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[RP] Si on chantait ?...

Andaine
Le nez au vent, son joli minois observant un troupeau de moutons, les yeux plein de malice, Andaine flânait en pensant à cette chanson. C'était sans doute mieux que de poser trop de questions...

J'aime bien les moutons.
Ce que je n'aime pas,
C'est de marcher au pas
Comme un petit soldat,
Et d'aller où ils vont.
Non, non, non.

J'aime bien les moutons.
C'est gentil. C'est tout blanc.
C'est très obéissant.
Ce qui est moins marrant,
Les moutons, on les tond.

Mais il est peut-être déjà trop tard
Pour abandonner le troupeau,
Un beau matin, sans m'en apercevoir,
J'aurai de la laine sur le dos,
Comme un mouton.

J'aime bien les moutons.
Ce que je n'aime pas,
C'est de marcher au pas
Comme un petit soldat,
Et d'aller où ils vont.
Non, non, non.

J'aime bien les moutons
Quand je suis le berger.
C'est gentil,
C'est mignon,
L'été, à Saint-Tropez,
Les moutons en jupon.

Mais il est peut-être déjà trop tard
Pour abandonner le troupeau,
Un beau matin, sans m'en apercevoir,
J'aurai de la laine sur le dos,
Comme un mouton.

J'aime bien les moutons,
Mais, malheureusement,
Parfois, quand ça leur prend,
Ils s'en vont en bêlant
Se jeter comme des fous
Dans la gueule des loups
Ou dans celles des lions.
Pauvres petits moutons...
Pauvres petits moutons...
_________________

Filleule de Kalimalice - Soeur en deuil
Poupienup
Mon amie Andaine !

J'adore cette dernière chanson, sur les moutons et je t'adore !
Nous la chanterons ensemble quand nous nous verrons !?

Big bisous.

http://www.youtube.com/watch?v=Vuf_LmAV1nk

pouPOUPIEdou (une brebis au milieu des moutons et des loups )

(hrp rencontré Carlos à la Cave...taverne Provençale...et big bisous nous nous sommes fait! )

_________________

--Bluette
Bluette avait le coeur en fête....

http://www.youtube.com/watch?v=aW4CSekoMmo

Comme je l'imagine il sourit d'un rien
Comme je l'imagine il pense bien
Comme je l'imagine il pourrait même
Etre celui qui sera l'homme que j'aime

Comme je l'imagine et comme toujours
Il va près des gens qui aiment l'amour
Comme je l'imagine il pourrait méme
Etre celui qui sera l'homme que j'aime

Comme je l'imagine il aime l'aurore
Les matins d'hiver et la brume qui dort
Les nuages rouges quand l'aube se lève
Et vient le moment où finit mon rêve
Où est-il ?
Peut-être dans le Sud
Dans les villes où le soleil vous brûle
Et je regarde vers le Nord
Et je regarde vers le Sud
Et tout disparaît avec mes certitudes

Comme je l'imagine il sourit d'un rien
Comme je l'imagine il pense bien
Comme je l'imagine ii pourrait même
Etre celui qui sera l'homme que j'aime

Comme je l'imagine il vient de loin
Comme je l'imagine c'est un musicien
Comme je l'imagine il pourrait même
Etre celui qui sera l'homme que j'aime

Comme je I'imagine s'il est malheureux
II sait qu'il se sent devenir vieux
Mais je sens le vent qui se soulève
Souffle dans la nuit emporte mon rêve
Où est-il ?
Peut-être dans le Sud
Dans les villes où le soleil vous brûle
Et je regarde vers le Nord
Et je regarde vers le Sud
Et tout disparaît avec mes certitudes

Comme je l'imagine il sourit d'un rien
Son destin va croiser mon chemin
Comme je l'imagine il pourrait même
Etre celui qui sera l'homme que j'aime

Comme je l'imagine il aime l'aurore
Les matin d'hiver et la brume qui dort
Mais je sens le vent qui se soulève
Emporte la nuit, emporte mes rêves
Andaine
Avoir le courage d'aller jusqu'au bout... Et quand les sentiments sont si difficiles à exprimer, et quand les mots restent au fond de soi. Il reste cette
musique, à écouter, si profonde.

