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[RP] Le bal du Lys et du Paon

Lilly_de_troy
    Alors que la blonde attendait al réponse de la blonde. Elle observa le brun à son bras. Mais la maligne d'Orsenac enchaina rapidement sur autre chose. Sa robe. Elle répondit d'un rapide coup de tête que oui.

    Cette création est bien de Jeni, tu as l'oeil dit moi. Évidement je suis pas peu fière de pouvoir la porter ce soir. dit elle en souriant.

    Puis, ENFIN !!!! Les présentations faites, elle sourit. Foulques, celui qui avait donc rendu le sourire à sa soeur adorée. Elle allait devoir le connaître et lui poser toutes les questions impossible pour savoir tout sur lui et surtout le sermonner si il fait du mal à sa soeur.

    Elle fit donc une légère révérence au cavalier de sa soeur. Altesse Royale lui aussi après tout.


    Enchantée de pouvoir enfin vous rencontrer. Vous qui faites battre le coeur de ma soeur à la chamade. Et je le sais depuis un certain temps, mais elle joue les cachotières. Même avec moi. Que cela est vexant.

    Sans attendre, le trio se dirigea vers le roi. Lilly lui sourit ravie de revenir au final rapidement auprès de lui. Elle laissa Constance le saluer et prit au final, place à ces côtés. Piqua un verre de vin et le porta à ses lèvres.

    Père, je vais vous tenir compagnie. Cela ne vous dérange pas au moins ?

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Lexhor
Le bal des faux-culs. Terminus, tout le monde descend. On est à Paris, dans les quartiers huppés. Et ça grouille de dindes prépubères et de coquelets affamés, las de se tirer sur la zizouille et que la vue de chaire fraîche met en émoi. Ajoutez-y les rapaces, à l'affût d'une possible meilleure condition pour leurs oisillons, et les vautours qui voient là une occasion de rapiner quelque amusement et le tableau de la basse-cour était complet, si l'on ajoutait la mère poule qui se tenait à ses côtés. Resté non loin de Rosalinde, après l'avoir salué à leur arrivée avec Madeleine, Lexhor n'avait été que peu attentif à ce qui s'était passé autour de lui. Il avait simplement vu son épouse de fondre dans la ronde pour danser. Lui préféra rester à l'écart et bien lui en prit. Sa position par rapport à Rosalinde, de type "je suis ptet en train de parler avec elle ou ptet pas" lui laissait plusieurs possibilité quant à la scène dont il venait d'être le discret témoin. Aux premiers mots du jeune homme il détourna le regard et tendit l'oreille. Cornefianchtre. Ses yeux croisèrent par hasard le regard de la mi-tomate-mi-pivoine et remi-tomate derrière qui semblait le regarder avec un air supplicateur, bien plus émouvant et irrésistible que celui que sa mère pouvait parfois arborer.

Le dilemme. On était à un bal dédié à la présentation de jeunes gens à marier dont Rosalinde était l'une des organisatrice. Forcément, elle le pourrirait d'interférer dans ce speed dating géant. De l'autre il y avait sa filleule et ce qu'elle lui avait confié. Choix cruel mais ô combien facile. D'un côté de la balance, Rosalinde, qui était trop méchante avec lui, surtout ces derniers temps, et Madeleine, qui était adorable et sans doute un brin manipulatrice. Si on ajoutait à tout ça que les engueulades avec la la mère étaient courantes et presque incontournables, la balance pencha bien vite. Il se débrouillerait bien et puis c'était de toute manière dans l'intérêt de Madeleine.
Lexhor se redressa, recula de quelques pas, discrètement, genre je viens de loin, puis s'avança d'un pas vif, parlant assez distinctement pour que la mère et le prétendant l'entendent.


Ha ! Ma petite Madeleine ! Tu es là. Accorderais-tu une danse à ton parrain ? Il y a bien longtemps que nous n'avons pas dansé ensemble.


