[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

Communiqué des Cardinaux de l'Eglise Aristotélicienne et Universelle

A tous les fidèles et religieux aristotéliciens,

Hier, Himérius, par ses annonces, affirmait sa volonté de créer une église schismatique. La Curie condamne cet acte que nous qualifions d'irréfléchi étant donné que la réforme de l'Eglise Aristotélicienne n'est pas terminée. Nous pensons qu'Himérius a agit sous la colère suite à la nomination de son éminence Vilca au poste qu'il souhaitait occuper. Himérius refusant catégoriquement tous les autres postes auxquels il aurait pu être nommé à décider de créer sa propre Eglise, en mettant en doute la légitimité du nouveau souverain pontife, Eugène V, alors que ce dernier avait été nommé selon les règles. Malgré cet acte, la Curie demande au frère Himérius et à ses partisans de méditer sur leur acte qu'ils ont commis sous la colère sans prendre de recul et de revenir sur leur décision.

La Curie n'ignore pas les problèmes que cause actuellement la nouvelle réforme et demande à tous les religieux de continuer à exercer leurs fonctions pour que la transition se fasse au mieux.

Par ce communiqué, la Curie souhaite également rassurer les fidèles. Sachez que cette nouvelle réforme n'a pas pour but d'essayer de modifier ce en quoi vous croyez. Elle a pour but de donner une organisation à l'Eglise, de donner de nouvelles charges au monastère, de vous permettre de vous confesser plus librement, et bien d’autres choses que vous pouvez lire ici.

En ce qui concerne Aristote : il est seulement question d'intégrer à la liturgie les leçons que nous tirons de ses écrits. Ce travail est en train d'être accompli à l'abbaye Cistercienne de Noirlac. Tous les fidèles ou religieux souhaitant y participer sont les bienvenus.

Ayons foi en notre Seigneur et en l'avenir qu'il nous réserve!

Que Dieu vous garde,
Que les enseignements d’Aristote vous éclairent,

Bénédictions et Salutations ludiques

Les Cardinaux
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Saint Bynarr, Patron du Duché de Bourgogne.
Miracles et apparitions sur demande. (par prières bien entendu.) [mais pas très dispo en ce moment...]

Un éminent religieux pourrait-il indiquer à l'ambassadeur du Poitou, que nous sommes en période de trève de Dieu et que l'on ne guerroie pas pendant cette trève ?
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Merci pour votre réponse, mais il semblerait que l'Ambassadeur en question n'est qu'un imposteur Félon, et que le Poitou a bien vu les efforts de l'Anjou pour réouvrir la route de Thouars.
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Eminence, pourriez vous vous arretez quelque temps en Anjou afin de nous indiquer la marche à suivre.
L'anjou manque de prétres, de confesseurs, les angevins s'éloigent de la Foi. Je crains même qu'il n'y est plus d'office dans tout l'Anjou sauf si je ne m'abuses ce qui est possible mais je n'ai eu vent d'aucune messe dominicale.
Seul lez diacre de Bargin essaye de la maintenir à craon mais même avec toute sa bonne volonté il est submergé.
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Signature hors charte

Merci votre éminence de vous soucier du salut de vos ouailles.
Il n'est pas digne de vous que vous voyagez à dos d'ane aussi servitable soit il. Je vous enverrai chevaux et escorte le long de votre périple.
Et si votre vayage vous améne aux abors de cholet ou de Montejean, je me ferai une joie de vous accueillir dans mon domaine.
En espérant des solutions rapides pour les angevins, je vous salue fidèlement
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Signature hors charte

Une fois Tydual resté seul, Artémisia s'approcha de lui.

- Si vous le permettez, Messire Duc, il n'est point tout à fait exact que tout l'Anjou soit en pénurie d'office... Un village résiste et prend soin de son église, Notre-Dame-De-Nantilly, et Frère Karel donne l'office le dimanche aux vêpres. Ce village c'est Saumur.

Si votre coeur ressent le besoin de se recueillir, joignez-vous à nous, Messire Tydual de Dénéré, nous en serions honorés et vous constateriez par vous même que la foi ne nous a point abandonné.
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à Montreuil Bellay, près Saumur, mon âme à son âme liée...

- demain, Messire, à vêpres, il y aura une messe en mémoire de feue la reine...
et oui, Notre-Dame-de-Nantilly, grâce aux efforts des villageois et à la générosité de frère Karel, notre église est bien vivante.

Cela vous étonne donc ?
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à Montreuil Bellay, près Saumur, mon âme à son âme liée...

Un pigeon venant de Saumur entra part l'une des fenetres de la cathédrale...
A l'une de ces pattes, un message qui n'attendait qu'à être lu...

"Monseigneure Arikel,

Vous n'êtes pas sans savoir à présent que de nombreux soldats du duché se battent en Poitou.
Aussi, je me permet de vous demander une messe en notre cathédrale, afin que nous puissions priez pour nos valeureux soldats et le peuple poitevin.
Qu'aucune vie ne soit prise et que tous rentrent sain et sauf.

Vous remerciant par avance,
Damoiselle Brisby "
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Brisby

Mon avenir : Grandson et une nouvelle aventure
Mes souvenirs : Saumur, Assahis, Mélisende

Nicotico de Cassel, évêque Grégorien de Poitiers
et
Arikel évêque Cistercienne d’Angers,


Invitent les fidèles aristotéliciens à prier pour qu'une solution pacifique durable soit trouvée dans le conflit qui oppose le comté du Poitou au duché d'Anjou.
Tout au long de ce mois de février, les diocèses d'Angers et de Poitiers prieront pour cette paix et tisseront des liens fraternels et amicaux.

Nous sommes tous concernés par le climat de violence entretenu sur ces terres. Nous en appelons au conseil du Poitou et à celui de l’Anjou pour qu’une solution durable ramène la paix et la réconciliation entre ces deux comtés.

Les souffrances des populations exigent l’ouverture de négociations pour la Paix. Cette voie d’avenir doit être encouragée et même suscitée par les comtés et par leurs Eglises.


Prière

Sous le choc, nous nous tournons vers toi, O Seigneur, pendant que montent les cris de ceux qui ont perdu des êtres chers.
Une période de souffrances se déroule sous nos yeux et nul ne comprend les raisons les rancoeurs et le désespoir qui ont pu motiver une tant de malheurs.

Nous, les membres de l'Église Aristotélicienne, nous nous joignons à tous ceux et celles du Royaume de France qui te prient pour les victimes tuées, mutilées ou blessées, ainsi que pour leurs familles et leurs proches. Nous te demandons de réconforter ceux qui pleurent.

Nous te prions pour les citoyens et les conseils d’Anjou et du Poitou, afin que ceux et celles qui se trouvent en position d'autorité ne réagissent pas par vengeance mais fassent preuve de sagesse, de retenue et de raison.

Finalement, nous te prions pour nous, et pour toutes les personnes de bonne volonté dans le Royaume de France ; donne-nous l'ouverture de cœur nécessaire pour comprendre le sens de la folie que nous vivons aujourd'hui. Donne-nous à tous du courage. À travers le cri légitime des opprimés et des gens qui, sur cette planète, souffrent d'une vie de drames continus, fais-nous entendre ta voix nous appelant à construire un monde de justice, à créer un monde de paix.

Nous t'en prions au nom d’Aristote,

Amen
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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
Visitez la Cathédrale d'Angers

HRP/ c'est très beau

Avis de la curie Romaine:

Le Vatican se constitue une armée papale, voici l'annonce du Cardinal Cesars:

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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
Visitez la Cathédrale d'Angers

Angevins! Fidèles aristotéliciens! Ecoutez moi!

Ce soir la justice normande, instrumentalisée par l'hérésie phookaïste vient de condamner à mort le Cardinal Camerlingue Lescure.
Son seul tord est d'avoir voulu lutter contre l'impiété. Il est victime d'une procédure honteuse, s'approchant d'une execution sommaire. Le procès a été expédié. C'est un scandale!

Cette horreur ce déroule ici.

J'invite tous les croyants à prier pour son salut.
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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
Visitez la Cathédrale d'Angers

Moi, Nolivos, Primat de l'Eglise Gallicane, informe les fidèles de la présente bulle papale :

Amen.
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Johanòt de Béarn dit Nolivos, frère de Calixte de Béarn dit Nolivos, comte d'Argentat
Neveu de feu Izaac de Béarn dit Nolivos, cardinal de l'Eglise aristotélicienne

Messe dominicale.
Pour la paix et pour l'accession au Royaume des cieux

La Cathédrale d'Anger était bien paisible, quelques fidèles s'étaient déja installés, d'autres arrivaient. L'ambiance était bonne, et le recueillement aurait pour origine le louanges au Seigneur pour la paix et l'espérance d'un Royaume de Paix.

Une fois l'édifice empli les cloches cessèrent, l'Evêque pouvait commencer.


Chers Frères et Soeurs, mes enfants,

Nous voici en ce diamnche assemblés, dans la paix du Seigneur et la paix des hommes. En ces jours difficiles louons le Tout-Puissant pour les bienfaits de paix qu'Il nous octroie.

Amen.


Lecture du Psaume 37


Supplication d'un pénitent



Seigneur, corrige-moi sans colère
et reprends-moi sans violence.

Tes flèches m'ont frappé,
ta main s'est abattue sur moi.

Rien n'est sain dans ma chair sous ta fureur,
rien d'intact en mes os depuis ma faute.

Oui, mes péchés me submergent,
leur poids trop pesant m'écrase.

Mes plaies sont puanteur et pourriture :
c'est là le prix de ma folie.

Accablé, prostré, à bout de forces,
tout le jour j'avance dans le noir.

La fièvre m'envahit jusqu'aux moelles,
plus rien n'est sain dans ma chair.

Brisé, écrasé, à bout de forces,
mon coeur gronde et rugit.

Seigneur, tout mon désir est devant toi,
et rien de ma plainte ne t'échappe.

Le coeur me bat, ma force m'abandonne,
et même la lumière de mes yeux.

Amis et compagnons se tiennent à distance,
et mes proches, à l'écart de mon mal.

Ceux qui veulent ma perte me talonnent,
ces gens qui cherchent mon malheur ;
ils prononcent des paroles maléfiques,
tout le jour ils ruminent leur traîtrise.

Moi, comme un sourd, je n'entends rien,
comme un muet, je n'ouvre pas la bouche,

pareil à celui qui n'entend pas,
qui n'a pas de réplique à la bouche.

C'est toi que j'espère, Seigneur :
Seigneur mon Dieu, toi, tu répondras.

J'ai dit : « Qu'ils ne triomphent pas,
ceux qui rient de moi quand je trébuche ! »

Et maintenant, je suis près de tomber,
ma douleur est toujours devant moi.

Oui, j'avoue mon péché,
je m'effraie de ma faute.

Mes ennemis sont forts et vigoureux,
ils sont nombreux à m'en vouloir injustement.

Ils me rendent le mal pour le bien ;
quand je cherche le bien, ils m'accusent.

Ne m'abandonne jamais, Seigneur,
mon Dieu, ne sois pas loin de moi.

Viens vite à mon aide,
Seigneur, mon salut !



Homélie

Chers amis,


Voici plusieurs semaines que nous entendons des paraboles évangéliques sur le Règne de Dieu.
Dans les mentalités contemporaines, héritières d’une longue histoire, la notion de règne porte avec elle, l’idée de puissance, de grandeur et de domination. Le royaume idéal serait en quelque sorte celui dont on pourrait dire qu’il est le plus riche et le plus fort ; celui qui nécessite le moins de renfort possible de ses voisins ou de ses alliés et qui peut réduire à rien toutes les menaces susceptibles de s’accumuler contre lui. C’est un Royaume de prospérité, de sécurité, de paix, capable de promettre à tous ses habitants le bonheur dès maintenant et pour le plus longtemps possible.
Le prince de ce Royaume est donc chargé de ce programme : c’est un Roi, un Prince, un chef suffisamment fort pour imposer à tous les moyens nécessaires pour que le développement et la sécurité soient les maîtres mots de sa politique, tant intérieure que vis à vis des autres royaumes. C’est bien cela, la plupart du temps, reconnaissons-le que portent les mentalités contemporaines.

La Révélation biblique n’envisage pas les choses ainsi. Tout au long de l’histoire d’Israël, l’établissement et le développement d’un Royaume furent l’objet de nombreuses crises. Lorsque établi en terre de Canaan, le peuple d’Israël voulut, à l’exemple des pays voisins, bénéficier d’un Roi, le prophète Samuel s’y opposa vigoureusement, car il ne pouvait y avoir de Roi en Israël que Dieu lui-même. Pourtant Samuel céda et fit un choix malheureux en la personne de Saül qui justement, voulut construire le royaume à la force de ses facultés. C’est le petit berger David qui lui succéda, un homme très imparfait, mais tellement enraciné en Dieu qu’il devint l’archétype du Roi-Messie tout au long de l’histoire du peuple saint. Son fils Salomon, voulut établir son règne, non sur la richesse et la puissance sur ses ennemis, mais sur la sagesse intérieure et le discernement. Il fut conscient de sa fragilité et c’est cela même qui le rendit grand même s’il s’égara à la fin de ses jours. Le prophète Isaïe ira jusqu’à présenter le Roi-messie comme un serviteur démuni et défiguré portant sur lui le péché du peuple et livrant sa vie pour conduire tous les hommes vers le Royaume véritable.

La prédication de Jésus prend donc place dans ce contexte. Il sait bien ce qu’il y a dans le cœur de l’homme. Il connaît ce désir de domination, de puissance, de richesse, symbole des grandes réussites terrestres. Mais il est inscrit aussi dans l’unique volonté qui est en Dieu et il la transmet par sa vie et par sa parole d’une manière parfaitement juste.

Ainsi, il nous parle du Royaume des cieux comme d’une graine jetée dans la terre, poussant avec de la mauvaise herbe, comme d’une petite graine de moutarde, comme d’un trésor caché, comme d’une perle à découvrir. Le Royaume n’est donc pas dans la réussite immédiatement efficace et visible. Il est à chercher là, dans le secret, là où nul ne l’aperçoit d’emblée, ni même n’espère peut-être le trouver.
Ayant manifesté cela, Jésus insiste aujourd’hui sur une conséquence radicale pour le disciple, de cet état de fait : celui qui veut bénéficier de ce Royaume est appelé à miser toute sa vie sur la recherche de ce trésor qu’il peut bien certain de découvrir s’il y ordonne toute son existence. De cette manière-là, le disciple suit le chemin du Christ lui-même qui de riche qu’il était s’est fait pauvre pour nous enrichir de sa pauvreté. En effet, la graine enfouie, croissant avec l’ivraie, petite comme une graine de moutarde, semblable à un trésor caché dans la terre ou à une perle non immédiatement reconnaissable ne sont-ils pas des images du Christ lui-même qui a été jeté en terre pour devenir un arbre immense en lequel toutes les créatures de bonne volonté peuvent établir leur demeure.
Chers Frères et Sœurs, n’est-ce pas suffisamment simple et accessible ? Je pense à notre Eglise, tout spécialement dans nos duchés et comtés, qui tente à longueur de jours de bâtir sa réussite et que le Seigneur s’évertue constamment à dépouiller tant il est sûr qu’elle ne peut vraiment prospérer que si ses membres lâchent vraiment tout pour être réellement et concrètement avec le Christ dans sa mort et dans sa résurrection. Une Eglise prospère et manifestement reconnue du plus grand nombre n’est pas obligatoirement la meilleure image du Royaume.

