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[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

---fromFRDarkLiloche
Liloche écoutait qui avait été son Papou, sans doute le meilleur Papou au monde et en plus qui avait la classe...

Elle se demandait pourquoi il fallait systématiquement que ce soit triste quand quelqu'un partait....Et ba nan, elle ne se le demandait plus, à cet instant précis elle réalisa qu'elle ne le reverrai plus jamais.

Elle senti le même poid qui la forçait à s'assoir que le jour où elle l'avait découvert là sur son lit, allongé, raid sans la moindre respiration...


Papa...

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Il s'agit du g de gravité, entre la derniere signature et l'avant derniere il y a un effet kaleidoscope, la première est ma signature originale...
---fromFRgigi76
Gigi resta au fond de la cathédrale, les larmes au yeux, toujours très triste d'avoir quitté Ashram sur une mésentente. Il lui manquerait.
---fromFRBenidon le Fripon
Loin au fond de la cathédrale, mortifié que le grand homme soit parti quand leur relation était au plus bas, regrettant de n'avoir pu regagner son amitié, Bénidon joignit sa voix au choeur funeste.

Amen
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Ciao bello...
Arielle_de_siorac
Arielle se tenait droite, le regard lointain et la nuque raide. Son fiancé était décédé. Le premier choc était passé; ne restait qu'une lancinante tristesse.

Elle écouta la messe, les larmes inondant ses joues alors que la grandeur du défunt duc était soulignée par l'évêque. Un être si noble s'était éteint et néanmoins, le soleil continuait chaque matin de se lever sur le banal quotidien de milliers d'hommes et de femmes; la vie poursuivait son cours. C'était à la fois réconfortant et horrible.


Mon tendre Ashram, je t'ai tant aimé... songea-t-elle. Qu'il est triste que nous n'ayons jamais pu célébrer nostre hymen! J'aurais tant aimé vieillir en ton heureuse compagnie... Hélas, c'est plutôt éternellement jeune que tu demeureras en ma souvenance et mon coeur. Puisse Aristote t'accueillir à bras ouverts en sa sérénissime demeure.

Elle se signa et prononça avec l'assemblée: Amen.

Puis elle déposa à l'avant de la cathédrale un parchemin sur lequel elle avait inscrit un poème en mémoire de son défunt fiancé.
Citation:
C'était un grand vaisseau taillé dans l'or massif
Ses mâts touchaient l'azur sur la mer angevine,
Le coeur empli d'amour, la rapière fine,
Il incarnait l'honneur au soleil excessif.

Mais il vint une nuit frapper un grand écueil
Dans l'océan trompeur d'une sinistre arène
Et le destin furieux inclina sa carène
Jusqu'au fond du gouffre, immuable cercueil.

C'était un vaisseau d'or dont les flancs diaphanes
Révélaient des trésors que les âmes profanes,
Ignorantes ou viles, ont osé disputer.

Que reste-il de lui dans la tempête sombre?
Qu'est devenu Ashram, navire déserté?
Las! Il s'est fondu dans l'abîme des ombres!

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---fromFRAnonymous
Loo trouve le chemin de la cathédrale où elle n'a jamais mis les pieds. Elle entre timidiement dans la grande cathédrale. Aussitôt, elle a le souffle coupé par les vertigineuses verticales qui incitent à porter le regard vers le plafond...

Elle envoie une pensée au bô duc et s'en retourne discrètement...
---fromFRAnonymous
Un grand éclair tonna dehors et ainsi que dans la cathédrale. On cru entendre un cri sortant du cercueil dans un court laps de temps.

Et défection Dieu est un poulet potevin
---fromFRL Enigmatique Enimia
Enimia, à Angers depuis peu éprouva le besoin de se rendre à la cathédrale... Elle passa le parvis lentement. Quelques personnes étaient là, dans la rue devant l'édifice... Parmi ces personnes une jeune femme semblant de noble lignée...

L'étrangère, une frêle jeune femme, portait une robe blanche comme à son habitude. Sur ses épaules, une cape de velours vert... Dans ses mains, une rose blanche... Elle avança dans la nef... et se porta près de l'autel sur lequel elle déposa sa fleur...