_________________

Filleule de Kalimalice - Soeur en deuil
Fitzounette
Elle n'avait pas dormi, et c'est en pleine nuit qu'on vint la chercher. On l'avait préparé méticuleusement. On lui avait fait sa toilette, et on avait tressé ses longues boucles blondes. On l'avait habillé épaissement et chaudement, bandant sa poitrine menue pour qu'elle ne soit pas une entrave, effaçant ainsi le peu de formes féminines de l'enfante. Puis elle avait demandé à rester seule, dans la quiétude, dans un silence de mort, contrastant avec son agitation et son marasme intérieur. Et elle avait prié, longtemps. Enfin, on lui avait dit qu'il était temps... Temps d'affronter sa destinée...

[HRP] : Suite sur Forum 2, Lice St Antoine, Domaine Français.
_________________

Fitzounette de Dénéré Penthièvre, Damoiselle de la Croixille.
Dict "La petite Reyne de l'Anjou". Duduche de Chateau Gontier.
--Anaon
Depuis maintenant quelques semaines, Tout ce que faisait Anaon, il le faisait pour elle


Regarde dans mes yeux - tu verras
Ce que tu représentes pour moi
Cherche ton coeur - cherche ton âme
Et quand tu m'y trouveras tu ne chercheras plus
Ne me dis pas que ça ne vaut pas la peine d'essayer
Tu ne peux pas me dire que ça ne vaut pas la peine d'en mourir
Tu sais que c'est vrai
Tout ce que je fais - je le fais pour toi

Regarde dans mon coeur - tu trouveras
Qu'il n'y a rien à cacher ici
Prends-moi comme je suis - prends ma vie
Je te la donnerai toute entière - je me sacrifierais
Ne me dis pas que ça ne vaut pas la peine de se battre pour ça
Je n'y peux rien - il n'y a rien que je ne désire plus
Tu sais que c'est vrai
Tout ce que je fais - je le fais pour toi

Il n'y a pas d'amour - comme le tien
Et personne d'autre - ne pourrait m'en donner plus
Il n'y a que le néant - sauf quand tu es là
Tout le temps - tout au long du chemin

Ne me dis pas que ça ne vaut pas la peine d'essayer
Je n'y peux rien - il n'y a rien que je ne désire plus
Je me battrais pour toi - je mentirais pour toi
Je marcherais sur un fil pour toi - oui je mourrais pour toi

Tu sais que c'est vrai
Tout ce que je fais - je le fais pour toi
Chabinne
Bien mélancolique, bien vide, le regard sur la capitale, elle songe à son passé, son présent.
Déçue, furieuse, attendrie, ou était elle?
Décidait à y croire encore

D'ici rien ne part, rien de bouge
Arrêt sur écran vivant
Isolée, vaincue, sans doutes
Aliénée, pas même un battement
J'aimerai qu'on me ramène
Je ne reconnais plus les gens
Seule tout au fond de ma haine
La peine est mon dernier amant
Il faudrait que je me lève
Respire et marche vers l'avant
Bâtisse à nouveau la grève
Enterrée par mes sables mouvants
Et me souvenir de celle
Qui n'existe plus vraiment
Redevenir la rebelle
Et la bête vaincue par l'enfant

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

Et que l'espace où j'en crève
Devienne un autre néant
Quand le ciel dévoile soulève
En moi l'âme et l'émoi d'un géant
Me retourner sans un geste
Le passé m'en passer vraiment
Cracher sur tout ce qui blesse
Ramener le futur au présent

J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore

J'y crois encore
A tout jamais
Encore plus fort
Le silence a eu tort
J'y crois encore
_________________
Poupienup
Je pêche, seule, sur les berges du lac de Saumur.
Cette chanson et ses images, comme un rêve éveillé, ne veulent me quitter :

http://www.youtube.com/watch?v=eM8IMbWvBVs

J'aime les gens qui doutent
Les gens qui trop écoutent
Leur coeur se balancer
J'aime les gens qui disent
Et qui se contredisent
Et sans se dénoncer

J'aime les gens qui tremblent
Que parfois ils ne semblent
Capables de juger
J'aime les gens qui passent
Moitié dans leurs godasses
Et moitié à côté

J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons

J'aime ceux qui paniquent
Ceux qui sont pas logiques
Enfin, pas comme il faut,
Ceux qui, avec leurs chaînes,
Pour pas que ça nous gêne
Font un bruit de grelot

Ceux qui n'auront pas honte
De n'être au bout du compte
Que des ratés du coeur
Pour n'avoir pas su dire
"Délivrez-nous du pire
Et gardez le meilleur"

