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[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

Joffrey
Citation:
« Qu’as tu fait de réel, pour la Paix,


Nous n'avons point volé de terre à notre voisin.

Citation:

qu’as tu fait pour moi qui t’ai élu,


Ils ont parlementé encore et encore, non pas essayer de prouver par vanité et orgueil , leur force. Ni imposer leur loi.

Citation:
qu’as-tu fais pour ne pas trahir la confiance que j’ai mise en toi ? »


ils nous ont défendus, ils nous ont protégés.

Nous ne sommes pas les agresseurs , rendez nous nos terres et la paix pourra enfin repartir sur de bonnes bases.

Prions pour la paix, prions pour la justice, prions pour la raison , non , du plus fort, mais du juste.

Ne nous faisons pas juge , ni bourreau de notre duché, aimons -le et gardons- le entier.
Verty
Mgr Verty s'avança vers le lutrin, elle y posa son parchemin et commença à lire.

Seigneur, Dieu de Paix, toi qui as créé les hommes pour être les familiers de ta gloire, nous te bénissons et nous te rendons grâces:
Nous te rendons grâces pour les désirs, les efforts et les réalisations que ton Esprit de Paix à suscités en notre temps, pour remplacer la haine par l'amour, la méfiance par la compréhension, l'indifférence par la solidarité.
Ouvre davantage encore nos esprits et nos coeurs aux exigences concrètes de l'amour de tous nos frères, pour que nous soyons toujours des Artisans de Paix.
Souviens-toi, père de miséricorde, de tous ceux qui peinent, souffrent et meurent dans l'enfantement d'un monde plus fraternel.
Que pour les hommes de toutes races et de toutes langues vienne ton règne de justice, de paix et d'amour.
Et que la terre soit remplie de ta gloire.


Une fois achevé son élocution Verty fit quelques pas en arrière et laissa la parole aux autres personnes présentes

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pnj
Patity se faufila en la cathédrale, se cachant derrière un pilier... Elle entendit son évêque de beau frère... et entreprit une prière silencieuse ...

Ho saint Karel, cesses pluie de bière et délivres quelques coups de pieds dans séants prestigieux et religieux ...

Fais en sorte que le peuple angevin ne se fourvoie pas dans discours bonimenteurs et trouvent d'eux même l'obstacle à cette paix, le vol d'une partie d'eux même.

Fais que les dirigeants n'abandonnent pas une partie de son peuple, les habitants de Montreuil- Bellay aux poitevins.

Fais que ces dirigeants ne cèdent pas la fierté de son peuple aux profit d'un peuple dont les dirigeants ont œuvré dans le déshonneur et la perfidie.

Fais que l'Anjou protège ses enfants de la défaite facile au nom d'une paix qui n'en sera jamais une.

Fais qu'un jour, les religieux soient, comme toi, assez proches des humbles pour les comprendre avant des les juger.

Fais qu'un jour, les religieux redonnent aux fidèles cette envie que tu m'as fait connaitre, de fréquenter les églises parce qu'ils y trouvent écoute et réconfort, partage et enseignement des valeurs du livre des vertus.

Ho saint Karel, fais que certains retrouvent le chemin que tu voulais donner, qu'ils suivent ton exemple de tolérance, ton soucis du bien des peuples, ne se cachant pas sous discours résonnants de vide et faux semblants .

Saint Karel, rappelle à Lorgol ton souvenir, l'ami que tu étais, les idées que vous défendiez, donnes lui la force de résister, de continuer cette lutte que vous aviez commencé ensembles.

Saint Karel, redonnes à cette église des hommes et des femmes comme Abysmo, Leto2, Trufaldini, Lovian et leurs compagnons qui savaient convaincre, transmettre leur idées sans les imposer.

Hamen ...

La prière terminée, elle chanta un psaume que le fils de Karel lui avait enseigné ...


Tu as vécu l'errance,
Allant sur les chemins,
Sans savoir où cela te mènerais,
Par ta seule Foi guidé.

Souffrant la pauvreté,
Tes paroles si souvent raillées,
Tu es resté si digne,
Gardant la Raison comme lumière.

Et ta récompense est venue,
Quand les foules t'ont suivi,
Quand Christos t'a reconnu.

Ô Thomas !
Montre nous la voie,
Comme tu as su la montrer,
A ceux qui t'ont écouté.