Des souvenirs affluaient en elle... elle s'imprégna de chaque détail, de chaque couleur des vitraux, de chaque statue... Dans une attitde de recueillement, elle déambula doucement, ses gestes toujours aussi grâcieux...

Elle passa là deux heures... Puis, aussi silencieusement qu'elle était entrée, elle ressortit... se retournant une dernière fois avant de poursuivre son chemin... La frêle jeune femme s'enfuit et disparut dans la lumière du soleil qui rayonnait en ce jour...

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En transparence.... Disparue...
---fromFRL Enigmatique Enimia
En ce début de soirée un peu frais, Enimia retourna dans la cathédrale. Elle flâna dans les allées, passant sa main sur le bois des bancs et des prie-Aristote. Elle regarda chaque vitrail, voulant graver leur détail dans sa mémoire... La frêle jeune femme semblait un halo de lumière dans les ténèbres de la cathédrale...

Elle passa dans chaque coin et recoin de ce lieu. Un sourire sur le visage, on aurait pu voir en elle une apparition fantômatique qui allait et venait au sein de cet endroit voué au culte d'Aristote.

Au bout d'un instant, elle s'assit sur l'un des bancs. Sa tête légèrement penchée en avant, ses yeux fermés, ses lèvres toujours marquées d'un sourire, elle resta là pendant de longues minutes... Se remémorant des souvenirs n'appartenant qu'à elle seule alors que ses doigts froissaient légèrement le tissu d'albâtre de sa robe... Un frisson la parcourut... Elle releva ses yeux vers la voûte et, toujours en souriant, elle se dirigea vers les grandes portes de la sortie... Elle les franchit à nouveau, jetant un dernier regard sur l'intérieur vide de la cathédrale...


Sur le parvis, elle croisa son regard... Il était là... Elle avança vers lui, toujours souriante...

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En transparence.... Disparue...
---fromFRSoldats Des Tenebres
Aux alentours des trois heures du matin.

Au sortir de la guerre, chacun s’était octroyé un peu de repos. Panser les blessures, se délecter de la chair des défunts, avant qu’ils ne gagnent le Circulus pour un sommeil éternel. Toujours profiter de ces moments de quiétude, lorsque les dieux le permettaient. Nul ne savait quand l’occasion se représenterait à nouveau. Si elle venait à se représenter…

Une cinquantaine de sabots caressaient la pierre dans la pénombre. Traits tirés, visages lugubres et parsemés de cicatrices, les cavaliers apocalyptiques progressaient calmement, sans bruit. Leurs capes trouées ondulaient, épousant le souffle nocturne des Dieux. Nestrecha veillait sur eux. L’illustre Déesse ne manquerait point de les accompagner dans leur périple.

Ils avaient quitté l’Antre depuis fort longtemps pour s’en aller cavaler sur les routes et rejoindre le lieu. Ce lieu… Qui se dressait majestueusement devant eux…
Les survivants de la grande guerre Biterroise contemplaient au loin cette cathédrale, qui semblait les narguer de son impressionnante hauteur. Qu’elle en profite tant qu’elle en a encore le pouvoir. Ils avaient conquit une cité, fait frémir un comté. L’heure d’ébranler un culte était venue.

Les nerfs se tendaient comme cordes de violes.

La faction comptait dix guerriers, partis sur ordre d’Halleck. Ils devraient agir vite et discrètement. Sans un mot, le manteau serré sur leurs armes dissimulées, ils mirent pied à terre quelques rues avant leur destination finale, menant tant que possible les chevaux par les flaques d’ombre.

Sept des hommes furent postés en étoile autour de la Cathédrale afin de couvrir le plus largement la zone et ainsi avoir un potentiel de repérage maximal. Ils étaient également suffisamment proches pour converger vers le bâtiment rapidement si besoin.
Ceux ci resteraient afin de couvrir les arrières de leurs compagnons, prêt à éventrer le premier venu sans crier gare !
Bouffer des boyaux, se délecter de chair…

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в тенебрис !
---fromFRAligern
Aligern rejoignit Enimia sous un porche et communiquèrent à voix basse. Elle avait les renseignements qu’il attendait. Cette dernière avait gagné la ville il y a un jour de cela afin de collecter les informations cruciales au bon déroulement de la mission.
Aligern, drapé dans sa cape, le visage caché par un masque couleur d’albâtre aux larmes de sang, fit quelques signes de la main, mandant ainsi aux trois hommes restant à les rejoindre.

