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[RP] Le bal du Lys et du Paon

Asdrubal1
Une fois de plus Asdrubal allait à la capitale de la Lys, à la fin il l'allait convenir d'être acheté une résidence dans cette ville, parce qu'il passait dernièrement prolongées saisons en elle, et le confort d'une maison propre n'était pas eu par un hôtel. Celui d'Olite s'est habillé pour assister à le bal de la Cour française, à laquelle il avait été invité à la demande de Jenifael. Il a pris une chemise couleur bleue céleste, sur laquelle il a disposé un pourpoint de bleue foncé. Après cela, il a pris des pantalons noirs et ses bottes dans le même couleur. Sur sa poitrine il a accroché le pendant avec la croix de l'ordre castillan de Fisterra.

Une fois il a été préparé, il est sorti à la rue, il n'a pas eu beaucoup de difficultés pour arriver au Louvre, où avait lieu le bal, il s'est approché à lequelle recevait aux invités et il l'a dit ;


- Asdrubal de la Barca, pair de Castille et Leon, seigneur de Avila et Olite, fiancé de Jenifael de Castelnau-Montmiral
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Madeleine_df
La voiture arrivait en vue du Louvre. Les secousses chaotiques de la chaussée ne favorisaient pas vraiment la conversation, mais cela n'empêcha pas Madeleine de lâcher un :

- Je ne sais pas si j'ai vraiment envie d'y aller.
- Ha bon, toi non plus ?
- Moi je me demande pourquoi on y est pas allés en poney, notre arrivée aurait été autrement plus remarquée.


Lexhor plissa les yeux.

- Parce qu'on serait arrivés deux jours après.
- Ben on avait qu'à partir deux jours avant, enfin !


Lexhor replissa les yeux.

- Ouais, c'est pas faux.
- Je crois que les chevaux des écuries royales auraient été trop jaloux de Poneybouboule.
- Ouais, c'est pas faux.


Lynette regarda son époux en souriant, puis déposa son index entre ses sourcils avant de dire :

- Fais gaffe à tes rides quand même.
- Ouais c'est pas f....Hein ? Pffff n'importe quoi.


Et Madeleine d'esquisser un petit rire dissimulé derrière sa main.

- Vous croyez qu'il y aura du monde ?


Lexhor fait comme si de rien était.

- Sûrement oui. Dès qu'il s'agit de jouer les pique assiettes et de faire les beaux il y a toujours du monde.
- Mais c'est un de ces banquets où on doit essayer de trouver un bon parti pour ses gamins ?
- Maman veut me marier vous croyez ?
Un peu inquiète.

Lynette sortit sans réfléchir :

- Bien évidemment !
- Oh...
- Oh pas sûr non ! Pas tout de suite du moins. Son bébé... gnagnagna...
- Oui mais bon, c'est en projet quand même.
- De toute façon il faudra bien que cela arrive un jour... J'espère juste... Qu'il sera gentil.
- Nous y veillerons. De toute façon s'il ne l'est pas je lui couperait les c..doigts.


Erwelyn se retint de rire.

- Oui, je veillerai également à ce que ton parrain lui coupe les c... doigts.
- Les kdoigts ?
- Oui pour heu, le calmer.
- Je vois !


La voiture franchit le pont-levis du Louvre, et après quelques cahots supplémentaires, s'arrêta devant la porte. Madeleine en descendit la première, avec une franche envie de prendre ses jambes à son cou et d'aller demander asile dans l'église la plus proche. Lexhor fut le suivant et il en profitant pour aider la Princesse de Montlhéry à descendre. Puis, avisant le Louvre devant eux, il rajusta sa vesture.

- Bon, mesdames, prêtes à vous mêler aux pécores et aux commères ?

Lynette descendit aussi, un peu dépitée de ne pouvoir faire une arrivée sur Poneybouboule.

- Bah, y aura pas de pécores aujourd'hui ! C'est que la haute noblesse et tout.


Et Madeleine de penser que sa mère qualifierait sans doute l'assemblée de ban de morues, mais s'abstint de le préciser.

- Nous donneras-tu ton bras, Parrain ?

Lexhor, tendant un bras à chacune :

- Aucun ne vaut le quart du dixième de la moitié de l'un d'entre nous. Tous des pécores, ou presque !

Et le Prince de tenir exagérément droit.En attendant, Lynette n'avait rien compris et essayait de calculer. Madeleine sourit un peu, et lui prit le bras de son parrain. La Corleone glissa également son bras sous celui de Lexhor et avisa les alentours.


- Bon, essayons de te trouver un bon parti Madeleine. Vous connaissez des gens parmi la jeunesse dorée française tous les deux ?

Madeleine fronça les sourcils.

- Euh... Je connais Mélissandre. Et... C'est tout je crois.
- Hmm, je crois que c'est à peu près tout pareil pour moi...
- Ben moi j'ai deux idées, mais je les garde pour moi.


