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[RP] Si on chantait ?...

Julien91
Julien allonger dans l'herbe les jambes dans le vide à regarder le ciel ce mit a chanter...

Je connais ces nuits d'amertume
Où l'air vient à manquer
Où l'on avance dans la brume
Seul et les points sérrés

J'en suis sorti
Avec l'envie au fond de moi
Mais la blessure que tu m'as faite
Ne se referme pas

À coeur ouvert
Maintenant je dois m'avancer
À découvert
puisque tu as tout emporté
À coeur ouvert
Pourtant toi seule peut y entrer
À découvert
Et enfin tout recommencer
À toi de décider...

Je connais bien les cris de ceux
Qui font douter de tout
Qui vous font mordre la poussiére
Qui vous mettent à genoux
Si j'en ai
Encore des traces au fond de moi
La seule blessure que tu m'as faite
Ne se referme pas

À coeur ouvert
Maintenant je dois m'avancer
À découvert
puisque tu as tout emporté
À coeur ouvert
Pourtant toi seule peut y entrer
À découvert
Et enfin tout recommencer
À toi de décider...

L'absence est un missile
Qui peut tout effacer
Je suis tombé dans le vide
Que tu as laissé

À coeur ouvert
Maintenant je dois m'avancer
À découvert
puisque tu as tout emporté
À coeur ouvert
Pourtant toi seule peut y entrer
À découvert
Et enfin tout recommencer
À toi de décider...

_________________
Armoria
Quand ça déborde...

Voilà, c'est fini
On a tant ressassé les mêmes théories
On a tellement tiré chacun de notre côté
Que voilà, c'est fini
Trouve un autre rocher petite huître perlée
Ne laisse pas trop couler de temps sous ton p'tit nez
Car c'est fini...hum, c'est fini

Voilà, c'est fini
On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare
J'te dis seulement bonjour et fais gaffe à l'amour
Voilà, c'est fini
Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais
Peut-être après-demain je te retrouverai
Car c'est fini...hum, c'est fini

J'ai fini par me dire qu'on éviterait le pire
Qu'il fallait mieux couper plutôt que déchirer
J'ai fini par me dire que p't'être on va guérir
Et que même si c'est non, et que même si c'est con
Tous les deux nous savons que de toute façon

Voilà, c'est fini
Ne sois jamais amère, reste toujours sincère
T'as eu c'que t'as voulu, même si t'as pas voulu c'que t'as eu
Voilà, c'est fini
Nos deux mains se desserrent de s'être trop serrées
La foule nous emporte chacun de nôtre côté
C'est fini...hum, c'est fini

Voilà, c'est fini
Je ne vois plus au loin que ta chevelure nuit
Même si je m'aperçois que c'est encore moi qui te suis
C'est fini...hum, c'est fini, c'est fini, c'est fini




Citation:
...

_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
--Samoussa
Quand rien ne va

Tell’ment de gens veulent
Tell’ment être aimés,
Pour se donner, peuvent,
Tout abandonner.

Tellement d’erreurs qu’on
Pourrait s'éviter,
Si l’on savait juste un peu patienter.

Donne-moi le temps,
D’apprendre ce qu’il faut apprendre,
Donne-moi le temps,
D’avancer comme je le ressens,
Y’a pas d’amour au hasard,
Ou qui arrive trop tard,
J’apprendrai le temps d’attendre..

Tell’ment de rêves qui
Se trouvent gâchés,
A vivre tout, juste pou s’évader.

Est-ce que nos peurs valent
A ce point la peine
Pour exiger aussi peu de nous-mêmes ?

Donne-moi le temps,
D’apprendre ce qu’il faut apprendre,
Donne-moi le temps,
D’avancer comme je le ressens,
Y’a pas d’amour sans patience,
D’histoire sans y croire,
Pas d’amour sans le vouloir,
Si je sais que tu m’attends.

Donne-moi le temps,
D’apprendre ce qu’il faut apprendre,
Donne-moi le temps,
D’avancer comme je le ressens,
Y’a pas d’amour au hasard,
Ni de rencontres trop tard,
Mais sois patient,
Quand je me donne, c’est vraiment,
J’attendrai que tu m’attendes.

