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[RP] Si on chantait ?...

Julien91
Julien été sur la place du marché et ce baladais parmi les civils craonnais et ce mit a chanter..

Pour une couronne qu'on aura pas
Un jour meilleur qui ne vient pas
Des champs de blés pillés cent fois
Au nom d'une croix qui fait sa loi

Pour une justice qu'ils ont fait taire
Sous les cris sourds de nos prières
Au noeud coulant d'un main de fer
Qui nous étrangle quand on la serre

Je suis de ceux qui n'ont qu'un choix
Franchir le mur du dernier pas
Je suis l'écho, je suis la voix
De tous ces gens qu'on dit d'en bas

Contre ceux d'en heut
C'est contre ceux d'en haut
A mains nues s'il le faut
Qu'on gagnera notre place

Contre ceux d'en haut
C'est contre leurs égos
Que nous devont faire face
C'est nous contre ceux d'en haut

Pour une couronne qu'on récupère
Un jour meilleur qui reste à faire
Des chants qui se relèvent de terre
Au pied d'une croix sans cimetière

Pour l'injustice qu'en finit pas
De nous briser entre ses doigts
Un bras de fer, un gant de soie
Sur ce qu'on perd et qu'on n'a pas

On est de ceux qui ont ouvert
Une autre voie, une nouvelle ère
On est l'écho, le souffle d'air
De tous ces gens qu'on dit à terre

Contre ceux d'en haut
C'est contre ceux d'en haut
A mains nues s'il le faut
Qu'on gagnera notre place

Contre ceux d'en haut
C'est contre leurs égos
Que nous devons faire face
C'est nous contre ceux d'en haut

_________________
Nanane
Les tavernes de Craon sont vides a cette heure de la nuit,elle décide donc d'aller faire une balade a cheval avant d'aller dormir.
Elle avance au pas sur le dos d'Éclair dans la nuit qui est douce et chantonne...


Want to, but I can’t help it
I love the way it feels,
It’s got me stuck between my fantasy and what is real
I need it when I want it, I want it when I don’t
Tell myself I’ll stop everyday, knowin’ that I won't


I got a problem and I don’t know what to do about it
Even if I did, I don’t know if I would quit but I doubt it
I’m taken by the thought of it, and I know this much is true
Baby, you have become my addiction, I’m so strung out on you
I can barely move but I like it


And it’s all because of you
And it’s all because…
Never get enough,
He is the sweetest drug


Think of it every second
I can't get nothing done,
Only concern is the next time, I’m gonna get me some
Know I should stay away from, cause it's no good for me
I try and try but my obsession wont let me leave


I got a problem and I don’t know what to do about it
Even if I did, I don’t know if I would quit but I doubt it
I’m taken by the thought of it, and I know this much is true
Baby, you have become my addiction, I’m so strung out on you
I can barely move but I like it


And it’s all because of you (all because of you)
And it’s all because…
Never get enough,
He is the sweetest drug


Ain’t no doubt, so strung out
Over you, over you, over you


Because of you,
And it’s all because of you,
Never get enough
He is the sweetest drug, he is the sweetest drug...

_________________
Julien91
Julien s'allongeat dans l'herbe devant le domaine de sa famille et ce mit a chantonner une mélodie...


Y'a pas de mot pour le dire
un peu plus et ce sera pire
Décrocher la lune si je n'ose
Craindre les heures qui s'enterrent
Celles qui sonnent toujours plus fières
Balancer les dires et les choses

Il parait que dans un idéal
Je t'emmène en cavale
Prisonnier du temps qui passe
Il parait que c'est un drôle de jeu
Qu'on ne peut faire qu'à deux

A toujours courber l'échine
A renier son origine
Pendu sur terre en overdose

Il parait que dans un idéal
Je t'emmène en cavale
Prisonnier du temps qui passe
Il parait que c'est un drôle de jeu
Qu'on ne peut faire qu'à deux
Prisonnier du temps qui passe
S'avouer que plus rien ne menace en face

_________________
--Manon_la_cruche
Depuis son dernier voyage à Paris, Manon ne faisait que de rêvasser de lui, ce beau rebelle qui la fît crier à en perdre la voix. Elle avait hâte d'aller à la rencontre de ses copines, histoire de leur parler de ce Matt Pokoroi, troubadour de la capitale... Et c'te chanson inspirée par l'Anjou...

