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[RP ](public)février 1464 - Creusons la tombe du lys

Theodran.
La flèche du haut des remparts ont entend la pluie tomber et pas que faut l'admettre.

Théo en avait bien marre. Le voila qu'il a bue un peu ce soir. Pour changer.

Du haut de ces remparts j'admire la pluie qui tombe.

Théo sort son engin et commence a vouloir Uriner depuis le haut.

La pluie de cette nuit va réchauffé les gens. c'moi qui l'dis.
Jeanjakou
[La Flêche, côté Royalos crocs-té (II) !]

Le rata était toujours aussi déplorable, et le temps devenait épouvantable. De la pluie, encore de la pluie et toujours de la pluie. Où était le printemps ? Jean regrettait presque d'être là, sous les remparts de la Flêche, à manger du maïs à tous les repas en attendant... en attendant quoi, d'ailleurs ? Et dire que pendant ce temps, les pigeons dodus circulaient de part et autre des camps ennemis et qu'il était interdit de les manger !

Son ventre gargouilla de plus belle et il soupira. Il avait reçu, par pigeon nourri aux chouquettes (le salaud !) une réponse de l'archiduchesse à sa lettre gourmande. Elle était là, dans sa poche, contre son cœur breton, sous sa chemise française. Il faudrait y répondre, mais l'inspiration n'y était pas.


Citation:
De moi, Katina .C.S.S de Montmorency, Archiduchesse d’Anjou
A vous, mon correspondant épistolaire à la double nationalité


KraaAAaaAAAck !
Ca, messire, c’est mon petit cœur (en marbre) qui se brise.
Un demi breton qui s‘allie aux français, alors là ! Vous m’aurez tout fait ! Je suis à deux doigts de crier à l’assassinat !

Vous saviez que les Français voulaient interdire le beurre salé ? Qu’ils disent que le Kouignamann n’est pas un gâteau ? Qu’on devrait bruler les bigoudènes pour attentat aux bonnes mœurs de la mode ? Que le biniou est l’instrument du Sans Nom ? Que le patois breton ressemble au patois béarnais, l’accent en moins ?
...
Oui, d’accord, tout ça c’est moi qui le dit mais eux, le pensent sans moufter : c’est pire !

Déjà ils vous ont arnaqués sur la bouffe (moi perso, à ce stade, ça serait pas passé) mais en plus, je suis sure que vous avez même pas de gouter à quatre heures. (Non, le maïs ne compte pas pour du gouter) Nous, à Angers, on a des chouquettes tous les jours. Parfois même, quand Mordy a le temps, il fait des gâteaux avec des poires ou des mirabelles. Vous devriez voir ça, c’est beau et ça sent bon.

Bon sang mais qu’est-ce que vous attendez pour venir ?!

J’ose pas vous dire « Mais bon sang , qu’attend votre moitié bretonne pour palpiter au son de l’indépendance ? » mais je le pense vachement aussi et je songe également, la larme à l’œil, à vos ancêtres menhirs qui tentent de se retourner dans leurs tombes sans succès, car nous savons bien tous les deux que les menhirs n’ont pas de tombe, mais bon, c’était pour l’image.

Si je vous promets du rab de dessert, vous quittez ces vilains français pour rejoindre vos voisins au cœur pur ? Oui c’est nous. Je préfère le préciser, parfois, quand on vient d’ailleurs, c’est pas facile de le voir au premier coup d’œil, mais comme le disait mon copain St Ex avant de sombrer dans un coma éthylique : L’essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu’avec le cœur.
Votre cœur vous dit « Chouquette ». Je l’entends jusqu’ici.
Désertez, vous aurez du gouter (et vous irez à la pêche aux moules. C’est bien là que vont les bretons quand ils meurent lors d’un acte héroïque, non ?)

Katina C.S.S de Montmorency
Archiduchesse d’Anjou[*]


Depuis, c'était simple : son cœur lui disait « Chouquette », sa conscience « Gare à la pêche aux moules ». Il grogna, tiraillé comme à l'ordinaire entre sa conscience et sa gourmandise. Il devrait finir par répondre à l'invitation, même en déclinant poliment.

Il pataugea un peu plus loin sous les remparts. Quel était le couillon, déjà, qui lui avait dit qu'il y avait un escalier en pierre menant au chemin de ronde dans ce coin-là ? Soudain, la pluie se fit plus chaude, plus odorante. Parbleu, mais on lui pissait dessus ! Son sang ne fit qu'un tour. Ou peut-être sept, comme la langue avant de dire quelque chose. Jean leva le poing en direction du jet alcoolisé, et dit :


Eh dites donc, ça vous dirait pas de pisser plus loin ? C'est vrai, quoi, y'a des copains en-dessous... et...Bondédiouche ! Mais qu'est-ce que c'est que cette horreur ?

