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[RP] Le bal du Lys et du Paon

Jonhatan27
Il eu a peine le temps de saluer d'un signe du chef le grand ambassadeur que le roy fut annoncé.
d'une pression des main, la cousine fit faire révérence au deux qui l’accompagnait.
il fit le révérence, mais comme à son habitude en ce lieu, il ne mit pas le regard vers le sol, mais garda la tête droite en direction de sa majesté.

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Arthur_ar_sparfel
Trotti trotta, un Crapaud vêtu comme un prince, accompagne mère, oncle et demoiselle de compagnie. Il doit être attentif pour ne pas perdre de vue le groupe: son attention est accaparée par le décor du Palais du Louvre. C'est trop de la balle... de paume, héhéhéhé.
A croire que sa Baronne de mère a des antennes, elle le récupère en le prenant par le bras et il parfait l'encadrement de cette dernière par les deux hommes qu'elle a invités: l'oncle Yvain et luiiiiiiiiiiiiii!




Comme c'est un Crapaud très poli, il suit le mouvement et s'incline quand le roi est annoncé. Coâââââ, elle n'est pas belle sa révérence académique?

Mais allo coâââ, pourcoââââ the mother est devant eux maintenant? C'est vrai, elle fait partie de la Cour du Lys, pourcoâââ oublie-t-il tout le temps cela? Pour lui, les plus belles fleurs sont les nénuphars, épicétou.

BOUM! Didiou, il a de la force l'huissier royal! Ahhhhh, Sésame ouvre-touââââ! Hop Crapaud dans la place, personne ne bouge et tout le monde se prosterne! Yeahhhh, trop bien, les prosternations! Coââââ??? C'est pour le Roâââ! Bah, le roâââ c'est le Crapaud, il est le seul, l'unique roâââ de sa mother.

C'est là qu'il s'aperçoit que Laure Victoire est ravissante dans sa robe. Il lu fait des neoils de crapaud enamouré. Si ça marche tant mieux, sinon il ira musarder vers le buffet.
Ohhh la Divine lui parle!!! Coââââ??? On veut le marier!!! Mais ça ne va pas du tout, mais alors pas du tout.


Laure Victoire, je ne suis pas à marier, je suis trop jeune et puis mon nénuphar n'est pas assez grand pour accueillir une grenouille. Elle a dit ça Mère? Et elle ne m'en a rien dit! Quelle cachottière, quel vil subterfuge! Un bal... vous parlez d'un traquenard.

La musique se fait entendre et le Crapaud se dandine, l'air de rien, salue les amies de sa mère et s'éclipse direction le buffet. A son âge, on a tout le temps faim.

Tiens, le Duc de Champagne, son peut-être futur suzerain. Il se cache on dirait. Héhéhéhéhé, le Crapaud glisse vers Altaiir et lui dit, sans se préoccuper des personnes qui l'accompagnent:


SURPRISE! Vous vous cachez? Moins une, je vous ratais. Non mais, vous avez vu toutes ces grenou... euh ces femmes! Il y en a partout, c'est angoissant.

Reprend contenance et se présente à l'escorte ducale:

Je suis Arthur d'Ar Sparfel, dict le Crapaud, je suis Juge de Champagne et accessoirement fils de ma mère. Comprenne qui pourra, le Crapaud est lâché, attention ça déménage.

Tout bas au Duc:


Dites, vous me présentez la jolie demoiselle qui fait partie de votre garde rapprochée? M'autorisez-vous à l'inviter danser? Vous vous feriez trop remarquer si vous dansiez avec elle. Je dis ça, en même temps, je ne dis rien. Il n'allait pas lui dire qu'en plus il était bien trop vieux et que c'était place aux jeunes.

Sourit à la jeune dame. Son charme ravageur agit, il le sent. Coâââ, hé oui il a du charme, faut pas croââre.

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Xalta
Dans un appartement parisien. Juste avant le bal

Je n'ai rien à me mettre.
Tu sais qu'il trouve toutes, mais toutes mes robes horribles ?
Trop sages, trop tristes

Tu ne dis rien ?