Madeleine rougit et baissa les yeux.

- Ce que Maman et vous jugerez le mieux.
- Il faudra qu'il te plaise un peu quand même.
- Ne t'en fais pas Madeleine. Tu auras un bon époux, en tous points.
- Je n'en doute pas cher Parrain.
- Mais je doute qu'il se trouve au milieu des traînes savates que nous croiserons aujourd'hui.


Et sur ces entrefaites, il arrivèrent devant le salon aux mille Lys. Après avoir décliné leurs identités, ils pénétrèrent dans la salle après que l'huissier les eut annoncés. Première réaction de Madeleine : Repérer sa mère. Une fois que ce fut fait, analyser la nuée alentours. Des inconnues, des mieux connues, majoritairement des femmes. Sauf un. Et sa main se crispa un peu autour du bras de Lexhor. Le parrain posa les yeux sur la mini-rousse et ne parvint pas à s'empêcher de froncer les sourcils.

- Un souci Mady ?
- Euh, eh bien... Non, aucun.


Elle avait bien rosi, et regardait un peu trop le sol pour être tout à fait honnête, mais semblait rester suffisamment maîtresse d'elle-même pour faire illusion.

- Haha. Tu ne me la feras pas ma petite poule.

Et Lynette de pencher la tête pour observer Madeleine.

- Nous en reparlerons plus tard. Mais pour le moment souriez, comme si vous étiez ravies.
- Ça ira, je vous assure. Ce n'était qu'une petite faiblesse.
- Hmm, et si nous allions dire bonjour à ta mère ?


Madeleine opina du chef et releva le menton, rangeant temporairement ses incertitudes dans un coin reculé de son cerveau.


- Et admirer le charmant sourire qu'elle doit arborer.

Lexhor ricana un peu, tandis que Lynette se marrait et emboitait le pas au duo se trouvant à ses côtés pour aller chafouiner Rosa pendant un moment.

Écrit à six mains, et oui messieurs-dames !

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Sepa
Après reçu l'invitation,Sepa se demanda tout d'abord s'il devait y aller, ce n'était pas vraiment les lieux qu'il préférait mais après réflexion, il se dit quand tant que nouveau noble d'Ile de France, il devrait s'y rendre. Il écrivit à sa fille pour savoir si celle ci serait intéressé, il l'attendrait sur place sachant qu'il était non loin de là. Tenue un peu plus classe que d'habitude. Pas de tenue officielle mais une habillé pour l'occasion,couleur noir et jaune étaient de rigueur comme l'était son blason. Consigne donné à la GR que c'est Paul qui devrait donné les ordres mais il ne pourrait s'empêcher de surveiller que tout se passe bien, après tout,il avait grandit dans ce monde donc cela était presque instinctif. En tout cas, tout était prêt pour le jour J.

Enfin le grand jour était arrivé, le Borgne traina dans ses appartements, prenant le temps de se faire préparer bain et "ciseau" pour sa barbe, il se devait d'être presque irréprochable pour le bal. Cela se fit quand même assez rapidement car il n'aimait pas trainé sur ce type de futilité. Les heures tournèrent mais il était temps de quitter Beaurain pour se rendre au Louvre, là c'est sur, il ne serait pas dans les premiers, les premières questions fusèrent dans sa tête, qui allait il voir? beaucoup de connaissance? le but vraiment de s'y présenter? Chose qu'il était sur, c'est qu'il n'était pas des plus à l'aise dans ce genre de festivité.

Sa fille avait répondu présente pour le bal donc le Borgne l'attendit à l'entrée de la salle pour faire les présentations en même temps lorsqu'ils rentreraient. Clotillde aussi n'était pas vraiment à l'heure, enfin contrairement à son père qui n'aime pas, elle ce genre de chose devait l'enchanter. La jeune femme se présenta à ses lieux et son père lui proposa son bras pour se rendre sur les lieux. Arrivée à la salle le Borgne les présenta.


Sepa Von Stavanger,Baron de Beaurain, Capitaine de la Garde Royale de Sa Majesté. Accompagné de ma fille Clotillde Von Stavanger


Oui,Sepa ne s'était pas présenter avec son titre Lorrain qui était de Vicomte, il ne trouvait pas ça bien de se présenter avec son fief impérial alors qu'il est invité pour sa qualité de français. Une fois rentré, le Borgne alla voir Paul qui était déjà présent sur les lieux.

Bonsoir Lieutenant, ce soir,c'est vous qui menait la sécurité du bal, je compte sur vous.

