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[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

Verty
Regardant les quelques paroissiens, Verty soupira en pensant combien les gens se tournaient vers l’Église et le Très Haut quand ils en avaient besoin, mais sombraient vite dans le désintérêt voir le vide spirituel quand tout allait bien pour eux.
Mes chers amis, bienvenue dans la maison de Notre Créateur.

En ce dimanche neuf novembre, je vais vous parler d’une tribu qui fait partie de notre histoire, mais n’existe plus parmi nos royaumes que dans les légendes ou dans la moquerie populaire.
Je vais vous raconter l’histoire de la tribu des Bisounours, qui disparurent dans les déserts d’orient alors que les autres tribus ont fondé les civilisations qui ont dirigé notre monde à un moment donné.


Citation:
Parmi les tribus qui avaient fui la cité d’Onalyone, il y avait une tribu portant le nom de Bisounours, on sait qu’ils avaient une vision de la vie très tournée vers Dieu, mais de façon assez simpliste.

Les Bisounours vivaient à l’écart des autres, car ils ne voulaient pas trop qu’on leur fasse des remarques sur le fait qu’il mettait tellement l’amour au-dessus de tout qu’ils en oubliaient de travailler et vivaient donc surtout au crochet des autres. Pour eux, Dieu vivait tout là haut, au pays des arcs-en-ciel et des nuages douillets, dans un royaume merveilleux où à leur mort, ils serraient reçu sans être jugé, puisqu’ils vivaient sans malice d’amour et de fêtes.
Prenant la réponse d’Oane au pied de la lettre, pour eux, la seule chose demandée par le Créateur était de s’aimer et de l’aimer, chacun sa place et la leur était clairement de faire la fête.

Dans la grande cité, ça ne dérangeait personne et au contraire on aimait les inviter aux fêtes, car ils n’avaient pas leur pareil pour inventer des concours et des thèmes de fêtes pour n’importe quel sujet. Il avait fait bien entendu des concours de celle qui avait la plus belle coiffure, celui qui avait les plus beaux pectoraux, les plus jolis mollets et même certains organisaient des courses d’escargots. Ils aimaient tant les fêtes, qu’ils se mariaient juste pour en avoir une et demandaient l’annulation du mariage en inventant des vices de procédures lors de grand concours... on dit même qu’ils avaient organisé des concours sur les plus belles raisons d’obtenir le divorce et avaient demandé aux législateurs d’étudier un texte de loi, qui limiterait la validée du mariage pour ainsi économiser une procédure en séparation qui étaient très coûteuse à l’époque et qu’en général les Bisounours étaient toujours fauché.
Bref, vous comprendrez que tout ça était très amusant, mais qu’après la punition de notre Créateur les survivants ne désiraient plus trop ne penser qu’à des futilités même pour favoriser l’amour de son prochain.
De plus, la vie était dure et si le partage était de mise, tout le monde devait participer ce qui n’était pas du goût des Bisounours.

Les Bisounours désignèrent leur Miss et Mister sourire comme chef, et celui-ci vint chaque soir trouver Mhour pour lui demander de contacter Oane et demander qu’ils aient leur propre oasis puisqu’ils n’étaient plus les bienvenus... ce à quoi Mhour finit par répondre : « aide-toi et le Ciel t’aidera ».
Les Bisounours firent un concours pour trouver la meilleure explication et décidèrent de suivre l’explication gagnante «si on se tire, Dieu que nous aimons ne nous abandonnera pas et on aura notre oasis »
Ils firent donc une grande fête d’adieu et partirent avec un minimum de bagage, histoire de ne pas se charger puisque Dieu viendrait satisfaire à leur besoin le moment voulu.
Malgré tout, les sages des autres tribus tentèrent de les dissuader de partir, mais ils dirent que rien ne pouvait leur arriver, car ils aimaient Dieu et attendaient que Lui à son tour les sauve par amour.
Mhour eut beau les sermonner et leur dire que chaque action que nous faisons détermine ce que nous devenons, et que le Créateur attend de nous que notre amour soit sans condition. Ils n’écoutèrent qu'eux même et prirent la route vers le levant, sans même admettre qu’ils retournaient en fait vers le lac salé qui recouvre les ruines de la cité maudite.
On n’entendit plus parler d’eux en dehors de contes pour enfants où on parle de gens qui pensent que tout est amour gloire et beauté...