J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons

J'aime les gens qui n'osent
S'approprier les choses
Encore moins les gens
Ceux qui veulent bien n'être
Qu'une simple fenêtre
Pour les yeux des enfants

Ceux qui sans oriflamme,
Les daltoniens de l'âme,
Ignorent les couleurs
Ceux qui sont assez poires
Pour que jamais l'Histoire
Leur rende les honneurs

J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons

J'aime les gens qui doutent
Et voudraient qu'on leur foute
La paix de temps en temps
Et qu'on ne les malmène
Jamais quand ils promènent
Leurs automnes au printemps

Qu'on leur dise que l'âme
Fait de plus belles flammes
Que tous ces tristes culs
Et qu'on les remercie
Qu'on leur dise, on leur crie
"Merci d'avoir vécu

Merci pour la tendresse
Et tant pis pour vos fesses
Qui ont fait ce qu'elles ont pu".

_________________

Melior_fee
Décidément, il devait y avoir quelque chose dans l'air angevin ces derniers temps, et Melior chantait...


Non j'veux pas
Me lever
M'habiller
J' veux un mec
J' veux un mec
Oui c'est bête
M'allonger pour la vie
Ça m'embête
J' veux un mec
Non j'veux pas
Un gibier
Rigoler
J' veux un mec
J' veux un mec
Oui j'm'entête
Mais vos airs
Ca m'inquiète
J' veux un mec
J' veux un mec

Ton avis
J'en ai rien à foutre
Tes amis
J'en ai rien à foutre
Ton boulot et tes combats
Ton mal de dos, tes bas
Ta femme
J'en ai rien à foutre
Ton âme
J'en ai rien à foutre
Ton mire et tes horreurs
Ecoute-moi
Oui je vais pas m'calmer
Oui je vais continuer
Oublie les fleurs
J's'rai pas à l'heure
Attends-moi
Des illusions
J'en ai pas lourd
Mais si tu me fais bien l'amour
J' veux un mec
Pas des fleurs
Embrasse-moi ou je meurs

Non j'veux pas
Oublier
Travailler
J' veux un mec
J' veux un mec
Oui c'est bête
Bien faire
Ça m'inquiète
J' veux un mec
J' veux un mec
Non j'veux pas
Me calmer
Prendre un bain
J' veux un mec
J' veux un mec
Oui j'vais m'plaindre
Oui c'est bête
Oui ça craint
Viens le mec
Viens le mec

Ta maman qu'est partie
Ton papa qu'est parti
Ton ex qui te hante
Ton destrier qui te plante
Du beau temps
J'en ai rien à foutre
De la pluie
J'en ai rien à foutre
J' veux un mec
Pas du vent
Ecoute-moi
Non j'vais pas m'reprendre en main
Me calmer
Prendre un petit bain
Oui je vais rester dans mon coin
Regarde-moi
Ton château
J'en ai rien à foutre
Ton argent
Encore moins
Mais si tu crois pouvoir t'en foutre
Si t'es un mec
Rejoins-moi

J' veux un mec {x8}

Ouais, ouais, ouais, ouais, ouais

J' veux un mec
Pas des hommes qui m'assaillent
J' veux un mec
J' veux un mec
Pas trop bête
J' veux un mec
Qui me taille
Qui me tienne
Viens le mec

Nan j'veux pas
Me calmer
Prendre un bain
J' veux un mec
J' veux un mec
Mais si tu veux qu'j'arrête
Ainsi je t'inquiète
Toi qui veux me faire changer d'air
T'en peux plus
Tu veux me faire taire
Avec tes lèvres
Si t'en es un
Si t'es un mec
Embrasse-moi
Ton manteau
J'en ai rien à foutre
Ton chapeau
J'en ai rien à foutre
Tes vêtements
Tu peux te les foutre
Sur le bahut
Sur le bahut
Ou ailleurs
Enlève-les vite ou je meurs
Sur le bahut ou ailleurs
Viens

Des illusions
J'en ai pas lourd
Mais à quoi bon faire des discours
Si t'es un mec,
Si t'en es un
Embrasse-moi ou je meurs

J' veux un mec
_________________
Sadnezz
sadnezz, sa besace à la main et ses pensées en bandoulière, son esprit loin des troupes de saumur et le regard vers le village murmurait doucement:

Autour de moi les fous font la conversation
Les données du système moi, je n'y comprends rien

A la table des rois on a jeté les dés
Les peuples sous la croix et les femmes au combat

Demain nous verrons bien toujours pire je suppose
Au plus bas du tréfonds de la nature humaine

Naufragés dans la nuit direction la sortie

Nous tentons l' évasion comme on peut au milieu
Des mangas à la con, des crétins animés

L'infantilisation au service des pouvoirs
au gré des élections c'est la prostitution

C'est phylécastrope le Barbare qui gouverne l'étoile,
La faim sur les trottoirs de la Californie

Et la défection qu'on bouffe... au goût de paradis

On s'achète, on se vend
Au vent des hémisphères,
On se jette, on se prend
Contre un peu d'éphémère,
Sur l'étoile d'argent le cerveau ou la chair
Faudra choisir un camp L'obscur ou la lumière ,
L'obscur ou la lumière... solitaires , solidaires

A l'arrière des tavernes Au grés des verres de biere
Dans nos coeurs la beauté
Boit des coups la jeunesse
De dessous les pavés
Tu me passes le joint
Vont les grandes idées,
Dans le feu de l'ivresse
Il y a Martin et Lisa
Qui me disent "on y croit"
Dire qu'on avait des rêves...
Rappelle-toi.

_________________
Chabinne
La brune venait de sortir de taverne. Excédée et énervée.
Elle se mit à chantonner un air qui lui ressemblait étrangement bien, lui qui était si jaloux de tout


Ce soir je viens me glisser dans tes rêves
Dans cette mer que le désir soulève
Laisse moi faire de toi mon trésor
Comme Arpagon à genoux sur son or

Tes paupières de fièvre
Sont à moi, sont à moi
Tes frayeurs, tes rêves
Sont à moi, sont à moi, sont à moi

Jaloux
Oui jaloux
Jaloux et jaloux de tout

Quand tu t'en vas seule vers d'autres affaires
Je sais toujours où tu es sur la terre
Je gagne toujours au jeu d'colin maillard
Les yeux bandés méme quand il fait noir
Tes hanches qui m'enchaînent
Sont à moi, sont à moi
Tes yeux en colère
Sont à moi, sont à moi, sont à moi

Jaloux
Oui jaloux
Jaloux et jaloux de tout

Ne venez pas traîner sur mes falaises
Où mon amour se promène à son aise
Même si ce n'est que pour nous regarder
Un accident est si vite arrivé

Tes jours dans la lumière
Sont à moi, sont à moi
Tes nuits, leurs mystères
Sont à moi, sont à moi, sont à moi

Jaloux
Oui jaloux
Jaloux et jaloux de tout
Jaloux et jaloux de tout
_________________
Versatyl
Versatyl, de toute évidence ivre, passa dans les rues d'Angers en hurlant à toute voix sa révolte

[exlude : pas pu m'empêcher ]

Nous sommes les persécutés de tous les temps et de toutes les guerres
Toujours nous fumes exploités par les tyrans et leurs cerbères
Mais nous ne voulons plus fléchir sous le joug qui courba nos pères
Car nous voulons nous affranchir de ce qui cause nos misères

Église conseil duché magistrature état militarisme
Patrons et gouvernants débarrassons-nous du féodalisme
Pressant est notre appel donnons l'assaut au monde autoritaire
Et d'un cœur fraternel nous réaliserons l'idéal libertaire

Artisans ou bien paysans travailleurs de la terre ou de l'échoppe
Nous sommes dès nos jeunes ans réduits au labeur dont on écope
Des quatre coins du royaume c'est nous qui créons l'abondance
C'est nous tous qui produisons tout et nous vivons dans l'indigence

Église conseil duché magistrature état militarisme
Patrons et gouvernants débarrassons-nous du féodalisme
Pressant est notre appel donnons l'assaut au monde autoritaire
Et d'un cœur fraternel nous réaliserons l'idéal libertaire

L'duché nous écrase d'impôts il faut payer ses juges son prestige
Et si nous protestons trop haut, au nom de l'ordre on nous fustige
Les maîtres ont changé cent fois c'est le jeu de la démocratie
Quels que soit ceux qui font les lois c'est toujours la même supercherie

Église conseil duché magistrature état militarisme
Patrons et gouvernants débarrassons-nous du féodalisme
Pressant est notre appel donnons l'assaut au monde autoritaire
Et d'un cœur fraternel nous réaliserons l'idéal libertaire