Le Borgne échangea quelques mots avec le Lieutenant puis alla s'installer avec sa fille dans un coin ne connaissant pas grand monde sur les lieux, il saluait les gens qui arrivaient d'un signe de la tête. Sepa se rappela que son ami Constance devait se présenter donc il se plaça non loin de l'entrée en attendant la fameuse surprise que celle ci lui avait réservé.
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Elsa.d.asceline
    L'invitation de la princesse Melissandre n'avait eu aucun mal a la trouver un peu plus tôt dans la journée et c'est tout en esquissant un sourire qu'elle avait prit connaissance de son contenu.

    Un bal!

    Pour la jeune Duchesse qui avait dut éviter ce genre d’événements au cours de ces derniers mois, ce bal tombait vraiment a point, elle en avait assez de ne mettre le nez dehors que pour se rendre au castel champenois afin d'effectuer ses tâches quotidiennes, à l'aube de ses seize printemps, la routine s'installait déjà ce qui n'était pas du tout une bonne chose même si elle était heureuse de pouvoir passer du temps avec son fils, Isaac, elle avait grandement besoin de se changer les idées.

    Une fois son travail terminer elle s'était donc empresser de rejoindre le manoir d'Asceline afin de se préparer pour la soirée, bien décider a faire ce qu'elle n'avait plus fait depuis un certain temps, prendre soin d'elle et se pomponner un peu. Elle avait profiter d'un bon bain chaud parfumer a l'essence de rose et avait ensuite rejoint la chambre conjugale afin d'enfiler la robe qu'elle avait choisit un peu plus tôt pour l'occasion, d'un bleu azur tout comme ses yeux, sans trop de fioritures . Elle préférait de loin la simplicité , privilégiant la qualité des tissus et l'élégance.

    Enfin habillée, une de ses dames s'était occuper de sa coiffure, un simple chignon maintenu a l'aide de deux tresses qui l'entourait et quelques mèches qui retombaient sur les cotés de son visage pour éviter de lui donner un air trop sévère.

    Puis, après avoir été embrasser son fils, elle se mit en route, comme il était coutumier ces dernières semaines, seule, il savait parfaitement ou venir si l'envie de passer un moment avec elle lui prenait puisqu'elle avait bien prit soin de laisser l'invitation en évidence .Mais les chances étaient probablement assez minimes. peu importe, elle était bien décider a passer un agréable moment alors elle avait ranger ses idées noires et ses soucis dans un coin de sa tête jusqu'a demain, qui serait un autre jour.


    A son arrivée, ses traits s'éclairèrent d'un large sourire en apercevant non loin de l'entrée son amie Helena qui semblait attendre . Se faisant discrète, elle s'approchât d'elle par derrière pour venir murmurer a son oreille


    vous attendez quelqu'un belle demoiselle?

    Et de lui lancer un sourire amuser en prenant sa main et l’entraînant avec elle plus au devant afin de se présenter a l'huissier en fraction

    Bonjour monsieur l'huissier, pourriez-vous annoncer Helena Elizabeth Apostolakis Giffard, Baronne de Chêne-Doré ainsi que sa grasce Elsa d'Asceline, Duchesse d'Andelot-Blancheville, Vicomtesse de Condry et de Meaux, Baronne de Maligny et de Rosoy sur Amance et Dame de Lafitte.


    Et d'attendre tout en laissant son regard explorer la salle , reconnaissant sans mal pas mal de têtes connues dont sa vassale Heloise et ...et sa sœur Leyna, petite moue , cela dit ce n'était pas Andelot ici ,peu lui importait si elle se décidait a partir avec quelques mosaïques ou les rideaux ....

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Wendoline
La nuit est tombée et le Louvre brille de mille feux. Elle guette l'arrivée de son cavalier quand elle remarque le long ruban formé par les calèches qui font halte devant l'entrée du palais pour y déposer les invités. Elle peut ainsi admirer ces Dames plus belles les unes que les autres tout en songeant que vivre au Louvre comporte certains avantages. Pas d'attente dans le froid.

Elle l'attend donc, impatiente tout en se raisonnant, la soirée ne fait que commencer. Il a été convenu entre eux qu'il passerait la chercher à ses appartements. Et c'est ainsi alors qu'elle recouvre ses épaules de son étole, il se fait annoncer.






Elle espère qu'il appréciera la tenue qu'elle a choisie pour la circonstance. Une robe élégante et malgré sa coupe sobre, l'étoffe soyeuse souligne ses formes harmonieuses. Légèrement poudrée et délicatement parfumée elle l'accueille d'un sourire lumineux dès l'instant où il paraît devant elle dans une tenue qui le rend encore plus séduisant. Ils multiplient les sorties et événements et s'accordent à reconnaître le plaisir qu'ils ont à le faire.

C'est qu'elle piaffe notre Wendy ; son premier bal au Louvre !


Et tandis qu'il lui offre son bras, elle songe que se dégage de lui une classe naturelle d'autant que son regard attentif et bienveillant ne peut que le confirmer.