Matt_Pokoroi a écrit:
L’avait entendu dire que Leluron s’faisait un paquet d’monnaie sonnante et trébuchante en s’improvisant troubadour.
L’Matt Pokoroi, l’idole des pucelles des bas fonds, la Popstar de son quartier, bien qu’encore jeune et boutonneux, s’disait qu’ça fleurait l’bon plan.
Seulement, l’avait beau tirer des cris d’hystérie aux jouvencelles quand il s’pointait en taverne, l’était pas bien malin, et l’avait pas trop d’idée.
L’rebelle, qui n’avait séditieux qu'sa tignasse mal peignée, s’pointa donc sur la place où Leluron s’faisait d’la maille pour le concurrencer.
Toujours un peu couillon, il improvisa lui aussi sur le thème de l’Anjou, beuglant d’sa voix qui était en train d’muer.


Dans une rue de La Flêche,
Errant au bord de l'eau
Reese se faisait chier pour finir... en taverne
Y'avait là deux trois femmes
qui faisaient le tapin
Lui aiguisait sa lame
pour planter ces catins

Les gens de son quartier
les touristes et les vieillards
aiment bien s'promener
le long de la grand'rue
Ils achètent des souvenirs
du vin au goût qui pique
Les Penthièvre les font rire
Mais faudrait qu'on leur explique

Qu'il y a d'la fange partout
de la guerre mais surtout
des jeunes en galère
qui trafiquent la misère
Mais l’Louvelle doit bien avouer
qu’il y passe toutes ses journées
C'est que parfois en Anjou
c'est la joie et la folie

Mais croyez le bientôt
les maréchaux auront du boulot
car tout les vagabonds
parlent de révolution
Un jour toutes leurs chansons
Ouais vous désarmerons
Il n'y aura plu qu'la folie
La joie .... et l'ANARCHIE !
Jennsen
Elle était au bord du gouffre.
Par "bord", il faut comprendre le bord intérieur, les doigts cramponnés à quelque résidu herbeux merdique prêt à se faire la malle, hein.
Pas au bord à regarder avant de p'têt sauter.
Non, elle était tombée d'dans direct.
Seul un instinct de survie surgi d'elle ne savait trop où, l'avait poussée à se raccrocher, alors qu'elle n'aspirait, réellement, qu'à s'enfoncer dans les abysses.
Acte de lâcheté suprême s'il en est.

Et puis après des heures et des torrents de flotte écoulés, elle avait tapé du pied un grand coup dans ce fond qu'elle avait touché.
Et décidé de se libérer en écrivant, encore une fois
Lettre envoyée à une filleule en retraite bien plus au sud.
Poème laissé à voguer dans le tourbillon du vent, quelque part sur la route qui l'avait conduite là.


Et depuis,un air lui trottait dans la tête, encore et toujours, pour lui rappeler que certaines frontières sont ténues.


Regarde le monde
Puis regarde-toi
Quand l'orage gronde
Le soleil se noie
A chaque seconde
Tu perdras la foi
A l'autre seconde
Dieu sera ton Roi
C'est la fin du monde
Il faudra t'y faire
Sur toutes les ondes
C'est face amour, face amère

On ne refait pas l'histoire
Je veux le droit au désespoir

Chacun fait sa fronde
Chacun fait sa loi
Quelques têtes tombent
Et l'homme a ses droits
Entre dans la ronde
Pour la face Amour
Bois la pluie qui tombe
Pour la face Amère
C'est la fin du monde
Donnons-nous la main
La vie n'attend rien
Que la mort au bout du chemin

On ne refait pas l'histoire
Je veux le droit au désespoir
Julien91
Julien marchais dans les rue de craon et ce mit a chanter...

Il y a des blessures
Qu'on devra oublier
Tellement de ratures
Qu'il faudra effacer

Souffler très fort pour que s'envole de nos coeurs la rancune
Et puis faire tomber les barrières une à une...

