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[RP] Réunion de famille au Louvre

Florentin
Le Premier Maître d'Hôtel avait reçu l'invitation royale de se rendre dans les appartements du Roy. C'était bien la première fois qu'un Roy lui accordait un tel honneur ! A tel point, que Florentin mit un certain temps à se rappeler du chemin.

Habillé de son plus beau vêtement et après avoir lustré avec grande précaution son bâton.... de Premier Maître d'Hôtel (!), ce dernier se présenta devant les portes de l'antichambre et s'annonça aux huissiers...


Florentin de Muids, Seigneur de Muids et Premier Maître d'Hôtel du Roy.
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Premier Maître d'Hôtel du Roy
Melissandre_malemort
- Bonjour Florentin.

Mélissandre lui sourit malicieusement.

- Vous êtes pile à l'heure et je vous en remercie. Me voici vouée à faire le pied de grue ici, et vous à veiller à ce que la famille royale ai la coupe assez pleine pour que la soirée se passe au mieux. Partant?

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Florentin
Après la courbette protocolaire Florentin répondit...

Votre Altesse, c'est un plaisir et un honneur d'accomplir mon devoir. Néanmoins votre missive était assez peu claire sur ce qui était attendu et je n'ai rien préparé... Je peux faire venir victuailles et boissons, mais pour cela, j'ai besoin, Votre Altesse, d'en connaitre un peu plus sur les personnes présentes et le type de discussion qu'il faudra savamment accompagner.
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Premier Maître d'Hôtel du Roy
Lilly_de_troy
    Un toc toc discret. Un messager. Un courrier. Mélissandre. Elle avait encore oublié de se rendre quelque part. Elle ouvrit l'enveloppe. Ah non, justement on "l'invitée" à se rendre au sein d'une réunion de famille. Que veut ce cher Père ?

    Étonnant qu'il les rassemble. Il n'était pas malade quand même . Elle réfléchit... non pas ça. Un nouvel anoblissement ? Un nouvel enfant ? Hector allait se marier? Constance ? Trop de questions sans réponses. Elle referma la porte tout en ayant remercié la personne qui lui avait porté le mot.
    Un tour rapide devant le miroir pour se refaire une rapide beauté. Après tout, il fallait être au top devenant Pa... Père. Elle remit ses cheveux en ordre, plissa sa robe, réajusta le collier et prit la direction de l'endroit où on lui avait demandé de se rendre.

    Elle parcourût plusieurs couloirs, plusieurs corridors et trouva enfin l'endroit en question. Elle passa la porte en toquant sur cette dernière pour prévenir de son arrivée. Elle plissa les yeux ... non de non qu'est-ce que c'est que son nom à lui déjà... Arf, quand on n'a pas la mémoire des noms, cela devient énervant. Elle sourit, passa le pas de la porte et salua Mélissandre.


    Bonsoir Mélissandre, me voici. Vous avez demandé qu'on se réunisse. Avez-vous une idée de l'objet de la réunion? dit elle en souriant. Puis, se tournant vers l'autre personne, elle le salua.

    Bonsoir à vous ... Puis elle reconnut le signe du premier maitre d'hôtel. Haaaaan mais bien sûr. Florentin, si je ne me trompe pas? rajouta-t-elle en souriant.

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.mahaut.
Affalée -fort peu noblement- en taverne avec la blonde, la brune ruminait sur sa vie actuelle. C'était le problème quand on mourait un peu trop longtemps, on n'avait même plus le droit de ruminer sur sa vie passée, parce que ça gonflait tout le monde. Du coup, il fallait râler sur l'actuelle, alors même qu'il ne s'y passe rien de bien folichon. Bon d'accord, surtout parce qu'il ne s'y passait rien de très folichon.
Or donc, elles ruminaient de concert, maudissant les maris rapidement partis et ceux lentement revenus, les bretons du sud (et même ceux du nord), les limousins fuyards, les guyennois (en bonnes périgourdines il fallait toujours maudire la Guyenne et ses habitants, question de politesse) et à peu près tous ceux qui ne leur revenaient pas. Bref, elles s'ennuyaient. Et un beau jour...


- Tenez les poneys, y'a un pigeon pour vous !

D'un oeil maussade, elles avaient examiné l'animal. Bien nourri. L'oeil vif. Pas particulièrement agressif mais digne. Ne quémandant pas de miettes de pain et ne cherchant aucune statue pour se soulager. Un pigeon royal quoi.
Au début elles n'y avaient pas cru, mais en ouvrant le message il avait fallu se rendre à l'évidence :


- Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! On va chez tontooooooooooooon ! Hiiiiiiiiiiiiiiiiiii !