A quatre ils exécuteraient la mission. Leurs lames toujours cachées et enduites de noir pour épée afin qu’aucun reflet ne filtre dans les rues désertes qui encerclaient la Cathédrale… Aligern toisa celle-ci, ce symbole de cette religion qui avait détruit son enfance, celle de sa bien aimée.. Cette inquisition, ses séances de questions, il se souvenait de tout. Une colère sourde s’empara de lui progressivement, le waylander reprenait possession de lui.. Il se pencha et murmura à l’oreille d’Enimia :


Reste la princesse, je reviendrais te chercher…

Puis il fit signe aux 3 hommes à côtés de lui, de le suivre, se dirigeant à pas feutré sur le parvis de la Cathédrale.. Il savait où se trouvaient les tentures. Ils devaient commencer par là.. Il frappa à la porte principale, attendit quelques instants. Il entendit alors des bruit de pas résonner à l’intérieur de l’édifice. La porte s’entrouvrit, laissant apparaître un ecclésiastique en chemise de nuit, son visage gras et fat était éclairé par une bougie qu’il tenait :

Oui ? Qu’est ce que ………. ,

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase , qu’un dague d’Aligern alla se ficher dans sa gorge, le prêtre mourut sans un bruit… Aligern le projeta en arrière et le laissa se vider de son sang dans un gargouillis. Ils s’engouffrèrent alors dans l’édifice.

Aligern sépara sans un bruit 2 de ses acolytes, avec divers signes de la main. Ils se dirigèrent vers les autels, renversant les décorations pillant les objets de valeurs les mettant dans des sacoches de selles prévues à cet effet… Tandis qu’Aligern et le dernier soldat étaient partis se saisir des flambeaux accrochés aux piliers…

Une lueur de quasi-démence put se lire dans ses yeux… Même si rien ne lui rendrait ses joies passées, il allait enfin se venger… Il apposa le flambeau contre les magnifiques tentures qui se dressaient çà et là. Ces dernières ne tardèrent pas de prendre feux… Il ordonna aux soldats de mettre le feu à cette cathédrale. Tous se saisirent de flasque d’huile qu’ils projetèrent dans toute la cathédrale, avant d’enflammer leur contenu…


Nestrecha, déesse de la Mort, Krivda, Déesse des Larmes, Accueillez ce brasier comme l’offrande que je vous fais !! в тенебрис mes frères ! в тенебрис ! Que notre étendard triomphe. Que brûle cet édifice de mécréants, que notre colère embrase le royaume !!! hurla t’il , avant que ses frères d’armes n’entonne le chant d’In Tenebris..

Aligern resta un moment interdit, son visage éclairé par la danse des flammes… Un sourire se dessina sous son masque..

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Aligern de Chantfaucon, le loup solitaire en quête de quiétude.
---fromFRSoldats Des Tenebres
Puis les soldats et Aligern sortirent de la cathédrale en flammes, en courant. Ils devaient faire vite et partir de cette cité leur mission était accomplie. La cathédrale d'Anger allait bruler..

Aligern alla vers le porche où l'attendait Enimia. Ils montèrent en selle tout deux ainsi que tous les soldats.. Et le goupes de dix soldats partit au galop, fendant l'air ne prenant même plus soin de dissimuler leur mouvements.. Les ruelles d'Angers défilèrent osus leurs yeux.. A cette heure, les rues étaient désertes, ils eurent tôt fait de quitter le quartier de la cathédrale..

Après quelques minutes, ils passèrent sans encombre les portes de la ville. Aligern se retourna regardant les lueurs de l'incendie commencer à déchirer la nuit, le sourire aux lèvres.. Ils chevauchèrent à travers la campagne angevine, partant dans les ténèbres qui bientôt les happèrent, dissimulant leur fuite.. Halleck seraient satisfait leur mission avait été un succès


в тенебрис mes frères ! в тенебрис ! Que notre étendard triomphe.
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в тенебрис !
---fromFRL Enigmatique Enimia
Chevauchant à ses côtés, Enimia se retourna également pour admirer les flammes qui léchaient la cathédrale alors qu'ils avaient quitté la ville et qu'ils atteignaient une petite colline... Aucune résistance n'avait été rencontrée et elle en avait été soulagée...

