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[RP] Si on chantait ?...

Hylenä
Et voila, la blondine était en route...et à sa grande surprise, il avait accepté de l'accompagner...ces retrouvailles lui semblaient bizarres mais agréables à la fois... et elle ne put s'empêcher de repenser à leur passé ensemble, leurs tendres moments...La belle se laissait aller à un instant plein de nostalgie.

Citation:
On oublie les adresses
Comme les gens qui nous blessent
On oublie sans cesse
Les jours d'anniversaires et nos clefs,les repères, on les perd
On oubliera les chaines de nos vies qui se trainent
On oublie quand même
Mais il est une chose à laquelle nous resterons fidèles

Les yeux,la voix,les mains,les mots d'amour ca reste là
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour ca reste là
C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ca ne s'oublie pas
Ne s'oublie pas, ca
On oublie pas

J'oublierai ce mois d'aout où j'ai du faire la route sans toi
Sans doute
J'oublierai ma defaite et le reve qui s'arrete
J'oublierai peut etre
Mais j'y pense encore quelques fois et ca ne s'explique pas
S'explique pas

Tes yeux,ta voix,tes mains sur moi toujours ca reste là
Le jour et l'heure,ta peau,l'odeur,l'amour ca reste là
C'est fort encore
C'est mort d'accord
Mais ca ne s'oublie pas
Ne s'oublie pas, ca
Je n'oublie pas

Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour ca reste là
Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublie pas

Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour
Ca reste là
On oublie pas
Ca s'oublie pas

Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublie pas
Ca s'oublie pas

Les yeux,la voix,tes mains sur moi,les mots d'amour
Ca reste là
On oublie pas
Je t'oublie pas

Le jour et l'heure,la peau,l'odeur,l'amour c'est là
On oublie pas
Je ne t'oublierai jamais

_________________
Maleus
L'borgne fredonne pérché sur l'toit d'une batisse...


"La liberté se paye d'un linceul de regrets, mais ai-je vraiment eu tort. Tous les chemins ne mènent-ils pas à la mort.
Qui n'échangerait pas cent ans d'ennui contre trente-cinq ans de vie.
J'ai voulu voler, pas voulu marcher, voulu réchauffer ma couenne de papier.

J'ai joué avec le soleil qui m'a cramé les ailes,
Mais je l'ai vu de si près que peu de gens peuvent en dire autant.

J'ai vécu si fort que j'ai tué ce corps, fondu, désintégré en plein élan
Comme une statue éphémère en suspend dans l'air.

Les plus belles femmes du monde se sont penchées sur mon cas au moins cinq secondes.
J'ai été riche à millions de ces petits corps si mignons, mignons !

La liberté ou la mort, j'aurai eu les deux.
La liberté ou la mort, c'est mieux que de finir vieux

J'ai joué avec le soleil qui m'a cramé les ailes,
mais je l'ai vu de si près que peu de gens peuvent en dire autant.

La liberté ou la mort, j'aurai eu les deux.
La liberté ou la mort, c'est mieux que de finir vieux"

_________________
Erikdejosseliniere
Une chansonnette, en réponse à une fourmi et pour rassurer une blondinette...

Les feudataires ayant renoncé
À me transformer
À me déguiser
Pour lui ressembler
Les gens qui me voient passer dans la rue
Me traitent de Royco
Mais la Fitz' qui me voit
Sait qu'j'aime le spermato

Je suis un Pair
Je suis un Pair
Quoi de plus naturel en somme
Au lit, mon style correspond bien
À mon état civil
Je suis un Pair
Je suis un Pair
Comme on en voit chez les Feudataires
Un Duc, un vrai
Un bout'Poilu, toujours prêt, toujours gai

À ma baston
Moi, j'ai fait mander
Une foule de témoins
Toutes les filles du coin
Qui m' connaissaient bien
Quand le Poilu m'a provoqué
J'ai gueulé sur'ment
J'ai pris ma plus belle voix
Et j'ai déclaré

