Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, ..., 24, 25, 26   >   >>

[RP] Si on chantait ?...

Hylenä
Hyl' n'était pas vraiment dans son assiette depuis son arrivée à Angers...Et depuis plusieurs semaines, une chanson lui trottait souvent dans la tête...

Graver l'écorce
Jusqu'à saigner
Clouer des portes
S'emprisonner
Vivre des songes
À trop veiller
Prier des ombres
Et tant marcher

J'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi

Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Et sans amour
Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément

J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi

Y'a pas de haine
Y'a pas de rois
Ni dieu ni chaînes
Qu'on ne combat
Mais que faut-il ?
Quelle puissance ?
Quelle arme brise
L'indifférence ?

Oh, c'est pas juste
C'est mal écrit
Comme une injure
Plus qu'un mépris

Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi

Et pas toi

Pas toi...

_________________
Melior_fee
Et Melior, ce soir-là, s'en donnait à coeur joie en chantant

Et l'on serpente à la surface,
Négligeable bagatelle,
Candidate forcée à l'hécatombe perpétuelle,
Ouvrons la chasse aux mécréants qui n'ont jamais goûté l'opium,
Sensé faire de nous des hommes et des mères pour nos enfants,

Alors on brûle on brûle on brûle, on accumule autant d'émules,
De peuple en peuple, de ville en ville, pendant que les théocrates dealent.

Si Dieu existe ? Je n'en sais rien. Quel est le plus beau des jardins ?
Si par le plus grand des hasards tout ça existe, je ne veux pas le savoir.

Alors ne me fais pas croire que nous attend la bonne surprise,
J'ai autre chose à faire à voir dans cette vie de friandises,
Ne me laisse pas croire que nous attend la bonne surprise,
Et si jamais tout n'est pas noir, ce ne sera que la cerise.

Et l'on torture à la surface
Le corps, le sexe, la femme, la science
Et autres formes de connaissances trop dangereuses pour nos systèmes
Je refuse toute abstinence plutôt que de m'avouer vaincue
J'invoque ici l'immanence, la transcendance en temps voulu

Ignorants noyés sous la gnose
Prenez le ou non comme une fronde
Mais je ne ferais pas de vos névroses
Un modèle pour mon monde

Si Dieu existe, je n'en sais rien
Je ne péterais jamais plus haut
Que le Cul d'aucun de vos Saints
Si Dieu existe, rencard à l'échafaud

Alors ne me fais pas croire que nous attend la bonne surprise,
J'ai autre chose à faire à voir dans cette vie de friandises,
Comment pourrais-je boire ces paroles imbibées de bêtises ?
Pourquoi devrais-je donc m'en vouloir dans cette vie en terre soumise ?

N'attendons pas plus tard qu'aujourd'hui pour rafler la mise
Et si enfin tout n'est pas noir, ce ne sera que la cerise.
Ce ne sera que la cerise
Ce ne sera que la cerise
_________________
Letiti
Letiti avait une affreuse envie de chanter son bonheur retrouvé. Mais vu que le chant était justement la source du problème, il n'arrivait à se résoudre à pousser la chansonnette. Y avait comme un blocage. Il aurait aimé hurler sa joie, son amour, monter sa reconnaissance aussi envers ses pièces.
La danse et le rythme étrange que la duchesse avait suivie en taverne lui revint en esprit.
Pour quoi pas se dit-il. Après tout tant que rien ne sort.

C'est armé d'un baton fixé à sa chaussure et grâce à des éléments épars qu'il se lance près des berges saumuroises dans la musique


Ababe tou tou di tip
tip tibou


tape du pied, souffle, siffle

Le déhanché arrive alors qu'il se laisse entrainé
Petit mouvement d'épaule enchainé au niveau de la tête, ca y est il est parti.
Les jambes entrent en action, le pied suis toujours le rythme.

Ohhh oubidou
boub didou
awa dou bi la dou houhouuu

Ab teu doubidouba..

il saute maintenant en tous sens, les bras suivant des trajectiore invraisemblables. Il semble possédé.

...

La danse se termine, la musique quitte son corps.