Elle lance un regard à la vieille femme qui se tient assise sur son lit un léger sourire amusé en entendant la duchesse soliloquer. Elle sait que Xalta n'attend pas vraiment de réponse de sa part. Elle se contente d'hausser les épaules en signe d'impuissance du genre «  va comprendre les hommes ! » . Nouveau soupir qui filtre entre ses lèvres avant de se tordre dans une moue de dépit tant devant le silence de sa gouvernante que devant le désastre de tissus sous ses yeux.

Tu as raison, moquons-nous de ce que pense ce vieux grincheux !

Un index difforme à la chair brune, marbrée pointe les diverses tenues tout en fredonnant :

Un petit cochon pendu au plafond, tirez-lui la queue, il pondra des œufs tirez-lui plus fort, il pondra de l'or.

Un long soupir s'échappe.

Non pas elle, le col est bien trop fermé. Je recommence.


Et elle le fait plusieurs fois de suite sous l’œil, cette fois-ci, hilare de Phémie.

Finalement la comptine finit par désigner une robe, dans les tons verts, un décolleté qui met en valeur ce que la nature lui a généreusement attribué mais sans verser dans la vulgarité, elle est une mère et une femme du clergé. Aidée par la vieille femme, elle finit par se vêtir de cette robe qui met finalement en valeur son teint pâle et ses cheveux châtains aux reflets roux. L'échancrure de sa robe ne dissimule pas la longue cicatrice qui zèbre sa gorge de la base de son cou à la naissance du sillon. Pour compléter la tenue, elle opte pour des gants très fins dans les tons crèmes. Ses cheveux sont relevés dans un chignon. Petit tour devant le psyché, elle virevolte un peu sous l’œil approbateur de la femme qui l'a élevée. Elle lui adresse un sourire complice.

J'ai donné rendez-vous à mes fils Titouan et Belisaire. Ils nous rejoindront sur place . Et pour l'Ornon... il me rejoint ici, nous irons ensemble.

Petit flottement d'hésitation.

Enfin je crois.

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Titouan.lablanche
Titouan avait le tract :

C'était une première pour lui devant une si noble, haute, et nombreuse assemblée pour un bal...

Il en avait demandé invitation à sa mère qui n'avait pas dit non : Son frère Bélisaire ainsi qu'un compagnon de sa mère seraient lisiblement présent.

En tenue hivernale de combat, il voulu se présenter ainsi en l'anti-chambre du bal pour attendre sa mère.

Peut-être lui permettrait-on, espéra-t-il...
Constance..
Une main glisse doucement lissant les plis du jupon noir ressentant la douceur du tissu sous la pulpe des doigts pendant que les dames de chambre s'occupent de dompter la longue chevelure blonde dans un filet de la même teinte que la robe. L'azur glisse de l'image reflétée par le miroir sur la petite boite de bois précieux renfermant un cadeau ciselé pour Lui. Les pensées s'évadent alors, retraçant le parcours difficile, cahoteux du couple. Les frôlements, les incompréhensions, le déni des sentiments, les fuites, la déraison d'une attirance incontrôlée mettant le palpitant et le charnel à rude épreuve, aveux des corps d'un amour inavouable pour eux... Jusqu'à ce que les obstacles, les forteresses de protection érigées en un mur infranchissable ne tombent, ne cèdent sous la force des sentiments.

Tout parait plus clair, comme une évidence depuis peu. Les yeux se sont enfin ouverts sur la grandeur d'un amour nait depuis quelques mois perdant leur cécité sur la raison d'une attirance irrésistible. Il y a quelques jours, elle avait eu la plus belle des surprises... Une promenade dans les jardins de la Reine Bérengère au Mans sous le croissant lunaire donnant une aura pleine de romance à la soirée, l'arrivée de cavaliers formant un pont jusqu'à une demande affichée... Pour une réponse baignée de larmes d'émotion, de joie.

L'azur se porte de nouveau sur le reflet renvoyé par le miroir, les saphirs brillent d'une lueur toute nouvelle, le sourire est accroché constamment sur les carmines, les joues rosées ajoutent un peu plus de perfection à l'état de bonheur dans lequel évolue l'Orsenac. La senestre se tend vers la petite boite, tandis que la dextre lisse une dernière fois un pli imaginaire de la robe, puis la jeune femme se dirige vers la sortie de ses appartements dans un bruissement de tissu des plus agréables.