Alors oui. Elles disaient "tonton" alors qu'elles ne l'avaient vu que de loin, le jour de son mariage. Et qu'elles ne lui avaient jamais parlé (du moins à ce qu'elles s'en souvenaient, ce qui pouvait donc varier selon les jours). Mais depuis, l'homme était devenu Roy, et ça, ça ! C'était un grand changement. Déjà parce qu'on ne dit jamais non à un roy. Sauf pour l'embêter mais seulement si aucun de ses soldats n'est à portée. Et encore. Mais aussi parce qu'étant le frère d'Elayne, elles se retrouvaient donc nièces royales. Par alliance, certes, et par adoption, certes, mais bon, toutes illégitimes qu'elles étaient, elles avaient quand même une raison officielle d'être invitées. Et ça, dans une vie de poney rose, c'était un jour à marquer d'un fût plein.
Immédiatement, elles avaient hurlé, averti les trois péquenauds du coin qui s'en foutaient royalement (enfin moins royalement que tonton mais quand même) et s'étaient battues pour ouvrir leurs malles de vêtements. Certains avaient un peu passé, quelques paillettes manquaient, et surtout, ils étaient affreusement passés de mode, ce qui avait failli les faire pleurer de dépit jusqu'à ce qu'elles se rappellent qu'elles avaient de quoi s'en payer d'autres.
Ainsi, après quelques temps, les vit-on parader dans des robes de luxe, affreusement inconfortables mais chères, perchées sur des loup bouttins de la dernière saison, et parées de bijoux avant de monter dans une calèche apprêtée exprès.

Arrivées devant le Louvre, elles levèrent une tête conquérante sur le château. Elles y étaient enfin ! Se retenant de justesse pour ne pas courir dans les couloirs, elles parvinrent jusqu'à une antichambre où plusieurs personnes conversaient. Problème : aucune des deux ne voulut céder sa place à l'autre. Elles arrivèrent donc de face, se jetant des coups d'oeil irrités destinés à se faire céder mutuellement (chose inutile comme chacun sait) mais quand même tout sourire de façade face aux huissiers.


- Mesdames ? Qui devons-nous annoncer ?
- Dame Orkaange de Bors.


La blonde était en forme, elle l'avait devancée. Ravalant sa colère, la brune fit un charmant sourire et poursuivit, en écrasant délicatement le pied de sa soeur :


- Et Dame Mahaut de Nabinaud. Nous sommes les belles-filles d'Elayne.

Elles ne se donnèrent pas la peine de préciser qui était Elayne, persuadées que leur Belle Maman était connue du monde entier. En revanche, elles jetèrent un oeil inquiet pour voir si elle était déjà là, ce qui ne semblait pas le cas. Les retrouvailles risquant d'être pleines de reproches (amplement mérités), elles soupirèrent intérieurement de soulagement. Tonton non plus ne semblant pas être là, elles respirèrent un bon coup et passèrent la porte à l'annonce de leurs noms.
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Melissandre_malemort
Mélissandre sourit à Florentin.

- Et bien je pense qu'il va s'agir d'une réunion informelle. Donc peutetre du vin épicé et quelques frichties?

Elle ajouta à voix basse.

- D'autant que j'avoue mourir de faim !

Murmure vite ravalé à l'arrivé de la fille du roi qu'elle salua respectueusement.

- Mes hommages Lilly. Mes dames.

L'antichambre se remplissait pour le plus grand bonheur de la princesse.

- Souhaitez vous que je vous introduise maintenant ou peutêtre attendre un petit peu?
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Constance..
Convocation royale en main, l'Orsenac se dirigea vers l'anti-chambre, d'où lui parvenaient des voix... annonçant donc la présence de plusieurs personnes. Quelle est la raison de cette réunion ? Aucune idée. Père ne laissant rien filtrer. Vêtue de l'une de ses créations, l'Orsenac arriva à son tour. Révérence à Mélissandre agrémentée d'un grand sourire chaleureux.

Altesse bien le bonjour.


Avant de chuchoter plus bas à la jolie Princesse et amie Vous savez de quoi il est question ?

Suite à la négation de celle-ci, la blonde salua respectueusement Florentin d'un signe de tête avec un sourire charmant à son attention.

Messire Florentin, ravie de vous revoir. Vous êtes venu pour nous régaler de vos délices ?

Sourire taquin, puis la blonde attrape sa soeur et lui colle une bise affectueuse sur la joue.

Bonjour ma Lilly !