Pour défendre les intérêts des flibustiers des coulisses du pouvoir
On nous ordonne d'être prêts à mourir pour défendre leur gloire
Nous ne possédons rien de rien nous avons l'horreur de la guerre
Voleurs défendez votre bien ce n'est pas à nous de le faire

Église conseil duché magistrature état militarisme
Patrons et gouvernants débarrassons-nous du féodalisme
Pressant est notre appel donnons l'assaut au monde autoritaire
Et d'un cœur fraternel nous réaliserons l'idéal libertaire
_________________
René-Adhémar "Versatyl" de Cartel-Louvelle

(-Prétendant au Trône de Provence-)
(-Poisson d'Argent sur Mer d'Azur-)

"Le vice c'est Versa"
--Anaon
Anaon tournait en rond dans son moulin. Ce soir, il n'avait de coeur à chanter, mais seulement à siffloter un petit air
rien d'autre n'a d'importance.
Poupienup
Depuis ce matin une chanson ne quitte pas l'esprit de Poupie, peut-être à cause du contraste qu'il y a entre ce qu'elle a vécu avant Lui, avant d'être chez lui et entourée de tant d'amis , et tous les malheurs qu'elle a connu avant...sa famille, son errance,la mort d'Euzephiel qu'elle n'oubliera jamais,puis la méchancetés, les trahisons, dont certaines récentes mais assez loin d'elle pour l'instant...et ces Alertes oranges qui se suivent à Saumur...comme une douleur lanscinante qui ne demande qu'à cesser...
Dans son bonheur elle à tout de même envie de pleurer, hantée par le passé...
et inquiète pour l'avenir qui pourrait y ressembler...

Oui, cela fait parti de moi tout se chagrin, cette TRISTESSE...et parfois ces émotions ressortent si fort que c'est comme si je le vivais encore...je le vis encore, à l'intèrieur.

Pour toujours, C' EST MOI !


http://www.youtube.com/watch?v=li2bz32SDBQ
_________________

Chabinne
L'était bourrée la brune, l'en voulait plus particulièrement à une demoiselle, alors d'coup, là voilà qui chanter du moins hurler dans les ruelles de la flèche, titubant un peu trop, et le flou s'emparant d'elle.

Amis, versez nous donc à boire,
Versez à boire et du bon vin
Tintin, tintin, tintaine et tintin,
Je m'en vais vous conter l'histoire
De Caroline la catin
Tintin, tintin, tintaine et tintin.
Son père était un machiniste
Au Théâtre de l'Odéon,
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Sa mère était une fleuriste
Qui vendait sa fleur en bouton
Tonton, tonton, tontaine et tonton.
Elle perdit son pucelage
Le jour d'sa première communion
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Avec un garçon de son âge
Derrière les fortifications
Tonton, tonton, tontaine et tonton
À quatorze ans, *censuré*
Elle fit son éducation
Tonton, tonton, tontaine et tonton
A dix huit ans, dans la débine
Elle s'engagea dans un boxon
Tonton, tonton, tontaine et tonton
À vingt quatre ans, sur ma parole
C'était une fière catin
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Elle avait foutu la vérole
Aux trois quarts du Quartier Latin
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Le marquis de la *censuré*
Lui fit bâtir une maison
Tonton, tonton, tontaine et tonton
A l'enseigne du morpion qui vole
Une belle enseigne pour un boxon
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Elle voulut aller à Rome
Pour recevoir l'absolution
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Le pape était fort bien à Rome
Mais il était dans un boxon
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Et s'adressant au grand vicaire,
Elle dit: "J'ai trop prêté mon *censuré*"
Tonton, tonton, tontaine et tonton
"Si tu l'as trop prêté ma chère,
A moi aussi prête le donc"
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l'absolution


Tonton, tonton, tontaine et tonton
Il attrapa la chaude pisse
Et trente six douzaines de morpions
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Elle finit cette tourmente
Entre les bras d'un marmiton
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Elle mourut *censuré*
Le *censuré* tendu jusqu'au menton
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Et quand on la mit dans la bière,
On vit pleurer tous ses morpions
Tonton, tonton, tontaine et tonton
Et quand on la mit dans la terre,
Ils entonnèrent cette chanson
Tonton, tonton, tontaine et tonton

Censuré par Cavacouper!...
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