Tu auras le temps
De prendre ce que tu veux prendre,
Tu auras le temps,
De nous faire avancer ensemble,
Tant de gens se cherchent
Se désirent, se suivent et se perdent,
Donnons-nous la peine
De se découvrir, se connaître,
Je ne laisserai pas l’amour au hasard,
Ni qu’il soit trop tard,
Si la patience s’apprend,
J’apprendrai ce que c’est d’attendre.

Je prends
Le temps
Pour que tu m’attendes
Le temps
Pour toi.
Sadnezz
Sad se trouvait en taverne aux cotés de sa meilleure amie. la fête de la veille fut belle, soucis oubliés pour la nuit mais au petit matin... tout revient. un silence se fit apres un enième sourire puis sad se dit qu'il fallait chanter ça... chanter ce tableau la...

Il y a des jours comme ça
Il y a des jours comme ça
Où l'univers
Tourne à l'envers
Où rien ne va
Il y a des jours comme ça
Où rien ne nous console
Où l'on se sent seul
Un ciel tout gris
Chargé d'ennui
Quelque part on se sent malheureux
Le cœur se serre
Tout m'indiffère
Tout paraît impossible à mes yeux

Il y a des jours comme ça
Il y a des jours comme ça
Où l'on voudrait pouvoir pleurer
Rester chez soi
Il y a des jours comme ça
Où l'on se dit que tout
Tout est
Contre nous
Mais le lendemain
Dès le matin
Ne nous vient que de bonnes nouvelles
Tout nous sourit
Nous réussit
Comme la vie aujourd'hui semble belle

Il y a des jours comme ça
Il y a des jours heureux
Où l'on s'éveille
Sous le soleil
Le cœur joyeux
Il y a des jours comme ça
Où tout nous tend les bras
Des jours pleins de joie

[solo de joie]

Il y a des jours comme ça
Des jours qui font rêver
Des jours qui donnent envie de rire
Envie d'aimer
Il y a des jours comme ça
Et quand ces jours reviennent
Tout le monde
Tout le monde
S'aiiiiiiime

_________________
Nanane
Elle repousse tout,fait le grand vide,assise sur la rive a regarder le lac un air lui vient en tete.une bouteille a moitié vide a la main elle chante...


En p'tit bonhomme dans le bain
En p'tite boule dans les bulles
Mes jours ont le goût du savon
Qui glisse le long de ma clavicule
Je dialogue avec une goutte
Qui se détache de son tuyau
La vapeur endort mon ego
J'mets mes branchies et je m'enfouis

Sous l'eau, c'est tellement moins pesant
Je rince tout ce que j'ai en dedans
Sous l'eau c'est fou comme j'me détends
Je rêve de vivre dans un océan

En p'tit bonhomme dans le bain
En p'tite boule dans les bulles
Mon corps un mauvais comédien
Et imbibé de solitude

Pourtant mon imagination déborde
Mais mon coeur est toujours en désordre
Je divague dans mes poissonneries
J'mets mes branchies et je m'enfouis

Sous l'eau, c'est tellement moins pesant
Je rince tout ce que j'ai en dedans
Sous l'eau c'est fou comme j'me détends
Je rêve de vivre dans un océan

Mais ma vie ne sait pas nager
Ma vie ne sait pas nager
Je rame, je pédale et je chavire
J'fais tout c'que j'peux
Pour ne pas couler

Sous l'eau, c'est tellement moins pesant
Je rince tout ce que j'ai en dedans
Sous l'eau c'est fou comme j'me détends
Je rêve de vivre dans un océan

Sous l'eau, c'est tellement moins pesant
Je rince tout ce que j'ai en dedans
Sous l'eau c'est fou comme j'me détends
Je rêve de vivre dans un océan

_________________
--Nanane_sadnezz
Les deux amies en taverne... silence... soupir... un regard... Hips!..... un sourire et une chansons s'impose comme une evidence... la première phrase lachée; voila les deux femmes qui se mettent a chanter à l'unisson LA chanson:

Quand je suis ivre, ivre de tristesse,
Quand je suis ivre, ivre de détresse,
Je voudrais tant dégriser et retrouver les couleurs,
Qui se sont effacées, ne sont plus que des ombres.

Quand je suis ivre, ivre d'insouciance,
Quand je suis ivre, ivre d'espérance,
J'en reprends une gorgée, me pardonne mes déboires,
Jusqu'à les oublier, les chasser de ma mémoire.