Puis l'azur se porte sur les deux jeunes femmes également présentes, les saluant d'un signe de tête. Elles devaient certainement être conviées également, sinon Mélissandre les aurait envoyé ailleurs. Déduction logique pour la jeune femme qui décide alors de se présenter.

Dames le bonjour, je suis Constance d'Orsenac. Vous êtes ?

Voilà comment entrer dans le vif du sujet.
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Bathilde..

    Deuxième venue au Louvre pour Bathilde et il y avait toujours autant d'étoiles dans ses petits yeux noirs qui scrutaient chaque détail du lieu. Même les latrines étaient la source d'un enchantement particulièrement vif... Il faut dire qu'elle venait de loin, du Limousin.
    Depuis le tirage au sort, aucune nouvelle. Ce n'était pas un grand mal pour la jeune femme qui estimait avoir gagner un joli collier sans le risque associé. Jusqu'au jour ou le courrier d'une princesse l'avait sorti de sa torpeur. On savait faire les choses en grand ici. Bien vite décacheté, la jeune femme se fit lire le papier avant de sauter de joie. Le Roi l'invitait à un repas de famille. Trop bien. A peine désignée, voilà qu'elle était adoptée. Bon, elle aimait bien sa famille, mais on ne refusait pas d'être adoptée par le Roi. Le maire, celui-là même qui lui avait fait la lecture- émit quelques réserves sur l'interprétation de sa concitoyenne, ce qui provoqua une perte de sourire instantanée chez la jeune femme. Peut-être s'était-elle un peu enflammée. Un petit peu.

    A ce que cela ne tienne, deux jours plus tard, Bathilde prenait la route pour officier en tant que gouteuse. De toute façon, Bathilde de Troy sonnait mal à ses oreilles, elle s'était résolue à ne plus le considérer. Elle trouverait mieux, moins royal mais plus phonétiquement correct. Trois jours d'un voyage dans le froid ensoleillé de l'hiver et Paris, enfin.
    Première fois à servir, première fois aussi à découvrir tout ce petit monde. Le Roy était-il bossu ou petit ? La Reine laide et ses enfants déformés ? Surprise. En tout cas, Bathilde espérait le contraire, histoire que ça ne lui coupe pas l’appétit. Trois jours de voyage contre un bon repas, le marché était correct. Trois jours de voyage contre des haut-le-cœur, non. Elle n'avait pas signé pour cela.

    Dans une robe bleue doublée de velours, à défaut de fourrure, le tout agrémenté d'une jupe noire et d'une chemise à col carré, noire elle aussi. Une ceinture venait souligner sa taille et l'ancètre d'un corset soulever sa petite poitrine. Et surtout, la goute d'or autour du cou, elle se présenta au point de rendez-vous. Ou tout du moins, espérait-elle être au bon endroit. Le doute se dissipa quand elle reconnut le Premier Maitre d'Hôtel. Pour le reste, de belles tenues et des parures, mais des visages inconnus. Ne connaissant pas le protocole et ne connaissant les rangs des présents -tout en considérant qu'on pouvait difficilement être d'un rang inférieur au sien- elle se fit discrète, prête à raser les murs.

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Orkaange7876
Après l'annonce de leurs noms, les deux ponettes se précipitèrent le plus noblement possible dans le salon. Ork était assez contente de son doublage de la brune. Non seulement elle avait la plus belle robe, mais elle allait voir tonton en premier. Bon le souci c'est que l'écrasage de pied opéré par la brune, Loup bouttin contre Loup bouttin, l'avait quelque peu handicapé. Elle maitrisait déjà mal la révérence, alors avec un pied en main, elle craignait l'écrasage de tronche par terre. Ca la foutrait mal devant tonton. Et devant Elayne aussi si elle était là. Mais on aviserait plus tard pour les révérences. Ha quoi que nan, une blonde toute vêtue de bleu s'avançait vers elles. L'oeil laser de la baleine la détailla de pied en cap. Et tous ses réflexes d'antan, du temps de la baleine rose, du temps de leur splendeur passées, du temps ou elles étaient royaumement connues lui revinrent. Elle jaugea la dame qui s'avançait, et retint de justesse une exclamation du style "Ma qué ma Chérrrrriiiiieee tou es MA-GNI-FIQUE. Qué lé blou fé réssortir té yeux, et qué lé décollleté il mé bien ta poitrine en valeur! Yé souis sous lé charme", se rappelant que Elayne leur avait toujours dit que les réflexions sur les tenues des autres étaient déplacées dans la bonne société. Elle se contenta donc d'un large sourire et esquissa une simili révérence adressée à la blonde qui ne se passa pas trop mal ma foi. Collant un coup de coude à sa soeur elle s'avança en premier afin de monopoliser l'attention, seins en avant.