Qu'est-ce qu'il ne fallait tout de même pas faire pour quel les rouquemoutes ne perdent pas la face ? Passer limite pour un pervers qui n'a rien compris au concept du bal meetic, check.
Il était bien content de ne pas avoir traîné la sienne, de fille, à ce bal. La soirée promettait d'être longue avec un oisillon à surveiller, alors deux, il n'en serait pas revenu indemne.

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Jonhatan27
Il allait finir sa commande quand par surprise Margot arriva.
Elle aussi avait elle esquivé.
Ou avait elle vraiment soif.


Citation:
M'offririez vous un verre d'eau également Thomas ?


Il l'a regarda et lui fit un sourire.

Mais oui Margot, de l'eau ou une autre boisson, il n'y a qu'a demander, ici tout est laissé à disposition semble t'il.

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Madeleine_df
Dieu du ciel. Gott im Himmel. Dio del cielo.

Lexhor. Zéro pointé en décryptage de signaux féminins. C'était aussi pour cela qu'on l'aimait, mais là, là, Madeleine avait plutôt envie de creuser un trou et de s'y enterrer pour mille ans. Plus rouge que rouge, elle tenta de contre-argumenter.


- Mais Parrain... Maximilien... Enfin... Euh...

Bordel, elle s'attendait à ce que sa mère mette un stop au Von Frayner si elle avait été au courant de l'amourette unilatérale et avortée, mais que Lexhor s'en charge lui-même, c'était... A y bien réfléchir, il faisait sans doute cela pour son bien, s'imaginant que sa filleule était toute prête à tomber dans les bras du bellâtre alors que tout ce qu'elle voulait c'était danser avec son poto !

- Euh... Oui... D'accord.

Baissant la tête, en espérant que Maximilien n'aurait pas la bonne idée de la dévisager à cet instant, elle fila attraper le bras de Lexhor et le traîna jusqu'à la piste, s'engageant dans cette saltarelle avec une préoccupation quasi obsessionnelle de l'état du sol à ses pieds.
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Vanguhsen
Il ne connaissait pas vraiment cette danse mais imita ses partenaires féminines et prit assez vite le pli en vérité.
La suite le laissa quelque peu perplexe...Que faisait donc cette jeune princesse au milieu de tout le monde ?
Celle-ci tendit alors une couronne à un homme qui la tendit à une femme, etc etc, pour finir dans les mains de Wendoline.
Le jeune homme l'observa alors, elle semblait indécise et à dire vrai il aurait été plutôt soulagé qu'elle choisisse un autre car il n'avait pas vraiment envie de se retrouver au milieu.
Mais en même temps...un autre...il en aurait presque été jaloux le Vangy.
Finalement Wendoline se décida et s'approcha de lui avec un air de défi, il saisit alors la couronne et ne lui répond que par un air, cela se paiera.
En son fort intérieur, il appréciait au contraire qu'elle l'ait choisi.
La musique toutefois s'arrêtait et Vanguhsen était sauvé, personne à choisir.

La suite fut donc lancée, une danse, d'ailleurs il semblait qu'il faille inviter une cavalière et c'est donc tout naturellement qu'il s'avança vers Wendoline et s'inclina légèrement.


Me feriez vous l'honneur de cette danse ?
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Hector_de_troy
Le retour du front angevin se fit en même temps que son père, le Roy, il faisait parti de l'escorte royale comme la garde, pour assurer sa sécurité. Le retour était prévu pour une seule chose, le fameux bal du Lys et du Paon, un soupçon de légèreté dans ce monde de guerre. Et bien entendu, le rouquin avait reçu une lettre d'invitation comme les autres jeunes gens de haute noblesse. L'arrivée à Paris et au Louvre fut calme, son père fut accaparé par de nombreux conseillers et lui même se retrancha dans ses appartements.

Plus tard, il observait la cour du Louvre et le ballet des carrosses et calèches de la noblesse qui arrivés pour le bal. Des tenues de toutes les couleurs, luxueuses à n'en point douter. Lui ne savait que faire, les mondanités n'arrivaient toujours pas à être d'un grand intérêt pour lui, d'ailleurs il préférait de plus en plus le milieu de la guerre, la solitude du guerrier, plutôt que la cour. Malheureusement, il était à présent Prince de France, un rang qui nécessitait de se montrer et surtout de faire honneur à son père.