Ils se dirigent ainsi vers la salle de réceptions décorée avec goût. Autant lui qu'elle, ressentent une certaine appréhension, ils vont faire leurs premiers pas de danse ensemble au Louvre ! Elle lui sourit autant pour s'encourager que le rassurer.

Déjà de nombreux invités évoluent et elle reconnait des visages familiers dont ceux de Dames de la Cour du Lys.


Bonsoir Votre Altesse Royale, Vicomtesses, Dames... Je vous présente Messire Vanguhsen, Seigneur de Chaban et de Fayolles sur Jauldes qui m'accompagne.


Discrètement d'un léger mouvement imperceptible, sa main presse son bras
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Vanguhsen
Après deux cérémonies d'anoblissement le concernant, le jeune héraut entrait dans le milieu de la noblesse, le seul héraut roturier ne l'était donc plus.
Avec cela, forcément, cela s'accompagnait du vivre noblement dont notamment se montrer dans des festivités.
Sauf que là, il commençait fort le pauvre Vanguhsen, le voilà téléportait au Louvre pour un bal royal.
Alors non il n'était pas de la haute noblesse, loin de là à dire vrai, mais il était cavalier de l'une des dames de la Reyne, ce qui pour le coup lui ouvrait grande la porte de ce palais.
Il avait choisit l'une de ses nouvelles tenues, celle rouge et or qui rappelaient tant les armes de ses fiefs que celles de la famille du Dièsse.



Arrivant devant les appartements de Wendoline, il se fit annoncer par un domestique et entra.
Les appartements étaient somptueux forcément et au milieu se trouvait une jeune femme vêtue de bleue qui une fois de plus laissa le jeune homme pantois.
Ressaisis toi Vangy !
Réajustant sa tunique, il s'approche d'elle et comme à son habitude exécute le baise main.


Dame Wendoline, le bonsoir.
Vous êtes...ravissante.


Il lui tendit ensuite son bras et l'entraîna vers le lieu du bal où il semblait déjà que beaucoup de monde était arrivé, beaucoup de femmes d'ailleurs, la gente masculine était elle en perdition ?
Ce fut cette fois Wendoline qui le dirigea vers un groupe de dames, qu'elle salua, le voilà donc totalement perdu au milieu de tout ce beau monde.
Il ne put d'ailleurs que sourire et s'incliner.


Votre Altesse Royales, Mesdames, le bonsoir.
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Paul_
Paul était posté et il surveillait chaque va et vient. Il était de marbre. Une statue. Il regardait avec un certain amusement l'arrivée des convives. C'est vrai que cela devait être une occasion importante à leurs yeux. Il regardait donc venir les jeunes nobliots et nobles sangs. Et soudain, surprise. Sepa était la. Double surprise même. Ainsi il était titré en France. Il n'en avait pas parlé à la garde. Le capitaine s'approcha et échangea quelques mots. A présent le lieutenant avait la pression, son chef s'amuserait et aurait en plus tout le loisir de juger son travail.
Une fois remis de ses émotions, il continua sa besogne. Quelques têtes inconnues entraient dans la salle en souriant. Puis, non il ne rêvait pas, Wendoline entra, vêtue d'une longue robe cyan. Décidément toute la garde était invité à s'amuser. Il fixa la porte s'attendant à voir arriver d'autres de ses collègues ...

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Lilly_de_troy
    [Dans une Chambre au Louvre]

    J'y vais ou j'y vais ou pas .
    Si j'y vais c'est bien. Si j'y vais pas, je suis sûre que j'aurai droit à un vrai scandale familial.
    C'est comme ci ou comme ça, mais je dois me décider. Et je sens que si je prends la mauvaise décision, ça va faire mal.


    Voilà ce que se disait la blonde devant le miroir de sa coiffeuse. La robe était sortie dans un coin de sa chambre. Pareil, là grand moment de solitude. Un grand placard où trônent quelques robes. Elle pouvait en compter 4 de plus depuis l'accession au trône de son père. Père qui avait eu l'idée farfelue de faire un bal ... et les filles de la cour du Lys d'en inviter tout le monde. Trié sur le volet quand même. Et elle, ...
    La blonde lâcha un soupir à fendre l'âme tellement elle n'avait pas de motivation pour s'y rendre. Bien sûr, son rang ne lui laisse pas trop le choix au final. Même si sa maigre tentative de désistement avait suscité tout sauf ce qu'elle espérait, elle devait q"y rendre. Elle sourit au souvenir de l'excuse avancée pour ne pas s'y rendre. Aucune n'avait marché...
    La tête posée au creux de ses mains, à se regarder, elle fixa son regard sur un point et laissa son esprit vagabonder.

    Tu veux ou tu veux pas.

    Bha non, elle ne voulait pas. Voir tout ce monde, voir toutes ces personnes qui seraient là pour essayer d'arranger des épousailles. Elle le comprenait très bien mais si on pouvait ne pas l'ennuyer avec cela... De toute façon, pour elle rien ne pouvait être possible. Enfin, autre débat, autre réflexion.