Puis elle sortit où attendaient d'autres prières, d'autres personnes qui n'avaient pas volonté de se laisser abusées ...
Verty
Voyant sa soeur Patity prier avec ferveur, Verty fut transportée de joie elle avait toujours su que sa soeur était quelqu'un de sensible et d'intelligent et avait espéré qu'elle rejoindrait un jour le chemin de la vertu.
C'était chose faite aujourd'hui, non seulement sa soeur priait mais elle chantait également.
Enfin sa soeur était entrée en cette cathédrale afin de soutenir la Paix en espérant qu'elle ferait entendre raison à son époux un tantinet moqueur.
Mgr Verty vit repartir sa soeur, décidément Patity était pressée de répandre toutes les paroles de Paix entendues et de s'investir pour tous ceux qui la voulait cette Paix méritée.
Elle sourit en voyant sa soeur dans de si bonnes grâces.
A l'heure ou le prestige des duchés allait devenir un élément important de la vie dans les royaumes la démarche volontairement pacifique de cette dernière était enfin un bon point pour l'Anjou.

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Rosebudy
Rose s'agenouilla puis pria longuement

Dies irae, dies illa

Solvet saeclum in favilla:

Teste Christos cum Sibylla.

Quantus tremor est futurus,

Quando judex est venturus

Cuncta stricte discussurus!

Amen .

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Tithieu
Depuis le début de la cérémonie, le jeune Duc assistait à l'office, adossé contre un pilier, le faciesse masqué par un large capuchon.
Ecoutant attentivement les paroles ô combien pacifiste des clercs, riant à l'ouï de leur harangue qui avait pour principale cible le pouvoir élu, il ne put que déplorer le faict que les divers sommités du clergé, primat, évêque et autres abbés n'avaient aucune notion de la réalité des choses et parlaient, encore une fois, sans avoir la moindre idée du fond du problème.

Au fur et à mesure que les différents orateurs en soutane prenaient la parole pour enflammer la cathédrale, la Balafre semblait prendre patience, trépignant, jurant à voix basse. Les sermons, qui se révélaient au faict estre de véritables appels à la révolte populaire, n'estaient que tissu d'inepties hypocrites, indigne d'hommes de Foi.


"Pourquoi êtes-vous en guerre ? Dans quel but ? Qui veut cette guerre ? A qui profite t elle ?"


C'en estait trop. Assez de diffamation, de spéculation inepte, d'allégation sans queue ni teste.
L'homme se redressa, s'avança vers l'autel et pris la parole pour interpeller Clodeweck d'une voix puissante et résonnante.


Monseigneur!

Que voilà d'excellentes questions! Auquel n'importe quel Angevin digne de ce nom pourrait vous répondre!

Mais je vais le faire, moi, en personne Monseigneur.

"Pourquoi l'Anjou est-elle en guerre?"

L'Anjou est en guerre parce qu'un beau jour, lointain, un voisin trop gourmand a décidé de revendiquer une terre qui ne lui revenait pas! L'Anjou est en guerre pour protéger son bien, mais plus que cela, pour protéger l'indivisibilité de son territoire! L'Anjou est en guerre car l'on souhaite humilié l'Anjou! L'Anjou est en guerre pour sauvegarder son honneur que certain tendent à bafouer!

L'Anjou ne veut pas la guerre! Elle l'a subit! L'Anjou n'a pas opérer d'incursion sur le Poictou! N'oubliez pas qui est l'agressée dans cette triste histoire!

La victime est l'Anjou, Monseigneur!

Et nous, élus, l'avons esté pour défendre les intérest du peuple! Osez-vous penser que le peuple veut voir une part de son territoire volée par autrui?

Devons-nous le tolérer, et prendre le risque que demain, nos voisins prennent, pillent et brûlent certaines de nos villes en toute impunité, parce que l'Anjou a céder lors de la guerre de Montreuil-bellay?


Vous tentez de véhiculer l'idée que le pouvoir se bat pour lui seul! C'EST FAUX!

NOUS défendons le peuple! NOUS le protégeons! NOUS veillons à sa sauvegarde, à son advenir!

Qui peut se vanter d'en faire autant? L'église? Je ne vois là que paroles!

Qu'avez-vous faict pour les populations sinitrée par la guerre, à Saumur?
Rien! C'est le gouvernement et lui seul qui indemnise les blessés, qui les soigne!


Doigt accusateur tendu vers le vieil homme, balafre luisant dans le soir, muscles contracté par la colère.

"Qu’as tu fait de réel, pour la Paix, qu’as tu fait pour moi qui t’ai élu, qu’as-tu fais pour ne pas trahir la confiance que j’ai mise en toi ?"

Vous n'estes point Angevin, mais je répondrais tout de mesme à vostre question.