Hector se décida enfin, bien en retard, il marcha tranquillement en direction de la salle, portant alors une tenue réalisée par sa soeur Constance. Il portait les couleurs familiales, l'argent, le gueules et le sable, toutes présentes sur le blason des Troy, il ne manquait à vrai dire que le récent griffon d'or, ajouté à la demande de son père.




Le Prince arriva à proximité de l'huissier et lui adressa un sourire entendu, il savait qui il était, pas besoin de se présenter. Une fois annoncé il pénétra dans les lieux, certains regards se tournèrent vers lui forcément, après une annonce, mais la plupart étaient également concentrés sur leur danse à son grand soulagement. Hector se dirige alors droit vers son père et s'incline. Aux côtés du Roy, pas de Reyne, sa mère absente, encore, une moue désapprobatrice du fils, et tout de même un sourire à ses soeurs.

Lilly, Constance, mes soeurs, quel plaisir de vous voir.

Il leur donne une bise affectueuse et se tourne vers Foulques. Arf il est là lui aussi ? Mince, Constance l'a gardé.

Foulques le bonsoir.

D'ailleurs généralement un Malemort peut en cacher un autre et Hector se tourna légèrement vers les convives pour chercher une personne du regard et il ne put cacher un léger rictus en la voyant en bonne compagnie, trop bonne peut être.
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Kronembourg
Disons-le clairement, sans ambages ni détours, ni faux semblants, ni circonlocution, ni surtout de louvoiement et encore moins de tergiversation ou périphrase : Il s'était un peu laissé dépasser par les évènements.
C'est qu'on lui avait juste expliqué que la Carole consistait à agiter les bras un peu comme on pouvait ( ce qu'il avait fait avec brio ) mais de là à lui demander à lui, homme, simple mortel, de discuter en même temps tout en lorgnant surveillant d'un oeil bienveillant sa cavalière laissée en plan, dont le fils avait par ailleurs disparu, c'était un peu trop lui demander.
Ainsi, il eut tout juste le temps de rire de bon coeur à la réplique de sa partenaire de Carole, que déjà il fallait agiter les bras trop fort pour qu'il ait la subtilité d'esprit de lui répondre que très certainement, la fiabilité des renseignements dont ils disposaient l'un sur l'autre devait être équivalente.

Très vite une nouvelle danse fut annoncée, la ronde éclata, formant de ci de là des couples pendant que d'autres, laissés en plan eux aussi, balayaient la royale salle du regard. La curiosité le poussa à retourner en direction de sa Seigneurie. Pas que, bien sûr. L'envie de la faire sourire aussi.


J'espère que vous n'avez rien vu durant cette danse qui puisse me valoir un chantage jusqu'à la fin de mes jours. Enfin. Le parti intéressant que vous êtes a-t-il trouvé hommes célibataires pas mal faits de leurs personnes ?
Si ce n'est pas le cas, vous pouvez cesser de jouer les pots de fleurs et accompagner votre gigolo pour une danse. Paris pensera ainsi qu'à défaut de vous marier, vous vous amusez ... Un peu.


Oui oui, c'était une invitation déguisée à se couvrir de ridicule ensemble.
Ni plus, ni moins.
N'étaient-ils pas venus ici pour se divertir ? Ah non ... C'est vrai. A la base, ils accompagnaient Titouan.
Tant pis. Il fallait bien donner le change.

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Xalta
La Carole ? Elle s'était défilée plus ou moins volontairement, mais elle n'avait rien manqué de la danse, son regard sautant d'un danseur à un autre et revenant toujours au même qui réussissait à allier étranges pas de danses et conversation avec ses voisines de Carole. Tout en navigant dans la salle de bal à la recherche d'un fils qui semblait avoir disparu. Contrariée ? Non, du tout, inquiète comme le serait toute mère. Il y avait certainement des raisons qu'il lui donnerait quand ils se retrouveraient. Donc, non, elle ne faisait pas tapisserie , malheureuse, abandonnée pendant que son cavalier s'éclatait honteusement sans elle.
Le rythme change, la Carole se défait et en quelques enjambées il la rejoint, elle l'accueille d'un sourire qui s'étire espiègle.