Jean venait d'apercevoir une énorme bête, une chimère à mi-rat mi-loutre à l’œil étincelant. Était-ce l'un des fameux ragondins angevins mangeurs de culottes françaises ? L'animal, en tout cas, avait l'air fâché. Lui avait-on pissé dessus, à lui aussi ?

Le Guyenno-bretonneux s'éloigna d'un pas un peu plus vif que d'ordinaire. Il aurait préféré fuir en courant, mais on pouvait sans doute le voir du haut des remparts et :
    1. Le prendre pour un froussard (ce qui n'était pas faux)
    2. Le prendre pour un Angevin fonçant droit dans les armées du lys (ce qui n'était pas vrai)
    3. Lui envoyer un carreau dans les fesses (pour lui apprendre à courir plus vite, à ce sagouin habillé de couleurs assez vives pour être repérable les nuits de nouvelle lune).


[*Publié avec l'accord de JD Katina]
_________________
Kirya14


[ Angers, dans l'attente mais pas dans l'euphorie]


Et pendant ce temps à Angers, que se passait-il ? La vie paisible et tranquille d'avant siège avait disparu. La ville envahie par les Saumurois, les Fléchois et les Craonnais grouillait d'activités en tous genre : Même jusqu'à l'organisation d'une courses d'escargots que les gentils organisateurs avaient pris soin de décorer à l'éphigie des royalistes. Pour dire comme le temps leur semblait long.

Et chaque nuit, ils se trouvaient réveillés, non pas par les troupes mais par des voyageurs imprudents et les lames se faisaient impardonnables au travers des corps. Pensez-vous, des dizaines et des dizaines de soldats qui vous transpercent de part en part.

La diaconesse qu'elle était n'approuvait nullement cette charpie mais elle ne voulait pas se sentir coupable et responsable si un de ses amis se faisait blesser sans qu'elle ait pu faire quoi que ce soit pour le sauver. Aussi, comme beaucoup, elle avait pris les armes. Et à présent, ils attendaient...patientaient et buvaient.

Mais là, il était temps qu'ils entrent à Angers car comme occupation, son chef de section avait décidé de se servir d'elle comme boulet en la lançant sur les armées ennemies, persuadé qu'elle était si chiante que les françoys seraient heureux de la ramener au bercail. Elle, elle pensait surtout qu'ils la mettraient en charpie. Question de point de vue, vous me direz. Lui il pensait que son statut de diaconesse la sauverait...

Donc, à présent, elle surveillait les remparts, les alentours, en plus de la vigie, priant qu'ils ne tardent pas.
Theodran.
Du haut du rempart de la flèche.

Théo se plia de rire en entendant l'homme hurler.

Il se devais de répondre proprement au moins.
ma digarez
Tout en continuant d'agiter les dernières goutes.
Jeanjakou
[La Flêche, sous le rempart]

ma digarez

Excusez-moi. Ben encore heureux qu'il s'excusait ! Jean grogna. Dans le fond, ne l'avait-il pas cherché un peu, en longeant d'aussi près les remparts ? Il haussa les épaules.


Mouais. Au moins ça nettoie les plaies. Enfin si j'en avais eu ! C'est pas avec le nombre d'Angevins qui tombent par ici qu'on se fait la main.

Il esquissa même un sourire. Avec le recul, il prendrait peut-être même l'incident à la légère. Mais pour l'heure, il devait trouver ce fichu escalier.

Il entendit quelque chose gratter derrière lui et se retourna. La Bête d'Anjou le dévisageait maintenant d'un œil torve. Jean déglutit et demanda à son compatriote qui (il l'espérait) était encore là :


Dites, heu... Vous savez comment on se débarrasse d'un ragondin qui a envie de vous mordre les... enfin vous voyez ?

La Bête s'approchait maintenant de lui et montrait les incisives. Jean déglutit, fouilla dans ses poches à la recherche d'une arme pour se défendre, sortit son petit couteau à saucisson en espérant que le ragondin n'eût pas le cuir trop dur.
_________________
Cmyrille
[La Flêche, Crocs du Basilic]

C'est pas faute de râler, grogner, renâcler, pester, et autres figures de style de mauvaise humeur, mais non, rien n'y fait, on n'avance pas. Et on s'emmerde.
Alors les affaires courantes reprennent le dessus.
Le voilà en taverne à griffonner du parchemin ici pour un article, là pour une lettre au Roy ou encore un courrier officiel des finances.
Nan vraiment, si il y a une chose qu'on peut dire sur les angevins, c'est qu'ils ont vraiment bien observé leurs ennemis. L'imitation du Déère qu'ils ont proposé est parfaite. Y'a même la peur de mourir de vieillesse avant qu'il se passe quelque chose. Une interprétation magnifique.
Mais c'est pas pour ça qu'il a signé. Et c'est pas une promesse de procès de la part de l'Archipommeduchesse qui va relever le niveau. Même si ça pourrait aider.