Elle prit la main d'Aligern avec tendresse et ils admirèrent ensemble la destruction de ce lieu regroupant mensonges voilés, fausse franchise et intolérance... Enimia avait tout de même été soulagée que personne n'ait été à l'intérieur... Elle n'aimait pas la violence ni la brutalité, et cet incendie n'en était pas le reflet...



A Angers, dans la cathédrale, la chaleur s'était vite répandue grâce aux procédés qu'ils avaient utilisés pour y mettre le feu. Les pierres en tuffeau commencaient déjà à se fissurer... Quelques unes mêmes explosaient... Les nucleus de silex qu'elles renfermaient les rendaient dangereuses, armes terribles envoyant des projectiles acérés... Les bancs, prie-Aristote, autels, lutrins, tout ce qui était de bois était maintenant irrécupérable... Les vitraux commencaient à fondre et à se déformer...

Personne n'avait réagi à l'incendie... Et cela avait permis une réussite inespérée dans cette mission. De toute façon il était maintenant trop tard pour sauver la cathédrale...

Elle plongea ses yeux dans ceux d'Aligern, souriante, se pencha pour déposer un baiser sur ses lèvres avant de talonner son cheval et de partir rejoindre les autres au grand galop, le mettant au défi de la rattraper... en riant...

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En transparence.... Disparue...
Ego
Le lendemain matin, Sieur Ego arriva sur Angers pour ses études. De loin, il voyait une fine colonne de fumée s'élever de la ville. En se rapprochant de la cité, il ne put en croire ses yeux !!! La somptueuse et magnifique cathédrale d'Angers avait brûlé au cours de la nuit et il ne restait désormais de visible qu'une charpente noicie.
Après être entrer dans la ville et s'être diriger vers l'emplacement de la cathédrale, il vit l'ampleur du désastre... Il ne restait plus que poussières et pierres jonchées en dessous de la charpente noircie.
Priant pour que le Seigneur ne s'offense pas que Sa Maison ait été détruite, sieur Ego poursuivit son chemin et se demanda ce qu'allait faire Monseigneur Jandebohen face à une telle catastrophe. La prélat allait sans doute répondre sévèrement à ces sacrilèges et il valait mieux pour les responsables de cet acte que Dieu leur soit très favorable.

Pendant toute la journée, il ne put se concentrer dans ses études et n'arrêta pas de penser à cette tragédie.

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Ego de Dénéré

Professeur et Etudiant de l'Université de Toulouse.
Haut Fonctionnaire.
---fromFRAnonymous
pfff pas grave on comptait en changer de toute façon...
---fromFRCompote
Compote avait été prévenu par la rumeur, mais ce ne pouvait être vrais, TOUTES les cathédrales de France ne pouvaient avoir bruler en une nuit, c'était impensable, surtout que personne n'avait réagit durant la nuit et liraculeusement aucune habitation n'avait été touchée, ni le palais épiscopal.
Il arriva devant la cathédrale en cendre ... Aristote, que ce spectacle le révulsait. Puis hurlant ce déspoir, comme possédé, il se rua sur le premier badaud venu.


Qui ? Mais qui bon sang à bien pu offrir son âme à l'Etre sans Nom de la sorte et brûler toutes les Grandes Maisons du Très Haut ?

Puis il se souvint avoir apperçu une jeune inconnue érer dans la cathédrale à la fin de l'enterrement du Duc de Créan, elle avait l'air égarée, mais il était de service et n'avait pu lui parler, puis il l'avait oubliée.

Ce pourrait-il qu'elle en fasse partit ? Où est elle ?

Le badaud ne comprennant pas lui dit

Mais d'qui vous causez m'sieur l'curé ?

De cette jeune femme semblant venir d'outre tombe, celle que personne ne connaissait et qui "visitait" notre cathédrale !
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