Ce qu’il faut retenir de cette histoire est bien entendu « aide-toi et le Ciel t’aidera ».
Si vous attendez d’être dans le besoin pour vous tourner vers les autres, il y a peu de chance qu’ils se souviennent de vous puisque le reste du temps vous étiez absent.
L’amitié vraie, est l’amitié désintéressée, et il en est de même pour un bon Aristotélicien... il doit croire et aider l’Eglise de façon désintéressée et non uniquement quand il a besoin d’un serviteur de Dieu pour lui permettre de se marier. Pire encore sont ceux qui sont mécréants et découvrent la foi pure ce faire baptiser, car ils doivent l’être pour recevoir un titre honorifique, ou se marier pour de sombres histoires de titre ou de succession.

L’Eglise, la Foy, et donc le Très Haut sont partout dans vos vies, car vous faites partie de cette vie, n’attendez pas d’avoir besoin de Dieu, Aristote, Christos ou simplement des faveurs de l’Église pour vous tourner vers Lui.
Ne vous demandez pas ce que l’église peut faire pour vous, ni même ce qu’elle vous prive de faire, mais demandez-vous ce que serrait le monde si nous vivions dans le chaos de l’hérésie et si les lois divines ne protégeaient plus le faible.

Aide-toi et le Ciel t’aidera mais surtout aide l’Église à protéger l’ordre du désordre et les faibles de la manipulation hérétique.

Maintenant humblement récitons le Credo :


Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

_________________
Verty
Mgr Verty: « Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’elle puisse enfin voir le tiens seigneur. »

Les fidèles: « Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie. »

Mgr Verty: « Après l’amitié qu’elle a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur. »


Les fidèles: « Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie. »

Mgr Verty: «Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité. »

Les fidèles: « Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie. »

Mgr Verty: « Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’amie qui nous est chère. Accorde-nous l’espérance de la revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.»

Tous: « Amen »

Certains fidèles présents étaient déjà émus comprenant qu’il s’agissait maintenant d’un dernier hommage.

Mes enfants, si nous sommes ici, c'est pour entourer de notre amitié une famille qui est dans la peine, ma famille Patity était ma soeur.
C'est aussi pour nous rappeler que le Très Haut se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de notre sœur et de lui demander de lui faire bon accueil.


Mgr Verty et son secrétaire Juste allumèrent alors en silence des cierges.
L’AMITIÉ est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Patity qui la conduit maintenant au Royaume de Dieu ! »

Bien avant que la cérémonie ne commence, Juste avait laissé un panier à l’entrée de l’église contenant le médaillon Aristotélicien de Patity.
Les fidèles qui le désiraient avaient pu faire des offrandes dans ce panier lors de leur arrivée.
Verty invita le primat de Bretagne son beau frère Clodeweck à prendre la parole.

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Clodeweck
Le cardinal quitta les stalles, à l'invitation de mgr Verty et vint se placer prés de la lice.
Il regarda l'assistance en souriant puis son visage ce ferma.
Il regarda au loin et s'adressa à une personne absente par delà les murs de la cathédrale.
Il s'adressa à une personne qui en avait si peu dans les braies qu'elle n'était même pas là ce soir.


Le pire des hommes, la plus basse des femmes, personne ne mérite ça….
Quelque soit la haine, la rancœur, le mépris qu’on ait pour quelqu’un, qui parmi vous ferait cela.
JETER UN ETRE EN TERRE, DANS UN TROU, COMME UNE CHIENNE !!!
Honte à toi Vadikura
Honte à ta conduite et à la noblesse que tu bafoues
Honte à l’être qui par cet affront insigne a su se rendre indigne de nom d’homme.
Qui es tu Vadikura ? Qui penses-tu être, toi qui te prétends « DUC » et qui jette un être humain aux ordures ? Qui plus est ta femme, ton épouse !
Ne me raconte pas qu’elle n’aimait pas l’église, tu mentirais...
Patity s’est souvent confessée auprès de moi, c’était une fidèle de la vraie foy, malgré ses erreurs.
JAMAIS elle n’a souhaité être souillée, déshonorée, vidée en une fosse comme un sac d’ordure.