A chaque pas que l'on fera
A chaque geste qu'on offrira
Ce sera le début d'un autre demain
Dans chaque mot que l'on dira
Dans ce futur qu'on construira
C'est l'Amour que dessineront nos mains

Il y a des injures
Qu'il faudra pardonner
Des cris contre des murs
Qui les feront tomber

Déposons les armes à nos pieds, délaissons nos armures
Pour que nos conflits ne soient plus que murmures

A chaque pas que l'on fera
A chaque geste qu'on offrira
Ce sera le début d'un autre demain
Dans chaque mot que l'on dira
Dans ce futur qu'on construira
C'est l'Amour que dessineront nos mains

La bataille sera longue
Mais tu sais elle en vaut la peine
L'enfant en nous trouvera le chemin

Il y a des fêlures
Qui resteront brisées
Des coups un peu durs
A jamais marqués

A chaque pas que l'on fera
A chaque geste qu'on offrira
Se que al final lograras encontrar
La paz y la felicitad
En tu camino hallaras
Todo lo que deseas alcanzar

C'est l'amour que dessineront nos mains.

_________________
Labrinvilliers
La Brinvilliers ruminait … Pâle et amaigrie, les yeux cernés et les traits tirés, elle se remettait difficilement de la peste qui lui était tombée dessus en Touraine … Chinon … Belle ville, mais de bien tristes souvenirs : la peste, la mort du tavernier qui l’hébergeait, le gros Juliuz …

Mais surtout, La Brinvilliers ruminait encore et toujours l’abandon de De Mesdeuzes … Elle était à sa recherche et se dirigeait vers Saintes, en Poitou, là où Abélard devait, en principe, se trouver … Elle avait toujours en tête de lui faire payer cher cet affront et avait quitté seule la Touraine afin de passer par l’Anjou sans laissez-passer … Pas le temps de demander, de quémander un laissez-passer et d’attendre le bon vouloir des autorités locales … Fort heureusement, elle n’avait eu aucun problème et s’en réjouissait car, vu son état de fatigue et de faiblesse, elle n’aurait pu supporter un combat, même avec un enfant de quatre ans !

Elle était à Saumur depuis vingt-quatre heures à peine, mais avait remarqué que les habitants avaient pour habitude de chanter … Le moindre passant, le moindre gueux, les lavandières, les forgerons, les taverniers, les amoureux aux yeux brillants et les éconduits aux yeux larmoyants, tous poussaient la chansonnette, parfois dans des langues étranges et inconnues …

La Brinvilliers était malade, faible et malheureuse … S’apitoyant sur son sort et pensant à elle, à sa situation, à la peste, mais surtout à De Mesdeuzes, elle se mit à chanter, mais faux, tellement faux que certaines personnes près d’elle se bouchèrent les oreilles … Les yeux fermés, concentrée à l’extrême, elle massacrait allègrement la pauvre chanson :

Je ne rêve plus, je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi, je suis laide sans toi
Je suis comme une orpheline dans un dortoir

Je n'ai plus envie de vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n'ai plus de vie et même mon lit
Se transforme en maison d’passes
Quand tu t'en vas

Je suis malade, complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir

Je suis malade, parfaitement malade
T'arrives on ne sait jamais quand
Tu repars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt six mois
Que tu t'en fous

Comme à un rocher, comme à un péché
Je suis accrochée à toi
Je suis fatiguée, je suis épuisée
De faire semblant d'être heureuse quand ils sont là

Je bois toutes les nuits mais tous les alcools
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller, tu es partout

Je suis malade, complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort, quand toi tu dors

Je suis malade, parfaitement malade
Tu m'as privée de tous mes chants
Tu m'as vidée de tous mes mots
Pourtant moi, j'avais du talent, avant ta peau

Cet amour me tue, si ça continue
Je crèverai seule, avec moi
Près de ma fenêtre comme un gosse idiot
Écoutant ma propre voix qui chantera :

Je suis malade, complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir

Je suis malade, c'est ça, je suis malade
Tu m'as privée de tous mes chants
Tu m'as vidée de tous mes mots
Et j'ai le cœur complètement malade
Cerné de barricades, t'entends : JE SUIS MALADE !

_________________
Fitzounette
Dernier sursaut de conscience avant de sombrer, de s'abandonner... Elle est sauve. Saumur... Elle est à la maison... Mais Erik... Erik... Est il seulement vivant ?
Encore un petit effort, un dernier effort... Parce qu'il le faut. Un air envoutant l'accompagne...