La traversée des couloirs du Louvre se fait rapidement jusqu'à la porte convoitée sur laquelle elle toque et qui s'ouvre sur son obsession. Un sourire radieux apparait avant qu'elle ne se plie dans une révérence gracieuse pour ensuite se hisser un peu sur la pointe des pieds, une fois la porte passée, pour frôler les lèvres tentatrices dans un délice de sensations. La main droite posée sur le torse du brun.


Foulques, vous êtes beau comme un Prince...
Petit sourire taquin tout en s'avançant vers le salon des appartements, l'entrainant avec elle. J'ai une surprise pour vous. C'était pour votre anniversaire.

La blonde se place devant Lui, et la senestre se tend laissant apparaitre une boite contenant le cadeau réalisé pour lui.

J'espère que cela vous plaira.

Une fois le cadeau donné, elle reste là mains posées sur le haut de ses jupons, l'azur étincelant à attendre qu'il découvre sa surprise alors que le palpitant commence une course folle dans l'attente de sa découverte.


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Leanore
Une fois que le roy fut passé, ils purent se redresser. Petit à petit les conversations reprenaient et déjà Léanore cherchaient du regard une ou quelques personnes avec qui engager la conversation.
Et cela était bien difficile ma foi. Comment ne pas paraître pour impolie de s'immiscer dans un dialogue. El vit de loin la jeune vendeuse de la boutique normande et Léanore lui sourit en réponse tout en rougissant de ne point porter de robes de sa création. Léanore avait bien été tentée de le faire mais elle avait décidé de faire honneur ce jour aux couturières des doigts d'or qui pour la plupart travaillaient pour la maison royale.

Je suis heureuse également demoiselle Laure-Victoire et vous êtes tout simplement magnifique. C'est de vous aussi cette création ? Je sens que nous allons revenir avec ma fille. Elle adore votre boutique.

Oui la robe portée par Laure-Victoire était des plus sublime. Mais déjà on l'enlevait vers d'autres lieux et de plus, les musiciens se mirent à jouer et il fallut se mettre un peu à l'écart pour ne point se faire marcher ou bousculer par les danseurs.
Son regard se porta encore aux alentours avant de se poser sur ses deux protégés.

Et bien jeunes gens, n'êtes vous point venus pour danser. Allez y, ne vous gênez pas pour moi je vous en prie...
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Lanfeust86
L'annonce fut faite et le Roy entra donc au sein de la salle de réception ou bon nombre de personnes étaient déjà présentes.
Il avança seul mais sans pour autant baisser la tête regardant au passage, chaque personne qui s'inclinait devant lui.
Tout en allant vers le trône royal, sa fille, Lilly, le rejoint, ce qui ne manqua pas de lui donner le sourire, il aimait sa fille, comme tous ses autres enfants d'ailleurs mais il avait toujours un devoir de protection envers celle qui avait perdue ses parents bien trop tôt.


Bonsoir Lilly, cette robe te va très bien.

Mais voilà qu'elle voulait déjà le quitter, pour qui donc ? Un futur époux ?
Ah non un héraut féminin fichtre !
Il continua donc son petit chemin et se plaça devant le trône afin de prendre la parole.


Messires et Dames, Nobles du Royaume de France et d'ailleurs.

Nous avons le grand plaisir de vous recevoir au sein du Louvre, notre palais, joyau du Royaume de France, pour le bal du lys et du paon.

En ces temps difficiles, il ne faut pas non plus oublier de se divertir et nous remercions la Maison Royale pour son travail continuel dans cet objectif.

Prenez plaisir à cette soirée.


Lanfeust prit alors place sur le trône et attendit la suite des événements.
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Kronembourg
[ Dans un appartement Parisien. Juste avant le bal. ]



Affreuse. Vous êtes affreuse.

Le compliment venait de tomber. Sûrement le premier d'une longue série.

J'espère que vous n'avez pas l'intention de sortir comme ça, c'est que tout le gratin Parisien va cancaner sur votre tenue.

Très certainement l'Ornon y allait un peu fort dans sa douce mélodie d'éloges. Mais il n'avait été que peu habitué à traiter Exaltation différemment. Jusqu'à parfois affirmer l'exact contraire de ce qu'il pensait. En l'occurrence, il la trouvait évidemment somptueuse, mais il aurait encore préféré s'étrangler avec un os de poulet plutôt que de le lui avouer.