Patity était ce qu’elle était mais au-delà de tout ce que l’on peut penser d’elle, elle restait un être humain. Elle a toujours cru en l’Anjou et toujours essayer de faire au mieux de ses possibilités.
Aujourd’hui ses pires ennemis politiques sont encore capables de la respecter.
Il y eu beuverie à sa mémoire, j’applaudi cet hommage, simple et festif elle ne fut jamais une personne triste. Les gens qui se seront saoulés à sa santé sont dans la vraie foi, la mort n’est pas triste en elle-même, elle permet aux âmes de retrouver le Très Haut.

La seule personne qui me met ce soir le cœur au bord des lèvres c’est toi Vadikura, toi qui t'abaisse en n’ayant même pas le respect de celle qui fit de toi ce que tu as cru être.
Regarde-toi, sans elle tu n’étais qu’un inconnu qu’elle a trainé au sommet de la hiérarchie angevine où tu brillas par ton inaction et ta mollesse incapable de prendre la moindre décision.
Même pas la reconnaissance du ventre.
Que les feux de l’enfer s’acharnent sur toi. Tu viens de montrer aux hommes ce que tu es…Rien.
Tu pourras faire des discours pleins de haine et de rancœur, contre l’église, contre Rome ou contre qui tu voudras, tu fais cela si bien.
La différence entre nous et toi elle est là.
Nous, nous te métrions en terre proprement malgré ce que tu es, toi tu as jeté ta femme aux ordures.
Devant les hommes et Dieu tu as fait cela
JETER TA FEMME AUX ORDURES !!
Tes mensonges ne te sauveront ^plus, Dieu ait pitié de la pauvre chose que tu es.
Patity ait pitié de la loque qu’elle avait épousé, depuis sa retraite céleste.

A vous mes frères, ne soyez jamais aussi bas que cet être vil.

Pace e bene


Le prélat bénit l'assistance et recula dans le chœur.
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Nono0207
NoNo qui commençait à s'impatienter, bien qu'étant très bien entouré, fut interpellé par un homme qui prit la parole.
Il l'écouta avec attention, essayant d'interpréter ces mots, de séparer le juste de l'exagéré et du faux, pas évident, pas évident... Un discours néanmoins troublant, et touchant, qui attrapa NoNo aux tripes... vivement le partage du vin...
Jeanpolc
Il entre, se signe et prie , désirant rendre un dernier hommage à une amie disparue à jamais .
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Verty
Mgr Verty se racle la gorge en entendant les paroles du cardinal, et bois discrètement un peu de sa fiole afin de se remettre.

Cet Hommage nous rappelle plusieurs choses.
D’une part le souvenir d'une Amie Aristotélicienne qui vient de nous quitter.
D'une femme qui avait une histoire, unique, avec le Très Haut, qui était entouré de tendresse par le Tout Puissant.
Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette cathédrale, autour de sa famille, pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni au Très Haut, qui unit Dieu à chacun de nous, à tout instant.
D’autre part, que la mort viendra pour chacun de nous.
Pour les uns tôt, pour les autres plus tard.
Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".

Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière, nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre sœur et que Christos intercède auprès du seigneur pour qu’il la reçoive en son Paradis.
Nous allons à présent préparer le partage.

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Nayriagrimwald
Nayria priait, pensait à sa mésentente cordiale avec Patity et se dit qu’on était peu de chose. Pas de curé en Angers peu de fois elle avait l’occasion de venir en l’église, elle aimerait pouvoir trouver refuge au couvent ou en la prière plus souvent, recevoir aussi l’absolution après la confession aussi. De ce fait elle se jura de rester plus longtemps pour prier, et répéter inlassablement les prières.

Lorsque Monseigneur Codeweck prit la parole, la Dame au Faucon écarquilla les yeux, elle n’aurait jamais pensé qu’il le fasse en pleine cérémonie, elle se retourna pour voir les réactions des autres et vit sa fille. Elle lui fit signe de venir, avant d’entendre la suite et d’écouter Monseigneur Clodeweck jeter l’opprobre sur Vadik.

