crois po...
Date d'envoi Le 26 Janvier 1464 à 21h24
Objet Re: Re: hummm....
Expire le 14 Février 2016
Salut le cracheux d'encre par obliiiigation!
Le farfadet un homme brillant???..on parle bien du meme hein???..intelligent??..aussi intelligent que peut l etre une crevette..mouais je te l accorde!..beau???..humm humm j'avoue que sur ce coup c est vrai et encooooore tu ne l as po vu a poil.. et attaché a un lustre et fricoté dans une de mes robes!!..oups!..désolé..c est un de mes fantasmes qu il a su assouvir!!!
Il est vrai que nous sommes divorcés..bin "PARCE QUE" mais il est faux que je souisse jalouse quoique je le souis de ses bas noirs qu il a davantage apprécier que ma présence féminine!
Et si sa nouvelle femme ou plutôt son ancienne nouvelle femme avait une débordante envie d'un tirage de chignon en règle...bah dommage mais je tiens trop a ma tignasse pour lui offrir ce plaisir.
Par contre je souisse prête a donner cher a celui qui réussira a brûler ces satanés bas noirs....mais qui peut bien porte des bas noirs de nos jours??? et surtout les mêmes.....pffft si son auditoire savait une telle chose...son orgueil de mâle en rûte en perdrait pour son grade..je te le dis moi...
Je ne sais po si j ai pu éclaircir quoique ce soi??...enfin je crois po...
Humm et si elle avait écrit trop vite???
Un affrontement entre les deux pintades du froufroutement pourrait faire du bien a son égo démesuré qui venait d 'en prendre un sale coup
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Rappelle-moi...