Oh mais si , voyons ! Pourquoi croyez- vous que je sois restée spectatrice ? Mes quarante scientifiques ainsi que moi n'avons rien manqué, annotant chaque détail. J'ai de quoi vous faire chanter pour au moins les deux ans à venir.

Elle prend le temps de la réflexion, laissant flotter une ou deux secondes de silence.

Des hommes , il y en a . Pas mal faits, aussi,.. célibataires, je n'ai pas eu le temps de me renseigner... Mais j'ai noté quelques noms.

Elle lui ment avec aplomb avant de jouer les femmes indignées.

Faire tapisserie ? Me confondriez-vous avec une autre ?
Danser avec vous ? J'accepte mais c'est vraiment pour vous aider à retrouver un peu de crédibilité après le spectacle de vos mouvements désordonnés.


Elle lui tend une main éternellement gantée avec un sourire amusé.

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Dedain
    Aucunement vautour aux griffes acérées. Ni couleuvre amère et froide quoiqu’il pouvait prétendre à quelques qualités, ni loup sauvage hurlant à la lune pour imposer à la nuit sa présence lugubre. Loin du lion fier et bedonnant aux femelles loyales, aussi.
    A dire le vrai, Deswaard n’est rien. Indéfinissable.

    Il s’essayait seulement à suivre les contre-courants sans jamais toutefois se laisser subjuguer par les langueurs océanes qui s’efforçaient à l’empoisonner plus avant.
    Il planait dans l’éther en conservant un attrait certain pour la rigidité et le formellement malléable.
    Il rampait et se trainait difficilement sur le sable sirupeux en maudissant les frictions immuables.

    Quelques détracteurs le nommaient « roquet de… ». Le propriétaire se modifiait selon le temps et les époques. Il n’avait cependant rien d’un chien galeux. Mâtin de Saint Jean. Cela avait existé en les esprits étriqués. Barbazan mérite mieux cependant qu’un frétillant aboyeur. Un ami de cœur et d’acier, c’est bien plus exquis.

    Adoncques, le Noldor couve la scène de ses prunelles d’obsidiennes mortes, jaugeant sans broncher les chaleureuses tocades faites de toute part au Wittelsbach, reculant lui-même d’un pas discret face aux violences mignonnes des petons Malemort consciencieusement cachés sous ses jupons. Puis les femmes s’en viennent à parler quelque peu entre elles. Il est temps de s’en retourner à l’armagnacais.


    Alors il serait malvenu que je doute de votre bon accueil, Votre Grandeur. Toutefois, vous devez savoir que je suis sujet au froid.

    C’est qu’il lutte perpétuellement contre ce vilain mal, lui l’ascétique jeune homme au menton relevé. De fait, il apparait peu commode qu’on lui réserve quelques salutations glacées de neige dans le collet. Te voila averti, Felipus Preventius !

    J’ai eu l’heur de suivre depuis le début, en Conseil Béarnais, les avancées bienvenues de ce Traité que je soutiens grandement. Gageons que ces bons effets perdureront longtemps.

    Puis, les notes changent dans l’air, les sentiments également, semble-t-il, là où les délicates tonalités appellent à courtiser.
    Dédain reste immobile.
    Eternellement.

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Lexhor
Zéro pointé, zéro pointé. Comme si les femmes savaient être claires pour exprimer ce qu'elles veulent. Si tant est d'ailleurs qu'elles sachent ce qu'elles veulent, ce qui n'est jamais gagné. Et Madeleine semblait être la digne fille de sa mère à ce niveau à en juger la confusion qu'il lisait sur son visage en lieu et place du soulagement qu'il pensait y découvrir. Il était trop tard pour revenir en arrière désormais et il convenait d'être le plus naturel possible pour pouvoir rattraper le coup. Après tout un parrain qui accapare sa filleule pour une dans au cours d'un bal tout entier pouvait être crédible. Lorsqu'ils furent à l'écart, il se pencha discrètement pour lui glisser quelques mots à l'oreille.