Je suis un Pair
Je suis un Pair
Quoi de plus naturel en somme
Au lit, mon style correspond bien
À mon état civil
Je suis un Pair
Je suis un Pair
Pas besoin de faire des impairs
Ni d'un expert pour constater
Qu'elles sont en nombre pair

En cinquante-sept il n'est pas question
Ce serait du vice
De marcher tout nu
Chez les berrichus
Mais c'est pour demain
Et un de ces jours
Quand je chanterai
Aussi nu qu'un tambour
Vous verrez bien que

Je suis un Pair
Je suis un Pair
Et de là-haut
Sur mon podium
J'éblouirai le tout-Paris
De mon anatomie
Je suis un Pair
Je suis un Pair
Quoi de plus naturel en somme
Au lit mon style
Correspond bien à mon état civil

Je suis un Pair...

_________________
Duc de Corbigny
Aimbaud
Les braies du Pair pré-père décla-mère(nt) :

Depuis la nuit des temps l'histoire des pères et des mères prospèrent.
Sans sommaire et sans faire d'impairs, j'énumère pêle-mêle, Pères Mères.

Il y a des pères détestables et des mères héroïques.
Il a des pères exemplaires et des merdiques.
Il y a les mères un peu père et les pères maman.
Il y a les pères intérimaires et les permanent.
Il y a les pères imaginaires et les pères fictions.
Et puis les pères qui coopèrent à la perfection.
Il y les pères sévères et les mercenaires.
Les mères qui interdisent et les permissions.
Y'a des pères nuls et des mères extra, or dix mères ne valent pas un père
Même si dix pères sans mère sont du-per (= perdu) c'est clair.
Y'a des pères et des beaux-pères comme des compères qui coopèrent,
Oubliant les commères et les langues de vipère.
Il y a les « re-mères » qui cherchent des repères,
Refusant les pépères amorphes.
Mais les pauvres se récupèrent les expert(= ex-pères) du divorce.
Il y a les pères outre-mère qui foutent les glandes à ma mère.
Les pères primaires, les perfides, les personnels qui ont le mal de mère.
Ceux qui laissent les mères vexent et les perplexes.

Moi mon père et ma mère sont carrément Hors-pairs
Et au milieu de ce récit
Je prends quelques secondes, je tempère,
Pour dire à mon père et à ma mère merci.

Il y une mère candide et un père aimable.
Il y une mère rigide et imperméable.
Il y a des pères absent et des mères usées.
Il y a des mères présentes et des perfusés.
Il y a des mères choyées et des mères aimées.
Il y a des pères fuyants et des périmés.
Il y a la mère intéressée et la mère ville.
L'argent du père en péril face à la mercantile.
Il y a les pensions alimentaires, les « pères crédit ».
Des pères du week end et des mercredi.
Y'a des pères hyper-fort et des mères qui positivent
Ou les coups de blues qui perforent les mères sans pères-pectives.
Mais si les persécutés, le père sait quitter,
Et si la mère pleure c'est l'enfant qui perd.
Mais si la mère tue l'amertume la magie s'éveille,
Et au final qu'elle soit jeune ou vielle la mère veille (= merveille).

Moi mon père et ma mère sont carrément Hors-pairs
Et au milieu de ce récit
Je prends quelques secondes, je tempère,
Pour dire à mon père et à ma mère merci.

Il y a les mères qui désespèrent à cause des amourettes.
Perpétuellement à la recherche d'un homme à perpette.
Il y a la mère célibataire persuadé de n'être personne
Et qui attends que dans ses chimères que derrière la porte un père sonne.
Il y a les mères soumises et les pères pulsions,
Il y a les mères battues et les percussions,
Il y a les mères en galère à cause des pervers, des perturbés.
Alors il y a la mère qui s'casse si elle est perspicace.
En revanche, si le père et la mère s'acoquine et vont se faire mettre si je peux me permettre.
La tension est à dix milles ampers.
Car quand le père est en mère et que la mère obtempère,
C'est la hausse du mercure car le père percute et la mère permute.
Le père tend sa perche et la mère se rit de cette performance, de ce perforant impertinent.
Elles sont les péripéties du père dur face à l'effet mère (= l'éphémère).