Quand je suis ivre, ivre de douceur,
Quand je suis ivre, ivre de tendresse,
J'en savoure le goût intense, qui envahit mon palais,
J'aimerais qu'à tout jamais, il y tienne résidence.

Quand je suis ivre, ivre de plaisir,
Quand je suis ivre, ivre de bonheur,
Je ne veux pas dessoûller, je garde en secret la source,
Qui m'a tant exaltée, pour m'y désaltérer,


Encore, encore...



Lambertine
Lambertine marchait dans les rues de La Flêche. Pas mal de choses s'étaient passées récemment. Notament sa rupture. Il avait envie de chanter. C'est d'ailleurs ce qu'il fit. Mais pas une chanson en rapport à sa situation. Plutôt un petit air qui lui trottait dans la tête.

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant,
En tout chemin en tout lieu,
Il ne parle que du bon Dieu,
Il ne parle que du bon Dieu.

A l'époque où Jean Sans Terre
D'Angleterre était le roy,
Dominique, notre père,
Convertit les Albigeois.

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant,
En tout chemin en tout lieu,
Il ne parle que du bon Dieu,
Il ne parle que du bon Dieu.

Ni chameau, ni diligence,
Il parcourt l'Europe à pied,
Scandinavie ou Provence,
Dans la simple pauvreté.

Enflamma de toute école,
Filles et garçons pleins d'ardeur,
Et pour semer la parole,
Inventa les Frères-Prêcheurs.

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant,
En tous chemins, en tous lieux,
Il ne parle que du Bon Dieu,
Il ne parle que du Bon Dieu

Chez Dominique et ses frères,
Le pain s'en vint à manquer
Et deux anges se présentèrent,
Portant de grands pains dorés

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant
En tous chemins, en tous lieux,
Il ne parle que du Bon Dieu,
Il ne parle que du Bon Dieu

Dominique vit en rêve,
Les prêcheurs du monde entier
Sous le manteau de la Vierge,
En grand nombre rassemblés.

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant
En tous chemins, en tous lieux,
Il ne parle que du Bon Dieu,
Il ne parle que du Bon Dieu.

Dominique, mon bon Père,
Garde-nous simples et gais,
Pour annoncer à nos frères,
La vie et la vérité.

Dominique, nique, nique
S'en allait tout simplement,
Routier, pauvre et chantant
En tous chemins, en tous lieux,
Il ne parle que du Bon Dieu,
Il ne parle que du Bon Dieu.
_________________
Lambertine Verne, Baron de Mortiercrolles.
Deilayra
Après un bon délire avec Dami on s'est mis a pousser la Chansonnette


T'as voulu voir Vierzon
Et on a vu Vierzon
T'as voulu voir Vesoul
Et on a vu Vesoul
T'as voulu voir Honfleur
Et on a vu Honfleur
T'as voulu voir Saumur
Et on a vu Saumur
J'ai voulu voir Angers
On a revu Saumur
J'ai voulu voir ta soeur
Et on a vu ta mère
Comme toujours

T'as plus aimé Vierzon
On a quitté Vierzon
T'as plus aimé Vesoul
On a quitté Vesoul
T'as plus aimé Honfleur
On a quitté Honfleur
T'as plus aimé Saumur
On a quitté Saumur
T'as voulu voir Angers
On a vu que ses faubourgs
T'as plus aimé ta mère
On a quitté ta soeur
Comme toujours

Mais je te le dis
Je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens
J'irai pas à Paris
D'ailleurs j'ai horreur
De tous les flonflons
De la valse musette
Et de l'accordéon

T'as voulu voir Paris
Et on a vu Paris
T'as voulu voir Dutronc
Et on a vu Dutronc
J'ai voulu voir ta soeur
J'ai vu le Mont Valérien
T'as voulu voir Hortense
Elle était dans le Cantal
Je voulais voir Byzance
Et on a vu Pigalle
A la gare St-Lazare
J'ai vu les fleurs du mal
Par hasard

