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[RP] Cathedrale et Diocèse d'Angers

pnj


Rani était très,mais alors très très en retard, mais elle fut heureuse de pouvoir tout de même apercevoir les mariés à qui elle laissa un mot

Citation:
Félicitations au jeunes couples, tous mes voeux de bonheur.
Rani
pnj
OXar avait envie de se rendre dans la cathédrale pour son pélerinage annuel en tant que membre des sanctes armées. Vêtue sa tunique noire et blanche, elle entra dans les lieux. Les lieux se vidaient lentement de nombres de convives... Un mariage?

C'est bien ma veine.. moi qui déteste ça...

Elle se faufila jusqu'aux premiers bancs de la cathédrale et joignit les mains pour communier avec le seigneur. Les yeux clôts, la tête basse, elle murmura:

Oh toi Saint francois, fils de commercant,
Envoyer par ton pere dans la vie pour apprendre le commerce,
Toi qui, avec le Pere Suger, avaient transmis les paroles divines,
Toi dont la foi demeur forte et tres pieuse.

Tu as vu ce que l'homme pouvais faire,
En une journée pluvieuse du moi de mai.
Ton percepteur fut assassiné par la folie des hommes,
Malgres cela tu es rester confiant dans ta foi pour Dieu.

Tu as vécu dans la pauvreté pour que seule l'amitié te touche,
S'éloigner de Dieu c'est s'éloigner de la vertu,
S'éloigner de la vertu c'est s'éloigner des fondements de la société des hommes et de ces lois.

Tu nous enseigne l'Espoir, la Confiance et le Don,
Tu n'as pas préché par la parole ou par l'épée,
Mais tu a préché par l'exemplarité de ton comportement.

Tu nous a montré que raison et sagesse
Pouvez s'unir pour donner le precepte de la vie Aritotélicienne.
Tu nous a montré que tout ce qui nous empeche d'etre ami avec notre prochain,
Etait notre véritable enemie.

Priez pour nous oh tres grand Saint Francois,
Pour que nous puissions transmettre par le don de soi
Pour que nous puissions vivre dans le dépouillement pour ne vivre qu'un richesse :
L'Amour de l'autre.


Espérant que sa prière soit entendue, elle se leva et posa sa main sur le bois lisse du banc. Elle admira les lieux qui étaient encore parés pour la cérémonie qui venait de s'achever. Elle soupira... C'était joli quand même, les mariages. Elle rajusta ensuite sa tenue avant de prendre la porte.
Jeanpolc
Il entre en ce lieu de sagesse et de paix, il a besoin de parler, de voir, de faire sortir de son coeur biens des peines et des ranceurs. Il vient prier espoir de calme, de se retrouver , de trouver l'autre, de comprendre les actes de celui qui n'est pas lui. Juste une envie de comprendre. Il avance les yeux vides , il ne sait ou il va .
_________________
Verty
On entendit sonner les cloches...

(((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG)))

Et maintenant que tous étaient entrés dans la cathédrale, Mgr Verty y alla de son discours:


Cette année, mes enfants, l'heure est trop triste pour que nos coeurs soient complètement à la fête. Nous avons vécus des choses dramatiques, et même tragiques, dans notre paroisse, dans notre diocèse, comme dans le royaume tout entier.

Mais ne nous arrêtons pas sur les événements troubles, et pensons à l'avenir.
Il sera meilleur.

Pour nous repentir des mois passés, et nous permettre d'en éprouver des meilleurs, prions un instant, prenons le temps de nous arrêter un peu !




Après s'être recueillie suffisamment sur le malheur, Verty changea de ton.

Mes amis, cependant, l'heure aujourd’hui sera à la fête.

Je vous en prie, je vous en conjure, je vous en pleure, il ne faut pas se laisser abattre par tous ces événements sordides qui nous tombent dessus.

Il a neigé hier, je vous rappelle.

Aujourd’hui, l'heure est à la noël, et vous connaissez si bien tous le Saint-père Noël que vous laisse raconter son histoire à vos enfants.


Je vais vous lire un extrait des textes de la vie de Saint Noël:


Mgr Verty ouvrit son grand livre, et commença la lecture.



Citation:

Ses origines

Arrière-petit-fils d'un brave homme ayant suivit Christos de son vivant, Nicolas Noël est né dans un chariot tiré à ce qu’on dit par des cerfs dressés
par son père.
A cette époque les registres n’existaient pas et on ne connaît pas le lieu exact, ni la date exacte de sa naissance mais on sait que c’était pendant un hiver particulièrement rude.