J'ai pas bon, c'est ça ? T'es marrante aussi tu me regardes avec une drôle de moue et je n'ai que quelques instants pour réagir !

Il s'interrompit pour danser, avant de se pencher de nouveau, l'air de rien.

Bon c'est pas grave, après je te largue à côté de ta mère et il aura mariné un peu, ça lui fera les pieds !

Quelle misère. Mais quelle misère. Il n'aimait vraiment pas les bals et il savait bien pourquoi. En revanche, il se demandait encore pourquoi il avait accepté la demande de Rosalinde. Surtout qu'elle trouverait forcément une raison de l'engueuler.

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Melissandre_malemort
Mélissandre se faisait la même reflexion que sa vie à vis féminine. Jusque dans leurs beautés fragiles, elles se ressemblaient, petites et frèles toutes deux, bien que Lucie dispose d'une silhouette plus déliée, quand elle même était beaucoup moins grande. Un soupir tout en s'inclinant élégament pour prendre congé. Non pas que la présence des trois ensoleillés soit désagréable. Elle passait même un moment plutot agréable, d'autant que saisissant son geste, Dedain semblait tenter de cacher ses propres pieds.

Lui adressant un sourire malicieux, elle ramena ses jupes autour d'elle.


- Ce fut pour moi un plaisir, mais je dois vous laisser un instant.

Si l'heure venait à danser en couple, il lui semblait plus prudent de se cacher dans un coin et d'y attendre la fin des hostilités. Plaisanter avec un homme était une chose, mais glisser les mains dans les siennes et s'offrir un moment d'intimité avec lui, cela, non. Elle n'y avait ni la tête ni le coeur. Ses yeux sombres sondèrent la foule à mesure ou elle se rapprochait du Trône et de Lanfeust. Bien, il lui fallait passer a la suite des évenements, avant que Rosalinde n'enclanche la seconde partie de la soirée. Au passage, elle repéra son frère accompagné d'une Constance resplendissante et d'une tignasse rousse qui, même de dos, la fit sourire. Le Troy était sorti de son repère, finalement.

Une fois à la hauteur du Roy, elle plongea dans une révérence, l'interrogea du regard puis se tourna vers la salle, les mains sagement noués sur ses jupes. L'huissier tapa plusieurs fois de son bâton sur le sol pour attirer l'attention de la foule.


BOUM


- Qu'il soit su que les jeunes gens qui le souhaitent peuvent s'avancer vers sa très Gracieuse Majesté et se présenter à elle.


BOUM


La voix de Mélissandre, bien que douce et légèrement pointue de part son accent Parisien se perdit dans la foule. Elle parvenait à ne pas rougir, en dépit des douzaines de regard, remerciant pour cela un pedigree sans faille et le luxe ultime d'être la première Princesse née d'une couche absolument royale. Ceci étant fait, elle descendit humblement de l'estrade dévouée à la famille Royale et laissa à chacun le choix de continuer à danser, de s'avancer, ou même de faire les deux... Pour peu qu'on l'oublie elle !
Okagi
Entrant dans la salle après s’être fait annoncé, il l’explora de ses émeraudes, contemplant chaque joyau que ce si beau Royaume avait à offrir. Son regard se posa sur sa cousine, qui ne l’avait pas encore remarqué. Mais la voir si heureuse l’empêcha d’aller la saluer pour le moment. Au contraire, il s’avança et se posa sur un bord, une coupe en mains. Son esprit vagabondait d’une personne à une autre, l’envie de danser, de rencontrer du monde bien présent.

Léger sourire aux lèvres en goutant ce nectar. Il n’en profita pas bien longtemps malheureusement, une jeune femme de longue date arriva à sa hauteur et l'interpella. Il donna son verre à une servante et posa ses yeux sur Elsa.
Il s’inclina légèrement comme le devait le jeune seigneur.