    Constance n'allait pas la laisser louper l'événement de la Cour le plus glamour qui est organisé. Elle se devait donc de se préparer, mettre du baume sur son visage pour y afficher son plus beau sourire. Elle se leva et se dirigea vers le baquet qui était rempli non loin et y trempa un pied. Chaude comme elle aime. La blonde plongea entière dans le baquet pour se détendre. Elle devait être détendue. Une douce odeur de violette se faisait sentir. Elle ferma les yeux et posa sa tête en arrière pour vider son esprit de toutes préoccupations inutiles. Un air lui venant en tête ... et certaines paroles en particulier

    La vie c'est une gymnastique, et c'est comme la musique y'a du mauvais et du bon
    La vie est magnifique, faut pas que tu l'as complique avec tes hésitations.
    La vie peut être très douce à condition que tu la pousse dans la bonne direction.


    Un sourire se dessina sur son visage. Oui, elle ne devait plus trop se poser de questions et avancer simplement. Et voir ce que cette dernière lui réserve. Elle se releva et appela sa dame de compagnie, qui bien sur surgi d'un coin de la pièce rapidement.


    Je pense qu'il est temps de me préparer pour le grand moment. dit elle en souriant. La femme ne fut plus que ravi pouvoir la préparer enfin pour l'occasion. La blonde se plaça face à la coiffeuse pour se faire coiffer, poudrer et tout ce qui pouvait être fait pour être présentable bien entendu. Un teint rose sur les joues, une coiffure sobre mais élégante et ensuite habillage... elle regarda la robe choisie. Avec difficulté mais choisi avec envie. Elle laissa glisser le tissu contre son corps et s'admira dans le miroir.

    Bien je crois que je dois un grand merci à Jeni pour cette magnifique robe. dit elle en se scrutant dans le miroir déposé face à elle. Oui je suis pas mal hein ? dit-elle en se retourna vers sa dame de compagnie. Qui bien entendu fit un grand oui de la tête. Mais à quoi d'autre s'attendre au final ... Lilly fit un haussement d'épaule et prit la direction de la porte.



    [La salle de Bal]

    Allez en route pour la soirée du siècle pensa-t-elle en se dirigeant vers l'endroit que Mélissandre et Constance lui avaient indiqué. Dans un dédale de couloirs, de portes et autres, la blonde marcha doucement en prenant le temps de se composer un visage un plus serein et avenant pour faire bonne figure pour cette soirée en l'honneur de son père, de sa mère et de la cour. Elle se devait donc d'être au top et surtout présente. Elle arriva aux portes de ladite salle. Marque un arrêt, elle remarqua des personnes de la garde royale, pour la sécurité assurément vu que le roi se déplaçait. Est-ce que sa blonde garde du corps sera là ? Depuis son accident aux joutes d'Orléans, elle n'avait pas eu le temps de lui écrire. Elle aimerait bien la revoir.

    Des personnes étaient déjà présentes. Des couples? Des familles? mais assurément des femmes bien habillées et des membres de la cour de Lys ... Son père n'était point encore là. Une moue rapide traversa son visage mais elle remarqua Mélissandre. D'un pas décidé, elle franchit les portes de la salle de bal, sourit à l'homme présent aux portes, sûrement celui qui annonce qui arrive et prit la direction de la brune et de la rousse avec qui elle s'était entretenu pour l'organisation de tout cela. Elle sourit à toutes les femmes présentes.

    Votre Altesse, Vicomtesse, Mesdames de la Cour des Lys, bonsoir. dit elle en exécutant une légère révérence. Puis, elle sourit simplement.

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Alvira
1, 2, 3, nous irons avec tata !

Grande cause, entraine toujours un déplacement. Encore un, celui peut-être de trop pour le De Silly qui n'avait pas fini de pester. C'était le jeu ma pauvre Lucette ! Donc ils avaient fait préparer leurs malles, et avaient traversé le royaume, s'arrêtant en Touraine pour récupérer la petite Tata Phylomène, et le détour fut terminé une fois sur place. Beaux comme des cupcakes tout juste cuit, donc bien boursouflés notre Alvi. Il purent avec leur garniture bleutée faire une entrée remarquée après s'être fait annoncer.



Linoa non loin, tout près même je dirais, Alvira put de suite zieuter son esclave, son Vassal accompagné de Wendoline. Diantre qu'ils étaient chouxxxxx à la crèèème ! Désolé j'ai patissé tout le week-end, ça m'a traumatisééé ! Bref, elle salua tout le monde au fur et à mesure qu'ensemble le groupe remontait la pièce. Un plaisir que de voir les uns et les autres.

Doucement, elle glissa le regard malicieux.