Noël faillit ne pas dépasser l’âge de la puberté tellement il avait souffert à sa naissance, et il a même été en état de mort plusieurs fois. Par contre à chaque retour à la vie, contrairement au commun des mortels, il revenait plus en forme que jamais.
Pourtant chaque année au solstice d’hivers il semblait mourir pendant cinq jours et cinq nuits, mais bien que son corps soit veillé certains prétendaient l’avoir vu à différent endroit, offrant du pain aux plus pauvres, du feu à ceux qui n’en avaient pas, et même un simple jouet aux enfants triste.

Sa vie

Vers l’âge de 15 ans alors qu’il n’avait jamais étudié, il racontait l’histoire de Christos que son arrière-grand-père avait transmit à son grand-père et qui lui-même l’avait transmis à ses enfants et petits enfants.
Le curé de sa paroisse l’invitait régulièrement à participer à la messe et en fit son diacre. Très vite tout le monde fut surpris de son érudition, sa simplicité, son amour pour les autres et ses connaissances intuitives du dogme aristotélicien.

Un jour où on le questionna sur les raisons de ses problèmes de santé liés à l’hiver il répondit :

Je parlerais d’un cadeau de Dieu plus que d’un problème, car à chaque fois que je frôle la mort j’en apprends de Christos et Aristote, car notre Créateur nous donne toutes les réponses à toutes les questions pour que nous puissions voir notre vie sous des jours nouveaux, et que nous puissions nous juger nous même avant d’être jugé.
En principe en revenant à la vie, nous laissons ces connaissances et un peu de notre force, mais Dieu en a fait autrement pour moi je pense, bien que je ne garde qu’une réponse, sans choisir la quelle, je ne perds pas tout de ma visite chez les Saints.

Bien entendu personne ne le prenait réellement au sérieux, et il ne l’était d’ailleurs peut être pas, mais tout ce que les gens retenaient de cet événement c’est que c’était un érudit et un homme aussi sage que bon.

Tout au long de l’année, il donnait la moitié de son temps pour aider les malheureux, pas forcément les pauvres, mais bien ceux qu’il nommait les malheureux.

Quand on lui demandait pourquoi il aidait des riches comme les pauvres, il aimait répondre des phrases qu’il disait tenir d’Aristote lui-même :
« Les talents du riche ne remplace pas le talent d’être heureux ».
« Etre remplis de talents ne permet pas d’acheter le bonheur »
« on vit avec talent, mais on n’emporte pas ses talents dans la tombe »

Tous ne comprenaient pas, car il y avait longtemps que le talent n’était plus monnaye courante...

Vers l’âgé de 35 ans, il fut nommé Evêque et il continua sa vie de la même façon, aidant ceux qui devaient être aidé, quel que soit leur rang social, il était reconnu pour toujours avoir la parole ou le cadeau qu’il fallait pour rendre la boulasse aux plus malheureux.
Et chaque solstice d’hivers il semblait mourir, mais chaque fois 3 ou 4 jours plus tard il revenait plus en forme que jamais et organisait une messe vers minuit où il racontait une nouvelle histoire.
Une année il annonça que vu son grand âge, il avait près de 90 ans ce qui est un miracle en soi, il renonçait à sa charge et entreprendrait, seul, un dernier pèlerinage. Bien sur tout le monde voulu l’en dissuader, mais il promit qu’il reviendrait pour le 25 décembre, et que de toutes façons il faudrait bénir ce jour particulièrement car il avait appris de Christos et d’Aristote eux même, que c’était le jour de leur naissance à tous trois, Aristote étant né à midi et Christos à minuit et lui juste entre les deux, à dix huit heures.

La légende

Le Père Noël, comme avait continué de l’appeler ses fidèles, pris la route et revint parmi les siens le 6 décembre suivant.
Il ne répondit que peu aux questions sur ce pèlerinage, mais il avait ramené deux chariots. L’un remplis de bûches, et l’autre rempli autre de pains
Il fit distribuer le pain et le bois aux plus pauvres, et une fois la distribution terminée, il envoya les chariots faire le tour des plus riches à qui on demandait de déposer un présent.
Le 24 décembre, Monseigneur Noël organisa deux messes, l’une à midi en l’honneur d’Aristote et une à minuit en l’honneur de Christos, puis il se dirigeât vers la sacristie et plus personne ne le revit.

La totalité des villageois, du plus croyant au plus mécréant passèrent la nuit à le chercher, et c’est seulement au petit matin qu’épuisés, ils rentrèrent chez eux.
C’est là que la légende fut inscrite parmi les miracles, car chaque maison sans exception avait son foyer allumé et des cadeaux au pied de la cheminée.

Depuis cette époque, chaque année on dit un peu partout qu’en décembre il passe dans les maisons pour donner un peu de bonheur. On prétend même, que parfois, Christos et Aristote l’accompagnent directement...


[Suite de l'office dans l'après midi]
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Nayriagrimwald
Le clan avait fait bombance la veille, et Cévillé avait entendu , chant et autres fracas d'une veillée arrosée. Le levée fut rude, et pas une trace d'un bonhomme en rouge foutue sottise de fada, y'avait rien d'autre que la foy ce jour là!