T'as plus aimé Paris
On a quitté Paris
T'as plus aimé Dutronc
On a quitté Dutronc
Maintenant je confonds ta soeur
Et le Mont Valérien
De ce que je sais d'Hortense
J'irai plus dans le Cantal
Et tant pis pour Byzance
Puisque que j'ai vu Pigalle
Et la gare St-Lazare
C'est cher et ça fait mal
Au hasard

Mais je te le redis chauffe Marcel chauffe
Je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens
Le voyage est fini
D'ailleurs j'ai horreur
De tous les flonflons
De la valse musette
Et de l'accordéon chauffe

T'as voulu voir Vierzon
Et on a vu Vierzon
T'as voulu voir Vesoul
Et on a vu Vesoul
T'as voulu voir Honfleur
Et on a vu Honfleur
T'as voulu voir Saumur
Et on a vu Saumur
J'ai voulu voir Angers
On a revu Saumur
J'ai voulu voir ta soeur
Et on a vu ta mère
Comme toujours

T'as plus aimé Vierzon
On a quitté Vierzon chauffe chauffe chauffe
T'as plus aimé Vesoul
On a quitté Vesoul
T'as plus aimé Honfleur
On a quitté Honfleur
T'as plus aimé Saumur
On a quitté Saumur
T'as voulu voir Angers
On a vu que ses faubourgs
T'as plus aimé ta mère
On a quitté ta soeur
Comme toujours chauffez les gares

Mais je te le re redis
Je n'irai pas plus loin
Mais je te préviens
J'irai pas à Paris
D'ailleurs j'ai horreur
De tous les flonflons
De la valse musette
Et de l'accordéon

T'as voulu voir Paris
Et on a vu Paris
T'as voulu voir Dutronc
Et on a vu Dutronc
J'ai voulu voir ta soeur
J'ai vu le Mont Valérien
T'as voulu voir Hortense
Elle était dans le Cantal
Je voulais voir Byzance
Et on a vu Pigalle
A la gare St-Lazare
J'ai vu les fleurs du mal
Par hasard

_________________
Fystion
GOODBYE MY LOVER !...[James Blunt ]

T'ai-je un jour si déçue... ou laissée tombé?
Dois-je me sentir coupable... ou dois-je te blâmer?
Car j'ai vu notre amour naître condamné....
Oui je t'ai vue être aveuglé et puis j'ai vu tu as changé.
Alors j'ai repris ma foi en la Vie,
Vaincu ton charme, et tes envies.
C'est peut-être fini, mais pour le moment
Eh oui, je serai là... si tu m'attends.
Tu m'as enlevé jusqu'à la faim,
Changé ma vie et mon destin.
L'amour n'est rien, je le sais bien!
Je t'ai suivi comme un bon chien...
Je t'ai embrassé, tenu la main,
Vécu tes rêves, défais ton lit.
Je t'ai connu, je t'ai senti.
De toi, mon cœur, j'étais épris!

Cette fois, c'est fini
Cette fois, c'est fini
Tu fûs bien le seul
Tu fûs bien le seul que j'ai aimé.

Je suis une rêveuse, même éveillée.
Tu ne m'as pas tué, seulement blessé...
En repartant, ne m'oublie pas.
Repense à nous, à nos combats.
J'ai vu tes larmes et ton sourire
Je t'ai admiré et vu dormir...
Je serai la femme de ton avenir
Je vivrai ma vie à tes côtés.
Oublies tes peurs et mes erreurs
Nous sommes tombés, c'est du passé
Eh oui, je t'aime et je t'assure,
Sans toi, bébé, la vie est dure.

Cette fois, c'est fini
Cette fois, c'est fini
Tu fûs bien le seul
Tu fûs bien le seul que j'ai aimé.

Et je tiens toujours ta main dans la mienne.
Dans la mienne quand je suis endormi.
Et je soutiendrai mon âme à temps,
Quand je me mets à genoux à tes pieds.

Cette fois, c'est fini
Cette fois, c'est fini
Tu fûs bien le seul
Tu fûs bien le seul que j'ai aimé.

Je suis si désertée, si tu savais!
Je suis, je suis, si désertée
Je suis si désertée, si tu savais!
Je suis, je suis, si désertée...
--Les_loups
Les loups sous la pleine lune débarquaient dans les rues assombri par la nuit..