Le bon jour à vous votre Grâce. C’est un plaisir partagé, voilà bien longtemps que je n’ai eu le plaisir de vous revoir. Je vais fort bien, l’air du sud me va bien. Un grand sourire aux lèvres. Elsa lui rappelait sa douce Champagne. Volontiers votre Grâce. Je vous…

Le voilà emmené avant même qu’il ne puisse terminer sa phrase. En une fraction de seconde, il se retrouva entre une jeune femme for charmante, et le duc Altaiir. Il laissa Helena faire les présentations puis vient s'incliner face à Altaiir

Votre Grâce.

Puis se tourna vers Helena à qui il prit sa douce main pour venir la frôler de ses lèvres

Demoiselle Apostolakis Giffard, c’est un honneur et un plaisir que de rencontrer si charmante jeune femme.

Le temps de relever la tête qu’Elsa était déjà loin. Et sa danse alors ? Et si… cette rencontre n’était pas le fruit du hasard. Cela le fit sourire. Non sans lâcher la main d’Helena, écoutant les somptueuses notes de musique, le sourire aux lèvres. Il en profita avant que tout ceci ne se termine. Et cela finirait par arriver très prochainement.

M’accorderez-vous cette danse demoiselle ?

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Richard.de.cetzes
Seul, Richard arriva, dans une tenue qui lui était particulière, mais hautement soignée, à en remarquer une vesture unique en son genre, qui allait certainement être appréciée, il l'espérait. Les beaux jours se profilaient, la température extérieure était à en défaire sous-vêtements et... vêtements, pardon. On en restera là, c'est préférable pour la suite. Apprêté, l'officier royal quitta ses bureaux parisiens accompagné simplement d'un sourire aux lèvres, prenant la direction du Louvre, non pas pour aller célébrer des allégeances mais bel et bien pour profiter du temps libre qu'il avait. Sur les lieux, il avisa moult nobles qu'il connaissait et certains, qu'il ne connaissait pas. Sa timidité cachée dans un pan de sa vesture, il gagna le salon et commença à faire un tour sur lui-même, quelque peu amusé par l'ambiance qui y régnait.



Richard de Cetzes, Officier Royal de France.

Il afficha un sourire chaleureux à la rencontre d'une assemblée connue et chercha de ses yeux noirs le buffet, s'il y en avait un.
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Sofja
    Depuis une chaise qu'elle s'était rapidement appropriée, pour ne pas faire trop d'effort suite à la blessure sur le champ de bataille, elle pouvait apercevoir tous ces jeunes, dont son fils, s'amuser, discuter, se découvrir. Ah, une belle époque que la jeunesse, bien trop révolue pour elle. Elle se goinfra de tous les mets et entre chaque bouchée, avala une douce boisson moelleuse dont elle ne connaissait point le nom. Pas grave, tant que c'était bon.
    Repue, elle aperçut un visage bien connu entrer dans la salle des festivités. Son ami, Richard. Cela faisait un moment dont elle n'avait plus de nouvelle. Elle était ravie de voir toujours sain et sauf. Délicatement et un peu maladroitement, elle réussi à se lever et à faire quelques pas vers lui.


      Richard, je suis heureuse de vous voir ici. Comment allez vous ?

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Richard.de.cetzes
Sofja, cette seule personne qui avait daigné l'aider quant à la création de son entreprise, à Paris. Elle était donc là, en chair et en os, toutefois fatiguée à en remarquer sa posture sur son assise, semblable à un combattant quelque peu éreinté. Il alla à sa rencontre et fit une génuflexion.

Sofja, tout le plaisir est pour moi. Pardonnez cette indélicatesse de ma part de n'avoir pu vous donner de mes nouvelles ces derniers temps. Ceci-dit, les dernières confrontations en Alençon ont fait en sorte de dresser un obstacle entre nous, si je puis le dire ainsi. Je n'avais pas assez de force pour écrire et j'en suis désolé. Aujourd'hui est un jour nouveau, je me porte bien et espère que vous vous portez tout aussi bien, ce en quoi je m'inquiète, à voir votre minois. Hum ?

Il posa une main réconfortante sur son épaule.
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