En cette période où notre duché est particulièrement ébranlé dans ses certitudes, vivons donc un dépouillement positif afin de croître selon Dieu et de manifester ainsi que nous sommes nous-mêmes le trésor de Dieu et la perle fine qui orne à jamais la couronne du roi. Heureux, mille heureux, frères et sœurs, celui qui aujourd’hui entendra la parole et la vivra amoureusement.

Amen.
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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
Visitez la Cathédrale d'Angers

Une messe funéraire et l'enterrement d'Atémisia
a lieu dans l'église de Saumur.
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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
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Cérémonie d'intronisation de la Duchesse Paquerette



Bénédiction de la couronne.


L’Evêque, revêtu du surplis et de l’étole blanche, bénit la couronne ducale selon la formule du Rituel.


Adjutorium nostrum in nomine Domini.
R. Qui fecit coelum et terram.
V. Dominus vobiscum.
R Et cum spiritu tuo.


V. Notre secours est dans le nom du Seigneur.
R. Qui a fait le ciel et la terre.
V. Le Seigneur soit avec vous.
R. Et avec votre esprit.


Prions
Dieu tout-puissant et éternel, prêtez oreille à notre supplique. Veuillez intercéder en faveur de notre Duchesse. Daignez donc bénir et sanctifier votre pieuse fille, qui évoquera désormais pour nous la bienveillance des saints sur notre Duché. À tous ceux qui viendront lui rendre hommage en Anjou, et qui s’efforceront de lui rendre hommage, accordez, par l’intercession de la Foi et de la Sainte Parole d’Aristote, la grâce dans la vie présente et la gloire éternelle dans la vie future. Nous vous le demandons par Christos notre guide.
Ainsi soit-il.


Puis, l’Evêque asperge la couronne d’eau bénite.


Couronnement.


La couronne est portée par deux diacres sur un présentoir. L’Evêque pose la couronne bénie sur la tête de la Duchesse.

Ainsi, que cette couronne bénie par le Tout puissant, puisse protéger notre duchesse et l’inspirer dans la conduite de son règne.


Récitation du Credo.


Tous récitent alors (ou chantent) à haute voix le Credo, afin de rendre un témoignage explicite de la foi.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.

AMEN


Allocution

Je ne désire point trop faire l'éloge de notre Duchesse, sachant sa modestie et son humilité très grandes.
Néanmoins je me dois de dire à tous combien est grand mon admiration. Combien est grande mon affection pour elle. De tous temps Paquerette fut une fervente et dévouée animatrice de notre communauté et de notre duché.
Louons son action, toujours vouée à l'entente entre angevins, à la cohésion de notre Duché. aujourd'hui encore elle oeuvre à nous rassembler.
Je ne peux que l'encourager à persévérer, afin de bâtir un Duché solide, fier et fort. Un Duché riche en valeurs, protecteur des faibles et fervent aristotélicien.
Que le Seigneur te garde ma fille.


Invocations finales.

Au nom de Dieu Tout Puissant, et de ses fidèles envoyés, Aristote et Christos. Amen.

Que notre Seigneur vous bénisse et vous garde ;
qu'il vous découvre son visage et vous prenne en pitié ;
qu'il tourne vers vous son visage et vous donne la paix,
à vous mes frères et mes sœurs d’Anjou,
à tous ceux qui viendront après vous
et qui resteront en notre compagnie,
et à tous les autres qui serviront notre Duché,
jusqu'à la fin, en cette sainte dévotion.


Bénédiction finale et renvoi

Christos très compatissant et très fidèle dans la foi et dan la Parole d’Aristote, agenouillés humblement à vos pieds, nous renouvelons la bénédiction de notre Duchesse. Soyez toujours notre Guide ; nous avons en Vous confiance pleine et entière. Que votre esprit imprègne nos pensées, nos désirs, nos paroles et nos œuvres. Bénissez nos entreprises; prenez part à nos joies, à nos épreuves, à nos travaux ; accordez-nous de mieux Vous connaître, de Vous aimer davantage, de Vous servir sans défaillance. Que d’une extrémité de la terre à l’autre retentisse cette acclamation : Aimée, bénie et glorifiée soit partout et toujours La Sainte Parole d’Aristote ! Ainsi soit-il.
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Evêque d'Angers + Mère cistercienne.
Visitez la Cathédrale d'Angers

Maltese s'agenouilla également, mais en retrait par rapport à Paquerette, il demanda à ce que les nobles ici présents et les membres du conseil en fassent de meme
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Eh oui vous avez bien lu, une nouvelle Eveque ! Son Excellence que j'accompagnerai pour ce periple (sortez les tomates !) arrivera sous peu .
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Veritatem Reperimini Justitam Adhibete
Eveque du Mans

Il y a le sacrement d'ordination a administrer, et c'est une amie .
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Veritatem Reperimini Justitam Adhibete
Eveque du Mans

Pour m'a part je serais enchanter de venir .

Quand a jandeboheme je suis sur qu'elle n'y manquerait pas.

P.S. Vous avez deja un officiant pour cette messe ? Ou vous desirez que jandeboheme s'en charge ?
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Veritatem Reperimini Justitam Adhibete
Eveque du Mans

en retraite depuis fort longtemps gerfried

HRP: On en sait pas plus que vous, mais vu son degrer de meditation on a decider de la revoquer au moins jusqu'a son retour, apres a son retour on decidera ce qu'on fera d'elle mais elle ne retournera pas je pense a son evecher d'Anger.

On ne peut plus se permettre d'avoir des legumes a la place d'Eveque, c'est pour ca qu'on fait une grande campagne de nomination. D'ailleurs je pense que vous aller aimer Arikel c'est une personne special .

Ah sinon, elle emmenagera a La Fleche.
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Veritatem Reperimini Justitam Adhibete
Eveque du Mans

Angevins, Angevines

Après quelques jours d'un voyage paisible (un malfaiteur ... a tenté de vous détrousser. Vous lui avez infligé une bonne correction, et il est parti en boitant, après s'être excusé à genoux) je mesure combien la mission que m'a confié le Très-Haut dans ce Duché "bien sympathique" est un sacré boulot, en vérité.
Les paroisses ne sont pas totalement pourvues de curés et je m'apprête à faire la tournée des popottes afin de recruter le personnel compétent (ceci est une offre d'emploi à peine voilée) j'en profiterai pour vous délivrer quelques prêches par traitrise au détour des tavernes, à savoir là ou vous êtes les plus nombreux.
Je reccueillerai avec reconnaissance toutes les informations que vous pourrez me communiquer sur les idées transcendantes du Duché.
Enfin, je serai à l'écoute de toutes vos doléances pourvu qu'elles n'excèdent pas dix lignes.

Quant à la direction du diocèse, le fait qu'il s'agisse de ma première expérience ne doit pas vous effrayer en effet, Dieu dans son infinie bonté vous épargne ainsi d'entendre mes messes dominicales qui furent un calvaire pour nombre de paroissiens notamment les mortagnais qui s'en souviennent encore douloureusement.

Enfin je ne doute pas qu'ensemble nous construisions en Anjou un bastion de la sagesse Aristo.
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Sa vie, sa légende

Meroot entre dans la cathédrale, posa un genoux à terre
Monseigneur, je met mon épée et mon etre a votre service pour vous aider et vous proteger en notre bon duché
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R.I.P

Dame Paquerette et Messire Meroot je suis vraiment touchée de votre accueil, quant à votre confession Messire Tydual, je l'entendrais volontiers en privé : jurer n'est pas un si grand crime en revanche détériorer le matériel inventorié dans les biens de l'Eglise est assez facheux.
Comme vous avez du le remarquer, de ouilles, n'en ai point encore mais vous avez parfaitement raison, les averro nous les brisent, si je puis dire.

Pour ce qui est de les brûler, j'avoue que je suis assez réticente.
Il faut absolument que ces êtres sauvent leur âme avant de périr et j'ai toujours l'espoir qu'ils aient un jour la révélation de leur aveuglement.
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Sa vie, sa légende

et bien puisque vous y tenez je m'y résoudrai mais ç'est vous qui l'aurez voulu Messire, les mauvaises langues prétendent que je ne donne pas toujours dans l'aristotement correct je m'inspire pourtant toujours du message de notre prophète !
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Sa vie, sa légende

puisqu'il s'agit d'infliger une humiliation à un averroiste notoire sans l'envoyer ad patrès vous avez ma bénédiction Messire Hashram, ainsi que celle du Très-Haut, nul doute !
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Sa vie, sa légende

Ca alors, c'est rare qu'un homme ou une femme d'église me paraisse sympathique !
Je vous souhaite la bienvenue dans votre diocèse, et bonne chance dans la récupération de nos âmes souillées !
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Ciao bello...

Une lettre de Monseigneur Childebert fût accroché sur le panneau d'affichage de la Cathédrale d'Angers.

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[/quote]

ensuite, je propose, Dame Alatariel, que vous emmeniez tous visiter cette fameuse cave, histoire de reprendre espoir
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Sa vie, sa légende

Nous avons enfin des nouvelles rassurantes concernant notre bien-aimé Camerlingue qui, après d'atroces souffrances liées à sa captivité est encore sauf et désormais semble tiré d'affaires
Voici copie du message qu'il a réussi à faire parvenir à Rome

Messe du 26 novembre : de la justice

Aujourd’hui je serais grave (ç’est comme ça !) car il me prend l’envie de vous parler de ma rencontre en orient avec le sage d’Orphalese, voici comment, assis sur une souche de Ceiba cucurbitaca il tenait en haleine par son discours les villageois massés autour de lui, disant :
« je vous ai souvent entendu parler de celui qui commet une injustice comme s’il n’était pas l’un de vous mais un étranger parmi vous et intrus dans votre monde.
Mais moi je vous dis que, de même que chaque feuille ne jaunit qu’avec l’assentiment silencieux de l’arbre tout entier, de même le malfaiteur ne peut-il agir mal sans la secrète volonté de vous tous.
semblables à une procession vous avancez vers votre moi divin ensemble…
Et quand l’un d’entre vous chute, il chute pour ceux qui sont derrière lui, afin de leur indiquer la pierre qui l’a fait trébucher.
Oui et il tombe pour ceux qui sont devant lui, qui, bien qu’ayant le pied plus agile et plus sûr, n’ont pourtant pas enlevé la pierre dangereuse »

puis il dit encore « Vous ne pouvez dissocier le juste de l’injuste car ils se tiennent tous deux face au soleil de même que les fils gris et blancs sont tissés ensemble.
Et quand le fil gris se casse, le tisserand regarde tout le tissu et examine aussi son métier à tisser.
Si l’un d’entre vous met l’épouse infidèle en jugement, qu’il pèse aussi le cœur de son mari dans la balance et mesure son âme avec rigueur…
Et vous, juges, qui désirez être justes, quel jugement prononcerez-vous à l’encontre de celui qui se révèle honnête dans sa chair mais voleur en esprit ?…
Et comment punirez-vous ceux dont le remord s’avère déjà plus grand que la faute ?
La pierre angulaire du temple n’est pas meilleure que la pierre la plus basse de ses fondations »
Ainsi parlait le sage Bran Gillia au peuple d’Orphalese, et je fus réconfortée de voir que le message d’Aristote était parvenu jusqu’ici sous une forme si poétique car, par Sainte Nitouche, rude et austère est La Vérité de notre prophète :

« Quand nous agissons en toute connaissance de cause, mais sans réflexion préalable, nous commettons un injustice, par exemple chaque fois que nous obéissons à la colère et aux autres passions qui ont dans l’homme un caractère nécessaire ou naturel, en infligeant à autrui des dommages de cette sorte, ou en commettant des fautes semblables, on pratique l’injustice et ces actes sont bien injustes toutefois leurs auteurs ne sont pas pour autant injustes ni méchants, car le dommage n’a pas sa source dans la perversité »

Là-dessus, n’abusez point de la boulasse subite : reposez votre foie, entretenez votre foi au moins un jour par semaine et qu’Aristote vous garde (en filature rapprochée)

Marquise écoutait les paroles de l'évêque avec tristesse. Un petit sourire illumina malgré tout son visage en entendant parler de la ash-attitude...

Tu nous manqueras Ashram.

Amen
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Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.

Dark était présent aux côtés de bon nombre de personne, qui étaient venues dire un dernier "au revoir" à Ashram... Son Lieutenant de caserne allait lui manquer...
Il se joingit à tout le monde.

Amen

et pour lui il dit.

Repose en paix mon ami

Kask était venu frais et bien présenté voir une dernière fois son neveu, cette personne avec qui il avait passé le plus de temps depuis son adolescance. Il écouta son dernier éloge mais resta silencieux, comme l'était son neveu dans ces tristes occasions.
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Kask n'est plus qu'un fantôme errant

Se relève soutenue par son amie

Merci Alat...
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Loumel tout court ! ça tape encore plus !
ça tape même plus que ça avec juge d'Anjou marqué à coté!!!

Liloche écoutait qui avait été son Papou, sans doute le meilleur Papou au monde et en plus qui avait la classe...

Elle se demandait pourquoi il fallait systématiquement que ce soit triste quand quelqu'un partait....Et ba nan, elle ne se le demandait plus, à cet instant précis elle réalisa qu'elle ne le reverrai plus jamais.

Elle senti le même poid qui la forçait à s'assoir que le jour où elle l'avait découvert là sur son lit, allongé, raid sans la moindre respiration...

Papa...
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Il s'agit du g de gravité, entre la derniere signature et l'avant derniere il y a un effet kaleidoscope, la première est ma signature originale...

Loin au fond de la cathédrale, mortifié que le grand homme soit parti quand leur relation était au plus bas, regrettant de n'avoir pu regagner son amitié, Bénidon joignit sa voix au choeur funeste.

Amen
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Ciao bello...

Loo trouve le chemin de la cathédrale où elle n'a jamais mis les pieds. Elle entre timidiement dans la grande cathédrale. Aussitôt, elle a le souffle coupé par les vertigineuses verticales qui incitent à porter le regard vers le plafond...

Elle envoie une pensée au bô duc et s'en retourne discrètement...

Enimia, à Angers depuis peu éprouva le besoin de se rendre à la cathédrale... Elle passa le parvis lentement. Quelques personnes étaient là, dans la rue devant l'édifice... Parmi ces personnes une jeune femme semblant de noble lignée...

L'étrangère, une frêle jeune femme, portait une robe blanche comme à son habitude. Sur ses épaules, une cape de velours vert... Dans ses mains, une rose blanche... Elle avança dans la nef... et se porta près de l'autel sur lequel elle déposa sa fleur...

Des souvenirs affluaient en elle... elle s'imprégna de chaque détail, de chaque couleur des vitraux, de chaque statue... Dans une attitde de recueillement, elle déambula doucement, ses gestes toujours aussi grâcieux...

Elle passa là deux heures... Puis, aussi silencieusement qu'elle était entrée, elle ressortit... se retournant une dernière fois avant de poursuivre son chemin... La frêle jeune femme s'enfuit et disparut dans la lumière du soleil qui rayonnait en ce jour...