La belle avait passé une jolie robe ameutée les femmes de chambre pour qu'on l'habille et u'elle soit visible, un teint pale comme le sien souligné de cerne etait impensable. Ainsi fait sa chère amie posa moulte crème pour cacher les ravages de la nuit, une fois prète, elle grimpa dans le carrosse laissant les enfants sur le carreaux, dfacon ils dormaient encore.

Les cloches sonèrent lorsque Nayria arrivait dans l'enceinte de la cité et c'est avec un chouilla de retard comme à son habitude, grimpant le parvis quatre à quatre, la Dame au Faucon se signa et vola jusqu'a une place au mieux placé.

Suivant la messe et récitant son credo comme toute bonne croyante.

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Verty
Puis, d'un coup, Verty arrêta sa lecture, comme elle était finie. Elle s'empressa de reprendre, afin que les paroissiens ne s'arrêtent pas une seconde, et leur dit:
Chantons à présent notre credo




Mes frères, mes soeurs, j'en ai assez dit: célébrons ensemble le pain de l'amitié, et allons prolonger cela pour des heures et des heures encore dans nos chaumières.

Allez dans la paix du très haut.

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Geoff87
Geoff comme à sa nouvelle habitue fit en sorte de rentrer dans l'église à une heure presque déserte. Il s'avançât jusqu'au au premier rang et commença sa prière comme les moines qu'ils l'avaient élevés lui avaient appris. Puis il resta assis un long moment perdu dans ses pensées.
Nayriagrimwald
Nayria vint en cette après midi là, déposer les bans de son mariage elle sourit et repartit.



[Texte pour les mal voyants ^^:

Le cerf et le faucon s’unissent.

En la cathédrale d’Angers, Ce 4 février de l’an de Grasce 1457 à 21h, Monseigneur Verty officiera l’union de

Dragonet de Castelcerf
Vicomte de St Germain les Belles

Qui s’unira à

Nayria Grimwald
Dame de Cévillé


Leurs noces consommées, ils éliront domicile en le château de Cévillé sur les terres angevines.

Que cela soit su et lu.

]
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Dragonet
Dragonet vint à la suite mettre les siens
--Theodorre
Appel à la mobilisation, le duché court partout, mais Théodore a été institué d’une mission, a défaut que d’autres puissent le faire au vu de leurs charges du jour, c’est lui qui le ferait.
Tête blonde qui passe la tête par la grand porte, personne à l’horizon, finaud il fait signe a ses amis ‘déposeurs de fleurs’ de s’avancer, des lys blanc, seront disposé a chaque extrémité de travées….




De part et d’autres de l’autel, en espérant pas trop gêner Monseigneur.




Théodore, prend donc mal en patience et ordonne déci delà, de grosse bougies sont amenés pour donner un peu de lumière à cette cathédrale un peu lugubre a c’t’heure !


Allez plus vite ! Si le Faucon voit que ce n’est pas près on frôlera tous la mort !

Théodore tapait dans ses mains, battant la cadence infernale, des décorateurs, le lys fleur préférée de sa maitresse, se devait d’être partout, embaumant ainsi l’Eglise et se mariant a merveille avec les bougies, la couleur de la robe de la mariée.

Une dernière touche personnelle, rose et blanc pour les compositions en début et fin de nef.




Ci fait le blondinet pose une affiche et se sauve pour essayer de mettre la main sur sa maitresse…

Mairie ? Cévillé ? Ou chez la Vicomtesse ? Pfff

Sur l’affiche pouvait être lu

Citation:
Le cerf et le faucon s’unissent.

En la cathédrale d’Angers, Ce soir le 4 février de l’an de Grâce 1457 à partir de 20h30, Monseigneur Verty officiera l’union de

Dragonet de Castelcerf
Vicomte de St Germain les Belles

Qui s’unira à

Nayria Grimwald
Dame de Cévillé


Leurs noces consommées, ils éliront domicile en le château de Cévillé sur les terres angevines.

Que cela soit su et lu.
Fifounijoli
[Apparetement de Fifou]

Malgré les derniers événements et la situation assez spéciale, Fifou en ce jour particulier, Fifou était ravie d’assister son amie Nayria pour ce grand jour. La future mariée l’avait rejoint chez elle afin de revêtir sa robe et finir de se préparer. L’aidant à enfiler sa magnifique robe, d’une couleur rosée laissant ses épaules dénudées, elle souriait et ne manquait pas de lui rappeler de ne pas s’inquiéter que tout se passerait bien. Ses cheveux relevés en un chignon qu’avait tant de fois du refaire les servantes, la voici enfin prête.

