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[RP] Si on chantait ?...

--Bluette
Répondre ou non?Que dire? Etait ce trop tôt???sans doute...La peur lui visse le ventre, trop de fois déçue, abandonnée...Une petite lumière au fond lui dit de donner les mots...et d'attendre...qui sait...si?

(http://fr.youtube.com/watch?v=bh4z3zs5Aw4)

Au bout du téléphone il y a votre voix
Et il y a les mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas: je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas: je veux, je ne peux pas

Je devrais vous parler
Je devrais arriver ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd,
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gènent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là, tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver

Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie s'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, oui cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'amène
Viens me retrouver

Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie s'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi

Mais si tu ...
Reese
Janvier

Janvier, à ma fenêtre, je regarde la rue où sont plantés les êtres, un rayon de soleil ne serait pas superflu.
Au balcon de mon deux-pièces je fume en hiver, en crachant de bons vieux glaires comme j'aurais craché le noir de ma nuit, comme j'aurais craché la haine ou l'amour, comme le fit ma mère en me crachant moi.

Janvier à ma fenêtre, à mes pieds se dégorge le monde. Je sais qu'en bas au coin quelque chose m'attend ou bien quelqu'un.
Les gens m'aiment parce que je suis triste, alors pourquoi ils veulent que je change. Et les gens m'aiment parce que je suis seul, et les gens m'aiment parce que j'ai mal et les gens m'aiment parce que je meurs à leur place en quelque sorte. Drôle d'histoire, j'y comprends rien...

Janvier à ma fenêtre, je tire le rideau, rien ne sera plus jamais beau. Les gens qui vivent autour de moi savent bien à quel point je t'aime.
Ils ne voient pas bouger mes lèvres mais ils savent qu'elles parlent de toi.
Les gens qui vivent autour de moi ne me demandent plus à quoi je pense, ils savent que je vis un monde de glace. Ils savent que leur sourire ne réchauffe que son porteur. Ils savent que jamais plus tu ne me tendras la main.
Ils voudraient bien que je t'oublie, que je les aime autant que tu me fais la gueule. Les gens qui m'aiment sont bien seuls.

Et moi je suis bien tout seul avec tous ces gens qui m'aiment, tous ces gens qui m'aiment...

_________________
--Bluette
Se sentant comme étourdie et heureuse, Bluette chantonna:

(http://www.dailymotion.com/video/x3nvae_stanislas-le-manege_music)

Un tour de manège
Autour de nos vies
Nos vies
Qui tournent en rond
Un tour de magie
Pour voir
Si le voyage
Vaut le coup

Un tour de manège
Autour de nous qui
Tournons autour de nous
Un tour de toupie
Pour voir
Si notre amour
Vaut le tour
voir si notre amour
Vaut le tour
Tourne, tourne, tourne, tourne

{Refrain}
Ce beau manège
Ce grand manège
Me met la tête
À l'envers
Me met la tête
À l'envers
la, la, la, la, la, la, la

Ce beau manège
Ce grand manège
Me met le cœur
En l'air
Me met le cœur
En l'air
la, la, la, la, la, la, la

Un tour de manège
Autour de nous qui
Prenons tous les détours
Un tour de tournis
Pour voir
Si le voyage
Vaut le coup

Un tour de manège
Autour de nos vies
Qui montent et qui descendent
Un tour de looping
Pour voir
Si notre amour
Vaut le tour
voir si notre amour
Vaut le tour
Tourne, tourne, tourne, tourne

{Refrain}

Ce beau manège
Ce grand manège
Me met la tête
À l'envers
Me met la tête
À l'envers
la, la, la, la, la, la, la

Ce beau manège
Ce grand manège
Me met le cœur
En l'air
Me met le cœur
En l'air
la, la, la, la, la, la, la
Rani85
Pensant à certaines choses , Rani se dit qu'il valait mieux en rire et en chanter...