Quand tout l'monde dort tranquille
Dans les banlieues-dortoir
C'est l'heure où les loups descendent sur la ville
Qui c'est qui viole les filles
Le soir dans les forêts
Qui met l'feu aux maisons
C'est toujours les loups
Alors c'est la panique sur les boulevards
Quand on arrive en ville...

Quand on arrive en ville
Tout l'monde change de trottoir
On a pas l'air virils
Mais on fait peur à voir
Des gars qui se maquillent
Ça fait rire les passants
Mais quand ils voient du sang
Sur nos lames de rasoir
Ça fait comme un éclair dans le brouillard
Quand on arrive en ville...

Nous tout c'qu'on veut c'est être heureux
Etre heureux avant être vieux
On n'a pas l'temps d'attendre d'avoir trente ans
Nous tout c'qu'on veut c'est être heureux
Etre heureux avant être vieux
On prend tout c'qu'on veux mais en attendant

Quand on arrive en ville
On arrive de nulle part
On vit sans domicile
On dort dans les hangars
Le jour on est tranquille
On passe incognito
Le soir on change de peau
Et on frappe au hasard
Alors préparez vous pour la bagarre
Quand on arrive en ville...

Quand la ville souterraine
Est plongée dans le noir
Les gens qui s'y promènent ressortent sur des brancards

On agit sans motif
Ça vous paraît bizarre
C'est p't être qu'on est débile
C'est p't être par désespoir
Du moins c'est ce que disent les journaux du soir
Quand on arrive en ville

Nous tout ce qu'on veut, c'est être heureux
Etre heureux avant d'être vieux
On a pas le temps d'attendre d'avoir trente ans
Nous tout ce qu'on veut, c'est être heureux
Etre heureux avant d'être vieux
Nous on prend tout ce qu'on peut en attendant

Quand viendra l'an 1500 on aura 40 ans
Si on vit pas maintenant, demain il sera trop tard
Qu'est-ce qu'on va faire ce soir
On va peut-être tout casser
Si vous allez danser ne rentrez pas trop tard
De peur, qu'on égratigne vos basards
Préparez vous pour la bagarre
C'est la panique sur les boulevards
Quand on arrive en ville
Ricks
Ricks se baladait dans les ruelles d'Angers, allant vers la taverne en espérant y voir Sadnezz, Isatan, Laé ou d'autres amis. Il avait pris une sacrée cuite hier soir, et il s'était retrouvé dans des positions pour le moins scabreuses. Les souvenirs remontaient à son esprit et il se rappela alors tous ses souvenirs les plus rocambolesques qui lui étaient arrivés dans sa vie, certes courte mais bien remplie.
C'est alors que la chanson de Jacky lui revenait en tête, celle qu'on se rappelle quand on oublie d'être nostalgique et qu'on veut croquer encore la vie à pleines dents.



Même si un jour à Knocke-le-Zoute
Je deviens comme je le redoute
Chanteur pour femmes finissantes
Même si je leur chante "Mi Corazon"
Avec la voix bandonéante
D'un Argentin de Carcassonne
Même si on m'appelle Antonio
Que je brûle mes derniers feux
En échange de quelques cadeaux
"Madame je fais ce que je peux"
Même si je me saoule à l'hydromel
Pour mieux parler de virilité
A des mémères décorées
Comme des arbres de Noël

Je sais que dans ma saoulographie
Chaque nuit pour des éléphants roses
Je chanterai la chanson morose
Celle du temps où je m'appelais Jacky
Être une heure une heure seulement
Être une heure une heure quelquefois
Être une heure rien qu'une heure durant
Beau beau beau et con à la fois


Entonnant le refrain à pleine voix, Ricks se mettait à danser avec les passantes andégaves mi amusées, mi surprises. Puis il reprenait sa route, continuant de chantonner :


Même si un jour à Macao
Je deviens gouverneur de tripot
Cerclé de femmes languissantes
Même si lassé d'être chanteur
J'y sois devenu maître chanteur
Et que ce soit les autres qui chantent
Même si on m'appelle le beau Serge
Que je vende des bateaux d'opium
Du whisky de Clermont-Ferrand
De vrais censures de fausses vierges
Que j'aie une banque à chaque doigt
Et un doigt dans chaque pays
Et que chaque pays soit à moi
Je sais quand même que chaque nuit