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En transparence.... Disparue...

Aux alentours des trois heures du matin.

Au sortir de la guerre, chacun s’était octroyé un peu de repos. Panser les blessures, se délecter de la chair des défunts, avant qu’ils ne gagnent le Circulus pour un sommeil éternel. Toujours profiter de ces moments de quiétude, lorsque les dieux le permettaient. Nul ne savait quand l’occasion se représenterait à nouveau. Si elle venait à se représenter…

Une cinquantaine de sabots caressaient la pierre dans la pénombre. Traits tirés, visages lugubres et parsemés de cicatrices, les cavaliers apocalyptiques progressaient calmement, sans bruit. Leurs capes trouées ondulaient, épousant le souffle nocturne des Dieux. Nestrecha veillait sur eux. L’illustre Déesse ne manquerait point de les accompagner dans leur périple.

Ils avaient quitté l’Antre depuis fort longtemps pour s’en aller cavaler sur les routes et rejoindre le lieu. Ce lieu… Qui se dressait majestueusement devant eux…
Les survivants de la grande guerre Biterroise contemplaient au loin cette cathédrale, qui semblait les narguer de son impressionnante hauteur. Qu’elle en profite tant qu’elle en a encore le pouvoir. Ils avaient conquit une cité, fait frémir un comté. L’heure d’ébranler un culte était venue.

Les nerfs se tendaient comme cordes de violes.

La faction comptait dix guerriers, partis sur ordre d’Halleck. Ils devraient agir vite et discrètement. Sans un mot, le manteau serré sur leurs armes dissimulées, ils mirent pied à terre quelques rues avant leur destination finale, menant tant que possible les chevaux par les flaques d’ombre.

Sept des hommes furent postés en étoile autour de la Cathédrale afin de couvrir le plus largement la zone et ainsi avoir un potentiel de repérage maximal. Ils étaient également suffisamment proches pour converger vers le bâtiment rapidement si besoin.
Ceux ci resteraient afin de couvrir les arrières de leurs compagnons, prêt à éventrer le premier venu sans crier gare !
Bouffer des boyaux, se délecter de chair…
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в тенебрис !

Puis les soldats et Aligern sortirent de la cathédrale en flammes, en courant. Ils devaient faire vite et partir de cette cité leur mission était accomplie. La cathédrale d'Anger allait bruler..

Aligern alla vers le porche où l'attendait Enimia. Ils montèrent en selle tout deux ainsi que tous les soldats.. Et le goupes de dix soldats partit au galop, fendant l'air ne prenant même plus soin de dissimuler leur mouvements.. Les ruelles d'Angers défilèrent osus leurs yeux.. A cette heure, les rues étaient désertes, ils eurent tôt fait de quitter le quartier de la cathédrale..

Après quelques minutes, ils passèrent sans encombre les portes de la ville. Aligern se retourna regardant les lueurs de l'incendie commencer à déchirer la nuit, le sourire aux lèvres.. Ils chevauchèrent à travers la campagne angevine, partant dans les ténèbres qui bientôt les happèrent, dissimulant leur fuite.. Halleck seraient satisfait leur mission avait été un succès

в тенебрис mes frères ! в тенебрис ! Que notre étendard triomphe.
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в тенебрис !

Le lendemain matin, Sieur Ego arriva sur Angers pour ses études. De loin, il voyait une fine colonne de fumée s'élever de la ville. En se rapprochant de la cité, il ne put en croire ses yeux !!! La somptueuse et magnifique cathédrale d'Angers avait brûlé au cours de la nuit et il ne restait désormais de visible qu'une charpente noicie.
Après être entrer dans la ville et s'être diriger vers l'emplacement de la cathédrale, il vit l'ampleur du désastre... Il ne restait plus que poussières et pierres jonchées en dessous de la charpente noircie.
Priant pour que le Seigneur ne s'offense pas que Sa Maison ait été détruite, sieur Ego poursuivit son chemin et se demanda ce qu'allait faire Monseigneur Jandebohen face à une telle catastrophe. La prélat allait sans doute répondre sévèrement à ces sacrilèges et il valait mieux pour les responsables de cet acte que Dieu leur soit très favorable.

Pendant toute la journée, il ne put se concentrer dans ses études et n'arrêta pas de penser à cette tragédie.
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Ego de Dénéré

Professeur et Etudiant de l'Université de Toulouse.
Haut Fonctionnaire.

Compote avait été prévenu par la rumeur, mais ce ne pouvait être vrais, TOUTES les cathédrales de France ne pouvaient avoir bruler en une nuit, c'était impensable, surtout que personne n'avait réagit durant la nuit et liraculeusement aucune habitation n'avait été touchée, ni le palais épiscopal.
Il arriva devant la cathédrale en cendre ... Aristote, que ce spectacle le révulsait. Puis hurlant ce déspoir, comme possédé, il se rua sur le premier badaud venu.

Qui ? Mais qui bon sang à bien pu offrir son âme à l'Etre sans Nom de la sorte et brûler toutes les Grandes Maisons du Très Haut ?

Puis il se souvint avoir apperçu une jeune inconnue érer dans la cathédrale à la fin de l'enterrement du Duc de Créan, elle avait l'air égarée, mais il était de service et n'avait pu lui parler, puis il l'avait oubliée.

Ce pourrait-il qu'elle en fasse partit ? Où est elle ?

Le badaud ne comprennant pas lui dit

Mais d'qui vous causez m'sieur l'curé ?

De cette jeune femme semblant venir d'outre tombe, celle que personne ne connaissait et qui "visitait" notre cathédrale !

Bénidon passait "voir la grand'ville" comme on dit quand il eut vent de l'évènement de la nuit. Sur les lieux des décombres il découvrit son frère, glacial dans sa fureur.

Hola frérôt, je te demande pas si ça va.
Alors comme ça on à des hérétiques à traquer ? Bien, un peu de mouvement ne nous fera pas de mal je suppose.

Embrassant les deux écclésiastiques présent du regard il leur lança joyeusement :

Mais vous en faites pas, on vous en reconstruira une plus grand encore, sur ces même lieux, en haut de la butte.

Son sourire gené ne rencontra que des mines déconfites par le dégout et la douleur causée par l'acte diabolique de la nuit.
Plus qu'une simple batîsse en flamme ce fut un bûcher pour le symbole du très-haut, et Bénidon, bien qu'ayant sa propre conception de la religion, ne cautionnait absolument pas cette intolérance.

Avant de repartir pour laisser les gens d'Eglise décider de ce qu'il convenait de faire, Bénidon glissa tout de même à son frère, sur le ton de la confidence :

J'ai eu un peu peur au début...mais je suis soulagé que ce ne soit pas à cause d'une de tes bourdes, après tout ce ne serait pas la première fois que tu fais tomber un chandelier, c'est héréditaire !

Bon courage frérôt, et évangélise les bien profond, ces suppôts du cornu !

Yaaaah !!!

CATACLOP....CATACLOP.....CATACLOP
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Ciao bello...

JandeBohem demeurait accroupie depuis des heures aux côtés du diacre qui avait été sauvagement mais froidement assassiné et dont la vie, le souffle, l’âme n’avait été vu que comme un obstacle à l’accomplissement d’une sordide tâche.
Elle semblait méditer au gré des tourbillons de volutes noires de la fumée, comme absente.

Lorsque les derniers débris de pilier se désintégrèrent, elle se redressa lentement, tourna les yeux vers le soleil levant et s'écria :

Que finissent dans l’enfer de leurs songes, tous ces chiens galeux de la steppe fumante,
qu’alunissent les cohortes de leurs disciples, misérables copies des idées les plus viles et qu’ils endurent dans le plus désastreux des astres,
les tortures qu’ils infligèrent à leur victime, que les mille langues gluantes de la créature sans nom leur chatouillent les pieds pour l’éternité

Vandales hérétiques je n’ai qu’un mot pour vous : même pas mal !
Vous pensiez agenouiller la fierté aristo : que la méprise est grave, si d’un seul d’entre nous, vous détruisez la vie ç’est cent nouveaux fervents qui vous demanderons compte car en vérité, je vous le dit, de la souplesse du saule nous avons l’endurance :
à tant ployer l’échine notre cou est d’airain et toujours face à l’adversité nous nous redresserons.
Ramassons promptement tous les débris, mes frères et de ces cendres noires préparons les fourneaux, tailleurs de pierre, charpentiers, verriers affûtez vos outils et toi noble maçon prépare ton enduit, s’en est fini de la glandouille et que les architectes petits bras veuillent bien s’abstenir car à partir de dorénavant tous les plans sont à réviser à la hausse, il ne sera pas dit qu’à Angers la nouvelle cathédrale fait dans la demi-mesure !
amis, comptons nos forces vives
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Sa vie, sa légende

Tof arriva pres de la cathedrale ayant subit l'affront de couards ayant fuit depuis longtemps. Il mit un genoux au sol et s'appuyant sur le pomeau de son épée il pria.

Puis entendant l'appel de l'Eveque, il releva la tête et cria

Nul ne peut détruite la foi! Une cathedrale est un batiment son ame réside en ses ouailles!

Rebatissons notre Cathedrale et que la fleche de celle ci chatouille les étoiles et mêne nos prières vers le Très Haut!

A force de bruits de taverne concernant une rumeur, Loumel décide de se rendre elle même à la cathédrale.
Chemin faisant, elle croise nombre de villageois affolés, en pleure, des visages fermés, des poings serrés... Plus elle avance vers la cathédrale, plus elle accélère le pas, se disant toujours que ce n'était pas possible. Qui aurai pus faire pareil chose... Des vandales... Des ennemis de guerres passées ... Des plaisantins ayant dépassés les bornes...
Arrivant devant les ruines encore fumantes de l'édifice, elle reste sans voix, la bouche béante. C'était donc vrai...
Elle vois l'évêque au pied d'un corps. Un meurtre...
Des hommes et des femmes qu'elle connait s'affairent à dégager les objets en état, sauver quelques rares broutilles du désastre.
Qui pouvait donc leur en vouloir autant? Ca ne pouvait être un acte symbolique! Un homme a été tué...
Elle tourne le dos à la scène et rentre chez elle, réfléchir à tout ceci... Quel souvenir de la veille... Rien d'étrange.. Si ce n'est cette voix, ressemblant à celle du défunt... Et cette femme, inconnue, souriante. Elle l'avait vue pénétrer quelques temps après la cérémonie d'adieu à Ashram, lorsque chacun portait encore le deuil du défunt.... Seule, elle était entrée dans l'édifice vide, cet étrange sourire figé... Qui était-elle?
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Loumel tout court ! ça tape encore plus !
ça tape même plus que ça avec juge d'Anjou marqué à coté!!!

Le choc passé mais la douleur toujours présente, Compote retroussa les manches de sa soutane et alla aider les fidèles dans leur travail de déblayage.
A l'entente du dicours de son évêque il repris confiance, ce n'était que des pierres qu'il avaient réussi à détruire dans leur tentative de briser une foi.
Des pierres et une vie ... celle d'un confrère qu'il ne connaissait pas mais qui eut le malheur de vouloir protéger sa foi et son lieu de culte ...

Transportant gravas et morceau de poutre calciné, il ne pouvait s'empêcher de lancer de temps à autres

Le peste soit sur ces chiens païens adorateur du mal !

Mereall faisait un tour dans la capitale angevine, curieux des activités qui y avaient cours et avec aussi la volonté de voir ce que les résultats ducaux avaient donné. Une fois ces derniers vus, ce qui lui donna un sourire il décida d'aller à la cathédrale.
Il avait bien vu un nuage de fumée se dégager de l'enceinte de la capitale quelques jours auparavant mais ce qu'il découvrit sur la place le remplit d'effroi. Il restait comme tétanisé par le spectacle qui s'offrait à lui. Un champ de ruine en pierre se trouvait là où une semaine auparavant se dressait la majestueuse cathédrale angevine.
Des larmes commencèrent à perler sur ses joues, pleurant la demeure détruite d'Aristote. Il s'agenouilla au pied des ruines, pria quelques minutes puis alla aider les autres angevins qui s'affairaient au déblaiement.

Dites-moi, vous savez comment l'evêque a réagit face à la destruction de la cathédrale ? comment les choses s'organisent-elles ?
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PNJ par la volonté administratorielle

L'archidiacre d'Anger arriva à Saumur, étonné de ne point voir d'église il s'empressa d'aller voir le curé de Saumur.

Cher ami, cher Compote, cher confrère, que ce passe-t-il je ne vois point d'église en ces lieux ?

Veuillez m'éclaircir le plus vite possible afin de faire disparaitre mes craintes.

Bien à vous,

FrèreThéoduin, l'archidiacre d'Anger.

Oh confusion, veuillez m'excuser ma Soeur.

J'y vais.

Un pigeon se porta au devant de JanDeBohem, laissant un tout petit mot en espèrant qu'elle le voit

http://forum.royaumesrenaissants.com/viewtopic.php?t=136018&postdays=0&postorder=asc&start=480

cathédrale de cette belle région : prêche épiscopale pour le renouveau de l'ordre cistercien



Dans la cathédrale de cette belle région près de l’autel richement décoré de plantes colorées et parfumées, de rubans de soie precieuse et de pierreries d’orient agrémentés, sous le grand crucifix doré se tient l'évêque fredstleu vêtu d’une soutane blanche et d’une echarpe de cérémonie recemment brodée, acceuillant la délégation du clergé local en affichant un grand sourire. le recteur de l'ordre cistercien est arrivé dans un somptueux cortège composé de la communauté des pères et moines cisterciens accompagné par une suite d'enfants de choeur. Après les avoir salué d’un signe de tête , le prélat fit signe à l’assemblée, agitée par l’émotion, de faire silence, et commença la cérémonie par ces propos :

cher duc/comte,
chers conseillers,
chers prélats de l'église,
chers frères et soeurs,
chers fidèles,

le XV° siècle fut un désastre pour l'ordre cistercien. plus de 200 abbayes ont disparus dans la tourmente : guerre avec l'anglais, peste, pillage en règles et incurie. les cinq abbayes rectrices Cîteaux, la Ferté, Pontigny, Clairvaux et Morimond disparurent aussi l'une après l'autre dans le chaos du milieu du XV° siècle. l'ordre cistercien a été menacé de disparition malgré sa longue histoire dans les royaumes renaissants.

Depuis, l'ordo cisternencis a pansé ses plaies grâce au charisme de Saint Arnvald et préparé en interne son avenir via la réactualisation de la charte de la charité (texte fondateur de l'ordre). les valeurs cisterciennes me semblent à même de permettre à une génération déboussolée par les hérésies galopantes, la décadence des moeurs et la molesse du clergé de retrouver des bases saines pour encadrer un RP religieux de fidèles comme d'éclésiastiques.je vous livre les valeurs qui nous semblent importantes à mettre en exergue.

Les valeurs cisterciennes



Foi

l'engagement dans l'ordre est avant tout religieux. les cisterciens se doivent de respecter les textes fondamentaux, le dogme et la discipline de la Sainte Eglise Universelle Aristotélicienne ainsi que la hiérarchie vaticane et éviter de sombrer dans l'acédie. les rapports harmonieux avec les autres membres de notre clergé et le respect de ses supérieurs éclésiastiques sont fondamentaux.