Mmm se dit-il. P'tet qui faut que j'oublie ca aussi. Pourvu que personne ne m'ait vu.
_________________
Fitzounette
Toujours assise devant le bureau Ducal, sa main tremblote. Elle pique du nez, le sommeil la gagne...
Mais déjà elle ronfle, un fin filet de bave embrassant sa joue potelée.

_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Laynee
Laynee se sentant bien seule sans sa damoiselle, qu'elle ne voit pas beaucoup ces derniers temps, brode auprès de la fenetre... Lorsqu'une melodie lui revient en tête. Sa nourrice anglaise la lui chantait souvent lorsqu'elle se sentait un peu perdue...

Three little birds, sat on my window.
And they told me I don't need to worry.
Summer came like cinnamon
So sweet,
Little girls double-dutch on the concrete.

Maybe sometimes, we've got it wrong, but it's alright
The more things seem to change, the more they stay the same
Oh, don't you hesitate.

Girl, put your records on, tell me your favourite song
You go ahead, let your hair down
Sapphire and faded jeans, I hope you get your dreams,
Just go ahead, let your hair down.

You're gonna find yourself somewhere, somehow.

Blue as the sky, sunburnt and lonely,
Sipping tea in the bar by the roadside,
(just relax, just relax)
Don't you let those other boys fool you,
Got to love that afro hair do.

Maybe sometimes, we feel afraid, but it's alright
The more you stay the same, the more they seem to change.
Don't you think it's strange?

Girl, put your records on, tell me your favourite song
You go ahead, let your hair down
Sapphire and faded jeans, I hope you get your dreams,
Just go ahead, let your hair down.

You're gonna find yourself somewhere, somehow.

'Twas more than I could take, pity for pity's sake
Some nights kept me awake, I thought that I was stronger
When you gonna realise, that you don't even have to try any longer?
Do what you want to.

Girl, put your records on, tell me your favourite song
You go ahead, let your hair down
Sapphire and faded jeans, I hope you get your dreams,
Just go ahead, let your hair down.

You're gonna find yourself somewhere, somehow.
Jandebohem
Elle avait eu les pires difficultés à quitter la grande place d’Angers à cause du cortège royal qui avait projeté ses ors et aussi de grandes gerbes de boue à la face des plus humbles, lui faisant comme une sorte de cordon sanitaire, debout dans les ornières et les bas côtés.
Le choquant contraste dans la proximité de ce luxe insolent et de la misère bouche bée lui évoqua une célèbre ritournelle


C’est peut être de Machaut, la petite lavandière
Aux membres tout rachots qu’on a croisé hier
Qui jamais le saura ? ses grandioses aubades
Sont perdues pour toujours dans l’ouie d’une daurade

C’est peut être Van Eyck le bouvier cul-terreux
Qui fait des mondes avec des nuages ténébreux
On le saura jamais car son bouseux daron
A pour lui des projets guère plus loin que Craon

C’est peut être Phidias, le jeune garnement
Qui sculpte des Pallas à l’ombre du couvent
Personne ne le saura, après quelques larcins
La justice lui aura fait couper les deux mains

C’est peut être un stratège, l’adolescent lépreux
Qui secoue sa crécelle sur le parvis dégueu
Jamais on le saura, ni Penthièvre, ni pair
Il rêvera ses plans dans son très court calvaire
_________________
Sa vie, sa légende
Fitzounette
Ca la bouffe, ça la dévore. Elle le veut, elle ne peut l'avoir. Si seulement il était Angevin, si seulement il n'était pas Louvelle.
Ca la consumme de l'intérieur, elle qui a pourtant le sentiment qu'ils sont si semblables. Alors pourquoi ? Et comme les fleurs, elle fâne.
Elle se souvient de la guerre, se souvient de la mort. Elle revoit la flamme dans les yeux d'Azurely, sa haine. Elle pleure.


Et si toi et moi, on était pareils
Un même combat pour vivre les mêmes émois
Un même père aimant la même mère
Un même peuple aimant le même roi.
Et est-ce qu'on laisse à nos descendants
La même haine, la même couleur du sang,
La même peur brûlant les mêmes âmes,
La même sueur brûlant les mêmes fronts,
La même mort glissant des mêmes monts,
Les mêmes drames à l'intérieur
Des mêmes femmes ?...