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Kilia
La Duchesse de Château-en-Anjou entra sans bruit dans la cathédrale, en ce jour funèbre tout de noir vêtues elle préféra garder sa capeline devant le visage et rester dans cette solitude qui permet de se recueillir.
Elle écoutait attentivement mais c'est le visage de sa soeur et le manque terrible qu'elle ressentait qui la faisait souffrir. Cette douleur sourde qui ne la quittait pas.
Elle repris avec sa Soeur encore en vie, Verty la prière.

Mgr Verty: « Après tous nos regards qui ont croisé le sien, qu’elle puisse enfin voir le tiens seigneur. »

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Mgr Verty: « Après l’amitié qu’elle a reçu et qui a guidé sa vie, accorde lui l’amitié ultime qu’est la tienne Seigneur. »

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Mgr Verty: «Après les peines et les larmes qui ont obscurci sa vie, illumine sa route pour l’éternité. »

Seigneur ne détourne pas ton regard de notre amie.

Mgr Verty: « Seigneur, nous tournons vers toi nos espoirs à l’heure où disparaît le corps de l’amie qui nous est chère. Accorde-nous l’espérance de la revoir auprès de Toi pour les siècles des siècles.»

Amen

Lorsque Clodeweck prit la parole, elle leva les yeux de son recueillement. au bout de deux mots elle tremblait.
Honte à toi Vadikura

Un frison la prend.
Elle comprend, elle ferme la bouche et ne dit rien. Voilà réglement de compte dans une église, l'horreur.

Elle écoute, elle ne peut pas elle se lève.

Mais qui peut servire Aristote et parler ainsi sous son toit, mais qui peut être aussi haineux de pouvoir dire cela de l'homme dont Patity à le plus aimé.

Mais allez régler vos comptes ailleurs hors de cette cathédrale qui ne doit reçevoir que l'amour des gens envers Aristote vous me faite honte, honte d'être Aristotélicienne, j'espère que Patity n'a pas entendu vos paroles dans ce lieu de receuille. Je suis là pour pleurer ma soeur pas pour entendre votre haine de famille!


Elle s'était mise debout les larmes lui coulaient sur le visage. C'était cela sa famille, c'était eux les représentant d'Aristote,.

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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou
Mckagan
Mck qui était arrivée un peu après de début de la messe s'était installée dans un petit coin discrètement, et priait pour patity, cette femme qui avait toujours su être là pour elle, et elle lui en était éternellement reconnaissante. Elle écouta attentivement Clodeweck, et ne préféra penser mot de tout cela ne sachant pas éxactement de quoi il en retournait. Elle pria juste silencieusement pour rendre un dernier hommage à son amie, les larmes aux bord des yeux qu'elle tentait désespérément de retenir.
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Verty
Mes enfants, vient maintenant le moment de nous remémorer le sacrifice que fit Christos au nom de l'amitié. L'amitié, c'est ce qui nous unis comme frères et nous rend plus fort...
Mgr étira la fin de sa phrase alors qu’elle prenait le pain, le levait et le bénit. Elle versa ensuite du vin dans les calices et fit la même chose avant de prononcer les saintes paroles de la communion.




Venait ensuite le temps de partager le tout avec les fidèles.
Mgr Verty prit donc la coupe et descendit dans l'allée.
Elle voulut demander à Juste de l'aider, mais en apercevant Nono, assis dans la première rangée, feignant de prier, Verty se dit qu'il pourrait bien faire un effort supplémentaire.

Elle se dirigea vers lui et lui tendit deux coupes une grande pour lui comme promis et une autre pour le partage...


Quelle joie, mon fils, de te savoir volontaire pour m'aider dans la célébration de l'amitié.

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Kilia
Elle était resté debout avec ses larmes les regardant et rajouta,

Moi j'étais venue pleurer ma soeur, celle qui me manque à chaque heure du jour et de la nuit, celle dont je n'ai même pas pu être là pour lui dire un dernier au revoir. Je n'ai même pas pu tenir sa main une dernière fois dans la mienne. Et vous ne pensez qu'a vos rancune qu'a montrer du doigt les gens, un fautif, mais on est tous fautif, TOUS!!
Je vous déteste tous, je déteste ce duché qui l'a laissé mourir, je me déteste de ne pas avoir été là près d'elle dans ses derniers moment de vie.