-Dames le bonjour, je suis Constance d'Orsenac. Vous êtes ?
-Le bonjour à vous. Je suis Orkaange de Bors, Belle fille d'Elayne et fille de papap... euh de Valnor de la Lande Morte. Et voici ma soeur




A la guerre comme à la guerre chacune pour soi. Elle allait pas non plus égrener le nom de sa soeur hein? Celle ci se débrouillerait surement très bien toute seule
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.mahaut.
Assise sur un fauteuil, Mahaut tentait de voir si on pouvait se balancer. Verdict : non. Le meuble était bien trop lourd pour tenter le coup. Ce qui voulait dire qu'on avait à faire à du massif. Du genre qui bouge pas en cas de tremblement de terre. Peut-être que quand on était roy, on ne sentait même pas les tremblements de terre. Peut-être que du coup, la première fois que c'était arrivé, on s'était retrouvé avec tout le monde par terre et qu'on avait trouvé ça bien et qu'on avait appelé ça "la royauté". Allez savoir, les méandres de l'histoire.

Le temps de ces quelques réflexions philosophiques que d'autres personnes étaient entrées dans la salle. Se relevant du fauteuil, elle esquissa une révérence PAR-FAITE, pas comme sa soeur, bien fait pour elle, elle avait qu'à pas lui piquer son fard à paupières.


- Le bonjour à vous. Je suis Orkaange de Bors, Belle fille d'Elayne et fille de papap... euh de Valnor de la Lande Morte. Et voici ma soeur...


Hmpff. Bon, soit. Puisque son écrivain particulier n'était plus là pour l'annoncer, elle ferait ça seule.

- Mahaut de Nabinaud, enchantée de vous rencontrer ! Excusez notre naïveté mais nous revenons de quelques temps de recueillement en monastère *que nous avons allègrement brûlé mais ce n'est qu'un détail* et nous ignorons encore bien des évènements de ces dernières années... A vrai dire, même en entendant votre nom, nous ignorons tout de vous ... Et croyez bien que nous le regrettons ! Pourriez-vous nous éclairer et peut-être aussi nous présenter à ces deux damoiselles ? demanda-t-elle en désignant le plus délicatement possible (à savoir en se retenant de montrer du doigt) la première jeune fille et celle qui s'était glissée dans la pièce discrètement. Peut-être une espionne ? Haaan que c'était excitant d'être au Louvre ! Quel dommage qu'elles n'aient pas été reçues à la cave directement... Il faudrait qu'elle demande l'accès à Tonton quand elle le verrait. S'il ne les reniait pas de la famille avant, évidemment. Mais bon, elles étaient à ça, hein.
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Florentin
Les différents invités arrivant, Florentin ne savait plus où regarder pour s'incliner.

Il répondit d'abord à Mélissandre...


Je fais mander prestement l'échanson pour qu'il nous trouve de quoi vous désaltérer lors de la réunion.

Et répondant également à Constance d'Orsenac...

Et je fais également apporter mignardises et bouchés afin que vos estomacs ne s'interposent pas dans la discussion !
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Premier Maître d'Hôtel du Roy
Jason_ludgaresvissac
Et une missive venait d'arriver sur son bureau, il fit mander son page afin qu'il aille lui chercher de quoi préparer des boissons pour la réunion prévue au palais.

Il confectionna ensuite de l'Hypocras blanc, du vin de Vouvray qu'il savait apprécié par la fille de la Reyne, puis de la citronnade et de l'orangeade. Puis ne sachant si le Roy serait là, il préféra rajouter un flacon de Volcan, sachant que ce dernier en était friand.

Puis il fit tout amener sur place.

Il salua en pénétrant dans la salle et s'approcha de Florentin


Voici les boissons demandées, alcool et boissons rafraîchissantes ainsi qu'un flacon cacheté pour sa Majesté
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Lilly_de_troy
    Du monde arriva. Pleins et que des inconnus ... ou presque. Quand Constance pointa son nez, elle fut soulagée et se mit avec elle. Elle avait un peu fait sa sauvage et n'avait pas pris le temps de saluer les personnes qui étaient arrivées au fur et à mesure.

    Puis elle nota un truc. Aaaaaaaaaaaaaaah la blonde... tête de linotte, la révérence. Maaaaaaaaaaaaaaaazette. Elle s'approcha doucement de la brune royale et lui sourit. Puis lui murmura.


    Excusez moi je crois que j'ai oublié de faire quelque chose en arrivant vers vous Mélissandre. Je m'en excuse. La prochaine fois, je n'oublierai pas la révérence en vous saluant. dit elle un peu penaude.

