Donatien_alphonse
Cest quelle est vachement confiante, peut-être même un peu trop, qui pourrait affirmer aisément que lesprit du tatoué ne vient pas subitement de retourner sa veste et que dans un élan dactions, il viendrait lui coller proprement et fermement son godet vide, juste entre ses deux yeux. Ses si beaux yeux quelle a soit dit en passant, mais ne surtout pas se laisser attendrir par ceux-ci.
Ce soir certes, léclat de sa lame ne brillera point, ce soir, le sang ne sera pas versé. Lors de leur prochaine rencontre en revanche, elle ne pourra pas en dire autant. Le regard se détache un court instant, le voici pensif, en proie à des images qui lui viennent à lesprit. Des images douloureuses mais auxquelles il trouve néanmoins un certain charme mais son attention est bien vite recentrée sur celle qui fait lobjet de toute son attention.
Si lui sait écrire ? Son nouveau sourire peut paraître frustré mais il nen est rien. Comme bien peu aux miracles, le bougre a quant à lui reçu une éducation, non pas digne de ce nom mais une éducation tout de même.
« Ne mfaites pas croire que vous êtes de ceux qui tirent des jugements bien trop hâtifs en se basant Sur un rôle joué. »
Un autre godet est rempli puis porté à ses lèvres, tout ceci, sans détaché son regard de la tablée. Ce même godet qui de nouveau est claqué sur le bois mais, à lenvers.
« Axelle, ce fut pour moi un réel plaisir de converser avec vous. »
Aurait-il écourté un peu cette soirée pourtant agréable en sa compagnie ? Aurait-il la gerbe ? Oui, ça commence et ce nest pas devant lennemi quil se videra. La boisson a parlé, sen est trop.
« Enlacez autant dhommes que possible, buvez, chantez et ripaillez. Après notre prochaine rencontre, je ne réponds plus de rien. »
Et le voici qui se redresse, lentement, il Tangue maladroitement mais se ressaisit bien assez vite, large sourire aux lèvres. Il la fixe, longuement, avant dexécuter une révérence parfaitement maladroite alors que sa main plonge dans sa poche pour en extraire lun des trois dés qui ont animé le début de leur petit tête à tête. Ce même dé posé sur la tablée, face à elle.
« Jvous laisse le reste de la prune et Vous aurez très bientôt de mes nouvelles. »
Pas un mot de plus, rien, plus un regard et déjà, il se détourne totalement pour faire face à la sortie des lieux vers laquelle il savance. Le chemin semble long et périlleux, cest qula prune, ça cogne sévère ! Courant dair frais et le voici déjà qui disparait à lextérieur. Ses pas, le mèneront en la Cour des miracles, où il retrouvera les siens dans la foulée.
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~ Donatien Alphonse François de Sade | Roi autoproclamé des pouilleux ~
Ce soir certes, léclat de sa lame ne brillera point, ce soir, le sang ne sera pas versé. Lors de leur prochaine rencontre en revanche, elle ne pourra pas en dire autant. Le regard se détache un court instant, le voici pensif, en proie à des images qui lui viennent à lesprit. Des images douloureuses mais auxquelles il trouve néanmoins un certain charme mais son attention est bien vite recentrée sur celle qui fait lobjet de toute son attention.
Si lui sait écrire ? Son nouveau sourire peut paraître frustré mais il nen est rien. Comme bien peu aux miracles, le bougre a quant à lui reçu une éducation, non pas digne de ce nom mais une éducation tout de même.
« Ne mfaites pas croire que vous êtes de ceux qui tirent des jugements bien trop hâtifs en se basant Sur un rôle joué. »
Un autre godet est rempli puis porté à ses lèvres, tout ceci, sans détaché son regard de la tablée. Ce même godet qui de nouveau est claqué sur le bois mais, à lenvers.
« Axelle, ce fut pour moi un réel plaisir de converser avec vous. »
Aurait-il écourté un peu cette soirée pourtant agréable en sa compagnie ? Aurait-il la gerbe ? Oui, ça commence et ce nest pas devant lennemi quil se videra. La boisson a parlé, sen est trop.
« Enlacez autant dhommes que possible, buvez, chantez et ripaillez. Après notre prochaine rencontre, je ne réponds plus de rien. »
Et le voici qui se redresse, lentement, il Tangue maladroitement mais se ressaisit bien assez vite, large sourire aux lèvres. Il la fixe, longuement, avant dexécuter une révérence parfaitement maladroite alors que sa main plonge dans sa poche pour en extraire lun des trois dés qui ont animé le début de leur petit tête à tête. Ce même dé posé sur la tablée, face à elle.
« Jvous laisse le reste de la prune et Vous aurez très bientôt de mes nouvelles. »
Pas un mot de plus, rien, plus un regard et déjà, il se détourne totalement pour faire face à la sortie des lieux vers laquelle il savance. Le chemin semble long et périlleux, cest qula prune, ça cogne sévère ! Courant dair frais et le voici déjà qui disparait à lextérieur. Ses pas, le mèneront en la Cour des miracles, où il retrouvera les siens dans la foulée.
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~ Donatien Alphonse François de Sade | Roi autoproclamé des pouilleux ~