Alors il envisage aujourd'hui d'envoyer une lettre au Maréchal, pis à sa cheffe aux finances, et au Roy tant qu'à y être, pour leur dire qu'il se barre de ce gourbis sans nom. Parce qu'au moins quand il s'occupe du ravitaillement, il se sert de ses jambes. Et c'est toujours mieux qu'ici.
Ou alors... Ou alors ! Il attrape son nécessaire à écriture de voyage et se lance dans une diatribe lettrée.


Citation:
De Nous, Cmyrille, Secrétaire Général de la Surintendance des Finances Royales,
A Vous, Katinca Choovansky S.S de Montmorency, Archipommeduchesse d'Anjou,
Au Conseil Ducal d'Anjou,



    Salutations,
    (Ou pas, c'est selon)


    Nous prenons la plume en ce jour pour en appeler à la Paix et à la Raison. Oui ça parait difficile comme ça, mais on sait jamais, sur un malentendu ça peut passer.


    Cela fait maintenant plusieurs semaines que vous nous avez accordé votre gracieuse invitation à venir visiter les terres angevines. Et nous avons été certes très long à y répondre. Mais bon, notre bon Roy est un peu mou du genou en ce moment. L'hiver, la fatigue, l'accumulation des banquets, tout ça...
    Toutefois, dès notre arrivée, vous nous avez proposé une animation remarquable. Une interprétation sans faille et très réaliste du Domaine Royal, avec comme personnage principal l'ennui. En mon nom propre, je tiens à vous remercier et vous féliciter pour l'organisation quasi théâtrale de ce spectacle ô combien réussi (et désolant).


    Cependant, et loin de moi l'idée de vous en demander trop, vous serait-il possible de nous dire combien de temps ce spectacle doit durer ? Nan parce que j'veux pas être désobligeant, mais au final, le DR, on sait ce que c'est hein, on l'a déjà chez nous. On est pas tout à fait venus pour ça. Non en fait on est assez nombreux dans les invités à penser qu'on venait pour un grand banquet, avec du sanglier braisé, des tonneaux de rosé, du poisson en sauce, des gibiers bien faisandés. Et éventuellement une feuille de salade ou deux.


    Mais je comprend que vous ayez pu être dépassés par notre nombre et que la logistique cuisinière n'ai pas pu suivre. Aussi je me propose, à titre gracieux, de vous fournir en denrées ponctionnées sur les stocks royaux. Nous disposons d'une grande quantité de maïs et de pain, ainsi que de nombreux fruits et légumes et quelques pièces bouchères de choix. On pourrait dire que je les fais livrer dans la plaine entre Angers et La Flêche et qu'on se retrouve tous là bas et qu'on organise un grand banquet final autour d'un grand feu ? En plus on a un breton qui chante, en breton. On pourrait l'attacher à un arbre. Pis on a plein de lances pour faire des brochettes.


    Et puis vous vous choisissez un champion, le Roy il fait pareil. Et pendant le repas, au moment où on commence à avoir les dents du fond qui baignent, ils se battent en duel. Ça nous sert de digestif pis ça met fin au malentendu entre le Roy et vous.


    Mais on peut tout à fait continuer à se regarder en chien de faïence pendant des semaines tout en s'envoyant des courriers sur le thème : "Décarres tes troupes de chez moi ou je crame ton pays !" Mais c'est moins feune. Et du coup on pouvait le faire de chez nous, c'était pas la peine de nous inviter.


    Dans l'attente de votre réponse, que le... machin qui vous garde vous garde,


    Fait à La Flêche le 31ème jour du mois de Mars,

    Cmyrille.



Satisfait de son coup d'épée dans l'eau, qui l'aura au moins occupé pendant presque une heure (oui au bout d'un moment on se contente de peu), il va au service de courrier de l'armée, chope un pigeon et l'envoie, chargé de sa missive, en direction d'Angers.


Edit pour balises
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Desideratum
[Angers - Mais qui dit combat, dit toujours… musique ! ]

Attention ce que vous allez lire plus bas, n’a aucune cohérence chronologique, mais j’m’en fou j’suis belle.

Trois mois qu’elle les attendait ! Trois putains de mois ! Elle avait même refusé certaines des propositions alléchantes de sa frangine pour pouvoir enfin se foutre sur la tronche avec les Royalos.
Enfin se foutre sur la tronche… Faut l’dire vite quand même hein, la lépreuse était pas vraiment ce qu’on pouvait appeler une fervente combattante. Au contraire, moins elle se battait mieux elle se portait. Mais à défaut de se battre contre les fringuant guerrier, elle pouvait au moins achevés les malades, les boiteux et les borgnes, ‘fin les faibles quoi.