La barre est dure tiens la bien, tiens la bien des deux reins.
Ta victoire est amère, tout un monde englouti un peu salé.
Et l'canal résonne, la glace sous la proue qui pleure et gémit
comme tes deux pieds gelés.Tiens la bien .
Déchire cette eau à grands coups d'hélice,
ta victoire est si triste. Tiens la bien.
Elle n'appartient qu'à toi, comme le vent dans ton cou,
comme ta sueur qui navigue entre ta peur et ton courage.
Ta victoire est si vaine, si lointaine, lourde
trop lourde de glace et de graisse.Tiens la bien.
Tu oses toi meme y croire quand tu mens,
à tes deux mains qui pleurent ta victoire si froide
plantée dans la mousse des parois d'écluses
qui suitent comme le désir d'en finir,
d'un coup d'un seul dans ses bras là-bas.Tiens la bien.
Ses yeux, ses cheveux , bruns, t'attendent peut etre. Tiens la bien.
Mais tu sais bien que non, mais tu sais vraiment rien pauv'quiche!
Ta victoire est si pure, si seule, si dure.
Ta victoire est si vaine qu'elle ne peut qu'être belle, tiens la bien...
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Erikdejosseliniere
Si un certain Duc s'était trouvé là... S'il avait seulement pu LA prendre dans ses bras... Si de ses yeux il avait pu LUI dire... Si les mots avaient su trouver LA musique... Sans nul doute, voila ce que, troubadour par amour, Bourguignon éperdu de désir et de passion, il aurait pu chanter à la plus extraordinaire femme qu'oncques a pu croiser du Ponant au Couchant... A elle, pour elle, tout à elle, rien qu'à elle :

à Toi...
Toujours toi...
Rien que toi...
Partout toi...
Toi... toi... toi...
Toi...

Je t'ai dans la peau
Y a rien à faire
Obstinément, tu es là
J'ai beau chercher à m'en défaire
Tu es toujours près de moi
Je t'ai dans la peau
Y a rien à faire
Tu es partout sur mon corps
J'ai froid, j'ai chaud
Je sens la fièvre sur ma peau

Après tout je m'en fous de ce qu'on peut penser
Je ne peux pas m'empêcher de crier
Tu es tout pour moi, je suis intoxiquée
Et je t'aime, je t'aime à en crever

Je t'ai dans la peau
Y a rien à faire
Obstinément, tu es là
J'ai beau chercher à m'en défaire
Tu es toujours près de moi
Je t'ai dans la peau
Y a rien à faire
Tu es partout sur mon corps
J'ai froid, j'ai chaud
Je sens tes lèvres sur ma peau
Y a rien à faire, je t'ai dans la peau

_________________
Duc de Corbigny
Fitzounette
Drôle d'impression. Que peut être les siens vont transiger. Qu'encore une fois, l'on ne sait plus qui l'on est, l'on s'oublie pour quelque mauvaise excuse. La rage. Elle a la rage. Toujours tiraillée entre deux mondes. Que fait elle ? A ne plus savoir distinguer le ciel de la terre. Déboussolée. Elle en veut à tous... Tous sans exception... Les mercenaires, sa famille, les royalistes... Tout se mélange dans sa tête... Un seul sentiment clair, oui... La rage...

La rage... Tues le...

Ok, j'ai la rage mais c'est pas celle qui fait baver,
Demande à Kilia, la vie claque comme une semelle sur les pavés
La rage de voir nos buts entravés, de vivre en travers,
la rage gravée depuis bien loin en arrière
La rage d'avoir grandi trop vite quand des adultes volent ton enfance.
PARS !! Imagine un mur et abolis la rage !
Car impossible est cette paix tant voulue,
La rage de voir autant de Maréchaux armés dans nos rues.
La rage de voir ce foutu Royaume s'autodétruire
Et que ce soit toujours des innocents qui recoivent les coups,
La rage car c'est l'homme qui a créé chaque mur,
Se barricader de remparts, aurait-il peur de la nature ?
La rage car il a oublié qu'il en faisait parti,
désharmonie profonde, mais dans quel Royaume l'Angevin est parti ?
La rage d'être autant balafré par les foutues de normes,
Et puis la rage, ouais la rage d'avoir la rage depuis qu'on est môme.

Parce qu'on a la rage, on restera debout quoi qu'il arrive,
La rage d'aller jusqu'au bout et là où veut bien nous mener la vie,
Parce qu'on a la rage, on pourra plus s'taire ni s'asseoir dorénavant on s'tiendra prêt parce qu'on a la rage, le coeur et la foi !
Parce qu'on a la rage, on restera debout quoi qu'il arrive,
La rage d'aller jusqu'au bout au delà où veut bien nous mener la vie,
Parce qu'on a la rage, rien ne pourra plus nous arrêter, insoumis, sage, marginal, royaliste ou révolté !