Pour la paix, j'ai initié une trêve. Pour la paix, j'ai consenti à reprendre les négociations. Pour la paix, j'ai ordonner la cessation des hostilités.

Pour le peuple, celui qui m'a élu, je me bat chaque jour, sans compter mon temps. Pour le peuple, je sacrifierais ma vie s'il le fallait. Pour le peuple je me suis battu, en tant que simple soldat, avant mesme d'estre Duc! Pour le peuple je suis né et je mourrais, Angevin fier et incorruptible!
Et vous? Qu'avez-vous faict pour vos ouailles?


Se tournant vers l'assemblé des fidèles.

La confiance que vous avez placé en vostre gouvernement, nous nous battons pour ne pas la trahir. Le don de Montreuil-bellay serait une trahison! Jamais le Conseil d'Anjou ne se rendra coupable de ce crime! Quoi qu'en dise l'église!

L'Anjou veut la paix, oui! Mais pas à n'importe quel prix!

Nous avons droit au respect de nostre peuple! Chacun d'entre vous en tant qu'individu et nous tous, en tant que collectif uni, avons droit au respect de nostre territoire et de nostre honneur!

Que vive l'Anjou, envers et contre tout!
Kilia
Kilia ouvrit le plus doucement possible la petite porte de côté pour entrer dans la cathédrale. Évidement par malchance c'était celle qui grinçait le plus. Un grand grincement lui glaça les os. Sûr que tout le monde allait se retourner pour voir qui arrivait si en retard. Elle attendit une minute espérant que tous auraient retourné leur regard vers l'autel et ainsi se faire passer inaperçu.

Au même moment sa soeur Patity se mit à chanter. Elle lui sauvait la mise l'auditoire ouvraient de grand yeux en la regardant chanter. Elle poussa doucement de la main un petit môme assit au bout d'un banc et se plaça à côté de lui.

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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou
Mackx
Une missive arriva dans les appartements de Mère Verty, missive promise, missive due ^^.

Citation:
Ma mère,

Sachez que c'est avec plaisir que je me joins à vos prières d'aujourd'hui, prières pour une paix qui nous permettrait à tous de panser nos plaies.

Que notre Seigneur Aristote puisse, dans sa bonté, montrer à nos deux peuples le chemin de la paix et aussi du respect mutuel, qui, ces derniers temps, s'est quelque peu perdu.

Avec mon plus grand respect,

Maxime d'Alesme

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Clodeweck
Voyant dame Patity rejoindre les rangs de la paix, le vieux père, quarante deux ans déjà, eu un sourire.
Cette femme ne pouvait pas rester du côté de la mort. Elle a toujours fait preuve de finesse et d'intelligence, elle ne pouvait pas ignorer que se battre et mourir pour de fausses idées et amener à la mort son peuple n'est pas un avenir.
Ravi il la regarda prier puis sortir.
Enfin l'Anjou pouvait espérer, avec des gens de tant de ferveur ce duché relèverait bientôt la tête.

Puis il écouta le discours éculé et rengaine du Duc...Celui même qui avait amené son duché à pactiser avec le mal...
Quelle pitié !
Il n'avait rien de nouveau à dire. La soupe était froide et n'avait plus de goût... Se rendait il compte au moins du ridicule dont il se couvrait ? Plus personne n'y croyait à sa logorrhée verbale !
Il hésita à répondre à un homme qui par orgueil avait voulu faire tuer sa propre tante.
Un homme qui voulait la mort de cette femme parce qu'elle barrait ses rêves de gloire personnelle.
Un homme vil et insultant dont la parole ne valait que l'homme...Rien
Un homme qui trompait sa femme comme son peuple.

L'évêque soupira...Avez vous une fois essayer d'expliquer à un homme qu'il n'est pas intelligent ? pensa t il ...C'est impossible il n'a que son intelligence pour comprendre.

Il se décida à répondre, bien que cela ne soit qu'en pure perte.



Tithieu, tu n’es qu'un menteur et ton peuple commence à voire en toi, c'est cela et uniquement cela qui te gène.
Tu as été élu qu'à minima, uniquement pour ne pas en élire un autre et tu n'as rien fait pour ton peuple, surtout pas pour la paix.
Tu as négocié la trêve tout seul...les poitevins n'y étaient pas ?
Tu cherches à sauver ta peau en pleurant auprès de l'inquisition et tu te ventes ici d'être fort...
Tu as amené le mal en Anjou avec les Lucioles...

Tout ce que tu sais dire pour justifier tes rêves de gloire c'est "ce n’est pas moi c'est l'autre"...Un enfant de quatre ans résonne comme ça...Les Angevins sont des adultes, quand arrêteras tu de les prendre pour des moutons que l'on mène à l'abattoir ?

