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[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

Clodeweck
Monseigneur Verty, évêque d’Angers entra la première suivi de l’archevêque de Rennes de plusieurs clercs et des enfants de chœurs.
Elle avança face aux fidèles venus nombreux, très nombreux et regarda la nef de la cathédrale, pleine à craquer par ce soir d’hiver.
Le silence était lourd, elle se recueilli un long moment avant de commencer la cérémonie en elle-même.
Quelqu’un toussa au fond de l’église troublant le silence et la ramenant sur terre.

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Verty
Le cercueil, posé au milieu de la croisée de transept était entouré de quatre sellettes sur lesquelles avaient été posés les éléments qui composent tout homme, l’eau et la terre, mais aussi le feu et l’air.
Dans une coupe était de l’eau, dans un panier d’osier était la terre cette terre d'Anjou que le défunt avait tant aimée, dans un petit récipient brique brûlaient quelques brandons et sur une des sellettes un anneau tressé en rotin laissait passé l’air.
Des fleurs avaient été déposées au pied du cercueil ainsi qu’une panière dans laquelle les fidèles présents pourraient déposer leurs offrandes, pain, fruits ou autres qui serviraient à faire charité après la cérémonie.

L’Evêque s’avança auprès du cercueil et pris la parole s’adressant au défunt.


Zoko, tu es comme toute créature vivante , d’eau et de terre, mais tu es pourvu d’une âme qui, par l’amitié Aristotélicienne, si elle est digne, s’élèvera vers le Très Haut, ton créateur, et ne rejoindra pas le feu de l’enfer lunaire.

Le prêtre entonne alors le premier quantique à répons

Le prêtre : Après tous nos regards qui ont croisé le sien, que ses yeux puissent enfin voir le tien seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.

Le prêtre : Après l’amitié reçue et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme.

Le prêtre : Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité.

Les fidèles : Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme

Le prêtre : Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps que nous portons en terre et qui nous est cher.
Accorde-nous l’espérance de le revoir auprès de Toi pour une éternité d’éternité.


Tous : Qu’il en soit ainsi !
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Verty
Frères, sœurs, si nous sommes ici, c'est pour nous rappeler que Le très Haut se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de nos défunts et lui demander de leur faire bon accueil.

Le signe de la lumière
un enfant de choeur allume en silence les cierges autour du cercueil

Le prêtre : "L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Zoko qu’elle le conduise maintenant au Royaume du Très-Haut !"


Le signe de la foi

Le prêtre : « Zoko nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui te relie à Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de cette vie nouvelle qui ne finira pas »


Le signe des amis

l’un des amis du défunt apporte la corbeille de l’amitié

Le prêtre : «Zoko, nous déposons ces présents au pied de ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

Le signe de la mémoire


Ces obsèques nous rappellent plusieurs choses :
- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme qui avait une histoire, unique, avec le Très Haut. Qui était entouré de tendresse par celui-ci. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette demeure, autour de Zoko pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni à notre créateur, qui unit à lui à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère et que Christos intercède auprès du Très Haut pour qu’il le reçoive en son Paradis.

Laissons maintenant ceux qui l’on connu parler de lui .

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Tithieu
La journée avait esté longue,fastidieuse et moralement éprouvante,douloureuse.Elle promettait de l'estre encore,car la Duchesse avait prévu pour Zoko tous les honneurs qu'il méritait,et le jeune Balafré s'estait porté volontaire pour se charger de l'organisation de l'après-midi d'hommage.Il le regrettait désormais,épuisé de chagrin,abattu plus que jamais,il progressait d'un pas grascieux,du haut de toute sa prestence,vers la place qui lui avait esté reservée,aux costé de la famille.

Peu à peu,le lieu consacré s'emplissait de gens,les murmures,bien que discret,faisaient s'élever de la foule un désagréable brouhaha,concert de pleurs,de sanglots et de reniflements.

Un grognement peiné accompagna son mouvement,lorsqu'il prit place.Il lança un regard au cercueil et son coeur se serra instantanément dans sa poitrine,pour reprendre après quelque secondes d'une demi conscience une cadence endiablée,battant la poitrine du jeune Angevin avec une violence inédite,presque douloureuse.

La Balafre semblait absente,obervant les ecclésiastiques et les enfants de choeur d'un air songeur,soucieux et morose.Il se souvenait de lui,de leur première rencontre,de la leçon de morale qu'il lui avait un jour faict et de laquelle il avait tiré un grand enseignement.Il se souvenait de son charisme et de son humour,de ses rires tonitruants et communicatifs.

Il fut extirper à ses songes par la voix monocorde de sa tante,précédée par un profond silence qui avait plongé Tithieu dans un profond malaise,tant il nuançait avec le tumulte qui régnait dans la place quelques instants plus tost.


Seigneur ne détourne pas ton regard de son âme...