Bonsoir Seigneur de Fayolle-sur-Jauldes ! Dames, ravie !

Bon évidemment, elle salua tout le monde hein, qui était dans le groupe en usant convenablement de l'étiquette. D'ailleurs heureusement qu'ils n'étaient point encore trop nombreux.

Edit pour correction de fautes.
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Hersent
Un quatuor insolite parcourt les couloirs du Louvre. Il a descendu de multiples escaliers, emprunté un nombre incalculable de couloirs plus ou moins sombres, pour déboucher non loin de la grande cour où les carrosses déposent la myriade d'invités devant l'entrée de la salle du bal.

Hersent est aux anges, elle a décidé de dissimuler aux yeux du monde son infinie tristesse. Ceux qui la connaissent par coeur savent qu'elle n'est pas aussi rayonnante qu'elle ne le laisse paraître.

Elle a mis sa robe de bal et marche au bras des deux hommes de sa vie: son fils et son frère. Non loin, en léger retrait, Laure, la magnifique jeune fille rousse au goût assuré en matière de coiffure et de vesture, est là.



Un réticule, léger et élégant, orne son poignet. Que contient-il? Mystère... des sels, un mouchoir en lin très fin, un peu de poudre pour les joues ou de couleur pour les lèvres... ou est-il tout simplement vide, accessoire ultime d'une tenue de brocard rouge et blanc, brodé d'arabesques en fil d'or.


Le bonsoir Vostre Altesse, Vicomtesses, Mes Dames du Lys. Vous êtes plus resplendissantes les unes que les autres.

Elle murmura à Lilly :

Lilly, vous êtes divine ce soir, Sa Majesté sera ravie de vous avoir à ses côtés.

Puis à Wendy, accompagnée d'un charmant jeune seigneur:

Tu es ravissante également... comme d'habitude.

Elle inclina la tête vers l'homme, qu'il lui semblait avoir croisé lors de joutes en Gascogne, inconnu pour le saluer.

Puis, elle rassembla les siens près d'elle afin de les présenter à un moment propice.



Edit: rajout de l'image de la tenue^^+ coquille corrigées
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Melissandre_malemort
Mélissandre n'était pas, ici, la frêle tavernière qui enquillait les prunes en riant avec les voyageurs. Née pour dirigée, ciselée par le sang le plus bleu qui soit, elle revêtait au sein du Palais royal un visage tout autre et rien sur le délicat minois ne trahissait le trouble qui fut sien quand le couple formé par Maximilien et Lucie pénétra dans la salle de bal. Vaguement crispée par sa posture royale qui raidissait sa nuque et ses reins, elle prit soin d'éviter de regarder dans la direction du Zéphir, mais ses boucles d'oreilles tintinnabulèrent à chaque mouvement qu'elle faisait pour saluer d'une inclinaison du cou ceux qui s'attardaient à sa hauteur.

Sa conscience psalmodiait qu'il ne fallait en aucun cas céder à l'impulsion qui la poussait à désirer croiser le regard du Frayner dans l'espoir d'y lire un reliquat de ce qui avait inspiré leur dernier échange. Non pas qu'il existe entre eux le moindre malentendu. L'amour de l’Apollon était acquis à sa compagne. Il n'en existait pas moins entre elle et son reflet un jeu complexe d'attraction-répulsion qui, à cet instant précis, faisait que Mélissandre détestait Maximilien d'être venu. A dire vrai, elle l'aurait haï bien plus encore si il ne l'avait pas fait, se pavanant sous son petit nez aristocratique tout nimbé de son aura d'amoureux transit.

Exhalant un soupir, la Malemort secoua le menton une fraction de seconde pour remettre de l'ordre dans ses idées et offrit aux invités un sourire plus sincère, rassurée par le flux continu de convives, assurance d'une soirée réussit. Pour peu qu'un ou deux petits malins s'introduisent parmi le gratin pour s'incruster, elle était certaine de tenir le plus grand succès depuis le bal qu'avait organisé sa sœur et Charlemagne. Aussi ne pu t'elle s’empêcher de souffler à Merveylle à son arrivée que tout se présentait sous les meilleurs auspices.

Plusieurs personnes lui furent présenter ou lui adressèrent les salut d'usage, mais ce fut l'arrivée de Paul qui provoqua le plus joli de ses sourires. Elle aurait voulu avoir pour chacun une parole, un geste, une attention, mais la chose viendrait plus tard. Pour l'heure, il était de sa responsabilité de se tenir légèrement en retrait et de surveiller l’huissier du coin de l’œil, le malheureux se décomposant à mesure des arrivées, craignant sans doute de ne pas reconnaître tous les visages. Il lui fallait, surtout, apprendre aux dames de la Cour à jouer les hôtesses et à mettre tout le monde à l'aise. Au nom de la reyne et pour la gloire du roi, elles devaient représenter la noblesse Parisienne dans toute sa splendeur et rien ne valait pour cela un si vaste rassemblement. Manier l'art de la mondanité ne se limitait guère à porter de jolis robes mais à savoir toujours tempérer, amuser, provoquer. La moitié des affaires diplomatiques et politiques se concluait bien loin des mornes bureaux de travail. L'art délicat de voir et d'être vu se façonnait au fil des années et représentait à terme un inégalable atout dans sa manche.