Tithieu je ne te crois plus, mainte fois je t'ai tendu la main, mainte fois je t'ai vu faire l'inverse de ce que tu disais devoir faire. Tu es faux, lâche car tu te caches pour agir.
Tu vas faire quoi maintenant ? Me menacer de mort ou de procès comme tu menaces ta tante, une femme droite et sincère.
M'insulter comme tu le fais encore et toujours avec tous ceux qui gênent tes rêves ?
Haranguer la foule en disant "c'est moi la victime, on nous attaque, l'église veut le pouvoir etc..."?
Je suis ici pour dire aux gens qu'il y a une autre voie que celle que tu proposes...
Après la messe je pars pour Saumur puis la Champagne, je n'ai rien à gagner en Anjou, je suis prêtre juste pour que les gens gagnent leur salut.
Mais l'honnêteté ça t'as toujours paru louche n'est ce pas ?
Forcément il faut avoir été honnête pour savoir ce que c'est.

Allez Tithieu, prends toi donc pour un grand chef pendant encore trois semaines, je crois que les gens ici ont compris qui tu es.

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Gerfried
L'écuyer du baron de Cossé représentait son sire dans la cathédrale. Il eut un sourire acide.

- Messire Clodeweck, nous ne sommes pas en Bretagne ici. De grace, rangez votre fiel et dites messe et seulement messe. Ici, les éveques ne dirigent point, ils s'occupent de leurs ouailles. Et c'est ainsi depuis le commencement du duché, et surtout depuis que feu Bouboule fut pris la crosse dans la caisse du fisc angevin.

Haussement d'épaule.

- Vous n'avez rien à proposer, c'est dommage. Vous ne faites que cancaner comme oie qu'on veut mener à la pierre à découpe. Si vous n'avez rien à dire que de menacer vos fidèles, alors partez et ne vous retournez pas.
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Clodeweck
- Hola, décidément c'est jour de féte, tu as dit plus de dit mots
Bravo Gerfried ton flood habituel évoluerait donc ?
Mais ce n'est pas trés constructif et les insultes ne me touchent pas .
soit béni mon fils , un jour peut étre tu comprendras.

Les évêques ne gouvernent nulle part, mon enfant, mais quand tu seras grand tu le comprendras, il y a le rêve et la réalité. Vas vite t'assoir.


Il était venu parler de paix...Comment parler de paix à de tels gens ? La réaction de Tithieu et celle du petit, démontrait bien ce qu'ils étaient...Des étres béliqueux.
Le vieil homme ferma les yeux et adressa une priére au trés haut.
" Seigneur aies pitié de ces deux hommes...ils méritent que tu les sauve d'eux même"

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Gerfried
[ HRP : ton post n'a pas autant d'intéret que tes récriminations constantes en gargotte bretonne. Eh non, Gerf est à Saumur, mais ça tu l'avais remarqué sans doute ?

Va t'adapter, tu ne récolteras que des embrouilles, comme disait mon MJ à DD. ]
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Clodeweck
Comme plus rien d'intéressant ne se profilait, le vieil évêque retourna dans les stalles. Puis entendant parler de sa vieille ennemie la déesse achérpée, celle tant glorifiée pat les adeptes du paganisme, il fut pris d'une violente colique.
C'est plié en deux qu'il sorti par l'arrière de la cathédrale...acherpée l'avait toujours fait vomir et ses adeptes lui collaient la diarrhée...
Dommage.

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Gerfried
L'écuyer vit partir l'éveque plié en deux. A trop mal faire ses dévotions, on était puni. Quel était le saint des malades déjà ?
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---fromFRAnonymous
Pépé_kaly était derrière la cathédrale avec des Soldat Angevins.Quand la porte s'ouvrit et que le vieux Bretons sortît .Il ne lui adressât mot mais fit frapper son épée contre son écus en signe de protestations.Les hommes prêt de lui en fît de même créant par la même occasion un bruit ressemblant étrangement au grondement du tonnerre.

Il fît arrêter ce bruit pour dire à l'abbé



l'Anjou ne pliera jamais et sera envers et contre tout fidèle à notre duc .Et sa ne sera pas un vulgaire Bretons qui changerons cela .Ici vous ètes en Anjou et insultez notre duc peut amené des Angevins à vous faire rencontrer le très haut et Aristote très vite.


Avant que l'abbé puisse répondre les bouclier et les épée recommencèrent leurs brouhaha montrant par là la volonté de l'Anjou à ne rien cédé
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