Mais LA c’était le jour J. L’heure de la concertation. Le défouloir. L’autorisation de tapée tout c’qui bouge était donner.

C’est partit.
C’est la fête.
La lépreuse sauta sur l’derche du premier gus qui croisa sa route, tous en commençant sa première chanson.
Car oui, en plus d’avoir choisi sa tenue avec soin, la lépreuse avant préparer son petit répertoire de chansons l’histoire de rythmer un peu le combat à venir et de donner force et courage à ces comparses - L'avantage de la schizophrénie c'est qu'elle pouvait même chantée en duo.
C’est beau la solidarité Angevines !


24/03/1464 04:11 : Vous avez engagé le combat contre Michelle_mouton.
24/03/1464 04:11 : Vous avez frappé Michelle_mouton. Ce coup l'a probablement tué.


Lanfeust n'a plus qu' vingt neuf guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt neuf guerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


25/03/1464 04:10 : Vous avez engagé le combat contre Linainthesky.
25/03/1464 04:10 : Vous avez frappé Linainthesky. Ce coup l'a probablement tué.


Lanfeust n'a plus qu' vingt huit guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt hui guerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


26/03/1464 04:09 : Vous avez frappé Guyhom. Ce coup l'a probablement tué.
26/03/1464 04:09 : Vous avez engagé le combat contre Guyhom.


Lanfeust n'a plus qu' vingt sept guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt septguerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


27/03/1464 04:19 : Vous avez engagé le combat contre Guillotin.
27/03/1464 04:19 : Vous avez frappé Guillotin. Ce coup l'a probablement tué.


Lanfeust n'a plus qu' vingt six guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt six guerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


27/03/1464 04:19 : Vous avez engagé le combat contre Capucine1.


Lanfeust n'a plus qu' vingt cinq guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt cinq guerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


31/03/1464 04:09 : Vous avez engagé le combat contre Eladh.


Lanfeust n'a plus qu' vingt quatre guerriers !
Lanfeust n'a plus qu' vingt quatre guerriers !
Et il en avait trennnnnnte !
Et il en avait trennnnnnte !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jammmmbe !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !
Et allongeons la jambe, la jambe, car la route est lon-ongue !


Arrêtant un instant sa chanson elle donna un coup d’poulaines dans sa dernière victime.
P’tain mais c’était pas du royalo ça ! C'était du clodo ! Puis même pas du clodo d’qualité !
Elle regarda les autres et rangea sont épée.
C’est pas contre le bon camp qu’elle s’battait la lépreuse là. Elle avait juste fait une bonne rasade de clodo.
Ouais vraiment la guerre ce n’était pas pour elle. Si en plus fallait faire attention a qui on tapait....
Ca f’sait chier même.
Se frottant le nez de ces mains gantées, elle puisa au fond d’elle même pour beugler :


Hééé Yap ! Ramène ton fion frangine ! On s’casse de là ! J’ai une autre idée…
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Blabla : La Lépreuse. – Blabla : Desideratum.
Theodran.
Théo éclata de rire une nouvelle fois.

Dites, heu... Vous savez comment on se débarrasse d'un ragondin qui a envie de vous mordre les... enfin vous voyez ?

Bah bute le avec tes armes tu veux que j't'aide?

Sans attendre la moindre réponse théo lança avec violence sa lance à coté de l'homme.
Le bruit mat de la lance qui se plante dans le sol était signe qu'il avais bien visé le sol. Ce serai con de visé la personne. Et encore plus stupide de visé l'animal. Lui il est en haut l'animal en bas il en a donc rien a carrer du bestiau.

Cela s'appel une lance tu vises tu l'empales et basta t'es libre. Par contre ma lance elle s'appelle reviens et fissa. Si t'as peur d'un ragondin ce sera quoi devant un Con euh un angevin. Parce que bon hein ça fait pas sérieux.
Enored
[Fin de nuit, Angers, une Irlangevine énervée]

Un peu plus tôt dans la journée, une discussion entre une une Irlangevine et un Breton.


- On va mourir cette nuit !
- Mais nan c'est n'importe quoi !
- On va mourir c'est Calyce qui l'ai dit
- Même si Calyce l'a dit on va pas mourir on est immouranle oh ! On est Angevins !
- Pas moi !
- Ah bah oui, toi tu vas mourir alors … pas de chance, moi j'suis immourable et invincible hé !

Il était pas dans son assiette le Breton en question, même pas une blague salace rien … un Breton qui pense qu'il va mourir c'est pas beau à voir … enfin si c'est comique au début et après bah ça lasse.