Moi mon père et ma mère sont carrément Hors-pairs,
Et au milieu de ce récit
Je prends quelques secondes, je tempère,
Pour dire à mon père et à ma mère, merci.

_________________
Fitzounette
Les montagnes russes, après le grand désespoir, elle prépare ses noces pour la Sainte Germaine... Noces... Nuit... La première pour la pucelle...
Appréhension et bouillonement... Elle chantonne :


I made it through the wilderness
Somehow I made it through
Didn't know how lost I was
Until I found you

I was beat incomplete
I'd been had, I was sad and blue
But you made me feel
Yeah, you made me feel
Shiny and new

Like a virgin
Touched for the very first time
Like a virgin
When your heart beats
Next to mine

Gonna give you all my love, boy
My fear is fading fast
Been saving it all for you
'Cause only love can last

You're so fine and you're mine
Make me strong, yeah you make me bold
Oh your love thawed out
Yeah, your love thawed out
What was scared and cold

Oooh, oooh, oooh

You're so fine and you're mine
I'll be yours 'till the end of time
'Cause you made me feel
Yeah, you made me feel
I've nothing to hide

Like a virgin, ooh, ooh
Like a virgin
Feels so good inside
When you hold me, and your heart beats, and you love me

Oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh, oh
Ooh, baby
Can't you hear my heart beat
For the very first time
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Labrinvilliers
Se promenant seule dans cette ville qu’elle connaissait si peu en somme, elle croisa par hasard un homme qui, elle ne sut pourquoi, lui fit venir en tête une chanson que son père lui chantait lorsqu’elle était enfant … Même si son coin de pays ne lui manquait pas vraiment … À dix minutes par la 4


Notre sentier près du ruisseau
Est déchiré par les labours
Si tu venais, dis-moi le jour
Je t'attendrai sous le bouleau

Les nids sont vides et décousus
Le vent du nord chasse les feuilles
Les alouettes ne volent plus
Ne dansent plus les écureuils
Même les pas de tes sabots
Sont agrandis en flaques d'eau

Notre sentier près du ruisseau
Est déchiré par les labours
Si tu venais, fixe le jour
Je guetterai sous le bouleau

J'ai réparé un nid d'oiseau
Je l'ai cousu de feuilles mortes
Mais si tu vois sur tous les clos
Les rendez-vous de noirs corbeaux
Vas-tu jeter aux flaques d'eau
Tes souvenirs et tes sabots ?

Tu peux pleurer près du ruisseau
Tu peux briser tout mon amour
Oublie l'été, oublie le jour
Oublie mon nom et le bouleau...
_________________
Leonvi
Ce soir, Léon s'était assis sur une pierre près de son moulin, regardant le ciel, il vit une étoile briller davantage que les autres.
Il se mit à penser à Mirna, ferma les yeux et réva.


Il imagina sa belle en friandise, lui, si gourmand, une friandise qu'il dégusterait très lentement. Une
friandise au chocolat



Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat
Croque moi la peau, s'il-te-plaìt
Croque moi les os, s'il le faut

C'est le temps des grandes métamorphoses

Au bout de mes tout petits seins
S'insinuent, pointues et dodues
Deux noisettes, crac! Tu les manges

C'est le temps des grandes métamorphoses

Au bout de mes lèvres entrouvertes
pousse un framboisier rouge argenté
Pourrais-tu m'embrasser pour me le couper...

Pétris-moi les hanches de baisers
Je deviens la femme chocolat
Laisse fondre mes hanches Nutella
Le sang qui coule en moi c'est du chocolat chaud...

Un jour je vais m'envoler
A travers le ciel à force de gonfler...

Et je baillerai des éclairs
Une comète plantée entre les dents
Mais sur terre, en attendant
Je me transformerai en la femme chocolat...