Je me suis cuisinée à vous
Vous vous êtes servi de moi
Je m'étais préparée à vous
Comme on fait un bon petit plat


Aller goûtez-moi
Ne me dégoûtez pas de moi
Aller essayez-la
Ne me dégoûtez pas de vous
Aller

Je m'étais fait un bonheur
De vous cuisiner la tarte au coeur
C'était coulis de mon sang
C'était crème de ma peau
J'ai saupoudré mes os cassés
Pour ajouter du croustillant


Aller goûtez-moi
Ne me dégoûtez pas de moi
Aller essayez-la
Ne me dégoûtez pas de vous
Aller

Vous m'avez mangé un bout
Et puis vous m'avez recraché
Je sais je suis pimentée
C'est l'espagne ça vous fait l'pied
Vous m'avez craché dans le dos
Je vous entends rigoler

Aller aller aller... Aller goûtez-moi
Mariee_laig
Mariee se promenait en gambadant dans les rues de Saumur en se souvenant sa première rencontre
avec lui... Elle s'arrêta devant sa maison, ramassa Pantoufle au passage, laissa les enfants dans la maison
qu'elle barra et alla direction les berges de Saumur. La jeune femme commença à chantonner la chanson, chantant
plus aigu que nécessaire.
Ah! Petite Marie


Petite Marie, je parle de toi
Parce qu'avec ta petite voix
Tes petites manies, tu as versé sur ma vie
Des milliers de roses

Petite furie, je me bats pour toi
Pour que dans dix mille ans de ça
On se retrouve à l'abri, sous un ciel aussi joli
Que des milliers de roses

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D'un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Petite Marie, je t'attends transi
Sous une tuile de ton toit
Le vent de la nuit froide me renvoie la ballade
Que j'avais écrite pour toi

Petite furie, tu dis que la vie
C'est une bague à chaque doigt
Au soleil de Floride, moi mes poches sont vides
Et mes yeux pleurent de froid

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D'un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour

Dans la pénombre de ta rue,
Petite Marie, m'entends-tu?
Je n'attends plus que toi pour partir

Dans la pénombre de ta rue,
Petite Marie, m'entends-tu?
Je n'attends plus que toi pour partir...

Je viens du ciel et les étoiles entre elles
Ne parlent que de toi
D'un musicien qui fait jouer ses mains
Sur un morceau de bois
De leur amour plus bleu que le ciel autour


La tête pleine de beaux souvenirs, elle recommença encore la chanson, jusqu'à ce qu'elle soit complètement
gelée de la tête au pieds. Mariee éclata de rire et revint sur ses pas à sa maison, en gambadant toujours, Pantoufle sous le bras.

_________________
Melior_fee
Et voilà que Melior se prenait pour une fleur :


Dès les premières lueurs
Je sombre
Il me paraît bien loin l'été
Je ne l'ai pas oublié
Mais j'ai perdu la raison
Et le temps peut bien s'arrêter
Peut bien me confisquer
Toute notion des saisons
Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Je sombre
Je sens comme une odeur de lys
Mes muscles se raidissent
Et j'attends la floraison
Mais qu'a-t-il pu bien arriver
Entre septembre et mai
J'en ai oublié mon nom

Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Je sombre

Oh le temps a tourné je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse,
Pas plus qu'une autre fleur de saison

Il me paraît bien loin l'été
Mes feuilles desséchées
Ne font plus la connexion
Mais qu'a-t-il pu bien arriver
Entre septembre et mai
Je ne fais plus la distinction

Dès les premières lueurs d'octobre
En tout bien tout honneur
Je sombre

Oh le temps a tourné je compte les pousses
Des autres fleurs de saison
Je ne sortirai pas encore de la mousse,
Pas plus qu'une autre fleur de saison
_________________
Andaine
En route pour la joie.... L'homme pressé:

J'suis un mannequin glacé
Avec un teint de soleil
Ravalé, Homme pressé
Mes conneries proférées
Sont le destin du monde
Je n'ai pas le temps je file
Ma carrière est en jeu
Je suis l'homme médiatique
Je suis plus que politique
Je vais vite très vite
J'suis une comète humaine universelle

Je traverse le temps
Je suis une référence
Je suis omniprésent
Je deviens omniscient
J'ai envahi le monde
Que je ne connais pas
Peu importe j'en parle
Peu importe je sais
J'ai les hommes à mes pieds
Huit milliards potentiels
De crétins asservis
A part certains de mes amis
Du même monde que moi
Vous n'imaginez pas
Ce qu'ils sont gais

Qui veut de moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui veut entrer
Dans la toile de mon réseau