Charité

c'est une valeur cistercienne fondamentale d'ailleurs reprise dans le titre de son texte fondateur : charte de la charité. l'égoïsme forcené et la recherche du seul profit sont à bannir. chacun agit dans ce domaine en âme et conscience. l'aide aux vagabonds perdus dans les méandres du jeu, l'offre d'un salaire supérieur au minimun légal à ses employés, la vente à des prix non prohibitifs de sa production et le refus d'une spéculation à outrance sont encouragés.

Historicité

l'ordre cistercien attache une importance capitale à l'historicité. Le principale rôle de l'ordre cistercien est d'assurer un respect relatif de l'Histoire dans les RRs. Cette protection de l'historicité est une fonction primordiale afin d'éviter les anachronismes dévalorisant l'atmosphère ludique des RR.

Exemplarité

le frère cistercien est tenu au respect d'un certain code d'honneur implicite. il se doit d'être un exemple pour les fidèles de par sa conduite. ce devoir d'exemplarité passe notament par le respect d'autrui, des lois régionales ou royales et le respect des voeux prononcés. cette recherche de perfection et d'intégrité est capitale pour l'ordre cistercien.


frère roger s'avance pied nu, vétu d'une vieille soutane de pénitence vers l'autel pendant que l'assitance récite une prière éloquente en ces jours troubles : celle à la mémoire de notre Saint fondateur des cisterciens Arnvald, Patron aristotélicien du tryptique Justice, Vérité et Intégrité.

Que les fidèles qui désirent communier dans l'amitié aristotélicienne s'avancent ...



L'abbaye Saint Arnvald de Noirlac, siège de l'ordre cistercien vous ouvre ses portes avec joie car l'hospitalité n'est pas un vain mot pour notre communauté monastique. Je vous signale que l'oblat cistercien est un statut spécial sans voeu de célibat pour celui qui désire continuer à vivre dans le monde tout en ayant un mode de vie guidé par les valeurs Aristotélicienne. Notre hostellerie, notre bibliothèque sainte illinda et notre tout nouveau séminaire Saint Benoit sont à la disposition des visiteurs de notre abbaye. j'engage toutes les personnes tentées par un vrai RP religieux de qualité comme fidèles ou comme éclésiastique à rejoindre l'ordre cistercien sans hésiter. je me tiens à votre disposition pour infos

Par la grâce de Christos et d'Aristote, que Foi et Raison nous guident!


bénédiction et salutations ludiques à tous



HRP/ N'oubliez pas de prier hebdomadairement pour le salut de Saint-Arnvald, PAR ICI. /HRP

Le conseil et le peuple d'Anjou à travers lui vous souhaite la bienvenue , Monseigneur Childebert.
En retour à votre proposition de rencontre, sachez que les portes du Chateau d'Anjou vous sont grandes ouvertes et que j'aurai grand honneur à vous entretenir.

Avec tout mon respect.

Léalisa

L'évêque monta péniblement en chaire

Mes frères, mes soeurs

Ce conflit devait être éviter... cette guerre aura lieu
car « si toutes les mères coupent l’index droit de leur fils, les armées de l’univers se feront la guerre sans index … et si elles lui coupent la jambe droite, les armées seront unijambistes… et si elles lui crèvent les yeux les armées seront aveugles mais il y aura des armées et, dans la mêlée elles se chercheront le défaut de l’aine ou de la gorge, à tatons… »

Comme il est dit dans nos Saintes Ecritures, Dieu divisa le langage afin que les humains fassent effort de se comprendre mais quelquefois nous constatons qu'avec une langue commune certains se complaisent dans l'incompréhension afin de servir des objectifs non louables et nous feindrons d'ignorer à quel point ces visées sont bien peu aristotéliciennes !

En certaines occurrences et cela quelque soit la droiture du chemin qu’il suive, le clerc fatalement se surprendra, le cul, aussi bénit fût-il, assis entre deux sièges et les genoux entre deux prie-Dieu ne sachant si la voix qui bourdonne à ses oreilles est celle de sa conscience ou de la créature sans nom tant l’ambiguïté du mot devoir peut l’écarteler.
Le Très-Haut sait combien aujourd’hui, mes rotules me font souffrir et même quelles difficultés j’éprouve à m’exprimer librement.


que l’on ne me fasse grief d’aller au bout de la mission que l’Episcopat m’a confié, c’est-à-dire veiller au développement spirituel des âmes du diocèse dont j’ai la charge et qui se trouve être l’Anjou.
Car comment justifier sa loyauté par un abandon de poste !
Aussi vous accompagnerai-je, Angevins, quoi qu’il arrive et jusque dans la tourmente de cette guerre dont la cause est un malentendu.


Q’oncques personne n’imagine une telle décision prise sans affres ni tourments de conscience.
J’aimerais que mes frères sachent que je me plierais avec humilité, comme il sied à tout Lescurien, aux décisions et éventuelles sanctions prises à mon endroit ; ainsi qu’à mon envers si l’on juge bon de le botter mais fidèle de coeur je resterais à mon engagement et en ce lieu en dépit de cet étrange concept qu’est l’ordre établi.

Dieu seul jugera de notre destin éternel et s’il sera solaire ou lunaire
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Sa vie, sa légende

Aujourd’hui tout nos soldats ont rejoins leur famille.
Comment ne pas nous féliciter de cette paix retrouvée !

Aussi à la face de nos deux prophètes et de Dieu, allons nous nous laver du pêché d’avoir répandu le sang de nos ennemis d’hier qui étaient et sont à jamais nos frères

Que le Très Haut nous accorde le pardon

Et souvenons nous pourquoi il est dit dans le chapitre de la Création de nos Saintes Ecritures :



N’oublions pas Le jugement Divin du chapitre La fin des Temps.



Prions Aristote et Christos, festoyons pour le retour de chacun.
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Sa vie, sa légende

Kilia entra dans la Cathédrale où les travaux de reconstruction se terminaient.
Les Artisans les plus talentueux finissaient les moulures.
La Cathédrale tel le Phénix renaissait, après si longtemps.
Elle chercha du regard l'évêque.
Elle avait deux choses à lui demander, et surtout voulait fixé le jour des funérailles de la duchesse GIGI.

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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou

Annonce de l'archevêque de Tours

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Ajantis s'etait affairé toute la journée pour la decoration de la cathedrale. Des couronnes de fleur etaient accrochées aux piliers, avec des messages à la memoire de la defunte.

Il finissait de se preparer dans la sacristie. Il ne voyait pas arriver l'archeveque, mais devait tout de meme bientot demarrer la ceremonie. Il jeta un oeil dans la salle, pleine de personnes aux visages tristes et aux tenues sombres...
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Nous allons commencer à 21 h 00 précise. J'ai préparer une cérémonie digne de la Duchesse.
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Jo entra dans la cathédrale pour la première fois. Elle venait pour rendre hommage à Gigi. Elle avait été conseillère sous son mandat et se rappelait très bien cette époque. C'est à ce moment qu'elle avait vraiment fait connaissance de cette Dame, qui pour elle resterait pour toujours une Grande Dame.

Elle se rendit vers l'avant , s'agenouilla puis alla saluer Kilia, avant de se placer dans un endroit d'où elle pourrait tout voir.
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Monseigneur Childebert prit une grande inspiration, il était ému, lui qui enterré pas mal de monde ses temps ci, et qui enterrait à présent la grande Duchesse Gigi

Mes bien chers enfants. Nous voici réuni pour célébrer la disparition de la Duchesse Gigi trop tôt disparu. Prions ensemble pour son âme :

Pendant que tous priaient, le diacre Ajantis allumait les cierges de l’église, ainsi que ceux entourant le corps de la défunte.

L’Amitié est la lumière du monde, c’est la flamme qui réchauffe notre cœur. Qu’elle éclaire maintenant la route de notre bien aimé Gigi qu'elles les conduisent maintenant auprès d’Aristote et Christos, dans l’astre solaire !

Ajantis se retourna et prit sur l’autel une petite croix aristotélicienne qu’il alla déposer sur le cercueil.

Childebert dit, nous déposons cette croix sur ton cercueil. Cette croix est le signe qui relie Aristote, Christos et le Tout-Puissant, qu'elle soit pour toi signe de salut et de vie éternelle.
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Puis le vieil archevêque de Tours invita alors Madame la duchesse Kilia à venir lui rendre un dernier hômmage.
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Elaryon était bien entendu présent à la cérémonie.Il n'écoutait que d'une oreille distraite ce qui se disait ,se souvenant de Gigi. Il se rappela l'accession à la mairie de celle-ci et les nombreuses questions qu'elle était venue lui poser. Il avait toujours suivi sa carrière de loin, se réjouissant pour elle quand elle s'était élevée jusqu'au poste de duchesse. Tout cela et bien d'autres choses encore envahirent son esprit tandis que la cérémonie se déroulait.Il murmura pour lui-même

"Repose en paix mon amie."
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Habite là

Chacun pria alors pour lui-même et repensa à Gigi. Puis, l'Archevêque de Tours reprit la parole.

Avant de quitter la cathédrale, nous allons dire un dernier adieu à notre amie Gigi76.

Avec respect et affection, confions-là à Dieu dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès d'elle, avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès de l’Eternel, avec l'immense cortège des Saints. Nous souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.

Monseigneur de Béarn aspergea alors le cercueils d’eau bénite

Cette eau, souvenir de ton baptême, nous rappelle que Dieu a fait de toi Son enfant. Qu'il te reçoive aujourd'hui dans Sa Paix !
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Aliéniore arriva silencieusement dans l'église et s'installa. Elle écoute la Duchesse Killia et les souvenirs des discutions entre les deux duchesses en prés guerre et aprés lui revinrent en mémoire. Gigi n'était pas despote mais femme de caractère qui avait su garder la même ligne de conduite.

LE coeur serré, elle essaye de ne pas laisser de larmes couler sur ces joues.
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Pendant que tous rendaient un dernier hômmage à la duchesse Gigi76. Monseigneur de Béarn invita le diacre Ajantis
au pupitre
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Ajantis était habillé de noir pour la circonstance... Aprés que l'archeveque eut finit de parler, il s'approcha à son tour de la foule.

Aujourd'hui, nous nous sommes rassemblés pour honorer la memoire de la duchesse Gigi, qui à quitté notre monde terrestre afin de rejoindre le paradis solaire auprés de Christos et d'Aristote.

Ajantis ouvrit le trés saint livre des vertues au chapitre de la fin des temps, partie V.

Je vais lire un texte, où un fidele de notre eglise pose une question à Dieu... Cela parle de notre jugement, et de notre esperance du paradis :

Ainsi donc, les actes que nous avons fait au cours de notre vie deciderons de notre destin aprés notre mort... Et le moins que l'on puisse dire, c'est que la dame Gigi a agit au cours de sa vie, croyant fermement en ses convictions et prenant les decisions qu'elle jugait necessaire pour le bien de siens.

Je me rapelle notre rencontre, elle etait alors jeune tribun du peuple, et consacrait son energie à aider les misereux, ceux dans le besoin, à leur prodiguer conseils. Plus tard, elle devint maire, continuant à s'impliquer pour faire prosperer son village, conseillere et finalement duchesse. Elle jugea que le peuple d'Anjou serait plus heureux hors du Royaume de France, et tenta de nous donner notre independance...

Sa vie fut bien remplie, au service de son peuple. Le trés haut se souvient de ces choses là lorsqu'il rend son jugement, qu'elle repose en paix au paradis.

Amen.
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La messe était se terminait. Monseigneur Childebert fit signe et les mêmes hommes qui amenèrent le cercueil vinrent le prendre de nouveau et le conduisire dans le cimetière de la ville d'Angers, en procession. Là, le corps de Gigi reposerait à tout jamais. Dans le silence et le recueillement tous partir vers sa dernière demeure. Le Glas retentit.. Et le cortège suivit....

http://www.sounddogs.com/previews/2156/mp3/103714_SOUNDDOGS_BE.mp3
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Petite missive pleine de sentiments sincères.
Baya ne pouvait pas être présente à la cérémonie mais son esprit y était.
Elle se débrouilla pour faire parvenir une missive.

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en construction

Kilia se leva pour suivre le défunt cortège.
Elle ne voulait penser qu'au bon moment, les coups de gueule, les tisanes relaxantes qu'elle apportait à Gigi, leurs rires, leurs énervements contre certains conseiller.
Kilia sourit de tous ses souvenir.
Elle avaient été complice, elle était amie.
Jusqu'à la fin Gigi l'avait soutenue, jusqu'à la signature de la Paix, Gigi avait été là. Et encore aujourd'hui quand la Duchesse devait prendre certaine décision Gigi était dans son esprit pour l'aider.

Gigi maintenant allait se retrouver au Panthéon des grands de ce duché.

Des enfants jetaient au sol de pétales de rose rouge pour ouvrir le chemin à la Grande Duchesse Gigi.
Tous suivaient sans bruit.
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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou

Cilou présente à la cérémonie attrappe la main de Kilia et lui chuchotte :

Mamoune ? Y'a un truc que je comprend pas très bien. La Dame que vous enterrez là ? C'est bien elle qu'à déclarée l'indépendance ?!! Elle aimait pas la Touraine comme moi ? Alors pourquoi déjà c'est l'évêque de Tours qui l'enterre ?

Et puis Deldor là ! C'était pas un royaliste ? Qu'est ce qu'il fait là avec sa femme et ses enfants hein ? Il vient juste pour parader ? Bein moi je trouve que c'est pire que si il avait craché sur sa tombe à Gigi !

Cilou pose la main sur son épée, baisse les yeux et la regarde pensive.
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Alatariel était assise au fond, un voile noir couvrait son visage... peut-être pour cacher les larmes qui perlaient sur ses joues. La dernière de ses trois duchesses d'amour, son modèle de mauvaise foi était parti... pour de bon maintenant... Serrant son trésor contre elle, elle suivit de loin la cérémonie.
Que les vents te portent mon amie, ma duchesse... qu'ils te portent vers des cieux plus beaux, sans royalistes...

À Dieu.
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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou

Monseigneur Verty, évêque d’Angers entra la première suivi de l’archevêque de Rennes de plusieurs clercs et des enfants de chœurs.
Elle avança face aux fidèles venus nombreux, très nombreux et regarda la nef de la cathédrale, pleine à craquer par ce soir d’hiver.
Le silence était lourd, elle se recueilli un long moment avant de commencer la cérémonie en elle-même.
Quelqu’un toussa au fond de l’église troublant le silence et la ramenant sur terre.
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Frères, sœurs, si nous sommes ici, c'est pour nous rappeler que Le très Haut se souvient de tout ce qu'il y a eu de bien dans la vie de nos défunts et lui demander de leur faire bon accueil.

Le signe de la lumière
un enfant de choeur allume en silence les cierges autour du cercueil

Le prêtre : "L’Amitié est la lumière du monde c’est la flamme qui réchauffe notre cœur.
Quelle éclaire maintenant la route de Zoko qu’elle le conduise maintenant au Royaume du Très-Haut !"

Le signe de la foi

Le prêtre : « Zoko nous déposons cette croix aristotélicienne sur ton cercueil.
Cette croix est le signe qui te relie à Aristote et Christos, qu'elle soit pour toi signe de salut et de cette vie nouvelle qui ne finira pas »

Le signe des amis

l’un des amis du défunt apporte la corbeille de l’amitié

Le prêtre : «Zoko, nous déposons ces présents au pied de ton cercueil, signe de notre amitié, signe de notre prière, signe de notre cœur".