Taille-moi les hanches à la hache
J'ai trop mangé de chocolat...
Sadnezz
Sad etait au lac, assise dans sa barque elle rêvassait à sa Provence natale, elle se souvint d'une chanson que sa mère lui chantait juste avant de disparaitre... une chanson d'enfance qui fleurait la lavande de Marseille, les cigales et le savon dans l'eau de la Durance...

Ecoutez cette histoire,
Que l'on m'a racontée
Du fond de ma mémoire
Je vais vous la chanter.

Elle se passe en Provence
Au milieu des moutons
Dans le Sud de la France
Au pays des santons.

Quand il vint au domaine
Y avait un beau troupeau
Les étables étaient pleines
De brebis et d'agneaux

Marchant toujours en tête
Aux premières lueurs
Pour tirer sa charrette
Il mettait tout son coeur.

Au temps des transhumances
Il s'en allait heureux
Remontant la Durance
Honnête et courageux

Mais un jour de Marseille
Des messieurs sont venus
La ferme était bien vieille
Alors on l'a vendue.

Il resta au village
Tout le monde l'aimait bien
Vaillant malgré son âge
Et malgré son chagrin

Image d'Evangile
Vivant d'humilité
Il se rendait utile
Auprès du cantonnier.

Cette vie honorable
Un soir s'est terminée
Dans le fond d'une étable
Tout seul il s'est couché

Pauvre bête de somme
Il a fermé les yeux
Abandonné des hommes
Il est mort sans adieu.

Cette chanson sans gloire
Vous racontait la vie
Vous racontait l'histoire
D'un petit âne gris.

_________________
Hylenä
Ce soir, en sortant de taverne, Hyl' se dit que sa naïveté la perdrait vraiment un jour... Ne sachant pas si elle devait en rire ou en pleurer, elle se mit à fredonner une chanson, en marchant non-chalamment vers les portes de Saumur, pour reprendre la route...

Citation:
J'suis conne
Mais pas toute la journée
J'suis conne
Mais j'essaye de me soigner
Les hommes
Me voient toujours comme une poupée
Ils regardent mon curriculum
Et ça les fait rigoler

Je ne crois pas au miracle
Et souvent j'ai la nausée
Alors je me fous des claques
Pour pouvoir me réveiller

J'suis conne
Du moins, c'est ce qu'il paraît
J'suis conne
Ça m'empêche pas d'exister
Un jour
Je sais que ça va passer
L'amour
Me fera tout oublier

Je ne crois pas au miracle
Et souvent j'ai la nausée
Alors je me fous des claques
Pour pouvoir me réveiller
Je ne crois pas au miracle
Et souvent j'ai la nausée
Alors je me fous des claques
Pour pouvoir me réveiller

Je ne crois pas au miracle
Et souvent j'ai la nausée
Alors, je fais le spectacle
Et ça m'aide à respirer.

_________________
Helena_di_malte
Pour mon tendre Calou voici ma declaration


Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Quand je suis seule et que je peux inventer
Que tu es là tout près de moi
Je peux m'imaginer tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Je ne pourrai jamais te dire tout ça
Je voudrais tant mais je n'oserai pas
J'aime mieux mettre dans ma chanson
Une déclaration, ma déclaration

Une déclaration, ma déclaration
Juste deux ou trois mots d'amour
Pour te parler de nous
Deux ou trois mots de tous les jours
C'est tout

Quand je suis seule et que je peux rêver
Je rêve que je suis dans tes bras
Je rêve que je te fais tout bas
Une déclaration, ma déclaration

Je veux des souvenirs avec toi,
Des images avec toi,
Des voyages avec toi
Je me sens bien quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

J'aime quand tu es triste
Et que tu ne dis rien
Je t'aime quand je te parle
Et que tu ne m'écoutes pas
Je me sens bien, quand tu es là
Une déclaration, ma déclaration

_________________
Pascal64
Pascal écoutait sa douce et tendre... il était très ému de ce petit cadeau, il lui vint une larme qui coula sur sa joue...

merci Lénou...

puis il la sera fort... pour la garder toujours auprès de lui.
_________________
Isabellelagrande
Elle n'avait personne à qui la dédier,mais elle s'assit sur une marche ,et ragardant les hautes tours du château ,une chanson de son enfance lui revint en tête.