Tout seul au fond de ma fumerie
Pour un public de vieux Chinois
Je rechanterai ma chanson à moi
Celle du temps où je m'appelais Jacky
Être une heure une heure seulement
Être une heure une heure quelquefois
Être une heure rien qu'une heure durant
Beau beau beau et con à la fois


Il arrivait près d'Angers la belle et ouvrit la porte à toute volée tout en terminant sa chanson, sans interrompre les conversations, et adressant un clin d'œil à Sadnezz qui était là. Il accentuait les mimiques de Brel pour rendre plus comique sa prestation :

Même si un jour au paradis
Je deviens comme j'en serais surpris
Chanteur pour femmes à ailes blanches
Même si je leur chante alléluia
En regrettant le temps d'en bas
Où c'est pas tous les jours dimanche
Même si on m'appelle Dieu le Père
Celui qui est dans l'annuaire
Entre Dieulefit et Dieu vous garde
Même si je me laisse pousser la barbe
Même si toujours trop bonne pomme
Je me crève le coeur et le pur esprit
A vouloir consoler les hommes
Je sais quand même que chaque nuit

J'entendrai dans mon paradis
Les anges les saints et Lucifer
Me chanter la chanson de naguère
Celle du temps où je m'appelais Jacky.
Être une heure une heure seulement
Être une heure une heure quelquefois
Être une heure rien qu'une heure durant
Beau beau beau et con à la fois


http://www.youtube.com/watch?v=mDvf8PqP8ps

Recevant les applaudissements d'un public conquis (y a pas de mal à se faire plaisir ) il vint s'asseoir à la table de Sadnezz et Isatan et commanda un verre de lait, on était encore le matin ... Il chuchota à l'oreille de sa douce
'Tu m'en veux encore pour hier soir ?'. Vu son sourire, ça semblait oublié.
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Felina
Une Féline, assise sur les rives de la Loire, les yeux dans le vague qui chantonne un air mi triste-mi joyeux. Non pas qu'elle s'appitoye sur son sort, loin de là, c'est pas son genre à la sauvageonne, non mais elle fredonne ces mots, parce qu'ils ont envie de sortir.

La p'tite masure en bois qu'l'conseiller m'a cédée,
Ah ouais, je l'ai bien méritée
Naitre en plein orage sur une paillasse crottée
Ah ouais je l'ai bien méritée
Les coups d'mon paternel, et même pas le droit d'pleurer
Ah ouais je l'ai bien méritée
Personne à aller voir quand j'm'faisais violenter
Ah ouais je l'ai bien méritée
La douleur de l'enfance, l'amour qu'on m'a pas donnée

Bah ouais c'est vrai j'y avais pas pensé
Bah oui, pardi, on me l'a toujours dit
Bon sang, c'est sur, c'est la loi de la nature
C’est l'évidence, t'avais qu'à naitre ailleurs !

Et tans pis pour ta gueule si t'née comme une hécatombe
Bah ouais tu l'as bien mérité
T'avais qu'à tomber du bon côté de ce monde
Bah ouais tu l'as bien mérité
Si la terre est aride y'a qu'à trouver d'la flotte
Bah ouais
Un peu de nerf ma fille pour la remplir ta hotte,
Bah ouais
On prend pas un bateau si on n'sait pas nager
Bah non
On n'a que ce qu'on mérite, alors t'as mérité


Bah ouais c'est vrai j'y avais pas pensé
Bah oui, pardi, on me l'a toujours dit

Bon sang, c'est sur, c'est la loi de la nature
C'est l'évidence, t'avais qu'à naitre ailleurs !
C'est l'évidence, t'avais qu'à naitre ailleurs !
Bah ouais j'y avais pas pensé
Bah tiens c'est bien donnons nous les moyens
C’est l'évidence, t'avais qu'à naitre ailleurs !
C’est l'évidence, t'avais qu'à naitre ailleurs

_________________

Ceux qui jouent avec des félins doivent s'attendre à être griffés.
--Samoussa
Un petit air qui lui venait à l'esprit en pensant à lui

Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à ma main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces

Je te promets la clé des secrets de mon âme
Je te promets ma vie de mes rires à mes larmes
Je te promets le feu à la place des armes
Plus jamais des adieux rien que des au-revoirs

J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
J'ai tant besoin d'y croire encore