Bref, une journée comme les autres à attendre les escargots royaux. Une journée à rire un peu moins parce que la tension monte dans les rangs mine de rien et une deuxième dernière nuit. Parce que la veille, ils étaient censés passer leur dernière nuit, Aub' lui avait demandé s'il pouvait dormir avec elle. Elle avait dit oui. Parce que passer une nuit dans ses bras sans faire de cauchemar ça n'a pas de prix. Sauf quand on vous tire des bras en question pour rien ou presque. La veille déjà, on leur avait envoyé un en-cas, un pauvre petit breton qu'avait pris cher … elle avait retrouvé les bras en question avec appréhension. Après un combat (si on peut appeler ça un combat …) et surtout la frustration de s'être levée pour rien normalement personne ne pouvait l'approcher, et encore moins la toucher sans prendre le risque d'un coup perdu tant que la tension n'était pas évacuée. Personne sauf Alaric, qui lui, ne pouvait plus toucher personne.

Elle avait hésité donc, en rentrant se coucher. Elle avait d'abord pensé à ne pas se coucher justement. Mais, même si l'amour est faiblesse, elle y est bien dans ses bras. Elle avait fait un brin de toilette avant de se glisser sous les draps, dans ses bras et fermant les yeux elle laissa tension et frustration s'échapper.

Le lendemain, il lui avait demandé s'ils pouvaient encore dormir ensemble, elle avait dit oui. Comment lui refuser une deuxième dernière nuit ? Il faut bien avouer que c'était un peu égoïste parce que quand il est là, elle ne cauchemarde pas et qu'en plus sa présence l'aide à évacuer la tension … vous diriez non vous ?

Seconde dernière nuit donc. Ils s'étaient retrouvés et avaient dormi ensemble,comme la veille (ben oui quoi y'a pas que le cul dans la vie y'a la tendresse aussi oh ! ) jusqu'à ce qu'au milieu de la nuit … un cri, comme la veille...


«  Ils arrivent  … enfin ils ...elle ...»

Mais bien sûr … encore un éclaireur … elle fut d'abord victime d'une grosse flemme … et puis réveillée pour réveillée … elle se leva donc et secoua la tête à son questionnement muet lui faisant comprendre de rester là et que, comme la nuit précédente elle reviendrait vite. Elle savait qu'il ne supportait pas de s'acharner sur des gens seuls.
Ni une ni deux, elle retrouva les autres parce qu'il arrive. Enfin elle … et c'est … une femme en houppelande ! Elle aurait presque pitié la rouquine … presque. Parce que bon voilà, frapper une femme en robe quoi avec un fort accent en plus … C'est du grand n'importe quoi. M'enfin elle s'est extirpée de ses bras donc elle frappe. Une fois oh ! Faut pas exagérer non plus et faut en laisser pour les copains.

Un petit coup et puis s'en va l'Irlangevine furieuse conte ses maudits français qui osé tiré de ses bras de si lit … en même temps ça présage d'autres dernières nuits … il n'y a pas que du mauvais après tout aurait-elle pu se dire elle en se glissant à nouveau aux côtés de celui qui l'attendaient pour terminer la pas dernière nuit. Pas un mot sur ce qui venait de se passer. Pas de détail. Juste fermer les yeux et s'abandonner au plaisir simple d'être là avec lui. Si en arrivant dans la chambre elle était passablement énervée, tension et frustration lui fichèrent la paix rien que grâce à sa présence. Terminer une pas dernière nuit donc, avant de reprendre une longue journée d'attente ...


31/03/1464 04:09 : Vous avez frappé Eladh. Ce coup l'a probablement tué.
31/03/1464 04:09 : Vous avez engagé le combat contre Eladh.

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Orkaange
[ET PENDANT CE TEMPS LA AU PARTI COMMUNISTE..... ENFIN COTE PONEY ROSE ]




Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "La pomme dauphine" dirigée par Tsampa.
Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé l'armée "La pomme dauphine" dirigée par Tsampa.
Hier, en chemin, vous avez croisé l'armée "La pomme dauphine" dirigée par Tsampa.
Hier, en chemin, vous avez croisé l'armée "La pomme dauphine" dirigée par Tsampa.