Le grand homme venait de se faire introduire dans l'appartement Parisien par la gouvernante. La vieille et sage Euphémie, il l'avait jusqu'alors davantage évité que croisé. Leur première rencontre n'avait pas été des plus cordiales et c'est pourquoi la flopée de fleurs qu'il apportait lui était destinée à elle, en grandes pompes, plutôt qu'à la Duchesse Orléanaise. Lorsque l'on se veut mufle, autant l'être jusqu'au bout. Il se doutait bien que la gouvernante ne serait pas dupe mais de toute façon, Exaltation détestait les fleurs.
Oui.
Elle leur préférait les robes. Au plus grand dépit de celui qu'elle sortait et qui ce jour avait lui-même fourni un grand effort de présentation. L'uniforme de la Prévôté de Paris offrait l'avantage d'une allure stricte sans austérité.
Il tendit la main vers elle.


Etes-vous prête, ou exigerez-vous un vrai compliment avant de mettre le pied dehors ?

Un rien de malice dans le sourire barbu.
Venant d'elle, il s'attendait à absolument tout. C'était bien là le meilleur.

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Vera.
    L'heure est à la guerre, l'amour, la mort et les enterrements , puis la décuve pour d'autres dont moi et enfin la fête : le Paon et du Lys. En passant par le Domaine Royal, je m'offre le "luxe" ou la "corvée" de passer par Paris. Invitation en main, si j'étais là c'était peut-être pour le buffet (Pique assiette un jour, pique assiette toujours), en ce qui concerne la picole, je vais y méditer mûrement avant de tendre ma main vers un godet ou une coupe en cristal royal. Pas de vin, rien pour la Von Bretzel d'Apéro que je suis. La lecture du "motif" des festivités avait été faite à la va vite, par un secrétaire qui était plus préoccupé par mon état éthylique et anxieux qu'autre chose. J'avais retenu de tout ses blablas le mot "mariage".

    C'était assez pour me convaincre de me bouger et d'accepter vivement l'invitation.

    Les affaires vont reprendre. En tant que dame marieuse en chômage technique, ce bal était le lieu idéal pour faire le plein de bonnes affaires. Damoiseaux et damoiselles, jeunettes et jeunots , pis bon si on peut aussi jauger les vielles et les vieux célibataires endurcis, ça ne sera qu'un bon lot. J'avais perdu mon temps à supplier quelques têtes couronnées limousines , qu'elles se fassent passer pour mes gosses de dix ans quitte à ce qu'elles se mettent à genoux pour que ce soit crédible, mais en vain. Certaines personnes tenaient vraiment à rester indépendante, la trouille de se faire passer la corde au cou. Monstrueuse affaire qu'est celle-ci, puisque ça augmente allégrement le nombre de bâtards et dégénérés. La mentalité Bretzel est déroutante oui.

    La solidarité commerciale s'était évanouie avec le temps ( si je pouvais espérer avoir une commission sur la dot des mariées tout ça). Mon âme n'était pas du tout enthousiaste aux festivités pourtant mes poulaines m'avaient guidée par là. J'avais abandonné ma tenue de vagabonde pour une tenue plus adéquate. Sobre comme moi ( on ne se moque pas là-bas dans le fond).

    Hop là de faire une entrée discrète en m’annonçant aux gens qui s'occupent de "laisser passer".

    "- Le bon jour, je suis Véra Von Bretzel, Comtesse de Comborn, mes enfants âgés de douze ans à marier ne sont malheureusement pas encore nés, du coup je vais tenter d'en trouver ici. Merci vous êtes bien brave de me laisser entrer."


    D'éviter de me laisser emporter par la foule présente. Que de monde au Louvre, de saluer d'un hochement de tête les gens , des têtes connues pis de parfaites inconnues. Je vais devoir faire travailler ma mémoire, une liste de gens à marier, des futurs limousins et marchois à "voler" dans ce bal.