Fifou ajusta elle aussi sa robe, qu’elle avait voulu sobre et de couleur claire, quelques jolis rubans de soie retenaient sa chevelure rouge feu les laissant retombés en cascade sur ses épaules. La voici prête. Elle embrassa son amie, lui chuchotant qu’elle était magnifique et qu’il était maintenant temps de rejoindre la cathédrale.
Nayriagrimwald
De chez Fifou à la Cathédrale

Préparation, encore et encore ce chignon refait, soupire de la Dame au Faucon ses cheveux la tire horriblement.

Relâchez-le un peu ! Hein Fifou ça serait mieux non ?

Acquiescement de son témoin, et la voici finalement coiffé, la robe est merveilleuse, elle l’adore, une fois passé, elle hurle.

- Pas si fort !

- Mais Dame d’habitude…


- Ne savez vous pas mon état !


Fifou fait signe de se calmer, et les femmes de chambre la laisse respirer. Une fois prête, enfin, la belle regarde Fifou et sourit radieuse, un mariage et une grossesse, quoi de mieux pour une femme ! Un sourire, une embrassade et les voila montant dans le coche noir, frappé de l’écu du faucon, la Grimwald mobile, avança donc dans le noir de la nuit et arriva rapidement devant la cathédrale, discrètement elles sortent.


Allez vite que personne ne me vois !

Un éclat de rire, puis la voici qui se précipite sur le parvis de la cathédrale, et grimpe les escaliers quatre à quatre soudainement pleine d’énergie l’excitation du mariage certainement.
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Fifounijoli
La Grimwald semble retrouvé son entrain lorsque les deux jeune (ou moins jeune selon les avis) dames arrivèrent sur le parvis de la cathédrale. Elles montèrent les escaliers au pas de course afin de ne pas être vu, Fifou toujours calme retenait la robe de son amie, une tache ou une déchirure est cela aurait été la catastrophe. Les voici arrivées ouffff enfin quelques minutes de répit avant le grand moment.
La jeune Penthièvre sortie une petite fiole et d’un sourire malicieux le tendit à Nayria.

Tient boit… ça te fera du bien ma belle, rien de mieux avant le cérémonie afin de te détendre. Juste une gorgée hein

Elle riait en voyant la tête de son amie, heureuse de la voir enfin auprès de l’homme qu’elle aime et curieuse de le connaitre enfin
Yunagrimwald
[Cévillé un peu plus tôt]

Le cœur a ses raisons que la raison ignore...
Regard vide de sens, la jeune Grimwald se laisse vêtir comme lorsqu'elle avait cinq ans.

Malthide s'évertuant à cacher ses vilains cernes, la fardant pour rehausser ce teint translucide qui avait du mal à se séparer d'elle depuis quelques jours.
Une robe sobre au couleur pale parsemé de fil d'or, ses cheveux ébènes noués en un chignon serré laissant quelques mèches s'échapper pour retomber le long de son fin visage.

Après de longues heures Mathilde finit par sourire fière du travail accompli, Yuna quand à elle subissait plus qu'elle ne vivait les évènements mais pour sa mère elle ferait un effort.
Elle allait découvrir l'homme que sa mère aimait en ce jour particulier, léger pincement au cœur, la douleur était encore trop vive et ce sacrement était si lourd de sens...L'aurait-elle épousé, elle ne le saurait jamais...

Léger soupir, contenir sa peine et paraitre était le plus important.

Une petite bourse assortie au poignet contenant les bracelets, un coussin de soie brodé dans la main, elle était fin prête.
Le carrosse attendait dans la cour, elle sourit à celui qui l'accompagnait et grimpa sans plus attendre, ce n'était pas le moment d'être en retard.


[Seuil de la Cathédrale d'Angers]

Il faisait froid mais c'était une belle journée, la cathédrale semblait encore vide, aucun murmure ne s'en échappait.
Yuna passa la tête à l'intérieur, décorée pour l'occasion la cathédrale était vraiment superbe, un léger sourire étira ses fines lèvres.
Sa mère aurait un beau mariage, coup d'œil en direction de son cavalier.


On y va ?
Nayriagrimwald
Sale attenante à la Cathédrale

Grimpée en haut des marches elle pris la première a droite en passant par le narthex, et alla dans une salle attenante, bien pratique pour toutes ces cérémonies, elle s’y ‘cacha’ avec Fifou, en riant bêtement, déjà deux verres avec Nanane et Sadnezz et voici que Fifou sort sa fiole, finir saoule a son mariage ?

Hum pourquoi pas juste un peu, ca me calmera, mon cœur bat trop vite !


Une bonne rasade, celle qui fera son effet et la voici rassérénée, elle regarde autour d’elle, pieuserie et autres bibelots.


J’en reviens pas d’être ici… c’est si soudain, enfin ca me ressemble que ce soit un tel bordel je crois…

Elle se mit à rire doucement
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