Et pendant ce temps là à Craon, deux armées faisaient le tour de la ville, chacune dans le sens contraire de l'autre




-Oh la vache a bougé! Je l'occis? C'est ptet un ennemi de la couronne!
-Non vous touchez pas aux vaches! Ca peut servir à bouffer quand on aura plus de pain
-Rhoo machin c'que vous êtes sensible vous alors! Et si c'était un angevin déguisé en vache?
- Les angevins ne se déguisent pas en vache.
-Ben vous en savez rien hein? Si ça s'trouve EUX ils suivent la stratégie ultime que je préconise depuis un moment! mais le chef est même pas capable d'apprécier une bonne idée pfffffff......
-Oui c'est sûr, Parceque déguiser l'armée en barriques de vin d'anjou pour nous envoyer en charrette à Angers, c'est une stratégie
-Ben évidemment machin! Les angevins vont nous ouvrir les portes direct. Pis là on sort des barriques et on les massacre.
-C'est marrant ça me dit quelque chose... Des grecs, un cheval....
-N'importe quoi machin! On parle de barriques et d'angevins, pas de grecs et de chevaux. N'empêche au moins on ferait quelque chose au lieu de tourner autour du village
-Non. On fait pas ça. On suit les ordres. En parlant d'ordres, vous voudriez pas me rendre l'oriflamme?
-NON. JAMAIS. Pis d'toutes façons vous l'avez pas demandé poliment.
-*Soupir* Vous voudriez pas me rendre l'oriflamme s'il vous plait?
-Manque des trucs, j'vous entend pas
-gniiiiiiiiii... Vous voudriez pas me rendre l'oriflamme s'il vous plait votre majesté toute puissante?
-hahahahaaaa.. Ca vous fait mal hein?
-Ouais un peu. Mais du coup vous le rendez?
-Non. Dans vos rêves. De toutes façons j'le rendrai keustomisé, si j'le rend
-Pffffff... Et sinon vous comptez faire quoi pour le keustomiser ?
-Ooh trois fois rien. Un peu de rose, quelques paillettes et une touche de vert pomme pour l'écusson. Rien que du très simple, mais qui fait son effet. Vous voudriez pas avoir l'air d'un plouc quand on tapera enfin sur les angevins si?
- DU ROSE????? Mais on est des soldats pas des ménestrels!
-*SCHBUNK*
-AIEEEUH.... MAIS BORDEL DE CORNECUL ARRETEZ DE PRENDRE CET ORIFLAMME POUR UNE MASSUE



Trois tours de ville plus tard, les mêmes





-Allez je sais la prochaine fois qu'on croise l'armée de la dauphine, Je tape dans mes mains et les deux armées changent de sens. C'est encore plus rigolo si tout le monde crie "YOUKAIDI"
-Non. On tourne toujours dans le même sens; Ce sont les ordres!
-rhooo allleeeez quoi! Ca fait cinq fois qu'on voit la même perspective c'pas juste! Chuis sure que la vue est plus belle dans l'autre sens. T'façons l'armée d'la dauphine c'est des chouchous
-Ben d'un autre côté ils tournent aussi
-Oui mais pas dans le même sens; Je maintiens la vue est plus belle dans leur sens
-mais naan c'pareil
-Comment vous l'savez vous avez essayé leur sens?
-NON.. On essaye pas leur sens et on suit. COMPRIS?
-ooh Ca va hein? Pas la peine de crier! j'me tais................................................... Et sinon on peut le faire à cloche pieds ? NAN HEIN? VOUS ME FRAPPEZ PAS SINON J'LE DIS AU CHEF... CHEF? CHEEEF? CHEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEFFFFFFFFFFFF

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Liette
[Angers – Taverne du Dragon mésangé – on se prépare à la guerre]

Ça t’avais pourtant paru être une bonne idée au départ, poser tes poulaines dans une grange juste au dehors d’Angers, loin du monde, pénarde, à deux pas du bois pour que la Dragonne puisse aller chasser sans faire des lieues. Parce qu’il faut bien le dire amasser dans une même ville, des buses sanguinaires, des angevins non volant sanguinaires et des sanguinaires non angevins amis de passage ça commençait à faire un peu trop de monde pour tes faibles capacités à échanger avec d’autres êtres humains. En plus le voisinage était sympathique. Le propriétaire de la grange, pas pénible pour deux écus, avait même l’air plutôt content de pouvoir boire à l’œil et se le rincer en regardant l’Alysson, le voisin du champ d’à côté était borgne et bête mais avait une cave et un garde-manger des plus fournis, bref un petit paradis angevin.