...Qu’il en soit ainsi !


Son esprit estait embrumé,son champ de vision restreint par une soudaine buée,ses oreilles ne lui laissant plus entendre que le son de son coeur contre sa poitrine.Les paroles de sa tantes lui inspiraient les larmes,mais il se faisait violence pour préserver un minimum de contenance et de dignité.Il aurait voulu qu'il soit là,il aurait voulu qu'il ne soit jamais parti...
Joffrey
Jo , dans le plus grand silence, se recueillant avait suivi le cortège. Elle se dirigea vers sa place et écouta la cérémonie.

Elle sentait tout autour d'elle, l'émotion qui étreignait le coeur des fidèles présents.

Les parents, les amis, tous était là.


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Eikorc
Le jeune homme avait suivit la foule de loin, le visage complètement fermé, les yeux dissimulés dans l’ombre de sa capuche noire, gardant une main posée sur la garde de son épée et l’autre pendant à ses côtés, se plongeant dans de sombres pensées au fur et à mesure qu’il se rapprochait de la cathédrale, un rictus mauvais étirant ses lèvres.

Crokie suivit la longue foule jusqu’à l’entrée du bâtiment où il s’arrêta, coulant un regard mauvais jusqu’aux hommes d’églises à l’autre bout de la cathédrale. Il renifla profondément et racla sa gorge pour lâcher un énorme crachât à l’entrée du lieu de culte où se passait la cérémonie, sa haine pour Aristote encore trop présente pour qu’il ne puisse pénétrer dans les bâtiments qui était réservé à son culte.

La tenue noire était de circonstance, même s’il avait hésité à mettre la toute nouvelle qui était destiné à rappeler à tous les couleurs de son ancien maître et ami, celle-ci reflétait beaucoup mieux son âme, noire de tristesse et de haine. Son regard azur, brûlant, plongea sur l’assemblée pour trouver des têtes connues, et un sourire apparut sur ses lèvres quand il reconnut quelques visages emplit de tristesse.

Le jeune angevin tourna sur lui-même pour tourner ostensiblement le dos à la cérémonie, écoutant les chants religieux en se retenant d’hurler sa rage, croisant ses bras musculeux sur son torse en essayant de se faire le plus discret possible dans l’embrasure de la porte malgré sa haute stature, ne voulant point déranger les « festivités » que son ami Tithieu avait pris soin d’organiser…

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"Pour toujours... Et à jamais."

"Mercenaire rôliste, cherchant une troupe ? Contactez moi..." Zoko & Fablitos
Nayriagrimwald
Nayria avait suivit la cérémonie, vetue fort simplement elle jouait avec un chapelet histoire de ne point paraitre trop nerveuse, elel devait sortir ce qu'elle avait en elle, mais ce n'etait pas le moment.
Alors les perles roulaient et roulaient....

Elle repeta en choeur le sparoles qui a force de messes etaient connut de son esprit, et elle suivit le deroulement, detachée loin pour ne point trop sentir la douleur ambiante.

L'anjou avait perdu un grand homme.....

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---fromFRMononoke
Mono se tenait aux cotés de Jo. L'émotion qui les saisissait tous le serrait lui aussi à la gorge. L'atmosphère triste et digne qui rêgnait dans la cathédrale étreignait chacune des personnes qui assistait à la cérémonie.
Discrètement Mono prit la main de Jo…

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Chabinne
Chabinne entra dans la cathédrale sans faire de bruit, essayant d'être le plus dicrète pour ne déranger personne.
Dans un coin, elle vit Nayria, elle vient à ses côtés, la salue d'un signe de tête puis écoute les paroles de dame Verty.

Elle soupire, sentant la profonde tristesse qui était en ce lieu, elle pense à Zoko et pria en simple Angevine, à la mémoire de cet homme.
---fromFRcos
Cos, qui avait aussi suivi le cortège de loin, vint se placer près de l'Eglise...Il n'avait pas l'habitude d'y mettre les pieds...
Il apperçut Crokie, et lui fit un signe de tête, puis entra discrètement...
Il se mit tout au bout de l'Eglise...
Il ne pronoça aucun mot, mais laissa quelques larmes couler le long de ses joues...
Il pensa: Au revoir Zoko...Tu resteras présent longtemps parmi nous...nous ne t'oublierons même jamais...

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made by Chabinne...
---fromFReva1906
En arrivant devant la Cathédrale d'Angers, alors qu'elle avait suivi le cortège, Eva fut hésitante à pénétrer dans cette enceinte qui ne correspondait plus à ce qu'elle en attendait...Aristote avait rappelé son ami Zoko vers lui...si vite, si tôt, si injustement, dans une totale incompréhension pour tous.