Le signe de la mémoire


Ces obsèques nous rappellent plusieurs choses :
- Le souvenir d'un Ami aristotélicien qui vient de nous quitter. D'un homme qui avait une histoire, unique, avec le Très Haut. Qui était entouré de tendresse par celui-ci. Qui a fait, ou non, l'expérience de cette tendresse.
Nous voici nombreux dans cette demeure, autour de Zoko pour prendre conscience de ce lien d'amour qui l'a toujours uni à notre créateur, qui unit à lui à chacun de nous, à tout instant.
- La mort viendra pour chacun de nous. pour les uns tôt, pour les autres plus tard. Pour les uns dans leur jeunesse, pour d'autres dans leur vieillesse.
Le Seigneur nous prévient : "Soyez prêts, soyez toujours prêts car vous ne savez ni le jour ni l'heure".
Aristote nous a guidé et Christos nous invite à prendre exemple sur lui, à trouver notre joie à vivre pour les autres, à aimer comme ils nous ont aimés.
Notre présence ici est prière. Nous invoquons Aristote qu’il mesure les péchés de notre frère et que Christos intercède auprès du Très Haut pour qu’il le reçoive en son Paradis.

Laissons maintenant ceux qui l’on connu parler de lui .
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Jo , dans le plus grand silence, se recueillant avait suivi le cortège. Elle se dirigea vers sa place et écouta la cérémonie.

Elle sentait tout autour d'elle, l'émotion qui étreignait le coeur des fidèles présents.

Les parents, les amis, tous était là.


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Nayria avait suivit la cérémonie, vetue fort simplement elle jouait avec un chapelet histoire de ne point paraitre trop nerveuse, elel devait sortir ce qu'elle avait en elle, mais ce n'etait pas le moment.
Alors les perles roulaient et roulaient....

Elle repeta en choeur le sparoles qui a force de messes etaient connut de son esprit, et elle suivit le deroulement, detachée loin pour ne point trop sentir la douleur ambiante.

L'anjou avait perdu un grand homme.....
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En arrivant devant la Cathédrale d'Angers, alors qu'elle avait suivi le cortège, Eva fut hésitante à pénétrer dans cette enceinte qui ne correspondait plus à ce qu'elle en attendait...Aristote avait rappelé son ami Zoko vers lui...si vite, si tôt, si injustement, dans une totale incompréhension pour tous.

Lorsqu'elle entendit les gens reprendre en choeur les paroles de l'Evêque, elle fut saisie d'une certaine réticence mais par respect pour tous ceux qui avaient organisé la cérémonie, elle avança de quelques pas, restant à l'arrière de l'assemblée. Les yeux rivés sur le cercueil, n'entendant qu'à peine les mots du Prêtre...
Elle se serra les mains, ses ongles écorchant l'intérieur de ses paumes...
Pourquoi Aristote, pourquoi??? Repose en paix Zoko ...
Elle ressortit de la Cathédrale, toute en peine, seule avec ses souvenirs...
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Amoureuse et fidèle de son tendre Cos

Monseigneure Verty s'avança vers le lutrin et dit:

Mes soeurs, mes frères, ne pleurez pas et écoutez.
Une pensée que les défunts pourraient avoir à nous dire.

Le signe d’adieu

Le prêtre : Avant de quitter la cathédrale, nous allons dire un dernier adieu à notre frère Zoko
Avec respect et affection, confions-le au Très haut, dans l'espérance de nous retrouver un jour auprès de Lui .

La mère Verty fait respecter un long moment de silence

Avec tous ceux qui nous ont précédés et qui vivent déjà auprès du Seigneur,
avec l'immense cortège des saints, nous lui souhaitons un bon dernier voyage à son enveloppe charnelle.

Je vous confie cette enveloppe charnelle pour remise au Panthéon Angevin.
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Blue prit un cierge à l'entrée de la cathédrale vide en ces heures nocturnes. Il l'alluma avant de commencer sa prière.

Saint Michel Archange, gardien très fidèle de l'Église, moi ........... malgré mes misères, confiant dans ta bonté et la puissance de ton intercession devant le Seigneur Dieu, je me présente devant toi, et je te choisis comme protecteur.

Je me propose fermement de t'honorer toute ma vie et de faire connaître ton pouvoir.

Aide-moi à ne pas me laisser entraîner par les tentations ; donne-moi le souci des autres, le courage d'aider les plus démunis et la force de témoigner de ma Foi dans mon travail, ma famille et le monde où je vis. Qu'à l'heure de ma mort, mon âme soit en paix, confiante d'obtenir la lumière éternelle.

Amen.
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Le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation.

Juste avait galoper depuis la flêche afin de placarder l'annonce en cathédrale d'Angers.

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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Se retournant le prêtre aperçu un petit flooder.
Il lui adressa la parole.

-Bonjour mon fils je ne saisi pas le rapport entre les dominicains et la plage, je ne connais pas d'autre grève que celle de sable fin. Nous sommes à Angers ici, tu as du abuser de boisson, et pour ton information il y a deux curés ici., il y en a d'ailleurs d'autres en Anjou.
Mais les curés sont des gens de paix, ils ont donc pour l'instant saisi leur bâton de pèlerin afin d'essayer de pousser les dirigeants à vouloir la PAIX, plutôt que de chercher à gagner des lauriers dans une guerre sans enjeux.
Je pense que Monseigneur leur rendra une cure dès que la paix sera envisageable.
Puisque tu as l'air de vouloir t'exprimer, cela te gêne t'il que nous voulions la PAIX?
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

- Hélas oui mon fils, la Paix n'est pas le chemin le plus facile, mais est-il nécessaire d'espérer pour entreprendre ? Nous sommes ainsi faits, femmes et hommes d'église que notre quète est de chercher encore et toujours la paix.
- Certes il est plus facile de chercher les lauriers de la gloire dans les combats, surtout lorsque l'on ne risque pas d'y mourrir, que de vouloir faire le bonheur d'un peuple. Je vois que tu es baron, quelle image aurais tu de toi si pour ton prestige uniquement tu faisais "crever" par fait de guerre, tes sujets femmes et enfants ?
- Nous sommes les représentants de la vraie foy et nous génons les bellicistes, le trés Hauts nous accorde la grâce de supporter les insultes.

Sois béni mon fils je dois passer mon chemin.
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Juste placarda l'annonce de l'évêque en cathédrale d'Angers.

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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Méranie qui passait devant la Cathédrale lu le placard apposé par son évêque.
Elle s’abstint de tout commentaire étant seule à cet instant, qui donc aurait pu l'entendre ?
Un peu plus loin elle lu une annonce déposée par une personne qui devait courir plus vite que le vent et dont l'auteur semblait être à Niort.
Elle éclata de rire ...

Maudit Bouffon excommunié pour insultes et bêtise...Qui ose déclarer qu'il défendait des maisons angevines en se faisant tuer en Bretagne...Qu'allait il faire en Bretagne? Sauver la veuve et l'orphelin angevin...mais à qui veut il faire croire qu'on défend les angevins en Bretagne ?
S'il avait été intelligent il ne serait sans doute pas excommunié, mais il arrive un stade où la bêtise n'est plus excusable...
Et oui l'insulte est la marque de fabrique des esprits faibles, des idiots, des lâches, des fols....
Excommunié pour avoir des idées sur un concordat ? Je rêve…
D'abord ce personnage ne semble pas avoir la capacité d'avoir des idées.
Seules des imprécations ordurières sortent de sa bouche.
De plus il n'y a pas de concordat entre l'église et l'Anjou, de quel concordat parle donc cet esprit creux ? Cet excrément de la terre ne sait même pas que l'église n'en a pas besoin de concordat. Si un jour il a le courage de venir s'exprimer en public, je lui en parlerai, on va rire...Je pouffe...
Mais du courage il n'a a pas le bougre...Son seul courage est d'envoyer des missives depuis Niort aprés avoir fait massacrer ses hommes en Bretagne et par sa faute...
Je lui poserai la question: Quand on est chef d'armée et que l'on envoie par bêtise ses hommes au massacre, on doit se glorifier ?

Puis se signant...

Pardon seigneur...

Elle continua son chemin secouée seulement par quelques rires nerveux...
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Méranie de Montfort-Toxandrie
Religieuse et dure, il n'y a qu'une foy, la vraie.

- Ha quelqu'un !
- Bonjour madame, toute conversation polie commençant par cela si je me m'abuse.
- Je me présente, Méranie, religieuse, sotte et peste si j'en crois votre verbiage. Un peu surprise aussi par le ton que vous employez à mon égard. Il me semble que je ne vous ai point manqué de respect, moi.
- Pour ce qu'il est de cet homme, pour moi il n'est rien qu'un excommunié, il n'a aucune valeur à mes yeux, il en aurait s'il avait eu du courage.
- Pour qu'il fut de visu il faudrait qu'il soit là à s'exprimer et non à faire courir un page, quel courage trouvez vous à cela ?
- C'est un homme qui a par bêtise envoyé ses hommes à la mort, quel respect gagne t on à cela ?
- Je ne vous connais point madame, et votre intervention me semble pour le moins agressive. Cela vous choque t il que je ris à la stupidité et à la lâcheté de cet homme ?
- La sottie n'est pas un péché, l'insulte en est un. Je ne suis point arrogante, madame, je ris seulement de la bêtise...
- Je vous pardonne vos insultes, après tout je ne vous connais pas.
Pour ce qu'il est de parler de visu à cet être, il faudrait déjà qu'il ait le courage d'être ici pour parler et que je veuille commercer avec un être qui n'est plus rien pour moi...Un excommunié. Je l'ignore !
- De visu peut être pourrait il avoir le courage de lever la main sur une faible nonne, c'est plus facile à battre que la douane Bretonne !!!
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Méranie de Montfort-Toxandrie
Religieuse et dure, il n'y a qu'une foy, la vraie.

Bonjour, mon fils,

- Ton maître ou ton commandant ? Tu lui diras que le mensonge ce n'est pas beau du tout.
Il n'avait pas de laissez-passer pour la Bretagne, s'il en avait un, ni le Duc Elfyn, ni le prévôt ne le savaient, curieux non ?
Mgr Verty ne faisait plus partie du conseil de Bretagne lorsqu'il est entré en Bretagne.
De plus la Bretagne, a beaucoup trop de rancœur contre la curie, n’oublie pas que celle-ci à lancé ses armées contre elle. Tu imagines la Bretagne obéir à la Curie...faut être très sot pour y croire.

Je comprends les rancœurs de ton "commandant", il a été excommunié pour apostasie et insultes, encore que je n'ai pas lu le texte, je n'en dirai pas plus.

Je me gausse d'un chef de guerre qui conduit ses hommes au massacre...Oui !
Dis-moi soldat, c'est à Sainte ou à Niort qu'il défend les maisons Angevines?

Mais cessons de rire, ton "maître" comme tu l'appelles, ne m'intéressera que le jour où il sera capable de repentir. Pour le moment je vois un homme aigri, reclus dans sa petitesse, qui essaie de faire endosser ses fautes par d'autres, et cela est lâche.
Mgr Verty n'est pour rien dans son malheur, il s'est excommunié tout seul. Que veux tu qu'un évêque aille partir en guerre contre un petit chef ? Crois-tu donc qu'elle n'a que cela à faire ? Bien des choses sont plus importantes que les insultes de ce suppôt du mal envers l'église, crois moi.
Qu’il fasse ce qu’il veut de son âme, on ne peut sauver un être malgré lui.
Voilà mon fils, je t’ai répondu car tu es venu de loin pour me dire cela, je te devais une réponse. Maintenant je ne souhaite pas engager de conversation avec toi, tu es un soldat, tu obéis donc à ton chef, c’est bien.
Moi j’ai aussi une mission, celle d’expliquer qu’il est plus difficile de faire la paix que la guerre. Je te laisse donc retourner soigner les blessures de ton commandant. Pour ma part j’ai du travail.
Bonne journée mon fils, béni sois tu.

Sur ces propos la jeune nonne, laissa le soldat et entra dans la Cathédrale.
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Méranie de Montfort-Toxandrie
Religieuse et dure, il n'y a qu'une foy, la vraie.

Alatariel fut suprise par la réponse de la jeune femme et les propos du soldat... la ville de l'Evèque... arfff dans quoi elle s'était encore foutu... Bon ba il lui restait plus qu'a jouer les hypocrites... déjà qu'elle s'était mis a dos l'evèque d'Orléans... c'était pas le moment de remettre en cause sa crédibilité vis a vis des culs benis... sa carrière dans le DR risquait fort d'être compromise.
Je vous prie de m'excuser ma... Alatariel hésita... religieuse, oui, mais simple sœur ou mère supérieur ? elle avait négliger l'étiquette religieuse, vu le peu d'ecclésiastiques présent en Anjou... et il s'avérait que c'était une fâcheuse erreur sœur... j'aurais effectivement du commencer par cette marque de politesse.
Vous ne m'avez pas manquez de respect en effet, mais vous raillez un homme estimé en Anjou, non pas parce qu'il est un plus ou moins bon aristotélicien, qui lèche plus ou moins bien les bottes des ecclésiastiques, mais parce qu'il a montré son dévouement pour l'Anjou lorsque beaucoup auraient fuit... Ce n'est peut être rien pour vous, ecclésiastiques que la fidélité et l'honneur au combat, vous n'avez pour vous que votre foi, mais pour le reste d'une population... ce son des qualités necessaires d'autant plus lorsqu'on certains qui se disaient nos amies, projettent de piller nos terres et de nous deposseder de nos bien au nom de la Paix et du Très Haut...
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Vadikura entendit parler de cette nonne plus apte à la vindicatif, qu'a la parole d'apaisement.

N'avait elle point compris qu'elle avait un chemin à montrer , celui de la foi....

Son exemple était le parfait reflet des tendances actuelles des religieux, la recherche du pouvoir!

Il se replongea dans le livre des vertus et un passage retint son attention

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Penthiévres parce qu'il en faut bien!

Hum hum!

Blue toussota en entendant Vadikura

Sieur, cessez de jeter de l'huile sur le feu, je ne pense point que cette cathédrale ai besoin d'un nouvel intervenant pour la joute qui se déroule déjà.

Venez tous dehors avec moi et tachez de vous réconcilier.
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Le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation.

Un pigeon arriva en la cathédrale de Angers ...

Juste Ampassan vit arriver un pigeon dont les ailes et la queue étaient peinte au couleur de la vicomtesse Patity.
Il prit le message que portait celui ci, message visiblement adresser à l'évêque d'Angers.
Il se permit de l'ouvrir afin d'en apprécier le caractère d'urgence, cela attendrait bien que l'évêque arrive à Angers, il glissa le pli dans sa manche et se promit de le donner à monseigneur d'est qu'elle serait là.
L'évêque n'avait pas comme certain, le don d'ubiquité.
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Blue sourit à Vadikura

Venez avec moi mon enfant, allons dans une chope pour que je puisse vous offrir un verre et peut être trouverons nous quelqu'un qui possède un savon pour tout cette huile

Rigole de plus belle

Venez!