La rage parce que je choisis rien et que je subis tout le temps
Et vu que leurs choix sont bancales et bien tout équilibre fout le camp
La rage car l'irréparable s'entasse depuis un bout de temps
La rage car qu'est ce qu'on attend pour s'mettre debout et foutre le boucan
La rage c'est tout ce qu'ils nous reste, t'façon tout ce qui nous reste,
La rage, combien des notres finiront par retourner leur veste !
La rage de vivre et de vivre l'instant présent,
De choisir son futur libre et sans leurs grilles d'oppressants !
La rage, car c'est la défection et que ce Royaume y adhère,
Et parce que tout leurs champs surproduisent !
La rage pour qu'un jour l'engrenage soit brisé
Et la rage car trop lisent « Vérité » dans l'AAP.
La rage car ce Royaume ne nous correspond pas,
Nous nourrissent de faux rêves pour placer leurs remparts
La rage car ce Royaume ne nous correspond pas,
Où le Roy s'engraisse pendant qu'ils crèvent en bas !!

La rage d'y croire et de faire en sorte que ça bouge,
La rage car ce Royaume voit rouge mais de grisaille entouré
Parce qu'ils n'entendent jamais les cris lorsque le sang coule
La rage car c'est le pire que nous frôlons,
La rage car la France n'a toujours pas hôté sa tenue d'esclavagiste !
La rage car le mal tape sans cesse trop
Et que ne sont plus mis au goût du jour tant de grands savoirs ancestraux
La rage, trop de mensonges et de secrets gardés les luttes de nos Provinces, riche de vérité, pouvoir changer l'humanité
La rage car ils ne veulent pas que ça change,hein
Préférant garder leur pouvoir et nous manipuler comme leurs vassaux.
La rage car on croit au Très Haut et qu'on a choisit de marcher avec eux
La rage parce que mes propos dérangent
Vois aux quatre coins du Royaume, la rage du peuple en ébullition
La rage, ouais la rage ou l'essence de la révolution !

Anti brigands, anti royalistes, ou toi qui cherche la vérité sur ce Royaume, la résistance de demain à la veille d'une révolution.
Totale et spirituelle, la rage du peuple, parce que j'ai la rage, celle qui fera trembler tes normes.
La rage a pris la populace et la rage est énorme...
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Fitzounette
Au sein de son douillet coma, sa conscience n’était pas totalement annihilée. Petite prière et promesse adressées à LUI.

Promets moi si tu me survis
D'être plus fort que jamais
Je serais toujours dans ta vie
Près de toi , je te promets
Et si le Très Haut me programme
Une ascension vers le Soleil
De ne pas en faire un drame
De ne pas en avoir peur

Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l'anathème
Qui me tiens loin de tes bras
Pense à moi, comme je t'aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, on se retrouvera

N'oublie pas ce que je t'ai dit
L'amour est plus fort que tout
Ni l'Anjou ni la Bourgogne
Ne se mettront entre nous
Et si le Très Haut me programme
Une ascension vers le Soleil
Il ne prendra que mon âme
Mais il n'aura pas mon cœur

Pense à moi, comme je t'aime
Et tu me délivreras
Tu briseras l'anathème
Qui me tiens loin de tes bras
Pense à moi, comme je t'aime
Rien ne nous séparera
Même pas les chrysanthèmes
Tu verras, on se retrouvera
On se retrouvera
On se retrouvera.

( )
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Erikdejosseliniere
Dans sa tête de grand amoureux romantique éternel, malgré -ou peut etre un peu "à cause de"- son absence, LA chanson fatale de la mort qui tue (ce qu'il vous reste de neurones, auditeur trop curieux !) comme une ritournelle improbable...

Fitz', Fitz', simplement j'te dis
Que j't'aime, j't'aime
T'es ma petite Reyne qui vibre
Dans mes nuits
Et je deviens fou sans toi
Fitz', Fitz', j'te dédie ces mots
A toi, rien qu'à toi
Et ils te diront, comment du néant
Tu as fais un Duc de moi

On nous enlève, le Crock il est là !
Juste quelques gnions sans douceur...
N'aie pas le trac, j'suis près de toi
On va l'avoir, oui! Mon coeur !