Lorsqu'elle entendit les gens reprendre en choeur les paroles de l'Evêque, elle fut saisie d'une certaine réticence mais par respect pour tous ceux qui avaient organisé la cérémonie, elle avança de quelques pas, restant à l'arrière de l'assemblée. Les yeux rivés sur le cercueil, n'entendant qu'à peine les mots du Prêtre...
Elle se serra les mains, ses ongles écorchant l'intérieur de ses paumes...

Pourquoi Aristote, pourquoi??? Repose en paix Zoko ...
Elle ressortit de la Cathédrale, toute en peine, seule avec ses souvenirs...
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Amoureuse et fidèle de son tendre Cos
Kilia
Kilia dans le noir de sa prison, savait ce qui se passait en Anjou. ce soir le verdict qu'on lui avait annoncé la veille n'avait plus grand importance, elle priait pour Zoko, elle était avec les siens.

Elle savait que ses fidèles serviteurs allaient exécuter ce qu'elle leur avait demander. Des centaines de bougie allaient être allumées pour éclairer la route que Zoko allait prendre. Des enfants habillaient de blanc porteraient tous cette lumière pour lui.
Tous les alentours de la cathédrale étincelait de ces petites flammes.

Kilia, elle, dans le noir imaginait ces lumières et sans le savoir recitait la même prière que ceux autour de Zoko.


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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou
Verty
Monseigneure Verty s'avança vers le lutrin et dit:

Mes soeurs, mes frères, ne pleurez pas et écoutez.
Une pensée que les défunts pourraient avoir à nous dire.



Citation:
La mort n'est rien, je suis juste simplement passé dans la pièce à coté.
Je suis moi, vous êtes vous,
Ce que nous étions les uns pour les autres, nous le sommes toujours.
Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné,
Parlez-moi comme vous l'avez toujours fait,
N'employez pas un ton solennel ou triste.
Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble,
Priez, souriez,pensez à moi,
Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été,
Sans emphase d'aucune sorte, sans trace d'ombre,
La vie signifie tout ce qu'elle a toujours signifié,
elle est ce qu'elle a toujours été.
Le fil n'est pas coupé, simplement parce que je suis
hors de votre vue.
Je vous attends.
Je ne suis pas loin,
juste de l'autre coté du chemin.
Vous voyez, tout est bien.


Le signe d’adieu

Le prêtre : Avant de quitter la cathédrale, nous allons dire un dernier adieu à notre frère Zoko
Avec respect et affection, confions-le au Très haut, dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui .


La mère Verty fait respecter un long moment de silence

Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,
avec l'immense cortège des saints, nous lui souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.

Je vous confie cette enveloppe charnelle pour remise au Panthéon Angevin.

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Tithieu
La messe avait estée courte mais émouvante,et son esprit avait grand peine à revenir à la réalitée,vagabondant dans les souvenirs de son cher oncle.Malgré la sérénitée qu'imposait de faict le lieu et la béatitude qui émanait de chacune des pierres posée là pour former l'imposante bastisse afin que l'on puisse venir s'y recueillir,les sanglots profonds et déchirants n'avaient eu de cesse de retentir sur les murs de la Cathédrale.L'heure estait à la commémoration,l'heure estait à la décence.

Il prit une profonde inspiration lorsque sa tante conclut son discourt,balayant l'assemblée d'un air désespéré,comme pour y trouver une aide salvatrice.Mais personne ne le remplacerait et déjà,les hommes chargé de transporté le cercueil jusqu'au tout proche Panthéon avançaient vers l'écrin qui détenant entre ses planches richement ouvragée le meilleur homme que Tithieu ai connu:c'estait bel et bien à lui qu'incombait la lourde tasche de faire entrer son défunt oncle au Panthéon Angevin.

Il se leva,péniblement et prit la teste du cortège qui sortait de la Cathédrale.S'arrestant à la sortie du lieu pour observer l'imposante construction ecclésiastique,il attendit que le cercueil eut franchit le parvis pour prendre la direction du Panthéon ,où une plaque serait dédié au beau Zoko,à son tonton vert adoré...
---fromFRBlue
Blue prit un cierge à l'entrée de la cathédrale vide en ces heures nocturnes. Il l'alluma avant de commencer sa prière.

Saint Michel Archange, gardien très fidèle de l'Église, moi ........... malgré mes misères, confiant dans ta bonté et la puissance de ton intercession devant le Seigneur Dieu, je me présente devant toi, et je te choisis comme protecteur.

Je me propose fermement de t'honorer toute ma vie et de faire connaître ton pouvoir.

Aide-moi à ne pas me laisser entraîner par les tentations ; donne-moi le souci des autres, le courage d'aider les plus démunis et la force de témoigner de ma Foi dans mon travail, ma famille et le monde où je vis. Qu'à l'heure de ma mort, mon âme soit en paix, confiante d'obtenir la lumière éternelle.

Amen.

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Le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation.
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