Poinct encore troublée par l'une de ses habituelles migraines, Mélissandre se détendit juste assez, hélas, pour qu'abaissant une fraction de seconde les barrières érigées en son sein, elle pivote le menton et cherche le regard qui allait alimenter son épouvantable flamme Malemort et la vouer aux enfers.

L'Azur rencontra l'Onyx. Son cœur cessa de battre une demi seconde avant de reprendre sa course folle sans que rien, sinon la vague dilatation de ses pupilles, ne fendille le masque protocolaire qui était sien. Quittant sa posture contemplative, elle fit signe aux ménestrels d'entamer une Carole .


- Soyez les bienvenus, Dames, Messires, au Palais Royal. Sachez qu'une vente aux enchères se déroule dans le salon voisin et qu'une partie des bénéfices ira aux soldats Bourguignons blessés.

Pour l'heure... Que la soirée soit fastueuse et gloire à sa Majesté !
Linoa
Linoa ne pouvait manquer cette invitation, La raison de sa venue au Louvre, La prise de temps pour venir enfin voir sa marraine et sa filleule au sein des lieux royaux et quoi de mieux qu'un bal pour cela? Même si depuis son mariage et du coup, la dissolution, chaque évènement de ce type était passé seule point de vue accompagnateur masculin évidemment puisque depuis quelques temps, Alvira l'accompagnait et donc son époux par la même occasion.

Pas de fille à présenter, Harmonie étant encore bien jeune qu'elle était même restée en Touraine, Paris n'étant pas assez sûr de l'avis maternel, la duchesse préférait amener son enfant que si elle ne pouvait faire autrement.
Saluant les présents et plus précisément ceux qu'elle connaissait, d'autres lui étaient totalement inconnus ce qui piquait sa curiosité bien que dans le lot, se trouvait
Angoulesme encore très bien accompagné, autant dire qu'Alvira marquait un sérieux point qui n'empêchait pas le jeune couple - car c'est ainsi que tout à chacun les voyait fallait appeler un chat un chat - d'être des plus mignons, assez pour amuser celle qui était surnommée l'Amoureuse et qui ne croyait plus en l'Amour.

Un froufrou plus tard accompagné de l'annonce de son nom, ce genre de bal ne pouvaient qu'aider à porter des habits d'apparat loin des tenues simples sinon pratiques pour travailler.



Avisant Lilly, la Valten en profita pour se rapprocher de la jeune femme, bonjour ma chère, dis moi, j'espère que Laure et Constance sont de la partie? Depuis le temps qu'on parlait de se voir au Louvre, cela m'embêterait vraiment de ne pas les voir, surtout Laure qu'elle ne voyait que trop peu à son goût.
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En deuil d'une déesse blonde...
Huissierroyal
On panique pas.

On panique pas.

ON PANIQUE PAS. Et on fait risette à Paul, copain d'office ce soir.


- Son Altesse Royale Merveylle de la Mirandole, Princesse de France, Dame de haut Parage de sa Majesté la Reyne consort.

Boum !

- Son Excellence Neyco de Fronsac, Premier Secrétaire d'Etat, Baronne de Bruyères le Châtel et de Hautpoul, accompagnée par son fils, Riccardo Vittorio Henry Phoenix.

Boum. Oh, un Espagnol !

- Asdrubal de la Barca, pair de Castille et Leon, seigneur de Avila et Olite.

Boum !

- Leurs Altesses Lexhor et Erwelyn d'Amahir, Princes de Montlhery, accompagnés par Son Altesse Royale Madeleine de la Firenze,

Boum Boum.

- Monseigneur Sepa Von Stavanger,Baron de Beaurain, Capitaine de la Garde Royale de Sa Majesté. Sa fille Clotillde Von Stavanger.

BOUM ! Drolement jolie la petite princesse Madeleine au fait.. Heu oups.

- Sa Grâce Elsa d'Asceline, Duchesse d'Andelot-Blancheville, Vicomtesse de Condry et de Meaux, Baronne de Maligny et de Rosoy sur Amance et Dame de Lafitte.

Boum. Et un huissier en surchauffe.

- Dame Wendoline de Sisley, Dame de compagnie de sa Majesté consort, accompagnée par Sieur Vanguhsen, Seigneur de Chaban et de Fayolles sur Jauldes.

Boum !

- Damoiselle Lilly de Troy, Fille de sa Majesté le Roi !

Boum ! Qu'est ce qu'elle est belle !!