Mais aucune perfection ne dure car, c’est bien connu, l’oiseau est gourmand, et la tentation de croquer le verger d’à côté impossible à contrôler. Tant que vous vous êtes limité à grignoter quelques fruits en Touraine ou en Maine, culture depuis longtemps abandonné par le Roi, aucun signe de courroux. Ça en était même décevant. Mais où diable était donc cette pomme défendue ? L’Alençon ? Etait-ce là le pépin de trop ? C’est vrai que ce fruit-là était plus juteux que les autres et particulièrement savoureux. La colère du Roi tout puissant fut immédiate est sans appel. Enfin immédiate… Il faut savoir que le temps en France n’a pas la même durée qu’ailleurs, on ne peut leur en vouloir. Le roi doit enfiler ses dentelles, remonter ses bas, lasser sa chemise de soie avant que ne vienne l’armure, des solerets pointus jusqu’à la cime du heaume à plume ne faut-il pas au moins un mois, l’avantage c’est que ça vous laisse le temps pour quelques divertissements culinaires du côté du Poitou, des tournois, des courses baveuses, un mariage, presque deux, monter une petite entreprise de service avec deux ou trois copains et… évacuer la grange. Mais tu repousses. On a beau t’annoncer que les français sont dans vos villes, tu repousses encore l’échéance, ne parvenant pas à te résoudre à abandonner ton petit paradis hors des murs d’Angers.

Il est l’heure pourtant et tenant Louise par la cloche tu tentes désespérément de lui faire entendre raison.


« -T’sais ma belle, ta jolie croupe dodue est une sacrée tentation pour un français qu’à rien d’mieux à s’mettre sous la dent. J’voudrais pas qu’il t’arrive des bricoles. On sait jamais c’qui peut passer par la tête de ces bêtes-là. On va laisser les tonneaux. Un jour y’a un con qui m’a dit que le vin d’Anjou c’était rien que de la pisse de chèvre. Même qu’il a été privé de gouter pour ça. Ben tu sais ça m’a donné des idées. Vont pas être déçu s’ils viennent par ici. Allez-vient j’te dis. J’vais bien te trouver un coin de paille à l’intérieur des murs. »
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Lovelymaster
Angers

Parce que solitaire et n’ayant pas l’éclat du diamant, le Dénéré se trouvait tout déboussolé et bien seul dans cette agitation.

Habitué des rondes de nuit sur les remparts, lieu et instant propice au songe démultiplié par ce tabac aux plantes pharmaceutique ou l ‘on se lovait dans une couverture admirant la nuit et son calme, il était séparé de ses compagnons habituels aussi taciturnes que lui. Ce qui en soit n’était pas dérangeant quand on n’avait pas envie de causer pour ne rien dire.

Trimballé de cantonnement en cantonnement, on lui avait indiqué enfin couche et futur escouade ou section ou…En fait, il n’en savait rien. Les regroupements militaires n’étaient pas une des connaissances de base permettant la survie en milieu hostile. Milieu hostile, ici il n’y en avait point peut être les tavernes a un degré moindre que les croisements de chemin ou détrousser ou se faire détrousser était le passe-temps favori de certain. Tavernes ou l’alcool faisait ressortir les ombres négatives de certain traduit par le fameux : il a l’alcool mauvais…..

Bref, son passetemps favori, assis sur les remparts d’Angers, était de passer et repasser une pierre à aiguiser sur la lame de son arme en faisant varier les gestes. L’effet en était une mélodie pour qui voulait l’entendre ainsi, ce qui conduisait à la maxime, il joue de son arme comme d'un violon. Violon, ou il pisserait avec plaisir dans l’attente de ses gueux aux ordres d’une marionnette royale. Marionnette, bien mal manipulée car elle partait en tous sens sans réellement captivé son auditoire. Triste spectacle offert….
Était-ce l’excès de tabac aux plantes odorantes ou la lassitude d’attendre, que le Dénéré se leva et cria :


REMBOURSEZ....
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[Louis Marc de Dénéré...Puis ch'ai tout!
Jeanjakou
[La Flêche : sous les remparts. Jean - Ragondin : jeu, set et match]

Vu d'en haut la situation pouvait paraitre absurde. Mais vu d'en face, la Bête avait quand même quelque chose de... de pas très aristotélicien, quoi. Sous la pluie battante, l'animal avait tout du cauchemar du folklore angevin.

Utiliser ses armes contre le ragondin, oui, c'était une bonne idée et Jean y avait bien pensé en cherchant son couteau, seulement voilà : il se sentait bien nu avec une petite lame ridicule et sans son bâton qu'il avait oublié sous la tente. La situation était d'autant plus impardonnable qu'à la base, il était venu sous les remparts pour venir monter la garde...


Shtack !

Jean entendit la lance se planter juste à côté de lui. De même qu'il entendît son compagnon lui prodiguer quelques conseils de chasse. "Tu vises, tu l'empales, t'es débarrassé."

Facile, quoi.

Le Bretonno-Guyennais passa son couteau à main gauche et arracha l'arme du sol, la soupesa, la trouvant plus lourde que son bâton. Il tendit la pointe tendue vers le ragondin.


Petit ! Petit ! Allez pas bouger !

Le ragondin dressa le nez, surpris, et, fasciné par les gesticulations de Jean, le regarda sans bouger un seul poil de moustache. Le Jakou lança soudain l'arme, qui se planta à vingt bons centimètres de la Bête.