Le prisonnier de la tour s'est tué ce matin
Grand-mère
Nous n'irons pas à la messe demain
Il s'est jeté de la tour en me tendant la main
Grand-mère
Il m'a semblé que j'avais du chagrin

Si le roi savait ça, Isabelle
Isabelle si le roi savait ça
A la robe de dentelle
Vous n'auriez plus jamais droit
Isabelle si le roi savait ça

Le prisonnier de la tour chaque soir m'attendait
Grand-mère
Nous n'irons plus à la messe, jamais
C'est un pêché que l'amour et le monde est mal fait
Grand-mère
On a tué mon amant que j'aimais

Si le roi savait ça, Isabelle
Isabelle, si le roi savait ça
A la robe de dentelle
Vous n'auriez plus jamais droit
Isabelle si le roi savait ça

Le prisonnier de la tour n'aura pas de linceul
Et rien rien qu'un trou noir où s'engouffrent les feuilles
Et moi j'irais chaque jour, pleurer sous les tilleuls
Et rien pas même le roi n'empêchera mon deuil

Si le roi savait ça, Isabelle
Je pourrais réclamer avec toi
Car il était une belle
Qui n'était pas pour pour un roi
Et la belle Isabelle, c'était toi

Le prisonnier de la tour s'est tué ce matin
grand-mère
Il m'a semblé que j'avais du chagrin
Il s'est jeté de la tour en, me tendant la main
Grand-mère
Nous n'irons pas à la messe demain
Kilia
Elle avait pris un baluchon, pas grand chose en fait. Monté sur son fidèle Savage qui l'avait suivi partout, increvable...
Elle n'avait pas dit au revoir, parce qu'a chaque fois cela l'empêchait de s'en aller.
Petite chanson en sortant de Saumur. Je pars !

La la la la la la la aie! aie! aie! aie! aie! aie!
La la la la la la aie! aie! aie! aie! aie!
La la la la la aie! aie! aie! aie!

Je pars avec la joie au cœur
Laissant ici tous mes soucis
Je pars vers le bonheur

Je pars bonsoir tous les amis
Voici l'été ensoleillé
Moi je pars vers la vie

Demain si rien ne m'arrête
Je vais me réveiller
Avec au fond de la tète
Des airs de chansons par millier
La la la la la

Je pars afin d'aller voir
Les tous petits villages
Qui cachent mon espoir

Je pars
Je pars vers d'autre pays
Que je n'ai jamais visité
A courir les prairies
Je pars vers une destinée
Qui peut bientôt me ramener
Mais je verrai

Je sens au fond de mon être
L'amour monter en moi
Là bas à chaque fenêtre
Quelqu'un me dira
Te voila la la la la la la

Je pars le cœur gonflé de joie
Car pour doubler ma chance
Je pars mais je pars avec toi.


Flatte son cheval.

_________________
[J'aime pas le nouveau forum!]
Nanane
Une longue balade a cheval dans les forets entourant Angers l'avait remise d'aplomb,elle avait eut des heures de solitude pour penser a lui,a eux,a leur avenir... En revenant dans la ville,elle le chercha partout avec l'envie folle de lui chanter une chanson qui lui inspirait des choses qu'elle avait envie de lui dire...


Comme la Terre sait qu'elle tourne autour du soleil
Et le bouton de rose sait éclore au premier mai
Juste comme la haine sais que l'amour la terrasse
Tu peux réconforter ton esprit en lui assurant
Que je t'aimerai toujours

Comme le moment présent ne peut révéler le mystère du lendemain
Mais chaque jour on vieillit au passage
Juste comme tout ce qui vient de naître est tendre
Tu sais que ce que je dis est vrai,
Que je t'aimerai toujours

Jusqu'à ce que l'arc en ciel brûle les étoiles au dessus du ciel
Toujours
Jusqu'à ce que les océans recouvrent toutes les plus hautes montagnes
Toujours
Jusqu'à ce que les dauphins volent et que les perroquets vivent dans la mer
Toujours
Jusqu'à ce que la vie dont on a rêvé devienne réalité