Je te promets des jours tout bleus comme tes veines
Je te promets des nuits rouges comme tes rêves
Des heures incandescentes et des minutes blanches
Des secondes insouciantes au rythme de tes hanches

Je te promets mes bras pour porter tes angoisses
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir
J'te promets d'être heureux si tu n'as plus d'espoir

J'y crois comme à la terre, j'y crois comme au soleil
J'y crois comme un enfant, comme on peut croire au ciel
J'y crois comme à ta peau, à tes bras qui me serrent
J'te promets une histoire différente des autres
Si tu m'aides à y croire encore

Et même si c'est pas vrai, si on te l'a trop fait
Si les mots sont usés, comme écris à la craie
On fait bien des grands feu en frottant des cailloux
Peut-être avec le temps à la force d'y croire
On peut juste essayer pour voir


Je te promets le sel au baiser de ma bouche
Je te promets le miel à me main qui te touche
Je te promets le ciel au dessus de ta couche
Des fleurs et des dentelles pour que tes nuits soient douces...
Julien91
Julien qui preparait son cheval pour le depart, poitevine et craonnaise fesant parti du voyage il serait bien entouré ce mit a chanter...

Si t'avais attendu, Si t'avais pris le temps
Si tu n'avais pas tout voulu, maintenant
Si tu m'avais gouté, Comme un fruit défendu,
Juste avec le coeur en secret
Comme quand rien n'est dû
On aurait gravé chaque jour
Au creux des lignes de nos mains,
Plus qu'hier encore et toujours
Et bien moins que demain

Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu près
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner

Si j'avais su te dire, que viendrait pas à pas,
Celui que je vais devenir, Et que tu ne vois pas
Si tu avais su lire, Au travers de l'enfant,
La promesse de nos désirs, Au delà de l'instant,
On aurait compté chaque jour, Sur les doigts liés de nos mains,
Dans l'espoir encore et toujours, De si beaux lendemains

Pardonne-moi
Le mal que j'ai pas fait
J'voulais pas, Que l'on s'aime à peu près
J'voulais juste me connaître mieux, m'épanouir à tes côtés
On ne donne rien quand on donne peu,
Je voulais tout donner

Pardonne-moi, Le mal que j'ai pas fait
Pardonne-moi... Pardonne-moi...

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Deilayra
Il y avait des jours plus sombre que d'autre, où les souvenir qui nous hante et parcourt le coeur ne s'efface pas malgrès le temps, où ceux qui manques laisse un vide qu'on arrive jamais a combler, deilayra regardait la vie défiler et la sienne s'était juste arrèter le jour où il l'avait laissée, elle regardait la bague qui pendait a son cou et se mis a fredonner:

Pour les jours silencieux, où j'écoute tomber la pluie,
Et les matins frileux qui me font regretter nos nuits.
Pour toutes ces différences qui créent l'indifférence, depuis,
Pour les heures passées à regarder tourner l'ennui.

Et les trésors cachés qu'on enterre à jamais sans vie,
Pour tous les souvenirs qui 's'ennuient à mourir, et puis,
Plus je pense à toi et plus encore je m'aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.
Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m'aperçois que tu manques à l'espace.

Pour cacher mes erreurs que je commets par cœur, et si,
Au profit du bonheur, j'échangeais la douleur sans bruit.
Pour ces sommeils qui dansent, comme des récompenses enfuies,
Quand le bleu des nuances devient gris de souffrance, aussi.

Pour les soleils violets que tu dissimulais meurtrie,
Et les rires empruntés qui te raccrochaient à la vie.
Plus je pense à toi et plus encore je m'aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.

Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m'aperçois que tu manques à l'espace.
Laisse-moi respirer, juste une heure encore,
Cette fleur fanée, puisque la mort a pris tout l'amour d'une vie.

Plus je pense à toi et plus encore je m'aperçois
Que le temps qui passe ne me guérira pas.
Rien ne te remplace, je manque de toi, je meurs de toi,
Et je m'aperçois, que tu manques à l'espace.

Laisse-moi respirer, puisque la mort a pris tout l'amour d'une vie,
Cette fleur fanée, même si la mort a pris tout l'amour d'une vie.
Pour les jours silencieux, où j'écoute tomber la pluie,
Et les matins de dieu je te regrette chaque nuit
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