Avant de partir Blue se tourne vers Meranie15

Laissez donc notre bon évêque hors de cette affaire. Mgr Verty saura comment réagir devant un coléreux et elle est plus a même de s'exprimer seule car je ne doute point de sa diplomatie. Pas besoin que l'on s'exprime en son nom, non plus.
Ensuite, si vous étiez si férue de sainte lecture comme vous me l'affirmez, vous comprendrez qu'un excommunié qui est ainsi mis au banc de la société, doit le plus que possible être fui des fidèles et non pas les attirer dans sa colère. C'est un tentation de que céder à sa colère. Et je compte sur vous pour ne plus y réagir. C'est rentrer dans son jeu que de faire cela. Par contre, essayer de lui faire prendre conscience de son égarement c'est notre travail.

Eh bien vous devriez justement savoir pardonner intimement ce coléreux qui persiste dans sa folie.

Marcher dans Sa lumière ne se fait pas qu'en allant à l'église. C'est bien de venir à la messe mais encore faut-il en retenir Ses enseignements. Pour ma part j'espère qu'un jour il y aura plus de croyants que de soldats. Tant mieux si ils viennent, mais meilleur sera le monde si ils vivent selon Ses enseignements.

Je ne suis pas donneur de leçon mais en l'occurrence
mon enfant, vous avez besoin de quelqu'un qui vous apprenne à dominer vos colères. Car justement sous cette armure renfrognée d'agressivité, je vois un grand cœur.


En tout cas, je vous invite à venir partager une tisane avec nous, cela vous fera le plus grand bien de partager un moment de gaité et de convivialité. Venez donc dame mernarie15!

Blue lui sourit en lui tendant la main.
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Le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation.

Lze soldat répondit


Et une personne qui prétend fille d'évêque ?N'es ce pas surprenant surtout que cette dites dame ne faisait aucune apparition ces derniers jours plus occupé à comploté contre l'Anjou avec sa mère .Plus occupé à essayer de rendre la fier Anjou chien de la curie.On vous a promit quoi contre cela ? Une place en tant qu'évêque ?Sachez que mon commandant préferat tuer tout religieux voulant imposer leurs visions que laisser sombre le fier duché d'Anjou .Lui c'est battu pour votre maison.Lui est un héros de l'Anjou portant désolation et mort aux Poitevins.Car oui nous sommes arrivé à un stade ou soit le Poitou soit l'Anjou s'effondrera, les deux ne peuvent plus vivre cote à côte et malgré vos complots sa ne sera pas l'Anjou.Ici des hommes libres vivent et se battent pour leurs terres qu'il soit du culte d'Aristote, d'Avvéro, de spinoza, de Pookha ou de secte ils sont tous Angevins et cela vaut toutes les considération religieuse.

Vicomte en attente de boire, regarde la nonne et léve un sourcil face à ses remarques

Oh, la curetonne, Ointé, je suis ,et heureusement, l'huile fait glisser tes quelques remarques!

Puis se s'adressant à Blue

Quelle famille, vous ne trouvez pas, elle est ma niéce par alliance et son impertinence est égale à sa méconnaissance de notre duché!

Allons, boire, nous saouler dans ce genre d'établissement ou l'accoutrement de la nonne sera pris pour fantasmes à assouvir et ou elle nous ne suivra pas. J'en ai assez des préches et des religieuses sans fondement!
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Penthiévres parce qu'il en faut bien!

Juste déposa une invitation en la cathédrale d'Angers.

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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Il eu copie du placard et ne put s'empêcher d'avoir une analyse temporelle face à cette décision.

Un évêque arrivant de Bretagne, un chambellan breton qui nous menace des pires maux, l'attachement de plus en reconnu de la Bretagne au Poitou, un fort besoin de curé: les guerres ne permettant pas l'étude, l'intérêt de l'église pour obtenir Montreuil Bellay...
Un évêque passant au dessus d'un état de siège déclaré n'ayant aucun respect pour les règles du duché qui l'accueille, un parti-pris politicien...

Oh église intègre, tu n'es plus et tes paroles cachent le venin de l'ambition!

Vadikura réfléchit à cette phrase et s’empressa de la noter, elle pourrait servir de nouveau !
Il laissa cette partie du cerveau qui ne fonctionnait que rarement car la fatigue le gagnait.
Il passa en mode bourrin ainsi ses facultés tournaient à plein régime.

Le duché n'a jamais signé d'engagement d’immunité avec l'église. Un afflux de poitevins se prépare....

Il héla Nestor

Nous partons sur les chemins, j’aime les rencontres surprises !
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Penthiévres parce qu'il en faut bien!

Un ragondin messager apporta missive du baron de Cossé.

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« Les cloches de la cathédrale sonnèrent à l'arrivée de MM. du Chapitre, qui s'arrêtèrent au bas de la nef, rangés en haie sur deux lignes.
Quelque temps après arriva le seigneur Évêque précédé du clergé, en teste (qui était allé au devant de lui) . Au moment que Monseigneur entrait dans l'église, le premier massier lui mit un carreau sur lequel s'étant mis à genoux elle baisa la croix et prit de l'eau bénite au goupillon que lui présenta M. le trésorier; celui-ci, après une profonde révérence au seigneur Évêque qui s'était levé, se couvrit et le complimenta.
Le premier massier en fit de même ensuite devant Monseigneur Kad et Monseigneur Inoen.
Après la réponse, le chœur chanta en musique l'ancienne Ecce sacerdos magnus, durant laquelle leurs Seigneuries, précédées de MM. du Chapitre, avancèrent vers le sanctuaire, où les Pères Franciscains occupaient le côté de l'évangile ; MM. du Chapitre se placèrent du côté de l'épître ; on avait eu soin de faire défendre l'accès par deux gardes épiscopaux envoyés exprès de la part du Chapitre. Après avoir fait leurs prières au pied de l'autel, Leurs Seigneuries étant montées sur la plus haute marche, M. le trésorier leur donna l'étole à baiser et la leur passa au col, les revêtit d'une chape, leur mit la mitre en tête et la crosse en main. Ainsi revêtues , leurs seigneuries montèrent à l’autel.
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Une charrette de Flêchois arriva à Angers. A l'approche de la cathédrale, on put voir une maman acheter des bonbons à sa fille et lui faire quelques dernières recommandations avant pour le bon déroulement de la cérémonie.

Cette grand messe, Marquise en avait entendu parler. L'Eglise avait pris des décisions très controversées. Elle avait entendu certain parler de ne pas aller à la messe, par contradiction. Peut-être fallait-il effectivement agir...

Mais Marquise était Aristotélicienne. Dans son cœur. Elle avait la foi et en ce moment, les évènements politiques mais aussi familiaux l'ébranlaient. Elle avait besoin d'aller à cette messe. Peu importait ce que pensaient les autres. Elle avait besoin de trouver le réconfort d'Aristote dans cette cérémonie.

Alors elle était là.
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Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.

Avec du retard, certes, mais Shallimar arrivât.
Sa tâche au conseil lui prenait beaucoup de temps, mais elle avait tenu à faire acte de présence à cette messe car un mot avait résonné profondément en elle : paix. La paix qu'elle avait cherché depuis les premiers jours du conflit.

Elle entrât discrètement adns l'enceinte de la cathédrale, se signât et vint se placer sur le côté, là où il restait encore quelques places libres.
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Naloas, venu lui aussi protester contre l'absence de curé à La Flêche, s'étonna de voir Kask le maire de La Flêche entrer dans la cathédrale d'Angers.

Puiqu'après sont élection il appela tous les flêchois (du fait de l'absence de curé) à prier DLF plutôt qu'Aristote, DLF=Dieu la Femme dont la prophête est DarkLiloche.

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NALOAS (le brave)
Dans mon Verre et dans mon Cœur, l'Anjou apporte le Bonheur.
Perire potius quam foedari

La petite avait la bouche pleine de bonbons, mais comme elle etait trés polie elle les finite avant de courrir voir modame Verty..

Bonjour modame , je vous ai ecrit pour vous dire que je pouvais pas viendre pour demander au petit bon aristo l'poto de nous rendre Bargin, mais finalement si je peux.

Satisfaite elle retourna prés de Npapou et Moman et passant devant Naloas, elle trouvait qu'il avait un regard tout trés bizarre mais bon...passons
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Il s'agit du g de gravité, entre la derniere signature et l'avant derniere il y a un effet kaleidoscope, la première est ma signature originale...

Le secrétaire avança vers la foule et pris la parole à la demande de l'évêque d'Angers.

Mes sœurs, mes frères,

Vous êtes une communauté, une communauté, aujourd’hui une sœur, un frère, d’autres par les royaumes nous ont rejoint, nous sommes une communauté.
Car sachez que nul de nous ne peut exister en dehors, et à l’intérieur de celle-ci, tous nous devons vivre.
Le très haut nous a tous créés, qui à part quelques esprits dérangés en proie au mal et rongés par la bête, qui pourrait dire le contraire ?
Qui peut affirmer s’être créé tout seul ou avoir été créé par rien ?
Nous sommes en 1456, souvenez vous en…Gardez cela constamment à l’esprit.

Nous allons faire un temps de prières jusqu'à l'arrivée des absents.
L'office Dominicale commencera vers 14heures.
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Décidément cette petite n'était pas dépourvue de parole.
L'évêque d'Angers amusée lui répondit :
-Prie très fort et le très haut t'entendra.
Aller retourne près de tes parents et commence à faire ton temps de prières comme Juste vient de le demander.
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Marquise avait fermé les yeux un instant pour prier et lorsqu'elle les rouvrit... ben Liloche n'était plus là. Le temps de la repérer, elle alla la chercher. La petite ennuyait visiblement l'évêque. Marquise la prit par le bras et lui mit une main sur la bouche. Elle s'agenouilla et lui chuchota :

Tu vois le monsieur là, il vient de dire à tout le monde de prier. Mgr Verty t'a donc dit de faire comme il a dit. C'est tout.
Viens maintenant, et plus un mot, c'est compris ?
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Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.

Mgr Verty promena le regard sur la foule rassemblée ainsi que sur la fillette qu'une dame venait chercher sans doute sa maman.

Les membres du conseil, les nobles, le peuple, les clercs, ici se mêlaient les représentants des pouvoirs temporels et spirituels dans un même amour de la Foy.

Elle se leva et se dirigea vers le lutrin.

Mes Frères et Sœurs, je vous souhaite la bienvenue.

Il m’est donné l’honneur de célébrer devant vous la messe en compagnie de diverse sommité religieuse et civile du Royaume, j’en remercie le Très Haut .

Nous sommes en joie en ce jour , joie d’être en vie, joie d’espérer la Paix.

Mais avant de partager ce moment ensembles, repentons nous de nos pêchés.


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Monseigneur Verty s’approche de l’assistance afin de lire un passage du Dogme.

Mgr Verty demanda aux fidèles présent de réflechir sur ce texte.
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Meranie suivait l'office, simplement, elle avait connu tant de guerres et vu tant de ses amis ne pas en revenir...

En entrant elle avait vu un homme sur un tonneau...L'huilé, elle savait maintenant qu'il était son oncle, Vadikura...le rouge lui monta aux joues. Son oncle devait avoir tendance à abuser de la boisson, il disait toujours que la guerre c'était bien...Sans doute n'avait il jamais vu mourir ses amis.

Elle pria avec ferveur, et si la Paix avait une chance ?
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Méranie de Montfort-Toxandrie
Religieuse et dure, il n'y a qu'une foy, la vraie.

L'évêque s'était rendu en Anjou, contrée qu'il ne connaissait que peu, afin de prendre part à la grande messe programmée quelques temps auparavant. Maintes fois, il lui avait fallu expliquer qu'il ne représentait point le Poitou, que sa fonction ne pouvait être rattachée à un quelconque pouvoir temporel. Il n'avait pas de nationalité prédéfinie, mais il devait bien résider quelque part. Aussi, comme tout clerc, il possédait demeure en son terrain d'exercice.

Des gardes épiscopaux assuraient la sécurité en le vaste édifice. Rien de plus. Ceux ci étaient au fait sur leur mission. Ils devaient éviter que des crapules Angevines ou Poitevines, qui auraient entrepris le déplacement, ne nuisent au bon déroulement de l'office. Rien de plus. De tout temps, en toute maison du Tout Puissant, les hommes se voyaient conviés à déposer leurs armes dans les réceptacles prévus à cet effet. Rien de plus. Le sang ne coulerait pas icelieu, alors même que toutes les pensées convergeraient pour la paix. Mais en cas de problème, ils seraient la. Rien de plus.

L'évêque balaya l'assistance du regard. La cathédrale se remplissait peu à peu. Il fallait bien du courage aux fidèles pour faire acte de présence malgré les débats ayant court actuellement. Débats somme toute justifiés pour Kad, qui convenait que les fidèles puissent se poser des questions.

L'évêque de Poitiers ne constatait qu'une seule chose. Que l'on soit pour ou contre la grève, que l'on adhère ou pas à ces dispositions, les discours en tavernes et gargotes s'étaient temporairement détournées de la guerre pour se recentrer sur la paix, qui semblait quelque peu oubliée ces derniers temps. Certes, la cessation des offices provoquait l'indignation. Mais le prélat estimait celle ci nécessaire afin de susciter l'intérêt et la focalisation sur la paix.

Il espérait que la noblesse locale, ainsi que le conseil, n'useraient pas d'un argument détourné, de cette non adhésion à la grève, pour manquer l'un des moyens privilégiés d'afficher devant tous leur désir de paix. Leur volonté de faire avancer ces choses pour lesquelles tant d'Angevins et Poitevins avaient déjà œuvré. Ceux qui parlementaient dans l'ombre méritaient le respect.

D'une voix calme et posée, il reprit doucement le texte relatif à la confession :

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.

Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen.

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Porte le deuil de sa sœur, Wiatt d'Azayes

La petite avait essayé d'ecouter un peu Quiquise pour une fois, mais elle apperçu son curé préféré...

Elle se mit à courrir au ralenti , les bras grands ouverts , tel une pub pedigree ou l'ambiance 'd"un homme, une femme", elle se jeta dans les bras de ...

BARGINOU!!!!!!!

Elle lui fit un gros poutou baveux

T'es revenu!! Trop efficace le Aristo là...

Puis vers le ciel:

Hé merci hein au fait!!! Trop balaise eul gars Aristote là!!
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Il s'agit du g de gravité, entre la derniere signature et l'avant derniere il y a un effet kaleidoscope, la première est ma signature originale...

OUaiiiiiii!!!

Puis vers l'eveque..

C'est bon!!! La messe est finite hein on dit!!!

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Il s'agit du g de gravité, entre la derniere signature et l'avant derniere il y a un effet kaleidoscope, la première est ma signature originale...

L'évêque regarda la petite fille.
Elle paraissait si heureuse devoir le père Bargin que son sourire faisait plaisir à voir.
Mgr Verty lui fit un petit clin d'oeil lui faisant comprendre que la messe n'était pas encore terminée.

Mgr Verty une fois la demande de pardon terminée, demanda au peuple de chanter le credo avec toute la ferveur de le coeur dont ils étaient capable.


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Mes frères, mes soeurs!

