--Bart
[Campement d'Arduilet : Dans la tente du grand]
La jeune fille s'était présentée, mais Bart n'en avait cure. Il surveillait les faits et gestes de la servante, plus par ennui que par intérêt. Il était curieux néanmoins de savoir quelle tenue elle allait choisir pour le jeune comte. A savoir qu'il fallait en plus tenir compte de son ego. Bien plus grand que ses chemises. Tout à la surveillance de la tente et de ses occupants, il entendit des bruits suspects. Il resserra sa main sur la garde de son épée, par instinct, lorsqu'il vit arriver le comte et son amie. Il avait à peine relâché son attention qu'il était aux prises avec un ennemi qu'il avait peu l'habitude de combattre. Le charme de l'impudente l'avait désarmé dans un premier temps, ajoutant à cette botte un chuchoti
La jeune fille s'était présentée, mais Bart n'en avait cure. Il surveillait les faits et gestes de la servante, plus par ennui que par intérêt. Il était curieux néanmoins de savoir quelle tenue elle allait choisir pour le jeune comte. A savoir qu'il fallait en plus tenir compte de son ego. Bien plus grand que ses chemises. Tout à la surveillance de la tente et de ses occupants, il entendit des bruits suspects. Il resserra sa main sur la garde de son épée, par instinct, lorsqu'il vit arriver le comte et son amie. Il avait à peine relâché son attention qu'il était aux prises avec un ennemi qu'il avait peu l'habitude de combattre. Le charme de l'impudente l'avait désarmé dans un premier temps, ajoutant à cette botte un chuchoti
Cassandre_ a écrit:
Bart, vous allez finir par faire peur à la jeune femme si vous continuez à avoir cet air renfrogné.
Que voulait-elle ? Un sourire ? Personne ne connaissait la couleur de ses dents, ni même s'il lui en restait, d'ailleurs. Il grogra sans se départir de son attitude rigide, surtout que le lionceau commençait à grogner, pour imposer sa présence, car apparemment, il devait feuler pour être remarqué. Tandis que l'éleveuse de faucons tentait de l'amadouer, peut être aurait-il droit à un morceau de viande crue s'il lui obéïssait, le doigt vengeur s'agitait dans tous les sens, sans vraiment savoir où aller. Il avait fait partir les femelles vers une autre tente, au grand soulagement du garde. Il ne releva point les attaques du lionceau qui voulait se faire plus gros que le boeuf. Il avait dû trop écouter les contes de sa nourrice.
Gailen_d_arduilet a écrit:
Dites à Koen qu'une fois tout en ordre il peut rentrer à Meymac, je n'aime pas savoir le domaine sans un responsable à sa tête. Ne dit on pas qu'une fois le chat parti, les souris dansent ?