Militant quotidien
De l'inhumanité
Des profits immédiats
Des faveurs des médias
Moi je suis riche très riche
J' fais dans l'immobilier
Je sais faire des affaires
Y en a qui peuvent payer
J'connais le tout Paris
Et puis le reste aussi
Mes connaissances uniques
Et leurs femmes que je...
Fréquente évidemment

Les cordons de la bourse
Se relâchent pour moi
Il n'y a plus de secrets
Je suis le Roi des rois
Explosé l'audimat
Pulvérisée l'audience
Et qu'est-ce que vous croyez
C'est ma voie c'est ma chance
J'adore les émissions
A la télévision
Pas le temps d' regarder
Mais c'est moi qui les fais
On crache la nourriture
A ces yeux affamés
Vous voyez qu'ils demandent
Nous les savons avides
De notre pourriture
Mieux que d'la confiture
A des cochons

Qui veut de moi
Et des miettes de mon cerveau
Qui veut entrer
Dans la toile de mon réseau

Vous savez que je suis :
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
Je suis
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé

Je suis un militant au quotidien
De l'inhumanité
Et puis des profits immédiats
Et puis des faveurs des médias
Moi je suis riche très riche
J' fais dans l'immobilier
Je sais faire des affaires
Y en a qui peuvent payer
Je traverse le temps
Je suis devenu omniprésent
Je suis une super référence
Je peux toujours ram'ner ma science
Moi je vais vite très vite
Ma carrière est en jeu
Je suis l'homme médiatique
Moi je suis plus que politique

Car je suis un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
Un homme pressé
Je suis un homme pressé
Un homme pressé

Je suis un militant au quotidien
De l'inhumanité
Et puis des profits immédiats
Et puis des faveurs des médias
Moi je suis riche très riche
J' fais dans l'immobilier
Je sais faire des affaires
Y en a qui peuvent payer

Love Love Love
Dit-on en Amérique
Lioubov
Russie ex-soviétique
Amour
Aux quatre coins de France
_________________

Filleule de Kalimalice - Soeur en deuil
--Anaon
l'ayant entendu chantonner, Anaon se mit à fredonner à son tour


Tu me fais tourner la tête
Mon manège à moi, c'est toi
Je suis toujours à la fête
Quand tu me tiens dans tes bras
Je ferais le tour du monde
Ça ne tournerait pas plus que ça
La terre n'est pas assez ronde
Pour m'étourdir autant que toi...

Ah! Ce qu'on est bien tous les deux
Quand on est ensemble nous deux
Quelle vie on a tous les deux
Quand on s'aime comme nous deux
On pourrait changer de planète
Tant que j'ai mon cœur près du tien
J'entends les flons-flons de la fête
Et la terre n'y est pour rien
Ah oui! Parlons-en de la terre
Pour qui elle se prend la terre?
Ma parole, y a qu'elle sur terre!!
Y a qu'elle pour faire tant de mystères!
Mais pour nous y a pas d'problèmes
Car c'est pour la vie qu'on s'aime
Et si y avait pas de vie, même,
Nous on s'aimerait quand même
Car...

Tu me fais tourner la tête
Mon manège à moi, c'est toi
Je suis toujours à la fête
Quand tu me tiens dans tes bras
Je ferais le tour du monde
Ça ne tournerait pas plus que ça
La terre n'est pas assez ronde...
Mon manège à moi, c'est toi!
Mirna83
Mirna, installée à sa fenêtre, rêve, une chanson en tête. La nuit est là, vaste et silencieuse:

http://www.dailymotion.com/video/x2j9mk_veronique-sanson-pour-me-comprendre_music

Pour me comprendre,
Il faudrait savoir qui je suis.
Pour me comprendre,
Il faudrait connaître ma vie
Et pour l'apprendre
Devenir mon ami.
Pour me comprendre,
Il aurait fallu au moins ce soir
Pouvoir surprendre le chemin d'un de mes regards
Triste mais tendre, perdu dans le hasard.

Je l'ai connue toute petite
Dans les bras de sa grande maman.
Dommage, dommage.
J'aimais tellement son visage.

Pour me comprendre
Il faudrait savoir le décors
De mon enfance,
Le souffle de mon frère qui dort,
La résonance de mes premiers accords.
Pour me comprendre
Il faudrait connaître mes nuits.
Mes rêves d'amour.
Et puis mes longues insomnies.
Quand vient le jour,
La peur d'affronter la vie.

