Julian.de.calderon
La dextre s'était glissée inconsciemment sur son flanc senestre pour se mettre au plus près du pommeau de sa lame. Les secondes étaient si longues...les yeux fixaient un je ne sais quoi je ne sais où...seules ses esgourdes étaient à laffût d'un "Nous ne savons..."...Julian lui aurait coupé la parole en lui répondant un "Ferme la puisque tu ne sais pas" et aurait terminé par lui couper la langue...mais ça c'était si et seulement si quelqu'un osait l'ouvrir...
L'épisode du tonnelet lui passa à mille pieds au dessus, si bien qu'il n'y prêta aucune attention. Il se savait sous bonne garde avec la blonde.
Alors quand la rousse reprit la parole, sa dextre se décrispa en jouant discrètement de la flûte pour se dégourdir les doigts. Et tout redevînt normal...ses yeux virent à nouveau la brune albigeoise en face de lui et le moment tant attendu arriva...les consentements...
Comme un enfant il proposa sa dextre à sa future mêlé d'un joyeux sourire avant de très vite reprendre son sérieux et sa prestance pour porter haute et claire sa voix.
Au même moment, un peu plus loin, Nead passait à côté de Vera pour rejoindre le marié et en profita pour glisser un regard méprisant vers Abbaud et dire clairement à Vera...Tsss...un pitre ! Mais qui mieux que moi pour vous divertir... Et Nead alla vite rejoindre le marié sinon sa tête serait coupée sur le champs d'à côté quelques minutes plus tard.
Il se plaça à côté de la blonde écuyère mais sans faire son malin car y'avait le pitaine à côté. Pas de drague dans ses moments là.
La voix du pitaine retentit dans la clairière :
Je vous offre pour totjorn ma force qui a su fendre vostre coeur en sus de vostre bois Castrais.
Le regard du brun était rivé dans les saphirs de la brune pendant que Nead sortait de son mantel la hache qui avait permise d'instruire/draguer la brune.
Et vous promet de mettre à terre vos ennemis. Sous ma protection vous vivrez.
La hache fut remise au bleu et Nead se remit à côté de la blonde écuyère...
Je vous offre une vie commune sans contraintes et de toutes confiances.
Nead sortit un tissu qu'il déplia devant le bleu...découvrant un petit tas de contrat de mariage déchiré en milles morceaux. Il le donna au bleu et se remit à sa place.
Je vous promet de nombreuses lettres lorsque nous serons loin de vous sur le champs de bataille et pendant que vous serrez aliter pour mettre au monde nostre descendance. Nostre plume offerte jadis en vostre office vous sera alors grandement utile pour nous répondre.
Et pour terminer, un aveu qui rabattra peut être une réputation devenue inutile..
En gage de mon amour je jure sur les saintes écritures de ma fidélité depuis nos fiançailles jusqu'à ma mort.
Après cette tirade, la dextre de Julian frémi furtivement et serra un peu plus celle de la brune. Ses saphirs décrochèrent enfin ceux de la brune. Il lâchait prise pour regarder ses lèvres, ses joues, son voile ! Oui oui son voile....ses cheveux, son menton...il se délectait clairement de sa future en détail avec son regard remplis de sentiments inavoués. Alors d'une voix douce et profonde :
Sache... que....je....
Ses saphirs vacillaient et le mutisme soudain du brun était bien plus expressif que des mots. Il n'y avait, pour une fois, aucune fourberie, aucun trait d'humour. Tout était sincères émotions et paroles.
Plus personne n'existait autour d'eux, seule sa brune lui faisant face.
_________________
(bannière et blason en cours de confection)
L'épisode du tonnelet lui passa à mille pieds au dessus, si bien qu'il n'y prêta aucune attention. Il se savait sous bonne garde avec la blonde.
Alors quand la rousse reprit la parole, sa dextre se décrispa en jouant discrètement de la flûte pour se dégourdir les doigts. Et tout redevînt normal...ses yeux virent à nouveau la brune albigeoise en face de lui et le moment tant attendu arriva...les consentements...
Comme un enfant il proposa sa dextre à sa future mêlé d'un joyeux sourire avant de très vite reprendre son sérieux et sa prestance pour porter haute et claire sa voix.
Au même moment, un peu plus loin, Nead passait à côté de Vera pour rejoindre le marié et en profita pour glisser un regard méprisant vers Abbaud et dire clairement à Vera...Tsss...un pitre ! Mais qui mieux que moi pour vous divertir... Et Nead alla vite rejoindre le marié sinon sa tête serait coupée sur le champs d'à côté quelques minutes plus tard.
Il se plaça à côté de la blonde écuyère mais sans faire son malin car y'avait le pitaine à côté. Pas de drague dans ses moments là.
La voix du pitaine retentit dans la clairière :
Je vous offre pour totjorn ma force qui a su fendre vostre coeur en sus de vostre bois Castrais.
Le regard du brun était rivé dans les saphirs de la brune pendant que Nead sortait de son mantel la hache qui avait permise d'instruire/draguer la brune.
Et vous promet de mettre à terre vos ennemis. Sous ma protection vous vivrez.
La hache fut remise au bleu et Nead se remit à côté de la blonde écuyère...
Je vous offre une vie commune sans contraintes et de toutes confiances.
Nead sortit un tissu qu'il déplia devant le bleu...découvrant un petit tas de contrat de mariage déchiré en milles morceaux. Il le donna au bleu et se remit à sa place.
Je vous promet de nombreuses lettres lorsque nous serons loin de vous sur le champs de bataille et pendant que vous serrez aliter pour mettre au monde nostre descendance. Nostre plume offerte jadis en vostre office vous sera alors grandement utile pour nous répondre.
Et pour terminer, un aveu qui rabattra peut être une réputation devenue inutile..
En gage de mon amour je jure sur les saintes écritures de ma fidélité depuis nos fiançailles jusqu'à ma mort.
Après cette tirade, la dextre de Julian frémi furtivement et serra un peu plus celle de la brune. Ses saphirs décrochèrent enfin ceux de la brune. Il lâchait prise pour regarder ses lèvres, ses joues, son voile ! Oui oui son voile....ses cheveux, son menton...il se délectait clairement de sa future en détail avec son regard remplis de sentiments inavoués. Alors d'une voix douce et profonde :
Sache... que....je....
Ses saphirs vacillaient et le mutisme soudain du brun était bien plus expressif que des mots. Il n'y avait, pour une fois, aucune fourberie, aucun trait d'humour. Tout était sincères émotions et paroles.
Plus personne n'existait autour d'eux, seule sa brune lui faisant face.
_________________
(bannière et blason en cours de confection)