En lieu et place du sermon habituel à ce stade de la cérémonie, j'invite toute personne ayant quelques chose à dire pour la PAIX, à s'approcher et à prendre la parole.
La dernière personne ayant parlé nous procéderons alors au partage du pain.
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Un pauvre hére se leva et prit parole

Mon vieux pére avait définition du mot paix! je vous la donne.

Paix:Dans les affaires ducales et royales, période de duperie entre deux périodes de combats

Pour ma part, il n'y peut avoir de paix quand l'un se sent toujours léser!

Il s'écarta puis sortit de cette antre ou l'hypocrititie officiait

Mamounette se leva et reprit :

Oui, aimons nous les uns les autres, et prions.

Prions pour qu'on nous rende notre terre,
Prions pour qu'on aient plus à se défendre,
Prions pour que justice soit rendue.

Prions pour nos enfants, morts car on nous a volés.
Prions pour que le juste soit enfin reconnu.

Prions pour que la foi nous rendre la confiance .
Prions pour la paix et l'équilibre, pour l'amour, et la justice pour tous.

Nous n'avons point volé de terre à notre voisin.

Ils ont parlementé encore et encore, non pas essayer de prouver par vanité et orgueil , leur force. Ni imposer leur loi.

ils nous ont défendus, ils nous ont protégés.

Nous ne sommes pas les agresseurs , rendez nous nos terres et la paix pourra enfin repartir sur de bonnes bases.

Prions pour la paix, prions pour la justice, prions pour la raison , non , du plus fort, mais du juste.

Ne nous faisons pas juge , ni bourreau de notre duché, aimons -le et gardons- le entier.

Patity se faufila en la cathédrale, se cachant derrière un pilier... Elle entendit son évêque de beau frère... et entreprit une prière silencieuse ...

Ho saint Karel, cesses pluie de bière et délivres quelques coups de pieds dans séants prestigieux et religieux ...

Fais en sorte que le peuple angevin ne se fourvoie pas dans discours bonimenteurs et trouvent d'eux même l'obstacle à cette paix, le vol d'une partie d'eux même.

Fais que les dirigeants n'abandonnent pas une partie de son peuple, les habitants de Montreuil- Bellay aux poitevins.

Fais que ces dirigeants ne cèdent pas la fierté de son peuple aux profit d'un peuple dont les dirigeants ont œuvré dans le déshonneur et la perfidie.

Fais que l'Anjou protège ses enfants de la défaite facile au nom d'une paix qui n'en sera jamais une.

Fais qu'un jour, les religieux soient, comme toi, assez proches des humbles pour les comprendre avant des les juger.

Fais qu'un jour, les religieux redonnent aux fidèles cette envie que tu m'as fait connaitre, de fréquenter les églises parce qu'ils y trouvent écoute et réconfort, partage et enseignement des valeurs du livre des vertus.

Ho saint Karel, fais que certains retrouvent le chemin que tu voulais donner, qu'ils suivent ton exemple de tolérance, ton soucis du bien des peuples, ne se cachant pas sous discours résonnants de vide et faux semblants .

Saint Karel, rappelle à Lorgol ton souvenir, l'ami que tu étais, les idées que vous défendiez, donnes lui la force de résister, de continuer cette lutte que vous aviez commencé ensembles.

Saint Karel, redonnes à cette église des hommes et des femmes comme Abysmo, Leto2, Trufaldini, Lovian et leurs compagnons qui savaient convaincre, transmettre leur idées sans les imposer.

Hamen ...

La prière terminée, elle chanta un psaume que le fils de Karel lui avait enseigné ...


Tu as vécu l'errance,
Allant sur les chemins,
Sans savoir où cela te mènerais,
Par ta seule Foi guidé.

Souffrant la pauvreté,
Tes paroles si souvent raillées,
Tu es resté si digne,
Gardant la Raison comme lumière.

Et ta récompense est venue,
Quand les foules t'ont suivi,
Quand Christos t'a reconnu.

Ô Thomas !
Montre nous la voie,
Comme tu as su la montrer,
A ceux qui t'ont écouté.

Puis elle sortit où attendaient d'autres prières, d'autres personnes qui n'avaient pas volonté de se laisser abusées ...

Rose s'agenouilla puis pria longuement

Dies irae, dies illa

Solvet saeclum in favilla:

Teste Christos cum Sibylla.

Quantus tremor est futurus,

Quando judex est venturus

Cuncta stricte discussurus!

Amen .
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Kilia ouvrit le plus doucement possible la petite porte de côté pour entrer dans la cathédrale. Évidement par malchance c'était celle qui grinçait le plus. Un grand grincement lui glaça les os. Sûr que tout le monde allait se retourner pour voir qui arrivait si en retard. Elle attendit une minute espérant que tous auraient retourné leur regard vers l'autel et ainsi se faire passer inaperçu.

Au même moment sa soeur Patity se mit à chanter. Elle lui sauvait la mise l'auditoire ouvraient de grand yeux en la regardant chanter. Elle poussa doucement de la main un petit môme assit au bout d'un banc et se plaça à côté de lui.
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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou

Voyant dame Patity rejoindre les rangs de la paix, le vieux père, quarante deux ans déjà, eu un sourire.
Cette femme ne pouvait pas rester du côté de la mort. Elle a toujours fait preuve de finesse et d'intelligence, elle ne pouvait pas ignorer que se battre et mourir pour de fausses idées et amener à la mort son peuple n'est pas un avenir.
Ravi il la regarda prier puis sortir.
Enfin l'Anjou pouvait espérer, avec des gens de tant de ferveur ce duché relèverait bientôt la tête.

Puis il écouta le discours éculé et rengaine du Duc...Celui même qui avait amené son duché à pactiser avec le mal...
Quelle pitié !
Il n'avait rien de nouveau à dire. La soupe était froide et n'avait plus de goût... Se rendait il compte au moins du ridicule dont il se couvrait ? Plus personne n'y croyait à sa logorrhée verbale !
Il hésita à répondre à un homme qui par orgueil avait voulu faire tuer sa propre tante.
Un homme qui voulait la mort de cette femme parce qu'elle barrait ses rêves de gloire personnelle.
Un homme vil et insultant dont la parole ne valait que l'homme...Rien
Un homme qui trompait sa femme comme son peuple.

L'évêque soupira...Avez vous une fois essayer d'expliquer à un homme qu'il n'est pas intelligent ? pensa t il ...C'est impossible il n'a que son intelligence pour comprendre.

Il se décida à répondre, bien que cela ne soit qu'en pure perte.


Tithieu, tu n’es qu'un menteur et ton peuple commence à voire en toi, c'est cela et uniquement cela qui te gène.
Tu as été élu qu'à minima, uniquement pour ne pas en élire un autre et tu n'as rien fait pour ton peuple, surtout pas pour la paix.
Tu as négocié la trêve tout seul...les poitevins n'y étaient pas ?
Tu cherches à sauver ta peau en pleurant auprès de l'inquisition et tu te ventes ici d'être fort...
Tu as amené le mal en Anjou avec les Lucioles...

Tout ce que tu sais dire pour justifier tes rêves de gloire c'est "ce n’est pas moi c'est l'autre"...Un enfant de quatre ans résonne comme ça...Les Angevins sont des adultes, quand arrêteras tu de les prendre pour des moutons que l'on mène à l'abattoir ?

Tithieu je ne te crois plus, mainte fois je t'ai tendu la main, mainte fois je t'ai vu faire l'inverse de ce que tu disais devoir faire. Tu es faux, lâche car tu te caches pour agir.
Tu vas faire quoi maintenant ? Me menacer de mort ou de procès comme tu menaces ta tante, une femme droite et sincère.
M'insulter comme tu le fais encore et toujours avec tous ceux qui gênent tes rêves ?
Haranguer la foule en disant "c'est moi la victime, on nous attaque, l'église veut le pouvoir etc..."?
Je suis ici pour dire aux gens qu'il y a une autre voie que celle que tu proposes...
Après la messe je pars pour Saumur puis la Champagne, je n'ai rien à gagner en Anjou, je suis prêtre juste pour que les gens gagnent leur salut.
Mais l'honnêteté ça t'as toujours paru louche n'est ce pas ?
Forcément il faut avoir été honnête pour savoir ce que c'est.

Allez Tithieu, prends toi donc pour un grand chef pendant encore trois semaines, je crois que les gens ici ont compris qui tu es.
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- Hola, décidément c'est jour de féte, tu as dit plus de dit mots
Bravo Gerfried ton flood habituel évoluerait donc ?
Mais ce n'est pas trés constructif et les insultes ne me touchent pas .
soit béni mon fils , un jour peut étre tu comprendras.

Les évêques ne gouvernent nulle part, mon enfant, mais quand tu seras grand tu le comprendras, il y a le rêve et la réalité. Vas vite t'assoir.

Il était venu parler de paix...Comment parler de paix à de tels gens ? La réaction de Tithieu et celle du petit, démontrait bien ce qu'ils étaient...Des étres béliqueux.
Le vieil homme ferma les yeux et adressa une priére au trés haut.
" Seigneur aies pitié de ces deux hommes...ils méritent que tu les sauve d'eux même"
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Comme plus rien d'intéressant ne se profilait, le vieil évêque retourna dans les stalles. Puis entendant parler de sa vieille ennemie la déesse achérpée, celle tant glorifiée pat les adeptes du paganisme, il fut pris d'une violente colique.
C'est plié en deux qu'il sorti par l'arrière de la cathédrale...acherpée l'avait toujours fait vomir et ses adeptes lui collaient la diarrhée...
Dommage.
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Pépé_kaly était derrière la cathédrale avec des Soldat Angevins.Quand la porte s'ouvrit et que le vieux Bretons sortît .Il ne lui adressât mot mais fit frapper son épée contre son écus en signe de protestations.Les hommes prêt de lui en fît de même créant par la même occasion un bruit ressemblant étrangement au grondement du tonnerre.

Il fît arrêter ce bruit pour dire à l'abbé


l'Anjou ne pliera jamais et sera envers et contre tout fidèle à notre duc .Et sa ne sera pas un vulgaire Bretons qui changerons cela .Ici vous ètes en Anjou et insultez notre duc peut amené des Angevins à vous faire rencontrer le très haut et Aristote très vite.


Avant que l'abbé puisse répondre les bouclier et les épée recommencèrent leurs brouhaha montrant par là la volonté de l'Anjou à ne rien cédé

Plus personne ne prenant la parole Mgr Verty s'avança vers l'autel.

Mgr Verty commence à préparer l’autel pour le partage du pain,
Récite à voix basse
et renouvelle le rituel de la scène.

Vient le moment du partage en lui même.

maintenant, soeurs et frères partageons le pain et le vin comme il nous a été appris à le faire.



L'abbesse se saisit du calice, le tendit vers les fidèles, et en bu.
Certains fidèles ayant apporté du vin le burent aussi dans la communion puis s'avancèrent vers l'autel, elle posa sur leur lange les pains, elle invita l’assemblée pour distribuer quelques morceaux du pain rompu et faire boire un peu de vin.
Suivent quelques instant de méditation
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Recueillie, les yeux mis clos, après avoir vécu tant de choses en Anjou, avoir vu passer tant d'Evêques, avoir assisté à l'incendie de la cathédrale d'angers, l'avoir vu remonter de ses cendres, avoir vu passer tant de grands Ducs et Duchesses d'Anjou, Rose resta perplexe après le discours de l'homme d'Eglise en réponse au discour de Tithieu , un grand parmis les grands, que l'on venait une fois de plus d'insulter publiquement.

Comment l'Anjou resisterait elle si tous les grands de l'Eglise prenaient un malin plaisir à démolir pièce après piece l'image, la réputation, le moral, de ses hommes et femmes qui faisaient de leur mieux pour tenir debout face à l'implaquable marche du Royaume pour écraser la petite puce angevine ?
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Faisant fi des mécréants qui confondaient la maison d'Aristote avec la place du marché, Mgr Verty continua la cérémonie.
Elle était contente de voir que le message avait été bien perçu par un grand nombres de fidèles.
Bien sur il y avait toujours les mêmes irréductibles qui se réfugiaient dans leur sempiternel discours, et qui ne changeraient jamais d'avis, ne souhaitant ni réfléchir ni écouter.
Être borné n'était pas un pêché, elle prierait pour eux.

Elle invita les fidèles et les moins fidèles à se souvenir du serment prononcé le jour de leur baptême.

Prions

Seigneur, je t'en prie,
conserve intacte la ferveur de ma foi,
et jusqu'à mon dernier souffle
donne- moi de conformer ma voix
à ma conviction profonde.

Oui, je garde toujours
ce que j'ai affirmé dans le symbole
proclamé lors de ma nouvelle naissance,
lorsque j'ai été baptisée.
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Kilia regarda Clodeweck et regagna son banc elle aussi.
A ce moment la sa prière alla pour la paix, mais aussi pour sa propre paix. A ce moment là, elle priait le Très Haut afin qu'il lui reprenne ce qu'il lui avait donné au plus vite. Perdue dans toutes ces paroles qui ne rimaient plus à rien, elle dit et redit 50 fois la même chose.
Donne moi le courage de partir en paix.
Elle était dans un monde qui ne lui ressemblait plus et ce sentait toujours plus étrangère à lui.
Donne moi le courage de partir en paix.
Le monde qui m'entoure hurle ce juge s'insulte, se méprise.
Donne moi le courage de partir en paix.
Chacun montre son voisin du doigt.
Donne moi le courage de partir en paix.
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[J'aime pas le nouveau forum!] Pair de France et Mère d'Anjou

Marquise était venue dans l'espoir de trouver une paix intérieure. Elle était Aristotélicienne depuis toujours et elle savait que c'est dans ctte cathédrale qu'elle trouverait beaucoup de réponses à ses questions.

Et elle ne s'était pas trompée.

L'Eglise pensait les aider. L'Eglise les enfonçait.

Marquise s'approcha de Tithieu et Kilia, comme pour leur prêter main forte. Elle n'avait pas toujours été d'accord avec eux mais aujourd'hui, son coeur d'Angevine se retrouvait dans leurs propos.

Elle osa alors s'approcher de Clodeweck. Elle s'agenouilla près de là où il était assis et lui demanda à voix basse.

Pardonnez mon audace mon Père mais je ne peux tenir mes mots plus longtemps. Des questions me gênent.

Comment pouvez-vous prétendre mieux connaître les Angevins que notre Duc ?
Comment pouvez-vous remettre en cause sa légitimité, lui qui a été élu en bonne et due forme ?
Et comment expliquez-vous que, malgré ma très grande foi et mon désir de paix, les paroles de Tithieu me fassent me rallier à lui sans une seule hésitation ? Moi qui le vois chaque jour au Conseil. Je ne suis pas toujours d'accord avec lui, mais, mon Père, sachez qu'il est le Duc des Angevins et que, malgré ce que vous semblez croire, les Angevins sont derrière lui, il est un très bon Duc.

Marquise ne savait pas trop si elle devait ou non attendre une réponse, alors, dans le doute, elle resta immobile quelques secondes.
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Marquise, Baronne de Durtal

Je ne porte plus le deuil, mais je vous porterai toujours dans mon cœur.

Mgr Verty, remonta à l'autel.

Je terminerai en remerciant les fidèles qui ont assisté à cette messe.