- Monseigneurs Alvira et Goddefroy de Silly de la Duranxie, Vicomtes d'Ecotay, Barons de Brassenx, de La Rochefoucauld, et de La Rochandry, Seigneurs de Carcarès Sainte-Croix.

Boum...

- Son Excellence Hersent d'Ar Sparfel, Dame de Compagnie de sa Majesté la reyne consort, Grand Ambassadeur Royal !

Et une robe sublimissime... Boum !

- Sa Grâce Eléïce de Valten, Duchesse de l'Isle Bouchard, Dame de Tyx

BOUM enamouré.
Paul_
Et bien non. Il guettait l'entrée mais, semble t'il, les autres gardes n'allaient pas venir festoyer. Il contempla les visages, les robes longues. Oui, tous les grands noms devaient être présent ce soir et Paul n'en connaissait que très peu. Il balaya la salle du regard. Celle ci se remplissait. Il en profita pour regarder ses hommes. Tout semblait être correct.
Puis il croisa un regard qui ne lui était pas inconnu. Il resta figé quelques instants la contemplant dans sa robe de velours. Se surprenant même à lui sourire … Il se ressaisit, regardant autour de lui pour voir si personne n'avait vu cette absence. Il lui lança un nouveau regard furtivement puis se concentra sur l'huissier qui était proche. Le pauvre se disait'il. Comment fait il pour ne pas se tromper ? Il lui lança même un regard complice. A présent, le lieutenant se demandait quand est ce que le couple Royal montrerait le bout de son nez.

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Jenifael..luna
    [FR]

    La jeune fille entendit l'huissier annoncer Asdrubal et elle sourit, ainsi le Castillan avait reçu son invitation et accompagné de sa domestique brune, parlant la même langue que celui-ci, elle s'approcha de celui-ci, alors qu'elle avait relâché la petite hermine sur le sol, au bout de la laisse et que l'animal trottinait à côté d'elle et sa robe bleue. Elle s'inclina, arrivant devant.

    "- Messire, je m'occupe de mon invité, merci. "

    Elle fit signe au valet de retourner à ses annonces, avant de faire signe à Asdrubal de la suivre.

    "- Venez, je tiens à vous faire rencontrer les dames de la cours du Lys de Sa Majesté Laure d'Orsenac-Troy. "

    Puis elle arrivant, devant les autres. Mélissandre, Merveylle, Rosalinde, Lily, Hersent, Constance, bref, devant le petit attroupement et elle présenta alors.

    "- Mes dames. Cela fait des mois que vous m'entendez parler de mon mariage à venir, et bien voici l'homme qui sera mon époux, mais n'est à l'heure actuelle que mon fiancé. Le seigneur Asdrubal de la Barca, Paire de Castille, Héraut d'arme de son pays, Seigneur d'Avila et d'Olite. "

    Elle afficha un sourire fier, alors que la petite hermine à leurs pieds, toujours attachée à la laisse, s'amusait à renifler les robes de chacune. Elles remarqueraient surement l'allure de l'homme, qui n'avait rien d'un jeune homme fringuant, comme épouserais surement certaine, ou encore d'un précieux, non, celui-ci été différent, de ces allures guère habituée aux bals tels qu'organiser par la cours du Lys, frivole.

    [ES]

    La chica escuchó el ujier anunciar Asdrúbal y ella sonrió, y el castellano recibido la invitación y con su marrón doméstica, hablando el mismo idioma que esto, ella se acercó a él, mientras que tenía lanzado el pequeño armiño en el suelo en el extremo de la correa y el animal trotó ella y su vestido azul al lado. Ella se inclinó antes de llegar.

    "- Señor, cuidar de mi huésped, gracias."

    Ella hizo un gesto con la ayuda de cámara para volver a sus anuncios, antes de firmar Asdrúbal a seguirla.

    "- Ven, quiero que conozcas a las damas de la Lys durante Su Majestad Laure Orsenac-Troy."

    Entonces llegó, antes que otros. Mélissandre, Merveylle, Rosalind, lirio, Hersent, Constanza, en definitiva, ante la pequeña multitud y luego se presentó.

    "- Mis señoras por meses me escuchen hablar acerca de mi próxima boda, y aunque este es el hombre que va a ser mi marido, pero es en la actualidad mi prometido Asdrúbal El Señor de los .. Barca, Par de Castilla, arma Herald en su país, señor de Ávila y Olite ".


    Ella esbozó una sonrisa de orgullo, mientras que el pequeño armiño en sus pies, todavía unido a la correa, olfateando vestidos divertidos cada uno. Probablemente se daría cuenta de la mirada del hombre, que no era un hombre joven y apuesto, ya que algunos seguramente se casan, o una valiosa, no, era diferente, estos aires casi acostumbrado a bolas tales como la organización del curso de la Lys, frívola.

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