Sais-tu que le vrai amour ne demande rien
Non, non l'accepter est la seule chose à payer
Sais-tu que la vie a donné à l'amour une garantie
Jusqu'au dernier jour et pour toujours

Juste comme le temps sais s'écouler depuis le commencement
Et les saisons savent exactement quand changer
Juste comme la charité ne connaît pas la honte
Sais à travers toutes tes joies et tes peines
Que je t'aimerai toujours

Comme aujourd'hui je sais que je vis
Mais que demain pourrait faire de moi du passé
Mais ça je ne le craint pas
Je sais au fond de moi
Que je partirai avant mon amour
Car je t'aimerai toujours

Jusqu'à ce que le jour devienne la nuit et la nuit le jour
Toujours
Jusqu'à ce que les arbres et les mers se soulèvent et s'envolent
Toujours
Jusqu'au jour où huit par huit par huit feront quatre
Toujours
Jusqu'au jour où il n'y en aura pas qui suivent
Sais-tu que quelqu'un t'aime
Jusqu'au jour où la terre tournera dans l'autre sens
Toujours
Jusqu'à ce que la terre n'ait plus besoin du soleil
Je t'aimerai pour toujours
Jusqu'à ce que mère nature dise que son travail est fini
Toujours
Jusqu'au jour où tu seras moi et moi toi
Toujours
Jusqu'à ce que l'arc en ciel brûle les étoiles du ciel,
Jusqu'à ce que les océans recouvrent toutes les plus hautes montagnes
Toujours

Nous savons tous que des fois les haines et les problemes de la vie
Peuvent te faire souhaiter d'etre né ailleurs à une autre époque
Mais tu peux jouer ta vie quitte ou double
Dieu sait exactement où il veut que soit placé
Soit sûr de ce que tu fais, pas de ce qu'on te dit de faire
Que tu n'es pas en train d'aider a faire de la terre
Un endroit qu'on appelle parfois l'enfer
Change tes paroles en vérité
Et alors change cette vérité en amour
Et peut etre que les petits enfants de nos enfants
Ainsi que leur petits petits enfants diront
Que je t'aimerai jusqu'à ce que l'arc en ciel brûle les étoiles au dessus du ciel...

_________________
Leonvi
Léon et Mirna avait passé une soirée en tête à tête dans leur taverne. Mirna, fatiguée, commençait à s'endormir dans les bras de Léon. Il lui promis de lui chanter une berceuse une fois rentrés au moulin.
Il la pris dans ses bras, l'emmena au moulin, l'installa dans le lit.
Il se rappela d'une berceuse qui parlait de princesse et de chevalier. Il lui chanta cette berceuse, elle s'endormit, il veilla sur elle.


(http://www.youtube.com/watch?v=-nDI2l8lFeo)

Une chanson douce
Que me chantait ma maman,
En suçant mon pouce
J'écoutais en m'endormant.
Cette chanson douce,
Je veux la chanter pour toi
Car ta peau est douce
Comme la mousse des bois.

La petite biche est aux abois.
Dans le bois, se cache le loup,
Ouh, ouh, ouh ouh !
Mais le brave chevalier passa.
Il prit la biche dans ses bras.
La, la, la, la.

La petite biche,
Ce sera toi, si tu veux.
Le loup, on s'en fiche.
Contre lui, nous serons deux.
Une chanson douce
Que me chantait ma maman,
Une chanson douce
Pour tous les petits enfants.

O le joli conte que voilà,
La biche, en femme, se changea,
La, la, la, la
Et dans les bras du beau chevalier,
Belle princesse elle est restée,
A, tout, jamais

La jolie princesse
Avait tes jolis cheveux,
La même caresse
Se lit au fond de tes yeux.
Cette chanson douce
Je veux la chanter aussi,
Pour toi, ô ma douce,
Jusqu'à la fin de ma vie,
Jusqu'à la fin de ma vie.
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