Pourries par la racine,
Les fleurs fanent sur la Terre promise.
Pourries par la racine, j'ai peur du monde
Pourries par la racine,
Les fleurs fanent sur la Terre promise.
Pourries par la racine, j'adore ce monde

La Terre tremble sous les pieds
D'un pauvre gosse dénudé,
Armé jusqu'à la mort, le seul sort de sa vie
Une souffrance de tout temps,
Avant l'âge de dix ans,
La raison n'a pas de nom,
C'est toujours mon enfant ;
Comme ce couple qu'on marie,
En plein coeur de l'été,
Qui se jure leur amour
Sous le regard de leur foi.
Un bonheur que l'on saigne,
Qui ne vivra que sans voix
La vérité me fait peur
Ils sont tous morts et c'est tout.

Pourries par la racine,
Les fleurs fanent sur la Terre promise.
Pourries par la racine, j'ai peur du monde
Pourries par la racine,
Les fleurs fanent sur la Terre promise.
Pourries par la racine, j'adore ce monde

J'suis rempli d'injustice, rempli de trahison,
Vidé par tout ce qu'on voit,
J'te jure que le temps donne raison,
J'te jure que tout va changer,
Que le destin je le tiens
Comme mon coeur dans les mains,
Et si les gens le croient plus,
Nous referons le Monde
Tous unis dans cette rue.
J'ai honte de tout ce qu'on vit
J'ai honte de tout ce que j'ai vu
Regarde le soleil pleure,
J'attends le jour meilleur...
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Chabinne
Je suis une feuille

Aurais-je imaginé que je me trouv'rais là
Une mine de stylo plantée sur ma peau ?
Hanhan
Les yeux de mon bourreau qui ne me quittent pas
Ma blancheur lui fait peur, je sais qu'il cherche ses mots
Hanhan

Je suis une feuille blanche, je ne demandais rien
Qu'à rester sur mon arbre et attendre la fin
Moi j'aimais le vent se perdant dans mes feuilles
Le murmure de la sève qui me donnait la vie
Moi j'aimais la hauteur que j'avais sur les choses
Je n'ai pas vu venir la lame qui m'a trahie

Si au moins je servais de papier officiel
Pour signer des traités et protéger les faibles
Hanhan
Ou être dans les mains d'un poète oublié
Qui me jett'rait ses vers comme on cherche un ami
Hanhan

J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Ou être dans les pages d'un livre d'histoire
Qui dit que le chemin est encore tellement long

Mais voilà que je sens que la plume me frôle
Et les lettres se forment comme l'encre tourbillonne
Hanhan
J'n'ai jamais vu plus lourd que le poids de ces mots
C'est la misère d'un homme que je sens sur mon dos
Hanhan

Il dit "Je veux finir d'avecques ma vie
Pardonne-moi mon amour mais je m'arrête ici
Ce n'est pas de ta faute si je baisse les bras
Mais j'ai perdu ma chance de gagner ici-bas"
Et moi c'était mon rôle de porter tous ces mots
Et les larmes d'une femme tomb'ront sur moi bientôt

J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Mais je tourne la page d'une triste histoire
Qui dit que le chemin n'était pas tellement long
Pas tellement long
Pas tellement long...
_________________
Clement_bourreau
tout le monde poussaient la chansonnette....clement ce dit alors, pourquoi pas moi? et c'est de sa grosse voix qu'il en fit de même

Demandez-moi de combattre le diable
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...

Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

Demandez-moi de réduire en poussière
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière
Et d'arrêter ce soir le cours du temps
Tout me paraît réalisable, et pourtant...

Quand je la regarde, moi l'homme loup au cour d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier

Quand je la regarde, moi l'homme loup au cour d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier


si fait il ce sentait tout chose! pas dans ses pompes le bourreau en ce moment! il y a comme un truc qui le travail on dirait....

_________________
Poupienup
Je pense à All007, mon fiancé, mon amour...et tant des chansons me viennent...surtout celle-ci :

http://fr.youtube.com/watch?v=DUcJWaC-2Co

La vie en rose

Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens

{Refrain:}
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon cœur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon cœur qui bat.

Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir

{Refrain:}

Des nuits d'amour à en mourir
Un grand bonheur qui prend sa place
Les ennuis, les chagrins s'effacent
Heureux, heureux pour mon plaisir

_________________

Andaine
Andaine était plutôt nostalgique ces derniers temps, elle n'arrêtait pas de fredonner cette chanson

(Diabolo menthe
Paroles et musique : Yves Simon)

Dans tes classeurs de lycée,
Y a tes rêves et tes secrets,
Tous ces mots que tu n' dis jamais,
Des mots d'amour et de tendresse,
Des mots de femme
Que tu caches et qu'on condamne,
Que tu caches, petite Anne...

Dans tes classeurs de lycée,
Y a du sang et y a des pleurs,
Les premières blessures de ton coeur,
Les premières blessures,
Les premières déchirures
Qui font des bleus à ton âme,
Qui font des bleus, petite Anne...

Dans les cafés du lycée,
Faut que tu bluffes que tu mentes
Autour des diabolos menthe
Quand tu racontes les nuits
Du dernier été,
De tous ces premiers amants
Que tu n'as eus qu'en rêvant...

Dans tes classeurs de lycée,
Y a tes rêves et tes secrets,
Tous ces mots que tu n' dis jamais,
Des mots d'amour et de tendresse,
Des mots de femme
Que tu caches et qu'on condamne,
Que tu caches, petite Anne...
_________________

Filleule de Kalimalice - Soeur en deuil
Fitzounette
Et à l'heure où beaucoup sont déjà couchés, après d'interminables palabres, et le sentiment que les choses n'avancent pas, et alors même qu'elle n'a pas eu le temps pour penser à sa propre vie (désolée pour tout les RP en attente...), nouveau pétage de plombs, pour évacuer la pression... Le Castel tremble... Elle a comme envie...

J'ai comme une envie de tourner le gaz
Comme envie de m'faire sauter les plombs
Comme envie de sang sur les murs
Comme envie d'accident d'voiture
J'ai comme envie d'n'importe quoi
Comme envie de crever ton chat
Comme envie d'tout casser chez toi
Comme envie d'expliquer comme ça
J'ai comme envie d'une fin torride
Comme on en voit qu'au cinéma
J'ai comme envie qu'ce soit terrible
Et qu'ça se passe juste en bas de chez toi
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Reese
Belle qui tiens ma vie

Belle qui tiens ma vie
Captive dans tes yeux
Qui m'as l'âme ravie
D'un souris gracieux
Viens tôt me secourir
Ou me faudra mourir.

Pourquoi fuis-tu mignarde
Si je suis près de toi
Quand tes yeux je regarde
Je me perds dedans moi
Car tes perfections
Changent mes actions.

Tes beautés et ta grâce
Et tes divins propos
Ont échauffé la glace
Qui me gelait les os
Et ont rempli mon cœur
D'une amoureuse ardeur.

Mon âme voulait être
Libre de passions
Mais amour s'est fait maître
De mes affections
Et a mis sous sa loi
Et mon cœur et ma foi.

Approche donc ma belle
Approche-toi mon bien
Ne me sois plus rebelle
Puisque mon cœur est tien
Pour mon mal apaiser
Donne-moi un baiser.

Je meurs mon angelette
Je meurs en te baisant
Ta bouche tant doucette
Va mon bien ravissant
A ce coup mes esprits
Sont tous d'amour épris.

Plutôt on verra l'onde
Contre mont reculer
Et plutôt l'œil du monde
Cessera de brûler
Que l'amour qui m'époint
Décroisse d'un seul point.

_________________
Poupienup
Chanson que j'aimais entendre avec mes soeurs et ma mère, à Toulon dans le Comté de Provence d'où je viens...
Que de souvenirs en m'en souvenant et en la fredonnant !
Jours de mon printemps.
http://fr.youtube.com/watch?v=ONEuZ9T-TkM

_________________

Fitzounette
Depuis cet instant de grâce, elle n'est plus la même, et parfois même alors qu'elle se sent épuisée, et en proie à des pensées bien noires, elle pense à lui...
Il est son tout, il est... son autre...


Ame ou sœur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue

Tu ne parles qu'une langue aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini

Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble

Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit

Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini

Et si l'un de nous deux tombe...
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, ..., 24, 25, 26   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)