Il y a peut être quelque part
Un bonheur dont j'aurai eu ma part.
Dommage, dommage.
J'aimais tant certains paysages.

Pour me comprendre
Il faudrait la connaître mieux
Que je ne pourrai.
Il faudrait l'aimer plus que moi
Et je vous dirai
Que je n'y crois vraiment pas.
Pour me comprendre
Il faudrait avoir rencontrer
L'amour le vrai.
Vous comprenez le grand amour.
Et savoir qu'après
A quoi sert de vivre encore un jour.


Comme il fait froid, elle referme la fenêtre, souffle la bougie et va se coucher.
_________________
Fitzounette
La conversation de le veille. Un coup de tonerre, un éclair dans le ciel d'été... Il lui avoué, enfin, pourquoi... Pourquoi ce changement de comportement... Depuis qu'elle lui avait annoncé que son grand-père consentait à des épousailles... Il avait peur de s'engager. Et il avait brisé son coeur. Oui il avait des sentiments. Mais pour la môme au caractère entier, s'il l'aimait vraiment, il ne craindrait pas de faire d'elle une femme honorable. Sa femme.
Il avait les mots...


Il était vraiment plus âgé que moi
Je suis tout bêtement tombée dans ses bras
Par lui, j'ai découvert c'que j'connaissais pas
Il semblait sincère, je l'aimais pour ça
Ce qui m'a toujours dérangée, est que rarement je pouvais le capter
Mais dès qu'il me parlait, je la fermais

Il avait les mots, m'a rendue accroc
Je voyais déjà l'avenir dans ses bras
Il avait les mots, m'a rendue accroc
Je ne savais pas et je ne le connaissais pas
Il avait les mots

Je n'avais plus de vie. Je ne pensais qu'à lui
Même si j'ai cramé que souvent il mentait
Il se perdait dans ce qu'il m'racontait
Il a même juré, et il m'a trahie
Et je supportais, je pardonnais

Il avait les mots, m'a rendue accroc
Je voyais déjà l'avenir dans ses bras
Il avait les mots, m'a rendue accroc
Je ne savais pas et je ne le connaissais pas
Il avait les mots...
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
Reese
Dis moi...

Dis-moi que je crèverai seul comme un chien en haut d'une montagne qui plonge dans la mer, en plein vent. La narine frémissante et tous les sens en éveil pour le dernier show de la vie.
Dis-moi qu'un oiseau viendra me rassurer de son indifférence, tout va bien me dira-t-il, il est juste grand temps de pourrir.
Dis-moi que les feuilles viendront roussir et qu'avec elles le vent m'emportera sans qu'aucun boulet de la vie pour une fois ne puisse me retenir.

Alors il ne sera rien que je regrette sauf peut être cette vie entière que nous n'avons pas vécue, cette promesse non tenue.
Mais qu'importe, que le vent m'emporte, nourrir les vers et les cloportes, ce sera bien là de toute une vie le seul contrat bien rempli.

Je n'ai jamais vendu mon âme mais c'est mille fois que je l'ai offerte, en pure perte, en pur drame, en pâture aux femmes.

Mais de tout ce vin ne reste que le tanin vinaigre de plaies par trop ouvertes, au fond d'un grâal, puits sans fin où se dilue l'hier sans lendemain.

Dis moi que ça ne fait rien ce sera juste la preuve que ce n'était que ça qu'être humain. C'est peut-être ça qui est bien, c'est peut-être ça qui est bien...

_________________
--Duchnok



Heyyy, les donzelles, c'est moi que v'là !
Fringuant et pas rétif au labeur...

Se gratte négligemment sous les aisselles

J'cherchons une belle pouliche pour m'faire des p'tiots !

J'va vous dire ça en chanson


Je suis un missionaire de la drague, je l'avouuuueeee...
Le kiki au toutou en chausses à clous...
Chabinne
Le temps est froid, la ruelle empruntée rassemble gueux, débris, et odeur nauséabonde. Y a aussi une voix stridente qui se mêle, c'est celle de la brune en pleine rêverie.