Son visage remplit de larme le nez coulant elle sortit du rang de bancs et partit en courant afin de pleurer ailleurs sa soeur, afin de trouver un endroit qui calmerait le mal qui lui déchirait les entrailles depuis la mort de sa soeur, son amie, sa complice...



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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou
Joffrey


Jo qui s’était glissée dans un coin, peu avant la cérémonie, ne comprit pas de suite ce qui se passait.

Elle avait espéré trouver la paix et le réconfort en ces lieux, mais n’y voyait que haine et rancune.

Comment se pouvait il que ici, où l’amour, le pardon, la paix aurait du être des maîtres mots, l’on n e ressentait que vengeance, amertume et vindicte.

Elle ne ressentait pas de colère mais juste un sentiment de pitiè pour les instigateurs de cette farce malvenue dans une Anjou déchirée , qui pleurait ses morts.

Sans un mot , priant pour le repos des morts , elle se leva et sortit.

Rejoignant , Kilia , elle lui prit la main et la serra.

Aristode sait reconnaître les siens , lui dit elle.

Lui, seul, est juge, il est amour, pardon et sagesse.

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Verty
Les mots de sa sœur résonnaient en elle.
Elle regarda avec tristesse sa sœur courir vers la sortie.
C’est avec des sanglots pleins la gorge qu’elle poursuivit.


Encore une fois, je vous remercie d'être présent.
Le Très Haut est témoin de ma peine.
Je vous encourage, que vous l’appréciiez ou pas, à avoir une pensée et dire une prière en faveur de ma sœur patity hélas décédée il y a peu.
Puisse Aristote et Christos veiller sur Kilia ma sœur adorée qui est pleine de chagrin et de douleurs.
Je vous souhaite à tous un excellent dimanche et vous rappelle que je suis à votre écoute et me tiens à votre disposition pour toutes choses.

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Nono0207
NoNo commençait à se sentir vraiment mal à l'aise face à tant de souffrance, tant de souffrance qu'il comprenait mais ne parvenait pas à partager.
Il vit s'approcher Verty de lui, inquiet...
Mais pourquoi elle vient vers moi, pensa-t-il... Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit Verty lui tendre deux coupes, dont une grande coupe, rien que pour lui.
Il retint ses larmes, pensant que ce geste ne devait pas en circonstance si dramatique provoquer une telle émotion...
Il allait commencer le partage lorsque Kilia s'exprima encore une fois, et dernière fois, avant de partir, complètement au plus bas, suivis de Jo.

Il posa sa grande coupe dans un coin bien caché, puis commença à faire le partage du vin avec les autres fidèles, une gorgée pour lui, une gorgée pour un fidèle, une gorgée pour lui, une gorgée pour un fidèle...
Ceci jusqu'à ce que la coupe fût vidée...

Il lui restait encore la grande coupe, mais Kilia n'avait rien bu, Jo non plus et il connaissait la passion qu'elles portaient au vin.
NoNo hésita, tout de même c'était du vin... Et puis après tout...
Il décida donc de sortir, pour les rejoindre, afin de partager sa coupe avec sa marraine et Jo
Clodeweck
Le vieil ecclésiastique regarda partir Killia et Joffrey, de loin...
Il ne regrettait pas d'avoir crier son mécontentement à la place de Patity qui elle ne pouvait rien dire.
Il pensait que les gens seraient toujours aussi curieux. Ils les voyaient surpris, comme si l'église devait toujours tout pardonner sans rien dire.
Vadikura mettait son épouse en terre comme un sac d'ordure et lui était accusé de haine parce qu'il osait dire que c'était honteux...Ce n'était pas Patity qui pouvait dire son malheur alors il fallait bien que quelqu'un le fit.
Il salua Patity en pensée, se recueilli.
Non le pardon se mérite ce n'est pas un du...Et ceux qui avaient osé enterrer leur femme ou leur sœur comme ça sans rien dire auraient du mal à le mériter.
Il quitta l'église, un clerc qui dit les choses à voix haute ça choque toujours ceux qui voudraient ne pas les voir. Mais il fallait que les choses soient dites.
Patity ne méritait pas pareille injure. Il savait qu'il avait été fort dans ses propos , mais il fallait parfois en rajouter pour être entendu.
Sans haine ne passion il salua dans la pensée cette chére disparue et s'alla au dehors.

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