Ite missa est, sit nomen Domini benedictum !
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Pépé avait réfléchit pendant un long moment .Il s'habillât d'un linge blanc , donnât 100 écus aux mendiant devant la Cathédrale et se mit à genoux devant l'édifice.Il savait que c'était la meilleur solution , il avait eu tord des mots trop fort qu'il avait eu contre l'Église .Il aurait dut être plus modéré dans ces propos mais cela était aussi un de ces défaut , ne pas réfléchir au moment opportun.Il ne disait mot récitant le crédo puis criat sur la place publique


Moi Pépé_kaly Angevins je demande pardons à l'Eglise Aristotélicienne pour les mots trop fort contre la curie .Je me repent de mes fautes et demande l'absolution pour ce péché grave qui à été de menacé de mort les dépositaire du Pouvoir de sa Sainteté de Rome Eugène cinquième du nom.


Il attendit réponse

Le secrétaire à force de hurlements avait ouvert la fenêtre du presbytère pour apercevoir sur le parvis de la cathédrale un homme vêtu de blanc, entrain de hurler.
Percevant dans ses imprécations les mots église et quelques autres il descendit intrigué au devant de l'individu.
Après s'être rapproché prudemment ne reconnaissant pas son vis à vis, il le prit doucement par la main, tentant par ce geste de le calmer, puis l'entraîna à l'interrieur de la cathédrale.
Voyant que celui ci se laissait conduire docilement il le mena jusqu'au confessionnal, dans lequel ils s'assirent.
-Je suis le père Juste, secrétaire de Monseigneur verty, évêque de notre diocèse. Cette dernière ayant été tuée par une armée Angevine il y a peu, viens d'être ramenée à la vie par le très haut mais elle est encore trop faible pour rentrer à Angers.Tu peux avoir confiance en moi mon fils, explique moi, sans crier, le fond de ton problème. Nous allons réfléchir ensemble à la solution que nous pourrons y apporter.
-Commençons par le commencement qui es tu?
Le père Juste se tut, regarda l'inconnu en souriant, laissant la grille du confessionnal ouverte, et attendit, d'un air qui se voulait rassurant que son vis à vis prenne à son tour la parole.
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Le prêtre toisa l'homme qui lui faisait face, sans se départir de son sourire. Attendit un instant et repris d'une voix sans couleur particulière.

- Ton repentir a l'air sincère, mais il n'est guère besoin de crier sur la place, le Trés Haut t'entend même à voix basse. Je ne peu t'absoudre car il n'est pas de mon ressort de le faire, cependant, je vais faire porter un message à Mgr Verty dés ce soir afin qu'elle prenne les dispositions ad hoc.
En attendant, mon fils, je te laisse à la prière, ce lieu est le bon endroit. N'aies de cesse de demander au Très Haut ton pardon. Car lui seul sera ton juge et lui seul en a le droit.
Ici bas il est donné aux gens dont le repentir est avéré car le pardon n'est pas un du comme le croient certains écervelés, il est donné en échange d'une volonté ferme de ne plus retomber dans l'erreur.
Je te laisse mon fils, prie, je m'empresse de faire ce qu'il est en mon pouvoir de faire pour toi.

Laissant ledit Pépé_Kaly seul, face au créateur, le père Juste alla au presbytère écrire à son évêque.
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Juste Ampassan.
Secrétaire Épiscopale de l'Evêque d'Angers.

Pepe vit le diacre


Rien de spécial juste que j'ai ouvert les yeux et que je sais que j'ai fauté

Ayant observé un temps de pause, il reprit.

Et cette parabole qui m'est venue, s'applique à bien des situations.

L'hétérodoxie : Prenons le cas Pépé_kaly (que je salue ici!). Fidèle parmi les fidèles de l'Anjou, noble défenseur et patriote, il fut prit d'un accès de rage monumental, le jour où il fut victime d'une trahison. Il se déchainât aveuglément contre le Duc, les dignitaires angevins, les gens qui croisèrent sa route. Impossible à raisonner! Il s'en prit même aux gens d'église et fut frappé d'anathème. La rage l'avait aveuglé dans sa raison et l'avait conduit dans les méandres du gouffre. Et s'était fourvoyé.
Revenons sur l'impossibilité à le raisonner. En effet, le pont, trop petit pour deux, est tel, qu'une seule personne peut s'il trouver : on est seul face à son avenir.
Mais ce que je n'ai pas expliqué c'est qu'on peut remonter de l'abîme. C'est ce qu'il a fait. Il est aujourd'hui en train de présenter son repenti et moi même quoique septique vis à vis de sa sincérité, j'ai pardonné. Il est vrai qu'il a failli se perdre lui même, lui le Pepe qu'on connaissait. Mais non! Il a repris le dessus. Pourquoi? Car n'a appris de la solitude que le fait que lorsqu'on est seul, c'est seul que l'on doit se relever.

Qu'est ce que l'hérésie au final? c'est être en train de glisser par manque d'attention (reniement) ou par colère noire (rage).
Mais l'Église ne vous laisse pas comme ça. Prenez-moi comme témoin. Bien que ma devise contienne "le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation" je ne suis pourtant pas un cruel pasteur.
Au contraire, quand je vois un de me frères ainsi déclaré hérétique, un frère qui n'est certes plus un fidèle (fidèle aux Enseignements) mais un croyant, eh bien je tente de l'aider. Je lui tend une main depuis la rive. Mais ce sera à lui d'avancer un peu pour venir la prendre.
Cependant s'il préfère vivre ainsi et refuse mon aide, je le laisse en Paix. C'est son choix. Il continue toujours à cultiver sa Foi mais il erre dans le doute. A quoi sert l'anathème? A dire à ces gens-là "attention vous êtes dans une mauvaise passe", à les avertir du gouffre vers lequel ils tendent. A ces gens là je ne fais pas la chasse. Ils ne troublent aucun esprit.
Ceux à qui l'Église toute entière fait la chasse c'est à ceux qui non content d'être en train de chuter, tentent à tout prix de saisir la jambe de leurs voisins pour les entrainer, ou bien tentent-ils d'appâter leurs conjoints en leur décrivant le fond de l'abîme qu'ils entrevoient comme un lieu radieux. De ceux-là il faut en protéger l'ensemble de la communauté. L'image est mauvaise mais pour que vous voyez, en découpant la part gâtée on en protège le fruit tout entier. Eh bien en mettant à l'écart de tout ceux là (interdit de mariages, d'accès à des hautes places...) on protège l'universalité des croyants de se perdre dans l'abîme.

Mais alors que doit-on penser des païens spinozistes? Du xeno averroèssien? Certes c'est gens là sont sur un pont beaucoup plus solide, beaucoup plus fort que celui des gens qui s'aventurent seul. Ce pont a des barrières et il est grand. Cependant, un pont reste ce qu'il est : un pont! C'est une passerelle entre deux rives, une passerelle au dessus du gouffre! Et on est jamais mieux à l'abri que sur la terre ferme (l'Église Aristotélicienne)! Mais là aussi, s'ils ne dérangent pas, s'ils ne se montrent pas hostile, s'ils ne font point de prosélytisme, s'ils restent humbles, il peut y avoir co-habitation, entente! Je parle de ce que je connais : En Anjou par exemple on ne voit point de disciples de Spinoza, venir toquer à la porte pour dire "eh ho! venez dans notre religion sinon...". Rien de tout ça. Ils vivent dans leur confession et si on leur demande le pourquoi du comment ils vont diront leur situation sans pour autant nous murmurer aux oreilles les milles tentations.
Ceux là même s'ils restent sur un pont, c'est leur décision. Nous devons être tolérant par rapport aux choix de chacun. Car quiconque trouble le libre arbitre de quelqu'un, trouble la volonté du Très Haut. Parfois certains sont condamnés à l'anathème par l'Église. C'est que celle-ci veut leur dire comme à tout autre être humain : prenez conscience de votre situation.
Mais que ceux là, viennent faire subir aux autres leurs préceptes, par le vol, le pillage, la violence, la haine, le viol, le meurtre et le massacre, alors NON! Là, la très sainte Église Aristotélicienne doit punir et leur offrir une vie digne de celle qu'ils offrent à leurs victimes : errance, mépris et damnation aux hérétiques obstinés dans leur situation!

Le clerc BlueJagd souffla enfin et il remercia vivement les gens de leur écoute.
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Le lâche connait la honte, l'hérétique la damnation.

Monseigneur Mymy von Ahlefeldt avait une fois de plus fait la route à cheval, avec pour seuls compagnons de route son étalon et son chien-loup Lior. Dans sa besace, elle transportait sa tenue de cérémonie, son Livre des Vertus, sa crosse et quelques autres objets liturgiques, au cas où. Elle pensait trouver ce dont elle avait besoin en cathédrale d'Anger cependant. Monseigneur Verty l'avait rassuré sur ce point. Elle laissa son cheval dans une écurie proche. Comme toujours, Lior l'avait laissée à l'entrée de la ville pour rester dans les bois.

Elle entra dans la cathédrale par la porte de côté et se rendit directement à la sacristie après avoir mis un genou à terre et fait le signe de croix. Elle enfila sa robe de cérémonie, se recoiffa, passa sa mitre, puis prit sa crosse et son Livre des Vertus avant d'aller se placer derrière l'autel, un grand sourire aux lèvres. Le mariage de Sniper et Jaëlle allait pouvoir commencer
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Mymy von Ahlefeldt, Archevêque Métropolitain de Lyon

Le voilà le soir qu’elle attendait avec impatience, sa belle Jaelle avait trouvé l’homme de sa vie, ce soir elle allait s’unir à lui.

Chabinne avait passé un long moment à se préparer, elle voulait être parfaite pour cette soirée.
Une robe dans les tons beige clair glissant jusqu'à ses pieds, un léger décolleté, une écharpe en soie autour de son cou, elle était prête.

Les ruelles d'Angers furent vite parcourues, elle tenait sa robe légèrement en hauteur pour ne point la salir.

Elle semblait être ponctuelle pour une fois, l’église se dressait devant elle, son cœur bat si vite, et pourtant ce n’est pas elle qui se marie.

Elle respire calmement, passant la main dans ses cheveux noirs, elle réajuste son décolleté, défait quelques plis de sa robe, et s’approche de l’église.

A présent devant la porte de l’église, elle sent une main sur sa hanche, Chabinne se retourne, son cavalier était là. Tout en élégance, ce que ça pouvait le changer, il était si charmant. Un grand sourire s’afficha sur son visage, qu’il soit là à ses côtés ce soir avait le don de la rassurer et de la rendre heureuse.

Elle s’approche de lui pour lui délivrer un baiser, savourant ses lèvres, l’enlaçant brièvement.

Le plus charmant mon blond! laissa t-elle échapper un sourire aux lèvres.

Elle prit sa main, tous deux entrèrent dans l’église.

Mymy vit enfin les futurs marriés entrer suivis de quelques amis.

Bien chers Jaelle et Sniper! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va faire votre bonheur.

Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des disputes et des tristesses. Ce lien est indissoluble: jusqu'à ce que la mort vous sépare. Aujourd'hui vous allez vous marier devant Dieu notre Père, devant vos témoins et l'ensemble de la communauté des fidèles.

Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à tous un exemple d'Amitié et de courage.

Je demande à Jaelle et son témoin Chabinne Verne de venir devant l'autel, ainsi qu'à Sniper et ses témoins Finam De Montmorency et Ursin de Lasteyrie, de les rejoindre.
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Mymy von Ahlefeldt, Archevêque Métropolitain de Lyon

Chab l'avait invité a se joindre a elle pour un mariage, elle avait besoin d'un cavalier et il se trouvait être le mieux place pour remplir cette fonction bien qu'il ne connaisse pas les mariés. Un mariage donc, s'il avait bonne mémoire celui d'Akemi était le dernier ou il avait été et ça n'était pas des plus agréables comme souvenir.

M'enfin bon, il avait décidé de se faire beau pour sa Chabinne, il avait revêtu son ancien uniforme, un habit bleu nuit a la coupe droite d'officier, celui qu'il portait lorsqu'il était dans l'armée Bretonne. Il la rattrapa a l'entrée de l'église, glissant un bras autour de sa taille en entrant, appréhendant quand même d'entrer dans une église, vieille réminiscence...

Et la plus belle...Tu est magnifique ce soir.
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"L'ancien forum ou rien !"

Ursin de Lasteyrie, Grand maitre de l'ordre Hospitalier avait pris place dans les premiers rangs de la Cathédrale d'Anger.
Son épouse à ses cotés, ils étaient vêtus de leur grand Habit de cérémonie, de soie noire, frappé des armes de l'ordre de l'Hospital.
Ursin n'aurait manqué pour rien au monde le mariage de son cher frère.
Ils avaient admiré les promis remonter la nef de la Cathédrale.
l'archevêque était comme à son habitude empreinte d'une dignité et d'une onctuosité très ecclésiastique.
Sa soeur CYbermymy lui mandat alors alors de monter jusqu'à l'Autel.
Ursin le leva, regarda son épouse et se dirigea vers le sanctuaire.
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Mymy attendit patiemment que tous se présente devant elle avant de commencer la lecture d'un passage du Livre des Vertus

Monseigneur Mymy repris la parole:

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.
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Mymy von Ahlefeldt, Archevêque Métropolitain de Lyon

Lambertine arriva enfin sur le parvis de la cathédrale.

Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus foulé le sol de ce magnifique édifice. Et la dernière fois qu'il l'avait fait, c'était après une rencontre nocturne qui s'était avérée fatale pour l'une de ses amies...

Lambertine chassa ces idées noires, et sourit en pensant à ce jour magnifique qu'allait enfin connaître sa mère, Jaelle, et son futur beau-père, Sniper.

C'est habillé sur son trente et un qu'il passa les ventaux de la cathédrale, et qu'il s'approcha des premiers rangs, réservés à la famille proche. Il salua au passage les quelques personnes qu'il connaissait, pour les avoir fréquentées, ou tout simplement de vue.

Il s'assit au premier rang, et sourit à sa mère en murmurant mais sans que le moindre son ne sorte de sa bouche un: "Je t'aime maman".

Il fit un clin d'oeil à Chabinne, sa tante, et à Sniper.
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Lambertine Verne, Baron de Mortiercrolles.

Le grand Maitre, légèrement en retrait de son frère entendait L'archevêque dire les prières.
Il mit alors la main sur l'épaule de son cher frère.
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Mymy se tourna vers Jaelle, émue comme toujours dans ces moments là.

Jaelle000 veux-tu prendre Sniper67150 De Montmorency pour époux, dans la sainteté et la confiance, pour vivre avec lui dans l'amour de chaque jour? Veux-tu faire dépendre ton bonheur de son bonheur et donner par l'exemple de votre union un signe visible de l'amitié de Dieu sur terre?
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Mymy von Ahlefeldt, Archevêque Métropolitain de Lyon

Vous pouvez échanger les alliances, symbole de la fidélité et de l'unité du mariage.

fit l'archevêque tout sourire.
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Mymy von Ahlefeldt, Archevêque Métropolitain de Lyon

Lambertine voyait sa mère trépigner d'impatience, tandis que Sniper, puis elle se disaient oui, et ce pour la vie.

Le jeune homme avait le coeur qui battait la chamade, et se retenait de se lever et d'aller faire un gros poutou à sa mère.
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Lambertine Verne, Baron de Mortiercrolles.