Adieu la pluie, adieu la nuit
Je ne vis plus qu'en plein soleil
Fini l'hiver, c'était hier
Aujourd'hui le printemps s'éveille
Adieu le noir, le désespoir
Ma vie a changé de couleur
L'amour est là, à bout de bras
Il revient vivre dans mon cœur

Et toi la vie
Quand tu souris
Comment pourrais-je t'en vouloir ?
Tu m'as blessée
M'as fait pleurer
Mais c'est si bon de te revoir
Que je me jette dans tes bras

Regarde-moi
A chaque fois, et oui, à chaque fois j'y crois
Et j'y crois comme au premier jour
Sans un regret sur mon passé
Et même si tout finit demain
Ce soir j'ai envie de chanter

La, la, la...

Regarde-moi
A chaque fois, et oui, à chaque fois j'y crois
Et je me jette dans tes bras
Sans un regret sur mon passé
Et même si tout finit demain
Ce soir j'ai envie de chanter

Fini l'hiver
C'était hier
L'amour est là
A bout de bras
Ma vie recommence avec toi.
_________________
Lambertine
Lambertine se promenait dans les rues en chantonnant. Un boucher ne cessait d'hurler: "Abats, abats!" en montrant son étal. Lambertine continuait de marcher, entouré par la solitude.

Bon j'avoue, la référence est pourrie.

Chiquitita, tell me what's wrong
You're enchained by your own sorrow
In your eyes there is no hope for tomorrow
How I hate to see you like this
There is no way you can deny it
I can see that you're oh so sad, so quiet

Chiquitita, tell me the truth
I'm a shoulder you can cry on
Your best friend, I'm the one you must rely on
You were always sure of yourself
Now I see you've broken a feather
I hope we can patch it up together

Chiquitita, you and I know
How the heartaches come and they go and the scars they're leaving
You'll be dancing once again and the pain will end
You will have no time for grieving
Chiquitita, you and I cry
But the sun is still in the sky and shining above you
Let me hear you sing once more like you did before
Sing a new song, Chiquitita
Try once more like you did before
Sing a new song, Chiquitita

So the walls came tumbling down
And your love's a blown out candle
All is gone and it seems too hard to handle
Chiquitita, tell me the truth
There is no way you can deny it
I see that you're oh so sad, so quiet

Chiquitita, you and I know
How the heartaches come and they go and the scars they're leaving
You'll be dancing once again and the pain will end
You will have no time for grieving
Chiquitita, you and I cry
But the sun is still in the sky and shining above you
Let me hear you sing once more like you did before
Sing a new song, Chiquitita
Try once more like you did before
Sing a new song, Chiquitita
Try once more like you did before
Sing a new song, Chiquitita
_________________
Lambertine Verne, Baron de Mortiercrolles.
Rani85
Rani déambulait dans les rue angevines, et si on s'approchait on pouvait l'entendre fredonner...

Quand il est là devant mes yeux
Avec son âme qui crie au feu
J'ai l'âge que je veux J'ai l'âge que je veux
Quand il loin et qu'il me fait
Croire que l'amour est ainsi fait
J'ai l'âge que j'ai. J'ai l'âge que j'ai
Je devrais lui dire qu'à l'intérieur
Et sous ma peau j'ai tout un coeur
Et qu'à chaque fois face au malheur
J'ai l'âge qui pleure

Lui dire que chaque jour qui se lève
Malgré la nuit que ça m'enlève
Ma vie ne connait pas de trêve
J'ai l'âge qui rêve

Quand iI me dit qu'il est trop tôt
Pour qu'en en parle avec des mots
J'ai l'âge qu'il faut. J'ai l'âge qu'il faut
Quand il me jure que tout est vrai
Que seule la vérité le sait

J'ai l'âge qui me plaît. J'ai l'âge qui me plaît
Je devrais lui dire que ça me fait pas peur
Si plus d'une fois et plus d'un coeur
A me sentir si près du bonheur
J'ai l'âge qui pleure.

Lui dire qu'à chaque jour qui se lève
Malgré la nuit que ça m'enlève
Dans mon soleil comme dans ma peine
J'ai l'âge qui aime

Quand il est là devant mes yeux
Avec son âme qui crie au feu
J'ai l'âge que je veux J'ai l'âge que je veux
Quand il loin et qu'il me fait
Croire que l'amour est ainsi fait
J'ai l'âge que j'ai... J'ai l'âge que j'ai

_________________
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