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Paul_
Fichtre ! Ce doit être bien d'être roi se disait le d'Acoma. A chaque fois, il avait des frissons a voir que tout le monde se prosternait devant le monarque. Et en plus il avait une chouette couronne. Assez pensé pour le moment, il devait surveiller. Il guettait fixement, se sentant dans le marbre d'une statue, les arrivantes et arrivants. Ils étaient tous parés de leurs plus beaux atours. Probablement pour être remarqué dans ce monde de mille lumières. Il était rassuré, il ne voyait rien d’inquiétant pour le moment. Tous semblaient être là pour s'amuser. Enfin, façon de parler, car peu d'entre eux, à l’exception de la Princesse Mélissandre, n'avaient osés un pas de danse.

Lanfeust se dirigea vers le trône. Il prit la parole pour ouvrir les festivités. Quelques mots simples. Court, clair, concis, avec une rigueur presque militaire, pas besoin d'en dire plus de toute façon. Et ça évitera aux plus âgés de s'endormir.

La soirée s'annonçait longue pour le garde ...

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Albin.
Le Roy s'était exprimé alors que d'autres faisaient leur apparitions dans la salle.
Le bal était ainsi lancé et Albin se pencha vers sa vassale qui n'avait pas de cavalier. L'Ar Sparfel n'allait pas privé la cousine de son fils de s'amuser car elle se trouvait seule alors il lui proposa.


Mery, tu n'as de cavalier mais tu es ma vassale alors accepterais tu une danse avec ton suzerain pour que tu puisses un peu profiter du bal toi aussi?


Albin aurait bien proposé une chose à Neyco qui était que Cookie danse avec Mery mais peut être le proposera t'il plus tard.
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Melissandre_malemort
A l'arrivée du roi, Mélissandre avait plongée en une révérence gracieuse, le visage humblement baissé pour lui faire honneur. Il y avait quelque chose de galvanisant dans la vision de cette foule prosternée, une marque de respect qui, elle l'espérait, toucherait le roi.

En bref, son humeur était bien meilleure jusqu'à ce qu'un énième petit papier lui soit présenté et que son visage s'assombrisse... Avant de devenir moqueur. S'approchant de Rosalinde, elle souffla à son oreille.


- Manifestement, on peut être marquise impériale et devoir taper à toutes les portes pour réussir à se faire inviter ici. Deuxième cavalier désigner pour Dame Karenghal. Je vais prévenir l'huissier.

Ponctuant sa remarque d'un sourire mutin, elle glissa quelques mots à l'huissier. Après tout, une soirée sans pique assiette n'était pas une soirée, et si elle ne faisait pas d'esclandre c'était uniquement parcequ'elle appréciait Sepa, et parceque la situation était finalement un peu triste. Les Impériaux s'ennuyaient ils tant que cela pour absolument vouloir venir à un bal des débutants royalistes?

A la hauteur de Paul, elle lui adressa un sourire et allait reprendre son poste près du Grand Maitre des cérémonies lorsqu'un visage bien connu la fit frémir sur place. Vera.


Se précipitant vers son amie de toujours, elle du se rappeller à l'ordre au dernier moment et au lieu de l'embrasser lui tendit une petite main pour qu'elle la salue. Par dieu, voir Vera au Louvre c'était aussi inattendue que merveilleux, balayant tout le reste pour ne laisser place qu'à la joie.
Huissierroyal
Si l'huissier remarqua l'arrivée de la famille LaBlanche, il leur laissa le temps de se présenter aux portes, annonçant en attendant.

- Sa Grandeur Vera Von Bretzel, Comtesse de Comborn.

BOUM.

Une parole ensuite glissée à son oreille dans une envolée de violette. L'huissier nota un nom sur sa liste et reprit, un peu destabilisé.
Foulques_de_malemort
Les mains sont moites, humides d’une tension particulière à l’événement auxquelles il participait au bras de son obsession. A aucun moment le regard du Prince ne quitte le miroir devant lequel les valets de pieds l’habillaient dans un silence mortuaire. Les lueurs du soleil s’estompaient déjà sous la beauté subjuguant de son coucher. L’émeraude se perd dans les souvenirs, les pensées mystérieuses de sa première rencontre, de l’instant magnétique de chacune de leur rencontre. Comment ne pas sourire au souvenir idyllique où les carmes de la volupté domptaient leurs pensées, où la raison se noyait dans les délices de l’envie et du désir de sentir sa chaleur contre la sienne. Un sourire qui s’éteint au souvenir de sa demande, et d’avantage au regard posée sur ce papier jaunie d’une réponse onirique.