    Après tout, elle n'était pas Altesse elle mais Mélissandre oui ... donc elle oublié un peu ce détail du protocole. Mais Constance pas. Elle aurait dû arriver en même temps qu'elle, cela aurait été parfait.

    Puis, Jason, parrounet, se présenta en qualité d'échansson surement probablement même. Elle sourit mais ne bougea pas d'un iota. Après tout personne ne connaissait réellement ce qui allait suivre.

    Lilly observa les dames présentes et dit simplement.


    Bonjour à vous mesdames, Lilly de Troy, fille adoptive du Roy Lanfeust de Troy. Enchantée de vous rencontrer.

    Voilà voilà pensa-telle .... a quand la suite ...

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Melissandre_malemort
Mélissandre sourit à Lilly.

- Dame, je suis ici en tant qu'officier royal, le protocole est donc secondaire. Ne vous sentez jamais obligé de me faire la révérence. Je suis ici huissière et première Dame. Tant que vous ne me tapez pas dans le dos...

Elle se redressa en riant doucement et reprit son attitude professionnelle pour saluer les arrivants, rendant sourire pour sourire mais sans outrepasser sa fonction a nouveau. Chaque chose à sa place.

- Dame Lilly de Troy et sa soeur, Dame Constance d'Orsenac, fille et belle fille de sa Majesté le Roi.

Dans le domaine privée, elle ne donnait pas les titres, les ayant déjà utilisés pour les courriers.

- Dame Mahaut de Nabinaud et Orkaange de Bors, belles filles d'Elayne de Troy et de fait nièces de sa Majesté le Roi.

Sur ces mots, elle frappa le sol pour annoncer que les invités pouvaient entrer, quitte à faire un second service pour les retardaires. Ceci fait, la princesse sourit aimablement à Bathilde et Jason, guidant la goûteuse pour qu'elle prenne place derrière le siège de Lanfeust et se tienne prête à risquer sa vie... Pour la gloire. Gloups.
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Elainedetroy
Voilà de très longs mois qu'Elayne se reposait dans son château, fatiguée. Fatiguée de toutes ses années à se donner pleinement à sa ville, à son Comté et surtout ... à sa famille et à sa "belle" famille. Elle avait eu besoin d'un répit, d'un repli sur elle-même. Elle avait songé au couvent mais elle n'avait pas eu le courage d'abandonner son très cher époux, Valnor, Comte d'Aubeterre, et son fils, Pârys. Par contre, elle n'avait plus donné signe de vie au reste de sa famille et à ses amis. Faire le vide, oublier ... Du calme, du repos ...

- Dame Elayne, Dame Elayne ! Un pigeon vient d'arriver, un pigeon urgent !

Elayne soupira. Qui venait donc perturber cette journée ? Elle détestait les pigeons urgents signe de mauvaises nouvelles. Serait-ce des nouvelles de son époux qui venait de partir avec leur fils visiter les comtés alentours ? Elle prit le pli, le parcourut et porta la main à son coeur. Une angoisse venait de l'envahir, un frisson glacé, juste à ses deux noms : Mahaut et Orkaange.

Citation:
Comtesse Elayne, Très chère belle mère,

Je connais votre grand état de fatigue et votre souhait de ne plus être importunée par une quelconque contrariété, mais il est de mon devoir de vous apprendre une terrible nouvelle. Vos chères belles-filles, Mahaut et Orkaange, ont entrepris un nouveau voyage, non pas en Bretagne comme à leur habitude, mais en direction du Louvre, avec l'idée de rencontrer votre frère le Roy pour une soi-disant réunion de famille.

Je suis terrifié à l'idée de ce qu'il pourrait survenir au Louvre en leur présence. Vous savez de quoi elles sont capables. Aussi, je vous supplie d'intervenir au plus vite et de vous rendre en Paris car vous êtes la seule qui pourra éviter une révolte, que dis-je, une révolution.

Si mes talents valent encore aujourd'hui quelque chose, sachez que vous pouvez compter dessus pour vous mettre à l'abri de toute menace sur votre route. J'aimerais vous servir d'escorte. Et puis nous ne serons pas trop de deux pour sauver le Roy.

Je vous en prie, acceptez.

Votre dévoué

Matpel


D'un bond, Elayne se leva.


- Que l'on prépare un carrosse pour le Louvre et mes effets personnels pour plusieurs jours. Que l'on envoie un courrier à mon époux pour le prévenir du désastre imminent et lui réclamer sa présence. Que l'on aille me chercher Messire Matpel. Le Royaume est en danger !
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