Fitz', Fitz', simplement j'te dis
Que j't'aime, j't'aime
T'es le feu qui brule
Et j'dors, loin d'ton corps
Veux-tu m'épouser, Ô! Toi ?
Fitz', Fitz', j'te dédie ces mots
A toi, rien qu'à toi
T'es ma petite Reyne qu'éclaire
Tout'ma vie
Prenons racine chez toi
Fitz', Fitz', D'chesse de Chateau-Gonthier...

Tu sais j't'aime, j't'aime
J'te donne tout mon or
Fitz', Fitz', j'te dédie ces mots
A toi, rien qu'à toi
T'es ma petite Reyne qui brille
Dans mes nuits
Simplement j'te dis
Que j't'aime, j't'aime
J'te clame mon "Amor"
Fitz', Fiiiitz'...

_________________
Duc de Corbigny
Nanane
Elle fixe le lac qui s'étend a perte de vue devant elle,elle cherche a comprendre pourquoi il y a tant de chamboulements dans sa vie ces derniers temps.mais les questions qu'elle se pose pour le moment restent sans réponses.

Elle va s'asseoir sur un rocher non loin du lac et chante un air qui lui vient a l'esprit...


I've been wishing on a star but I never could have imagined
I would land just where you are after all this lonesome travelling
Took one look in your eye, reached out to hold your hand
This is when I realized what I could never understand

Do you want to be my one and only love?
Do you want to be my one and only love?

So you wanna be my friend, so you wanna be my lover
With you I do confess I can't be one without the other
That was hard for me to say, I hope I said it right
Which ever, come what may, you see I need to know tonight

Do you want to be my one and only love?
Do you want to be my one and only love?

Do you want to play these cards, do you want to lay them down?
Do you want to run away or do you want to stick around?

Do you want to be my one and only love?
Do you want to be my one and only love?

_________________
Fitzounette
Le point de rupture, là où tout vole en éclat. Là où la conscience s'éparpille et le coeur cesse de battre. Là où la peine devient trop grande et impossible à surmonter.
Elle ne supportaient plus. Elle n'en pouvait simplement plus. Pourquoi avait il fallu que ça se passe ainsi ? Qui là haut s'acharnait sur elle ? Pourquoi tant d'assiduité à lui infliger douleur, déception, désillusions ?
Saumur... Elle ne peut plus aller en taverne, on l'insulte. On la menace même. Mais que savent ils, ces gens, de l'amour qu'elle a pu lui porter ? De la confiance, de la compréhension. Que savent ils d'eux ?
Rien probablement, et encore moins la déchirure. Ils se contentent de la surface des choses, trop superficiels. Ils ne savent pas ce que certains choix peuvent couter. Et pourtant, et pourtant... Si seulement...
Mais non, parfois les mots ne suffisent pas.

_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Rani85
Soirée mère-fille, Mirna essaye d'apprendre les "choses de la vie" à Rani. La jeune fille écoute attentivement et elle est finalement déçue par ce qu'elle apprend... Rien de bien mirobolant, les choses simples de la vie, les choses qu'elle connaissait bien mais qu'elle connait désormais encore mieux! Elle en fait même une chanson, histoire de pas oublier. Chanson qu'elle chante à tue tête, qu'elle hurle même...faut bien que tout le monde puisse connaitre ces trucs là...

le feu ça brûle et l'eau ça mouille tous les oiseaux volent dans le ciel

les poissons font des bulles et l'herbe et verte dans la foret (dans la foret)
j'me suis achète un bustier il est en laine et en jersey (en jerzey)
je ne mange plus de pomme car je suis tombe sur un pepin (sur un pepin)
apres tout j'suis qu'un homme car je cours moins vite que le train

je crois qu'si j'etais chauve je me lav'rais jamais les ch'veux (jamais les ch'veux)
j'adore bien les gimauves parce que ça rend les gens heureux (gens heureux)
lorsque vient la nuit c'est vrai que ne voit plus rien du tout (plus rien du tout)
et pour chasser l'ennui moi je suce des cailloux

le feu ça brûle (oh oui le feu ça brûle)
et l'eau ça mouille (oui l'eau ça mouille)
tous les oiseaux (tous les oiseaux)
volent dans le ciel (vole dans le)


Le tout en étant très sobre...
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