Heu...

Le ragondin se redressa, retroussa les babines en un rictus déplaisant et fonça droit sur Jean. D'un bon agile, la bête mordit la main droite de l'homme et s'y accrocha comme une moule à un rocher. Surpris par l'attaque, le marin planta son couteau à plusieurs reprises dans le corps de l'animal. En quelques instants qui parurent une éternité pour le Breton, la bête tomba au sol, morte.

Jean saignait abondamment mais il avait presque sauvé son honneur, car il n'avait pas hurlé de douleur (enfin ça, c'était surtout parce qu'il serrait les dents. En vrai il avait plus envie de pleurer de douleur et de rage d'avoir loupé une cible aussi facile). Il sortit un vieux mouchoir de sa poche, qu'il utilisa pour panser sa main et récupéra la lance. Il attrapa le corps du ragondin, trouva enfin le fichu escalier et grimpa sur les remparts. Il trouva un homme à qui il tendit la lance.


Je suppose que c'est à toi ? Merci, ça m'a été... heu... utile. Hum ! Enfin ça me sera utile le jour où je saurai m'en servir.

Il ajouta, en montrant le ragondin comme un trophée de chasse.

A ton avis, ça se mange, ce machin-là ? Vue la taille du bestiau, ça pourrait quand même un peu améliorer l'ordinaire.
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Chloe.b
Dans une chambrée de l auberge à l étage

Le soleil venait a peine de pointé le bout de ses rayons et déjà s était le bordel , léger grognement de la blonde avant de se tourner sur le coté collant par la même occasion un coussin sur la caboche , coussin de son tendre qui avait filé précipitamment au premier hurlement Leyahnesque ....

Et vas que sa crie dans touts les sens quand enfin le calme semblait de retour et bien non se fut de courte durée .
Les rondeurs de la blonde n aidant en rien sur sa rapidité d exécution et le manque de sommeil encore moins ...
Elle décide de faire comme si de rien était comme si elle n avait rien entendu du tout !!!
S ' était sans compté sur la voix mélodieuse de son tendre qui se mit à hurler tout son souffle





"RASSEMMMMBLEUUHHHHHHHHHMENNNNNNT!!!!!"

Et la blonde de balancé furax son coussin à travers la pièce , de manœuvré son bidon et de se lever .
Un pied après l autre de se vêtir bah oui elle n allait pas y allé en simple chemise tout de même , une botte puis l autre quelques juron plus tard la voila enfin paré .

Sortant de la chambre elle pousse la porte de la chambré voisine et la hooo bonheur ils dorment encore paisiblement . heureuse nouvelle au vu de l ameutement fait par leur père ....

Elle referme doucement la porte , descend les escaliers un regard au alentour ou rien ne vit pfff , et direction la place porcky 3 nouvellement nommé ....

Tout en grommelant en chemin réveillé une bleizh s est déjà hardi mais une Bleizh ronde ç est du suicide et la son époux venait de signé purement et simplement une négociation féroce ou il aurait bien du mal à sauver son séant !

Arrivé sur la place où tous commençaient à arrivé ....



Corne de bouc ..... pourrais je savoir se qui vaut un réveil pareil y a pas un poux dans le coin !!!

Mon tendre époux si tu m as réveillé pour rien , je te préviens les négociations vont être rude trrrrrrrrrrrèèèèèèèèèès rude !!!


Arrêt de la blonde soufflant sur une mèche histoire de la remettre en place et ses mains posé sur ses hanches encadrant un ventre aux formes plus que prometteuse .


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Theodran.
Rempart, spectacle de rue sentant la pluie chaude

Théo regarda le combat Homérique de l'homme et de la bête.

Aller un petit dans le bestiaux et non, c'est le truc poilu qui viens le frapper.

Théo s'explosa de rire bien sonore et bien exagérer.

Enfin le combattant appelons le comme cela, avais donner des coups de couteau à l'animal.

Il le regarda monter l'escalier pas trop loin de lui et le vit tendre sa précieuse lance.
Je suppose que c'est à toi ? Merci, ça m'a été... heu... utile. Hum ! Enfin ça me sera utile le jour où je saurai m'en servir.

Ya c'est à ma.

Mais que fait un Gwenoder sous le loarwenn?




L'étrange homme lui montra pendant ce temps l'animal en question.
A ton avis, ça se mange, ce machin-là ? Vue la taille du bestiau, ça pourrait quand même un peu améliorer l'ordinaire.

Ca dois bien se bouffer, mais je serai toi j'éviterai regarde l'état dans lequel tu l'as foutue ca dois puer et les entrailles seront bien percer que j'en s'rai pas étonner. M'enfin libre à toi de le cuire.
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