D’un mouvement sec de la main, les lèvres toujours closes, les valets furent congédiés sans aucune mesure. Le prince effleura de ses doigts la tenue portée avant de s’approcher de sa fenêtre pour sentir les dernières chaleurs d’une journée, observer les derniers rayons d’une lumière endormie. Les songes pensés embrument l’esprit de Foulques, tout paraît plus clair. Comment n’avait-il pu comprendre l’incompréhensible, briser le mur infranchissable de leur sentiment, sentir cet amour croître dans un balais majestueux d’un maelstrom de folie. Abandonnant les pensées ardente d’une passion sans équivoque, il se détourne avançant vers le dernier vestige de cette chambre, la porte.



La main sur la poignée, le son résonne à traverse la chair du Malemort. La porte s’ouvre sur une vision divine, envoutante, aux charmes irrésistible. Sombrer dans les délices de l’indécence, s’envoler sur les rivages de l’au-delà paradisiaque d’un rêve délicieux. Constance se tenait devant lui, sublimant la robe aux milles éclats. Le regard se fait surpris, puis dévoreur, puis absolument conquis par le mirage prenant vie devant lui. Fantasme ou désir, le cœur palpite dans un battement erronée, croissance des sentiments plus violent que jamais. Destructeurs ou délicieux alors que la douce beauté s’avance vers lui, venant provoquer l’ire du désir des lèvres qui se frôlent.

Constance …

Les mots se meurent dans le silence d’un souffle ardant, murmure d’un désir perdu devant une muse au frôlement passionnel. Mais pas le temps de s’en remettre, que la blonde l’emmène avec elle au cœur de la pièce. Battement et soufflement ardant d’un baisé, se murant dans le silence de ce murmure délicieux, le regard se perdant dans les azurs avant de fondre sur le présent qu’elle tenait dans sa main. Les doigts enserrent la boite, avant de l’ouvrir du bout de ceux-ci. Devant lui l’anneau, la chevalière de sa brisure. Le sourire s’étire, et s’étend dans une dimension impossible. La chevalière quitte la boite, avant de se retrouver piégée entre ses doigts, venant décorée la dextre d’une manière parfaite. Le regard abandonne le présent, se relève pour venir se fondre dans l’océan des iris. La main vient se poser sur la joue, et un pas annihile l’espace entre les deux corps. Sans autre cérémonial, le prince vole à la douce un langoureux baiser, une bonheur douceur pour la remercier non seulement du présent, mais aussi pour la lettre dont il ne lui a pas encore parlée.

Constance, il est magnifique … je ne sais comment vous remercier.

Puis la main s’empare de celle de l’Orsenac, le sourire s’embrasse à son regard, et les deux compagnons quittent la chambre du prince en direction de la salle de réception. Quelques minutes dans les couloirs, quelque glissement contre les murs ou les lèvres violent sans vergogne les lippes de sa douceur. Savourer les derniers pas, les dernières secondes, les dernières minutes avant de se joindre aux festivités d’un bal royal.

Constance et Foulques, arrivent ensemble devant l’antichambre se présentant à l’huissier.

d'Orsenac, Dame de la Moutade, Prévôt du Maine
et son Altesse Royale, Foulques de Malemort, Prince de France et connétable du Maine

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Jonhatan27
Il avait plus le choix, la cousine lui avait donné l'autorisation de danser.
Mais devait il attendre que tout ce beau monde de la cour soit enfin arrivé pour se lancer.
Il avait un autre souci le Dampyerre, son père l'avait fait bonne éducation, mais la seule chose qu'il n'arriva pas à apprendre était celle de savoir danser.

Alors il regarda Margot d'un air interrogateur, y va t'on ou pas?
Puis s'approcha d'elle.


Margot vous savez danser ces danses, car je ne suis pas un expert en cela.

Puis en regardant sa cousine Leanore d'un air malicieux.

Oui ma chere cousine nous allons y aller, mais vous nous montrer les us et coutumes à la cour pour être un bon damoiseau ou demoiselle?

Toc cela retarderait peut être un peu le moment fatidique.
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